Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Juin 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Depuis toujours, j’ai toujours apprécié mon oncle. Il était gentil avec moi, très affectueux. Quelques années plus tard, il m’invite chez lui pour mes 19 ans. Je ne refusai pas car je l’avais un peu perdu de vue. Il vint me chercher et nous partîmes dans sa campagne.
Sur l’autoroute, il s’arrête pour pisser et moi aussi. J’avais un petit short moulant qui me faisait un beau cul et cela n’avait pas air de le laisser indifférent. Il sortit sa grosse en me la montrant; je lui dis qu’elle était grosse. Moi je dus baisser mon short pour pisser et mettre mon cul à l’air, Quand il eut fini, il me demanda si je savais sucer et il me présenta sa queue. Depuis ses années, j’avais acquis une bonne technique. Et le cul à l’air, je l’ai sucé. Au moment de jouir, il me retourne et présente sa queue sur mon trou. Je me suis enfoncée moi-même dessus tellement j’avais envie. Il m’a enculé à fond au milieu des chiottes.
Un gars est entré. Voyant la scène, il a sorti sa queue et me l’a enfilée dans la bouche. Quel sandwich! Ils ont joui ensemble puis nous sommes repartis. Il m’a complimenté sur mon savoir faire et m’a promis de superbes vacances.
Arrivé chez lui, je partis me doucher car j’étais rempli de sperme. Il vient avec moi pour me laver et il en profite pour m’enculer encore. Une fois lavé, il me fait venir dans sa chambre. Là, je découvre tout un tas d’accessoires. Il sort un plug énorme, me retourne à quatre pattes et m’enfonce le plug dans les fesses après m’avoir bien graissé. Ce soir, nous recevons mes voisins; tu restes comme cela, ils ont l’habitude.
Je vois arriver nos voisins: une superbe femme et un noir gigantesque. Il est en djellaba et elle est habillée en porte-jarretelles, string, sans soutien-gorge - d’ailleurs, elle n’en avait pas besoin -, et un déshabillé noir transparent. Moi je fis le service avec un pantalon fendu sur le cul, on voyait le plug, et torse nu.
La soirée commença par moi. Je dus montrer mon plug à madame qui l'a retiré et m'a doigté les fesses en disant à son mari: "Il est déjà bien ouvert!" J’étais à quatre pattes devant elle. "Écarte son déshabilé!" dit son mari. Et je vois dans le string une queue superbe et très tendue: elle fait au moins 20 sur 5. Cette charmante dame est un travelo! Elle sort sa queue et me demande de la sucer. Je m’exécute avec plaisir. Pendant ce temps, mon oncle en profite pour m’enculer à fond et le mari sort sa matraque et commence à se branler. Elle est énorme! "23 sur 7!" me dit-il. "Tu vas te régaler..." Moi j’ai un peu peur mais sa femme m’enfile sa pine au fond de la gorge et jouit et mon oncle m’arrose copieusement le boyau.
Le mari étant tendu à fond propose à mon oncle de m’enculer. Sa femme prend une pommade pour me lubrifier le cul quoique avec ce que m’a mis l’oncle, je suis bien graissé! Ils m’installent sur le divan et le mari vient se placer derrière moi. Mon oncle m’ouvre les fesses au maxi et sa femme présente son gourdin au bord de mon trou. Il commence à pousser et me demande de pousser aussi sur mon cul, comme pour chier. Je sens la bite entrer en moi. Elle me remplit et soudain, il pousse plus fort et m’ouvre en deux. J'en ai le souffle coupé! Pendant ce temps, sa femme s’est placée sous moi et me suce à fond. Mon oncle la suce aussi et le mari commence son va-et-vient. Il prend son temps, il faut que je sente toute la longueur entrer en moi. Une fois à fond, il accélère la cadence. Je jouis comme une salope tellement il me défonce et enfin il se vide en moi. Quand il se retire, sa femme me suce le cul, lui vient vers ma bouche et enfonce sa queue dedans. Je suis repu! Mon oncle me dit: "Tu es si salope que demain, on t’emmène à l’étable."
Le lendemain, nous voici partis à l’étable. Il y a un âne, deux chiens et un cheval. Je suis à poil; la femme aussi, sa queue pend sur sa cuisse. Elle me pelote le cul et me dit: "Je vais t’enculer un peu avant que je ne puisse plus!" Je me penche en avant, elle m’encule d’un coup. C’est bon d’être baisé par une femme bien montée! Son mari sort sa queue et l’encule aussi. Elle est prise entre deux, elle adore; nous jouissons comme des fous.
Après la femme se met à quatre pattes et mon oncle amène les chiens. Ils ont l’habitude car il y en un qui se couche sur le dos. La femme s’empale sur cette queue toute rouge et l’autre la monte comme une chienne; elle est prise par deux chiens ensemble. Mon oncle m’amène vers l’âne et me dit: "Caresse-le un peu, il aime..." Je m’agenouille et lui prends la bite qui grandit à chaque va-et-vient puis le mari se met derrière moi et m’encule. Depuis hier, il entre d’un coup maintenant et il me décharge dans les fesses. La queue de l’âne s’allonge, la femme jouit comme une chienne avec ses animaux et moi je jouis d’être divinement enculé. Puis mon oncle me dit: "Tu vas te faire baiser par l’âne!" Je ne veux pas mais deux coups de ceinture dans la raie me persuade facilement. Lui et le mari m’installent sous l’âne et ils prennent sa queue et la présente entre mes fesses. Je me décontracte au maxi. La femme me suce et me dit: "Laisse-toi faire, c’est très bon!"
L’âne commence à bouger et son gourdin entre en moi. Heureusement que le mari avait fait le passage car l’âne s’enfonce d’un coup de 25 cm. Je veux crier mais mon oncle a enfourné sa queue dans ma bouche, résultat: je ne peux crier et l’âne s’enfonce encore. Je croyais qu’il allait m’ouvrir en deux! Il se met à limer et je commence à aimer. Il va de plus en plus vite, il va m’éclater. J’en peux plus et enfin, il se vide. Je suis rempli, je crois que cela va ressortir par ma bouche! Quand il se retire, mon cul est défoncé et très ouvert. Le sperme coule à flot, la femme me lèche le cul pour boire le sperme de l’âne. Moi je suis défoncé, remplie de sperme.
Nous rentrons à la maison prendre un peu de repos. Mon oncle me dit que demain, je m’occuperai des autres bêtes.
Nos amis restent à coucher. La femme veux que je l’encule et son mari en profite pour m’enculer aussi. Nous nous endormons comme cela.
Le lendemain, après un solide déjeuner, nous retournons à l’étable. Flore, la femme, va directement vers les chiens et se met en position. Elle aime être prise par ces deux animaux. Mon oncle caresse la queue du mari qui ne cesse de grandir. Moi, je suis à quatre pattes en train de me branler. Puis Paul, le mari, vient vers moi et il m’encule à fond. Comme mon oncle m’avait bien préparé avant, il entre dans mon cul comme dans du beurre. Il me defonce à grands coups de queue! Flore jouit sur les deux chiens et mon oncle me décharge son jus tout chaud dans la bouche.
Ils sont prêts à m’emmener vers l’étalon. Moi je rechigne un peu. Paul me prend sur ses genoux et me fesse comme un bébé. Il m’installe sous l’animal que Flore est en train de sucer. Sa queue et très longue et très grosse. J’ai un peu peur mais mon oncle me dit: "Je vais te fister un peu avec une graisse spéciale." Il me prend les fesses avec sa main, je suis étonné de voir comment mon trou s’ouvre! Il a entré toute sa main. Il me dit: "Tu es prêt pour le cheval!" Paul m’installe et Flore prend la bite du bourrin et la présente au bord de mon cul. Elle est dure et chaude, je m’avance un peu et elle entre doucement. Mon cul s’ouvre puis l’animal pousse un peu et là mes amis, je suis rempli de 20 cm et il pousse encore 10 cm; je crois qu’elle va sortir par ma bouche! Il commence un peu ses va-et-vient et mon cul s’ouvre à fond. Je jouis tellement que je ne sens pas la première giclée de son sperme puis il me remplit de son jus. Cela me fait jouir encore plus. Il ressort mon cul, relache tout le sperme englouti. Flore se précipite vers moi pour prendre cette douche et mon oncle me dit: "Tu as aimé?" Je lui fais signe que oui en me levant difficilement mais je lui ai demandé de rester chez lui plus longtemps et d'inviter les voisins qui étaient très heureux d’avoir trouvé une nouvelle pute à remplir.
Je m'appelle Stéphane Grangé. J'ai 42 ans. Je suis avocat. Un métier prenant. Sans vouloir me vanter, je suis encore plutôt pas mal physiquement, grâce à des exercices physiques hebdomadaires. Longtemps j'ai cherché la femme idéale, Jolie, douce, intelligente, serviable, cultivée... J'ai rencontré Hélène alors que j'avais 30 ans. J'étais un jeune acharné du barreau et je donnais des cours à la fac de droit. Elle était secrétaire médicale, nous nous sommes mariés, et trois ans plus tard, nous avions un fils, Sébastien, suivi un an après de son frère Jérémie.
Nous sommes en mai 2007. Sébastien a maintenant 16 ans. Cela fait quelques mois que je commence à le regarder différemment. En effet, j’ai toujours eu des fantasmes homo que je n’ai jamais osé assouvir vraiment (à part quelques pipes par-ci par-là pendant mon adolescence) En grandissant, son physique prend une tournure très agréable: il est fin, élancé et gracieux et, depuis quelques temps et je m'en veux d'avoir sur lui ce regard de mâle en rut, mais je ne peux m'en empêcher. C'est ainsi. Sébastien à de courts cheveux châtains, de profonds yeux bleus, un petit nez droit et des lèvres joliment dessinées, un petit cul rebondi. Faire l’amour à sa mère ne m'empêche plus de bander à la vue de ce petit corps parfait.
C'est un dimanche en fin d'après-midi que je commence à deviner que mon fils est peut-être aussi salope que son père. Hélène se plaint que c'est un véritable foutoir dans la chambre de notre fils. Je me dévoue donc pour y remédier. Je grimpe les sept marches qui mènent à l'étage et entre dans la chambre de Sébastien. Il travaille à son bureau, ou fait semblant. Merde! C'est vrai que c'est un sacré bordel là-dedans! Je m'énerve, le gronde, et me saisit au hasard d'un sac à dos qui traîne au milieu de la pièce. C'est son sac de sport.
Je le retourne et en renverse le contenu sur le plancher, furieux. Sébastien est tétanisée. Je comprends vite pourquoi en voyant les fringues se répandre sur le sol. Il y a un jogging, un short, des chaussettes, mais surtout un boxer transparent noir. Je suis sur le cul et lui demande en le regardant droit dans les yeux:
— Euh, Sébastien, c'est pas ta mère qui t'a acheté ça?
Il me répond timidement, baissant la tête:
— Non papa...
— Attends... C'est toi?
— Oui, avec un copain... S'il te plaît, ne le dis pas à maman.
La seule chose qui me vient à l'esprit est "si tu savais le genre de trucs que ta mère peut porter", mais je me garde bien de lui répondre ça.
— Bon, range ta chambre, on verra...
Je quitte la pièce, lui confisquant le boxer. Putain! Mon fils est déjà aussi cochon que son père! À 16 ans, porter des sous-vêtements transparents, ça promet... Je suis abasourdi.
Deux semaines plus tard, un mardi, j'ai pris congé. C'est la fin de l'après-midi. Sébastien devrait être rentré du collège, qui est à deux pas, depuis plus d'une demi-heure. Je m'inquiète et décide d'aller le chercher en voiture. Quand j'arrive devant les grilles de l'établissement, je vois mon fils sortir d'une maison, en face de son école. Il semble avoir un air coupable. Bizarre. Je klaxonne. Il me voit et se dirige vers la voiture pour y entrer. Il me fait la bise et esquisse un sourire.
— Salut p'pa!
Alors que je l'embrasse, je sens une odeur forte familière mais que je n'arrive pas à identifier.
— Ben, qu'est-ce que tu fous? Tu devrais déjà être à la maison!
— Désolé p'pa mais je... Je donne parfois un coup de main à Mr Klinsmann, le p'tit vieux... Pour son ménage, pour ranger ses courses... Tout ça...
Je suis dubitatif. Je le connais un peu ce vieux qui habite face à l'école.
— Ah, c'est bien...
Tout en roulant vers la maison, j'arrive à identifier cette fameuse odeur. Mon fils sent en fait le foutre à plein nez... J'ai du mal à y croire mais en suis intimement persuadé. Je n'en reviens pas. Je commence à bander, excité par cette pensée insensée.
Deux jours plus tard, je sors plus tôt du boulot: il faut que je sache. Je me gare non loin du collège, de façon à avoir une vue imprenable sur la porte de sortie de la grille. À 17h, tous les mômes en sortent. Je vois mon fils se diriger directement vers la baraque de Mr Klinsmann. Il y rentre. J'attends que tous les gosses aient disparu avant de sortir de mon véhicule pour me diriger sur ses traces. Je regarde alentour, puis colle mon nez à la fenêtre du rez-de-chaussée. Des rideaux épais m'empêchent de voir quoi que ce soit. Je décide d'y aller au culot, et pose une main sur la poignée de la porte d'entrée. Elle n'est pas verrouillée. Je l'ouvre discrètement et me faufile dans le hall d'entrée sombre. Derrière une autre porte me parvient la voix rocailleuse de Georges Klinsmann:
— C'est bien ma p'tite pute, vas-y pompe bien... Comme ça, c'est ça, suce-moi bien à fond mon cochon...
Je suis en alerte. Je me demande ce qui se passe et ne peut me retenir d'entrouvrir très lentement la porte. Le spectacle que j'y découvre est insensé et sublime à la fois. Sébastien, mon fils, est agenouillé devant Georges, qui est assis dans le canapé, nu, les jambes écartées. D'où je suis, je peux admirer la scène de profil. Ils ne m'ont pas remarqué. Mon gamin est en train de tailler une pipe au vieux monsieur. C'est surréaliste. Ce petit pédé s'applique à lécher et à engouffrer la pine presque en entier. Je suis pétrifié et pris malgré moi d'une gaule d'enfer. D'une main, Georges le saisit par les cheveux, le forçant à le sucer au maximum.
— Allez petit con, suce! Suce bien tonton Georges si tu veux ton fric, salope. SUCE! SUCE! Mieux que ça, suce salope!
Hypnotisé, sur le cul, je regarde mon fils si angélique s'appliquer à avaler la tige du vieillard laid et bedonnant. Il a vraiment l'air de savoir s'y prendre ce petit gigolo! Soudain, l'homme pousse un grognement et se cambre.
— Avale... Oui c'est ça, oui, avale... Bien... Tout...
Je culpabilise de bander ainsi comme un âne, mais reste là, regardant Sébastien aspirer le jus de Klinsmann. N'importe qui de sain d'esprit lui aurait sauté à la gorge.
Je m'esquive avant d'être vu, pour rentrer à la maison avant mon fils. Ainsi mon gosse suce des queues pour du fric. Incroyable! Je ne sais trop que penser.
Quand le soir, je fais l’amour à Hélène, mes doigts agrippés à ses cuisses, c'est au petit cul serré de mon fils que je pense. Après l'avoir fait gueuler et avoir craché la purée dans sa chatte, je me lève pour aller pisser. Une drôle d'odeur passe sous la porte de la chambre de mon fils. Une odeur de cannabis. De mieux en mieux! Un plan prend forme dans ma tête. Ça me refait bander et quand je reviens des chiottes je ne peux m'empêcher de remettre le couvert avec ma femme. Sébastien sera bientôt mien...
Chapitre 2: La confirmation
La semaine suivante, je m'accorde à nouveau une demi-journée. En milieu d'après-midi, je me rends chez Georges Klinsmann. Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Je sonne. Le petit vieux m'ouvre et me fait un sourire convivial.
— Ah, Mr Grangé! Que me vaut le plaisir? Ça fait longtemps!
Il cache bien son jeu le salaud!
— Oui, ça fait un bail.
Je lui serre la main, lui retournant son sourire, et lui demande:
— Je ne vous dérange pas j'espère? Je peux entrer une minute? J'aurais voulu vous parler de deux ou trois petites choses...
— Mais bien sûr, faites!
Je le suis jusqu'au salon et il me propose une tasse de café que j'accepte, avant de nous installer dans son canapé. L'endroit est austère, vieillot, un peu oppressant. J'entre tout de suite dans le vif du sujet:
— Alors Mr Klinsmann. Mon fils m'a dit qu'il venait vous donner un coup de main de temps à autre?
— Oui, oui...
Il semble hésiter puis reprend:
— C'est vraiment gentil de sa part. Il est vraiment... Adorable!
Il a l'air soudainement mal-à-l'aise. J'enchaîne immédiatement:
— Hmm. Et... Sa bouche? Elle est adorable aussi, sa petite bouche?
Là, son visage se décompose totalement.
— Euh, comment ça. Je... Je ne comprends pas...
— Écoutez Georges, je peux vous appeler Georges? Je sais tout. J'ai tout vu. Alors ne me prenez pas pour un con! J'ai tout vu la semaine dernière, ici même. J'étais là quand Sébastien est venu vous sucer la queue mon vieux!
J'éclate de rire. Georges est tout rouge.
— Que... Que voulez-vous. De l'argent? Me dénoncer? Ce n'est pas moi qui ai commencé c'est lui...
Je lui pose une main amicale sur l'épaule. Il est ridicule. Un vrai gamin.
— Non Georges... Détendez-vous! Je crois qu'on s'est mal compris. Je commence à connaître mon fils. Il est aussi salope que son cher père et le fait qu'il vous ait provoqué, je n'en doute pas. Ce que je veux, c'est lui apprendre la vie...
L'homme ne dit plus rien. Je continue:
— Ce soir, avant la sortie de l'école, je viendrai chez vous ok? Et on se le fera tous les deux! Ça vous va? Georges? Alors?
Il se remet à sourire:
— Vous voulez euh... Réellement... faire ça?
— Plutôt deux fois qu'une mon vieux. Si ce garçon est pédé, alors il va en profiter! Et nous aussi!
En fin d'après-midi, je suis chez Georges, planqué dans la cuisine. Peut-être ne viendra-t-il pas. J'espère bien qu'il viendra. Je bande sévère! Puis, enfin, on sonne. J'entends la voix de mon fils. Mon voeu est exaucé.
— Bonjour Georges...
— Salut petite pute... Tu viens chercher ton fric? Petite tapette!
Le vieux se lâche, comme je lui ai demandé. J'entends Sébastien se marrer.
— Allez, perds pas de temps, on a pas que ça à foutre. Viens donc pomper papy Georges.
J'attends quelques minutes pendant que j'entends que mon fils s'active sous les instructions et les insultes du vieux. Puis j'ouvre doucement la porte et tombe sur une vision de paradis. Mon petit cochon de fils est dos à moi, à genoux. Il a enlevé son pantalon. Il porte un marcel blanc et un boxer moulant. Je vois sa tête se lever et se baisser sur l'entrejambe de Klinsmann qui le tient fermement par les cheveux. À ma vue, Klinsmann se désinhibe:
— Allez, maintenant branle-moi salope. Avec les deux mains. Et dis-moi des cochonneries. Dis-moi que t'es qu'une petite pute!
— Hmm que votre bite est si belle! Et si bonne, je suis la petite salope de Georges. Une vraie petite salope.
— Nan! T'es une GROSSE salope. DIS-LE!
— Je suis VOTRE grosse salope, Mr Klinsmann. Oui c'est ça... Ça vous plaît?
— Tais-toi maintenant et suce.
Tout cela dépasse mon imagination. Si j'avais su, je lui aurais cassé le cul depuis des lustres! Il est temps qu'il sache que je suis là. Je m'approche juste derrière lui et me racle la gorge. L'effet est immédiat. Il se retourne et me voit. Il pousse un cri et saute sur ses pieds. Puis il va se réfugier dans le coin opposé de la pièce. Il se met à pleurer à chaudes larmes. Entre les sanglots, je l'entends se justifier sans que je ne lui aie rien demandé.
— Papa, c'est pas ce que tu crois... C'est lui et... J'ai besoin d'argent, je... Pardon... Je suis si désolé... Mais qu'est-ce-que tu fais là, je... Mince... Non... Pardon... Pardon...
Tout ceci est très confus. Ça m'énerve et je l'interromps:
— Ça suffit!
Je m'approche de lui d’un air menaçant. Il se met à genoux devant moi, s'accroche à mon pantalon, m'implore.
— Pardon, pardon, pardon... Tu le diras pas à maman? Hein, tu le diras pas?
Je le relève et lui ordonne d'aller s'asseoir à côté de Georges qui a toujours une fière érection. Je m'assois lentement dans le fauteuil en face, allumant une clope, prenant tout mon temps.
— Alors comme ça tu es un petit suceur de queues? Bien réponds! Assume!
— Mais papa, c'est lui... Je...
— Réponds! C'est ce que tu veux être? Un suceur, pour du fric? Une pute?
— Non je le referai plus! C'est promis!
— Oh que si tu vas le refaire, et tout de suite! Sinon ta mère le saura. Tout le monde le saura.
Il se met à chialer de plus belle.
— Non papa, je t'en supplie... Je comprends plus rien...
— Cherche pas à comprendre. Vas-y, pompe Klinsmann ou je te balance!
Je jette un coup d'oeil au vieux qui me comprend. Il met sa main derrière la nuque de Sébastien pour le forcer à se pencher sur sa bite pourpre. Je le sens décontenancé par la tournure des événements, il hésite.
— Suce-le, il ne demande que ça! Allez, sois gentil avec ce cher Georges...
Il sèche ses larmes, rassuré, et obéit: je le vois engouffrer la bite de Georges. Merde je vais craquer mon pantalon. Je défais ma ceinture et baisse mon froc:
— Il n’y a pas de raison pour que ce soit toujours les mêmes qui en profitent, finalement.
Je me mets tout près de lui, debout. Je le prends doucement par la nuque et approche son visage de ma verge.
— Maintenant pompe-moi.
Ses yeux, surpris, me dévisagent:
— Non! Pas ça papa, pas toi. Je ferai tout ce que tu voudras.
— Ben justement, c'est ça que je veux. Suce-moi, s’il te plaît.
Il sort sa langue, timidement, lèche le bout de mon gland qui n’a jamais été aussi énorme, puis, finalement me prend en bouche tout entier pendant que Georges lui pince les tétons.
— Voilàààà... Sage, c'est bien. Tu vois comme tu peux être gentil avec ton papa. Oui, c’est ça, fais-lui du bien...
Je le regarde droit dans les yeux. J'y décerne de l’excitation, du désir. Je continue à lui parler:
— T'inquiète pas, je ne te laisserai plus gâcher tes talents. Tu suces comme un dieu, mon garçon. À partir d'aujourd'hui, je vais faire de toi mon vide-couille. Ça te choque? Tu vas t'habituer à mon langage un peu cru. Et puis je vois que cela t’excite: tu bandes dur, mon petit, je suis fier de toi. Bon, maintenant tu vas resucer ce bon vieux Klinsmann.
Quand je sors ma grosse queue de sa petite bouche dégoulinante de bave, mon gamin obéit immédiatement, ivre de désir et s'empare du membre de Georges. On sent en lui une faim insatiable de bite. Je m'astique le manche tout en le regardant faire. C'est qu'il a l'air de s'y connaître petit gigolo.
— T'es un vrai pro ma salope! Georges, faites-moi une place sur la canapé, je vais m'occuper de son cul.
— Bien sûr, d’autant plus qu’il adore ça: regarde-le se tortiller du croupion.
Je lui enlève son boxer et me met derrière lui, en position levrette. J'écarte ses cuisses et d'une main palpe son joli fessier musclé. Georges le force à nouveau à le sucer. Je glisse un doigt sur son petit trou. Mince, mais c’est qu’il est impatient, le cochon! Je lui lèche le trou qui est doucement parfumé, pour le lubrifier. Des deux mains, je lui écarte les fesses et vient frotter mon gland contre son cul. Je dois forcer un peu, ce qui le fait couiner. Puis j'arrive à le pénétrer et en à peine trois coups de reins, me voilà bien au fond. Il n'est plus puceau de ce côté-là, c'est clair! Mais je pensais qu'il serait plus étroit. Il a déjà dû en voir des tiges!
Dans un pur moment de merveille, je commence à baiser mon propre fils tandis que Georges se fait gober les couilles. Progressivement, je me fais plus brutal et à mon grand plaisir Sébastien se met à bouger son bassin et à remuer du cul de façon plus en plus salope. Je sens qu'il est à deux doigts de la jouissance; il n’ose pas se branler de peur de venir trop vite.
— Ma parole, c'est que t'aime ça ma salope!
Mes coups de boutoir le liment sauvagement et je l'entends qui commence à gémir.
— Georges. Il aime ça cette pute! Wouaaah! Saaaloooope!
Je suis sur le cul quand j'entends Sébastien se mettre à réclamer:
— Oui papa. Oui... C'est bon... Continue... Oui continue... Comme ça... C'est bon... PLUS FORT! Oui baise-moi!
Je n'en peux plus et quelques secondes plus tard, je me vide les couilles dans ses intestins pendant que Klinsmann repeint la gueule de mon gamin de son jus de burnes...
Ce petit minet imberbe et très bien foutu se transforme en une véritable lope lorsque deux mâles en rut décident de lui faire sa fête et le remplissent par tout les trous. Un grand moment de bonheur pour cette petite lope à la chatte rasée qui se fait tirer comme une pute.
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