Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Juin 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Je veux avoir une chatte ouverte. Comme tout bon vide-couilles. Mon cul est ouvert en deux par le plug de 7cm mais la douleur devient plaisir à l’idée qu’il transforme mon cul en chatte. Je repense à la main de Thierry et le plaisir que j’avais de la sentir en moi. Mon cul doit s’ouvrir, peu importe la douleur.
Parrain gare la voiture dans une allée. Il y a d’autres voitures. On descend de la voiture. J’ai un peu de mal à marcher. Parrain me dit:
— Pense aux bites que tu vas sucer, au sperme qui va couler dans ta bouche.
Et d’y penser, je bande. Mais ma bite scotchée me fait mal, mais elle pousse le plug en moi, et ça, ça fait du bien.
On avance dans une allée. Il fait de plus en plus sombre. Plusieurs mecs sont sur le bord de l’allée, appuyés contre des arbres. Certains se masturbent. Parrain continue d’avancer, il me dit que l’on va à la clairière. On arrive par un petit chemin dans une éclaircie dans les arbres. Plus loin, il y a visiblement un attroupement.
On va vers le groupe. Il y a deux mecs en train de se faire sucer et beaucoup de mecs autour la queue à la main. Parrain me fait enlever mon blouson et mon teeshirt et me dit de me mettre à genoux devant les mecs qui se branlent.
Je me mets lentement à genoux, le plug me gênant. À peine posé, je suis entouré de mecs qui se branlent. J’ouvre la bouche et immédiatement j’ai une bite dans la bouche. Les autres frottent leur bite sur mes épaules. C’est super agréable. Le premier jouit dans ma bouche. Je prends une autre bite dans la bouche et un mec jouit sur ma joue. Les bites qui se frottent à moi sont humides et je sens des mecs qui jouissent sur ma tête, mes épaules. J’arrête de sucer pour ramasser le sperme qui coule sur ma joue, et suce mes doigts. Le mec qui est devant moi me dit de pencher la tête en arrière et d’ouvrir ma bouche en grand. Et là, les mecs viennent pour se vider dans ma bouche. Certains ratent ma bouche et j’en ai plein le visage et plein les yeux. Ça pique. J’ai la bouche pleine de sperme. Parrain me dit d’avaler et de ramasser tout le sperme qui est sur mon visage. J’avale et avec mes doigts, je ramène le sperme qui est sur mon visage dans ma bouche. Les mecs me traitent de vide-couilles, parrain leur dit que je suis une chienne. Un mec demande si on peut m’enculer. Parrain lui dit que sa chatte est remplie par un énorme gode, mais qu’il me ramènera dans quelques jours, quand ma chatte sera bien ouverte.
Je regarde à côté un mec qui est à quatre pattes, à poil en train de se faire enculer. D’autres lui jouissent sur le dos. Un mec dit à parrain:
— Dis à ta chienne de le nettoyer.
Parrain me dit d’aller lécher le sperme qu’il a sur le dos. J’avance à quatre pattes et commence à lécher le dos du mec. Sensation étrange. L’homme qui l’encule jouit bruyamment dans son cul et se retire. Il me dit:
— la chienne, son cul est plein de foutre, va lui lécher le cul, aspire.
Là, je ne sais pas quoi faire. Sucer un cul, ça ne m’est jamais arrivé. Parrain s’approche de moi et me dit:
— Tu es une vraie chienne. Les chiens se lèchent le cul. Le sien est plein de sperme. Tu adores ça. Remplis ta bouche avec le sperme qu’il a dans le cul.
Je suis un peu dégoûté mais je m’approche de ce cul. Il sent le sperme. Je lèche les fesses, puis l’anus de l’homme. Il pousse visiblement et du sperme coule; j’aspire. Ça semble ne jamais vouloir s’arrêter. J’entends un homme qui dit:
— Il s’est fait enculer par quinze mecs, elle a de quoi boire la petite chienne.
Le mec vide son cul dans ma bouche. J’en avale une partie, il y en a trop. Je me redresse et montre ma bouche pleine à ras-bord. Parrain me dit de ne pas bouger. Deux mecs viennent jouir dans ma bouche. Il me dit d’avaler puis de finir de lécher le cul. J’avale et me remets à lécher le cul. Ma langue entre dans son cul et l’homme a l’air d’apprécier. Quand j’ai fini, je me redresse. Parrain me dit de me relever. Je me relève. Parrain me dit:
— Tiens, tu vas mieux que tout à l’heure.
Je lui demande pourquoi. Il me dit:
— Tu ne sens plus le plug?
Et c’est vrai. Je ne sens plus aucune douleur. Mon cul s’est habitué à ce gros plug. C’est donc que mon cul est devenu une chatte. Parrain lit dans mes pensées. Il me dit:
— Oui, ton cul s’est ouvert. Mais il faut laisser le plug encore longtemps, sinon, il va se refermer.
Je lui dis que ça ne me gêne pas, je me sens aussi bien qu’avec le plug plus petit. Parrain me fait remettre mon teeshirt et mon blouson, et l’on repart à la voiture. J’ai du sperme collé sur tout le visage, dans les cheveux. Je sens le sperme. Je me sens bien.
À suivre...
L’après-midi se passe dans le calme.
Le soir, je suis Marc chez lui. Il habite vraiment à deux pas du bahut. C’est un vieil immeuble du centre-ville. Il me dit que ses parents rentrent tard, que ses grands-parents maternels habitent au rez-de-chaussée, ses parents au premier, et il a une chambre aménagée au second. On s’arrête au rez-de-chaussée. Il va voir ses grands-parents, me rejoint et me prend par la main.
On arrive au second. Sa chambre est immense. Il ferme la porte, se tourne vers moi et m’embrasse. Je suis surpris. C’est la première fois que je roule une pelle à un mec.
On se déshabille mutuellement. Il me caresse tout le corps, et je fais pareil. Il me fait m’allonger sur le lit. Réflexe, je me mets en levrette. Il me tourne doucement. Se serre contre moi et m’embrasse partout. Je bande dur et je sens mon cul se tremper. Il passe un doigt sur mon cul. Il me dit que je mouille. Je lui dis que je mouille du cul comme une chienne. Il me dit que je mouille comme un mec qui a envie de faire l’amour. Il se positionne sur moi en 69. je suce sa bite. C’est la seconde fois que l’on me suce. Là je trouve ça agréable. Il me suce et en même temps me branle doucement le cul avec ses doigts. Puis il se relève, relève mes jambes, je tiens mes genoux dans mes mains, s’approche de ma rondelle bien ouverte et entre doucement en moi. Je ne peux me retenir et jouis sur mon ventre. Il sort de mon cul, se penche et lèche mon ventre. Puis m’encule à nouveau tout doucement. Je sens que je jouis, mais du cul. La sensation est totalement différente, beaucoup plus intense et longue. Il s’en rend compte et me dit:
— Jouis, mon amour.
Je jouis longuement et à plusieurs reprises. Je lui dis que je veux qu’il décharge dans ma bouche. Lorsqu’il sent qu’il vient, il sort de mon cul, je me jette sur sa bite. C’est un torrent de sperme qui emplit ma bouche. J’avale tout. Je ne veux rien laisser perdre, quitte à m’étouffer. Je ne lâche pas sa bite, je la suce doucement jusqu’à ce qu’elle redevienne molle. Là, elle sort de ma bouche. Il se remet devant moi mais descend et me lèche le cul. Je sens sa langue entrer en moi. Je sens que je mouille. Il bande à nouveau. Il me fait mettre sur le côté et vient en moi. Je jouis du cul dès qu’il rentre en moi. Il me lime furieusement. Je ne suis plus que jouissance. Il jouit en moi. Je le retiens. Je ne veux pas qu’il sorte de mon cul. On va rester ainsi pendant près d’une heure, sa bite plantée en moi. Vu l’heure, je dois rentrer. C’est à regret que je sens sa bite sortir de moi. Il me dit qu’il aurait voulu rester des heures en moi. Je lui dis la même chose. Il me caresse et m’embrasse. Je me rhabille vite, je sens que sinon je vais rester.
On s’embrasse furieusement et je sors de chez lui. Je viens de faire l’amour.
Pendant le retour dans le bus, je ne peux me détacher de ce qui vient de se passer. J’ai fait l’amour avec un homme, et c’est bon.
Arrivée à la maison, il y a la voiture de parrain, mais pas de mes parents.
Parrain est dans le salon et a l’air content de lui. Je lui demande si tout va bien. Il me dit qu’il a passé une super journée. Il me dit qu’il a une surprise pour moi. Je ne demande rien de plus, monte dans ma chambre et enlève mon jeans et mon slip. Parrain arrive avec dans la main un drôle d’objet. Il me dit qu’il a un ami tourneur qui a pu le réaliser; on dirait un cône en métal arrondi aux deux bouts.
Il m’explique qu’afin que mon cul se déforme bien, il a fait réaliser un œuf en métal de 9cm de long, 7 et demi de larges à la base. Il est en inox creux, rempli de plomb. Je me mets en levrette. Parrain me met du gel et me dit que j’ai dû en profiter aujourd’hui, mon cul est ouvert et il sent le sperme. Il introduit son bidule dans mon cul. C’est froid et pas désagréable. Ça force un peu sur la base, mais ça rentre. C’est super lourd! J’ai l’impression que ça pèse une tonne. Avec ça, c’est sûr, mon cul va se déformer vers le bas. Il me demande le plug gonflable. Je me lève pour le sortir de ma cachette. J’ai l’impression que mon cul est grand ouvert vers le bas. Je passe ma main pour contrôler. Effectivement, je peux rentrer trois de mes doigts par l’ouverture. J’ai pas de grosses mains, mais quand même. J’attrape le plug gonflable et me remets en position. Parrain pompe. Mon cul se dilate. Ça commence à faire mal et je bouge un peu. Parrain me demande s’il doit arrêter. Je lui dis qu’il doit le gonfler à mort. Mon cul doit se déformer et pour ça, il faut que ça fasse mal. Je lui prends la pompe des mains et pompe moi-même jusqu’à ce que je m’écroule sur le lit. Il me dit que je suis une vraie chienne. À ce régime, j’aurai une chatte très vite. Une belle chatte de chienne. Toujours ouverte, toujours humide. Et les bites pourront défiler dans mon cul. Je ne sentirai que du plaisir.
Je mets longtemps à m’habituer au plug ainsi gonflé à bloc. Je repense à mes expériences de vide-couilles, de chienne capable de se faire baiser n’importe où par n’importe qui. À ma nouvelle vie au lycée, et à la fin d’après-midi passée avec Marc. Là, je n’ai pas baisé. Il m’a fait l’amour. Je deviens amoureux d’un mec et pourtant je ne pense toujours pas être homo.
Mes parents rentrent en fin de journée. Curieusement, j’arrive à me lever sans trop de gêne. Par contre, le bidule de parrain est vraiment lourd, je ne peux pas l’oublier. J’ai l’impression que mon cul est tiré vers le sol. Le repas se passe dans le calme. Je remonte me coucher. Parrain passe me voir dans la chambre. Il me rappelle que je dois porter le plug avec son bidule que la nuit, qu’il viendra me réveiller pour l’enlever. Il me souhaite bonne nuit. Je m’endors en bandant.
Le lendemain matin, je suis réveillé par les mains de parrain. Il a dégonflé le plug et a les doigts recouverts de gel. Il me fouille et c’est agréable. Je sens qu’il force un peu et je réalise à peine réveillé que sa main est en moi. Il rentre et il ressort son poing de ma «chatte». Il sort sa main, je sens que mon cul est bien ouvert. Il me dit de me relever doucement. Je me relève, et sens son bidule qui sort de mon cul. Parrain le récupère. Il a sorti sa bite, et m’encule. Je ne ressens rien. Ça m’étonne, parrain dit que mon cul est trop ouvert, il passe devant moi et je le suce. Il jouit assez vite. Je reste la bouche pleine. Il me fait un bisou sur les fesses et sort. J’avale, me lève et vais à la douche.
J’aime me laver l’intérieur de ma chatte. La poire de douche rentre sans forcer dans mon cul. Lorsque je suis bien propre, je sors de la douche, et en m’essuyant, je sens que mon cul est ouvert. Je rentre trois doigts et je le sens à peine. Je mets un paquet de papier toilette dans ma raie, un slip, un jean, et un pull.
Je descends déjeuner et prends le bus pour le lycée.
À suivre...
On remonte dans la voiture, et on quitte la cité.
Parrain me dit que j’ai été un bon vide-couilles. Je lui dis que par contre, je ne ressens plus rien par mon cul. C’est plus une chatte non plus, mais un gouffre. Je ne prenais du plaisir qu’avec les poings, ou quand un mec se branlait en moi. Parrain me dit que c’est normal. Pour que mon cul devienne une vraie chatte, il faut dans un premier temps l’étirer plus que de raison. Car de toute manière, le cul est un muscle et qu’il va se refermer. Sauf que si on l’étire beaucoup trop, il se referme, mais plus totalement. Je lui demande à quoi servent les boules de pétanque.
Il me dit que la boule a le même diamètre que mon ancien plug, 7cm. Mais qu’elle pèse. Le poids des deux boules va faire que l’ouverture de mon cul, ronde au départ, va se déformer par le poids des boules, et devenir ovale vers le bas. Comme l’ouverture d’une vraie chatte. Je lui dis que je n’ai jamais vu de chatte de femme. Il me dit en souriant que d’ici quelques semaines, j’en verrai une en regardant mon cul dans un miroir. Je lui dis que je suis impatient d’avoir une vraie chatte. Il me dit que si je suis pressé, je n’ai qu’à gonfler plus le plug. Plus la déformation sera grande et rapide, et plus elle restera ouverte.
Je pompe à plusieurs reprises sur la poire du plug. La douleur est intense, mais me fait bander. Mon cul sera une chatte et restera ouvert à vie, et pourra recevoir des bites nuit et jour. Et à cette idée, je jouis.
Arrivée près de la maison, je me rends compte que malgré toute ma volonté, je ne pourrai pas marcher normalement devant papa et maman. Parrain me dit d’attendre. Si mes parents sont là, je dégonflerai le plug. La voiture de mes parents n’est pas là! Je garde le plug gonflé et tente d’avoir une démarche pas trop tordu pour rentrer à la maison. Je monte dans ma chambre. Parrain me dit d’enlever le plug et les boules de pétanque. Je me déshabille, et à peine le plug est dégonflé qu’il sort de mon cul suivi des deux boules. Parrain me dit d’aller me laver la chatte, puis qu’il va me mettre de la pommade. Je ne démonte pas la poire de douche: elle rentre sans forcer dans mon cul. Je reviens à la chambre le cul bien propre. Parrain m’enduit de pommade. Je lui demande quel plug je devrai porter plus tard. Parrain me dit que ce sera un bouchon anal. Comme un plug, mais court. Comme une capsule en caoutchouc. Il me dit qu’il a un ami qui fabrique des prothèses médicales. Que si tout va bien, mon cul sera totalement déformé et sera une vraie chatte quand je serai chez lui pour les vacances. Et que son ami pourra me faire le bouchon. Il m’explique que je devrai porter ce bouchon en permanence, et qu’il s’enlève en deux secondes. Il me tarde que mon cul soit totalement déformé en une vrai chatte.
Parrain me dit de ne rien mettre jusqu’à ce soir. Que par contre, quand je me coucherai, il faudra que je remette les boules de pétanque et le plug gonflé. Je lui demande comment je devrai gonfler le plug. Il me répond que ça ne dépend que de moi et de mon envie de le déformer en vrai chatte. La fin de la journée et le repas du soir avec papa et maman se passent bien. J’ai par contre une sensation de «vide». Il n’y a rien dans mon cul, et cette sensation me manque. J’aime sentir mon cul étiré et dilaté.
Le soir avant de me coucher, je lave mon cul. La poire de douche a du mal à rentrer. Mon cul se resserre vite visiblement. Je me couche, enfonce difficilement les boules de pétanque qui ont du mal à entrer, puis mets le plug. J’ai l’impression de l’avoir à peine gonflé et ça fait mal. Je veux que mon cul soit déformé. De penser à ma future «chatte», je bande dur. Ça me fait partiellement oublier la douleur. Je pompe comme un fou. La douleur est énorme, je suis recroquevillé sur le lit et ça me fait jouir. Je suis épuisé, mon cul me tire, et je sens que je m’endors.
Je suis réveillé par des caresses. Je n’ouvre pas les yeux, mais la bouche. J’entends parrain qui me dit doucement à l’oreille:
— Tu es vraiment la reine des chiennes, tu attends la bite même en dormant.
Il enfonce sa bite dans ma bouche. Il jouit. J’étale son sperme dans ma bouche et me rendors. Visiblement pas longtemps, mon réveil sonne. Je vais pour l’arrêter et ma main se pose sur la jambe de parrain. Il me demande si j’ai bien dormi. Je lui dis que oui. Il me dit de ne rien porter de la journée. Le but est d’infliger à mon cul des dilatations violentes afin de bien le déformer.
Parrain me dit de mettre un slip, et du papier toilette dans ma raie, afin d’éviter les fuites. Je pars au lycée le cul vide. Je n’aime pas cette sensation de vide. Je prends le bus, bondé comme un lundi matin. Le trajet est long. Je descends à mon arrêt avec d’autres qui vont visiblement au lycée comme moi, mais je ne les connais pas. Pas de copains, en vue, je marche vers le lycée. Deux autres lycéens, visiblement plus jeunes que moi m’interpellent. Je m’arrête et les attends. Le plus petit me dit:
— On t’a reconnu, tu étais dans les caves de la cité samedi. On veut pas d’embrouilles. On n’est pas pédé et on n’a pas envie qu’au bahut ça parle. Ce qu’on veut, c’est se vider les burnes dans ton cul. On n’est pas pédé, on n’embrasse pas et il est pas question que l’on se fasse sucer par un mec. Donc, on se vide dans ton cul quand on veut, et silence complet des deux côtés OK?
— OK, j’ai pas envie non plus qu’au bahut on le sache, je réponds.
— En plus, les profs sont trop cons pour comprendre. Bon puisque tu es OK, on se retrouve dans cinq minutes aux chiottes du troisième, après les salles de chimie au fond. Tu vas dans la dernière chiotte, tu te mets le cul à l’air, on tapera deux fois. Tu ouvres, me dit-il.
— OK, répondis-je.
Et ils repartent. Au moins, je vais pouvoir me faire remplir le cul au lycée, et il n’y aura pas de vagues.
J'entre dans le lycée et me dirige vers le troisième étage. C’est encore désert dans les couloirs. Je fonce vers les chiottes. Je suis excité et inquiet en même temps. Je sens que mon cul est mouillé. Je rentre dans la chiotte du fonds, ferme le verrou, enlève mon jean et mon slip, sors le papier coincé dans ma raie. C’est un liquide transparent qu’il y a dessus. Je mouille du cul!
J’ai à peine fini qu’on tape deux petits coups à la porte. J’ouvre le verrou. La porte s’ouvre d’abord doucement, puis celui qui m’a parlé rentre. J’écarte les jambes, et me tiens avec les mains sur le tuyau de la chasse. Il m’encule d’un coup, il me lime très vite, se crispe, je sens qu’il jouit. Il sort sa bite, l’essuie contre mes fesses, et sort. Son copain entre de suite et m’encule. Le même: on lime à fond, on jouit, on frotte sa bite sur mes fesses, et sort.
Je me retourne, ferme la porte et m’assois sur le chiotte. Ç'a été tellement rapide que j’ai encore plus envie de me faire mettre qu’en arrivant. Le sperme coule de mon cul dans la chiotte. Je prends du papier et m’essuie. J’entends à nouveau deux petits coups à la porte. Je me lève et ouvre le verrou. Celui qui m’avait parlé ouvre la porte comme la première fois, et me dit:
— T’affole pas, on a ramené des copains. Ils marchent tous dans la combine.
Je reprends ma position. La porte se referme, et une bite beaucoup plus grosse me pénètre. Lui par contre me tient par les hanches. Il baise bien. Je commence à prendre du plaisir. Il sort de mon cul et me dit doucement:
— Ta bouche.
Je me retourne. Il est plus grand que nous, c’est un terminale. Je prends sa bite dans ma bouche, il jouit. Réflexe de bon vide-couilles que je suis, je lui montre ma bouche pleine. Il sourit et me dit:
— T’inquiète pas, avant ce soir, ta bouche sera remplie. Pour midi, tu changes de cantine. On va te nourrir au sperme.
Je ferme ma bouche, avale. Il me dit de me retourner. La porte s’ouvre et un autre entre. Il m’encule direct mais sa queue est petite. Il sort a bite, se branle devant mon cul et jouit dessus, et sort de suite. Je me retrouve le cul couvert de foutre à l’air. Je me retourne, ferme la porte et me repose sur la chiotte. Je ramasse le sperme sur mes fesses et instinctivement, je suce mes doigts. J’aime vraiment le sperme. L’odeur, le goût, la texture, tout me plaît. Et je me dis qu’un repas au sperme, ça doit être sympa. J’entends la cloche sonner. Je me rhabille en vitesse et fonce en cours.
À suivre...
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