Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Juin 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Ceux qui ont lu l'histoire ou mon père me baisais en voici une autre. Durant un voyage ou mon père partais en Italie et après lui avoir proposé de venir avec lui et avec son accord nous voilà partis pour une semaine complète a bord de son camion. Le voyage se déroulais très bien, je passais mon temps dans la couchette presque nu, dormant, jouant avec ma console portable, me touchant pendant que mon père lui conduisais. Nous avions dèja baisé ensemble (voir "merci maman") je ne fermais donc pas les rideau lorsque je me touchais.
Un soir après avoir fais ses livraisons nous voilà arrêtés sur une aire de repos perdu entourée d'arbres masquant toute visibilitée, nous avons mangé, regarder la télé, parler et mon père parti se coucher. N'ayant pas sommeil, je décidais de rester sur le siège passager à jouer en attendant que je tombe de sommeil. Quelques fois je tournais la tête pour matter le cul ou la bite énorme de mon père ainsi que son torse velu, puis au bout d'un moment le rideau se ferma.
" Je ferme le rideau A. la lumière de ta console me dérange.
- Pas de soucis papa dors bien j'irais dans la couchette du haut plus tard
- Traîne pas trop fiston.
Je me suis donc remis à jouer tout en me remémorant la fois ou je me suis fais pêter le cul par la bite de papa.
Puis un mouvement brusque viens de la couchette, je me retourne et entrebaille le rideau pour voir si tout allais bien, et la je vois mon père bite raide les bras derrière la tête yeux fermés, je me suis lêcher les lèvres, puis ai imaginer sucer cette tige énorme, bien 20 22 cm. Je commence à approché ma main et touche cette queue, ayant toujours les mains froides, mon touché à immédiatement reveiller mon père, qui me souris.
- Et bien A. je vois qu'elle te plais toujours, tu vois je repenssais quand je t'ai baisé, sa ma filer une trique et comme tu est la on va remettre sa, d'accord ma salope?
- heuuu... Oui papa sans aucun soucis mais tu sais je pense que ce que l'on fais n'est pas très....
J'ai jamais pu finir ma phrase, il avais empoigné ma tête et me l'avais directement collé sur sa bite.
- va si fais pas ta sainte nitouche ouvre la bouche et avale la bite de ton père ou je te jure que sa va mal aller pour toi. Je sais que tu aime te faire dominer alors avec moi tu va être ma salope quand comme et ou je veux. coompris?
- Oui papa ne te fais pas de soucis, j'aime tellement me faire baiser par ta grosse queue que je serais ta femme si tu le veux.
- Bien sur que je le veux.
A ces mots ma bouche s'ouvris seule et je commencais a engloutir de toute sa longueur cette appendice qui s'offrais a moi. Je lechais ses couilles, caressais son torse, branlais sa queue tout en le regardant dans les yeux, je voulais son jus au plus vite. Je l'ai sucer ainsi durant 10 bonnes minutes, ses rale de plaisir me rendais encore plus chienne et je faisais tout pour qu'il sois satisfait de moi. Je sentais qu'il avais envie de jouir dans ma bouche et pour ne pas faire retomber son envie de me baiser j'ai stopper ma pipe et me suis mis a califourchon au dessus de sa bouche, lui offrant mon trou, sans se faire prier il a commencer a le lecher, je sentais sa langue lubrifier mon trou, je devenais de plus en plus chienne, lui demandais de m'insulter encore et encore.
- Tien toi près A je vais te défoncer la chatte.
- Va si papa!! Viens me déchirer!!
il remonte la couchette du haut et se met a genoux, je lui offre mon trou et me cambre un maximum pour que sa vue sois satisfaisante, je n'ai pas attendu pour qu'il commence a me caresser le trou avec sa queue, mon trou lui se dilatais de plus en plus, j'hurlais de me sauter, de me jouir dans le cul, de faire de moi sa femelle, sa putte, sa chienne. Sa réaction fut immédiate, sans crier gare il est entré en moi d'un coup sec, un cri sortis de ma bouche, mais je m'en foutais je voulais sa queue en moi!!!
Il ma baiser ainsi durant une bonne heure, alternant les positions toujours m'insultant de salope, de garage a bite, de suceuse.
- Ecoute moi bien A maintenant comme je te l'ai dis avant tu sera ma salope, je veux que tu sois a entiere disposition pour la queue de ton père, tu a une chatte que je veux baiser aussi souvent que possible, je vais te remplir dès que je peux, sa ne te pose pas de soucis?
- Ma réponse est toujours la même papa, je serais ta femelle et ferais ce que tu voudra!
Il continua a me pilloner le cul et me jouis dans le cul dans un rale de plaisir, écartant bien mes fesses.
Je me mis assis et suca sa queue encore pleine de sperme tout en le regardant, il ne tardis pas apres 5 minutes de nettoyage de rebander et de me baiser de nouveau la bouche!
- Papa?? je veux ton jus dans la bouche!!
- avec joie ouvre bien ta bouche de salope!!
Il me fis attendre bouche ouverte son sperme qui ne tarda pas a arriver, même avec l'éjaculation d'avant j'ai reçu un paquet de sperme chaud et gluant.
La fin du voyage s'est déroulé casiment dans les même conditions le soir, il me baisais, faisais de lui sa chose, j'étais au paradis, il lui arrivais des fois de demander une pipe en pleine conduite, j'obeissais a ses moindre désirs sans broncher au contraire, plus j'avais sa queue plus j'étais heureux.
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Bonjour à mes lecteurs, voilà je m’appelle Christophe, j’ai 15 ans, je mesure 1m75 pour 64 kg. Assez bien foutu, je suis musclé pour mon âge. Brun d’origine italienne, j’ai quelques poils sur le torse, jambes, et une grosse touffe à mon sexe de 16 cm.
J’habitais dans le sud avec toute ma famille, à Nice exactement: mon père, ma mère et ma petite sœur de 8 ans. Il y a quelques mois, nous avons accueilli mon grand-père, le père de mon papa, car il vivait seul et voulait de la compagnie. Une veille de vacance, ma mère alla passer avec ma petite sœur une semaine tranquille chez des amis à Marseille, mais le manque de voiture faisait que mon père était forcé de les accompagner et de revenir après.
— Bon, écoute Christophe, j’emmène ta mère et ta sœur à Marseille, on en a pour 2h de route pour l’aller seulement alors je ne serai pas là avant 19h au moins. Tu t’occupes bien de ton grand-père, j’t'embrasse.
Il était 14h, j’avais tout l’après-midi pour m’occuper de mon grand-père. Ma famille partit sur le champs. Mon grand-père s’appelait Jacques, il avait 67 ans et pour son âge, je le trouvais terriblement beau. Ses cheveux grisonnants donnaient un air mature très beau. Pour son âge il était encore très en forme et adorait tous les matins faire du vélo pendant deux heures. Il était donc bien foutu pour son âge, oh oui!
— Papy, aujourd’hui je serai entièrement à ta disposition, je ferai tout ce que tu veux.
En disant ça, je ne savais pas encore ce qui allait m’arriver mais ce n’est pas pour me déplaire.
— Viens Chris, si tu es à ma disposition, tu dois te mettre en tenue.
Etonné, je suivis Jacques jusqu’à sa chambre. Il ouvrit son placard et sortit une sorte de blouse blanche, un pantalon blanc, c’était en faite une tenue d’infirmier. Il sortit aussi la casquette. J’enlevai alors mon pantalon et mon t-shirt. J’étais en boxer noir devant lui qui moulait mon paquet.
— Eh bien, c’est une jolie bosse que tu as là. Mais le noir ça ne va pas faire, ça se verra à travers le pantalon blanc.
Il me passa un slip blanc et me dit d’enfiler ça. Je mis la blouse pour commencer puis un peu gêné je baissai mon boxer et ma queue tomba dans le vide.
— Dis moi pour ton âge tu es bien velu et ton sexe est joli.
— Merci papy, je dois t’avouer que pour ton âge tu ferais craquer encore pas mal de monde.
J’enfilai le slip blanc puis le pantalon. Ça y est j’étais l’infirmer et en quelque sorte je venais d’enfiler le costume du pauvre soumis que je ne pensais pas encore. On retourna dans le salon, et une chaleur intense m’envahit, je me sentais bien dans ce costume. Mon grand-père me dit que je devrai lui faire prendre la douche plus tard. Et contre toute attente, papy me demanda de lui faire un câlin alors que ce n’est pas dans ses habitudes. Étant le serviteur de monsieur je m’exécutais. Je m’avachis dans le canapé devant la télé, serré fort contre lui. Je sentais une odeur de mâle qu’il dégageait. J’étais appuyé contre son torse, il était dur et je sentais à travers le tissu des formes généreuses.
Après quelques minutes de câlins, Jacques me dit de déboutonner ma chemise, que ça me donner un air plus sexy. Je ne reconnaissais plus mon grand-père, il avait vécu toute sa vie avec une femme et je me demandais s’il voulait s’essayer au mec. Moi j’étais 100% gay et ce petit jeu de séduction entre nous commençait à m’exciter. Je déboutonnai deux boutons et quelques poils de mon torse sortirent.
— Encore un ou deux s’il te plaît, me dit-il.
— Comme tu veux, je suis ton homme.
Il me demanda de m’approcher de lui, ce que je fis, puis il passa sa main dans la chemise au niveau du haut de mon torse et il caressait mes poils et mon tétons droit. J’étais en plein délire, mon grand-père me caressait.
— Allez je veux prendre ma douche.
Je partis dans la salle de bain, allumai le jet à bonne température. Je n’avais pas de cabine de douche mais une baignoire. J’allais chercher Jacques dans le salon et lui dis qu’il pouvait venir. Une fois dans la salle de bain, je lui déboutonnai entièrement sa chemise et je lui retirai sans qu’il ne fasse une geste; son ventre était assez plat et très peu poilu. Ses pectoraux ressortaient un peu, il avait dû être très musclé dans sa jeunesse. Ce qui me fit sourire, c’est la ligne de poils qui partait de son nombril pour finir dans le pantalon, elle était grisonnante. Je m’empressais de baisser la braguette puis de lui enlever son pantalon. Il était dans un slip lui moulant le paquet. Il se mit dos à moi et baissa son slip, ses fesses n’étaient plus aussi ferme mais elles tenaient encore la route. Une très légère érection se fit sentir. Il se mit sous l’eau avec le jet, je lui passais sur le corps et lorsqu’il se retourna, je vis enfin sa verge pendante, elle faisait 6–7 cm, circoncise, couverte d’une grosse touffe de poils avec des couilles pendantes revêtues d’une couche de poils. Une fois trempé, je lui passai du savon sur le corps et quand j’arrivai à son cul, je passai juste du savon sur les fesses mais il me dit d’en mettre aussi dans son trou. Étonné, j’y plongeai un doigt; c’était très agréable puis je passai sur sa queue, je l’astiquais avec mes mains.
— Tu fais ça super bien. Allez, rejoins moi, je sais que tu en meurs d’envie.
Je montai dans la baignoire et il me poussa au fond. Je tombai, habillé, dans la baignoire. Il m’aspergea avec le jet douche, mes vêtements blancs devenaient transparents. J’enlevai mon pantalon et mon slip laissait apparaître mon sexe.
— J’ai oublié d’aller aux toilettes avant, alors ouvre la bouche.
J’ouvris grand et il visa avec sa queue. Un long et fin jet de pisse me remplit la bouche et il m’en mit de partout, ma chemise était imbibée de pisse. Je recrachai son urine, c’était pas encore pour moi. Puis il me dit:
— Allez! Viens faire plaisir à papy et pompe moi.
Sans attendre, j’engloutis son dard, ma langue courait sur sa longue queue de 17 cm, je le suçais avec enthousiasme. Je goûtais à une queue vielle de 67 ans et elle était en pleine forme. Moi aussi ma bite avait gonflé et je me branlais en même temps. Sa bite commença à se contracter alors je me retirai et remontai. Jacques me prit la bouche et me roula une pelle. Ma langue se battait avec la sienne. Le jet douche continuait à couler.
— Après une bonne pipe, tu vas me déchirer le cul, je compte sur toi.
L’horloge indiquait déjà 17h45 mais j’en avais rien à faire et je n’y prêtai pas attention. Mon grand-père se mit à genoux et engloutit ma queue. C’était le dieu, il avait sûrment dû le faire auparavant. La sève commençait à monter alors après 10 bonnes minutes de pompage intensif, Jacques me dit:
— Prend moi Christophe et fais moi jouir comme une pute.
Pas le temps de finir sa phrase, il posa ses mains sur le mur, les jambes écartées et mon dard fusa dans son cul. Je lui arrachais des râles de plaisirs, je le pistonnais, ma queue faisait des va-et-vient, je ressortais ma bite puis la replantais. Mes mains sur ses reins, je continuais avec autant de fougue.
Les clefs de la serrure tournaient et mon père entra dans la maison mais avec le bruit de la douche, on n’y fit pas attention.
— Hello, il y a quelqu’un? Papa? Christophe?
Le bruit de la salle de bain l’attira, il arriva devant la porte. Il l’ouvrit et la vision. Il me vit en train d’enculer son père.
— Mais qu’est-ce que vous faite tous les deux?
Mon grand-père réagit tout de suite.
— Viens Alain, on s’amuse bien avec ton fils. Il m’éclate le cul et toi, il va te sucer. Tu v’as voir, comme je te faisais quand t’avais 20 ans.
Surprise! Mon père avait déjà niqué avec un homme... et c’était son père.
— D’accord mais aucun mot à ta mère, c’est bien compris?
— Compte sur moi papa.
Il se fout à poils en deux secondes, mon papa était très poilu, le contraire de son père: un petit bidon très excitant recouvert de poils bruns, des aisselles gonflées de poils, ses jambes, bras, poils de bite en grosse touffe et ses fesses aussi. Sa queue était déjà en érection, un bon 20 cm. Il entra dans la baignoire et ma langue partit dans la bouche de mon père puis très vite je m’attaquais à son gland turgescent. Ma bouche avala sa bite et papa faisait des mouvements de balancement. Il me déchirait la bouche, son énorme dard me transperçait mais j’adorais ça. Pendant ce temps, il roulait une pelle à mon grand-père. Puis je joignis les deux bites dans ma bouche.
Ces deux glands me portaient dans les airs. Quelques minutes après, ces deux glands me giclèrent dans la bouche et sur le visage. J’étais plein de sperme. Alors mes deux dépuceleurs me relevèrent et passèrent leurs langues sur mon visage. On se roula une pelle à trois. C’était très excitant. Une fois la douche finie, on se rhabilla, moi avec de nouveaux habits car la veste puait la pisse et le sperme, alors direction la machine à laver.
On passa une semaine torride. Il n’y avait pas un jour sans qu’on fasse l’amour et on l’a fait partout. Et lorsque ma mère revint à la maison, je le faisais plus avec mon grand-père.
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