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Mercredi 30 octobre 3 30 /10 /Oct 09:44

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Bonjour, je m’appelle Jean, je suis en deuxième année de fac, j’ai un petit appart et mes parents jusqu’à présent m’aidaient financièrement. Cet été mon père a dû quitter son emploi et du coup, il ne peut plus m’aider. J’ai trouvé un petit boulot le soir: je nettoie une petite superette à côté de chez moi et je remplis les gondoles.

Je finis en général vers minuit, et en rentrant je me remets à bosser mes cours, je ne me couche pas avant 2 ou 3 heures du mat. Je suis crevé et dans la journée j’ai du mal à me tenir éveillé.

J’ai un copain de fac que je retrouve plusieurs fois par semaine soit chez lui soit chez moi. Quand nous sommes seuls, c’est la fête du sexe, on commence en général en douceur par des caresses et puis rapidement nous nous laissons emporter par la fièvre et nos ébats deviennent volcaniques et nous laissent épuisés et heureux.

Ce soir Marc, mon copain, doit passer chez moi, je suis heureux de le retrouver mais complètement crevé; enfin quand il sera là, j’oublierai mes soucis. On sonne, j’ouvre, c’est lui. Une bonne pelle baveuse des mains baladeuses et nous voici partis pour un bon après-midi de baise. Nous sommes allongés sur mon lit et Marc me suce lentement, comme j’aime, en me léchant les couilles de temps en temps. Je m’abandonne à ses caresses.

— Jean?

— Oui.

— Jean qu’est-ce qu’il y a? Cela fait 10 minutes que je te suce et ça a l’air de te faire autant d’effet que la lecture du code fiscal de l’année. Qu’est-ce qui ne va pas?

— Rien Marc je suis un peu crevé.

— Raconte moi, qu’est-ce qui t’arrive?

— Rien, rien vraiment.

Marc m’a pris les couilles dans sa main et commence à me les serrer.

— Jean si tu ne me dis pas ce qui se passe je vais serrer tes couilles jusqu’à te les écraser! et ce faisant il serre un peu plus et ça devient douloureux. Alors?

— Rien je te dis.

Il serre un peu plus et la douleur devient intolérable.

— Alors?

— Bon, papa a perdu son boulot cet été et il ne peut plus m’aider pour l’appart, j’ai trouvé un petit boulot dans l’épicerie d’à côté mais je suis crevé je finis de bosser vers minuit et en rentrant je bosse mes cours, j’en peu plus! dis-je en éclatant en larmes.

Marc est venu s’allonger près de moi, m’a pris dans ses bras et me donne un baiser.

— Je ne vais pas te laisser tomber mec. Tu te rappelles l’année dernière, c’est toi qui me prêtait du fric. J’ai trouvé un boulot un peu spécial mais ça rapporte pas mal si tu veux je te présente le mec qui me fait, comment dirais-je «bosser».

— C’est quoi comme boulot?

— Bon je vais chez un mec et il me filme alors qu’il me chatouille, qu’il me branle ou me donne des fessées. Il commercialise la K7 sur Internet et me file une bonne prime. Si tu veux je te présenterais.

— Ça va pas non? et si on me voit sur Internet?

— Si on te voit sur Internet c’est que le mec est allé chercher ce site et que donc il est pédé, t’auras pas de réflexions va. Si tu veux je te montrerai la K7 qu’il a fait avec moi, ça te tente?

— C’est bien payé?

— Mille euros la séance.

— Wouah, tout ça pour une fessée.

— Bon je vais chez moi je te rapporte la K7 on regarde ensemble et si tu veux je prend rendez-vous avec ce mec.

— Ok.

Marc est allé chez lui, il revient rapidement je mets la K7 dans le magnéto on s’installe et on regarde.

Je vois un mec dans la cinquantaine qui le reçoit discute avec lui, lui demande de se foutre à poil. Un fois à poil, il passe des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles de Marc, puis il attache Marc à un banc et commence à lui donner un fessée sévère, je vois le visage de Marc sur l’écran qui indique que ce n’est pas du chiqué, il morfle un max.

Les positions varient, au long de la K7 puis on voit Marc allongé sur le dos dans un lit et le mec qui le branle et arrête à chaque fois que Marc va jouir. Marc finit par le supplier de le laisser jouir. Le mec continu comme si de rien n’était, un gros plan montre les couilles de Marc gonflées à bloc et qui ne demandent que de se vider. Enfin le mec reprend sa branle plus rapidement et on voit 5, 6 jets crémeux sortir de la queue de Marc et venir s’écraser sur sa poitrine. Le mec étale le sperme de mon pote lui roule une pelle et sur ces images le mot fin apparaît.

Marc se tourne vers moi et me demande ce que j’en pense.

— Je ne sais pas, je suis troublé.

— Ça pour être troublé, t’es troublé! Regarde, tu bandes comme un cerf.

Je ne me suis pas rendu compte mais ma queue soulève mon boxer, Marc la dégage et commence un pipe d’enfer je me laisse aller et j’explose dans sa bouche.

Après cette séance, Marc m’a demandé si je voulais rencontrer son mec. J’ai accepté, rendez-vous est pris pour cet après-midi. J’ai passé un jeans moulant un t-shirt noir moulant et des baskets. Marc passe me chercher nous nous rendons chez le mec.

Un mec qui me fait un drôle d’effet, à la fois sympa et bizarre, je sens que le courant ne passe pas avec lui, j’ai envie de partir mais comme Marc a pris rendez-vous je fais un effort. Le mec me regarde, fixe son regard dans le mien et tout de go me dit: «À poil, qu’on juge la marchandise». Cela me déplait souverainement et je lui rétorque que je ne suis pas de la marchandise. "Bon comme tu veux mec, si t’as besoin de fric et que tu veux tourner avec moi, il faudra que tu fasses ce que je te dis, si ça te déplait, je ne te retiens pas." Je regarde Marc avec un air désolé.

— Pardon Marc mais je préfère partir.

— Bon Jean, tu me laisses 5 minutes, je te rejoins dehors OK.

Je sors dans le jardin, j’ai l’impression d’avoir fait une grosse connerie, mais je me sens libre ne même temps. J’allume un clope, Marc me rejoint, m’embrasse et me dit:

— Ce n’est pas grave, il ne t’en veut pas et te trouve mignon. Si tu changes d’avis il te recevra de nouveau.

Nous rentrons, les jours passent je suis de plus en plus crevé, Marc me surveille du coin de l’œil et me file du fric quand je suis pris à la gorge.

— Jean, Jean, Jean!

— Quoi?

— Jean tu t’es endormi pendant le cours. Le prof t’a pas vu, mais il y a des potes qui se sont marrés en te voyant roupiller.

— Marc j’en peux plus, rappelle ton mec je suis prêt pour une K7.

— Ok Jean je l’appelle.

Deux jours plus tard Marc me dit que nous avons rendez-vous l’après-midi même. Je suis pris au piège mais je ne peux plus reculer. On va chez le mec, je sens la tension qui monte pendant la route. On arrive chez le mec qui nous reçoit avec un grand sourire.

— Alors on a changé d’avis petit arrogant?

— Oui, Monsieur, j’ai vraiment besoin d’argent.

— Appelle moi Alexandre et pas Monsieur. Bon on va descendre au sous-sol pour la séance OK?

— OK.

J’ai la gorge nouée, on descend et on arrive dans une vaste pièce chauffée: il y a un lit, un banc, celui où j’ai vu Marc recevoir sa fessée. Des lanières avec des anneaux pendent du plafond, un siège de chiottes dans un coin. Alexandre m’a regardé découvrir le lieu.

— C’est là que ça va se passer, me dit-il.

— Ah au fait, je te présente Olivier, c’est lui qui va nous filmer.

Un mec sympa avec un sourire doux me tend la main. Dans un coin un bureau, Alexandre me le montre et me dit:

— Là-dessus, il y a 1000 euros pour toi, on fait le film et ils sont à toi. Tu refuses, tu te barres et on en reste là, alors?

— OK j’accepte.

— Bon Olivier commence!

Olivier se place derrière la caméra et fait signe OK.

— Bon Jean le film a commencé, la dernière fois que tu es venu tu étais un peu arrogant, aussi j’ai décidé de t’humilier un peu pour te rabattre ton caquet.

Ce disant il ouvre un porte et fait rentrer 3 jeunes mecs dans les 20 ans qui s’installent sur des chaises.

— Voilà, je leur ai demandé de venir pour assister à ton dressage. Allez hop, à poil!

J’hésite à me foutre à poil devant tous ces mecs, quand une claque me tombe sur les fesses. J’enlève mon t-shirt, des sifflets admiratifs soulignent mon striptease.

— Allez, vire-moi le fute maintenant!

Je défais la ceinture ouvra la braguette et fais glisser mon fute, dans un coin Marc m’encourage avec un bon sourire où je lis de l’amour.

— Approche!

Je m’approche d’Alexandre, il me baisse mon slip et commence à me tâter, les seins le ventre les couilles, la queue, il me retourne me tâte les fesses, les écarte. Je sens son doigt qui s’attarde sur ma rosette je suis rouge pivoine; les 3 mecs me regardent avec gourmandise. Alexandre me pousse vers eux et leur dit de juger de la marchandise.

Le premier mec passe ses mains sur moi arrive à mes couilles les soupèse dégage mon gland, et enfile son doigt sans prévenir dans mon trou m’arrachant un petit cri.

— Pas mal le mec!

C’est son jugement. Je passe ensuite dans les mains des 2 autres mecs, le dernier me branle en disant qu’il veut juger le matos, le salaud me fait bander, j’ai honte mais il faut y passer.

Alexandre a repris le fil des opérations.

— Allonge toi sur le sol cuisses écartées!

Il va vers un meuble sort une poche en caoutchouc, la remplit d’eau à un robinet et reviens vers moi.

— Je vais te nettoyer ton petit cul...

Il enfonce une canule dans mon cul et ouvre un petit robinet, je sens l’eau chaude me remplir le ventre. Il retire la canule te m’enfonce un plug en me disant qu’il faut que je garde cette flotte le plus longtemps possible. Il a commencé à me masser le ventre pour bien répartir l’eau, je lui dis que je n’en peu plus, mais il me dit que ce n’est pas assez et me masse de plus belle comme s’il voulait nettoyer mes intestins en profondeur.

— J’en peux plus! je lui dis.

— Ok, lève toi! Tu vois les chiottes? Tu peux te vider.

Olivier s’est approché du siège et attend. J’ai la honte de ma vie mais je ne peux pas faire autrement mon ventre me torture et réclame de se vider. Je m’approche du siège enlève le plug, mes intestins se vident je me cache le visage. La voix d’Alexandre claque:

— Tu t’es bien vidé?

— Oui.

— Bon viens on va finir le boulot!

Il me montre un coin douche me demande de me courber. Il enfile une canule sur le tuyau de la douche et me la rentre dans le cul. Il ouvre le robinet l’eau rentre dans mon cul et sort, quand l’eau qui sort est claire il arrête.

— Bon te voilà propre! Viens ici.

Il est assis sur un banc me fait allonger sur ses cuisses, Olivier fait le tour pour me prendre sur toutes les coutures. Premières claques sur les fesses, il n’y va pas de main morte: je sens mes fesses chauffer.

— Tiens, regarde!

Je tourne la tête et vois mes fesses rouges.

— Bon après cet échauffement on va passer à autre chose.

Il attache mes poignets à un mousqueton fixé au plafond, il prend une tapette genre raquette de ping-pong et les coups commencent à tomber. Je me tortille mais je ne peux m'échapper. Il arrête au bout de 5 minutes. Mes fesses sont brûlantes, Olivier les filme de près.

— Les mecs ça vous dirait de lui filer un bonne fessée?

— Oui! hurlent-ils en chœur.

Je les avais oubliés sous les coups, je vois qu’ils bandent tous dans leur jeans.

Le premier se lève et prend une large lanière de cuir et commence à me frapper les fesses et le bas du dos. Une dizaine de coups, de plus en plus forts. Le deuxième prend la relève, il fait attention de ne pas frapper trop fort, ouf tous ne sont pas des sadiques. C’est au tour du troisième: lui commence à me frapper doucement puis les coups sont de plus en plus fort et deux fois le bout de la lanière frappe mes couilles, la deuxième fois je manque de m’évanouir sous la douleur.

— Bon ça suffit! a hurlé Alexandre.

Alexandre me détache, et m’allonge sur le banc, il m’attache les poignets et les chevilles aux pieds du banc, il prend une tapette en cuir et commence à me frapper en prenant son temps à coups réguliers. La douleur liée à la chaleur de me fesses me fait hurler. Je le supplie d’arrêter mais il continue. Le temps n’existe plus, mes larmes coulent sur me joues, je le supplie de s’arrêter.

— OK mec je crois que ça va faire une K7, on va finir.

Il me détache, me retourne me voilà allongé sur le dos sur le banc, de nouveau il m’attache. Je suis exhibé aux yeux de tous, les spectateurs ont la trique. Alexandre commence à me branler, doucement je trique rapidement je sens le foutre monter, Alexandre s’en aperçoit et arrête un moment puis il reprend. Cinq fois, il arrête au moment où je vais jouir... Mes couilles me font mal, je n’ai qu’une envie c’est qu’il me laisse jouir.

— Alexandre s’il te plaît, laisse-moi jouir j’en peux plus, laisse-moi jouir.

— Bon, tu as été un bon gars, j’accepte.

Il recommence à me branler, je sens les contractions dans mon bas-ventre, je crie en lâchant une série de jets impressionnante, je suis vidé mais Alexandre continue de me masser le gland avec mon jus. C’est insupportable quand on a joui comme ça avec autant de violence de se faire masser le gland qui est devenu hyper-sensible.

— Arrête Alexandre s’il te plaît.

— Ok c’est fini!

Il me roule une pelle et me détache. Les spectateurs applaudissent, c’est fini. Marc est venu m’embrasser, il me glisse à l’oreille:

Je vais m’occuper de toi, viens.

Il me conduit dans le coin douche, fait couler l’eau, et me lave en douceur, ensuite il me sèche avec une serviette en faisant attention de ne pas frotter trop fort sur mes fesses, puis il me passe une crème sur les fesses, la douleur semble s’atténuer mais reste bien réelle. Alexandre à renvoyé les 3 spectateurs. Nous sommes maintenant quatre, Alexandre, Olivier le caméraman, Marc et moi.

— Tiens, prends ton argent sur le bureau tu l’as bien mérité. Si tu veux revenir tu peux, la prochaine fois je ne te ferai pas mal, promis.

— Merci.

Je prends l’enveloppe, Marc passe son bras sur mes épaules et me dit:

— Allez, on y va.

J’ai du mal à marcher, je m’assieds avec prudence dans la voiture, je suis dans un autre monde. Marc me dit de regarder ce qu’il y a dans l’enveloppe, j’ouvre je compte les billets, il y a 1500 euros! Je n’en reviens pas.

J’ai repris les cours 3 jours après, Marc m’apportait les cours qu’il avait pris pour moi.

Un matin le facteur m’a apporté un paquet. J’ouvre, c’était une K7 avec un petit mot d’Alexandre: "Pardon pour t’avoir fait souffrir, mais c’était le contrat. Comme promis quand on s’est quittés, la prochaine fois si tu veux, je ne te frapperai plus. Bonne vidéo!"

Je mets la K7 dans le lecteur et je me vois arriver dans cette salle, j’éprouve un mélange d’effroi et de satisfaction, j’arrête la K7 et décide d’attendre Marc pour la regarder avec lui...

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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