Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Juin 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Arrivés à la maison, papa et maman dormaient. Parrain m’entraîne dans ma chambre. Il enlève le scotch qui empêche la boule de pétanque de tomber et entre doucement le plug. Maintenant, il tient en place. Mon cul-chatte est rempli par une boule de pétanque et le plug. La sensation est étrange mais pas désagréable. Parrain me souhaite bonne nuit. Je suis crevé, et je m’endors.
En pleine nuit, je sens que l’on me caresse les fesses. Parrain est à côté de moi. Il me chuchote à l’oreille:
— Suce-moi.
J’ouvre la bouche, parrain entre sa bite, me prend par les cheveux et me baise lentement la bouche. Il jouit très vite. Il me dit:
— N’avale pas, ferme la bouche et dors.
Je ferme la bouche et me rendors.
Dimanche matin, je me réveille, c’est presque 11h. J’ai mal au cul. Ma chatte me brule. J’enfile le pantalon du pyjama et vais à la salle de bains. Je me mets dans la baignoire. Le plug me brûle quand je tire dessus. Je démonte la poire de douche et fais couler de l’eau tiède sur mon cul, puis en bougeant un peu, je sens l’eau qui rentre dans mon cul. Le plug sort doucement, sans faire mal. Je pousse pour faire sortir la boule de pétanque qui sort sans problème. Je remarque qu’elle est de la même taille que mon plug.
Je me douche et lave l’intérieur de mon cul-chatte. La sensation de l’eau à l’intérieur est sympa. Je ne sais pas comment sortir de la salle de bains avec la boule de pétanque. Je décide de la remettre dans mon cul, et remets le plug par dessus.
Je retourne dans ma chambre, m’habille et descends. Surprise, il n’y a personne. Maman a laissé un mot sur la table elle est au marché avec papa, et parrain est parti faire des courses. Je prends un bol de café, et me pose devant la télé.
Parrain rentre le premier, avec un gros bouquet de fleurs et une boîte de pâtisserie. Il me demande si j’ai bien dormi. Je lui dis oui. Il me demande si je suis seul. Je lui dis que papa et maman sont au marché. Il me dit de monter dans ma chambre. Je monte, parrain me suit. Il me dit que ç’a n’a pas été facile à trouver, surtout un dimanche matin, mais qu’il se souvenait d’un sex-shop ouvert le dimanche. Il sort de sa sacoche un plug, plutôt petit, avec un tuyau et une poire au bout. Il me dit:
— C’est ton nouveau jouet.
Je lui dis qu’il est plutôt petit. Il me dit:
— Regarde!
Et il pompe avec la poire. Le plug grossit à vue d’œil et devient énorme. J’enlève mon jeans et saute à quatre pattes sur le lit. Parrain enlève mon plug et voit la boule de pétanque. Il me demande si elle me gêne. Je lui dis que le poids est inhabituel, je ressens en permanence mon cul. Parrain me dit que l’on va la laisser et entre le plug gonflable. Vu qu’il est dégonflé, je ne sens rien. Parrain pompe sur la poire. Je sens que ça grossit de plus en plus. Ça devient agréable, puis maintenant douloureux. Parrain me dit qu’il faut que ça soit légèrement douloureux, pour que ça m’ouvre bien mon cul. Il dégonfle un peu. Je lui dis de regonfler un peu. Ça fait mal, mais c’est supportable. Parrain passe le tuyau entre mes jambes, et met la poire à côté de ma bite. Il me dit:
— Comme ça, si tu ne sens plus rien, en te touchant la bite, tu appuieras sur la poire et ça gonflera le plug.
Je remonte mon jeans. Je suis rempli à bloc. La sensation est super agréable. Je pense que ma chatte est en train de s’agrandir un peu plus. Je me mets à bander. Je masse ma bite à travers le jeans et appuie sur la poire. Douleur dans mon cul, le plug s’est gonflé. Ça fait mal, mais je suis excité et décide de ne pas le dégonfler. La descente de l’escalier est un grand moment. J’ai du mal à marcher. Pas de bol, papa et maman arrivent à ce moment-là, je n’avais pas entendu la voiture. Je tente de reprendre une démarche «normale».
Le repas est un long moment. Le plug est trop gonflé, et ça tire vraiment trop. Au dessert, je ne tiens plus en place. Je fais semblant d’aller aux toilettes et dégonfle un peu le plug. Ouf, ça va mieux. Je reviens à table comme si de rien n’était. Parrain demande à maman s’il peut m’emmener au centre-ville. Il veut profiter du dimanche pour retrouver certaines rues qu’il ne situe pas sur le plan. Maman donne son accord. Parrain prend un café, et me demande si je suis prêt pour le guider. Je lui dis que je vais essayer.
On prend la voiture de parrain. Il roule jusqu’au centre-ville. C’est désert. Parrain cherche une petite rue à côté de la place du capitole. Il me demande comment je sens mon nouveau plug. Je lui dis qu’à midi, je l’ai un peu dégonflé, mais que depuis je l’ai regonflé deux fois: une fois dans la voiture, puis après quelques minutes de marche. Il me demande de le gonfler un peu plus. J’appuie une fois sur ma bite (la pompe est à côté). C’est plus fort, mais supportable. Parrain me dit de gonfler une fois de plus. Ça force dans mon cul. Il me demande ce que je ressens. Je lui dis que je me sens étiré. Il me dit qu’il faut, mon cul est une chatte, et il ne doit plus jamais se refermer. Je lui demande comment je ferai pour ne pas me chier dessus. Parrain me dit que je devrai porter tout le temps un plug. Comme ça, quand je voudrai baiser, ma chatte sera toujours ouverte, toujours prête, et même après une nuit sans plug, elle sera toujours ouverte.
Il me rappelle que pour les vacances de Pâques, je vais le rejoindre à Paris. Mes parents sont d’accord. Il me dit qu’il va m’amener dans une cité. Je serai posé sur un matelas dans une cave et pendant au moins trois jours et trois nuits, mon cul-chatte ne devra jamais se refermer entre deux bites. Parrain s’arrête entre deux voitures en stationnement. La rue est déserte, il ne passe que quelques rares voitures. Parrain me dit:
— Viens me sucer.
— En pleine rue?
— Une chienne en pleine rue, normal non!
Je m’agenouille devant lui, sors sa bite et le suce. Les rares voitures qui passent ne font pas attention. Il ne jouit pas et se rhabille. On repart à sa voiture. On ne prend pas le chemin du retour. Il m’emmène dans une cité. Je lui demande où l’on va. Il me dit:
— Voir tes nouveaux amis d’hier soir, ils m’ont laissé une adresse.
On tourne dans la cité, parrain se gare. On est à peine sorti de la voiture que deux mecs s’approchent de nous. L’un me dit:
— Tu es la chienne d’hier soir, t’a pas eu ta dose, t’en veux plus?
Parrain lui dit:
— Elle a le cul rempli par une boule de pétanque et un plug gonflé à bloc, mais il lui faut de la bite.
Le mec demande si on a du temps. Parrain lui dit que l’on a deux à trois heures de libres. Le mec nous dit de le suivre. On entre dans un immeuble, on prend un escalier direction les caves. C’est un vrai labyrinthe. On va vers le fond. Il ouvre une porte. À l’intérieur, il y a une table, un matelas posé au sol. Le mec me dit:
— À poil salope.
Je retire mon jeans, mon blouson, et mon teeshirt. Parrain dégonfle le plug. Il sort et la boule de pétanque sort sans forcer. Le mec me fait m’allonger à plat ventre sur la table, les jambes écartées. Il rentre trois doigts directs dans mon cul. Le mec dit à mon parrain:
— Putain, elle est large ta chienne, ça rentre comme dans du beurre.
Il retire ses doigts et essaye de rentrer sa main. Ça force à peine. Le mec dit à parrain:
— Fisté du premier coup, j’ai jamais vu. On va la gaver.
J’entends des bruits. Il a du monde qui arrive. Le mec leur dit:
— On a une nouvelle chienne, elle prend tout. On la gave. Tout le monde jouit dans sa gueule.
Il retire sa main, un mec positionne sa bite qui rentre sans que je la sente vraiment. Le mec dit:
— C’est pas une chatte, c’est un gouffre.
Il se retire et me fiste. Sa main rentre, il essaye d’enfoncer sa main le plus loin possible, bouge les doigts, serre le poing, et le ressort. Il me bourre le cul avec son poing. C’est bon, je gémis. Un mec me tire par les cheveux et me baise la bouche. Il jouit très vite. Il sort de ma bouche, un autre prend la suite et jouit aussi vite. On me lève en me tirant par les cheveux. Un mec qui a une belle bite est allongé sur le matelas. On me fait m’empaler sur lui, on me pousse en avant. Je sens une deuxième bite qui rentre. Je suis pris en double. La sensation est géniale, je me redresse et dit:
— Oui, c’est bon.
Une bite se présente devant ma bouche, je la prends et on me baise la bouche.
Ça va durer pendant plus d’une heure. Plein de mecs prennent plaisir à me fister avec leur poing. Puis on essaye de rentrer deux mains. Ça tire, je gémis, mais les mecs forcent et ça rentre. Un mec me demande ce qu’il peut faire avec mon cul. Je lui dis qu’il peut se branler dedans. Parrain lui explique que le mieux, c’est qu’il mette sa main, puis sa bite pour se branler dans mon cul. Tout le monde veut essayer. Mon cul me brule. Les bites se succèdent dans ma bouche. La gorge me brûle par le passage répété des bites.
D’un coup, tout se calme. Parrain remet la boule de pétanque dans mon cul. On lui en donne une seconde en disant qu’il faut ça pour remplir ma chatte. Parrain pousse la seconde boule de pétanque dans mon cul. C’est lourd. Parrain remet le plug et le gonfle. Je le sens bien gonflé et je gémis, mais parrain continue à gonfler. Ça fait mal. Je le lui dis. Il me dit:
— Il faut souffrir pour avoir une belle chatte.
Je sais que mon cul ne se refermera plus jamais. Parrain m’a expliqué qu’il allait me l’étirer à un tel point que même six mois plus tard, il restera toujours une ouverture permanente d’au moins un ou deux doigts. Il m’a dit que dans quelque temps, j’utiliserai le plug uniquement pour ne pas me chier dessus. Il servira de bouchon. J’ai mal mais le fait de savoir que cela permettra à mon cul de rester ouvert à vie me permet de supporter la douleur. On m’aide à remettre mon jeans, j’enfile mon teeshirt et mon blouson. Un mec me dit:
— Maintenant on connaît ta gueule de vide-couilles. Si on te croise dans la rue, on te prendra n’importe où, n’importe quand.
Il me demande ce que je fais. Je lui dis que je suis au lycée. Un mec demande à quel lycée. Je lui réponds. Le mec éclate de rire. Il dit:
— Super, mon petit frère y est aussi et plein de ses copains. Ils vont être contents d’avoir un vide-couilles à disposition dans le bahut!
Je me sens mal. Je suis un vide-couilles, c’est vrai, et j’en suis fier. Mais là, ça veut dire que tout le monde va le savoir, et ça, je ne sais comment l’assumer en public devant les copains. Le mec termine en disant:
— Mais rassure-toi, ils ne veulent pas passer pour les PD. Ils resteront discrets si tu es une bonne chienne soumise.
Ouf, je respire. Je servirai de vide-couilles, et c’est ce que je veux, mais sans que cela remette en cause ma vie au lycée. Le cul chargé à bloc par les deux boules de pétanque et le plug trop gonflé, je repars avec une démarche qui fait rire les mecs présents.
À suivre...
Le samedi commençait bien. Parrain me dit en me baisant dans la salle de bain que j’ai une superbe chatte bien souple et que quand sa bite ressort, elle reste ouverte, elle "attend " la bite. Mon cul est devenu une chatte, souple, toujours ouverte, toujours disponible. Pendant que parrain jouait avec sa bite sur l’entrée de ma chatte, d’imaginer mon cul restant ouvert, j’ai joui contre le lavabo. Parrain a joui dans ma chatte et a remis le gros plug en place. Je l’ai à peine senti rentrer. Parrain m’a dit qu’à ce régime, il faudrait me trouver un plug plus gros avant peu. Parrain m’a fait lécher mon sperme qui avait coulé le long du lavabo, puis je me suis douché et habillé.
Papa et maman sont rentrés du marché. Repas en famille. Parrain a demandé si ce soir il pouvait m’amener au cinéma. Papa ne voulait pas que je rentre trop tard mais maman a cédé, et parrain peut m’amener à la dernière séance, celle qui finit à 1h du matin.
Le soir, parrain a dit qu’il m’amenait d’abord au restaurant puis au cinéma. On est parti, mais en direction de la forêt de bouconne. Il y avait visiblement plus de voitures que la veille au soir. Parrain m’a fait sortir de la voiture. Il m’a fait enlever mon jeans et le plug. Puis, il a sorti le scotch en tissu et m’a plaqué ma bite et mes couilles contre mon ventre. On ne voyait presque rien. Il m’a fait remonter mon teeshirt dans mon blouson, afin que mon cul soit bien à l’air et on est parti vers la clairière.
Il marchait lentement sur le chemin. Il m’a demandé ce qui me ferait vraiment plaisir. Je lui ai dit que ce que j’avais le plus envie, c’était de sentir plein de bites dans ma «chatte». Parrain m’a demandé quelles bites me feraient le plus plaisir: jeunes, noires… Je lui ai répondu toutes. Il m’a demandé ce que j’étais. Je lui ai répondu que j’étais un vide-couilles qui pouvait être rempli par n’importe quelle bite. Il m’a demandé ce que je ferais si on croisait un clochard, sale et puant. Je lui ai dit que je lui offrais mon cul. Parrain m’a dit que j’étais une vraie chienne et que le but de la soirée, c’était que je vide au moins 20 bites. Je me suis mis à bander.
On n’a pas été à la clairière de la veille. Parrain a pris un autre chemin et on est arrivé dans une autre clairière. Il y avait un feu de camp. On s’est approché et c’était des clochards. Quatre assis, un debout qui marche autour du feu. Parrain m’a dit:
— Je reste là. Tu vas les voir et tu leur dis ce que tu veux. Tu es une chienne, vas te faire remplir la chatte.
Je me sens mal. Non pas parce que c’est des clochards, ce n’est pas la première fois, et ils sont moins nombreux, mais parce que je n’ai jamais accosté un homme en lui disant "encule-moi". Faire est une chose, demander en est une autre. Je m’avance et m’approche du feu. Celui qui est debout, une bouteille de vin à la main, me regarde arriver et gueule:
— Tu viens te faire enculer, salope?
Je me surprends à lui crier:
— Oui, mon cul est ouvert à tous ceux qui ont envie de se vider les burnes.
Je m’avance encore un peu et me mets à quatre pattes devant lui, mon cul devant lui. Il se retourne vers ses copains et gueule:
— Hey les mecs, y a une salope qui veut en prendre plein le cul, venez!
Il s’avance vers moi, défait son pantalon, sort sa bite, et m’encule d’un coup. Je jouis sous le scotch. Je suis vraiment fait pour recevoir des bites. Je me sens bien et lève la tête. Un autre clochard est devant moi, sa bite à la main. Il m’ordonne:
— Suce, salope.
Et avance sa bite vers ma bouche. Elle pue. J’ouvre la bouche et prends sa bite. Le goût est atroce. Il me dit:
— Suce-moi la bien, salope.
Il jouit assez vite, j’ai failli vomir. Mais un autre vient le remplacer. Il pue autant. Il a une belle bite, mais elle pue aussi. Je ne m’habitue pas à l’odeur. Heureusement, il jouit assez vite aussi. Dans mon cul, le premier a joui et un second le remplace. Je baisse la tête vers le sol et prends plaisir à cet enculage. Les autres gueulent autour. Je ressens cette bite dans ma «chatte» déjà bien trempée par le sperme du premier. Je n’arrête pas de jouir. Je me rends compte que je jouis avec mon cul. Mon clochard enculeur jouit dans mon cul. Il se retire et dit à ses copains qu’il faut que ma chatte reste pleine. Je sens un truc dur pousser violemment dans mon cul. Je hurle. J’entends qu’il dit à ses copains:
— Hey les mecs, je l’ai bouchée avec une cannette, elle est rentrée toute seule, et il me tape violemment sur mes fesses.
Je me relève. La canette tient dans mon cul, et je marche vers parrain. La douleur dans mon cul se calme, la canette a été aspirée. Parrain me dit de me mettre à quatre pattes. Je me positionne jambes écartées. Parrain attrape le goulot de la canette et la tire vers l’extérieur. Je me sens dilaté. Elle commence à sortir, mais parrain la bloque. Il me dit de ne pas bouger, qu’il attache une ficelle au goulot pour être sur de pouvoir la ressortir de mon cul. Puis il l’enfonce dans mon cul. Je sens qu’elle est aspirée.
Parrain me fait me relever, et on reprend le chemin.
Chapitre 10
Parrain me demande ce que j’ai ressenti quand j’ai été demandé au groupe de clochards de venir m’enculer. Je lui explique que le plus dur était de demander. Parrain me dit:
— Tu es une vraie chienne et un parfait vide-couilles. Tu n’as pas à avoir honte. Tu aimes la bite et tu adores le sperme; et les hommes adorent se servir de leur bite et cracher leur sperme. Qu’y a-t-il de mal à demander à quelqu’un si on peut lui faire du bien.
Je lui dis que je suis d’accord, mais ce n’est pas évident. Un homme arrive face à nous sur le chemin. Parrain me dit:
— Tu vois l’homme qui arrive. Tu vas t’avancer et lui dire: "bonsoir monsieur, est-ce que je peux vous sucer", et tu verras bien sa réaction.
Parrain ralentit le pas. J’avance vers cet homme. Il n’est pas très vieux, plus jeune que parrain ou que mon père, cheveux très courts. Arrivé devant lui, je respire un grand coup et je lui dis:
— Bonsoir monsieur, je peux vous sucer?
L’homme s’arrête. Il voit que je n’ai pas de pantalon. Il me dit:
— Retourne-toi et penche-toi en avant.
Je m’exécute. Il tâte les fesses, et voit la ficelle. Il me dit:
— Il y a quoi au bout.
Je lui dis qu’il y a une canette de bière. Il prend la ficelle et tire. La canette sort. Il me demande ce que je cherche. Je lui dis que je suis un vide-couilles et que je cherche des bites. Il me demande si j’en ai déjà trouvé. Je lui dis oui. Il me demande où. Je lui dis dans la clairière au fond. Il me dit qu’il n’y a que des clodos dans cette clairière. Je lui dis oui. Il me demande si je me suis fait enculer par les clodos. Je lui dis oui. Il me traite de sale chienne. Je lui réponds oui. Il me dit qu’il va me rincer. Je ne bouge pas. il défait son pantalon, me dis de ne pas bouger je sens sa bite à l’entrée de ma «chatte» il rentre tout doucement, de quelques centimètres, et ressort. Il me demande si je suis une chienne. Je lui réponds:
— Je suis une chienne, une vide-couilles, mon cul est une chatte qui reçoit n’importe quelle bite.
L’homme ne dit rien m’encule d’un coup et ne bouge plus. Je sens par contre une drôle de sensation: un liquide chaud me remplit. Je comprends qu’il est en train de pisser en moi. Puis il se met à bouger. La sensation est étrange, mais agréable. Il se retire, passe devant moi, et me dit:
— Suce.
J’ouvre la bouche, il m’attrape par les cheveux et baise ma bouche. Il jouit, me dit d’avaler et qu’il veut une bite bien propre. Je le suce jusqu’à ce qu’il débande. Il se refringue et me dit:
— Merci chienne, et il s’en va.
Je me redresse, et ça coule de mon cul. Je m’accroupis pour vider mon cul de la pisse. Parrain m’a rejoint et me dit:
— Tu pisses avec ta chatte!
Je réalise que, comme une femme, je pisse par la chatte. Parrain me fait me relever et me retourne en me disant:
— Moi aussi, j’ai envie de pisser.
J’écarte mes fesses pour qu’il puisse venir pisser dans mon cul. Parrain rentre sa bite d’un coup et je le sens pisser en moi. Il me fait m’accroupir, me donne sa bite à sucer et me dit de bien la nettoyer. Puis il me fait me relever, et me dit:
— Tu n’as pas encore vidé 20 bites petite chienne, alors en chasse.
Nous partons vers la clairière de la veille, mais il n’y a personne. Parrain me dit:
— On va aller de l’autre côté du bois mais là-bas, ça craint. Je lui demande pourquoi ça craint. Il me dit que c’est les jeunes des cités qui y font leurs plans abattage. Je demande ce que c’est qu’un plan abattage. Parrain me dit que je ne pourrais rien refuser tant qu’ils en auront envie, et que souvent, ils sont une trentaine. Je regarde parrain et lui dit:
— Parrain, je suis un vide-couilles et une chienne. Grâce à toi, mon cul est devenu une vraie chatte. Je viens de sucer des clochards dont la bite puait à mort, ma chatte a été rincée à la pisse et j’ai même été enculé par un chien. Que peut-il m’arriver?
Parrain me regarda droit dans les yeux et me dit:
— Petit, à 15 ans, tu es devenu un vide-couilles exceptionnel. Tu aimes la bite et le sperme comme je n’ai jamais vu personne aimer. Ton cul, ou plutôt ta chatte a besoin de bite en permanence. Ce que j’ai peur, c’est que les mecs que l’on va rencontrer vont s’en rendre compte. Et tu risques de devenir leur vide-couilles permanent. Ils sont capables de t’amener dans une cave de leur cité, et de te faire enculer nuit et jour pendant des semaines entières. Et le problème, c’est que tu serais d’accord.
Me faire remplir la bouche et mon cul-chatte pendant une semaine nuit et jour. Le rêve absolu! Rien que d’y penser, je venais d’éjaculer sous le scotch. Ce dernier était maintenant complètement trempé. Je rassurais parrain en lui disant que je n’étais pas complètement fou et que papa et maman s’inquièteraient si je disparaissais pendant une semaine. Et je lui demandais, pour changer de sujet, s’il avait du scotch pour ma bite. Parrain me regarda en me disant:
— Rien que de penser que tu risquais de te faire enculer nuit et jour pendant une semaine, tu as joui?
Je lui répondis timidement oui. Il m’a demandé ce que j’avais de prévu avec mes parents pour les vacances de Pâques. Je lui dis qu’il n’y avait rien de prévu. Parrain me dit:
— Dans ce cas, tu monteras chez moi à Paris. Je connais une cité où ils se feront un plaisir de t’enculer nuit et jour pendant toute la semaine.
J’ai joui à nouveau. Et mon cul était trempé. Mon cul était bien devenu une chatte. À l’idée de se faire défoncer, il mouillait. Comme une chatte. Parrain me dit:
— En attendant, on va changer le scotch et on va aller de l’autre côté du bois... que tu puisses te faire enculer pendant une heure ou deux.
J’étais aux anges!
À suivre...
De retour à la maison, je file à la douche. Il est tard et mes parents ne devraient plus tarder à rentrer. Je demande à parrain ce que je dois faire pour le scotch et le plug. Parrain vient m’aider et enlève le scotch de mes fesses, et de ma bite. Il me dit que le plug est bien en place, on le laisse.
Je me douche rapidement. Je n’ai pas fini de me rhabiller dans ma chambre que j’entends la voiture de mes parents. J’accélère le rythme et descends rapidement les escaliers. Parrain est à nouveau dans sa pile de dossiers.
Papa et maman rentrent. Parrain leur demande s’ils se sont bien amusés. Maman lui dit que oui et demande si on a mangé. Parrain lui dit qu’il m’a amené dans un petit resto. Maman me demande si c’était bon. Parrain lui dit que je me suis régalé avec la sauce des saucisses. J’ai failli m’étrangler quand il a dit ça…Papa et maman disent qu’ils sont crevés, et montent se coucher. Parrain est perdu dans ses dossiers. Je lui dis que je monte me coucher aussi, il dit qu’il ne va pas tarder.
Je me couche comme d’habitude, à plat ventre. Le plug me fait une sensation sympa dans mon cul. Je repense à la journée et je m’endors.
Je suis réveillé par une drôle de sensation. Parrain est en train de retirer lentement le plug. Il me dit de ne pas bouger, prend un oreiller et me le met sous le ventre. Mon cul est bien positionné. Il retire le plug, puis je sens le gel froid couler. C’est agréable. Parrain me dit doucement à l’oreille qu’il va me travailler le cul. Je sens qu’il essaye de rentrer sa main en entier. Je me détends et je sens sa main aspirée dans mon cul. Il enfonce sa main loin en moi. J’ai l’impression qu’il est dans mon ventre. Je bande dur. Parrain retire sa main, la renfonce plusieurs fois de suite. Puis, il joint ses deux mains et commence à pousser. Là, je me sens écartelé. Il pousse un peu plus à chaque va-et-vient de ses mains. Je sens que ses doigts sont en moi, sauf ses pouces. Huit doigts. Parrain rentre une main puis rentre les doigts de l’autre main. Ça tire de plus en plus. Parrain me dit de me détendre.
Je souffle un grand coup, parrain pousse et ouille, c’est passé. Parrain me dit qu’il vient de mettre les deux mains dans mon cul, que maintenant il va tourner avec ses doigts pour que mon cul s’assouplisse. Ça tire, mais je dors à moitié. Je me sens écartelé, comme avec la bouteille, mais là, c’est que du plaisir. Parrain joue longtemps. Puis il ressort, m’essuie et remet le plug. Je le sens à peine rentrer. Parrain me dit de me tourner sur le coté, vient à côté de moi, et me donne sa bite à sucer. Il tient ma tête avec ses mains et baise ma bouche. Il jouit. Il me dit de ne pas avaler, de m’endormir la bouche pleine. Je lui fais signe oui avec la tête, me remets à plat ventre et je pense que je me suis endormi de suite, la bouche pleine de son sperme.
Le lendemain matin (samedi), je me réveille avec la bouche qui colle. Visiblement je n’ai pas avalé dans la nuit. Je regarde l’heure: 11h passées. Il faut que j’aille aux toilettes. J’enfile un pantalon de pyjama pour que mes parents ne voient pas le plug. Je sors de ma chambre et tombe nez à nez avec parrain. Il venait me réveiller. Mes parents sont partis au marché et ne seront pas là avant midi et demi. Je lui dis qu’il faut que j’aille aux toilettes. Il me dit d’aller dans la salle de bains. J'entre dans la salle de bains mais je lui redis qu’il faut que je chie. Il me dit:
— Je sais, mais je vais te laver la chatte.
Il me fait asseoir sur le rebord de la baignoire, le cul vers l’intérieur. Il enlève le plug, dévisse le tuyau de douche, fait couler l’eau, et me le rentre dans le cul. Il me dit de serrer tant que je peux, puis de tout lâcher. Je chie dans la baignoire. Au bout d’un moment, l’eau qui sort est propre. Parrain me dit que ma chatte est bien propre. Il me tend une serviette, j’essuie mon cul devenu «chatte».
Parrain sort sa bite et me dit de le sucer. Je le suce. Sa bite devient bien raide. Il me dit de me lever et de m’appuyer contre le lavabo, jambes écartées. Je le fais. Il vient derrière moi. Il me pénètre doucement. La sensation est super bonne. Parrain me demande ce que je ressens. Je lui dis que la sensation est nouvelle, super agréable. Sa bite frotte sur l’entrée de ma chatte, rentre et ressort sans aucun effort. Parrain me dit que j’ai une superbe chatte bien souple et que quand sa bite ressort, elle reste ouverte, elle «attend» la bite. Je jouis en imaginant mon cul qui reste ouvert en permanence. Je suis une chienne. Je peux me faire baiser n’importe quand sans même que l’on ait besoin de me préparer, ma chatte sera ouverte.
À suivre...
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