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Jeudi 21 juin 4 21 /06 /Juin 12:46

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Je m'appelle Stéphane Grangé. J'ai 42 ans. Je suis avocat. Un métier prenant. Sans vouloir me vanter, je suis encore plutôt pas mal physiquement, grâce à des exercices physiques hebdomadaires. Longtemps j'ai cherché la femme idéale, Jolie, douce, intelligente, serviable, cultivée... J'ai rencontré Hélène alors que j'avais 30 ans. J'étais un jeune acharné du barreau et je donnais des cours à la fac de droit. Elle était secrétaire médicale, nous nous sommes mariés, et trois ans plus tard, nous avions un fils, Sébastien, suivi un an après de son frère Jérémie.

Nous sommes en mai 2007. Sébastien a maintenant 16 ans. Cela fait quelques mois que je commence à le regarder différemment. En effet, j’ai toujours eu des fantasmes homo que je n’ai jamais osé assouvir vraiment (à part quelques pipes par-ci par-là pendant mon adolescence) En grandissant, son physique prend une tournure très agréable: il est fin, élancé et gracieux et, depuis quelques temps et je m'en veux d'avoir sur lui ce regard de mâle en rut, mais je ne peux m'en empêcher. C'est ainsi. Sébastien à de courts cheveux châtains, de profonds yeux bleus, un petit nez droit et des lèvres joliment dessinées, un petit cul rebondi. Faire l’amour à sa mère ne m'empêche plus de bander à la vue de ce petit corps parfait.

C'est un dimanche en fin d'après-midi que je commence à deviner que mon fils est peut-être aussi salope que son père. Hélène se plaint que c'est un véritable foutoir dans la chambre de notre fils. Je me dévoue donc pour y remédier. Je grimpe les sept marches qui mènent à l'étage et entre dans la chambre de Sébastien. Il travaille à son bureau, ou fait semblant. Merde! C'est vrai que c'est un sacré bordel là-dedans! Je m'énerve, le gronde, et me saisit au hasard d'un sac à dos qui traîne au milieu de la pièce. C'est son sac de sport.

Je le retourne et en renverse le contenu sur le plancher, furieux. Sébastien est tétanisée. Je comprends vite pourquoi en voyant les fringues se répandre sur le sol. Il y a un jogging, un short, des chaussettes, mais surtout un boxer transparent noir. Je suis sur le cul et lui demande en le regardant droit dans les yeux:

— Euh, Sébastien, c'est pas ta mère qui t'a acheté ça?

Il me répond timidement, baissant la tête:

— Non papa...

— Attends... C'est toi?

— Oui, avec un copain... S'il te plaît, ne le dis pas à maman.

La seule chose qui me vient à l'esprit est "si tu savais le genre de trucs que ta mère peut porter", mais je me garde bien de lui répondre ça.

— Bon, range ta chambre, on verra...

Je quitte la pièce, lui confisquant le boxer. Putain! Mon fils est déjà aussi cochon que son père! À 16 ans, porter des sous-vêtements transparents, ça promet... Je suis abasourdi.

Deux semaines plus tard, un mardi, j'ai pris congé. C'est la fin de l'après-midi. Sébastien devrait être rentré du collège, qui est à deux pas, depuis plus d'une demi-heure. Je m'inquiète et décide d'aller le chercher en voiture. Quand j'arrive devant les grilles de l'établissement, je vois mon fils sortir d'une maison, en face de son école. Il semble avoir un air coupable. Bizarre. Je klaxonne. Il me voit et se dirige vers la voiture pour y entrer. Il me fait la bise et esquisse un sourire.

— Salut p'pa!

Alors que je l'embrasse, je sens une odeur forte familière mais que je n'arrive pas à identifier.

— Ben, qu'est-ce que tu fous? Tu devrais déjà être à la maison!

— Désolé p'pa mais je... Je donne parfois un coup de main à Mr Klinsmann, le p'tit vieux... Pour son ménage, pour ranger ses courses... Tout ça...

Je suis dubitatif. Je le connais un peu ce vieux qui habite face à l'école.

— Ah, c'est bien...

Tout en roulant vers la maison, j'arrive à identifier cette fameuse odeur. Mon fils sent en fait le foutre à plein nez... J'ai du mal à y croire mais en suis intimement persuadé. Je n'en reviens pas. Je commence à bander, excité par cette pensée insensée.

Deux jours plus tard, je sors plus tôt du boulot: il faut que je sache. Je me gare non loin du collège, de façon à avoir une vue imprenable sur la porte de sortie de la grille. À 17h, tous les mômes en sortent. Je vois mon fils se diriger directement vers la baraque de Mr Klinsmann. Il y rentre. J'attends que tous les gosses aient disparu avant de sortir de mon véhicule pour me diriger sur ses traces. Je regarde alentour, puis colle mon nez à la fenêtre du rez-de-chaussée. Des rideaux épais m'empêchent de voir quoi que ce soit. Je décide d'y aller au culot, et pose une main sur la poignée de la porte d'entrée. Elle n'est pas verrouillée. Je l'ouvre discrètement et me faufile dans le hall d'entrée sombre. Derrière une autre porte me parvient la voix rocailleuse de Georges Klinsmann:

— C'est bien ma p'tite pute, vas-y pompe bien... Comme ça, c'est ça, suce-moi bien à fond mon cochon...

Je suis en alerte. Je me demande ce qui se passe et ne peut me retenir d'entrouvrir très lentement la porte. Le spectacle que j'y découvre est insensé et sublime à la fois. Sébastien, mon fils, est agenouillé devant Georges, qui est assis dans le canapé, nu, les jambes écartées. D'où je suis, je peux admirer la scène de profil. Ils ne m'ont pas remarqué. Mon gamin est en train de tailler une pipe au vieux monsieur. C'est surréaliste. Ce petit pédé s'applique à lécher et à engouffrer la pine presque en entier. Je suis pétrifié et pris malgré moi d'une gaule d'enfer. D'une main, Georges le saisit par les cheveux, le forçant à le sucer au maximum.

— Allez petit con, suce! Suce bien tonton Georges si tu veux ton fric, salope. SUCE! SUCE! Mieux que ça, suce salope!

Hypnotisé, sur le cul, je regarde mon fils si angélique s'appliquer à avaler la tige du vieillard laid et bedonnant. Il a vraiment l'air de savoir s'y prendre ce petit gigolo! Soudain, l'homme pousse un grognement et se cambre.

— Avale... Oui c'est ça, oui, avale... Bien... Tout...

Je culpabilise de bander ainsi comme un âne, mais reste là, regardant Sébastien aspirer le jus de Klinsmann. N'importe qui de sain d'esprit lui aurait sauté à la gorge.

Je m'esquive avant d'être vu, pour rentrer à la maison avant mon fils. Ainsi mon gosse suce des queues pour du fric. Incroyable! Je ne sais trop que penser.

Quand le soir, je fais l’amour à Hélène, mes doigts agrippés à ses cuisses, c'est au petit cul serré de mon fils que je pense. Après l'avoir fait gueuler et avoir craché la purée dans sa chatte, je me lève pour aller pisser. Une drôle d'odeur passe sous la porte de la chambre de mon fils. Une odeur de cannabis. De mieux en mieux! Un plan prend forme dans ma tête. Ça me refait bander et quand je reviens des chiottes je ne peux m'empêcher de remettre le couvert avec ma femme. Sébastien sera bientôt mien...

Chapitre 2: La confirmation

La semaine suivante, je m'accorde à nouveau une demi-journée. En milieu d'après-midi, je me rends chez Georges Klinsmann. Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Je sonne. Le petit vieux m'ouvre et me fait un sourire convivial.

— Ah, Mr Grangé! Que me vaut le plaisir? Ça fait longtemps!

Il cache bien son jeu le salaud!

— Oui, ça fait un bail.

Je lui serre la main, lui retournant son sourire, et lui demande:

— Je ne vous dérange pas j'espère? Je peux entrer une minute? J'aurais voulu vous parler de deux ou trois petites choses...

— Mais bien sûr, faites!

Je le suis jusqu'au salon et il me propose une tasse de café que j'accepte, avant de nous installer dans son canapé. L'endroit est austère, vieillot, un peu oppressant. J'entre tout de suite dans le vif du sujet:

— Alors Mr Klinsmann. Mon fils m'a dit qu'il venait vous donner un coup de main de temps à autre?

— Oui, oui...

Il semble hésiter puis reprend:

— C'est vraiment gentil de sa part. Il est vraiment... Adorable!

Il a l'air soudainement mal-à-l'aise. J'enchaîne immédiatement:

— Hmm. Et... Sa bouche? Elle est adorable aussi, sa petite bouche?

Là, son visage se décompose totalement.

— Euh, comment ça. Je... Je ne comprends pas...

— Écoutez Georges, je peux vous appeler Georges? Je sais tout. J'ai tout vu. Alors ne me prenez pas pour un con! J'ai tout vu la semaine dernière, ici même. J'étais là quand Sébastien est venu vous sucer la queue mon vieux!

J'éclate de rire. Georges est tout rouge.

— Que... Que voulez-vous. De l'argent? Me dénoncer? Ce n'est pas moi qui ai commencé c'est lui...

Je lui pose une main amicale sur l'épaule. Il est ridicule. Un vrai gamin.

— Non Georges... Détendez-vous! Je crois qu'on s'est mal compris. Je commence à connaître mon fils. Il est aussi salope que son cher père et le fait qu'il vous ait provoqué, je n'en doute pas. Ce que je veux, c'est lui apprendre la vie...

L'homme ne dit plus rien. Je continue:

— Ce soir, avant la sortie de l'école, je viendrai chez vous ok? Et on se le fera tous les deux! Ça vous va? Georges? Alors?

Il se remet à sourire:

— Vous voulez euh... Réellement... faire ça?

— Plutôt deux fois qu'une mon vieux. Si ce garçon est pédé, alors il va en profiter! Et nous aussi!

En fin d'après-midi, je suis chez Georges, planqué dans la cuisine. Peut-être ne viendra-t-il pas. J'espère bien qu'il viendra. Je bande sévère! Puis, enfin, on sonne. J'entends la voix de mon fils. Mon voeu est exaucé.

— Bonjour Georges...

— Salut petite pute... Tu viens chercher ton fric? Petite tapette!

Le vieux se lâche, comme je lui ai demandé. J'entends Sébastien se marrer.

— Allez, perds pas de temps, on a pas que ça à foutre. Viens donc pomper papy Georges.

J'attends quelques minutes pendant que j'entends que mon fils s'active sous les instructions et les insultes du vieux. Puis j'ouvre doucement la porte et tombe sur une vision de paradis. Mon petit cochon de fils est dos à moi, à genoux. Il a enlevé son pantalon. Il porte un marcel blanc et un boxer moulant. Je vois sa tête se lever et se baisser sur l'entrejambe de Klinsmann qui le tient fermement par les cheveux. À ma vue, Klinsmann se désinhibe:

— Allez, maintenant branle-moi salope. Avec les deux mains. Et dis-moi des cochonneries. Dis-moi que t'es qu'une petite pute!

— Hmm que votre bite est si belle! Et si bonne, je suis la petite salope de Georges. Une vraie petite salope.

— Nan! T'es une GROSSE salope. DIS-LE!

— Je suis VOTRE grosse salope, Mr Klinsmann. Oui c'est ça... Ça vous plaît?

— Tais-toi maintenant et suce.

Tout cela dépasse mon imagination. Si j'avais su, je lui aurais cassé le cul depuis des lustres! Il est temps qu'il sache que je suis là. Je m'approche juste derrière lui et me racle la gorge. L'effet est immédiat. Il se retourne et me voit. Il pousse un cri et saute sur ses pieds. Puis il va se réfugier dans le coin opposé de la pièce. Il se met à pleurer à chaudes larmes. Entre les sanglots, je l'entends se justifier sans que je ne lui aie rien demandé.

— Papa, c'est pas ce que tu crois... C'est lui et... J'ai besoin d'argent, je... Pardon... Je suis si désolé... Mais qu'est-ce-que tu fais là, je... Mince... Non... Pardon... Pardon...

Tout ceci est très confus. Ça m'énerve et je l'interromps:

— Ça suffit!

Je m'approche de lui d’un air menaçant. Il se met à genoux devant moi, s'accroche à mon pantalon, m'implore.

— Pardon, pardon, pardon... Tu le diras pas à maman? Hein, tu le diras pas?

Je le relève et lui ordonne d'aller s'asseoir à côté de Georges qui a toujours une fière érection. Je m'assois lentement dans le fauteuil en face, allumant une clope, prenant tout mon temps.

— Alors comme ça tu es un petit suceur de queues? Bien réponds! Assume!

— Mais papa, c'est lui... Je...

— Réponds! C'est ce que tu veux être? Un suceur, pour du fric? Une pute?

— Non je le referai plus! C'est promis!

— Oh que si tu vas le refaire, et tout de suite! Sinon ta mère le saura. Tout le monde le saura.

Il se met à chialer de plus belle.

— Non papa, je t'en supplie... Je comprends plus rien...

— Cherche pas à comprendre. Vas-y, pompe Klinsmann ou je te balance!

Je jette un coup d'oeil au vieux qui me comprend. Il met sa main derrière la nuque de Sébastien pour le forcer à se pencher sur sa bite pourpre. Je le sens décontenancé par la tournure des événements, il hésite.

— Suce-le, il ne demande que ça! Allez, sois gentil avec ce cher Georges...

Il sèche ses larmes, rassuré, et obéit: je le vois engouffrer la bite de Georges. Merde je vais craquer mon pantalon. Je défais ma ceinture et baisse mon froc:

— Il n’y a pas de raison pour que ce soit toujours les mêmes qui en profitent, finalement.

Je me mets tout près de lui, debout. Je le prends doucement par la nuque et approche son visage de ma verge.

— Maintenant pompe-moi.

Ses yeux, surpris, me dévisagent:

— Non! Pas ça papa, pas toi. Je ferai tout ce que tu voudras.

— Ben justement, c'est ça que je veux. Suce-moi, s’il te plaît.

Il sort sa langue, timidement, lèche le bout de mon gland qui n’a jamais été aussi énorme, puis, finalement me prend en bouche tout entier pendant que Georges lui pince les tétons.

— Voilàààà... Sage, c'est bien. Tu vois comme tu peux être gentil avec ton papa. Oui, c’est ça, fais-lui du bien...

Je le regarde droit dans les yeux. J'y décerne de l’excitation, du désir. Je continue à lui parler:

— T'inquiète pas, je ne te laisserai plus gâcher tes talents. Tu suces comme un dieu, mon garçon. À partir d'aujourd'hui, je vais faire de toi mon vide-couille. Ça te choque? Tu vas t'habituer à mon langage un peu cru. Et puis je vois que cela t’excite: tu bandes dur, mon petit, je suis fier de toi. Bon, maintenant tu vas resucer ce bon vieux Klinsmann.

Quand je sors ma grosse queue de sa petite bouche dégoulinante de bave, mon gamin obéit immédiatement, ivre de désir et s'empare du membre de Georges. On sent en lui une faim insatiable de bite. Je m'astique le manche tout en le regardant faire. C'est qu'il a l'air de s'y connaître petit gigolo.

— T'es un vrai pro ma salope! Georges, faites-moi une place sur la canapé, je vais m'occuper de son cul.

— Bien sûr, d’autant plus qu’il adore ça: regarde-le se tortiller du croupion.

Je lui enlève son boxer et me met derrière lui, en position levrette. J'écarte ses cuisses et d'une main palpe son joli fessier musclé. Georges le force à nouveau à le sucer. Je glisse un doigt sur son petit trou. Mince, mais c’est qu’il est impatient, le cochon! Je lui lèche le trou qui est doucement parfumé, pour le lubrifier. Des deux mains, je lui écarte les fesses et vient frotter mon gland contre son cul. Je dois forcer un peu, ce qui le fait couiner. Puis j'arrive à le pénétrer et en à peine trois coups de reins, me voilà bien au fond. Il n'est plus puceau de ce côté-là, c'est clair! Mais je pensais qu'il serait plus étroit. Il a déjà dû en voir des tiges!

Dans un pur moment de merveille, je commence à baiser mon propre fils tandis que Georges se fait gober les couilles. Progressivement, je me fais plus brutal et à mon grand plaisir Sébastien se met à bouger son bassin et à remuer du cul de façon plus en plus salope. Je sens qu'il est à deux doigts de la jouissance; il n’ose pas se branler de peur de venir trop vite.

— Ma parole, c'est que t'aime ça ma salope!

Mes coups de boutoir le liment sauvagement et je l'entends qui commence à gémir.

— Georges. Il aime ça cette pute! Wouaaah! Saaaloooope!

Je suis sur le cul quand j'entends Sébastien se mettre à réclamer:

— Oui papa. Oui... C'est bon... Continue... Oui continue... Comme ça... C'est bon... PLUS FORT! Oui baise-moi!

Je n'en peux plus et quelques secondes plus tard, je me vide les couilles dans ses intestins pendant que Klinsmann repeint la gueule de mon gamin de son jus de burnes...

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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