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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !

Lundi 2 juillet 1 02 /07 /Juil 00:03

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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 23:15

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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 23:06
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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 22:42

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18 ans ! Cela se fête. C’est bien ce que j’ai fait ce soir. Je ne suis pas resté avec mes parents comme à mon habitude car j’ai préféré sortir avec Élise. Nous sommes ensemble depuis six mois. Nous nous entendons à merveille. C’est un petit bout de femme blonde qui devrait s’inscrire pour des castings de mannequin. Pourtant elle ne pense qu’aux études. Moi, c’est plutôt le contraire. Si je pouvais me passer des études je ne m’en sortirais pas plus mal. Je préfère largement courir sur les terrains de sport que rester devant des livres toute une après-midi. Pourtant nous nous complétons à merveille. Peut-être que mon côté mauvais garçon l’a attirée de suite. Moi, c’est son petit minois et son cul parfait qui m’ont donné envie de la connaître davantage. Entre mes matchs d’entrainement et mes séances dans une salle de muscu, je trouve toujours un moment pour passer du temps avec elle. Ce qui est agréable, c’est que notre complicité affective a lieu aussi au lit. Elle n’a jamais été farouche, si bien que j’en profite. Il faut dire qu'à notre âge, on a toujours envie de faire l’amour. Elle me touche à peine la cuisse que je me mets à bander. Parfois, cela devient même un jeu. En cours, assis l’un à côté de l’autre, elle pose sa main sur ma jambe et la remonte doucement jusqu’à ce que je devienne rouge.

Comme c’était mon anniversaire aujourd’hui, j’ai souhaité passer la soirée avec elle. Ses parents, Marc et Claudine, nous ont proposé de manger chez eux. Sa mère est un véritable cordon-bleu, et voulant me faire plaisir, elle m’a fait mes plats préférés : pâtes carbonara et mousse au chocolat. Après le repas, repus, nous avons passé la fin de soirée dans la chambre d’Élise. Celle-ci m’avait préparé une petite surprise. Elle avait acheté une tenue très sexy, et après un petit striptease, elle m’a sauté dessus. Oh bien sûr, je me suis laissé faire, je n’allais pas refuser cette invitation à la débauche. Ce qui est bien avec Marc et Claudine, c’est qu’ils sont assez ouverts. Ils sont conscients que les jeunes de maintenant sont plus à l’aise avec leur sexualité, si bien qu’ils nous ont toujours laissés nous faire l’amour chez eux. Il y a une seule règle qui m’agace, mais je la respecte vu qu’ils nous laissent une certaine liberté. Je ne dois pas dormir chez eux et à minuit je dois être parti.

Comme d’habitude, donc, j’ai quitté mon Élise pour rentrer chez moi. Le repas avait été un peu arrosé, donc je me suis retrouvé à naviguer dans la rue au rythme de la marée, si je puis dire. Arrivé chez moi, je me suis dirigé vers ma chambre. Toutes les lumières étaient éteintes. Mes parents devaient dormir. J’ai monté les escaliers, me suis dévêtu en restant en boxer et me suis jeté sous les couvertures. Après une journée de cours, l’entrainement, un repas copieux et une soirée endiablée, j’avais besoin d’un repos bien mérité. Il ne m’a pas fallu longtemps pour m’endormir.

Léger souffle glacial… Draps qui se soulèvent… Un poids sur moi… Sensation d’étouffement…

Réalisant ce qui se passe, je me réveille. Quelqu’un est sur moi. Je vais pour crier lorsqu’une main se pose sur ma bouche. Je sens des cuisses contre les miennes, un souffle chaud dans mon cou, un objet raide sur mes fesses. Je commence à prendre peur. Je me demande qui c'est. On m’oblige à tourner le visage vers mon oreiller afin d’étouffer mes cris. J’essaie de me débattre, mais la personne sur moi pèse lourd et semble savoir bloquer quelqu’un. Je peux à peine respirer. Une main se glisse sur mes fesses. Je devine des cuisses poilues autour des miennes. Mon boxer se retrouve sous mes fesses et un doigt vient titiller ma rondelle. Cette sensation est étrange. Je veux m’extraire, mais je n’y arrive pas. Cela se passe vite, mais je sens quelque chose me pénétrer. On me fouille. La douleur est atroce. Mon anus est sec et on me l’explore d’un doigt puis de deux. L’homme sur moi essaie de m’écarter les muscles anaux. Moi, je me contracte comme je peux, mais je n’arrive pas à résister. Je sens le souffle chaud sur mon cou, je devine un parfum que je connais, mais je n’arrive pas à me rappeler à qui il appartient.

Les doigts sont enfin sortis, j’espère la délivrance. Le poids se fait plus léger, se déplace même. Était-ce un cauchemar ? L’homme se rallonge sur moi, je sens de nouveau une sensation sur ma rondelle. Il force. Son souffle s’accélère. Je suis déchiré. Je veux hurler mais l’oreiller m’en empêche.

— Putain, depuis que j’attends !

Je reconnais la voix de mon père. C’est cet homme à qui je dois tout qui me viole. Son chibre progresse lentement en moi.

— 18 ans que je désire te baiser ! 18 ans !

Je le sens s’appuyer sur moi.

— Putain ! Je suis à fond. Dans ce cul vierge.

Le dégoût me prend. Je sens des larmes emplir mes yeux. La douleur est atroce. Je le sens bouger. Il va pour se retirer, mais au lieu de sortir complètement, il recommence sa pénétration. Je réalise que je suis en train de me faire enculer. J’ai honte. Je ne peux rien faire. Mon père me bloque.

— Tu vas être une bonne salope pour ton père, hein ?

Comment veut-il que je réponde ? Il me coince.

— Baiser un petit mâle comme toi, c’est le pied.

Je sens son souffle sur mon cou, il me lime par de grands coups de boutoir. À chaque fois qu’il se retrouve au fond de moi, je sens son gland sur ma prostate. La sensation est étrange. Bien malgré moi je bande.

— Prends ça, petite salope, me dit-il.

Son rythme s’accélère, je l’entends lâcher un gémissement. Il a dû jouir car il ne bouge plus. Il est enfoncé en moi pourtant. Je sens enfin ma délivrance venir. Encore planté en moi, il me glisse à l’oreille :

— Tu ne diras rien à personne. J’ai découvert tes petits cachetons dans ton bureau. Cela serait du plus mauvais effet si on apprenait que tu te dopes dans ton équipe. Et puis, qui croirait un môme face à un flic ?

J’étais pris. J’allais devoir me taire et rester seul avec ma honte. En effet, mon père est un flic respecté. Qui me croirait ? Et je m’étais mis dans une sale merde en utilisant des produits pour améliorer mes performances.

Il se retire et me laisse là à pleurnicher dans mon oreiller, comme un gosse. Je ne peux arrêter mes larmes. La douleur de mon anus est insupportable. J‘ai l’impression qu’il m’a déchiré. Je sens même du liquide le long de mon cul. Je touche, mais ce n’est que son sperme qui s’écoule lentement. Il a dû se vider après des jours d’abstinence. J’essaie de penser à autre chose, mais malgré moi mes pensées me ramènent à cet instant et je m’aperçois que je bande toujours…

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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 22:19

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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 22:11

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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 22:10

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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 18:28

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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 17:27

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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 17:16

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Le matin même de mon viol, je suis resté au lit, attendant que tout le monde parte. J'avais peur que ce soit ma mère et ma sœur qui partent les premières, laissant mon paternel seul avec moi dans la maison. Je me blottissais dans mes draps, pleurant doucement pour ne pas attirer de monde. Je sanglotais comme il y avait longtemps que je ne l'avais pas fait en me blottissant dans les bras de ma mère. Quand tout le monde fut parti, j'ai pris une douche pendant de longues minutes, ma savonnant encore et encore, essayant de faire partir cette sensation de dégoût qui m'envahissait. Je ressentais encore une douleur vive à l'anus même si je n'avais pas saigné. Je m'habillai d'un vêtement chaud prêt à partir en cours mais je n'eus pas le courage d'affronter le regard de mes camarades. J'avais l'impression que ce qui m'était arrivé pouvait se lire sur mon visage. Je décidai alors de retrouver Elise et l'attendis devant chez elle.

Elle me rejoint peu avant midi pour manger chez elle. Elle est surprise de me retrouver là.

— Ben, mon chéri ? Qu'est-ce que tu fais là.

— Il fallait que je te voie.

Elle essaie de savoir pourquoi je ne suis pas venu en cours mais je reste muet. Comment lui avouer que je me suis fait violer ? Que mon père est un pervers ? J'arrive à la décider de rester ensemble toute la fin de la journée. Quand ses parents rentrent, nous ne leur disons rien. Je reste pourtant taciturne. Même si la présence d'Elise m'a permis de me sentir bien, je garde en mémoire ce souvenir qui de toute façon se rappelle à moi à cause de la douleur que je ressens encore aux fesses. Nous passons une partie de la soirée dans sa chambre. Je ne cherche que sa chaleur. Je me blottis dans ses bras, la tête sur son sein à écouter son cœur battre. Des images défilent à la télévision mais je ne fais pas attention. Parfois sa main passe sous mon t-shirt. D'habitude cela m'aurait excité et je lui sauterais déjà dessus. Là, je n'ai envie de rien. Tout du moins pas de sexe. Je désire juste qu'elle me berce pour redevenir un enfant, oublier...

Pourtant, elle se fait insistante et je suis obligé de répondre à ses avances. J'ai peur qu'elle ne me pose des questions auxquelles je ne voudrais pas répondre. Je la laisse faire. Bientôt, ma chemise est ouverte, mon t-shirt enlevé, elle passe sa main sur mon torse ce qui réveille mon sexe endormi. Je l'embrasse doucement, faisant glisser mes lèvres sur sa peau de velours. Son doux parfum enivre mes narines. Mes mains glissent à leur tour sur ses cuisses. Elles les écartent doucement pour me laisser la place. Je me déplace afin de me caler face à elle. Son sourire est charmeur comme à son habitude. Elle passe ses mains sous mon pantalon pour rejoindre mes fesses. Je me contracte, elle le sent. Je vois dans ses yeux qu'elle s'interroge, mais je lui souris, ce qui semble la rassurer. Pourtant, je ressens quelque chose qui me dérange. Vite fait, elle fait glisser mon pantalon. Je suis bandé. Je suis excité mais je me sens sale aussi, si bien que je souhaite que tout cela se termine rapidement. À peine ai-je mis la capote que je suis en elle. J'alterne des va-et-vient lents avec d'autres plus rapides. Je la regarde dans les yeux essayant de lui sourire. Je contracte les fesses de peur qu'elle ne s'en approche et découvre quelque trace qui aurait pu rester, pourtant j'ai comme une sensation de manque. Tout en la besognant, je pense à mon père. J'accélère le rythme et, dans un râle discret, je jouis, elle non. Je l'abandonne ainsi, frustrée, mais honteux je ne la regarde plus. Je me rhabille puis fuis sa présence malgré ses appels. J'ai les yeux qui piquent, je suis prêt à pleurer de nouveau mais je fonce hors de la maison.

Où vais-je aller ? Je viens de laisser ma copine. À la maison ? Pas question, il y a mon père. Pourtant il fait froid. Le vent me glace davantage encore. Je n'ai qu'une solution, rentrer chez moi et éviter mon père. Il y a bien ma mère. Elle devrait pouvoir éviter que cela ne se reproduise.

Arrivé, je traverse le couloir, essayant d'éviter mes parents. Pourtant, ils m'attendent. Voilà la réprimande qui s'abat sur moi. J'aurais dû prévenir. J'aurais dû rentrer plus tôt. Des "tu aurais dû..." s'abattent les uns après les autres. Mon père ajoute :

— C'est pas parce que t'es majeur que tu dois faire le con. Tant que tu es chez nous tu respectes nos règles.

Je les écoute d'une oreille, les yeux baissés mais sa phrase m'a percuté. Et si tout cela m’était arrivé pour me punir ? Et s'il m'avait pris de force car je l'avais déçu ? Et si je l'avais mérité ? Mon visage se décomposait. Ma mère semble s'en apercevoir et me demande ce qu'il se passe. Je ne peux que bredouiller que je suis désolé et m'enfuis de nouveau pour gagner ma chambre. Je me jette sur mon lit comme un gamin de huit ans pour me blottir dans mes draps, simple protection de tissu.

Des minutes s'écoulent, je sens mes pleurs ralentir lorsque j'entends qu'on frappe à ma porte. Mon cœur accélère, mon père ouvre la porte. Mon bourreau s'approche, s'assoit sur mon lit et pose sa main sur mon dos. Je me contracte.

— Ta mère a voulu que je vienne voir ce qu'il se passe.

Je ne réponds pas.

— T'es au courant que t'as fait une bêtise ? Et que cela mérite une punition ?

Je me redresse pour le regarder dans les yeux, avec un air qui se veut méchant mais son sourire me désarme. Je retrouve le père aimant et protecteur que j'ai eu jusqu'à présent. Des souvenirs refluent dans ma mémoire. C'est l'homme qui m'a élevé, qui m'a protégé, qui m'a rendu fort. Je comprends qu'il a voulu me punir de mes travers. Je pense que cette punition était méritée. Je vais pour me blottir dans ses bras lorsqu'il ouvre sa braguette pour en sortir cette queue qui m'a défoncé la veille. Je vais pour reculer, mais il m'attrape par le cou et me dirige vers son membre raide.

— Tu croyais quoi ? Que t'allais pouvoir l'éviter ?

Il me colle à sa queue. Je sens son odeur.

— Ouvre la bouche.

Je refuse d'obéir. Je veux que tout cela s'arrête. Il me tire par les cheveux et me fait le regarder bien en face.

— Je t'ai déjà prévenu ! T'as intérêt à m'obéir. Ouvre ta gueule !

Je l'ouvre. Il me crache au visage. Sa salive atteint même ma langue. Puis il me replonge la tête vers sa queue. J'accepte enfin de la prendre bien malgré moi. Le goût n'est pas désagréable. Il joue avec ma tête pour que je le pompe. J'ai du mal. C'est ma première fois.

— Pas avec les dents ! Fais gaffe.

Il vient de me donner une idée pour me venger. Je fais exprès d'utiliser mes dents. C'est alors que je reçois une baffe qui m'étourdit presque.

— Pas avec les dents, bordel.

Je crois que je viens d'apprendre une nouvelle leçon. Je m'applique cette fois. J'en viens même à jouer avec ma langue autour de sa queue. Sa poigne se desserre. Il me caresse presque le visage alors que j'avale sa queue. Il commence des petits mouvements dans ma bouche afin que son sexe aille de plus en plus loin.

— Bien, petite salope. Doucement, c'est bien.

Un nouveau sentiment se fait jour. Je crois que je suis fier de lui faire plaisir. J'en bande même. Je sens ma queue coincée dans mon pantalon. Il me repousse pour me faire allonger. Il se place au-dessus de moi et me plante sa queue dans la bouche.

— Une belle petite gueule de PD, ça.

Il s'enfonce profondément jusqu'à la glotte. Je sens que je vais vomir mais il me dit de respirer. Il va de plus en plus loin, accélérant parfois.

Puis il se redresse, me fait asseoir et m'oblige à ouvrir grand la bouche alors qu'il me gicle quatre épais jets de sperme sur la langue.

— Oh putain, que c'était bon. Hop ! Hop ! Hop ! T'avales pas, tu mâches avant.

Je lui obéis, alors qu'il se reboutonne et me laisse là. J'ai la queue en feu. Je me recouche, ouvre mon pantalon, sors ma queue et me branle en dégustant son sperme. Je l'imagine encore dans ma bouche. C'est étrange mais je dois me faire une raison, j'ai aimé qu'il se serve de ma bouche pour jouir. Je ne suis pas long à jouir, inondant mon torse de mon propre jus.

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