Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Septembre 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
En revenant du travail, mon père m'avait surpris en train de regarder une cassette porno SM gay. En voyant des mecs à poil en train de baiser, il était entré dans une colère noire et m'avait envoyé dormir dans le garage sur un matelas pliant.
— Je ne peux plus tolérer la présence d’un être pervers sous mon toit!
Au milieu de la nuit, je fus réveillé par la lumière du garage.
— Debout gros cochon!
— Papa!?
— Tais-toi... J’ai à te parler. Je m’attendais à découvrir ça un jour... J’ai toujours su que tu étais un...
— Je ne l’ai pas voulu, ‘Pa!
— Ta gueule, espèce de malade! J'ai regardé la cassette que tu visionnais. Pas très net tout ça! Visiblement les mecs soumis ça t'excite! C’est ça, ça t’excite?
—...
— Réponds moi!
— Oui, un peu.
— Un peu, tu parles! C’est quoi qui t’excite...
—...
— Allez, déballe-moi ce que tu as sur le coeur. Je t’en donne l’occasion.
— C’est venu comme ça... Je n’ai pas chercher...
— C’est les grosses bites qui t’excitent?
—... oui!
— Le jus qui te coule sur la gueule?
— Aussi.
— Qu’on te donne des ordres?
— Personne ne l’a encore fait. C’est juste un fantasme!
— Ta nature est ainsi faite, hein? Moi, je crois que tu es dépravé et pervers. Les mecs comme toi en veulent toujours plus. La masturbation est insuffisante pour les satisfaire alors ils passent à l’acte n’importe où et avec n’importe qui. Tu as envie de te faire démolir par un malade?! C’est ça?
— Non, je...
— Je t’ai dit de la fermer. Personne ne t’a donné des ordres. Ça va changer... Pour éviter de te voir tomber sur des malades, je suis prêt à satisfaire tes fantasmes...
Je n’en revenais pas. Mon père me proposait de... Non, ce n’était pas possible!
— Je vais te dire ceci: si j’accepte de m’occuper de toi, tu as intérêt à y mettre du tien!
— Papa, je...
— Tu vas signer ceci. J’ai rédigé un contrat. Je te laisse le temps de le lire. Ce contrat c’est une chance pour un garçon comme toi! Je vais devenir ton Maître... ta Loi... Il va falloir que tu me mérites!
Mes yeux balayaient la feuille où il avait dressé ses règles. Mon père avait pensé à tout. Je n’en revenais pas encore.
— Ta décision!?
— Je... Papa, tu...
— Stop! J'exige d'abord que tu me vouvoies et m'appelle Maître en privé.
— Bien entendu!
— En public le vouvoiement suffira. Je vais me charger de toute ton éducation. Je te choisirai tes vêtements. Tu as toujours eu des goûts vestimentaires douteux. En ce qui concerne la maison, si tu décides de continuer à vivre ici avec mes règles, tu t'occuperas de la plupart des tâches ménagères. En bas de la page, j'ai laissé de la place pour ajouter quelques petites choses au fur et à mesure quand elles me viendront à l’esprit!
— Oui, ‘pa!
Sa main claqua. Une gifle venait de m’atteindre au visage.
— Oui, Maître!
— Oui, Maître! Pardonnez-moi, Maître!
— Voilà qui est mieux. Essaie de te rappeler de cette leçon. La prochaine fois, je ne serai pas aussi magnanime. Les punitions suivantes risquent d’être plus lourdes. J'espère que tu as compris. Signe ce contrat ou fous le camp immédiatement de MA maison.
Je n’ai pas eu le loisir d’hésiter longtemps. Avec mes 18 ans et ma carrure de pain baguette, que pouvais-je faire en dehors de ma maison?
— Je vais signer le contrat, Maître!
— Bien, mets-toi à poil maintenant.
Je me suis donc dénudé. Mon père s’est mis à tourner autour de moi en ricanant. J’étais pétrifié.
— Ton trou a déjà servi?
— Euh...
— Réponds vite ou je te cogne.
— Oui.
— À quatre pattes, je vais l’essayer...
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’étais à quatre pattes et il m’enfonçait sa queue dans le cul. Il n’a pas été tendre avec moi. J’ai eu droit à une bonne enculade virile et brutale. Je gémissais de mal mais il ne s’est pas occupé de ça. Il ne portait pas de capote et il m’a dosé le cul avec une bonne rasade de jus.
— Mets ça!
Il m’a tendu le tablier que notre femme de ménage mettait pour faire son travail.
— Je vais dire à Simone de ne plus venir! Ce sera inutile d’avoir deux femmes de ménage en même temps.
Il s’est esclaffé en me voyant ainsi vêtu. Comme la situation avilissante m’excitait un peu, j’ai commencé à bander. Mon sexe tendu déformait le tablier.
— Je vais remédier à cette bosse disgracieuse. Une boniche ne doit pas montrer ses envies. Tu peux comprendre ça, ma chienne?
— Oui, Maître!
— N’est-ce pas mieux que dans tes putains de films, ça?
— Si, Maître!
— Pour revenir à tes envies, ta seule envie dorénavant sera de me faire plaisir.
— Oui, Maître!
— Enfile ce cycliste moulant en tirant bien ta petite queue en arrière que je ne la voie pas. Ce serait triste de devoir la couper!
Il s’est mis à rire aux éclats. J’ai frissonné.
Ce jour-là, j’ai travaillé comme un forcené dans la cuisine pour tout faire briller. Mon père m’a surveillé sans faillir à sa tâche de Maître. Vers 17h30, il m’a dit d’enlever mon tablier et d’enfiler un manteau. Il m’a emmené dans un magasin de vêtements que tient un de ses amis. Ce type est aussi fêlé que lui.
J’ai voyagé dans le coffre de la voiture. Je portais toujours le cycliste. À cette heure-là, dans notre petite ville, tout était désert. Il m’a fait sortir du coffre et a crié:
— File droit, hein!
Je me suis rapidement dirigé au rayon Hommes quand il m’a rattrapé et m’a conduit au rayon Femmes. J’ai vu à son sourire que son copain était au courant de ce qui se passait. Il lui a demandé s’il connaissait mes mensurations ou s’il fallait les reprendre.
— C’est la première fois que j’achète des vêtements pour ma petite salope!
J’ai baissé la tête, j’étais rouge de honte.
— Mon vendeur va s’occuper de vous! a dit le patron.
Le vendeur, qui n’est autre que son fils, semblait très amusé en prenant mes mesures et il proposa plusieurs modèles de vêtements féminins que je dus essayer dans une cabine. J’ai essayé une dizaine de vêtements et sous-vêtements que mon père a achetés. Rien que des frusques de pute! J’étais effondré...
— Vous la trouvez comment ma pute? a demandé mon père au vendeur.
— Très excitante dans cette tenue.
— Vous auriez envie de la baiser?
— Tout à fait!
— Alors faites-le! Baisez-la dans la cabine d’essayage. Ne vous gênez surtout pas.
Le marchand m’a fait un clin d’oeil et a fermé la porte du magasin.
— Hugo, le client est roi! Fais ce que demande monsieur! a-t-il dit à son fils.
Hugo a sorti sa queue, y a déroulé une capote puis m’a collé contre la paroi de la cabine pour me l’enfiler jusqu’aux couilles. Il respirait fort en me donnant ses coups de reins bien virils. Comme je gémissais, il m’a demandé:
— Tu aimes, hein?
— Oui, j’adore. Elle est bien dure. Je la sens bien jusqu’au fond.
Pas de préambule! Pas d’état d’âme! Lorsque le fils a eu terminé, le père l’a suivi. Pendant ce temps, mon père continuait à me choisir des vêtements.
— Je voudrais que ma pute essaie ce short en jeans. Lorsque son cul sera libéré...
Le marchand se cabra et jouit à son tour. Ses mains se crispèrent sur mes hanches jusqu’à y laisser leur empreinte. Le cul douloureux, je suis sorti de la cabine et Hugo m’a tendu le short en jeans. Il était très serrant mais c’était ce que mon père voulait.
— J’aimerais que la couture arrière soit défaite. Ainsi il pourra le porter tout en exhibant sa raie de salope.
En quittant le magasin, papa a laisse notre adresse au fils du marchand qui a promis de venir nous livrer nos achats après sa journée de travail.
— Tu pourras bien t’occuper de cette petite chienne! Je suppose que ça te fait envie?
— Oh, oui, monsieur!
— Tu m’as l’air d’aimer le sexe!
— Beaucoup, oui!
— Filles? Garçons?
— Les deux!
— Tu trouves aussi que les mecs sucent mieux?!
— Oui.
— Ma pute va bien te pomper. Tu viendras?
— Je ne veux pas rater ça pour tout l’or du monde.
— À l’occasion, si ça t’a plu, tu pourras même nous amener des amis à toi...
De retour à la maison, j’ai du m'habiller avec quelques sous-vêtements que nous avons ramenés nous même: slip de dentelle et bas noirs.
— Comment vais-je donc bien pouvoir t'appeler maintenant? Il te faut un nom à la mesure de ta condition! Tu es bien d’accord?
— Oui, Maître!
— Lopette. C’est bien Lopette! Tu aimes?
— Oh oui, Maître!
— Tu pourrais dire merci pour ce divin surnom.
— Merci, Maître!
— Allez, file à la cuisine nous préparer un bon repas!
— Oui, Maître...
Je me suis très vite mis au travail et alors que j’étais à la cuisine en train d'éplucher des légumes, papa est venu se mettre derrière moi. Il a passé entre mes fesses puis mes cuisses et m’a caressé le sexe déjà tendu.
— Tu bandes encore, ma petite chienne. Je devrais être très fâché d’avoir une petite femelle désobéissante! Ça t'excite d'être traitée comme une boniche, hein? Allez, à quatre pattes... Viens me lécher la bosse à travers le pantalon!
Mon père bandait très ferme et j’ai commencé à frotter mon nez et mes joues contre sa grosse bosse.
— Mmmmm, c’est si dur!
— Qui t’a permis de donner ton avis?
Une gifle magistrale m’a rappelle à l’ordre. Désormais je ne pouvais plus avoir d’avis, d’envie, de désirs... À genoux devant mon père et Maître, je lèche sa braguette tandis qu'il me saisissait les cheveux et accélérait le mouvement.
— Tu fais bien ça, ma pute! On voit que tu regardais beaucoup de films cochons... Mais je constate avec horreur que tu bandes encore plus! Allez! me dit-il, viens avec moi à la salle de bain. Ôte ta culotte.
Il fit couler de l'eau froide, presque glacée et me passa le pénis sous l'eau. Ce qui arrêta rapidement mon érection indésirable.
— Je n'allais quand même pas te laisser comme cela! Nous allons avoir de la visite. Tu sais le beau garçon du magasin?
— Oui, Maître!
— Il t’a déjà bien baisé, n’est-ce pas? Il va bien s’occuper de toi, tu sais! Il avait l’air très excité. Bon maintenant je vais te maquiller, ce ne sera pas du luxe! Une pute ça doit être excitant! Regarde bien comment il faut s'y prendre car dans quelques jours il faudra que tu te débrouilles toute seule.
Mon père m’a maquillé. C’était difficile à tolérer mais je n’avais pas le choix.
J’ai repris la préparation du repas qui fut prêt quand la sonnette de la porte d'entrée retenti.
— Va ouvrir, Lopette!
Je tremblais autant d’excitation que de peur. La personne qui venait de sonner pouvait très bien être un voisin ou un ami. J'ai donc ouvert le regard bas. C’était Hugo, le type du magasin.
Hugo est un beau garçon très viril et entreprenant. Dès qu’il est entré, il me passe une main sur les fesses et me sourit. Je le trouve craquant. Je lui roule une pelle.
— Qui t'a donné la permission de l'embrasser? Tu n'es qu'une salope qui ne sait que se faire baiser. Tu mériterais que je téléphone à tous mes amis pour qu’ils viennent te prendre, t'enculer les uns après les autres. Tu n’est bon qu’à faire ça, la pute.
Mon père est furieux et il m’ assène une gifle magistrale, m'attrape par les cheveux et me tire vers la cuisine.
— Suivez-moi, jeune homme!
Papa m’installe à genoux au centre de la cuisine.
— Jeune homme, ne le laissez jamais refaire ce qu’il a fait! Punissez-le...
Hugo est un peu perdu mais très vite il va se prendre au jeu. Ce garçon est un vrai vicelard. Il se place devant moi et me gifle plus fort que mon père. Puis, il me tend sa main:
— Lèche! Lèche la main qui t’a puni...
— Tu apprendras qu'à partir de maintenant, tu ne roules de pelles à personne. À personne, entends-tu?
— Oui, Maître! Lève-toi.
Il me prend par le bras et me plie en deux au-dessus de la table de cuisine. Je me rends compte que j'ai une érection qui ne doit pas passer inaperçue. Je crains des retombées. Ai-je la permission de bander?
— Jeune homme, aujourd’hui, vous pourrez tout utiliser sauf ceci... son trou... Je sais qu’il en meurt d’envie, qu’il veut votre queue bien dure au fond de sa chatte... Il n’en sera rien ce soir! Pour éviter toute tentation, vous allez lui fourrer ce plug dans l’endroit interdit.
— Bien, Monsieur! a répondu Hugo que je sentais tout aussi déçu que moi.
— Vous êtes déçu, n’est-ce pas? demanda papa.
— Un peu mais il a un autre trou. Il y a tant de choses à faire avec une bonne salope.
— Vous avez raison. La salope est à vous...
Mon père est resté en retrait et a regardé Hugo s’occuper de moi. Celui-ci a directement pris la direction des «opérations».
— Accroupis-toi... face à moi.
— Oui, Maître!
— Suce! Salive bien avant de recevoir ce plug dans le fion.
Je me suis donc agenouillé devant lui. J’ai reçu une autre gifle.
— J’ai pas dit à genoux... Accroupis... cul cambré...
J’ai ajusté ma position. J’ai avancé la tête vers le plug qu’il me tendait. J’ai ouvert la bouche et j’ai sucé longuement le plug. Lentement, en le regardant droit dans les yeux, je faisais coulisser le plug dans ma bouche et je le lubrifiais de ma salive. Mon père s’est appuyé contre la table à un mètre de nous. Je sentais son regard vicieux analyser chaque geste, chaque attitude. Dans ma position accroupie, j'écartais les cuisses et ma raie s’ouvrait largement.
— C’est bon! Fourre-le dans ta chatte!
Je n’osais pas quitter le regard d’Hugo et, toujours en le regardant droit dans les yeux, je me suis entré le plug dans le cul. L’engin étant assez gros, j’ai eu certaines difficultés à l’accepter du premier coup. Mon père est intervenu:
— Tu traînes, salope! Tu vas te prendre une râclée...
Le plug est entré complètement en m’arrachant un petit cri de douleur. Un sourire se dessine sur le visage de mon nouveau Maître.
— Fais gonfler ma bite!
À travers la toile du pantalon, d’abord avec mon visage puis avec mes mains, j’ai palpé sa bite. Rien qu’en le touchant de cette façon, je devinais que son sexe était magnifique. Dur, long et vigoureux.
— Suce ma grosse banane!
J’ai pu enfin sortir sa queue bien raide et je l’ai embouchée.
— Branle-toi le cul avec le plug... mais attention, en douceur! a dit mon père.
— Merci, Maître!
J’avais donc les deux trous remplis et en phase de limage. La bite de Hugo coulissait vigoureusement entre mes lèvres pour envahir le fond de ma gorge et mon cul était rempli par ce plug bien rond. Mon père ne perdait évidemment pas une miette de la scène.
— On va prendre la voiture et aller faire ça en extérieur! a lancé mon père.
La tête du brave Hugo!
— Pardon?
— Si tu veux t’occuper de MA lope, va falloir accepter certaines conditions, jeune homme! Allez, en route!
Nous sommes donc montés dans la voiture. Papa à l’avant et nous à l’arrière. J’ai reçu l’ordre de pomper à quatre pattes, mon cul presque collé à la vitre. Heureusement, il n'y avait pas grand monde dans les rues à cette heure-là! Mo père prenait tout de même un malin plaisir à passer dans les endroits qui risquaient d’être plus fréquentés.
— Il suce bien?
— Oui, M’sieur!
— Il la prend au fond...?
— Le plus souvent, oui!
— C’est pas le plus souvent qu’il doit le faire, c’est toujours! S’il manque à son devoir, tu le punis!
— D’accord!
Je me suis appliqué à sucer le mieux possible Hugo qui trouillait autant que moi. Il bandait bien mais je le sentais tendu. De mon côté, dans ma position, j’avais peur de perdre mon plug. Je sentais les contractions de mon cul qui essayait de le maintenir bien en place.
— Tu es capable de jouir plusieurs fois de suite? demanda mon père.
— Oui. J’ai une bonne capacité de récupération! répondit le garçon.
— Alors, jouis-lui dans et sur la gueule dès maintenant... Je veux qu’il soit inondé tout au long de la nuit.
Et Hugo a joui. Son foutre bien épais a d’abord envahi ma gorge puis son gland a laissé de longues traînées gluantes sur mon visage extatique. Mon père l’a félicité.
— Tu avais les couilles bien pleines, dis donc!
— C’est toujours comme ça...
— Tu as bien joui?
— Oui, il pompe super bien.
Cette déclaration me fit grand plaisir. J’étais heureux de lui avoir procuré du plaisir.
Nous nous sommes arrêtés à un feu rouge. À notre niveau, le conducteur d’une autre voiture matait mon cul et son plug. Mon père a ouvert la vitre et lui a proposé de nous suivre. L’homme a accepté.
Nous nous sommes arrêtés à l’orée d’un bois où ont été installées des aires pour pique-niquer. Nous avons quitté la voiture pour nous diriger à pieds vers un de ces endroits. Moi, complètement nu, un plug enfoncé dans le cul, un collier de chien au cou. Dans ce genre de situation, l’excitation aidant, je me rends compte que j’arrive à devenir quelqu’un d’autre. Mon père avait pris un sac avec des accessoires dans le coffre de la voiture. L’homme de l’autre voiture nous suivait à quelques mètres. Il devait se demander où mon père nous entraînait... mais l’appel de la bite est plus fort que tout...
Mon père et Hugo m'ont installé sur une table en bois au milieu d’une clairière.
— Écarte les jambes! Je veux voir ton cul et ton plug.
J’ai obéi. L’homme regardait Hugo me caresser le cul.
— Si vous voulez que la salope vous suce, c’est OK! Passez de l’autre côté!
L’homme a contourné la table et s’est débraguetté devant moi. J’ai dû me pencher pour pouvoir gober sa bite. J’étais un peu déçu de la mollesse de son engin. J’avais du boulot pour en faire un beau mastard. Au bout de vingt minutes, la bite n’avait quasiment pas durci. Mon père est intransigeant dans ces cas-là.
— Si t’es pas capable d’offrir une queue potable, tire-toi, conard! Ma lope ne sert pas à des couilles molles!
Le type s’est tiré vite fait.
— Mets-toi sur le dos! a ordonné mon père.
Il a attiré Hugo un peu à l’écart et lui a parlé.
— Hugo va s’occuper de toi!
Et mon père est parti. J’étais seul au milieu d’un bois, nu, pluggé, avec un inconnu. Celui-ci m’a position au bord de la table, cul bien en vue, les jambes repliées. Il a ouvert le sac et m'a attaché à l'aide de fines cordes.
— Tu vas passer un bon moment ainsi! Tous les mecs que ton père va ramener vont pouvoir t'admirer...
Hugo m’a enlevé le gode et m’a enculé. Il s’est agité en moi comme un forcené mais n’a pas joui.
— Ça, ce sera notre secret! On est bien d’accord?
— Oui, Maître!
Il m’a embrassé.
— J’aimerais avoir une salope comme toi rien qu’à moi...
Nous avons attendu mon père.
Il est arrivé...
À suivre...
Un mec est dans un backroom gay, enfermé dans une cabine du milieu où il y a des trous de chaque côté, les mecs passent leurs bites pour se faire vidanger sous l’œil de mecs qui matent et qui se laisse vider aussi par ce bon tireur de sperme…
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Ma vie était devenue un enfer. Certes, j’aimais être soumis mais, là, j’étais particulièrement servi. Mon père n’avait pas de limites et il usait et abusait de moi. Depuis des semaines, je n’avais plus dormi dans mon lit. J’avais droit à une couverture dans un coin du garage ou le chenil lorsqu’il ne faisait pas trop froid.
Cette nuit-là avait été courte car mon père m’avait loué à deux vicelards jusqu’à quatre heures du matin. J’avais passé ma courte nuit au milieu des chiens. Mon père en avait trois. Trois mâles assez féroces. Mon père me réveilla vers sept heures.
— Oh! Regardez-moi ça comme c'est mignon. Il bande en dormant. C’est la soirée que tu as passée hier qui te fait cet effet? Tu n’en as pas eu assez? Allez, arrête de trembler, je ne te veux aucun mal…
En réalité, mon père agissait avec moi comme avec un chien peureux qu’il voulait dresser et apprivoiser.
— Tu as été brave et je pense que tu as droit à un peu de plaisir. Viens!
Il attacha la laisse à mon collier et me fit sortir du chenil. Les trois chiens levèrent la tête mais ils ne firent rien de plus. Mon père m’emmena dans la salle de bain où il retira le plug de mon cul.
— Prends une douche et viens me retrouver dans le living à quatre pattes.
Il était doux et calme. J’avais intérêt à bien suivre tous ses ordres si je voulais que ça continue. J’ai donc pris une douche. Ô merveille! J’ai apprécié mais je n’ai pas voulu abuser. En dix minutes maximum, j’étais lavé, essuyé et en route pour le living. Mon père était assis dans le canapé. Il avait enlevé son pantalon et branlait sa grosse queue en regardant un film porno. Sur l’écran, une femme à gros nichons se faisait baiser par deux blacks et un chien.
— Allez, grimpe sur mes genoux et viens t'empaler sur ma queue dressée!
Je ne le nierais pas; j’étais excité par la situation. Mon père glissa la main dans ma raie.
— Mmmmm, cette petite chatte est déjà dégoulinante de désir. Elle aime la bite, hein?
— Oui, Maître!
Mon père entra au plus profond de mon trou et me lima longtemps. C’était agréable! Lorsqu’il accéléra, ses injures redoublèrent. Il haletait en hurlant:
— Je vais jouir. Je vais remplir ma pute!
Son excitation était très forte. La mienne l’était également. Ma condition de salope me convenait parfaitement lorsque je la vivais de cette façon. J’étais un objet de désir. Je l’acceptais. J’étais là pour donner du plaisir. Je ne vivais plus que dans cette optique. Satisfaire des mâles était ma raison de vivre.
— Putain de trou de pute…
Mon père feulait. Ses doigts pinçaient mes tétons. Je sentais la douleur, associée au plaisir qui montait en moi. Je n’allais pas résister longtemps à ce traitement. J'ai fini par exploser. Je me suis senti défaillir. Mon père aurait pu se fâcher car l’ordre de jouir n’était pas venu de lui. Il continua ses mouvements encore quelques secondes puis jouit dans mon trou.
Nous nous remettions à peine de notre jouissance lorsque le téléphone sonna. Mon père décrocha:
— Oui, c’est moi! Ah oui, Antoine! Comment vas-tu? Il est libre, oui! Ok, je te le réserve pour ce soir. Il y aura du monde? Ah oui, tout de même!
Mon père a raccroché et s’est adressé à moi:
— Ce soir, tu auras des clients! Bon d'abord, nous allons aller t'acheter de quoi t'habiller décemment. Tu ne peux quand même pas te présenter à tes premiers clients dans cette tenue…
Je n’ai évidemment pas osé poser de question à mon père. J’ai compris qu’à partir de là, il allait monnayer mes services pour se faire un peu de fric.
Après nos achats, mon père m’a préparé comme une chienne: collier clouté, plug, ceinture... Nous nous sommes rendus dans un immeuble très chic où mon père s’est adressé au gardien pour qu’on nous annonce chez Monsieur Z. J’étais pétrifié de gêne devant cet homme qui ne semblait pas trop surpris de me voir ainsi harnaché (et à moitié nu). Monsieur Z devait recevoir beaucoup d’invités spéciaux comme moi. Le gardien a pris le téléphone et a appelé:
— Une visite pour vous, Monsieur Z! Oui, je les fais monter… Vous pouvez monter au cinquième! On vous attend…
Je crois que le gardien m’a fait un clin d’œil en se touchant la braguette. Mon père m’a tiré par la laisse jusqu’à l’ascenseur et nous sommes montés à l’étage indiqué. La porte du pallier était ouverte et nous sommes entrés. Dans le living, il devait y avoir une dizaine de mecs. Mon père m’a fait entrer.
— Installez la chienne sur la table! a dit une voix sévère.
Tous ces mecs me regardaient avec envie et l’un d’eux s’avança vers mon père pour lui demander quelque chose tout bas à l’oreille. Mon père a souri et répondu:
— Sans problème, Monsieur Z! C’est vous le client… Je viendrai la rechercher deux heures plus tard.
— C’est parfait! Finalement, nous serons une vingtaine… Une location normale risquait d’être juste… a conclu Monsieur Z.
Monsieur Z s’approcha de moi et me frotta son paquet gonflé contre le nez.
— On va te remplir par tous tes trous avec nos grosses bites bien dures. Sens-moi ça si c’est ferme!
J’ai poussé un grognement. Sans doute parce que j’étais horriblement angoissé et perdu au milieu de ce groupe de mâles excités et prêts à tout. Il m’a caressé la tête et je l’ai agitée en grognant à nouveau. Une main m’a immobilisé la nuque. J’avais mal. L’homme s’adressa à mon père:
— Votre chienne pousserait-elle des grognements de désapprobation? Dans ce cas, elle mériterait vraiment une bonne punition!
— Je le crains, Monsieur. J’essaie de bien la dresser mais vous connaissez les jeunes chiennes… Elles sont parfois rebelles! lui répondit mon père.
— Nous allons arranger ça! Laissez-nous… s'exclama l'homme.
— D’accord! répondit mon père vers qui je lançais un regard éploré.
Il ne me regarda même pas en partant. Un homme très viril au regard très vicieux s’avança vers Monsieur Z et lui dit:
— C’est une très belle salope que tu nous as trouvé là, Piotr!
— Vous allez pouvoir lui baiser tous les trous et vous satisfaire sans tarder. Il se pencha et me regarda droit dans les yeux:
— Nous avons très envie de toi depuis que tu es dans le «catalogue»! Chaque fois que je voyais ta photo, ça me faisait bander comme un âne. Là, maintenant, tu es là… offert à mes désirs… et à ceux de mes invités! C’est formidable de penser à tout ce qu’on va pouvoir te faire! En plus, je t’ai loué pour six heures…
J’ai frissonné. J’ai entendu que quelqu’un fermait une porte. J’étais prisonnier de ces hommes en rut. Plusieurs mecs m’avaient coincé contre la table basse et commençaient à me caresser sur tout le corps. Quand je dis caresser, c’était tout autant palper, pincer que malmener. Monsieur Z ordonna qu’on m’étende sur le dos et qu’on relève mes cuisses. Il s’installa à genoux entre mes cuisses et me lécha la rosette tout en me branlant avec ses doigts qu’il me mettait de temps en temps dans le cul.
— Souple mais toujours très serré! Le catalogue ne mentait pas… Une très belle chatte!
— Son Maître l’a bien rasée pour accueillir nos queues et elle mouille d’enfer...
— Sa bouche a l’air accueillante également...
— Oui, il paraît qu’elle suce comme une pro et elle aime tellement ça qu’elle avale tout.
Les commentaires fusaient autour de moi. Je n’étais qu’une «chose à plaisir» et les mecs s’agglutinaient pour en user et en abuser.
— Ralph, sors ta queue! Je veux la voir te sucer à fond. Ça me fait bander de la voir tailler une bonne pipe à mon meilleur ami! Allez vas-y, fourre-la de ce côté, je m’occupe de l’autre!
Le mec a ouvert son pantalon et libéré une queue déjà bien tendue. Elle n’était pas très longue mais épaisse avec un gros gland qui commençait à pointer. Un autre mâle l’a prise en main et a commencé à la branler doucement au-dessus de mon visage. On m’a enlevé mon bâillon et j’ai dégluti en voyant le gland qui grossissait à vue d’œil. Le mec avait de grosses couilles bien pleines qui se balançaient en frôlant mes yeux.
— Lèche les couilles pour commencer! me dit-il.
J’ai hésité.
— Lèche! Vite! Ou c’est la punition assurée…
J’ai obéi.
— Alors, Ralph, elle est douce la langue de ma chienne?
— Très douce… habile…
J’ai pris mon travail à cœur, redoutant une punition comme celles que mon père m’imposait en cas de rébellion. J’ai léché et sucé les couilles du mec. Du côté de mon cul, je sentais un gland qui frottait la raie. J’allais me faire trouer…
— Putain, Piotr! C’est une vraie salope! Elle me fait tellement bander que je crois que je vais tout lui envoyer dans la figure.
— Retiens-toi… On va lui baiser les deux extrémités en même temps… Elle va te pomper le gland. Allez, salope, enfourne ce beau morceau.
J’ai ouvert la bouche et j’ai aspiré le gland. Je me suis mis au pompage et le mec gémissait de plaisir en me tenant par les cheveux. L’engin grossissait encore dans ma bouche et m’étouffait presque. Je prenais son gland entre mes lèvres, le faisais ressortir pour lui lécher ses grosses couilles bien dures. Il se cabra assez rapidement et, n’en pouvant plus, m’envoya de longs jets de sperme au fond de la gorge. Il avait joui avec puissance et abondance. J’étais gluant de sperme.
— Putain de merde, cette salope m’a vidé les couilles comme jamais. C’est super bandant de se faire pomper au milieu de ses potes excités. À vous, les gars! Moi, faut que je recharge mes batteries…
Un mec qui devait avoir 60 berges mais qui était bien conservé le remplaça.
— Tu lui as envoyé une sacré dose, Ralph! Il est recouvert de ta chantilly!
Les mecs se marrèrent. L’hôte arrêta de jouer avec son gland dans ma raie et m’ordonna d’écarter les cuisses.
— Écartez-les lui à fond! dit-il en se débarrassant de son pantalon.
Il mit à l’air sa grosse queue bien gonflée et vint se planter entre mes jambes. Il me prit les chevilles et planta son sexe bien dur dans ma rosette lubrifiée de salive. Celle-ci s’ouvrit sous la poussée et j’ai poussé un petit cri.
— Une chienne qui miaule! ironisa un invité. Normal! C’est une chienne avec une chatte…
Petits rires. Monsieur Z entrait et sortait de mon cul. Sa tige forçait mes chairs intimes sans ménagements et je sentais cette chose énorme qui me ramonait le trou. Il buta au fond de mon cul et puis se mit à me pistonner sans faiblir. Je me mis à gémir.
— Elle prend bien, la salope! Elle couine mais elle avale. Elle est vraiment bandante avec sa petite chatte rasée qui me serre bien la queue…
— Bourre-la, Piotr! Nique la chienne comme elle le mérite!
— Elle te plaît cette queue?
Comme je ne répondais pas, un mec m’a foutu une baffe et a posé à nouveau la question:
— Elle te plaît cette queue?
— Oui.
— Pourquoi elle te plaît?
— Elle… elle est bien grosse!
— Exactement! Tiens prends-la et donne-moi tes tétons, je vais te les faire grossir.
Piotr me limait tout en roulant les pointes de mes seins entre ses doigts. Il les pinçait à me faire mal et je faisais une horrible grimace en essayant de réprimer un cri de douleur.
— Une bite dans sa gueule! Tout de suite! ordonna-t-il.
Le mec de 60 ans enfonça sa bite très longue dans ma gorge. Il prit le relais et se mit à pincer, tirer mes tétons qui durcissaient sous ses doigts. Je me laissais aller à cette baise bestiale et mon corps se mit à jouir de toutes ces caresses… Oui, je m’abandonnais complètement en gémissant comme une chienne pendant qu’on me baisait par les deux trous et qu’autour de moi des mecs se branlaient en m’injuriant.
Mon baiseur sortit de ma chatte. Il écarta bien mes cuisses et demanda à un de ses amis de me la bouffer. Celui-ci se mit à me lécher le fion boursouflé et sa langue me fouilla profondément. Je jouissais comme une bête au milieu de tous ces mecs bien montés qui allaient bien profiter de mon corps. La tête entre mes cuisses, le «rimeur» me bouffait le trou. Je voyais des bites dressées qui attendaient leur tour. Elles se touchaient, me frôlaient, frappaient mon corps et jouissaient parfois sur mon visage.
Le temps passa très vite et lorsque tout le monde eut joui deux ou trois fois, Monsieur Z me livra au gardien de l’immeuble. Il bandait comme un âne. Il me refit un clin d’œil. Sa queue était bien longue et épaisse. Il la planta dans mon cul bien élastique et lima. Il se retira vite puis y replongea. Il recommença ce petit jeu plusieurs fois, encouragé par les autres mecs.
— Mammoud, baise lui la gueule maintenant!
Le gardien changea de côté. Il posa son gland sur mon visage avant de le glisser entre mes lèvres et l’enfonça au fond de la gorge. Il me tenait par les cheveux. L’engin, déjà énorme, grossissait entre mes lèvres et j’avais du mal à le sucer complètement. Monsieur Z se planta à nouveau dans mon cul. Pour la quinzième fois ou seizième fois, j’étais pris en sandwich. J’entendais soupirer le gardien d’aise et m’encourager à bien le pomper alors que j’avais mon arrière train rempli par le patron.
— Cette pute est vraiment faite pour baiser. Je pense que je vais la «louer» plus souvent… Elle a des trous si accueillants… conclua Monsieur Z.
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