Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Juin 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Les adeptes du blog reconnaitront immédiatement ce mec viril en train de branler son gros calibre dans la salle de musculation. Il s’agit évidemment d’ Igor, célèbre acteur du studio Machofucker. Une teub dure et épaisse qu’il fait puissamment cracher.
Là, ça devient du sérieux, je vois que tu commences à vraiment t'énerver, tu mords les doigts du mec qui t'enfourne tes poils dans la gueule. T'aurais jamais dû... Il voit rouge, t'attrape solidement par les cheveux et t'envoie deux baffes en croix: "Sale petite pute, je vais te mater!" Il te retourne comme une crêpe, te mets sur le ventre. Tu es maintenant complètement nu excepté une paire de chaussettes qui te donne un air encore plus humilié. Chacun t'attrape un bras et te le remonte sèchement dans le dos. M dit au troisième: "Attrape-lui sa petite bite de puceau par derrière et tords-la de toutes tes forces, on va lui montrer à cette salope!" Il glisse sa main sous ton ventre et sans ménagement fait apparaître ta bite entre tes fesses et il t'empoigne le paquet entier quasi-imberbe maintenant et tord comme un salaud. Tu hurles, ça devient violet. Je bande!
Et pendant ce temps les deux autres te remontent lentement les bras dans le dos. Je vois ton corps musclé qui se cambre sous la douleur. M te tient fermement par la nuque de sa main droite, tu as le visage aplati contre terre, je me déplace pour ne rien perdre du masque de ta souffrance. Il te crache sur les joues et étale sa salive avec sa pine. "Alors tu demandes pardon petite lope?" Celui qui te tire la bite entreprend de te baffer les fesses et tape de plus en plus fort. "Alors?" Ils remontent encore un peu tes bras le long de ton dos. Là, tu t'effondres en pleurs. M a pratiquement sa main entière à l'intérieur de ta bouche. J'ai jamais vu un mec humilié comme ça... Il ressort sa main. "Ok maintenant tu dis que tu es notre chienne qui demande pardon d'avoir mordu un de ses maîtres et qui veut se faire utiliser comme un tas de viande." Je me dis que c'est pas gagné d'avance mais deux trois torsions de poignets et de bites plus tard, tu prononces la phrase à la virgule près.
"Ok on va le préparer pour bien le travailler." Ils te remettent les menottes dans le dos et me demandent ou se trouve la salle de bain. Je le leur indique. M t'empoigne par les cheveux et te tire: "Rampe salope, on va te nettoyer jusqu'à ton dernier poil!" Tu rampes, les mains dans le dos, en te poussant avec les pieds, la gueule raclant le sol. L'un des deux autres te fouette tes petites fesses de salope avec sa ceinture. Tu gémis à chaque coup mais tu continues d'avancer.
On est dans la salle de bain. On t'enlève les menottes. Tu essayes de te redresser. Un des mecs te saisit par la taille, te soulève du sol et te bascule dans la baignoire. On t'enlève tes chaussettes, ton dernier habit. "Sur le dos pute!" Tu tentes de ressortir de la baignoire. "Ok salope, on va encore devoir t'apprendre à vivre." M s'installe à son tour dans la baignoire, te retourne sans ménagement sur le dos, le deuxième te saisit les poignets et te tire les bras en arrière de toutes ses forces. M est à califourchon sur ton torse. "Passe moi le pommeau de touche!" Je le lui tends, curieux de l'usage qu'il va en faire. "Ouvre la bouche espèce de pute!" Tu tentes de résister, il force le passage, t'as le pommeau en entier dans la gueule. "Vas-y ouvre!" Le troisième tourne brusquement le robinet d'eau froide. Ton corps se tend, tu suffoques. Je me dis qu'ils exagèrent mais de te voir paniquer me fait encore plus bander.
M rentre et sort le pommeau de ta bouche, tu te tords pour tenter d'éviter les flots d'eau qui te remplissent la gueule. Maintenant, il te douche le visage, les cheveux, la gueule, le nez, dans les oreilles tout en te pétrissant la gueule. "On va la rendre bien docile cette petite chienne." Le troisième t'a à nouveau saisi la bite et la tord à nouveau conmme un malade. Tu hurles comme un putois. On arrête l'eau. T'es trempé. "Ok rasage!"
On te tire hors du bain, je sens ton corps plus docile, je me dis que le dressage commence à se faire sentir. On te couche à même le carrelage. M pose encore une fois son gros cul sur ta gueule, tu essaies de détourner la tête mais il te la replace, de manière à ce que tu aies vraiment la bouche collée à son anus. Je trique comme une bête de me dire qu'il y à encore quelques heures, tu n'avais jamais eu le moindre contact avec un mec et que là tu as ta petite gueule de pute écrasée par un cul de mâle prêt à te transformer en chair à pâtée. Je veux finir ton épilation moi-même, j'en ai tellement rêvé.
Je t'étales un peu de crème sur le pubis, les couilles et dans ta raie. Tu n'as déjà presque plus de poils, arrachés il y a quelques minutes. Je prends mon temps, cours sur ton pubis avec le rasoir, ta peau lisse, blanche et douce apparaît dans toute sa splendeur. Je tire bien sur tes couilles pour ne pas te blesser et pour ne pas laisser le moindre poil. "Ok le cul maintenant." M qui est toujours sur ta gueule, face à ta bite, s'excite un max, t'empoigne le paquet et le remonte d'un coup sec en direction du nombril. Il se frotte la raie sur ta gueule à s'irriter le cul. Les deux autres t'empoignent chacun une jambe et les remontent également en direction de la tête. Ton trou du cul apparaît, splendide, offert comme je le rêve depuis des années.
Je ne peux m'empêcher de te fesser vigoureusement avant d'entamer le rasage de ton trou puis je me mets au travail, je t'entends hurler de douleur car M te tire sur la bite à te l'arracher. Nous sommes les quatre chauds comme des bêtes à te voir ainsi maltraité et impudiquement offert. Je termine le boulot. "Voilà la salope est prête, on peut commencer le boulot." M se soulève de ta gueule, se retourne, te tords les oreilles et gueule. "Vas-y, ouvre espèce de grosse pute, avale ma queue, lèche!" Il est comme fou, il t'enfourne sa grosse queue dans la bouche, te défonce complètement la gueule, tu es prêt de vomir, ta bouche fait un bruit de cul, tu es rouge, les larmes giclent. Je n'en perds pas une miette.
Pendant ce temps les deux autres s'acharnent sur ton corps maintenant lisse. Ils te tordent les seins, te pincent ton pubis tout blanc et tordent la peau jusqu'au rouge écarlate, ils te frappent le torse, le ventre. Tu tentes de bander les muscles pour atténuer les coups. M te défonce toujours la gueule. Ils hurlent. "T'es bonne salope, t'es fait pour ça, t'es de la viande à mâle, sale pute!" Moi je regarde, je laisse faire, je sais que tu te soumets peu à peu, résigné à ta condition de slave. M te ravage maintenant le visage avec sa bite. L'un t'a soulevé les fesses et l'autre entreprend de te mordre l'anus, Tu hurles de plus en plus fort, les coups pleuvent. Les deux te bouffent littéralement le cul, mordant à pleines dents dans tes fesses, tes couilles, ta bite et ton pubis. J'entends M râler de satisfaction. "Tiens, prends pute!" Je regarde. Ton beau visage est inondé de sperme épais, il te l'étale sur toute la surface de ta gueule, introduit ses gros doigts dans ta bouche pour te le faire avaler.
Pendant ce temps, les deux autres deviennent fous sur ton cul. Ils tirent sur tes fesses pour te dégager le trou "Regarde cette pute le trou serré qu'il a, on va le travailler et lui éclater son fion, en faire un vrai trou à bites!" M s'est relevé, tu fais mine de tenter de te relever également, il t'administre deux gifles en croix. "À terre salope!" Ton regard a changé, la soumission s'installe peu à peu. Les deux autres se branlent frénétiquement sur ton corps musclé. L'un jute sur ton poitrail, étale son sperme et l'autre vient par grandes giclées sur ta bite lisse et blanche de jeune salope. On se redresse, on te regarde couvert de sperme, tu pleures doucement, on rigole...
"Ok maintenant on va lui ouvrir le cul jusqu'à ce qu'il ait une chatte à la place du trou! Tu veux te relever?" M t'écrase ses docs sur la gueule. "Calme ma chienne, calme..."
La suite bientôt...
M te retourne sèchement sur le ventre et te remets les menottes. Il s'adresse à moi: "Trouve-moi un bon lit où on peut attacher solidement cette pute pour lui éclater tranquillement le cul." Je l'emmène dans une des chambres du chalet dotée d'un lit en fer à barreaux de 1m60 sur 2. Il te porte nu sur son épaule comme un vulgaire bétail de boucherie, un des deux autres ne peut s'empêcher de te tirer les cheveux et de te mettre les doigts dans la bouche pendant qu'on monte l'escalier. Il te lâche sur le lit comme un sac. "Parfait, on va pouvoir faire ça dans les règles de l'art!" dit M. Je me réjouis de connaître "ses" règles de l'art!
Il me demande d'aller chercher tes Docs et une paire de chaussette. Quand je reviens tu as un superbe collier de chien bien large autour du cou. Il me demande de t'enfiler les chaussettes et les Docs. Tu te débats un peu. L'un des deux autres se jette sur ta pine, te la tords à te l'arracher. Tu hurles de douleur. "Tu vas définitivement te calmer sale pute sinon on va réellement devoir te corriger." Tu sanglotes, la bite distendue mais tu ne bouges plus. Je t'enfile tes chaussures. "Voilà regardez moi cette graine de lope, le vrai look de salope qu'elle se trimbale." C'est vrai que tu es superbement bandant avec ton collier et tes chaussures. Par ces simples accessoires, tout ton corps musclé est mis en valeur et ta bite douce et rasée paraît prête aux pires maltraitances.
M t'enlève à nouveau les menottes. "Ok descends du lit, fous-toi à quatre pattes et montre-nous bien ton cul salope!" Tu ne bouges pas. M pète les plombs, il t'attrape par les deux oreilles, te tire au bas du lit, te fait rouler sur le sol. "À partir de maintenant tu es une larve qui obéit chaque fois que moi ou ton copain te donnont un ordre, c'est clair salope?" Tu réponds "oui" dans un hoquet. "Je vais te corriger pour te montrer que je ne plaisante pas." J'ai un peu peur qu'il te fasse trop mal mais je laisse faire, curieux.
Il te met sur le ventre, demande à un de ses potes de s'asseoir sur ton dos pour bien te plaquer à terre, les mains ramenées dans le dos, il nous demande de prendre chacun une de tes jambes et de les écarter. Tu es maintenant complétement immobilisé face contre terre, écartelé. Il glisse une main sous ton ventre et ramène ta bite et tes couilles entre tes fesses. Puis debout, il entreprend de t'écraser lentement, méthodiquement, la bite sous ses Docs. "Alors petite pute tu comprends qui est le maître?" Tu hurles de douleur. J'ai honte mais je bande de te voir ainsi supplicié. Il fait maintenant rouler ta queue sous ses chaussures en te traitant de chienne, de larve, de lope enfin tout ce qui lui passe par la tête. Puis il commence à t'écraser tout le paquet y compris les couilles. Tu couines comme un cochon qu'on égorge. Là pour la première fois, je lui fais signe de retirer son pied, je ne veux pas que tu t'évanouisses. Il le fait sans discussion. "T'es une carpette, mon essuie-pompes, salope!" Il s'essuie frénétiquement ses grosses chaussures sur tes fesses, si belles, si douces qui rougissent du traitement infligé.
"Ok slave, maintenant tu te mets à quatre pattes et tu cambres bien ton cul de chienne qu'on voie ton trou." On se retire. Lentement tu te mets à quatre pattes en pleurant. M te met une monstrueuse claque sur les fesses. "Cambre pute, écarte mieux!" Fasciné je te vois peu à peu cambrer le cul et écarter les jambes au maximum. Tu deviens une lope, j'adore... "Vas-y écarte tes fesses de larve avec les mains qu'on voie bien ton trou du cul." Tu t'exécutes sans broncher. M se déchaîne: "Maintenant dis que t'es qu'une salope qui veut qu'on lui travaille le cul à le faire péter!" Rien ne sort... Il se met devant toi, te relève brusquement la tête, t'empoigne par la machoîre t'envoies une baffe et te craches en plein milieu de la gueule. "Dis-le petite pute!" Il étale sa salive sur ta gueule, dans les cheveux. Il t'empoigne à nouveau les oreilles, tord, tord... "Alors?" Tu hurles: "Je suis une salope qui veut se faire travailler le cul à le faire péter!" "Eh bien voilà, tu vois quand tu y mets du tien, tout va bien!" dit M visiblement pas peu fier du travail déjà accompli... "Ok les mecs, on lui défonce le cul."
Il t'as déjà empoigné et lancé sur le lit: "Tenez-le pendant que je sors le matos..." On t'immobilise sur le lit. Il ouvre un grand sac et en sort de longs bouts de tissus. "On va le mettre en position pour lui écarteler le cul tranquillement." On t'attrape un bras et t'attache solidement le poignet à un des barreaux tout à l'extrémité gauche du lit puis le deuxième à l'extrémité droite. Puis on te noue un gros bout de tissu à chaque tibia et te ramène les jambes au maximum par dessus ton torse et les attache également à chaque exrémité, gauche et droite, du lit à hauteur des poignets.
Je me recule, la vision est spendide, on ne voit que tes fesses écartées et ton petit trou tout lisse au milieu prêt à se faire ouvrir... "Bon on va lui passer l'envie de bouger pendant qu'on le travaille." M t'a empoigné la bite et décalotté le gland qu'il attache méticuleusement avec un tissu très fin puis noue l'autre extrémité à la barre centrale au haut du lit lit en ayant bien pris soin de tirer sur ta bite au maximum. Tu hurles, il t'envoie une claque monumentale sur les fesses: "Ta gueule, pute!" Puis il prend ta couille gauche, l'attache également et fixe l'autre bout sur la barre du côté gauche du lit. Il fait pareil avec la droite de l'autre côté. Tu pleures comme un enfant. Tu as maintenant le sexe étiré vers trois directions et toujours ce cul prêt à l'emploi.
"D'abord on va chauffer tranquillement le cul de cette salope." M extrait de son sac un fouet composé de trois lanières en cuir. Et donne un premier coup. Tu hurles de douleur doublement torturé par les coups du fouet et les lanières qui distendent ta bite et tes couilles au moindre petit mouvement. T'es transformé en morceau de viande qui parle! M fouette maintenant vigoureusement tes petites fesses qui rougissent peu à peu. Il veut te soumettre complètement et te casser psychologiquement. "Dis que t'es un trou à bite!" Tu répètes maintenant mot à mot toutes les phrases qu'il t'ordonne de dire. "Sac à merde, vas-y, dis que t'es un sac à merde!" Tu hurles les phrases ordonnées. Je bande comme un taureau. "Supplie-nous de te défoncer le cul..." Tu nous supplies...
C'en est trop, je vais jouir... Je m'approche de ton visage ravagé par la souffrance, me place derrière toi à la tête du lit et lâche de longs jets de sperme sur ta petite gueule de slave soumis. Que c'est bon... J'étale le sperme sur ta bouche et tes yeux. "OK!" dit M, "je vais vous ouvrir le cul de cette pute en un temps record!"
Tu as le cul rouge vif à la limite du saignement. Je vois M qui sort de son sac du gel et une paire de gants de chirurgien. Je me dis que t'es plus vierge pour longtemps...
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