Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Juin 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Je dors et j’entends la voix dans les haut-parleurs qui nous informe que le train va entrer en gare dans 15 minutes. Visiblement, j’ai dormi avec une bite dans le cul. Le black se réveille et je sens sa bite qui grossit et durcit dans mon cul. Je bouge légèrement pour la sentir en moi mais ce n’était pas une bonne idée: mon cul me brûle. Mon enculeur se réveille et commence à me limer de plus en plus. Ça brûle mais je ne sais pourquoi, ça m’excite. Mon cul se lubrifie et la douleur se calme.
Sur la couchette en face, son copain s’est réveillé. Il est nu et sa bite se dresse de plus en plus. Je n’ai qu’une envie: la sucer. Le mec comprend mon désir et se lève. Il se positionne devant moi, passe sa bite sur mes joues, dans mes cheveux, puis la glisse dans ma bouche. Il me baise la bouche. Il jouit très vite. On me fait me lever, son copain toujours allongé m’attrape par la tête et se vide dans ma bouche. Ils me font alors bien lécher leurs bites jusqu’à ce qu’elles soient bien propres. Tout le monde se rhabille et on s’assoit en attendant l’arrivée en gare.
Visiblement, on est encore loin de la gare. Le premier se lève, ouvre sa braguette, sort sa belle tige noire et me dit que sa bite a apprécié passer la nuit dans mon cul et qu’elle serait ravie de patienter jusqu’à la gare dans ma bouche. Je m’approche et gobe ce beau bâton. Je le suce très lentement, plus par les mouvements du train que de ma tête. Sa bite redevient bien dure. Il me dit qu’il a envie de jouir mais qu’il va se retenir jusqu’à la gare.
Le train s’immobilise. J’ai toujours sa bite dans ma bouche. Son copain pousse ma tête doucement vers sa bite pour me la faire prendre en entier mais j’ai du mal. Puis d’un coup, il jouit dans ma bouche. J’avale et le suce pour que sa bite soit bien propre. Il se rhabille et on descend du train.
Ils me demandent si je sais où aller. Je leur dis que mon parrain doit m’attendre. Après quelques aller-retours sur le quai, je trouve parrain. Il s’approche de moi et me fait la bise. Il me dit de suite que je sens le sperme. Je lui raconte ma nuit dans le train. Parrain me demande si je veux déjeuner. J’ai faim. Alors, parrain m’entraîne… vers les toilettes! Visiblement, le petit dej sera crémeux. Miam!
Arrivé dans les toilettes, parrain me pousse dans une cabine. Je suis assis sur le chiotte et il me donne sa bite à sucer. Parrain est visiblement excité, il jouit vite. Parrain me demande alors si je suis prêt à me faire prendre à la chaîne comme la chienne que je suis. Je lui dis que ça me tarde. On sort des toilettes, et parrain me dit: "Alors on y va de suite. J’espère que tu as faim, car il y a du monde." Je demande à parrain ce que ça veut dire du monde. Il me dit qu’il a fait passer le message dans la cité où il m’amène depuis plus d’un mois. Selon lui, il y aura au moins 50 personnes. "À chaque fois!" précise-t-il. Là je suis excité et en même temps, j’ai la trouille. Je n’en saurai pas plus de parrain.
On prend le métro, puis le RER, puis un bus. Il n’y a que des immeubles à perte de vue. Après une bonne marche, on arrive devant un immeuble gigantesque. Une immense barre. On entre et on descend jusqu’aux caves. On arrive dans une grande cave. Au centre se trouve un banc surélevé avec des accoudoirs trop bas, et des sangles. Parrain me demande de me déshabiller et de ne garder que mes baskets. Il me fait alors monter à plat-ventre sur le banc. Mes jambes sont appuyées sur les accoudoirs. Devant, je peux poser le menton, et les bras sur deux accoudoirs. Tout est recouvert de plastique noir mou. Parrain me demande si je suis bien installé. Je me cale bien et lui dit que oui. Parrain m’attache alors les mains et les pieds. Puis relève un truc, et m’attache la tête par le front. Je suis bien calé et la position n’est pas inconfortable. Parrain ramasse mes affaires et les rangent dans son sac. Il me dit alors que je suis là pour les trois prochains jours. Cul et bouche à disposition.
Parrain sort un tube de gel et m’enduit le cul. Il me dit que c’est une vraie chatte, bien souple. Puis, je l’entends derrière et il m’encule d’un coup. Il me lime un bon moment. Puis il me repasse du gel sur ma rondelle. Sauf que ça chauffe vite. Mon cul me brûle. Je demande à parrain ce qu’il veut. Il s’approche de moi et me dit:
— Je vais attendre un peu. Et quand tu n’en pourras plus, c’est à toi de crier ce que tu veux que je te fasse.
Je résiste quelques minutes mais ça brûle vraiment. Je me mets à crier:
— Je suis un vide-couilles, un trou à bites. Enculez-moi en permanence et jouissez dans ma bouche.
Et j’entends une clameur derrière moi! Parrain s’approche de mon oreille et me dit:
— Bien mon garçon, il y a foule derrière ton cul. Et tu viens de les motiver. Rien ne pourra les arrêter. Pendant les trois prochains jours, ton cul sera qu’un trou à bite et tu vas boire des litres de sperme.
Je sens une bite se positionner devant mon cul ouvert. Et elle m’encule d’un coup. Devant, je vois une foule se masser. Un mec sort sa bite, s’approche de ma bouche. Il me l’enfourne direct. Je n’ai pas compté les bites, ni les heures. Je suis sûr qu’à un moment, je suis épuisé et que des mecs m’enculent encore. Certains jouissent dans un bol. Quand il est plein, on l’approche de mes lèvres et je le bois en entier. Beaucoup ont décidé de rincer ma chatte. Je comprends mieux les lieux et le sol carrelé. On m’a rincé plusieurs fois de la tête aux pieds au jet d’eau. On lave l’intérieur de mon cul au jet.
Je ne sens plus mon corps. Je ne sais depuis combien de temps je suis là. Mon cul a toujours été occupé. On a laissé ma bouche tranquille pour boire des bols de spermes. Au début mon cul m’a démangé, puis brûlé. Maintenant, je ne sens plus rien. On a rajouté un grand plat sous mon cul. Le sperme en trop-plein coule dedans. Puis on le vide dans un bol que j’avale. De temps en temps, on m’a aussi donné à boire de l’eau et certains ont rincé ma bouche en pissant dedans.
À un moment, certains ont décidé de jouer à la tombola. Je ne comprenais pas ce qu’ils voulaient faire. En fait, c’était simple. Ils ont entré dans ma chatte des petites boules numérotées puis chacun est venu plonger sa main dans mon cul pour reprendre une boule. Le plus grand numéro est passé en premier. Ils m’ont tous bien enculé, puis venaient se vider dans ma bouche.
À un autre moment, il a été décidé de laisser mon cul en paix. Je ne sais ce qui a été enfoncé dans mon cul-chatte mais c’était énorme. Puis parrain est revenu. Il m’a demandé ce que je ressentais:
— Plus rien, je lui ai répondu. Je ne ressens plus rien sauf si vraiment on m’écartèle le cul.
Parrain me dit que maintenant, la chienne que je suis va être baisée par des chiens. Je lui rappelle que je suis un trou à bites permanent. Parrain enfonce sa bite dans ma bouche. Il me baise la bouche et jouit.
On me détache. J’ai du mal à me relever et parrain me dit de me mettre par terre à quatre pattes. Derrière moi, il y a au moins une trentaine de personnes et j’ai vu quatre ou cinq chiens. À peine à quatre pattes, le premier chien est amené derrière moi. Il renifle mon cul, je sens sa langue contre ma rondelle. Puis il grimpe sur mon dos. Quelqu’un l’aide à me pénétrer. Pour ceux qui n’ont jamais essayé, je peux vous dire que la sensation avec un chien est unique. C'est totalement bestial, avec une vitesse incroyable. En plus, le sexe grossit de plus en plus et le sperme coule en permanence. Dès que le premier chien a fini, un autre est amené. Il y aura en tout six chiens. Tous différents.
On me fait mettre à genoux. Là, je reçois une douche de sperme. Puis les hommes s’en vont et je reste seul avec parrain et un autre homme. Parrain me présente son copain Rachid. Rachid vient devant moi et fourre sa bite dans ma bouche. Il jouit très vite. Il éjacule une quantité incroyable et j’ai du mal à tout avaler mais j’y arrive. Je suis recouvert de sperme, le cul grand ouvert. Parrain me repositionne à quatre pattes. Sa main rentre sans forcer dans mon cul-chatte bien graissé par tout le jus des chiens. Il ressort et rentre ses deux mains en forçant à peine. Il joue avec ses doigts dans mon cul et c’est agréable mais je le ressens à peine, ce que je dis à Parrain.
Il ressort ses mains et me demande si je veux m’asseoir. Vu que je viens de passer je ne sais combien de temps sur le banc, je lui dis oui. Rachid approche un cône orange et blanc que l’on voit sur le bord des routes quand il y a des travaux. Il me dit de m’asseoir dessus en riant.
Je positionne mon cul dessus et me laisse tomber sur le cône. Il entre et m’étire. Là je ressens à nouveau mon cul. Rachid vient devant moi, m’attrape les jambes par les chevilles et les relèvent. Le cône entre un peu plus et je gémis. Parrain passe derrière moi et appuie sur mes épaules, d’abord doucement, puis de plus en plus. Je suis écartelé et je gémis de plus en plus. Parrain cale une caisse derrière moi qui me sert de dossier, et Rachid pose mes pieds sur deux chaises. Le cône m’ouvre en deux mais je me sens bien. Parrain vient devant moi et me donne sa bite. J’ouvre la bouche pour le sucer. Parrain me dit que je suis vraiment la reine des chiennes. Je viens de passer 28 heures à me faire défoncer par une cinquantaine de mecs, mon cul est écartelé par un cône de signalisation et si on me montre une bite je veux la sucer. Je réponds à Parrain que je suis un trou à bites permanent, la reine des chiennes, et que j’ai encore et toujours envie de bite et de sperme. Et je suce sa bite.
Parrain me dit que les vacances ne font que commencer et que dès demain, il va m’amener sur les chantiers pour y soulager tous les mecs, puis je devrai sucer et me faire prendre n’importe où: en pleine rue, dans le métro, dans les magasins et par les clochards sous les ponts et m’assumer totalement en vide-couilles.
Je ressors un instant la bite de parrain de ma bouche et lui demande:
— Pourquoi on doit attendre demain?
J’engloutis sa bite et parrain jouit instantanément.
Auguste passe à plusieurs reprises le produit pour cautériser la plaie et qui empêche que ça cicatrise. La douleur est atroce mais je me dis que c’est le prix à payer pour que mon cul devienne enfin une chatte toujours ouverte. Puis, il me passe une crème anesthésiante. La douleur se calme enfin. Auguste nettoie le sang qui a coulé sur mes cuisses et me dit que mon épilation n’est pas top. Mon homme me dit qu’à y être, il peut m’épiler. Avec l’anesthésiant, je ne sens rien.
Quand il a fini, il me dit que ma chatte est prête, que je peux l’utiliser mais sans trop forcer, sinon ça va continuer à me déchirer et ça ne sera plus une chatte mais un gouffre. Je demande à mon homme s’il veut utiliser ma chatte. Il me dit que non, qu’il faut attendre un peu. Auguste me dit qu’il va me mettre un écarteur. Le problème, c’est que mon cul va rester grand ouvert et je vais me chier dessus. Je lui dis que ce week-end, je pars pour les vacances chez mon Parrain et que justement, il doit me faire réaliser par un de ses amis un bouchon anal. Auguste me dit qu’il faut quand même trouver une solution jusque-là.
Auguste a alors une idée: "coller un bout de latex dans l’écarteur". Ça fera écarteur et bouchon. Sitôt dit, presque sitôt fait. Il faut que la colle sèche. Dans l’attente, mon homme garde mon cul écarté avec ses doigts. Auguste pose l’écarteur. Je ne sens rien. Je remets mon jeans. Auguste a visiblement une belle bosse dans son pantalon. Je lui demande si je peux le soulager. Auguste dit oui, mais pas là.
Il me fait descendre. On va sur les allées. Beaucoup de circulation. Auguste me demande me m’accroupir entre deux voitures en stationnement. Mon homme est derrière moi, debout. Auguste sort sa bite. Je le suce. De loin, je pense que l’on ne voit que deux hommes qui discutent. Ils parlent de moi. De la chienne que je suis, de mon cul qui est une chatte, de mes prestations au foyer avec les clochards. Ils cherchent le moyen de rendre mon cul public. Comme une pissotière mais prévu pour le sperme. Auguste dit qu’il a une idée. Je ne la connaîtrai pas mais ça l’a fait jouir. Mon homme me dit de ne pas avaler, de faire demi-tour et de le sucer. Double ration. Je m’exécute.
Auguste explique alors son idée à mon homme. Me mettre à disposition tout un après-midi dans un sex-shop. Mais il y a un hic. Je n’ai pas 18 ans. Auguste dit qu’il connaît un gérant de sex-shop qui ne sera pas trop regardant sur mon âge. L’idée consiste à me placer dans un espèce de tonneau. Mon cul sera accessible d’un côté et de l’autre, ma bouche. Personne ne pourra me voir. Tout le monde pourra en profiter. L’idée visiblement plaît: mon homme jouit. Je garde la bouche bien ouverte. Mon homme me dit d’avaler puis de bien nettoyer leurs bites. Je nettoie les deux. Je rentre alors chez moi.
Sur le chemin du retour, mon voisin est dans son jardin. Je lui dis bonsoir. Il me demande si j’ai deux minutes pour l’aider. Je lui dis que je suis toujours à sa disposition. Je le suis et on rentre chez lui. Sa femme sort acheter le pain. Il lui dit que je viens l’aider à continuer à descendre les cartons. Elle me remercie chaleureusement, dit à son mari d’en faire peu, sinon il va se fatiguer, et qu’elle passe chez moi prévenir que je serai retardé.
Elle sort. Mon voisin me dit que l’on a que cinq minutes. Je m’accroupis devant lui, ouvre sa braguette, sort sa bite déjà raide et le suce. Il me traite de tous les noms, de salope, de trou à bites, de vide-couilles et jouit très vite. Je le suce jusqu’à ce qu’il ramollisse. Je lui montre ma bouche pleine. Il me dit:
— Avale salope.
J’avale, reprend sa bite pour bien la nettoyer. Puis je la remets dans son pantalon, referme sa braguette et me relève. Il me passe la main sur le visage en disant que je suis vraiment un bon garçon. On descend un carton. Puis il me dit de rentrer en ajoutant qu’à cette vitesse, on en a pour des mois à tout ranger. Je pars en lui disant que je ne suis pas pressé.
Arrivée à la maison, maman me félicite d’être aussi gentil et serviable. Si elle savait… Elle me dit qu’elle a tout prévu pour aller chez parrain. Je voyagerai en train de nuit. En couchette. Il me tarde d’être à Paris. Parrain m’a promis trois jours et trois nuits non-stop à me faire baiser.
Mon cul a visiblement cicatrisé vite. Je peux passer le doigt ça ne fait pas mal. Je sens la déchirure. Le contact de mes doigts sur cette zone est agréable. Même en sortant de la douche, deux doigts entrent sans forcer. Mon cul est une chatte: "ouvert en permanence".
Vendredi enfin. Ce soir train et Paris. Sur le chemin de la gare, papa m’explique qu’il y a six couchettes par compartiment. Que je voyagerais avec cinq autres hommes. Ça, ça ne me gêne pas… Arrivé au train, trouver le wagon et le bon compartiment. Ma couchette est au milieu, côté droit. Je suis le premier installé. Papa veut quand même voir qui va voyager avec moi. Deux blacks arrivent. Ils ont les couchettes du dessus. Je reconnais l’un deux. Il était devant le foyer! Il est super poli avec papa puis il part fumer sur le quai avec son copain. Papa me dit que je n’aurai pas de problèmes, ils ont l’air très gentil… Papa descend du train après m’avoir souhaité un bon voyage.
Les deux blacks sont remontés. Le train démarre. Le contrôleur passe. Il nous dit qu’il n’y aura pas d’autre voyageur dans notre wagon. On peut verrouiller et passer une bonne nuit. Le black me regarde en disant que l’on va passer une très bonne nuit. Le contrôleur sort et verrouille le compartiment. Le black me demande ce que je suis.
— Un vide-couilles prêt pour tous tes désirs, je réponds.
Il me dit:
— À poil!
Je me déshabille et enlève discrètement l’écarteur. Il dit à son copain:
— Encule le direct à sec. C’est une salope de première.
Il se positionne derrière moi et m’encule d’un coup, jusqu’à la garde. Aucune douleur. C’est la première bite dans ma "chatte". Aucune douleur, mais putain que c’est bon! Mon enculeur est surpris. Il dit à son copain:
— Ce n’est pas un cul, c’est une chatte!
Il me lime lentement. L’autre sort sa bite et me la donne à sucer. On va ainsi passer la moitié de la nuit. Ils vont me prendre dans toutes les positions. Ils jouiront plusieurs fois dans ma bouche. Je suis chargé de mission pour le réveil: les sucer. Le mec du foyer se colle derrière moi pour dormir et m’encule. Il veut que sa bite reste au chaud.
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