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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 01:39

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La veille, quand je rentre, parrain est rentré, mes parents aussi. Maman me dit d’aller faire mes devoirs, comme tous les soirs. Parrain me dit alors:

— Ah, oui, c’est important de bien faire ses exercices.

La remarque m’amuse. Je monte dans ma chambre et commence par récupérer le bidule en plomb de parrain et le gode gonflable. J’introduis le bidule. Il entre sans problème et de par son poids, se cale en bas de mon cul. Je sens le poids et mon cul est ouvert. Trois de mes doigts entrent sans problème. Je décide de rentrer en plus une boule de pétanque. Elle entre sans trop forcer. Le poids commence à être énorme dans mon cul. Quatre de mes doigts rentrent. Je sens que l’ouverture n’est plus ronde. Elle est tirée vers le bas. J’introduis le plug et gonfle. Ça tire. Je pense à ce que m’a dit parrain sur la déformation qui doit être violente pour que mon cul soit déformé à vie et reste ouvert. Je pompe comme un fou. La douleur devient atroce. Je pense au lendemain, à tous les mecs que je vais prendre dans mon cul-chatte. Je bande de plus en plus et la douleur diminue. Je gonfle un peu plus. Je me cale sur le lit, le temps que la douleur se calme.

Parrain entre dans ma chambre. Il voit mon cul écartelé. Il me dit que j’y vais quand même très fort. Je lui dis que je veux une vraie chatte. Mon cul ne doit jamais se refermer. Je veux que n’importe quelle bite puisse entrer sans forcer. Il me caresse les cheveux, me dit qu’il a de la chance d’avoir un filleul comme moi, et sort.

Je relis mes cours en restant allongé, le cul complètement étiré. Maman crie "à table". Je décide de me rhabiller sans rien enlever. Pas évident de marcher. Je fais quelques pas dans ma chambre pour arriver à marcher normalement, et je descends. Dur de descendre l’escalier normalement. Il m’est difficile de rester assis alors je me pose sur le devant de la chaise, le cul relevé. Parrain voit ma position et comprends que mon cul est toujours encombré. À la fin du repas, je prétexte un grand coup de fatigue et monte dans ma chambre.

Je me mets en pyjama. J’ai peur que maman monte me voir. Finalement, il ne se passe rien et je m’endors.

Je suis réveillé par une sensation étrange. Parrain est en train d’étirer mon cul. Il a enlevé le plug, la boule de pétanque et le bidule en plomb, et il a entré huit doigts dans mon cul. Il tire de chaque côté, puis enfonce complètement une main et tire avec les autres doigts vers le bas. Il me demande si ça va. Je lui demande de tirer plus fort. Il tire de plus en plus fort sur ses doigts. La douleur me réveille complètement. Il me dit que mon cul s’est bien déformé. Qu’il est resté rond en haut, mais est ovale en bas. Qu’il pense qu’à ce régime, je n’aurai plus besoin de rien à la fin de la semaine: mon cul ne pourra jamais se refermer. Ses paroles me font jouir dans les draps. Je me rendors doucement, les mains de parrain toujours en train de déformer mon cul.

Je me réveille avec la sensation d’être plein à exploser. Je suis incapable de me lever. Je dégonfle le plug, et je sens une boule de pétanque tomber. Puis une seconde, et enfin le bidule. Parrain m’avait farci. Je plaque le tout et vais à la salle de bains. La poire de douche entre dans mon cul, c’est habituel. Sauf que là, je ne la sens pas. Je touche mon cul avec ma main. Ma main entre par l’ouverture! Effectivement, je comprends parrain cette nuit. Mon cul ne se refermera jamais. D’ailleurs, ce n’est plus un cul, mais une chatte.

Cul bien propre, je m’habille. Je suis surexcité: cet après-midi, je retourne au foyer des travailleurs africains. La matinée au lycée me semble une éternité. Marc n’a pas le moral, ses grands-parents ont passé la soirée à lui parler de la mort… Il comprend qu’ils soient vieux, mais de là à parler de la mort en permanence, ça le saoûle. Il me dit qu’il est désolé, que cet après-midi, il est bloqué chez lui avec sa mère. Je ne sais comment lui dire que ce n’est pas grave du tout.

Enfin libre. Je fonce chez mon homme. Il m’attend avec Thierry et un autre africain. Thierry me fait mettre à poil. Il demande à son copain ce qu’il en pense. J’apprends ainsi que son copain s’appelle Auguste. Auguste me fait mettre à quatre pattes sur la table. Il tourne autour de moi, me tâte, écarte mes fesses, les caresses. J’ai l’impression d’être une bête de foire. Auguste dit que j’ai une très belle chatte, bien large, bien ouverte, il entre deux doigts dans ma "chatte" et dit qu’elle est bien souple. Il dit aussi que j’ai un peu de poitrine et que ma bite est petite et doit se cacher facilement mais que l’on doit bien m’épiler entièrement.

Thierry demande par quoi il veut commencer. Auguste dit qu’il va d’abord m’épiler, mais qu’avant tout, il veut tester ma chatte. On me fait mettre par terre, toujours à quatre pattes. Auguste vient derrière moi. Je sens son gland à l’entrée de mon cul. Il dit que je mouille et m’encule d’un coup jusqu’à la garde. Son sexe est gros mais ma "chatte" est souple et l’avale sans problème. Je ne ressens aucune douleur mais me sens bien enculé. Je bande dur.

Auguste dit que ma chatte est vraiment super, que je mouille comme une chienne. Il me lime en profondeur et je gémis de plaisir. Il prend ma bite dans sa main et me branle violemment. Je jouis très vite. Il me dit que maintenant, je dois jouir du cul. Je sens que je bande à nouveau, et je sens monter l’orgasme. C’est beaucoup plus fort et beaucoup plus long. Il arrive à me faire jouir ainsi longtemps. Il sort de mon cul, il tient sa bite serrée dans sa main. Il passe devant moi, je l’attends bouche ouverte. Il jouit et me remplit la bouche. Je lui montre ma bouche pleine et attends. Il dit:

— Une vraie chienne. Il attend pour avaler.

Mon homme lui dit que je suis un vide-couilles exceptionnel. Il me dit de fermer la bouche, mais de ne pas avaler. Il dit alors qu’il va m’épiler. Je reste dans la même position. Mon homme demande comment il va m’épiler, Auguste répond:

— Au sucre.

Je regarde mon homme, l’air étonné. Mon homme me dit que c’est une technique africaine, avec du sucre fondu. Auguste revient avec une boule dans sa main, et commence à m’épiler la raie. Ça fait mal. Je ne bouge pas. Quand il a fini, il me fait me retourner. Il épile ainsi mon cul, mes fesses, ma bite et mes couilles et mes jambes.Puis il me dit d’avaler, et me masse avec une huile. Quand il masse ainsi mon cul, je me mets à bander. Auguste dit que je suis une vraie chienne à bites.

Quand il a fini, il dit qu’il faut faire disparaître "cette petite bite qui ne sert à rien". Il me donne à boire un produit assez dégueulasse. Il dit qu’avec ça, dans cinq minutes, je ne banderais plus pendant un long moment. Au bout de cinq minutes, je débande. Ma queue est petite. Auguste sort un truc du sac. Mon homme demande comment il va s’y prendre. Auguste lui dit qu’il a amené du latex médical et de la colle médicale, et une sonde urinaire. Il va coller mes couilles et ma bite après avoir mis en place la sonde médicale. Il introduit la sonde dans ma queue. Ça ne fait pas mal. Puis, il enduit le bas du morceau de latex de colle. Il le colle en dessous de mes couilles. Il les aplatit et elle rentre en moi. Il colle alors le latex, aplatit ma bite, et fait sortir la sonde par un trou dans le latex et colle fermement. Il maintient en place un petit moment, puis enlève sa main et me dit de me lever. Mon sexe a disparu!

Le latex est presque de la couleur de ma peau. Avec un scalpel, il découpe le reste de la sonde. Il me dit que pour pisser, je dois m’accroupir, comme une fille.

Il me fait aller devant la glace de l’entrée. Je ressemble vraiment à une fille. Il passe alors une pommade sur mes seins. Ça chauffe. Il dit que ça va les faire ressortir. Il sort alors de son sac un porte-jarretelle noir et des bas noirs, me dis de les mettre. Je n’en ai jamais vu et ne sais comment faire. Mon homme dit qu’il va m’aider et m’enfile les bas, fixe le porte-jarretelle autour de ma taille. Auguste lui tend alors un soutien-gorge que mon homme s’empresse de me mettre. Puis auguste sort une jupe, très courte, qui une fois en place arrive juste en dessous de la fixation de mes bas. Un chemisier blanc. Auguste me fait asseoir et sort une trousse à maquillage. Il me maquille les yeux, et me met une crème transparente sur les lèvres.

Il me dit de me lever, sort de son sac des chaussures de filles, mais plates, et me dit d’aller devant la glace de l’entrée. Je ressemble à une fille. Non, je suis une fille. Grand choc pour moi. Il m’a transformé en jeune fille. Il me dit de me pencher en avant de relever ma jupe et d’écarter les jambes. J’obéis. À peine en position, Thierry m’encule. Il me demande ce que je suis. Je lui dis:

— Je suis une chienne, un vide-couilles permanent, ouvert à tous. Ma bouche et mon cul sont ouverts à n’importe quelle bite, n’importe où, n’importe quand.

Il me demande comment je m’appelle. Je lui réponds:

— "Laurence".

Il sort sa bite de mon cul, je me retourne de suite pour boire son jus mais il rentre sa bite en me disant d’attendre. Auguste me fait remettre en position, il enduit ma rondelle d’une crème. Je sens que ça chauffe. Il dit qu’il vient de m’enduire le cul d’une pommade chauffante. Comme ça, mon cul va me démanger, et je vais supplier que l’on m’encule pour calmer le feu. Effectivement, ça chauffe. J’ai le cul réellement en feu. Thierry ressort sa bite et fait quelques aller-retours dans mon cul. Le feu se calme, c’est trop bon. Il arrête de bouger. Ça brule à nouveau et je bouge pour sentir sa bite me ramoner et calmer le feu. Auguste est mort de rire. Il dit que je vais pleurer et supplier pour que l’on m’encule tout l’après-midi et que ça tombe bien, il a dit au foyer qu’il amenait une jeune salope. Ils sont, selon lui, une trentaine à m’attendre pour me bourrer. Thierry sort de mon cul. Il me demande ce que je veux. Je lui réponds:

— De la bite, des centaines de bites.

Il me dit que l’on part au foyer. Je suis le premier dehors. Ils sont tous hilares.

Mon cul me brûle de plus en plus jusqu’au foyer. C’est intenable. On entre. Plusieurs mecs sont dans l’entrée. L’un me demande ce que je veux. Je lui réponds:

— Ta bite.

Le mec sort sa bite de son pantalon. Une grosse et longue bite bien noire. Il bande dur. Je me retourne, relève ma jupe et recule vers lui. Je m’encule sur sa bite. Le mec dit à Auguste qu’il n’a jamais vu une salope pareille. Je me défonce sur sa bite. C’est moi qui vais et viens sur sa bite. Un second se positionne devant moi, j’ouvre la bouche et me penche. Il me prend par les cheveux, enfonce sa bite dans ma gorge. Je suis empalé des deux côtés. En me tirant par les cheveux, il rythme la cadence. Les deux jouissent. Je me dirige vers les autres. Auguste me bloque par le bras et me dit de le suivre. On entre dans la salle où j’étais la première fois.

Je me jette sur le matelas, relève ma jupe, écarte les jambes et tiens mes fesses écartées avec mes mains. Deux secondes plus tard, une bite vient calmer le feu de mon cul. Ma "mise à l’abattage" durera trois heures. Je n’ai pas compté les bites. Le feu de mon cul n’est pas calmé. Je les supplie de continuer. Thierry me traite de pure salope et me fiste. Oh que c’est bon! Je m’encule sur sa main. Quasiment tous les autres ont quitté la pièce. Auguste s’allonge sur le dos. Thierry me dit d’aller sur lui. Il laisse sa main dans mon cul. Auguste positionne sa bite et l'entre dans mon cul déjà occupé par la main de Thierry. Je sens que Thierry branle son copain dans mon cul.

Il sort alors sa main et la rentre tout en la laissant autour de la bite d’Auguste. Mon cul est ouvert en deux mais ça calme le feu. Auguste me demande si ça va. Je lui dis que c’est trop bon. Il défait les boutons du chemisier, passe sa main sous le soutien-gorge et caresse mes tétons. Je gémis de plus en plus. Auguste me dit que je suis une salope exceptionnelle, qu’il n’a qu’une envie, c’est de m’envoyer dans un bordel chez lui au Sénégal. Il jouit. Thierry ne lâche pas la bite d’Auguste et me fait me relever. Sa main est trempée de sperme. Il me dit de lécher sa main. Je lèche.

Ils me font me relever. Mon cul est ouvert et je sens que ça coule sur mes fesses et sur les bas. Le feu s’est un peu calmé mais ça me démange encore.

On sort du foyer...

À suivre...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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