Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
.
Juin 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | ||||||||||
2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | ||||
9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | ||||
16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | ||||
23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | ||||
30 | ||||||||||
|
Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
La veille, quand je rentre, parrain est rentré, mes parents aussi. Maman me dit d’aller faire mes devoirs, comme tous les soirs. Parrain me dit alors:
— Ah, oui, c’est important de bien faire ses exercices.
La remarque m’amuse. Je monte dans ma chambre et commence par récupérer le bidule en plomb de parrain et le gode gonflable. J’introduis le bidule. Il entre sans problème et de par son poids, se cale en bas de mon cul. Je sens le poids et mon cul est ouvert. Trois de mes doigts entrent sans problème. Je décide de rentrer en plus une boule de pétanque. Elle entre sans trop forcer. Le poids commence à être énorme dans mon cul. Quatre de mes doigts rentrent. Je sens que l’ouverture n’est plus ronde. Elle est tirée vers le bas. J’introduis le plug et gonfle. Ça tire. Je pense à ce que m’a dit parrain sur la déformation qui doit être violente pour que mon cul soit déformé à vie et reste ouvert. Je pompe comme un fou. La douleur devient atroce. Je pense au lendemain, à tous les mecs que je vais prendre dans mon cul-chatte. Je bande de plus en plus et la douleur diminue. Je gonfle un peu plus. Je me cale sur le lit, le temps que la douleur se calme.
Parrain entre dans ma chambre. Il voit mon cul écartelé. Il me dit que j’y vais quand même très fort. Je lui dis que je veux une vraie chatte. Mon cul ne doit jamais se refermer. Je veux que n’importe quelle bite puisse entrer sans forcer. Il me caresse les cheveux, me dit qu’il a de la chance d’avoir un filleul comme moi, et sort.
Je relis mes cours en restant allongé, le cul complètement étiré. Maman crie "à table". Je décide de me rhabiller sans rien enlever. Pas évident de marcher. Je fais quelques pas dans ma chambre pour arriver à marcher normalement, et je descends. Dur de descendre l’escalier normalement. Il m’est difficile de rester assis alors je me pose sur le devant de la chaise, le cul relevé. Parrain voit ma position et comprends que mon cul est toujours encombré. À la fin du repas, je prétexte un grand coup de fatigue et monte dans ma chambre.
Je me mets en pyjama. J’ai peur que maman monte me voir. Finalement, il ne se passe rien et je m’endors.
Je suis réveillé par une sensation étrange. Parrain est en train d’étirer mon cul. Il a enlevé le plug, la boule de pétanque et le bidule en plomb, et il a entré huit doigts dans mon cul. Il tire de chaque côté, puis enfonce complètement une main et tire avec les autres doigts vers le bas. Il me demande si ça va. Je lui demande de tirer plus fort. Il tire de plus en plus fort sur ses doigts. La douleur me réveille complètement. Il me dit que mon cul s’est bien déformé. Qu’il est resté rond en haut, mais est ovale en bas. Qu’il pense qu’à ce régime, je n’aurai plus besoin de rien à la fin de la semaine: mon cul ne pourra jamais se refermer. Ses paroles me font jouir dans les draps. Je me rendors doucement, les mains de parrain toujours en train de déformer mon cul.
Je me réveille avec la sensation d’être plein à exploser. Je suis incapable de me lever. Je dégonfle le plug, et je sens une boule de pétanque tomber. Puis une seconde, et enfin le bidule. Parrain m’avait farci. Je plaque le tout et vais à la salle de bains. La poire de douche entre dans mon cul, c’est habituel. Sauf que là, je ne la sens pas. Je touche mon cul avec ma main. Ma main entre par l’ouverture! Effectivement, je comprends parrain cette nuit. Mon cul ne se refermera jamais. D’ailleurs, ce n’est plus un cul, mais une chatte.
Cul bien propre, je m’habille. Je suis surexcité: cet après-midi, je retourne au foyer des travailleurs africains. La matinée au lycée me semble une éternité. Marc n’a pas le moral, ses grands-parents ont passé la soirée à lui parler de la mort… Il comprend qu’ils soient vieux, mais de là à parler de la mort en permanence, ça le saoûle. Il me dit qu’il est désolé, que cet après-midi, il est bloqué chez lui avec sa mère. Je ne sais comment lui dire que ce n’est pas grave du tout.
Enfin libre. Je fonce chez mon homme. Il m’attend avec Thierry et un autre africain. Thierry me fait mettre à poil. Il demande à son copain ce qu’il en pense. J’apprends ainsi que son copain s’appelle Auguste. Auguste me fait mettre à quatre pattes sur la table. Il tourne autour de moi, me tâte, écarte mes fesses, les caresses. J’ai l’impression d’être une bête de foire. Auguste dit que j’ai une très belle chatte, bien large, bien ouverte, il entre deux doigts dans ma "chatte" et dit qu’elle est bien souple. Il dit aussi que j’ai un peu de poitrine et que ma bite est petite et doit se cacher facilement mais que l’on doit bien m’épiler entièrement.
Thierry demande par quoi il veut commencer. Auguste dit qu’il va d’abord m’épiler, mais qu’avant tout, il veut tester ma chatte. On me fait mettre par terre, toujours à quatre pattes. Auguste vient derrière moi. Je sens son gland à l’entrée de mon cul. Il dit que je mouille et m’encule d’un coup jusqu’à la garde. Son sexe est gros mais ma "chatte" est souple et l’avale sans problème. Je ne ressens aucune douleur mais me sens bien enculé. Je bande dur.
Auguste dit que ma chatte est vraiment super, que je mouille comme une chienne. Il me lime en profondeur et je gémis de plaisir. Il prend ma bite dans sa main et me branle violemment. Je jouis très vite. Il me dit que maintenant, je dois jouir du cul. Je sens que je bande à nouveau, et je sens monter l’orgasme. C’est beaucoup plus fort et beaucoup plus long. Il arrive à me faire jouir ainsi longtemps. Il sort de mon cul, il tient sa bite serrée dans sa main. Il passe devant moi, je l’attends bouche ouverte. Il jouit et me remplit la bouche. Je lui montre ma bouche pleine et attends. Il dit:
— Une vraie chienne. Il attend pour avaler.
Mon homme lui dit que je suis un vide-couilles exceptionnel. Il me dit de fermer la bouche, mais de ne pas avaler. Il dit alors qu’il va m’épiler. Je reste dans la même position. Mon homme demande comment il va m’épiler, Auguste répond:
— Au sucre.
Je regarde mon homme, l’air étonné. Mon homme me dit que c’est une technique africaine, avec du sucre fondu. Auguste revient avec une boule dans sa main, et commence à m’épiler la raie. Ça fait mal. Je ne bouge pas. Quand il a fini, il me fait me retourner. Il épile ainsi mon cul, mes fesses, ma bite et mes couilles et mes jambes.Puis il me dit d’avaler, et me masse avec une huile. Quand il masse ainsi mon cul, je me mets à bander. Auguste dit que je suis une vraie chienne à bites.
Quand il a fini, il dit qu’il faut faire disparaître "cette petite bite qui ne sert à rien". Il me donne à boire un produit assez dégueulasse. Il dit qu’avec ça, dans cinq minutes, je ne banderais plus pendant un long moment. Au bout de cinq minutes, je débande. Ma queue est petite. Auguste sort un truc du sac. Mon homme demande comment il va s’y prendre. Auguste lui dit qu’il a amené du latex médical et de la colle médicale, et une sonde urinaire. Il va coller mes couilles et ma bite après avoir mis en place la sonde médicale. Il introduit la sonde dans ma queue. Ça ne fait pas mal. Puis, il enduit le bas du morceau de latex de colle. Il le colle en dessous de mes couilles. Il les aplatit et elle rentre en moi. Il colle alors le latex, aplatit ma bite, et fait sortir la sonde par un trou dans le latex et colle fermement. Il maintient en place un petit moment, puis enlève sa main et me dit de me lever. Mon sexe a disparu!
Le latex est presque de la couleur de ma peau. Avec un scalpel, il découpe le reste de la sonde. Il me dit que pour pisser, je dois m’accroupir, comme une fille.
Il me fait aller devant la glace de l’entrée. Je ressemble vraiment à une fille. Il passe alors une pommade sur mes seins. Ça chauffe. Il dit que ça va les faire ressortir. Il sort alors de son sac un porte-jarretelle noir et des bas noirs, me dis de les mettre. Je n’en ai jamais vu et ne sais comment faire. Mon homme dit qu’il va m’aider et m’enfile les bas, fixe le porte-jarretelle autour de ma taille. Auguste lui tend alors un soutien-gorge que mon homme s’empresse de me mettre. Puis auguste sort une jupe, très courte, qui une fois en place arrive juste en dessous de la fixation de mes bas. Un chemisier blanc. Auguste me fait asseoir et sort une trousse à maquillage. Il me maquille les yeux, et me met une crème transparente sur les lèvres.
Il me dit de me lever, sort de son sac des chaussures de filles, mais plates, et me dit d’aller devant la glace de l’entrée. Je ressemble à une fille. Non, je suis une fille. Grand choc pour moi. Il m’a transformé en jeune fille. Il me dit de me pencher en avant de relever ma jupe et d’écarter les jambes. J’obéis. À peine en position, Thierry m’encule. Il me demande ce que je suis. Je lui dis:
— Je suis une chienne, un vide-couilles permanent, ouvert à tous. Ma bouche et mon cul sont ouverts à n’importe quelle bite, n’importe où, n’importe quand.
Il me demande comment je m’appelle. Je lui réponds:
— "Laurence".
Il sort sa bite de mon cul, je me retourne de suite pour boire son jus mais il rentre sa bite en me disant d’attendre. Auguste me fait remettre en position, il enduit ma rondelle d’une crème. Je sens que ça chauffe. Il dit qu’il vient de m’enduire le cul d’une pommade chauffante. Comme ça, mon cul va me démanger, et je vais supplier que l’on m’encule pour calmer le feu. Effectivement, ça chauffe. J’ai le cul réellement en feu. Thierry ressort sa bite et fait quelques aller-retours dans mon cul. Le feu se calme, c’est trop bon. Il arrête de bouger. Ça brule à nouveau et je bouge pour sentir sa bite me ramoner et calmer le feu. Auguste est mort de rire. Il dit que je vais pleurer et supplier pour que l’on m’encule tout l’après-midi et que ça tombe bien, il a dit au foyer qu’il amenait une jeune salope. Ils sont, selon lui, une trentaine à m’attendre pour me bourrer. Thierry sort de mon cul. Il me demande ce que je veux. Je lui réponds:
— De la bite, des centaines de bites.
Il me dit que l’on part au foyer. Je suis le premier dehors. Ils sont tous hilares.
Mon cul me brûle de plus en plus jusqu’au foyer. C’est intenable. On entre. Plusieurs mecs sont dans l’entrée. L’un me demande ce que je veux. Je lui réponds:
— Ta bite.
Le mec sort sa bite de son pantalon. Une grosse et longue bite bien noire. Il bande dur. Je me retourne, relève ma jupe et recule vers lui. Je m’encule sur sa bite. Le mec dit à Auguste qu’il n’a jamais vu une salope pareille. Je me défonce sur sa bite. C’est moi qui vais et viens sur sa bite. Un second se positionne devant moi, j’ouvre la bouche et me penche. Il me prend par les cheveux, enfonce sa bite dans ma gorge. Je suis empalé des deux côtés. En me tirant par les cheveux, il rythme la cadence. Les deux jouissent. Je me dirige vers les autres. Auguste me bloque par le bras et me dit de le suivre. On entre dans la salle où j’étais la première fois.
Je me jette sur le matelas, relève ma jupe, écarte les jambes et tiens mes fesses écartées avec mes mains. Deux secondes plus tard, une bite vient calmer le feu de mon cul. Ma "mise à l’abattage" durera trois heures. Je n’ai pas compté les bites. Le feu de mon cul n’est pas calmé. Je les supplie de continuer. Thierry me traite de pure salope et me fiste. Oh que c’est bon! Je m’encule sur sa main. Quasiment tous les autres ont quitté la pièce. Auguste s’allonge sur le dos. Thierry me dit d’aller sur lui. Il laisse sa main dans mon cul. Auguste positionne sa bite et l'entre dans mon cul déjà occupé par la main de Thierry. Je sens que Thierry branle son copain dans mon cul.
Il sort alors sa main et la rentre tout en la laissant autour de la bite d’Auguste. Mon cul est ouvert en deux mais ça calme le feu. Auguste me demande si ça va. Je lui dis que c’est trop bon. Il défait les boutons du chemisier, passe sa main sous le soutien-gorge et caresse mes tétons. Je gémis de plus en plus. Auguste me dit que je suis une salope exceptionnelle, qu’il n’a qu’une envie, c’est de m’envoyer dans un bordel chez lui au Sénégal. Il jouit. Thierry ne lâche pas la bite d’Auguste et me fait me relever. Sa main est trempée de sperme. Il me dit de lécher sa main. Je lèche.
Ils me font me relever. Mon cul est ouvert et je sens que ça coule sur mes fesses et sur les bas. Le feu s’est un peu calmé mais ça me démange encore.
On sort du foyer...
À suivre...
Le trajet en bus se passe normalement. On est serré comme des sardines et tout le monde à l’air à peine réveillé. Un matin normal en somme. Arrivé à mon arrêt, je descend. Je m’attends à croiser les deux jeunes de la veille mais personne.
J’arrive au bahut. Le portail franchi, il y a le mec de terminale qui m’attend. Du regard, il me fait signe de le suivre. Je le suis à distance. On traverse le bahut et on va vers le bâtiment de l’infirmerie. Il entre. Je le suis. En bas de l’infirmerie, il y a des toilettes. Il entre. Je le suis. Il entre dans des chiottes, laisse la porte ouverte. J'entre et me retourne pour fermer la porte. Sans rien dire, il tombe mon sac et défait mon jean. Je vais pour l’aider mais il plaque mes mains contre la porte. Il descend mon jean et mon slip. Il me demande pourquoi j’ai du papier toilette entre les fesses. Je lui réponds que c’est pour éviter de me tremper quand je mouille. Il me dit que je suis une vraie chienne. Il dégrafe son fut et m’encule d’un coup. Sa bite est pourtant grosse et longue mais elle entre sans forcer et je ne ressens aucune douleur. Il dit:
— Putain quelle chatte.
Je lui dis que je suis fier d’avoir un cul qui est une chatte. Il me lime rapidement. Il me dit:
— Ta bouche!
Je me retourne, me penche en avant et prends sa bite dans ma bouche. Il jouit. Par réflexe, je n’avale pas. je lui montre ma bouche pleine de son jus. Il me dit:
— Avale salope!
J’avale. Il me pousse sur le côté et sort sans fermer. Je me rhabille sans fermer la porte et sors à mon tour. La journée commence vraiment bien.
À midi, personne ne me fera signe. Quand je sors de la cantine, je décide de rejoindre Marc chez lui. On a une demie heure. Il est visiblement content de me voir. Il ferme la porte et me roule une énorme pelle. Je vire mon jeans et mon slip et me mets en levrette sur le lit. Il ne bouge pas. Je lui dis:
— Prends-moi, j’ai envie de toi.
Il ne bouge pas. je lui dis:
— Mon amour, prends-moi.
Un grand sourire apparaît sur son visage. Il s’approche de moi, se déshabille, promène son gland sur ma raie. Je recule pour m’enculer dessus. Plaisir immense. Mon cul n’oppose aucune résistance, aucune douleur. Je ne ressens que le frottement de sa bite dans mon cul. Je me bloque. Je jouis. Marc se déchaîne et me pilonne. Je jouis du cul. Je sens mon cul se tremper. Il jouit. Je me retourne et lèche sa bite, aspire ce qui reste de son sperme. Marc me fait m’allonger sur le dos. Il se met à me sucer. Je jouis très vite. Il se redresse et m’embrasse. Il a gardé mon sperme dans sa bouche. Ce baiser au sperme est extra. On se rhabille et on part au lycée.
L’après-midi se passe normalement. Je passe beaucoup de temps avec Marc et mes copains l’acceptent dans notre bande, me disant que c’est un mec sympa et que on ne sait pas pourquoi il était à l’écart jusque-là.
Fin des cours. Marc m’annonce qu’il doit passer la soirée avec ses grands-parents. Étant seul et ayant envie de bites, je pars au Cours Dillon.
Arrivé au lieu habituel, je vois mon homme en grande discussion avec un autre homme. Je ne sais si je dois m’approcher lorsque je vois que l’homme tient en laisse Sultan. Je m’approche d’eux. Mon homme me voit arriver et se lève. Arrivé à sa hauteur, il me dit de les suivre. On descend vers le bord de Garonne. Il fait clair ce soir. Mon homme me demande ce que je suis. Je lui réponds que je suis un vide-couilles, une chienne qui a la chatte ouverte à n’importe quelle bite, n’importe où. Mon homme me dit que c’est ce qu’il faut.
Il me dit de me mettre en levrette dans le bosquet, que Sultan a besoin d’une chienne. Je me mets entre deux arbustes et enlève mon jeans et mon slip. Mon homme me dit de me mettre plus vers le chemin afin que tout le monde puisse me voir me faire défoncer par le chien. Ça me gêne et ça m’excite en même temps. Je m’avance vers le chemin. Le sol n’est pas top, c’est du gravier. Je me décale vers la pelouse. Mon homme est surpris. Il me dit que là pour le coup, il est impossible de me rater. Je lui rappelle que c’est ce qu’il m’a demandé. L’homme au chien dit qu’au moins il n’y a pas de doute, je suis une vraie chienne.
Je me positionne, le cul bien cambré. Mon homme dit que c’est une vraie chatte. L’homme au chien approche Sultan de mon cul. Il me lèche. La langue du chien sur mon cul est une sensation très agréable. Il a une grande langue, large. Il l’enfonce dans mon cul qui s’ouvre sans problème. Je gémis. Mon homme me demande si ça va. Je lui dis que j’adore me faire lécher la chatte. L’homme au chien tire sur la laisse de Sultan. Il sort sa langue de mon cul et grimpe sur mon dos. Sa bite trouve mon cul du premier coup. Il me lime comme seul un chien sait faire. C’est brutal et intense mais c’est bon. Il me fait jouir du cul. Je regarde sur le côté et vois qu’à côté de mon homme et du maître de Sultan, deux mecs me regardent. De l’autre côté, il y a un clochard, bouteille à la main, qui me regarde en se malaxant les couilles à travers le pantalon. Sultan éjacule. Je me sens rempli. Je sens la boule qui grossit mais ça ne fait pas mal du tout. Sultan se bloque. Je sens que même si sa boule me remplit, je ne peux en aucun cas rester coincé. Mon cul est devenu une chatte très élastique. Mais je me sens bien et je n’ai pas envie de bouger. Sultan passe sa patte avant par-dessus ma tête. Je bouge pour qu’il reste bien en moi.
Le clochard s’est rapproché. Il a sorti sa bite et se branle. Je regarde mon homme en pleine discussion avec les trois inconnus. Je hèle le clochard. Il se rapproche de moi et commence à me traiter de pute et de salope. Je lui réponds que c’est son jour de chance. Il me dit qu’il ne passe pas après un chien. Je lui demande s’il veut se faire sucer. Il ne dit rien, continue de se branler, puis s’avance vers moi, m’attrape par les cheveux et fourre sans bite dans ma bouche. Elle pue, c’est abominable. Il jouit quasiment de suite. Il attend de débander et s’en va. Je regarde vers mon homme et les deux inconnus et leur montre ma bouche pleine. Mon homme me dit de ne pas avaler. Les deux hommes s’avancent. Sultan est toujours planté en moi et je les regarde. Ma bouche est toujours pleine et ouverte. Sultan sort de mon cul.
Un des deux me dit de ne pas bouger. Il passe derrière moi, entre trois doigts dans mon cul et en sort le sperme du chien qu’il récupère dans l’autre main. Puis revient devant moi, vide sa main dans ma bouche. Il me dit d’avaler lentement. J’avale le mélange de sperme du clodo et du chien puis il me donne ses doigts recouverts du sperme du chien à sucer.
Son copain s’est mis derrière moi. Je sens sa bite sur l’entrée de ma rondelle déformée. Il entre à peine le gland et se met à pisser. Il me rince la chatte. La sensation de ce jet chaud dans mon ventre me fait bander. Quand il a fini de pisser, il enfonce sa bite en moi. Il me lime. Son copain ouvre ma bouche et se met à me pisser dans la bouche. Je garde la bouche ouverte. Il dirige le jet à l’intérieur de mes joues et me rince véritablement la bouche. Quand il s’arrête de pisser, il enfonce sa bite dans ma bouche et me demande de sucer. Les deux jouissent très vite. Ils essuient leur bite sur mon visage et sur mon cul, me disent que je suis une bonne chienne et s’en vont. Je me relève. Le sperme que j’ai dans mon cul coule. Je le récupère avec mes doits et me lèche les doigts.
Je me rhabille devant mon homme sur le chemin. Mon homme me dit que je deviens une chienne exceptionnelle. Il me rappelle que demain après-midi, je suis attendu au foyer. Je lui dis que j’ai hâte de me faire défoncer par la bouche et la chatte par tous les hommes du foyer. Il me dit que l’on se retrouvera d’abord cher lui, Thierry veut me préparer. Puis il me demande de le sucer. Je m’agenouille devant lui. Je n’ai plus aucune pudeur à sucer en public. Il jouit assez vite. Je lui montre ma bouche pleine. Il me caresse les cheveux et me dit:
— Avale ma chienne.
J’avale. Il se recule et part en me disant à demain. Je reste à genoux mais les autres hommes au loin s’en vont aussi. Je me relève et décide de rentrer.
À suivre...
Jusqu’à ce matin, ça faisait maintenant six mois que j’avais une vie partagée. La journée, j’étais un lycéen comme les autres, les soirs et les mercredis après-midi, j’étais un vide-couilles. La séparation des deux mondes était totale.
Depuis peu, les choses se sont accélérées. D’abord, j’ai offert mon cul et ma bouche à un chien, puis dans un foyer d’Africains. Puis, j’ai offert mon cul à un groupe de clochards. Puis, j’ai aussi offert ma bouche à leurs bites sales et puantes et j’y ai pris du plaisir. De vide-couilles, j’étais devenu une chienne avide de bites.
Parrain m’a encore fait évolué, mentalement et physiquement. Mentalement, je suis maintenant totalement capable non seulement d’offrir mon cul, mais aussi d’aller demander à me faire mettre. Physiquement, mon cul se déforme et deviendra bientôt à ma plus grande joie une vraie chatte. Je vais déformer mon cul jusqu’à ce qu’il ne se referme jamais complètement, et je serais ainsi toujours disponible sans le moindre préliminaire. Plus besoin de m’étirer le cul, de cracher dessus ou d’utiliser du gel. Un cul ouvert, qui mouille tout seul, toujours prêt. Comme une chatte de chienne en chaleur.
Depuis ce matin, j’étais une chatte de chienne en chaleur pour les autres lycéens. Le mec de terminal qui m’a bien baisé ce matin m’a dit qu’ils allaient me nourrir au sperme. Je ne sais rien de ce qui va se passer. Les cours du matin se passent normalement, même si je trouve que Marc, un mec de ma classe avec qui je parle peu, se retourne souvent pour me regarder. Était-il dans le «lot» de mes enculeurs de ce matin?
La récré de 10h se passe normalement. Marc me regarde quand même beaucoup. À 11h on change de salle pour aller en cours de maths. Je balance mon sac sur l’épaule, et la lanière casse. Mon cartable en vrac dans le couloir. Les copains se marrent et se barrent. Je leur dis qu’ils pourraient m’aider mais ils ne se retournent pas. Je commence à ramasser mes cours. Je n’avais pas vu Marc derrière moi. Il me tend une partie de mes cours et continue à ramasser avec moi. En 30 secondes, tout est rangé. Je remercie Marc en lui disant que c’est sympa de sa part. il me fixe droit dans les yeux et me dit:
— Normal, "échange de service"
et ajoute:
— Et merci pour ce matin.
Je me bloque et je ne sais pourquoi je lui réponds:
— À ta disposition.
Il me répond à voix basse:
— T’inquiète pas, je ne vais pas me priver.
On part ensemble vers la salle de maths. On a cinq minutes pour monter un étage, on a le temps de discuter. Je lui demande s’il a aimé. Il me répond qu’il a un secret à me confier. Il est homo. Je lui dis que moi non. Il me dit qu’il a du mal à me comprendre, comment je peux aimer la bite sans être homo. Je lui explique que c’est pour moi deux choses totalement différentes. Marc me dit qu’il aimerait que l’on se voie après les cours. Je lui dis OK. Il habite à côté du lycée, on se donne rendez-vous après les cours chez lui.
On arrive devant la salle de maths. Les copains me disent que j’ai eu vite fait. Je leurs réponds que c’est pas grâce à eux, mais qu’heureusement que Marc a été sympa, lui. On déconne tous pendant deux minutes en attendant la prof, et on rentre en cours. Visiblement, il y deux parties au lycée. Ceux qui me connaissent comme copains, et ceux qui connaissent mon cul.
Midi. Fin des cours. Direction le foyer en attendant 13h pour passer à table. La cantine est en deux services.
Le foyer est toujours bondé. Et un fumoir de première (à l’époque, on peut fumer dans certains couloirs du lycée et dans le foyer et les cours de récré). Je tente de me frayer un passage lorsque je tombe nez à nez avec la terminale de ce matin. Il me dit on se retrouve comme ce matin. Je lui rappelle que le couloir des salles de chimie est fermé entre midi et deux. Il me dit alors au fond de la cour de prépa à côté du gymnase. Je lui dis OK. Je me fraye un passage jusqu’à la sortie, et vais dans les chiottes à côté du gymnase.
Je rentre, je suis seul. Les chiottes du fond sont fermées. Il arrive derrière moi. Il ne dit rien, sort une clé de sa poche et ouvre une porte à côté de la porte d’entrée. Il allume. C’est une pièce de réserve où se trouvent des tables, des chaises entassées et divers trucs bien poussiéreux. Il me dit:
— Aide moi et attrape une table.
On la positionne en long dans la pièce. Il va au fond et ramène un morceau de tapis de gym en mousse bleue. Il pose le tapis sur la table et me dit:
— Cul à l’air, jambes bien écartées vers la porte.
Je commence à défaire mon jeans et j’entends des voix. Il me dit:
— Grouille toi!
Je vire mon jeans et mon slip et prends la position. Il met mon jeans sur ma tête, et ouvre la porte. Je ne sais combien ils sont. Il me dit d'écarter mes fesses. Avec mes mains, j’écarte mes fesses. Mon cul s’ouvre, je le sens, et je mouille, j’en suis certain. Il leur dit:
— Les mecs, j’ai trouvé un nouveau vide-couilles, et il n’est pas chiant comme Laetitia.
Certains râlent en disant:
— Ouais, mais c’est un mec.
Il répond:
— Et alors, un cul c’est un cul. Là, c’est pas un cul qu’il a, c’est une véritable chatte. Et Laetitia, personne ne l’a jamais enculé, alors ça va nous changer.
Une voix dit:
— Un cul, c’est un cul, et moi je m’en fous.
Et il m’encule d’un coup, complètement. Sa bite est pas très large mais longue. Je gémis. Il dit:
— Putain, super bon, c’est ni un cul, ni une chatte. C’est quoi?
Et je m’entends répondre:
— Un vide-couilles.
Le mec ajoute:
— Ça, ça me plaît. C’est disponible tous les jours?
Et le mec de terminal lui dit qu’on lui a dit que c’était ouvert nuit et jour. Le mec me baise vraiment bien. J’aime ses mouvements au fond de mon cul. Il jouit. Il sort de mon cul. Il est remplacé dans la seconde. J’entends dire:
— Activez les mecs, on n’a pas la journée.
Quatre terminales vont ainsi prendre mon cul. Et me le remplir de sperme. Le premier enlève mon jeans que j’ai sur la tête. Il me fait m’accroupir au-dessus d’un plat en inox de la cantine. Il me donne sa bite à sucer. Je sens le sperme de mon cul qui coule et qui goutte dans le plat. Le mec me demande de pousser un peu pour faire couler le jus que j’ai dans le ventre. Ça gicle dans le plat. Il sort sa bite de ma bouche, sort une cuillère de sa poche, racle mon cul des dernières coulées de sperme, ramasse le plat, remplit la cuillère et me dit:
— Repas nouvelle cantine.
J’ouvre la bouche, il vide la cuillère, je n’avale pas. Il ramasse tout le sperme du plat et me remplit la bouche. Puis il y remet sa bite. Sucer un mec en ayant la bouche pleine de sperme est une sensation délicieuse. Il jouit, serre mes lèvres avec ses mains pour essorer sa bite dans ma bouche. Je reste bouche ouverte. Il me demande d’avaler en plusieurs fois. J’avale. Je lui montre ma bouche bien vide et bien propre. Il me dit que je suis un bon vide-couilles. Il me dit que je suis à sa disposition. Je lui dis que je suis un vide-couilles et que ma bouche et mon cul sont disponibles tout le temps pour n’importe quelle bite. Il me dit qu’il ne l’oubliera pas.
Il me dit de me rhabiller et on sort. Je regarde l’heure. C’est l’heure d’aller à la cantine. J’ai apprécié l’entrée…
À suivre...
Derniers Commentaires