Babaslebatard
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Avril 2025 | ||||||||||
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Je m'appelle Vincent, yeux bleus-gris châtain 1m80 pour 65kg. J'ai depuis toujours été attiré par mon père. Cet homme de 1m95 pour 90kg, musclé avec des abdos en béton et a la pilosité abondante est l'objet de mes désirs les plus secrets. Il m'arrive souvent de me branler en pensant à lui.
Un jour de juin, pour mon seizième anniversaire, il m'offrit un voyage en Alsace. Je n'étais pas plus emballé que ça jusqu'à ce qu'on arrive à l'hôtel et que l'on apprenne que mon père s'était trompé dans les réservations. Nous devions partager un lit double ! Je bandais rien qu'à cette idée. Nous allâmes déposer nos valises et entreprirent de découvrir un peu le pays en début de soirée... Il faisait doux et mon père portait une chemise laissant apparaitre sa toison. Arrivé dans un petit coin de campagne, mon père me prit dans ses bras et me dit qu'il m'aimait. Ce contact m’électrisa et je me dégageai vivement. En rentrant, la pluie nous surprit et nous nous retrouvâmes trempés avant d'arriver à l'hôtel. Il me dit alors :
— Vas prendre un bain chaud tu auras moins froid !
— Et toi ?
— J'attendrai que tu aies fini, ne t'inquiète pas !
— Mais papa ! Tu vas tomber malade et tu vas gâcher la fin du séjour ! Viens avec moi !
Il ne mit pas longtemps à se laisser convaincre. Nous sommes rentrés dans la salle de bain. J'enlevais mon T-shirt trempé dévoilant mon torse fin et retirai mon pantalon. Mon père ôta sa chemise, laissant apparaître sa poitrine et ses poils épais. Le bain avait fini de couler et mon père enleva son caleçon sans pudeur et se glissa dans le bain. Je n'eus pas le temps d'apercevoir sons sexe.
— Et bien dépêche toi !
— Oui oui j'arrive !
Je fis glisser mon caleçon et entrai rapidement dans le bain devant mon père. Il me fit pencher vers son torse et me prit entre ses bras.
— Tu es glacé ! Je vais te réchauffer !
Il frotta énergiquement les bras sur moi, ce qui eut pour effet de me provoquer une érection monumentale. Ma bite dépassait à peine de l'eau mais mon père s'en rendit compte.
— Et bien ! Ça va mieux on dirait ? C'est moi qui te fait cet effet là ?
Je n'osai plus ni bouger ni parler.
— Ne t'inquiète pas c'est naturel va !
C'est à ce moment la que je sentis quelque chose dans mon bas du dos.
— Regarde moi aussi !
Je glissais alors doucement ma main vers son sexe. Il était énorme et très large. Ma main ne pouvait pas en faire le tour. Je commençais alors de lent va-et vient.
— Tu fais quoi là Vincent ?
— Je te donne du plaisir papa !
Mes mouvement se firent plus rapides, plus sûrs :
— Arrête ça... C'est... mal...
Je n'écoutais que ses gémissements et continuai. Sa voix se fit plus rauque, ses gémissements plus rapide. Il enleva ma main de son sexe.
— Je vois que t'as envie de baiser ! J'allais juter ! Attends cinq minutes et rejoins-moi dans la chambre.
Il sortit de l'eau et quitta la salle de bain. Je restais seul dans l'eau. Qu'est-ce-que je devais faire ? Je sortis de l'eau à mon tour et entrepris de me sécher. Je me lavais les dents et me séchais les cheveux. Les cinq minutes sont vite passées. Je pris mon courage à deux mains et sortis de la salle de bain. Mon père était allongé sur le lit. Il était nu et son sexe énorme était posé sur son ventre.
— Approche... Tu veux baiser avec papa ?
— Oui !
— Alors viens !
Je m'approchai du lit et me glissai à côté de mon père.
— Occupe-toi de ma bite tu veux ?
Je descendis vers son sexe et entrepris de le lécher. Je passais ma langue de long en large et suçotais les boules. Sa teub grossissait à vue d’œil. Je la pris en bouche. Son sexe était bon. Il grossissait encore et finit par atteindre un bon 25cm par 7. Je le suçais de plus en plus vite et de plus en plus sûrement. Mon père gémissait... Je sentis une contraction, sa bite grossit et un jet vint s'écraser au fond de ma gorge vite suivi de six autres bien épais. J'avalais ce nectar goulûment et léchais sa bite pour ne pas en prendre une goutte.
— Retourne-toi.
Je m'exécutais et mon père plaça sa bite devant mon trou. Il la fit entrer petit à petit. J'avais mal mais j'aimais ça. Au bout de cinq minutes, je sentis ses poils contre mes fesses. Il commença alors de longs va-et-vient. Il me pilonnait de plus en plus fort et je gémissais. Soudain, un intense plaisir naquit en bas de mon dos et me fit me décharger sur les draps. Les contractions de mon anus achevèrent mon père qui jouit en moi et m'inonda les boyaux. On s'écroula sur le lit, lui toujours en moi et nous nous endormirent d'un coup.
Au réveil, nous avons encore baisé et, par la suite des vacances, avons peu quitté la chambre d'hôtel.
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