Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Juin 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Il y avait eu quelques tentatives de vol chez moi et mon père qui était un collectionneur de pièces assez précieuses avait dû faire appel à un réparateur du système d’alarme.
Rémi était un type qui travaillait au noir et s’était engagé à venir plusieurs jours de suite pour remettre aux normes l’installation insuffisante et y ajouter une vidéo surveillance. Il était ce genre d’hommes qu’on ne remarque pas au premier abord mais qui dégage quand on l’observe un certain magnétisme. Sans être beau, selon les critères classiques, il avait du charme.
J’étais de mon côté à une période un peu indécise, je n’avais fait que sortir avec des garçons de mon âge mais n’avais pas encore connu un vrai premier rapport sexuel. Je sentais que je commençais à être en manque. Je me mis dans la tête que Rémi était gay et qu’il serait celui qui me dépucellerait. N’étant pas très doué pour la drague, mes premières approches restèrent sans effets. Mon réparateur que je convoitais semblait trop macho et m’ignorait complètement. J’avais beau guetter n’importe quel signe, rien ne venait.
Un jour pourtant je fis une trouvaille surprenante. Près d’un canapé qui était resté dans l’une des pièces en réparation, j’y découvris un boxer blanc, roulé en boule. J’imaginai tout de suite Rémi le porter et l’ouvrit. Apparemment il avait été utilisé toute une journée car il avait une légère odeur d’urine et une fine traînée brune à l’arrière. À l’intérieur, il y avait un préservatif vide et qui avait séché. En le déployant, je vis à sa couleur qu’il avait servi pour une sodomie. Leurs parfums étaient aphrodisiaques, je léchai les tâches pour tenter de découvrir un peu de ce qui m’échappait.
La première question était sur qui le préservatif avait servi. Rémi avait pu l’oublier lorsqu’il avait retiré son bleu de travail. Ce ne pouvait être Sébastien, son aide de 15 ans, car celui-ci était beaucoup trop fluet; par ailleurs j’avais remarqué qu’il portait toujours des sous-vêtements colorés sous ses pantalons baggy.
Je fis donc en sorte de me retrouver au moment où Rémi terminait son chantier quotidien pour lui remettre son sous-vêtement. Il se changeait dans la salle de bains, je fis semblant de la nettoyer à l’instant propice. Il arriva et ne fut pas décontenancé de me voir laver paresseusement les carreaux. À ma grande surprise, je le vis ouvrir le haut de son bleu et le faire glisser jusqu’à ses hanches, il portait un tee-shirt, prendre sa bite en main et se mettre à pisser devant moi! Il ne portait pas de sous-vêtement... Il me dit en rigolant qu’il n’en mettait quasiment jamais. Il resta bien quelques minutes après avoir terminé à laisser s’écouler les dernières gouttes. J’avais les yeux rivés sur ses belles couilles bien pendantes, on comprenait pourquoi!
— Tu as quelque chose à me dire? me demanda-t-il.
Je ne réfléchis pas et lui avouai directement que je voulais faire l’amour avec lui. Il ne parut pas surpris.
— Euh, c’est flatteur, mais je ne suis pas pédé. Je ne dis pas que je veux pas essayer, mais si à la rigueur j’acceptais, ça ne serait peut être pas ce que tu cherches vraiment. Je t’avoue que j’avais bien remarqué que tu étais homo mais pour moi ce n’est pas aussi clair.
Je n’en revenais pas qu’il soit aussi naturel et de peur de perdre une occasion, je lui répondis:
— Écoute, je suis prêt à faire ce que tu veux, fais-moi une proposition.
Comme on arrivait au week-end, il me dit qu’il me donnerait sa réponse le lundi. Je passai un samedi et un dimanche sur un petit nuage, ne faisant même pas attention à mes parents qui se faisaient la tête. Ma mère en avait assez des travaux qui duraient depuis trop longtemps dans la maison et l’empêchaient d’y passer comme d’habitude l’essentiel de ses après-midis. Je m’endormais le soir avec le boxer que j’utilisais comme un doudou en étant à peu près sûr que c’était celui de mon futur amant.
Enfin le moment arriva et Rémi me proposa la chose suivante:
— Comme beaucoup d’hétéros, j’ai des fantasmes homos. J’avoue que j’aimerais bien que tu m’encules. Mais je ne supporterai pas que tu me parles, me caresses ou même que tu me voies. J’ai eu l’idée suivante, je vais me positionner de telle manière à un endroit précis, dans une pièce qui sera complètement sombre, tu viendras, me prendras et partiras aussitôt.
Je bandais rien qu’à écouter son récit, ce n’était pas très sentimental mais comme je n’avais pas d’expérience, j’aimais autant que cela se passe ainsi sans que l’on se parle.
Tout se passa comme prévu, j’entrai dans la chambre qui avait été préparée et était entièrement calfeutrée. Je distinguai dans la pénombre sur le lit les fesses blanches proéminentes de celui qui s’était installé pour se faire prendre directement. Ma bite me faisait mal tant elle était dure. Je pris un préservatif et un peu de gel et appuyai doucement sur l’anus qui s’ouvrit délicatement absorbant mon sexe petit à petit. Une fois tout au bout, j’interrompis mes mouvements, c’était trop bon. Je distinguai également qu’il portait une cagoule comme prévu. Je ne pus m’empêcher de glisser mes mains sous lui pour sentir sa queue bien dure et ses boules qui s’étaient rétractées, mais il me donna un coup avec les siennes et je me rappelai que je ne devais pas le toucher. Je n’eus pas besoin de rester longtemps en lui car je jouis rapidement. Je fis là aussi ce qui était convenu, je lui vidai le contenu du préservatif sur l’anus pour que cela lui coule entre les cuisses. Je devinai grâce aux bruits en me réajustant qu’il se doigtait le cul, se passait les mains sur les jambes et se léchait après. Je sortis tout content de moi.
En avançant dans le couloir, j’entendis dans les toilettes qui jouxtaient la pièce où je venais de connaître mon premier acte sexuel. Une sonnerie de portable qui fut coupée puis suivie d’une voix sourde. Il y avait quelqu’un d’autre dans la maison: maman, papa, Sébastien?
Il y avait quelqu’un d’autre dans la maison: maman, papa, Sébastien?
Pétrifié, j’ouvris la porte et découvrit que ma mère était en train de se faire enculer par Sébastien. Elle avait un bâillon sur la bouche pour ne pas faire de bruit et je vis que sa chatte était occupée par un sex toy. Sébastien semblait tout à fait maîtriser la situation et mon irruption ne l’interrompit pas. J’étais fasciné par la taille de son sexe qui entrait et sortait du cul maternel. Ce qui me surprit fut de constater qu’ils avaient en ligne de mire un moniteur qui montrait ce qui se passait dans la salle à côté, celle d’où je venais. Avaient-ils tout vu?
Je sortis de la pièce, l’esprit empli de questions et attendit qu’ils terminent leur petite affaire. Cela prit du temps, ce qui me montra qu’ils n’avaient pas du tout été gênés par ma présence. D’ailleurs lorsqu’ils finirent par apparaître, ils étaient bras dessus, bras dessous et ma mère me dit au passage en guise d’explication: «Que veux-tu, ton père ne me touche plus, je ne suis pas de marbre!» Sur ces mots, elle fila prendre une douche et me laissa avec un Sébastien goguenard qui n’arrêtait pas de se toucher en me disant qu’il n’arrivait pas à débander.
Je lui demandai des explications pour la vidéo et il me répondit qu’elle était à infrarouge pour voir dans le noir et que c’était Rémi qui leur avait dit de regarder. Ce dernier était donc exhibitionniste? Cela ne cadrait pas avec ce qu’il m’avait dit. De plus il avait disparu après notre partie de jambes en l’air. Sur ces faits, mon père surgit, je n’avais pas le cœur à lui apprendre ce qui se passait sous son toit, d’autant que ma mère vint lui faire une scène à propos du linge qu’il venait de déposer à laver. L’affaire prenait un mauvais tour quand tout à coup papa, pour essayer de retourner la situation à son avantage, l’accusa de lui avoir perdu son unique boxer blanc. Un déclic se fit dans ma tête. Ma mère, devenue mauvaise, lui lança alors: «Tu n’as qu’à mieux chercher, demande donc à ton fils chéri!» J’étais rouge de confusion, elle savait donc tout de mon fétichisme.
Le lendemain, j’attendis Rémi avec impatience pour le remercier. Il me dit qu’il n’y avait pas de quoi que c’était moi qui devait être complimenté. Je le flattai encore un peu et il se sentit obligé de surenchérir:
— Merci surtout d’avoir respecté à la lettre nos engagements.
Je lui répondis que j’avais eu du mal à ne pas lui parler en l’enculant. Il ajouta:
— Et de ne pas m’avoir touché.
Je me mis à rire et lui dit:
— De toute façon tu ne m’as pas laissé faire!
Je vis alors qu’il ne saisissait pas de quoi je parlais...
— Tu sais quand tu as frappé ma main qui était un peu baladeuse.
— Ah oui, dit-il un peu hésitant. Mais du moment que tu ne me prenais pas la bite.
— Mais je l’ai fait...
Il y eut un blanc que j’interrompis.
— Ce n’était pas toi hier?
— Autant te l’avouer, non.
— Qui alors?
— Ton père!
Je ne sus que répondre. Rémi reprit la parole:
— Écoute, depuis que je suis là, vous êtes tous sur mon dos, ton père, ta mère qui voulez coucher avec moi et toi qui t’y mets. J’ai mis Sébastien sur le coup à ma place, mais hier je ne pouvais pas le dédoubler et je n’avais pas envie de le faire alors j’ai tout manigancé. Ton père veut être pris dans le noir menotté, bâillonné, ta mère est une voyeuse, je leur ai donné satisfaction, Sébastien qui ne demande que ça a pu se vider les burnes et toi aussi, non?
Dans ma tête tous les morceaux s’imbriquaient, Sébastien avait dû enculer un jour papa, j’en avais retrouvé les traces. Que faire désormais? Je connaissais les désirs intimes de mes parents et je proposai le plan suivant: puisque maman aimait voir des mecs s’enfiler, j’allais baiser mon père devant elle pendant que Sébastien reprendrait sa place dans son cul.
Ce fut fait rapidement mais en pleine action, mes parents se rapprochèrent et malgré nos deux présences à Sébastien et moi en eux, ils s’accouplèrent. Nous formions un ensemble à quatre têtes que Rémi filmait en se branlant. Je lui avais demandé une faveur. Puisqu’il n’était pas homo, accepterait-il de décharger sur moi. Il s’exécuta, dispersant sa semence sur mon visage, mais aussi sur mes trois autres partenaires. Je me fis ensuite enculer par Sébastien, décidément très tonique puisqu’il baisa après mon père pendant que maman suçait Rémi qui participait enfin. Quel bon plan au final!
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