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Dimanche 15 juillet 7 15 /07 /Juil 01:16

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Ma vie était devenue un enfer. Certes, j’aimais être soumis mais, là, j’étais particulièrement servi. Mon père n’avait pas de limites et il usait et abusait de moi. Depuis des semaines, je n’avais plus dormi dans mon lit. J’avais droit à une couverture dans un coin du garage ou le chenil lorsqu’il ne faisait pas trop froid.

Cette nuit-là avait été courte car mon père m’avait loué à deux vicelards jusqu’à quatre heures du matin. J’avais passé ma courte nuit au milieu des chiens. Mon père en avait trois. Trois mâles assez féroces. Mon père me réveilla vers sept heures.

— Oh! Regardez-moi ça comme c'est mignon. Il bande en dormant. C’est la soirée que tu as passée hier qui te fait cet effet? Tu n’en as pas eu assez? Allez, arrête de trembler, je ne te veux aucun mal…

En réalité, mon père agissait avec moi comme avec un chien peureux qu’il voulait dresser et apprivoiser.

— Tu as été brave et je pense que tu as droit à un peu de plaisir. Viens!

Il attacha la laisse à mon collier et me fit sortir du chenil. Les trois chiens levèrent la tête mais ils ne firent rien de plus. Mon père m’emmena dans la salle de bain où il retira le plug de mon cul.

— Prends une douche et viens me retrouver dans le living à quatre pattes.

Il était doux et calme. J’avais intérêt à bien suivre tous ses ordres si je voulais que ça continue. J’ai donc pris une douche. Ô merveille! J’ai apprécié mais je n’ai pas voulu abuser. En dix minutes maximum, j’étais lavé, essuyé et en route pour le living. Mon père était assis dans le canapé. Il avait enlevé son pantalon et branlait sa grosse queue en regardant un film porno. Sur l’écran, une femme à gros nichons se faisait baiser par deux blacks et un chien.

— Allez, grimpe sur mes genoux et viens t'empaler sur ma queue dressée!

Je ne le nierais pas; j’étais excité par la situation. Mon père glissa la main dans ma raie.

— Mmmmm, cette petite chatte est déjà dégoulinante de désir. Elle aime la bite, hein?

— Oui, Maître!

Mon père entra au plus profond de mon trou et me lima longtemps. C’était agréable! Lorsqu’il accéléra, ses injures redoublèrent. Il haletait en hurlant:

— Je vais jouir. Je vais remplir ma pute!

Son excitation était très forte. La mienne l’était également. Ma condition de salope me convenait parfaitement lorsque je la vivais de cette façon. J’étais un objet de désir. Je l’acceptais. J’étais là pour donner du plaisir. Je ne vivais plus que dans cette optique. Satisfaire des mâles était ma raison de vivre.

— Putain de trou de pute…

Mon père feulait. Ses doigts pinçaient mes tétons. Je sentais la douleur, associée au plaisir qui montait en moi. Je n’allais pas résister longtemps à ce traitement. J'ai fini par exploser. Je me suis senti défaillir. Mon père aurait pu se fâcher car l’ordre de jouir n’était pas venu de lui. Il continua ses mouvements encore quelques secondes puis jouit dans mon trou.

Nous nous remettions à peine de notre jouissance lorsque le téléphone sonna. Mon père décrocha:

— Oui, c’est moi! Ah oui, Antoine! Comment vas-tu? Il est libre, oui! Ok, je te le réserve pour ce soir. Il y aura du monde? Ah oui, tout de même!

Mon père a raccroché et s’est adressé à moi:

— Ce soir, tu auras des clients! Bon d'abord, nous allons aller t'acheter de quoi t'habiller décemment. Tu ne peux quand même pas te présenter à tes premiers clients dans cette tenue…

Je n’ai évidemment pas osé poser de question à mon père. J’ai compris qu’à partir de là, il allait monnayer mes services pour se faire un peu de fric.

Après nos achats, mon père m’a préparé comme une chienne: collier clouté, plug, ceinture... Nous nous sommes rendus dans un immeuble très chic où mon père s’est adressé au gardien pour qu’on nous annonce chez Monsieur Z. J’étais pétrifié de gêne devant cet homme qui ne semblait pas trop surpris de me voir ainsi harnaché (et à moitié nu). Monsieur Z devait recevoir beaucoup d’invités spéciaux comme moi. Le gardien a pris le téléphone et a appelé:

— Une visite pour vous, Monsieur Z! Oui, je les fais monter… Vous pouvez monter au cinquième! On vous attend…

Je crois que le gardien m’a fait un clin d’œil en se touchant la braguette. Mon père m’a tiré par la laisse jusqu’à l’ascenseur et nous sommes montés à l’étage indiqué. La porte du pallier était ouverte et nous sommes entrés. Dans le living, il devait y avoir une dizaine de mecs. Mon père m’a fait entrer.

— Installez la chienne sur la table! a dit une voix sévère.

Tous ces mecs me regardaient avec envie et l’un d’eux s’avança vers mon père pour lui demander quelque chose tout bas à l’oreille. Mon père a souri et répondu:

— Sans problème, Monsieur Z! C’est vous le client… Je viendrai la rechercher deux heures plus tard.

— C’est parfait! Finalement, nous serons une vingtaine… Une location normale risquait d’être juste… a conclu Monsieur Z.

Monsieur Z s’approcha de moi et me frotta son paquet gonflé contre le nez.

— On va te remplir par tous tes trous avec nos grosses bites bien dures. Sens-moi ça si c’est ferme!

J’ai poussé un grognement. Sans doute parce que j’étais horriblement angoissé et perdu au milieu de ce groupe de mâles excités et prêts à tout. Il m’a caressé la tête et je l’ai agitée en grognant à nouveau. Une main m’a immobilisé la nuque. J’avais mal. L’homme s’adressa à mon père:

— Votre chienne pousserait-elle des grognements de désapprobation? Dans ce cas, elle mériterait vraiment une bonne punition!

— Je le crains, Monsieur. J’essaie de bien la dresser mais vous connaissez les jeunes chiennes… Elles sont parfois rebelles! lui répondit mon père.

— Nous allons arranger ça! Laissez-nous… s'exclama l'homme.

— D’accord! répondit mon père vers qui je lançais un regard éploré.

Il ne me regarda même pas en partant. Un homme très viril au regard très vicieux s’avança vers Monsieur Z et lui dit:

— C’est une très belle salope que tu nous as trouvé là, Piotr!

— Vous allez pouvoir lui baiser tous les trous et vous satisfaire sans tarder. Il se pencha et me regarda droit dans les yeux:

— Nous avons très envie de toi depuis que tu es dans le «catalogue»! Chaque fois que je voyais ta photo, ça me faisait bander comme un âne. Là, maintenant, tu es là… offert à mes désirs… et à ceux de mes invités! C’est formidable de penser à tout ce qu’on va pouvoir te faire! En plus, je t’ai loué pour six heures…

J’ai frissonné. J’ai entendu que quelqu’un fermait une porte. J’étais prisonnier de ces hommes en rut. Plusieurs mecs m’avaient coincé contre la table basse et commençaient à me caresser sur tout le corps. Quand je dis caresser, c’était tout autant palper, pincer que malmener. Monsieur Z ordonna qu’on m’étende sur le dos et qu’on relève mes cuisses. Il s’installa à genoux entre mes cuisses et me lécha la rosette tout en me branlant avec ses doigts qu’il me mettait de temps en temps dans le cul.

— Souple mais toujours très serré! Le catalogue ne mentait pas… Une très belle chatte!

— Son Maître l’a bien rasée pour accueillir nos queues et elle mouille d’enfer...

— Sa bouche a l’air accueillante également...

— Oui, il paraît qu’elle suce comme une pro et elle aime tellement ça qu’elle avale tout.

Les commentaires fusaient autour de moi. Je n’étais qu’une «chose à plaisir» et les mecs s’agglutinaient pour en user et en abuser.

— Ralph, sors ta queue! Je veux la voir te sucer à fond. Ça me fait bander de la voir tailler une bonne pipe à mon meilleur ami! Allez vas-y, fourre-la de ce côté, je m’occupe de l’autre!

Le mec a ouvert son pantalon et libéré une queue déjà bien tendue. Elle n’était pas très longue mais épaisse avec un gros gland qui commençait à pointer. Un autre mâle l’a prise en main et a commencé à la branler doucement au-dessus de mon visage. On m’a enlevé mon bâillon et j’ai dégluti en voyant le gland qui grossissait à vue d’œil. Le mec avait de grosses couilles bien pleines qui se balançaient en frôlant mes yeux.

— Lèche les couilles pour commencer! me dit-il.

J’ai hésité.

— Lèche! Vite! Ou c’est la punition assurée…

J’ai obéi.

— Alors, Ralph, elle est douce la langue de ma chienne?

— Très douce… habile…

J’ai pris mon travail à cœur, redoutant une punition comme celles que mon père m’imposait en cas de rébellion. J’ai léché et sucé les couilles du mec. Du côté de mon cul, je sentais un gland qui frottait la raie. J’allais me faire trouer…

— Putain, Piotr! C’est une vraie salope! Elle me fait tellement bander que je crois que je vais tout lui envoyer dans la figure.

— Retiens-toi… On va lui baiser les deux extrémités en même temps… Elle va te pomper le gland. Allez, salope, enfourne ce beau morceau.

J’ai ouvert la bouche et j’ai aspiré le gland. Je me suis mis au pompage et le mec gémissait de plaisir en me tenant par les cheveux. L’engin grossissait encore dans ma bouche et m’étouffait presque. Je prenais son gland entre mes lèvres, le faisais ressortir pour lui lécher ses grosses couilles bien dures. Il se cabra assez rapidement et, n’en pouvant plus, m’envoya de longs jets de sperme au fond de la gorge. Il avait joui avec puissance et abondance. J’étais gluant de sperme.

— Putain de merde, cette salope m’a vidé les couilles comme jamais. C’est super bandant de se faire pomper au milieu de ses potes excités. À vous, les gars! Moi, faut que je recharge mes batteries…

Un mec qui devait avoir 60 berges mais qui était bien conservé le remplaça.

— Tu lui as envoyé une sacré dose, Ralph! Il est recouvert de ta chantilly!

Les mecs se marrèrent. L’hôte arrêta de jouer avec son gland dans ma raie et m’ordonna d’écarter les cuisses.

— Écartez-les lui à fond! dit-il en se débarrassant de son pantalon.

Il mit à l’air sa grosse queue bien gonflée et vint se planter entre mes jambes. Il me prit les chevilles et planta son sexe bien dur dans ma rosette lubrifiée de salive. Celle-ci s’ouvrit sous la poussée et j’ai poussé un petit cri.

— Une chienne qui miaule! ironisa un invité. Normal! C’est une chienne avec une chatte…

Petits rires. Monsieur Z entrait et sortait de mon cul. Sa tige forçait mes chairs intimes sans ménagements et je sentais cette chose énorme qui me ramonait le trou. Il buta au fond de mon cul et puis se mit à me pistonner sans faiblir. Je me mis à gémir.

— Elle prend bien, la salope! Elle couine mais elle avale. Elle est vraiment bandante avec sa petite chatte rasée qui me serre bien la queue…

— Bourre-la, Piotr! Nique la chienne comme elle le mérite!

— Elle te plaît cette queue?

Comme je ne répondais pas, un mec m’a foutu une baffe et a posé à nouveau la question:

— Elle te plaît cette queue?

— Oui.

— Pourquoi elle te plaît?

— Elle… elle est bien grosse!

— Exactement! Tiens prends-la et donne-moi tes tétons, je vais te les faire grossir.

Piotr me limait tout en roulant les pointes de mes seins entre ses doigts. Il les pinçait à me faire mal et je faisais une horrible grimace en essayant de réprimer un cri de douleur.

— Une bite dans sa gueule! Tout de suite! ordonna-t-il.

Le mec de 60 ans enfonça sa bite très longue dans ma gorge. Il prit le relais et se mit à pincer, tirer mes tétons qui durcissaient sous ses doigts. Je me laissais aller à cette baise bestiale et mon corps se mit à jouir de toutes ces caresses… Oui, je m’abandonnais complètement en gémissant comme une chienne pendant qu’on me baisait par les deux trous et qu’autour de moi des mecs se branlaient en m’injuriant.

Mon baiseur sortit de ma chatte. Il écarta bien mes cuisses et demanda à un de ses amis de me la bouffer. Celui-ci se mit à me lécher le fion boursouflé et sa langue me fouilla profondément. Je jouissais comme une bête au milieu de tous ces mecs bien montés qui allaient bien profiter de mon corps. La tête entre mes cuisses, le «rimeur» me bouffait le trou. Je voyais des bites dressées qui attendaient leur tour. Elles se touchaient, me frôlaient, frappaient mon corps et jouissaient parfois sur mon visage.

Le temps passa très vite et lorsque tout le monde eut joui deux ou trois fois, Monsieur Z me livra au gardien de l’immeuble. Il bandait comme un âne. Il me refit un clin d’œil. Sa queue était bien longue et épaisse. Il la planta dans mon cul bien élastique et lima. Il se retira vite puis y replongea. Il recommença ce petit jeu plusieurs fois, encouragé par les autres mecs.

— Mammoud, baise lui la gueule maintenant!

Le gardien changea de côté. Il posa son gland sur mon visage avant de le glisser entre mes lèvres et l’enfonça au fond de la gorge. Il me tenait par les cheveux. L’engin, déjà énorme, grossissait entre mes lèvres et j’avais du mal à le sucer complètement. Monsieur Z se planta à nouveau dans mon cul. Pour la quinzième fois ou seizième fois, j’étais pris en sandwich. J’entendais soupirer le gardien d’aise et m’encourager à bien le pomper alors que j’avais mon arrière train rempli par le patron.

— Cette pute est vraiment faite pour baiser. Je pense que je vais la «louer» plus souvent… Elle a des trous si accueillants… conclua Monsieur Z.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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