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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !

Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 12:46

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Mon voisinage est très familier avec mon style de vie. Ils savent que je suis gai, ils savent que j'ai des amis qui viennent parfois à la maison et que nous ne faisons pas que parler de football et de trucs du genre. Je ne me cache pas du fait que je sois gai, et mon quartier l'accepte assez bien. Même les jeunes ne m'embêtent pas avec ça. Ils savent que lorsque qu'il y a un gars à la maison, il doit être mon amoureux. Le fait qu'il se peut qu'il n'y soit que pour une journée, peut-être qu'ils ne le savent pas... Mais ils n'ont pas à tout savoir sur ma vie!

En tous cas. L'histoire que je veux vous raconter s'est passée il y a quelques temps déjà. Pendant l'été, je m'assure de nettoyer ma Jeep au moins une fois par semaine. Elle devient très sale car j'adore faire des tours dans le bois et sur pleins de terrains cahoteux. Or, quand je la nettoie, le fils de mes voisins vient me voir pour me parler d'actualité, de sports, et de pleins de trucs du genre. Il se nomme Lee (il est asiatique) et il doit avoir 15 ou peut-être 16 ans. Je dois dire que c'est un garçon assez joli, mais juste dans le sens qu'un enfant est "cute".

Soudainement, il commença à me poser des questions sur un gars qui était venu il y a quelques jours à le maison. Je sus immédiatement de quel homme il parlait. Je l'ai ramassé dans un bar et, pour quelques raisons que ce soit, il semblait qu'on s'aimait assez pour qu'il soit resté ici pendant quelques jours. Je ne me rappelle plus de son nom, mais Lee semblait s'en souvenir. Il me parlait de lui comme s'il l'avait connu depuis de nombreuses années!

Pendant la conversation, j'ai compris que Kevin (c'est le nom du gars que j'ai ramassé) avait pris contact avec le quartier. Il ne m'en avait pas parlé mais on ne se parlait pas beaucoup d'une façon ou d'un autre. Nous étions trop occupés à explorer nos corps! Mais j'ai compris qu'il avait été faire des avances à Lee. Je n'en croyais pas mes oreilles! Est-ce que Lee me niaisait? Pouvait-il monter tout ça? Il a du voir ma confusion, alors il m'a calmé en me disant qu'il ne sétait rien passé entre les deux. Il a dit qu'il avait dit à Kevin un "NON" fort et clair, assez pour qu'il ne recommence pas.

Ça m'a agacé un moment. J'ai essayé de dire à Lee à quel point j'étais désolé mais il m'a dit que ce n'était pas nécessaire. Soudainement je me suis demandé pourquoi Lee me parlait de cela. Lorsque je lui ai demandé, il m'a répondu qu'il croyait que Kevin l'attirait, mais qu'il connaissait quelqu'un de mieux...

Je l'avais vu marcher sur la rue avec une fille qui s'appelait Rosy donc j'ai pensé qu'il parlait de celle-ci. Comment est-ce qu'on parle à un garçon de 15 ans d'une fille? Je n'ai jamais eu d'expérience hétérosexuelle alors je lui ai dit je ne connaissais que les garçons. Il m'a surpris en me disant qu'il voulait en connaître plus à ce sujet. Comment c'est d'avoir du sexe avec un gars, quand j'ai su que j'étais gai, comment je l'ai dit à ma famille, si les gais passent leur temps à s'enculer ou s'il y a autre chose... Tous les types de questions m'ont été posées et je connaissais toutes les réponses, mais était-ce le bon moment pour parler de ça au fils de mes voisins?

C'est alors que j'ai eu une idée: je lui ai dit d'en parler à ses parents. Un regard triste apparut sur son visage. Son père était policier d'état et sa mère était connue pour cruiser les gars du quartier, alors ni un ni l'autre étaient là à la maison la plupart du temps. Lui et sa soeur devaient souvent se garder eux-mêmes. Lee et Ann étaient contents lorsque leur père revenait, ce qui procurait à la maison une autorité responsable.

J'ai dit à Lee que je devais terminer de laver la Jeep et qu'ensuite, on prendrait quelque chose à boire et que je pourrais peut-être lui dire quelque chose. Il était d'accord et il m'a aidé. Vingt minutes plus tard, il étrait assis dans mon salon. Il s'était assis dans mon fauteuil, je me suis donc assis sur le canapé. Je lui ai demandé ce qu'il voudrait boire.

— Je prendrais une bière si ça ne te dérange pas.

— Tu es sûr?

— Je peux boire de la bière, je le fais avec des amis des fois.

— Je ne veux pas que ton père sache que tu as bu de la bière dans ma maison!

— Il n'a pas besoin de le savoir! Maintenant, parle-moi plus de toi.

J'étais un peu gêné. Lee était devant moi, et j'étais sur le point de lui parler des gais.

— Tout ce que je veux savoir, c'est ce que vous faites entre vous, dit Lee.

— Et bien, on fait plein de trucs. Par exemple, on pourrait être assis, se parler et se regarder un peu... "croche"...

— Comme ça?" Lee me fit un regard indescriptible.

— Oui, un peu comme ça, répondis-je, en ayant l'air normal, mais je crois que Lee avait remarqué mon air surpris.

— Je suppose que je réussis bien là-dedans, dit-il en riant et prenant une gorgée de bière.

— Nous aimons aussi connaître l'autre un peu mieux avant de commencer à s'explorer.

Lee me regarda comme tout à l'heure, puis il se leva pour venir s'asseoir à côté de moi. Puis, il me dit:

— Salut! Je m'appelle Lee. C'est quoi ton nom?

Je n'en croyais pas mes oreilles. Ce devait être un réve! J'ai osé jeter un regard au paquet que Lee transportait entre ses jeunes jambes et j'ai remarqué qu'il était vraiment bandé... à ce moment, j'ai décidé de reprendre le contrôle. J'avais l'information nécessaire et j'ai décidé de continuer le petit jeu auquel nous jouions.

— Salut, je suis Roy et je crois que tu es vraiment sexy, lui répondis-je

J'ai alors mis ma main sur son genou pour le sentir. Ses jeans étaient chauds. Je l'ai regardé dans les yeux. Ils étaient magnifiques. Pourquoi je ne l'ai pas remarqué avant? Le bout de sa langue dépassa de sa bouche. Il voulait que je l'embrasse. Et je l'ai fait.

J'étais assis dans mon propre salon, en train d'embrasser le fils de mes voisins. Et Lee semblait aimer cela, car il m'embrassait comme s'il était en extase pour la première fois de sa vie. Le t-shirt qu'il portait devait me faire un chemin. Je voulais goûter à sa poitrine. Ma langue parcourut sa poitrine, et Lee commença à gémir lorsque je me suis attaqué à ses mamelons. J'aimais les libérer de la couche de sueur qui recouvrait ce garçon. Ce gars était et goûtait bon...

— Pourquoi laisses-tu tout cela arriver? lui dis-je. Pourquoi me rends-tu si chaud?

— Tu ne comprends pas Roy? Je t'aime! Je t'aime depuis le début. Depuis que t'es arrivé ici je te regarde. Plus je te vois, plus je te veux!

— J'ai toujours cru que tu sortais avec cette Rosy.

— C'est parce que j'étais sûr que vous étiez capable de repérer les bons gars!

— En général on peut, mais je ne t'ai pas remarqué, je ne sais pas pourquoi...

— Bon, on se connaît. C'est le moment que tu me montres ta queue!

Ce garçon ne perdait pas de temps avec moi... et j'adorais ça. Alors j'ai décendu mes jeans et ma queue est sortie d'elle-même.

— OK Lee, tu as ce que tu attendais. Suce cette queue!

— Ce n'est pas ce que j'avais en tête.

— Alors quoi, tu veux juste le regarder?

— Non, je veux que tu me fasses une faveur. Ceci est quelque chose qui hante mes fantasmes depuis très longtemps. Tu dois me promettre que tu ne riras pas de moi.

Il me rendait curieux et plus chaud en même temps.

— Je veux que tu m'ammènes dans ta salle de bains et que tu me pisses desus...

— Quoi? Je veux dire... vraiment Lee, je ne peux pas.

— Allez Roy, ne gaspille pas ce moment! Tu peux faire de moi ce que tu veux. tout ce que je désire, c'est sentir ta pisse chaude qui coule sur mon corps.

Pour être honnête, je n'ai jamais rien fait de semblable dans ma vie. Je ne savais pas si je devais aimer ou non ce moment. Je voulais seulement avoir du sexe avec ce garçon, pas lui pisser dessus. Je crois que je n'aimais pas l'idée, et en plus ma queue était encore en pleine érection semblait vouloir faire sortir du liquide blanc, pas jaune... Mais Lee était plus fort. Il m'ammena à la salle de bain et se déshabilla, à l'exception de son slip moulant blanc.

— Pendant que je suis couché sur le sol, mouille-moi, ne néglige aucune partie de mon corps, je veux goûter et sentir ton urine, alors n'oublie ma tête!

J'ai essayé de pisser mais ce n'est pas venu. Lorsque ma queue fut a demi-bandée, un jet jaune de pisse atterrit sur la poitrine de Lee. À ce même moment, Lee prit ses mains et se massa avec ma pisse. J'ai décidé de rendre les choses plus amusantes... J'ai laissé mon liquide courir sur tout son corps. J'ai pissé sur son slip, avec résultat de me révéler sa queue, ce qui m'excita davantage. À la fin, j'ai pissé sur son menton, alors il pouvait faire ce qu'il voulait. Et oui, il ouvrit la bouche! Dieu, que j'aimais ça. J'aimais pisser sur ce garçon. Ça me donnait une sensation de pouvoir et j'aimais le côté sale de mon esprit que je développais.

Lorsque Lee fut complètement couvert de ma pisse, je l'ai regardé pour voir ce qu'il faisait. Il aimait tellement ça qu'il en avait oublié tout aux alentours. Tout ce qu'il faisait, c'était de tourner, en essayant de sentir sur lui le plus de pisse qu'il le pouvait. Puis, il se mit sur le ventre et il commença à lécher l'urine qui était sur le sol. Il était présentement en train de nettoyer mon plancher avec sa langue! Son slip était toujours sur lui et j'ai décidé de les lui enlever. Lee me laissa faire. Une magnifique queue se montra à moi et j'ai regardé Lee avec un air très satisfait.

— Tu as vu qu'il n'y avait rien là, me dit Lee. Maintenant c'est ton tour!

Avant que je n'aie pu dire quoi que se soit, Lee était debout et il me poussait vers la toilette. Il m'assit sur celle-ci et se tint devant moi avec cette magnifique queue. Je n'avais pas assez de temps de m'habituer à l'idée. Une seconde plus tard un jet de pisse jaune sortit de sa queue. J'avais toujours quelques vêtements sur moi mais je m'en foutais. Tout devint mouillé, et je sentis la pisse traverser mes vêtements. Pendant que je le regardais, j'ai remarqué ma pisse qui dégoulinait toujours de son corps. Dieu, qui aurait cru que ce petit jeu m'aurait amusé à ce point?!? Tout à coup, j'ai senti une main derrière ma tête et j'ai vu la queue de Lee qui s'approchait de mon visage.

— Maintenant, tu vas goûter à quelque chose de bon. Ne gaspille pas le moment, fais juste boire, comme tu boirais ta bière.

J'aimais son style. D'habitude c'était moi qui dominait, mais j'aimais qu'il me domine. J'étais aussi son jouet, alors je ne pouvais pas lui répliquer. L'urine goûtait bizarre au début mais j'ai goûté sa vraie saveur peu de temps après. La sensation que donnait le fait de sucer Lee et nos deux pisses mélangées était indescriptible. Lorsque le jet s'est éteint, j'ai senti Lee aller et venir lentement. Il prévoyait envoyer sa dèche juste après sa pisse. Sa queue était toujours dans ma bouche, et je le laissais me défoncer tranquillement. J'étais au paradis! Et quand la dèche arriva dans ma bouche, je dois dire que le goût était le meilleur que j'ai eu de ma vie.

Après que Lee eu dèché, il recula et j'ai pu voir sa queue à nouveau. Je devais sortir ma propre queue. Je ne pouvais plu attendre. Alors que je commençais à me masturber, Lee me fit un show que je ne pourrai jamais oublier. Il a commencé à se pisser dessus avec sa queue. Sa propre pisse se mêlait à la mienne, et je l'ai vue arriver entre ses mamelons, descendre sur sa queue et ses couilles, puis finalement le long de ses longues jambes. Ce fut trop pour moi. J'ai dèché comme je n'avais jamais dèché auparavant. J'ai envoyé mon jet dans les airs et ma petite salope essaya même d'en attraper avec sa bouche. Je n'ai jamais eu une expérience aussi excitante que celle-ci. Nous avons décidé de reprendre notre souffle une minute, puis nous avons ramassé.

Je regardais Lee pendant qu'il prenait sa douche. Je crois que ce fut la première fois que j'étais amoureux d'un garçon aussi jeune. Il n'avait que 15 ans mais agissais comme s'il connaissait tout. Lorsqu'il partit, il me donna une brève léchée sur l'oreille. Il m'a remercié et j'ai pensé que ce fut la seule relation qu'il allait y avoir entre nous deux. Merci mon Dieu, j'avais tort!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 1 commentaires
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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 12:40

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Depuis le remariage de ma mère, je vis avec mon beau-père et mon demi-frère. Le climat familial est quelque peu tendu, nous ne sommes pas ce qu'on pourrait appeler une famille modèle. Nous vivons dans un petit appartement situé dans un quartier pauvre d'une grande ville, et ma mère s'absente souvent plusieurs semaines pour son travail. Mon beau-père me laisse habituellement tranquille, il travaille souvent tous les jours et revient très tard la nuit, complètement bourré.

Mon demi-frère a 26 ans, 8 de plus que moi. Il a un diplôme en mécanique, mais il ne s'est jamais trouvé d'emploi. Il mesure 1m75, il a les cheveux noirs, les yeux noirs, il s'entraînait donc il est musclé, mais depuis qu'il a arrêté il a pris un peu de ventre. Quand il est à la maison, il est dans sa chambre, le demi sous-sol de l'appartement, et il boit en regardant la télé. Ma chambre est beaucoup plus petite. C'était un grand débarras, il y a de la place pour mon lit et ma penderie, un bureau et c'est tout. Étant donné que c'est mon beau-père qui paie l'appartement, je suis chanceux de pouvoir rester même si j'ai eu 18 ans le mois passé.

Je mesure 1m60, et je suis plutôt mince, les cheveux blonds, imberbe, et ma queue fait 14 cm bandé. Pas trop top pour impressionner les filles. J'suis beau quand même, mais je n'ai jamais eu de copine. Je suis un peu gêné, je n'ai pas beaucoup d'amis. Je termine mes sciences pour entrer en fac de médecine l'an prochain. Ma mère ne veut pas que je travaille, donc elle me donne ce qu'elle peut pour mes dépenses.

Ce matin, en me levant, je vois une note sur la table. Ma mère est partie pour deux semaines, elle a dit qu'elle a laissé de l'argent à Alex (mon demi-frère) pour qu'il me la donne: "Je ne voulais pas la laisser sur la table, tu connais ton beau-père..." Merde, je connais aussi mon demi-frère. Autant dire que cet argent, je l'aurai pas. J'entends un genre de râle étrange venant de la chambre du fond, mon beau-père se lève, je cache le mot. Il ouvre la porte de la chambre, il est aussi grand que son fils, l'exacte réplique avec vingt ans de plus. Il porte un slip blanc et un t-shirt. Il s'approche de moi, en se grattant l'intérieur du slip, il sent la dèche, il vient de se crosser. Il sort sa main et me fout deux petites claques sur la joue. Il prend deux secondes pour me regarder de haut en bas, je porte un boxer noir moulant.

— Ça va toi ce matin? Criss que t'es maigre.

— Oui, ça va.

— Ta mère est partie, non? Ha. Écoute, moi aussi je pars, je vais à la chasse avec mon frère pour quelques jours. Tu vas t'occuper de la maison?

Il sait très bien que son bon à rien de fils ne fera rien pour entretenir la maison.

— Oui, je vais... faire le ménage là.

— En tout cas c'est mieux d'être propre quand je reviens.

— Oui, si c'est pour m'empêcher de te voir la face pendant quelques jours, ça vaut la peine.

— Petite merde haha.

Il me claque la joue "affectueusement". Cette fois, je sens quelque chose d'humide sur ma joue. Il avait encore un peu de dèche qui lui était restée de sa crosse matinale. Je me retiens de lui exprimer mon dégoût jusqu'à ce qu'il parte, puis je cours me laver le visage à la salle de bain. Puis j'ouvre le réfrigérateur. Merde. Plus rien à manger. Bon, je dois aller voir si Alex est réveillé, et essayer de le convaincre de me donner l'argent que ma mère lui a remis pour moi.

Je cogne à la porte du demi sous-sol: pas de réponse. Je vais voir s'il est réveillé, puis sinon, j'attendrai. En ouvrant la porte, je sens un mélange de bière, de sperme, de sueur et de je ne sais quoi. De façon surprenante, l'odeur ne m'est pas tant désagréable, je me suis un peu habitué à l'odeur d'Alex depuis que je vis avec lui. La seule petite lucarne du sous-sol est couverte avec un drap, il ne fait pas très clair. Doucement, je l'appelle, avec une voix un peu tremblotante parce que je suis un peu intimidé par lui :

— Alex, t'es réveillé?

Pas de réponse, je l'entends respirer. Il dort profondément. Je ne sais pas pourquoi, mais je descends le reste de l'escalier. Arrivé en bas, je regarde un peu le déluge: Des vêtements partout, des bouteilles de bière, un équipement de hockey accroché à la porte de la garde-robe (la seule activité physique qu'Alex pratique, à part baiser des filles louches) et Alex dans son lit. Il est sur le dos, bien écarté, avec une camisole blanche usée et un slip qu'il doit porter depuis 3 jours. Il a une bosse dans son slip, je me surprends à la regarder pendant quelques secondes, puis je vois sur sa table de "travail" un verre rempli de bière. Comme il y a de la vaisselle à faire, je décide de prendre le verre et de retourner en haut en attendant qu'il se réveille. Je prends le verre et je m'apprête à mettre le pied sur la première marche...

— Ça fait longtemps que tu me mattes? (Je n'avais pas remarqué qu'il s'était réveillé)

— N... Non, heu, je veux dire, je voulais savoir si t'étais réveillé, p... parce que...

— Ça fait que tu viens me voler mon urinoir, christ de dégueulasse.

— Ton urinoir?

Je regarde le verre de bière que j'ai à la main, et ce qu'il y a dedans, ce n'est pas de la bière, ça sent la pisse et je me rends compte que ça sent fort.

— Désolé, je pensais que c'était de la bière... Je... je vais remonter faire la vaisselle... pis redescendre tantôt...

Je pose le verre sur la table, et je cours remonter l'escalier

— T'oublies pas quelque chose? Dit Alex, Vide-le pis lave-le, tu me le ramèneras en redescendant.

Au lieu de protester, ce qui serait normal, je prends le verre et je remonte. Je le pose à côté du lavabo. Je tremble, j'ai des sueurs froides. Je ne sais pas pourquoi, mais Alex m'intimide vraiment. Peut-être parce qu'il est le genre de mec que je voudrais être, plein d'assurance, qui a du succès avec les filles. En même temps non, c'est un trou de cul qui ne fait rien de sa vie. Mais pourquoi je tremble comme ça alors? Et merde, pourquoi je lui lave son verre plein de pisse? Avant de le vider, je le sens un peu, c'est une odeur rance, comme celle que j'ai sentie en entrant dans le sous-sol, mais en concentré. J'ai honte, je vide le verre dans le lavabo et je lave la vaisselle. Après, je vais enfiler un t-shirt et un jeans serrés. À peine revenu dans la cuisine, j'entends Alex qui m'appelle. Je prends son "urinoir" et je descends. Autant être gentil avec ce malade si je veux mon argent.

En arrivant en bas, je le vois assis dans son lit, il a enfilé des bas sales et tachés.

— Donne-moi le verre.

— Merde... T... Tu vas pas...

— T'es malade. T'as beaucoup trop envie de la voir, ma queue. Tu penses que j'vais la montrer à une tapette comme toi?

— J'suis pas... t'es cave[1]... Ma mère t'a donné de l'argent pour moi, y'a rien à manger et j'dois aller...

— Ouais, je sais. Dommage, tu mangeras la semaine prochaine. Ou t'as qu'à aller faire ta pute sur le trottoir. J'pense que ton petit cul pognrais[2] bien avec les vieux pervers. Haha, t'es fait, mon gars.

— Pis toi, tu vas manger quoi? T'es... t'es même pas capable de te faire cuire...

— J'vais aller au resto du coin, t'es con ou quoi? J'en ai de l'argent, moi.

Je déteste qu'il me coupe la parole chaque fois que j'essaie de dire quelque chose. On dirait qu'à chaque fois, je me sens plus nerveux. Il a une espèce de sourire fendant, les cheveux courts en bataille. Le genre de gars que je détestais au secondaire, mais en version adulte et encore plus raté. Je fuis son regard, mais je sais qu'il sait que je suis nerveux. Ça parait dans son visage qu'il a une idée derrière la tête.

— J'ai une idée, dit-il, mon père est parti pour quelques jours, non? Il t'a sûrement demandé de t'occuper de l'appart. Alors, c'est ça le deal. Tu fais la bonne. Tu fais ce que je te dis de faire, je te paie.

— T... Tu le sais que je vais le faire anyway, le ménage. Donne-moi juste mon argent et t'auras même pas à parler.

Il a un rire inquiétant, puis il dit : - Mais c'est bin plus drôle si je te bosse, et comme tu l'as dit, tu le ferais anyway.

Ma nervosité fait temporairement place à l'exaspération : - Okay, fais-toi plaisir.

— Okay, tapette, ramasse mon linge pis lave-le.

C'est rapide. De l'exaspération naissante je repasse à la nervosité, en plus d'avoir un genre de début d'excitation dans le bas-ventre. Le ton de son ordre, sa voix autoritaire en étant calme, agressive et virile... C'est la nervosité, sûrement. Je ne peux pas être excité. Je ne suis pas gai, il peut m'appeler "tapette" tant qu'il veut, quand je crosse ma petite bite, c'est pas du tout à des mecs que je pense. Et encore une fois, au lieu de protester, j'obéis. Il s'assit sur le bord de son lit et me regarde faire. Je prends le panier à linge, je ramasse les vêtements. Alex porte ses vêtements plusieurs fois avant de les laver. Ils sentent la sueur, la bière...

— T'es con ou quoi? Celui-là, je l'ai porté une fois. Sens-les avant de les mettre dans le panier.

— Quoi? Au pire je les lave tous, on s'en fout.

— Je te paie pas pour chiâler, tu veux bouffer? Alors tu fais comme je dis.

Il a raison. Je ramasse un vêtement au hasard. Merde, son jock-strap de hockey. J'hésite quelques instants, puis je le sens rapidement. Il sent vraiment fort la sueur... et la pisse? Pas de doute, il a pissé dans son jock-strap. Pendant ce temps, Alex se marre. J'ai vraiment honte. Mais l'odeur provoque une espèce de picotement dans mon boxer. Après avoir tout ramassé, je me dirige vers l'escalier.

— T'en oublie un...

Il pointe un slip entre ses deux pieds. Non, il ne se penchera pas pour me le donner. Je m'approche et je le prends. Au même moment, il se lève, et le boxer qu'il porte se frotte sur mon visage. Je disais qu'il le portait depuis trois jours? Mettez-en quatre. Et en plus, il s'est crossé dedans ce matin, un peu de dèche reste collée sur mon nez. Je lève la tête, il est beaucoup trop grand. Je suis à ses pieds, littéralement. J'aurais envie de le tuer en ce moment, mais je suis tétanisé. Il a les yeux à moitié fermés et il rit. Je pense perdre connaissance quand je vois qu'il a MON blackberry dans la main.

— Pendant que tu t'amusais à sniffer mes vêtements, j'ai pris des photos. Je viens de les envoyer sur une adresse fantôme. Après, j'aurai qu'à faire suivre à ta mère, à mon père, à tes 2 ou 3 petits amis connards qui trainent trop ici à mon goût, et à quelques autres personnes aussi. Ça serait pas mal drôle, non? Comme ça, tout le monde saurait que t'es rien qu'une criss[3] de salope qui trippe à sniffer mes vieux boxers. T'en dis quoi?

Je suis solidement dans la merde. Je ne peux pas le laisser faire ça. Je le supplie, et, comble du pathétique, je me mets à pleurer, à genoux devant lui. Il a une drôle d'étincelle dans les yeux, quelque chose de pas du tout rassurant. Et il a toujours son sourire malveillant.

— T'es vraiment une petite merde, j'ai presque pitié de toi. Mais ça me donne une idée, tiens. Si tu veux pas que j'envoie ces photos à personne, faudra que tu sois ma bonne, pis que tu fasses tout ce que j'te demande, même les choses les plus dégradantes, t'as compris?

Il a un petit rire sardonique, je le connais, il est complètement malade, je ne peux pas accepter ça.

— T... Tu veux pas qu'on essaie de s'arranger...

Il me fout une claque puissante sur la gueule. Je suis presque sonné. Il se met à crier

— JE T'AI PAS DEMANDÉ TON AVIS, JE T'AI DEMANDÉ SI T'AVAIS COMPRIS QU'À PARTIR DE MAINTENANT T'ES MA BONNE, TAPETTE.

Il prend mon blackberry et il commence à appuyer sur les touches. J'ai pas le choix. J'ai trop honte.

— Oui... je suis ta bonne, mais s'il-te-plaît n'envoie les photos à personne.

— J'vais faire ce qui me plaît, tapette. Et si tu me fais une autre demande, j'envoie aussitôt les photos. J't'explique: C'est moi qui commande. Tu ne poses pas de questions, tu fais seulement ce que je te dis. C'est pas trop dur pour ta petite tête de fif, ça?

— ... J'ai compris.

— Maintenant, il va falloir te trouver un costume qui convient à une petite merde comme toi. Lève-toi pis bouge pas.

Je me lève en tremblant, je sue à grosses gouttes. Il est toujours en camisole et boxers devant moi. Je suis au niveau de ses aisselles. Poilues, avec une odeur de mec qui a oublié son déo pendant quelques jours. Il reste là devant moi quelques instants, il me fixe intensément mais je fuis son regard. Tout à coup, il empoigne le col de mon t-shirt avec ses deux mains, il m'étrangle un peu puis d'un mouvement sec il le déchire. Je pousse un petit cri aigu. Ensuite, il prend une paire de ciseaux qui traîne pas trop loin et me les tend.

— Découpe ton jeans.

— Je... je peux juste l'enlever...

— DÉCOUPE-LE CÂLICE

Et il me crache au visage. Je porte d'instinct ma main à mon visage pour l'essuyer, mais il m'arrête en me tordant le bras.

— Tu laisse couler ça, une petite merde comme toi mériterait bien pire que deux crachats dans face.

Et il me crache encore dessus. En me concentrant pour ne pas trembler, je découpe mon jeans et je me retrouve en boxers devant Alex. À côté de lui, je suis ridicule. La force avec laquelle il a déchiré mon t-shirt, la façon dont il m'a tordu le bras. Je suis terrorisé et comme captivé par lui en même temps.

— Découpe tes boxers, maintenant.

J’hésite quelques instants, assez pour recevoir une nouvelle baffe. Je suis sûr d’avoir les marques de sa main sur la joue. Je comprends que je n’ai pas le choix. Mes boxers tombent par terre. Je suis nu, imberbe, et si bandé ma queue fait 14 cm, à plat c’est tout aussi ridicule. D’ailleurs, Alex rit maintenant très fort. Il en profite pour prendre une photo. Je sais que je ne dois pas protester.

— T’ES UNE VRAIE TAPETTE TOÉ CRISS, dit-il en continuant à rire, T’AS VRAIMENT UNE P’TITE QUEUE!

Il cesse de rire soudainement et sort de dessous les couvertures un collier et une laisse en cuir usé qui appartenaient sûrement à un chien qu’il a eu. D’ailleurs, sur la médaille, il est écrit « Propriétaire : Alex ». Il m’enfile le collier autour du cou, et je me remets à pleurer. Il prend ensuite la laisse et la tire vers le bas avec un mouvement sec

— À QUATRE PATTES, MA CHIENNE.

Il me guide et m’emmène ensuite en haut. Mes genoux s’éraflent sur l’escalier et il s’en fout, il ne fait que tirer plus fort. Il m’emmène jusqu’à la chambre de mon beau-père. (Ma mère dort dans une autre chambre, qui était avant un bureau, mon beau-père a donc la chambre des maîtres à lui tout seul.) En entrant dans la chambre, je sens la même odeur que dans le sous-sol, en plus musqué. J’ai horriblement peur. Alex me tire jusqu'à la garde-robe. À l’intérieur, plusieurs vêtements sur le sol et une odeur de dèshe incroyablement puissante.

— Ça c’est les torchons à dèshe de mon père, comme toi tu vas devenir le mien. À chaque crosse, mon père prend un vieux slip ou des shorts et se décharge dedans. Comme ça, il peut les garder toute la nuit et pas avoir froid au cul. Salope, tu les prends dans ta gueule un par un et tu me les montres, je vais choisir ta tenue d’esclave.

L’odeur est repoussante, j’en prends un qui ne semble pas trop pire dans ma gueule. Alex rit et, bien sûr, il prend une photo. Je lui montre un short de sport noir bien taché, une camisole jaunie et bien odorante, et il tire soudain sur la laisse.

— CELUI-LÀ, DANS LE FOND.

Je m’avance jusqu’au fond et je prends un slip blanc troué, taché et bien garni de dèshe séchée dans ma gueule. Ma salive trempe le slip et je peux goûter au sperme de mon beau-père. J’ai un haut-le-cœur, mais à l’idée de cette humiliation, j’ai presque une érection et ça me dégoûte.

— MET LE SLIP.

Je le mets ou du moins ce qui en reste. L’élastique est trop grand et il est troué de partout. On peut encore clairement voir mon trou et ma queue.

— Tu es bien obéissante, salope, mais maintenant j’ai envie de pisser. Tiens, dit Alex en me donnant un verre pareil à celui du sous-sol, c’est l’urinoir de mon père, tiens le devant toi pour que je me soulage. Si tu lâches le verre, tu sais ce qui t’attends. ET TU ARRÊTES DE TREMBLER.

Je suis rouge de honte. Par la fente de son boxer, Alex sort une queue au repos et pourtant presque plus grande que la mienne lorsqu’elle est en érection. Il la place au-dessus du verre et presque aussitôt un flot jaune foncé sort de sa queue. Il n’a pas relevé la peau de son prépuce, bien sûr il a fait exprès. Résultat, le quart de la pisse se retrouve sur moi. Quelques gouttes viennent jusqu’à mes lèvres, c’est amer et dégueulasse.

— Petite merde, t’en a pris la moitié sur toi, criss. Même pas capable de faire ce qu’on te dit. Tant pis. Bon, j’ai faim. Tu m’attends dans cette chambre, et tu ne te lave pas, c’est compris? T’inquiètes, cette semaine tu vas sentir la pisse en masse, et la dèshe aussi, quand ça me tentera de me servir de toi comme dompe à sperme.

Et il part en claquant la porte. Je fonds en larmes. Je ne peux pas comprendre ce qui m’arrive. Je suis devenu la salope de mon demi-frère, cette espèce de malade mental m’a pissé dessus. Et le pire, c’est qu’il fait ça par pure méchanceté : il n’a même pas eu d’érection. Parlant de cela, depuis qu’Alex est sorti de l’appartement (j’ai entendu la porte du couloir) j’ai une érection terrible. L’odeur de sa pisse, l’odeur du slip de mon beau-père. Sans penser, je me mets par terre sur le dos, en gardant la laisse. La main dans le slip, je crosse ma petite queue et pas plus d’une minute plus tard, j’éjacule dans le torchon que je porte. Puis je m’endors, exténué.

Lorsque j’ouvre les yeux, il est une heure de l’après-midi au cadran. Presqu’aussitôt, j’entends la porte de l’appartement s’ouvrir. Mon cœur fait trois tours. Qui sait ce qu’Alex va faire de moi? J’entends des pas dans le couloir, la porte de la chambre s’ouvre. Merde. Mon beau-père, qui est moins allé à la pêche que dans le bar au coin de la rue, entre complètement saoul dans la chambre. Il me regarde quelques instants, sans comprendre ce qui se passe. Puis il voit que je porte une laisse et son torchon à dèshe, et il voit aussi qu’il est humide. Il se jette sur la laisse et la tire vers le haut pour me forcer à me lever et se met à gueuler à deux pouces de mon oreille. Il empeste la bière et la sueur.

— OSTIE DE FIF, JE LE SAVAIS QUE T’ÉTAIS UN OSTIE DE DÉGUEULASSE. J’VIENS D’AVOIR DES BELLES PHOTOS DE TOI, T’ES UN OSTIE DE MALADE. TU VEUX DE LA QUEUE? TU VEUX ÊTRE UNE PETITE MERDE? TU VAS EN ÊTRE UNE. DIS-LE QUE T’ES UNE SALOPE, ALLEZ!

En pleurant, je lui réponds que oui, je suis une salope.

à continuer...

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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 03:07

Cette vidéo est tres exitante, Qui n’as pas rêver de voir une bonne baise sous ses yeux sans être vu ?? Et bien la c’est ce qui se passe, munit de son caméscope, un voin va filmer deux sneakers à poils sur le balcon en train de s’enfiler !!

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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 02:47

Alors qu’il se fait sucer la pine par un vide burne, notre jeune sneakers voit un mec rentrer dans sa cabine, il lui laisse la place pour se faire pomper par la pompe a jus qui est derriere le trou.. Pendant ce temps la notre étalon va lui piner le cul !!

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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 02:42

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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 02:29

C’est a quatre pattes, le fion bien ouvert que cette lope attend une queue pour se faire défoncer.. Notre actif lui enfonce trois doigts pour tester la chaleur de ce trou.. Puis d’un coup sec il enfonce sa grosse bite et commence une va et viens.. Il sors son gros zob puis le rentre cul sec.. La lope se fait déboiter le cul par cet actif dominateur..

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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 02:12

Pour un casting de film x notre jeune lascars se met à nu et se branle devant la cam du producteur de films x !

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Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 23:35

Alors qu’il rentre dans les vestiaires du stade, un jeune et beau footeux se fait taquiner par deux autres footeux qui lui enlèvent son short de foot, puis en voyant sa raie du cul bien rasée, l’un des deux footeux se met à la lécher pendant que l’autre lui tient les bras. Notre footeux à l’air d’apprécier car il se laisse faire et va même se faire baiser pendant qu’il suce !! Une bonne partie de baise entres footeux !

Par babaslebatard - Publié dans : fan de mec en football - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 23:25

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Bonjour à mes lecteurs, voilà je m’appelle Christophe, j’ai 15 ans, je mesure 1m75 pour 64 kg. Assez bien foutu, je suis musclé pour mon âge. Brun d’origine italienne, j’ai quelques poils sur le torse, jambes, et une grosse touffe à mon sexe de 16 cm.

J’habitais dans le sud avec toute ma famille, à Nice exactement: mon père, ma mère et ma petite sœur de 8 ans. Il y a quelques mois, nous avons accueilli mon grand-père, le père de mon papa, car il vivait seul et voulait de la compagnie. Une veille de vacance, ma mère alla passer avec ma petite sœur une semaine tranquille chez des amis à Marseille, mais le manque de voiture faisait que mon père était forcé de les accompagner et de revenir après.

— Bon, écoute Christophe, j’emmène ta mère et ta sœur à Marseille, on en a pour 2h de route pour l’aller seulement alors je ne serai pas là avant 19h au moins. Tu t’occupes bien de ton grand-père, j’t'embrasse.

Il était 14h, j’avais tout l’après-midi pour m’occuper de mon grand-père. Ma famille partit sur le champs. Mon grand-père s’appelait Jacques, il avait 67 ans et pour son âge, je le trouvais terriblement beau. Ses cheveux grisonnants donnaient un air mature très beau. Pour son âge il était encore très en forme et adorait tous les matins faire du vélo pendant deux heures. Il était donc bien foutu pour son âge, oh oui!

— Papy, aujourd’hui je serai entièrement à ta disposition, je ferai tout ce que tu veux.

En disant ça, je ne savais pas encore ce qui allait m’arriver mais ce n’est pas pour me déplaire.

— Viens Chris, si tu es à ma disposition, tu dois te mettre en tenue.

Etonné, je suivis Jacques jusqu’à sa chambre. Il ouvrit son placard et sortit une sorte de blouse blanche, un pantalon blanc, c’était en faite une tenue d’infirmier. Il sortit aussi la casquette. J’enlevai alors mon pantalon et mon t-shirt. J’étais en boxer noir devant lui qui moulait mon paquet.

— Eh bien, c’est une jolie bosse que tu as là. Mais le noir ça ne va pas faire, ça se verra à travers le pantalon blanc.

Il me passa un slip blanc et me dit d’enfiler ça. Je mis la blouse pour commencer puis un peu gêné je baissai mon boxer et ma queue tomba dans le vide.

— Dis moi pour ton âge tu es bien velu et ton sexe est joli.

— Merci papy, je dois t’avouer que pour ton âge tu ferais craquer encore pas mal de monde.

J’enfilai le slip blanc puis le pantalon. Ça y est j’étais l’infirmer et en quelque sorte je venais d’enfiler le costume du pauvre soumis que je ne pensais pas encore. On retourna dans le salon, et une chaleur intense m’envahit, je me sentais bien dans ce costume. Mon grand-père me dit que je devrai lui faire prendre la douche plus tard. Et contre toute attente, papy me demanda de lui faire un câlin alors que ce n’est pas dans ses habitudes. Étant le serviteur de monsieur je m’exécutais. Je m’avachis dans le canapé devant la télé, serré fort contre lui. Je sentais une odeur de mâle qu’il dégageait. J’étais appuyé contre son torse, il était dur et je sentais à travers le tissu des formes généreuses.

Après quelques minutes de câlins, Jacques me dit de déboutonner ma chemise, que ça me donner un air plus sexy. Je ne reconnaissais plus mon grand-père, il avait vécu toute sa vie avec une femme et je me demandais s’il voulait s’essayer au mec. Moi j’étais 100% gay et ce petit jeu de séduction entre nous commençait à m’exciter. Je déboutonnai deux boutons et quelques poils de mon torse sortirent.

— Encore un ou deux s’il te plaît, me dit-il.

— Comme tu veux, je suis ton homme.

Il me demanda de m’approcher de lui, ce que je fis, puis il passa sa main dans la chemise au niveau du haut de mon torse et il caressait mes poils et mon tétons droit. J’étais en plein délire, mon grand-père me caressait.

— Allez je veux prendre ma douche.

Je partis dans la salle de bain, allumai le jet à bonne température. Je n’avais pas de cabine de douche mais une baignoire. J’allais chercher Jacques dans le salon et lui dis qu’il pouvait venir. Une fois dans la salle de bain, je lui déboutonnai entièrement sa chemise et je lui retirai sans qu’il ne fasse une geste; son ventre était assez plat et très peu poilu. Ses pectoraux ressortaient un peu, il avait dû être très musclé dans sa jeunesse. Ce qui me fit sourire, c’est la ligne de poils qui partait de son nombril pour finir dans le pantalon, elle était grisonnante. Je m’empressais de baisser la braguette puis de lui enlever son pantalon. Il était dans un slip lui moulant le paquet. Il se mit dos à moi et baissa son slip, ses fesses n’étaient plus aussi ferme mais elles tenaient encore la route. Une très légère érection se fit sentir. Il se mit sous l’eau avec le jet, je lui passais sur le corps et lorsqu’il se retourna, je vis enfin sa verge pendante, elle faisait 6–7 cm, circoncise, couverte d’une grosse touffe de poils avec des couilles pendantes revêtues d’une couche de poils. Une fois trempé, je lui passai du savon sur le corps et quand j’arrivai à son cul, je passai juste du savon sur les fesses mais il me dit d’en mettre aussi dans son trou. Étonné, j’y plongeai un doigt; c’était très agréable puis je passai sur sa queue, je l’astiquais avec mes mains.

— Tu fais ça super bien. Allez, rejoins moi, je sais que tu en meurs d’envie.

Je montai dans la baignoire et il me poussa au fond. Je tombai, habillé, dans la baignoire. Il m’aspergea avec le jet douche, mes vêtements blancs devenaient transparents. J’enlevai mon pantalon et mon slip laissait apparaître mon sexe.

— J’ai oublié d’aller aux toilettes avant, alors ouvre la bouche.

J’ouvris grand et il visa avec sa queue. Un long et fin jet de pisse me remplit la bouche et il m’en mit de partout, ma chemise était imbibée de pisse. Je recrachai son urine, c’était pas encore pour moi. Puis il me dit:

— Allez! Viens faire plaisir à papy et pompe moi.

Sans attendre, j’engloutis son dard, ma langue courait sur sa longue queue de 17 cm, je le suçais avec enthousiasme. Je goûtais à une queue vielle de 67 ans et elle était en pleine forme. Moi aussi ma bite avait gonflé et je me branlais en même temps. Sa bite commença à se contracter alors je me retirai et remontai. Jacques me prit la bouche et me roula une pelle. Ma langue se battait avec la sienne. Le jet douche continuait à couler.

— Après une bonne pipe, tu vas me déchirer le cul, je compte sur toi.

L’horloge indiquait déjà 17h45 mais j’en avais rien à faire et je n’y prêtai pas attention. Mon grand-père se mit à genoux et engloutit ma queue. C’était le dieu, il avait sûrment dû le faire auparavant. La sève commençait à monter alors après 10 bonnes minutes de pompage intensif, Jacques me dit:

— Prend moi Christophe et fais moi jouir comme une pute.

Pas le temps de finir sa phrase, il posa ses mains sur le mur, les jambes écartées et mon dard fusa dans son cul. Je lui arrachais des râles de plaisirs, je le pistonnais, ma queue faisait des va-et-vient, je ressortais ma bite puis la replantais. Mes mains sur ses reins, je continuais avec autant de fougue.

Les clefs de la serrure tournaient et mon père entra dans la maison mais avec le bruit de la douche, on n’y fit pas attention.

— Hello, il y a quelqu’un? Papa? Christophe?

Le bruit de la salle de bain l’attira, il arriva devant la porte. Il l’ouvrit et la vision. Il me vit en train d’enculer son père.

— Mais qu’est-ce que vous faite tous les deux?

Mon grand-père réagit tout de suite.

— Viens Alain, on s’amuse bien avec ton fils. Il m’éclate le cul et toi, il va te sucer. Tu v’as voir, comme je te faisais quand t’avais 20 ans.

Surprise! Mon père avait déjà niqué avec un homme... et c’était son père.

— D’accord mais aucun mot à ta mère, c’est bien compris?

— Compte sur moi papa.

Il se fout à poils en deux secondes, mon papa était très poilu, le contraire de son père: un petit bidon très excitant recouvert de poils bruns, des aisselles gonflées de poils, ses jambes, bras, poils de bite en grosse touffe et ses fesses aussi. Sa queue était déjà en érection, un bon 20 cm. Il entra dans la baignoire et ma langue partit dans la bouche de mon père puis très vite je m’attaquais à son gland turgescent. Ma bouche avala sa bite et papa faisait des mouvements de balancement. Il me déchirait la bouche, son énorme dard me transperçait mais j’adorais ça. Pendant ce temps, il roulait une pelle à mon grand-père. Puis je joignis les deux bites dans ma bouche.

Ces deux glands me portaient dans les airs. Quelques minutes après, ces deux glands me giclèrent dans la bouche et sur le visage. J’étais plein de sperme. Alors mes deux dépuceleurs me relevèrent et passèrent leurs langues sur mon visage. On se roula une pelle à trois. C’était très excitant. Une fois la douche finie, on se rhabilla, moi avec de nouveaux habits car la veste puait la pisse et le sperme, alors direction la machine à laver.

On passa une semaine torride. Il n’y avait pas un jour sans qu’on fasse l’amour et on l’a fait partout. Et lorsque ma mère revint à la maison, je le faisais plus avec mon grand-père.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 23:19

A genou, un passif cagoulé suce en fond de gorge la bite de son mec, il pompe goulument en se faisant filmé en taillant des pipes ! Très grosse éjac de foutre de la part du mec qui se branle sur la face de son passif pour y cracher tout son yop !

Par babaslebatard - Publié dans : fan de vide burne - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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