Après de nombreux contacts par Internet puis par téléphone, nous avions convenu de nous retrouver dans une auberge près de Montréal. Il m'accueille dans la chambre, il doit avoir 25 ans, environ 1m60 pour 60kg, des muscles attirants, les cheveux bruns... il est torse nu et habillé que d’un pantalon de jogging. Je le trouve très sexy.

Conformément à nos discussions je ne dois rien lui dire, et seulement me mettre nu devant lui. Il me regarde et me dit:

— Je trouve que tu ressembles à la photo que tu m'as adressée, tu fais bien sage et bien gentil... tu sais que tu es là pour que je te pervertisse? Pour ton initiation j'ai pensé à mon grand-père. Il est hétéro mais au fond de lui, si j'ose dire, je pense qu'il veut autre chose, tu vas être son cadeau d'anniversaire. Il a toujours rêvé que grand-mère le suce ou bien de la sodomiser mais elle a toujours refusé. Quand il m'a parlé de ce fantasme, j'ai de suite pensé à toi, tu penses, un petit jeune de 15 ans, mignon comme toi, bien gentil, bien propret, avec un petit trou vierge, étroit, fragile. Moi je suis bi et je sais ce que c’est de dépuceler des petits jeunes comme toi.

Je le regarde dans les yeux, incrédule. Je suis debout, nu, le sexe mou... Face à moi il y a une télé allumé. Je comprends que je suis filmé... Son grand-père entre, il doit avoir 62 ans mais en paraît 10 de moins, très grand, cheveux poivre et sel, un physique assez attirant qui fait très viril. Il porte juste un peignoir. Ils s'installent tous deux dans le canapé. Je suis toujours debout. Il dit à son grand-père:

— Alors qu'en penses-tu?

Il ne répond pas. Son petit-fils me dit:

— Je veux que te faire découvrir l’homosexualité passive, que tu ressentes ce qu'un homme ressent quand il se donne à un autre homme, quand il subit ses désirs...

De sa main il ouvre le peignoir de son grand-père. Sans exagération, il est musclé, un peu poilu. Je regarde fasciné son sexe, il est mou, pas très long mais assez gros. Le gland semble imposant bien que masqué par le prépuce je ne puisse le voir. À cette vue mon sexe gonfle. Il s'en rend compte et me dit:

— Et bien... je vois que tu n'es pas insensible au charme de grand-père.

Je rougis et mon érection augmente encore... mon sexe est maintenant tendu et remonte à la verticale... Il me dit d'approcher. Je me mets à genoux devant lui... je suis hypnotisé par son sexe...

— Touche-le, dit-il.

Je m'approche et le prends d'une main, il est chaud, doux... il semble fragile... Je décalotte le gland qui m'apparaît maintenant en entier... il est très large en forme de gros champignon... Je caresse ses testicules lourdes, pendantes... elles donnent l'impression d'être bien pleines. Sur les instructions de son petit-fils, je pose ma langue sur son gland... puis le prends en bouche... il est doux... Sous ma caresse il se développe... sa tige gonfle... de fragile il devient puissant... Son sexe remplit ma bouche... je m'applique et le suce avec délice...

Je prends dans ma bouche ses testicules, je les fais rouler sous ma langue puis je reviens sur sa tige... Il me dit:

— Tu n'as pas le droit de te retourner ou de regarder, tu dois juste le subir en regardant au choix: moi ou le film de ton initiation à la télé.

Je regarde l'écran pendant qu'il film. Son petit-fils zoom sur son sexe qui est maintenant énorme... puis sur ma bouche...

— Il a une très grosse queue non?

Ce terme dans sa bouche à lui décuple mon excitation... Sur l'écran je vois son sexe devant mon visage. Le grand-père prend son sexe puis le tape doucement sur mes lèvres et ma langue. C'est alors qu'il a commencé à me toucher le sexe avec son pied.

— Mais dis-moi! Comme tu es dur, on dirait que cela te plait véritablement.

Son petit fils lui sourit.

— Lève-toi! me dit-il.

Je m'exécute. Je suis debout devant eux. Mon sexe tendu vers le ciel. Le grand-père tend sa main et attrape mes testicules. Il me caresse. Je suis gêné par la situation, jamais un homme ne m'a touché. D'une main il tient mes testicules en les tirant vers le bas et de l'autre il décalotte mon gland bien à fond puis il presse doucement mon gland turgescent. En dépit de la gêne que je ressens ou peut-être à cause de lui, mon excitation augmente. La traction qu'il applique à mes testicules me rend fou, mon sexe est douloureux de désir... chaque fois qu'il presse mon gland j'ai peur de me vider dans ses doigts. Le grand-père, me tenant par les testicules, m'entraîne jusqu'a la table sur laquelle il me fait allonger sur le dos. Son petit fils en profite pour venir se placer à califourchon au-dessus de mon visage collant son sexe durci sur ma bouche... je lèche avec délectation et application... Son grand-père redresse et écarte mes jambes... je lui offre désormais la vue de mon anus vierge... Il me caresse d'un doigt, il a de gros doigts, et j'ai immédiatement fermé les fesses, par réflexe.

— Ne soit pas timide, il va être doux et tu vas adorer cela, me dit le petit-fils.

Je vois sur l'écran ses deux grosses mains écarter mes fesses... je ressens leur pression... un de ses gros doigt enduit de salive pénètre doucement mon anus... puis il enduit le bout turgescent de son sexe de lubrifiant...

Il se penche et rentre sa langue dans mon anus, cette douce caresse est délicieuse...

Son petit fils filme son visage, il est écarlate... Le contact de sa grosse tige dure contre ma raie me fait frissonner de peur. Je me sens un autre que moi-même... il me sourit et me fait un clin d’œil:

— Cela m'excite tu sais, j'ai toujours rêvé de voir des hommes ensemble!

Sur l'écran je vois son gland se présenter sur mon anus... je le sens pousser, à l'image son gland se déforme contre ma rondelle... Son petit-fils me dit en saisissant mes testicules:

— À ta place j'essayerais de me détendre, car tu vas le sentir passer...

Et il saisit mon gland et le fait rouler sous ses doigts tout en malaxant mes testicules... cette caresse me fait craindre de jouir trop vite.

Le grand-père sert un peu plus mes hanches et tire mes fesses vers lui, de peur je commence, malgré moi, à respirer par saccades. Il regarde la caméra, je vois ses yeux il me dit

— Je vais te faire du bien tu vas voir, comme à une femme.

Là, j'ai senti qu'il me rentre un doigt dans le cul. Il le fait un peu brutalement, sans trop de douceur. Il me glisse un doigt, puis deux rapidement. Et tout de suite après, il repose son sexe dur contre mon cul. Il rate d'abord le trou, puis le trouve, et pousse. Je ressens une douleur je tente de me soustraire à sa poussée... Il m'attrape de ses bras puissants et je me remets comme il veut, j'ai la gorge sèche... Il crache sur mon cul, et je sens le tout dégouliner sur ma raie, sur mon anus. Et là, il recommence avec ses doigts, et ça fait déjà moins mal. Il prend son temps, attend que je me détende un peu, son doigt me fouille un peu rapidement... en regardant l'image de son doigt dans mon trou je suis submergé par la honte...

Et puis, il a placé son gland brûlant à nouveau. J'ai senti pour la première fois mon anus s'ouvrir, et ça me semblait sans fin... une brûlure intense j'ai fermé les yeux... Je ne savais pas ce qu'il avait entré, j'ai réouvert les yeux, la pénétration a durée très longtemps, j'avais un peu perdu la notion du temps. Il respirait fort lui aussi, moi j'avais carrément des gémissements impossibles à contrôler. Il me tenait les hanches de ses deux mains puissantes et calleuses, il avait ses bras durs qui m'enserraient et ça continuait à entrer, je ne comprenais pas la sensation.

J'ai vu à ce moment-là l'image... sa queue énorme dans mon trou distendu, cette tige qui rentre sans que rien ne l'arrête! Comme si quelque chose crevait mon ventre! La douleur passée, ce n'était pas trop désagréable, c'était nouveau, intense un mélange d'humiliation, de douleur et de plaisir. Et puis, il a touché le fond de mon cul, j'ai gémis "doucement" plusieurs fois, et j'ai senti qu'il avait tout entré. J'étais surexcité, dérangé par cette chose en moi, ma queue brûlante, tendue comme jamais, son petit-fils a filmé ma tige raide, collé contre mon ventre, je ne contrôlais plus mes réactions. Il le regarde et dit:

— Mais regarde ça grand-père, il bande pendant que tu l'encules...

Il me regarde à mon tour et me dit:

— Tu es devenu un vrai pédé maintenant... tu va voir que tu vas y prendre goût...

Ces mots crus me rendent fou d'excitation. Je colle ma bouche sur le sexe de son petit-fils et le suce avec bonheur... Le grand-père souffle bruyamment, et il a commencé ses allées et venues, doucement, puis de plus en plus rapidement. Sa grosse bite me chauffait. C'était une sensation nouvelle, j'avais l'anus en feu, je le sentais, à cause du frottement, mais je ne pensais plus à rien de précis, seulement que j'étais devant lui en train de me faire enculer pour la première fois... comme une femme... Son petit-fils m'a embrassé a pleine bouche enfonçant loin sa langue, il m'a dit:

— Vous êtes beaux tous les deux comme cela, j'aime le voir t'enculer, voir sa grosse queue en toi...

J'avais l'impression d'être empalé, ouvert en deux, il me limait maintenant si fort que je ne sentais même plus ses allers et venues, seulement cette chaleur intense irradiante... j'ai hurlé de douleur et de bonheur... Il est sorti de mon trou... sur l'écran il est resté ouvert béant, obscène... il est venu devant moi... soumis j'ai ouvert la bouche...

Il a alors posé sa queue raide sur ma langue pour que je le suce. J'ai engouffré son énorme queue humide, j'ai pompé sa tige puissante qui était dure, brûlante... j'étouffais, je ne pouvais plus respirer... il s’est servi de ma bouche comme d'un trou, jusqu'à ce que sa queue se gorge de jus... il a déchargé son foutre chaud par saccade dans ma bouche en gémissant. Son sperme était épais, amer, écœurant... malgré un haut le cœur j'ai tout avalé...

Il a joui sous ma langue en lâchant des "ah" secs, soupirés... Moi, j'étais en pleine incompréhension, et le temps de reprendre mes esprits, sa queue était devenue molle dans ma bouche. Le grand-père a quitté la pièce sans dire un mot. Son petit-fils m'a fait me redresser, m'a embrasser la bouche et m'a dit:

— Le spectacle était superbe mais ce n’est pas fini.

Il m'a fait mettre à quatre pattes sur le canapé, le visage devant le téléviseur, il a rembobiné la cassette... puis nous avons visionné le film tous les deux, en même temps qu’il me défonçait l’anus. Ne sentant plus de douleur, j’aimais sentir sa queue glisser dans mon cul. Sur l'écran je ne me suis pas reconnu... mais c'était terriblement excitant. Il a prit ma tige dans sa main et me branlait en même temps. Au moment où son foutre emplissaient mes entrailles, mon foutre a jailli sur le canapé.

— Voilà, tout est terminé, bon retour chez toi.

Il alla rejoindre son grand-père dans l’autre pièce, me laissant seul. Je ne savais pas si je devais rire ou pleurer, être triste ou heureux de la situation, mais je me dis que plus jamais je ne servirais de cadeau d’anniversaire.