Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Juin 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
près mon aventure de la nuit passée, le lendemain se passe sans histoire, mon frère Sébastien ne fait aucune allusion à la soirée, pas un mot, rien... À mon grand soulagement car j'avais vraiment la frousse de sa réaction. J'étais fier de moi après ces moments inoubliables. Comme Sébastien était complètement paf, beurré comme un p'tit LU, il ne se souvenait de rien. Pour moi c'était autre choses... Ma première queue sucée et avalée au complet. Mon premier sperme (autre que le mien) goûté et mon premier cul pénétré. Ma première éjaculation dans un beau trou du cul serré et chaud et le pire celui de mon frère aîné.
Heureusement qu'il avait tout oublié sinon j'aurai eu la raclée de ma vie, voire du siècle, voire du millénaire (faisons comme les journalistes, j'exagère à peine). Enfin en deux mots il m'aurait attendu au tournant et j'avais une bonne chance d'en recevoir une.
Deux semaines plus tard, nos parents partent pour le week-end, nous laissant seuls à la maison. C'est fréquent en cette période de week-ends prolongés. À chaque fois, Sébastien en profite pour aller prendre un verre avec ses potes et il rentre très tard. Moi, je vais souvent faire un petit tour en ville, pour m'y promener et je reviens plutôt de bonne heure. Je termine toujours ma soirée par une bonne branlette en solitaire. Mais je pense que ce soir se sera une super masturbation en me remémorant, dans ma petite tête de pervers, la fameuse nuit où mon frère était ivre mort. Qui sait, avec un peu de chance, il va encore revenir plein comme une barrique et que je pourrai peut être... Hummmm!
Mes parents sont enfin partis. Croyant que Sébastien était déjà sorti, je me prépare pour aller me promener. Sortant de ma chambre, je passe devant la porte de Sébastien. Et là, oups!!! Surprise. Il est assis dans son fauteuil, complètement nu, sa belle queue à moitié bandée pendant sur ses grosses couilles, les deux bras derrière la tête et avec un sourire narquois, il me dit:
— Où tu vas comme ça?
— Me promener, pourquoi?
— Non, non pas ce soir, tu restes à la maison, comme moi d'ailleurs!
— Ah bon! Et pourquoi ça?
— Je suis ton gardien et comme tu le vois, nous allons passer notre week-end à poil, à faire des choses, sale pervers!
— Pourquoi pervers? Pervers toi-même, tu t'es pas regardé.
— Pourquoi? Tu oses demander pourquoi. Et en plus il joue les innocents. Tu ne te souviens pas? Qu'est ce que tu as fait y a deux semaines? Le vendredi soir où j'avais un sacré coup dans le nez, tu m'as carrément violé. J'étais peut-être bourré mais je me souviens de tout.
— Mais Sébastien, je... je...
— Pas de Sébastien qui tienne... À poil et plus vite que ça! Je vais te montrer moi comment on fait l'amour, comment baiser et comment enculer avec tendresse.
— Alors là! T'es pas sérieux.
— Ça fait longtemps que je veux faire ça avec un mec. D'ailleurs, regarde dans quel état est ma queue. Elle n'attend que ta bouche chaude et le trou de ton p'tit cul. Ce soir, c'est moi qui vais te défoncer, ma bitte dans ta rondelle, bien à fond.
— Oh! Non, pas ça. On me l'a jamais fait et ta queue est bien trop grosse et bien trop longue pour me la planter dans le cul. Pitié!
— On verra ou plutôt c'est moi qui la verrai entrer et toi tu vas la sentir t'envahir mon p'tit Ludo. En plus, l'autre soir, tu t'es bien marré en me voyant pissé dans mon froc. Ça t'as fait bander un p'tit cochon.
— Bah! Non, c'est pas ça, mais voir ton jeans devenir foncé avec ta pisse, je...
— Bon assez! À mon tour de voir ça. Déshabilles-toi. Tu gardes juste tes chaussettes et ton jeans puis tu files dans la baignoire. À mon tour de me marrer.
— T'es pas bien! J'veux pas faire ça.
— Allez! Pas de chichi et fait c'que j'te dis.
— Mais c'est pas vrai. Tu veux vraiment que je pisse dans mon jeans et devant toi en plus.
— Oui et après ça mon p'tit gars, je vais t'apprendre comment faire l'amour longtemps et plus d'une fois.
— Tout de suite après!
— Oui et non, après et pendant tout le week-end.
Excité à l'idée d'un week-end complet de sexe avec mon frangin, je me suis vite retrouvé debout dans la baignoire, les jambes légèrement écartées. J'étais plutôt gêné mais après quelques minutes, je me suis mis à pisser. Je sentais mon urine chaude me couler sur les couilles et le long des jambes. Drôle de sensation! Là, Sébastien me dit:
— Ton jeans n'est pas assez mouillé.
À son tour, il se met à me pisser dessus. Un peu surpris au début mais finalement c'est encore meilleur de recevoir la pisse d'un autre.
Il me reste encore mes chaussettes (que je réussis à enlever tant bien que mal) quand Sébastien me prend dans ses bras pour me transporter vers sa chambre. Il me lâche sur le dos au beau milieu du lit. J'ai tellement de mal à me contenir que je suis tout en sueur. Il s'allonge sur moi, sa queue contre ma queue, son torse contre mon torse, sa bouche collée à la mienne, sa langue me râclant la gorge de fond en comble. Puis il me mordille les oreilles tout en me taquinant les mamelons. Il me lèche le ventre, fait entrer sa langue dans mon nombril pour continuer son chemin vers ma queue hyper bandée, mes couilles en feu et enfin mon anus.
Il le lèche avidement en faisant même pénétrer sa langue dans mon trou du cul si serré. Je bande comme un malade. Je n'ai jamais rien ressenti d'aussi bon. Il me mange le cul pendant un long moment avant de remonter pour me sucer le dard et finalement le rentrer au complet dans sa bouche. En même temps il pousse son index dans ma rondelle. Il fait quelques mouvements de va-et-vient avant d'y mettre un deuxième doigt. Je suis excité comme une puce et je ne peux retenir un hoooo! de satisfaction en lui remplissant la bouche de plusieurs giclées de sperme qu'il cracha aussitôt sur mon ventre.
Doucement, il me relève les jambes et les écarte sur mon torse lui présentant ainsi mes fesses mais surtout ma rosette. Il positionne son gros gland à la porte de mon petit cul serré et commence à pousser pour y faire entrer son engin monstrueux. Une douleur atroce me traverse le corps au fur et à mesure que son énorme braquemart pénètre ma tendre intimité. La douleur s'atténue rapidement, se transformant en une jouissance encore nouvelle pour moi. Malgré mon éjaculation précoce dans la bouche de Sébastien, mon zizi reprends une forme honorable et se met au garde-à-vous.
De ces deux grandes mains, il écrase complètement mes jambes sur ma poitrine. Il commence un va-et-vient lent mais profond de sa pine épaisse dans mon cul en chaleur. Son sourire et ses gémissements en disent long sur sa satisfaction. Il me lime le fion de plus en plus vite enfonçant sa pine jusqu'à la garde. Son manège dure plus de dix minutes et sa queue devient de plus en plus grosse en moi. Il gémit fortement, me bourre le cul à fond et avec un HOOO libérateur il me remplit les entrailles de cinq à six bonnes giclées de sa purée.
Comme je m'astiquais le manche pendant qu'il m'enculait, j'éjacule pour la deuxième fois presque au même moment que lui me couvrant le ventre de mon jus blanc et crémeux. Je lui dis:
— Sébastien lèche mon sperme et donne-le-moi dans la bouche!
Il me fait son plus beau sourire, lèche le sperme sur mon ventre et me le recrache dans la bouche et moi j'avale le tout.
— Merci, c'est super!
— T'as aimé ça, sentir ma queue en toi?
— Oh que oui! Et je trouve que c'est meilleur de se faire enculer que d'enculer.
— Parle pour toi, moi je préfère t'enculer. En plus c'est normal que tu préfères être enculer, t'as vu le monstre que t'avais dans le cul? C'est pas comme cette ridicule petite zézette qui pendouille entre tes jambes.
— Bah! Quoi? Qu'est ce quelle à ma bitte? Elle est pas si mal que ça.
— Mais non! Je plaisante. Elle est même très bien pour ton âge. Enfin! La nuit et le week-end ne font que commencer alors nous avons tout notre temps pour essayer d'autres petits jeux pervers.
— Super ça, mais dis donc, tu ne sors pas ce week-end?
— Pourquoi sortir puisque j'ai tout ce qu'il me faut sous la main.
Cette nuit là, je crois bien qu'il m'a éjaculé au moins deux fois dans la bouche et peut-être trois fois dans le fion. Quant à lui, il m'a sucé plusieurs fois et a même avalé mon sperme avant de nous endormir dans son lit, enlacé comme deux amants.
J'ai dormi comme un ange en rêvant à tout ce qu'il m'avait fait. Moi qui croyais qu'une bonne branlette et une petite pipe entre mecs c'était l'extase, c'était ne pas connaître les jeux amoureux de mon frère. Je le revoyais me lécher des oreilles aux orteils, prendre ma queue au complet dans sa bouche et même avaler ce qu'elle crachait. Et surtout sentir son merveilleux membre au plus profond de moi. Mais là je crois que je ne rêve plus! C'est effectivement son gros zob qui est en train de me ramoner la cheminée et qui m'a réveillé. Avec un rugissement, il donne un ultime coup de reins et jouit en moi.
Nous passons l'après-midi à parler de cul et à baiser. Il ne débande pratiquement pas, toujours prêt à me satisfaire. Je lui raconte mes petites branlettes avec mon copain et lui me parle de ses expériences sexuelles. Il m'avoue qu'il est bisexuel mais qu'il baisse plus souvent des mecs que des nanas.
— Tu vois Ludo, les gars sont moins compliqués et surtout plus vicieux surtout mon copain Antoine.
— Quoi? Antoine, si sportif et si... beau. Dis! Tu me le présenteras un jour?
— T'aimerais ça hein! P'tit salopard.
— Bah! J'cracherai pas dessus, il est si beau. Tu dis qu'il est aussi vicieux que toi?
— Pour être vicieux, il l'est. À ce jour, c'est avec lui que j'ai eu mes meilleures parties de jambes en l'air.
— Intéressant! Décidément j'aimerai bien le connaître.
— Et bien, vois-tu, il m'a déjà parlé de toi. Il te trouve plutôt mignon et aimerait bien te faire partager quelques-uns de ses jeux... Comment dire? Ses jeux érotiques.
— Ah bon! Je croyais qu'il ne m'avait même pas remarqué. Et il aime être enculé ou le contraire?
— Les deux et en plus il a une belle grosse queue avec un gland énorme. Quant tu le suces t'en as plein la bouche et quand il t'encule c'est à la limite de ne pas te déchirer la rondelle.
— Ça promet, j'ai hâte de le rencontrer.
— Impatient le Ludo. Regarde, t'en baves! Alors écoute, je vais lui téléphoner pour l'inviter à venir passer la soirée et même la nuit ici. Comme ça nous baisserons à trois.
— Whai! Génial...
À mon grand désespoir, Antoine ne pouvait pas se joindre à nous ce soir là mais il promit à Sébastien de venir le vendredi suivant. La semaine fut longue, très longue, même si maintenant avec mon frère on se satisfaisait le plus souvent possible. À tel point que si l'un de nous deux allait prendre sa douche, l'autre se trouvait une bonne envie d'uriner, pour aller pisser sur celui qui était sous la douche. C'était devenu un de nos jeux secrets et ça provoquait souvent une baise vite fait.
Mais nous sommes enfin vendredi soir et nous attendons Antoine, surtout moi, et avec une telle impatience de pouvoir lui offrir mon petit cul. Ah! Antoine il est si beau et en plus Sébastien m'a dit qu'il a une super queue. Pour passer le temps nous discutons et je dis à Sébastien:
— Dis donc Sébastien, que dirais-tu de pisser tous les deux sur Antoine?
— T'es pas bien! J'ai jamais fait ça avec lui!
— Je ne t'ai pas demandé si tu l'avais fait ou non avec lui, mais si ça te plairait?
— Ah! Je te reconnais bien là sale petit cochon. Bien sûr que j'aimerais ça! Mais comment l'entraîner dans la baignoire. Pas simple ton histoire?
— Mouais! Je sais, mais ce serait drôle. Laisse-moi faire, je trouverais bien un truc...
Dringgggggg! Oh! Merde c'est sûrement Antoine. Mon coeur bat à cent à l'heure. Sébastien va ouvrir et Antoine entre tout joyeux et très heureux de me voir là. Il donne une bonne poignée de main à Sébastien mais moi, il me prend carrément dans ses bras, me soulevant de terre et il m'embrasse sur la bouche et me dit:
— Salut Ludovic! Tu sais que je ne pense qu'à toi depuis que Sébastien m'a invité à partager vos jeux? Je t'avertis que je suis en hyper forme. Ça fait trois jours que je me remplie les couilles pour toi. Ton p'tit cul va avoir sa dose ce soir.
— Minute! Tu te fais enculer toi aussi?
— T'en fait pas mon mignon, le cul je m'y connais, à deux, à trois ou même plus. Ça va être ta fête.
— Tiens! Comme tu as l'air en forme, ça te dirait de commencer par un petit jeu un peu spécial.
— Tout ce que tu veux, demande et se sera oui.
— Parfait! Tu enlèves tout ce que tu as dans tes poches et tu te déshabilles. Tu gardes juste ton jeans. Ensuite je te bande les yeux pour la surprise.
— Bon! Si ça peut te faire plaisir, allons-y mais jure moi que ta surprise c'est pas une nana. Ce soir j'ai plutôt envie d'un beau p'tit cul de mec comme toi.
— Non, y'a pas de fille ici, juste nous trois.
Une fois Antoine torse nu et en jeans, je lui bande les yeux et je l'emmène dans la salle de bains. Je le mets à genoux dans la baignoire. Là il dit:
— Je viens de prendre ma douche, j'ai pas besoin d'en prendre une autre et encore moins avec mon jeans.
Mais il a vite compris que cette douche là était particulière quand il a senti la chaleur de notre pisse sur son corps.
— Mais vous êtes des gros dégueulas! Espèce de porc pervers, dit-il tout en riant comme un fou. Vous perdez rien pour attendre. Ma vengeance sera terrible.
Et il arrache le bandeau de ses yeux, m'entraînant de force dans la baignoire. Il place mon visage contre sa braguette toute mouillée par notre pisse me maintenant collé contre sa queue et il se met à pisser. Il riait comme un fou. Il attrape Sébastien par les cheveux et le force à mettre sa tête entre ses jambes.
— Y'a pas de raison que tu ne goûtes pas à ma pisse toi aussi.
Et il nous oblige à nous embrasser sous le ruisseau qui dégouline de son jeans.
Après une bonne douche (réelle celle là) à trois, on se retrouve bien vite dans la chambre de mon frère à poil et nos queues bandées au max. Je suis entre Antoine et Sébastien à admirer leurs belles bougies bien droites et c'est vrai que Sébastien n'a pas menti sur les proportions de l'engin d'Antoine. Une belle grosse bitte, bien longue et terminée par un gland énorme recouvert d'un long prépuce. Et pour terminer le tableau une belle paire de couilles lourdes et velues.
J'en avais plein la bouche avec un truc pareil surtout quand Antoine m'a collé son gland au fond de la gorge me faisant presque perdre le souffle. En plus, il y avait des doigts qui jouaient autour et dans mon cul. Puis je dis à mes deux complices que j'aimerais bien les voir en 69 devant moi et Antoine d'ajouter:
— D'accord mais je veux que tu me dilates la rondelle de tes petits doigts et que tu m'encules en même temps. Je veux sentir la queue d'un jeune mâle en chaleur au fond dans mon cul pendant que Sébastien et moi on se taille une bonne pipe.
Aussi tôt dit, aussi tôt fait. Il s'installe au-dessus de Sébastien et commence à le sucer, la rosette bien en vue et en bonne place pour pouvoir la lécher puis y introduire mon index et même un deuxième doigts. Ça rentre si facilement que je n'hésite pas une seconde pour remplacer mes doigts par ma queue.
Je me place au-dessus lui et d'un bon coup sec je lui plante mon dard dans le cul, bien à fond. Ça le fait gémir de satisfaction. Je cambre mes reins pour faire un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. Sébastien profite du spectacle tout en jouant avec mes couilles et en me mettant l'index au fond de mon petit cul en chaleur. Résultats, une éjaculation presque précoce dans l'arrière-train d'Antoine.
Sébastien me fait comprendre qu'il voulait lécher ma queue pleine de sperme à la sortie du fion d'Antoine. Je me relève pour lui mettre dans la bouche. Lui, tout en me suçant, me positionne et je me retrouve assis sur le gros gland d'Antoine. Il m'écarte les fesses et je sens ce monstre qui me dilate l'anus dans une douleur à la limite du supportable. Oh que ça fait mal! Mais après tout, je la rêvais, je l'imaginais, je la voulais et bien je l'ai... alors supporte. Du coup j'oublie la douleur pour me concentrer sur les sensations. Je sens cette verge énorme glisser en moi, doucement, et enfin, elle est là au complet dans mon cul. J'ai l'impression que je vais me fendre en deux.
Je reste là, sans bouger, quelques instants pour atténuer la douleur et pour profiter de cette étrange sensation de douleur et de bien être. Mais Antoine ne l'entends pas de cette façon et il commence à me donner des coups de boutoir. La position n'étant pas des plus pratiques, Antoine me met sur le dos, les jambes repliées sur moi et ainsi, plus à l'aise dans ses mouvements, il me montre ce qu'il sait faire avec cette grosse queue. Le bonheur! L'extase! Sentir un engin de cette grosseur, et ce va-et-vient si puissant, sortant et entrant à nouveau, me défonçant à chaque coup la rondelle. Et dans un rugissement, Antoine me remplit le cul de plusieurs bonnes giclées de sperme.
Quand il se retire, j'ai l'impression que mon cul est grand ouvert, une vraie bouche de métro, je crois même qu'il est encore en moi. Je lèche les dernières gouttes de sperme sur ce beau gland rouge vif. Sébastien en profite pour prendre sa place. Vu l'énormité que je venais d'avoir, je pensais que Sébastien m'enculerait sans douleur et que je ne le sentirais même pas. Bien au contraire, non seulement je sentais bien la belle pine de mon frère qui m'enculait et savoir qu'elle trempait dans le sperme épais d'Antoine m'excitait encore plus. Il ne fut pas long à jouir et à mêler son sperme à celui d'Antoine. J'étais épuisé et j'avais le trou du cul en feu.
Nous sommes passés au salon pour prendre quelques rafraîchissements et reprendre des forces, surtout redonner des forces à nos queues et laisser respirer mon anus. Je suis assis juste à côté d'Antoine. Je ne peux m'empêcher d'admirer ce corps si beau, cet énorme chibre au repos qui lui pend entre les jambes et ce gros gland bien caché sous son prépuce. Il s'aperçoit de mon regard insistant, surtout vers son entrejambe, et il me saisit par les épaules pour m'asseoir sur ses jambes, face à lui.
Il m'embrasse sur les lèvres, sa langue me râclant la bouche en tout sens. Je ne me prive pas pour lui faire la même chose. Je sens sa queue qui se réveille et qui me caresse entre les fesses. Sébastien se met à genoux entre ses jambes pour le sucer et me manger le cul. Il guide le gros gland d'Antoine à l'entrée de mon anus. Je ne peux m'empêcher de sursauter quand son engin traverse ma rondelle. À dire vrai, il n'a pas eu à pousser beaucoup, mon anneau culier s'ouvre de lui-même pour lui laisser la voie libre. Je sens ses poils pubiens collés à mes fesses, signifiant que le monstre au complet est en moi.
Alors Antoine se glisse au bord du canapé et me couche contre lui, offrant ainsi à Sébastien la vision de sa queue entre mes fesses et ma rondelle bien dilatée. Sébastien présente alors le bout de sa queue devant la raie de mes fesses. Il l'ajuste en face de ma rosette et pousse de toutes ces forces pour faire pénétrer sa bitte à côté de celle d'Antoine au fond de mon cul. La douleur est atroce et je pousse un hurlement à faire trembler les murs. Ça n'empêche pas Sébastien de continuer à pousser et faire glisser lentement mais sûrement sa queue au fond de mon trou. Ils essaient alors de faire quelques mouvements de va-et-vient mais l'opération est trop difficile et Sébastien se retire comme il était venu.
Antoine me prend alors dans ses bras musclés pour m'allonger sur le tapis, sans sortir sa queue de mon cul. Il s'étend par-dessus moi m'écrasant presque de son corps. Un super coup de sa queue bien à fond me fait crier. Sébastien venait de se faufiler derrière Antoine pour l'enculer en même temps, ce qui le rendait encore plus excité. Il m'embrasse fougueusement, tout en me défonçant le cul. Chaque coup que Sébastien lui donne, je le reçois en double. Antoine ne pouvant plus retenir son éjaculation plus longtemps me mord la langue en jouissant, me replissant le cul de son foutre.
Sébastien continue de plus belle à enculer Antoine qui se libère de mon cul pour se glisser et aller me sucer tout en recevant les coups de boutoir puis le sperme de Sébastien. Il me suce avidement, deux ou trois de ses doigts fouinant dans mon cul jusqu'à ce que je lui remplisse la bouche de ma purée abondante. Antoine partage alors ma crème avec mon frère dans un baiser bien roulé. Une fois nos ébats terminés, Antoine dit:
— Je suis crevé, il est temps que je parte.
— Avant de partir, je te suce trois minutes et si j'arrive à te faire bander, tu ne pars pas, tu couches ici et tu dors ta grosse queue dans mon cul.
— Je suis vidé mon p'tit Ludo, j'ai joui trois fois.
— Tu as peur ou quoi?
— Pas du tout! Suce-moi et tu verras bien qu'elle est morte pour ce soir.
En moins de deux minutes sa queue était bandée raide, moi en le suçant et Sébastien en lui mettant son index dans le cul.
Nous avons dormi ensemble, son gros gland dans la chaleur de mon anus, tout ça pour être réveillé vers les quatre heures du matin par Antoine qui me ramonait les tuyaux. Au petit matin, après un bon petit déjeuner, Antoine est parti. Sébastien me dit alors:
— Ce soir, tu seras juste à moi, ta bouche, ta queue et ton beau petit cul.
Ce soir là, nous avons baisé comme des enragés et avons joui deux fois chacun. Le manège se répéta tous les soirs de la semaine, sauf le vendredi soir où le bel Antoine est venu se joindre à nous pour partager nos ébats et quel vendredi soir...
FIN
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