Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Il est 2 heures du matin, je décide donc de me poser tranquillement sur le canapé avec une bière bien pénard. La mission de ma salope est de me faire jouir. Jamais un mec a réussi de ses mains ou de sa bouche à me faire juter. Alors on va voir si mon T. aura la mâchoire assez endurante pour me faire juter. Je suis posé et ma salope est à 4 pattes devant moi, il commence un bouffage de couilles en règle pour me redonner la gaule. Ce qu'il réussit à faire en quelques secondes, puis je lui colle ma queue dans la bouche...Je lui envoie quelques mollards parfois, pour bien l'encourager. Il mettra environ 30 minutes à me faire monter le jus ! J'imagine pas comme il a du souffrir, mais c'est le rôle des putes.
Et là, je sens que le jus commence à monter dans ma teub. Je lui hurle d'arrêter, je me mets debout, et commence à bien branler ma queue au dessus de sa langue tirée au maximum...Et dans un râle de plaisir, je lui lâche dix bons jets de foutre bien chaud dans sa face de connard...Je crois qu'il a tout bouffé, il s'est même léché le coin des lèvres. Je prends dans mes doigts le reste de foutre qui lui reste sur le visage et lui fait bouffer. Il avale tout ! C'est incroyable. Il est désormais 3 heures passées, faut qu'on dorme un peu. Que ma salope se repose avant demain ! Il ne sait pas encore ce que je lui ai réservé avant son départ à 9h46 mais je suis certain qu'il allait aimer ! Je le conduis donc dans ma chambre, on se mit sur le lit, je lui ai dit qu'il avait le droit de juter sur ma teub, il mit à peine 2 minutes à bander et à jouir ! Je lui ai alors dit que son oreiller était prêt, et qu'il devait biberonner toute la nuit. Il dormira ma teub dans sa bouche, et n'a plutôt pas intérêt à lâcher le morceau.
J'avais mis mon réveil à 7 heures du mat', ça fait peu de sommeil mais c'est pas grave. C'est pas tous les jours que je reçois T. quand même ! J'ai ris en me réveillant lorsque je retrouvai mon p'tit mâle avec son no-nos dans la bouche comme si sa vie en dépendait. J'ai adoré ! Le réveil l'a même pas éveillé, je décidai donc de choisir une solution un peu plus gore. Comme tous les matins, j'avais envie de pisser, et quoi de mieux que de pisser dans un chiottes ? C'est donc tout en douceur que je commençai à pisser et l'effet voulu fut immédiat ! Ma salope fut réveillée direct et faisait le dégouté à limite recraché ma pisse ! L'enculé ! Je me forçai donc à arrêter de pisser et de le foutre sur le dos ! Je plaçai ensuite ma queue dans sa bouche. « Je voulais juste te réveiller de manière originale, mais puisque tu as l'air de ne pas aimer ça, tu vas tout boire ce que je vais te donner ! » Il but toute ma pisse du matin, bien jaunâtre, bien puante. Après cela, on se lève tranquille. On a un rendez vous dans 30 minutes dans des chiottes publics, mais mon esclave ne le sait pas encore. Il pense juste qu'on va se balader avant son train. Il va pas être déçu !
Je lui roulais quelques pèles, puis on alla dans ma caisse et direction mes chiottes publics favoris ! Pourquoi favoris ? Parce que ce sont des chiottes plutôt immenses et qu'on peut fermer à clef. Vous imaginez pas le nombre de plans que j'ai fait dans ses chiottes, et le nombre de jeunes puceaux que j'ai fait hurler ! Cet endroit était à 5 minutes à pieds de la gare, on pose la caisse et on arrive à 8h30 dans les chiottes. Juste à l'heure que je leur avais dit de rappliquer ! Eux ? C'est 2 potes bon quetards, que je connais depuis plusieurs années. Le premier c'est un rebeu, avec une bonne queue bien large et surtout une putain d'odeur de couilles qui me fait monter aux rideaux à chaque fois. Le second, c'est un pote de baise régulier. Je leur ai dit que j'avais une pute à mes ordres, ils ont tout de suite dit O.K. Voilà le plan que j'avais imaginer : mes potes seraient là quand on arrive moi et ma pute, et là on se fait un putain de concours de mollards sur cette salope pour savoir qui l'enculera en premier. Le seul hic : il nous reste qu'une heure ! Alors faudra faire vite.
On arrive donc dans les chiottes, je ferme à clef, qu'on soient pas dérangés, je dis à mon petit bâtard de se positionner à torse poil à genoux contre le mur. On se place alors à environ 3 mètres de mon esclave ! Le jeu est simple : il ouvre grand la gueule et on crache un bon gros mollard à tour de rôle jusqu'à ce qu'un des mecs vise au fond de sa gorge. On commence donc, au bout d'une trentaine de mollards lâchés, c'est Karim qui lui vise au fond de sa gorge. C'est donc à lui que revient l'honneur d'enculer T. en premier. Il lui fait baisser son fût et commence à lui fourrer quelques doigts. Il lui bourre en même temps sa queue dans la gueule afin qu'il bande un max avant de l'enculer. De mon côté, je me fais bouffer la teub par Antoine parce que nous aussi on compte bien se farcir le cul de la pute ! On est dérangé par un bon gros couinement. C'était mon esclave qui se prenait les 20cm de Karim à sec. Il la sentait passé ! Mais je suis sûr qu'il adorait ça. On lui a ensuite rempli tous les trous, Antoine se faisait sucer par ce four à queue et il me suçait en même temps ! S'en est ensuite suivi une double pénétration sur cette salope qui couinait pire qu'une truie ! Ça ne dura pas très longtemps vu que sa bouche était remplie par la 3ème queue encore inoccupée. On changea une ou deux fois de rôles, que nous puissions gouter à tous les trous de cette salope ! On l'a ensuite noyé dans la jute ! Pour un baptême, c'était un baptême ! Il a tout avalé jusqu'à la dernière goutte...C'est limite si il en redemandait pas !
Après avoir remercié mes deux potes, on a pris la route de la gare, on arriva même sur les quais dix minutes à l'avance. C'est à cet instant que j'eus une idée ! Je pris mon T. par le bras et me dirigeai vers le hall afin d'acheter un billet de train pour le weekend end suivant. Sur un même format, de vendredi soir 20h33 au samedi matin 9h56. Sauf que cette fois ci, je monte de Besançon à Paris.
— Tu vois ma salope, c'est un billet pour Paris la semaine prochaine. Étant donné ton potentiel d'esclave, j'ai envie que tu me domines ! Tu auras environ 11 heures pour faire de moi ce que tu veux ! Compris ?
Et je lui collai une baffe dans la gueule. Il a juste approuvé de la tête mes paroles et me roula la plus grosse galoche du siècle.
trés bandante cette histoire de pisse,j'attendais une baise naturelle et tendre mais là !!! tu m'as surpris ! j'ai vraiment aimer ta façon de la raconter,...j'ai lu la première phrase puis la deuxième ...etc jusqu'au fin en imaginant la scène ,moi,qui n'aimais pas trop la lecture !!!
merci pour cet instant merveilleux.
said du maroc..
Un jeune latino est fait prisonnier dans la jungle et conduit dans un camp militaire où on lui retire ses vêtements pour le ligoter. Ses deux ravisseurs profitent de l’occasion pour se servir de leurs queues et lui remplir les trous. Une scène de presque 25 minutes intitulée » Military abuse « .
Je vais vous raconter comment j'ai transformé mon meilleur ami soit-disant hétéro en vraie pute... Attention, cette histoire est rigoureusement vraie et j'invite ceux qu'elle aura fait bander à me contacter par e-mail et je leur prouverais par l'image la transformation de mon pote en salope...
Il a 27 ans, il s'appelle S... et je le connais depuis huit ans. Je me suis tout de suite intéressé à lui car c'est un beau mec, imberbe à l'allure de petite frappe, la peau douce, le corps lisse et finement musclé. Dès qu'on s'est rencontré, il s'est pris d'amitié pour moi et je ne lui ai pas caché que je le trouvais hyper-sympa mais qu'en plus il me faisait bander. Pendant 5 ans, je le voyais presque tous les jours mais il ne s'est jamais rien passé entre nous pourtant c'était pas faute d'essayer! Mais petit à petit je sentais chez lui une forme d'exhibitionnisme soumis, un plaisir à me montrer son corps de jeune voyou que je réussissais à le convaincre de poser pour moi, les premières fois à torse nu, puis complètement nu, il y a de ça environ 3 ans.
Plus je le connaissais plus je sentais en lui la salope inassouvie. Nous n'avions toujours pas de rapports sexuels mais je savais qu'il possédait en lui le désir de se soumettre à l'homme bien que ce soit un tombeur de gonzesses impressionnant. Peu à peu, je modifiais mon langage en lui parlant, le traitant souvent de salope qui allait se faire mettre un jour etc. et parallèlement, il acceptait de faire des photos de plus en plus osées, se coupant les poils de plus en plus courts à ma demande, puis se rasant entièrement cul compris... J'ai maintenant plus de 500 photos témoignant de la transformation d'un jeune hétéro en salope soumise aux mâles.
Et il y a environ 3 mois, je lui ai fait savoir en termes extrêmement crus que je n'allais pas lui demander son avis pour lui faire vivre son baptême de queues, qu'il était une salope qui m'excitait depuis 8 ans et qu'il allait me payer au centuple ma frustration. Ça le faisait rire, souvent il se caressait le cul en me disant: "T'aimerais bien me défoncer le trou, hein?" Et il éclatait de rire... Je lui dis alors: "OK un de ces jours je te fais ta fête à plusieurs, mais tu vas en baver salope!" Il m'a regardé, s'est massé la bite à travers le pantalon et m'a dit avec un grand sourire enjôleur: "Chiche!" Là j'ai su que j'avais quartier libre!
Il y a deux mois, l'heure de lui révéler son tempérament de salope soumise avait sonné. Nous avions loué un chalet à la montagne pour y passer une semaine de détente. Durant les semaines qui ont précédé ces vacances, j'ai fait la tournée des bars gays SM avec une photo de ma pute le cul bien rasé et exposé afin de recruter trois mecs qui auraient envie de se défouler une nuit entière sur lui. J'ai pas eu de peine à trouver, la simple vue d'une photo de mon pote excitant déjà au plus au point la plupart des mecs.
Les vacances venues, j'ai prétexté un rendez-vous afin que S monte seul au chalet. Il ne se doutait pas que le lendemain il ne serait plus qu'une chienne... qu'il rêvait d'être, je le savais! Le soir venu nous sommes partis à quatre dans ma voiture afin de rejoindre mon pote et de lui faire sa fête. Les mecs étaient hyper-excités, j'adorais ça. Nous sommes arrivés devant le chalet, je le voyais par la fenêtre...
Et voilà le récit de la nuit....
Je rentre, je t'entends qui monte les escaliers. "C'est qui ces mecs?" Je sens dans ton expression et le ton de ta question que t'as déjà compris! Ma réponse fuse: "C'est des potes à moi qui vont t'en faire baver un max. Hé petite pute tu croyais que je plaisantais ces derniers temps?" Je vois que t'as peur, ça m'excite. D'un seul coup, tu fonces au bas des escaliers. Un des mecs te poursuit, te saisit sans ménagement par les cheveux, tire en arrière, tu tombes à genoux. "Calme, petite pute, tu vas te faire du mal..."
Tu cries un peu, t'essayes de te débattre. J'adore t'entendre gémir, j'en rêve depuis si longtemps. Le mec qui te tient toujours solidement par les cheveux s'agenouille derrière toi, te passe la main sous le menton et te renverse la tête en arrière. "Viens là ma chienne montre ma ta gueule de salope de près." Il te renifle la nuque, te lèches les joues, te passe ses gros doigts sur tes lèvres pulpeuses de petite pute. Ça fait deux minutes qu'ils sont là et tu es déjà à notre merci, je bande comme un cerf.
Il se relève, te traîne par les cheveux au salon. Tu suis tant bien que mal à quatre pattes. Il te redresse contre une poutre du chalet, te forces à lever les bras et te menotte les poignets derrière la poutre. "D'abord on va te travailler ta gueule de slave." Il s'approche, d'une main saisit tes cheveux et de l'autre te pince les joues: "Vas-y ouvre, ouvre cette petite gueule." Tu fais signe que non de la tête. La baffe tombe instantanément. Je vois tes larmes gicler, ça me fait bander. Le mec se place derrière toi, te place un doigt dans chaque narine et tire vers le haut. "Alors cette gueule, tu vas l'ouvrir?" Tu gémis et petit à petit ta bouche s'ouvre... Un autre des mecs te rentre directement trois doigts au fond de la gorge, tu suffoques. Il t'attrape la langue et tire. Le troisième te saisit les deux oreilles et les tords d'un coup sec. Te voir te faire pareillement humilier et travailler la gueule me rend fou. Je bande comme un cerf. Un des mecs se tourne vers moi: "Il a déjà bouffé de la queue?" Je réponds par la négative. "Alors à toi l'honneur!" Je me fais pas prier.
T'es là offert, les oreilles tordues, la gueule grande ouverte. Je sors ma queue et je rentre d'un coup à l'intérieur jusqu'au fond. Tu suffoques. Ils te relâchent un peu et je commence à te limer la gueule à fond. "Enfin ma petite pute depuis le temps que j'attendais ça!" Je regarde tes yeux de chien mouillés par les larmes, je t'écrase ma bite au fond de la gorge, puis je la ressors, te saisis par les oreilles et te la frotte y compris les couilles partout sur ta gueule de salope. "Hein c'est ça que tu voulais, tiens profites!" Puis je bloque ta tête en te tenant par le menton et je te jute dessus un bon sperme bien épais partout sur tes yeux, ton menton, tes oreilles et même dans les cheveux. Je me retire. Je te regarde. Tu pleures doucement mais je vois une bosse sur ton jeans... Je savais que t'étais une chienne.
"Bon c'est pas tout ça, on a encore un sacré boulot pour transformer cette pute en vraie carpette." Les trois mecs s'avancent vers toi. Ils ont leur engin dehors et te giflent la gueule avec, te la passent dans les cheveux, tentent de se mettre à deux dans ta bouche, bref ils te baisent la gueule à fond comme un cul. "Dis que t'es une pute!" L'un t'as saisi par les cheveux "Allez! Dis à voix haute que tu es une pute!" Je vois dans tes yeux que tu voudrais résister mais.. Il te tient toujours les cheveux, tu es toujours à genoux, les mains au-dessus de la tête, les poignets menottés derrière la tête, ton torse offert. D'un seul coup il t'arrache le t-shirt, ton splendide poitrail apparaît, lisse, finement musclé, superbe (vous en aurez la preuve en photo). Il pousse un sifflement d'admiration. "Putain quel beau poitrail de slave." Un autre s'approche, te saisit les deux pecs à pleines mains et les tords d'un coup. Tu hurles. L'autre continue: "Dis que t'es une pute!" Du coup l'autre te saisit le bout des seins, les allongent indéfiniment puis les fait rouler sous ses doigts. On entend un faible: "J'suis une pute." "Plus fort!" Une baffe part et la tu hurles: "Je suis une pute!" Je vois ton renflement gonfler d'un coup. Enfin tu l'as sorti. Tu reconnais ta condition et ça te fait bander. "OK salope, alors on va te montrer comment on traite les putes..."
Je me recule, je te regarde les seins déjà rougis par le bref traitement qui leur a été administré, le visage gluant de mon sperme encore frais, t'es beau! "Ok on va tout de suite le mater pour qu'il sache bien où est sa place." Je regarde la scène, m'abstenant d'intervenir. Les trois mecs se déshabillent complètement, ils bandent tous à mort. Eux ils ne me font pas triquer, mais le fait qu'ils en veuillent à ma pute me rend dingue! Ils s'approchent de toi, toujours à torse nu et t'enlèvent les menottes. Tu tentes de te relever mais un balayage de jambes te fait rouler sur le tapis et là, ils se jettent sur toi. T'es plus qu'un bout de viande qu'ils se disputent. L'un te force à te mettre sur le dos, te saisit la gueule et te pose méthodiquement son gros cul sur ta petite gueule tout en immobilisant tes épaules en posant ses genoux sur chacune d'elles. Je me dis que tu as vraiment la bouche dans un cul, je t'entends gémir.
Pendant ce temps, les deux autres te saisissent chacun une jambe afin de t'empêcher de gigoter. Tu es complètement immobilisé. "Hé! À toi l'honneur de nous faire découvrir la bite de ta chienne." Je m'avance, prends mon temps, m'agenouille et entreprends te déboucler ta ceinture puis un à un les boutons de ton 501 sautent. Tu gémis plus fort, tentes de bouger, tu sais que tu es bientôt définitivement offert. Ton short apparaît et d'un seul coup j'empoigne le jeans et les shorts et les descends jusqu'au genoux. Ta bite que je connais, gicle, mate, pas spécialement grosse mais si douce et prête à être durement maltraitée. Tu bandes à moitié. Les trois autres se ruent dessus, l'attrapent, la tordent, la tirent, celui qui est sur ta gueule transpire à grosses gouttes, te tirent les couilles jusqu'au milieu du ventre "Alors salope, c'est quoi ces poils, comment tu oses?" C'est vrai que tu es imberbe sur tout le corps mais tu as une bonne toison quand même.
Il s'excite, te frotte son cul de plus en plus fort sur la gueule, ton corps musclé s'agite de plus en plus pour tenter de se dégager. "Ok M, tire lui la bite au max vers le bas, on va lui montrer ce qu'on fait des poils des slaves!" Le mec se fait pas prier t'attrapes la bite et la tire à te l'arracher en direction des genoux. Ta toison pubienne est complètement dégagée. Celui qui est sur toi l'empoigne de son énorme main et, j'en crois pas mes yeux, te l'arrache à la force du poignet. Tu pousses un hurlement de douleur, ton corps se cambre et en trois secondes ton sexe a perdu les trois quarts de ses poils. Mais ta bite d'un coup durcit, je comprends qu'on est toujours sur le bon chemin.
Celui qui est sur ta gueule se relève, tes poils dans la main, t'empoigne la gueule et te force à ouvrir ta bouche de pute en serrant un max chaque mâchoire. D'un coup il enfouit ta propre touffe de poils dans le fond de ta gorge: "Tiens! Avale! Mange ça salope, ç'est les derniers poils de ta vie..." Tu te débats, suffoques, mais je te vois péniblement déglutir. Pendant ce temps, les deux autres t'ont retiré complètement ton pantalon, et entreprennent de terminer le travail en arrachant les poils restant touffes par touffes tout en te fessant vigoureusement tes petites fesses de pute qui elles n'ont pas un poil. Tu bandes de plus en plus fort, ça me rassure...
L'histoire de cette nuit est encore longue, si elle vous plaît, je vous invite à me contacter et je vous prouverais par des photos bandantes et sans équivoque que cette jeune salope existe vraiment. Et croyez moi vous ne serez pas décus car ce mec fait bander un max de monde.
Je tiens à préciser que nous avons une complicité de tous les instants et que la nuit que je vous raconte n'était destinée qu'à lui révéler à lui-même ce que j'avais perçu depuis longtemps. J'avais mis des règles extrêmement précises pour le déroulement de la soirée et si j'avais le moindre doute je stoppais tout. Je respecte et j'aime trop ce mec pour risquer de lui faire du mal. Mais depuis deux mois nous vivons un vrai rêve me prouvant que je me suis pas trompé. C'est un effet un vrai slave!
Je continuerais mon récit prochainement.
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