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Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 02:23

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J’habite depuis une paire d’années dans une tour HLM de ce que l’on appelle un quartier sensible. La cage d’escaliers est couverte de graffitis, obscènes pour la plupart, et les relents d’urine vous prennent à la gorge dès que vous passez la porte d’entrée. Je bande en imaginant tel ou tel mec de l’immeuble se débraguettant et se soulageant de son urée contre le mur.

Un soir, je surpris un des locataires au moment où il sortait son engin de la fermeture-éclair. “Je peux t’aider”, fis-je sur un ton désinvolte. Il se lança dans une explication plus ou moins vaseuse selon laquelle son chiotte était bouché et qu’il n’avait que cette solution pour pisser avant d’aller se coucher. “Dans le lavabo, c’est pas très hygiénique,” m’expliqua-t-il, embarrassé. Mais je n’avais que faire de ses justifications farfelues. Mes yeux ne quittaient pas son membre mou et gonflé. Je tentai le tout pour le tout. Je m’agenouillais sur une marche et présentais ma bouche ouverte prête à accueillir son robinet à pisse. J’attendais une réaction d’hostilité qui ne vint pas. Je me saisis alors de son sexe, d’abord du bout des lèvres, puis plus profondément. Je levais les yeux vers le gars et d’un clignement d’œil je lui fis comprendre que j’étais prêt à recevoir son flot d’urine. Il se relâcha et se libéra du liquide accumulé dans sa verge. Au fur et à mesure que la pisse s’écoulait dans mon gosier, je sentais que mon membre prenait de la vigueur.

Après avoir tari sa source, j’entrepris de le sucer avec l’espoir de lui faire connaître les bienfaits d’une bonne fellation masculine. Son excitation était à son comble car il ne fut pas long à faire jaillir le liquide de ses couilles. Ma réputation de vide-couilles allait se propager comme une traînée de poudre, en plus d’avoir été repéré comme fétichiste des chaussettes.

Les abords de l’immeuble laissaient à désirer quant à leur propreté. Certains se débarrassaient de leurs ordures, d’autres de leurs vieilles chaussettes déchirées, sales à avoir été portées des semaines et des semaines, odorantes à asphyxier un appartement. Je subodorais à quel type elles avaient appartenu, comment il les avait portées aussi salement sans gêner qui que ce soit pendant tout le temps qu’elles fermentaient à ses pieds. Je ramassais ces chaussettes crades et, enfermé chez moi, je les humais en rêvant à tous les mecs de l’immeuble qui me faisaient craquer. Je finissais par jouir, les chaussettes pressées contre mon nez.

J’avais une autre habitude: celle d’exposer mes chaussettes à sécher sur mon balcon. J’en étais particulièrement fier, elles étaient toutes siglées de célèbres marques de sport. Les p’tits jeunes de la cité en bavaient d’envie. Je les observais porter le regard vers l’alignement des chaussettes.

— Hey, mec, tu crois pas que tu frimes un peu, me lancèrent-ils un jour au pied de l’immeuble. Nous aussi, on aimerait bien mouiller des chaussettes Nike. Ça t’fait triquer, de la sueur de jeunes mâles? Les pédés, on a rien contre si c’est nous qui fixons les règles du jeu!

Je n’ai jamais pensé qu’ils m’attendaient pour que je les fournisse en chaussettes au vu des fringues qu’ils avaient les moyens de s’offrir...

Pour me faire comprendre qu’il était temps de les approvisionner, ils déposaient devant ma porte leurs chaussettes sales et usées dans un papier-journal ou un sac hermétique accompagnées d’un petit mot malicieux du style: “Urgent, Najib a les pieds nus”, “Vic attend un nouveau lot d’absorbeur de sueur”, “Du ferment à fromage pour Vivien”...

Ils prirent l’habitude de s’inviter chez moi dans leurs fringues super sexy. Leur premier geste était de se déchausser devant moi. Leurs chaussettes blanches dégageaient chacune une odeur différente. Ils me le faisaient remarquer sans pudeur. “Parfumé par brise de panards”, insistaient-ils. Ajouter à cela des rots et des pets retentissants et l’atmosphère de la pièce était rapidement viciée. Sans gêne, ils dévalisaient mon frigo de ses bières et de la bouffe avant d’aller s’affaler dans le canapé et de se goinfrer en visionnant des films de cul hétéros dans lesquels des chattes se faisaient perforer par des membres super montés de Blacks ou de beurs. Ils s’esclaffaient devant ces scènes torrides, se passant la main sur leur braguette afin de sentir leur sexe durcir sous le slip.

Je les matais les yeux ébahis et la queue dure comme un roc. J’aurais voulu me jeter à leurs pieds fumants pour en humer leurs vapeurs nauséabondes. Les bières achevées, ils s’attaquaient à mon bar à alcools, vidant indifféremment whiskys et cognacs avec la même célérité. Les filles sur l’écran continuaient à se faire défoncer par tous les trous et leurs queues finissaient par apparaître entre leurs mains. Ils avaient posé leurs pieds sur une table basse, j’avais donc tout loisirs de m’attarder sur leurs chaussettes colorées par la transpiration collante.

Quand ils se levaient du canapé, leur bite raide à la main, je croyais mon heure arrivée. Ils m’invitaient à m’agenouiller devant leur queue avec interdiction de les effleurer tandis qu’ils s’activaient à jouir en commentant les actions de la vidéo. Finalement, trois puissants jets de foutre viendront zébrer mon visage.

— Maintenant, tu peux nous filer des chaussettes propres. On va aller retrouver nos meufs et on voudrait pas avoir la honte avec nos chaussettes pourries!

Leur départ me laissait dépité et la queue en souffrance. Je ramassais leurs chaussettes, j’en caressais ma bite et me les passais sur le visage jusqu’à faire jaillir mon sperme dans une étrange sensation de délivrance et de plaisir.

Sur le même palier logeait Bertrand. En règle générale, il faisait appel à moi au moins une fois par semaine. Il frappait à ma porte en gueulant: “Allez, ma pute, viens prendre ta dose!”

J’arrive dans son appartement au moment où il s’installe sur la cuvette des chiottes pour se soulager. Sa bite est raide à exploser. Pendant que je l’embouche, il se libère de ses matières en même temps que je sens un liquide clair et chaud se déverser dans ma bouche. Sa pisse est tellement abondante que j’ai des difficultés à tout avaler. Je suis donc contraint de laisser du liquide couler sur mon menton et les cuisses de Bertrand. Il m’insulte en me crachant à la gueule; ses mollards s’écrasent sur mes joues et il prend plaisir à bien me les étaler.

Alors il m’ordonne de lui retirer ses pompes. C’est le moment le plus excitant. Je sais que je vais découvrir des chaussettes blanches parfumées d’une semaine.

— Tu aimes, n’est-ce pas? me dit-il avec une pointe de sadisme dans la voix. Lèche-les!

Et il me les fourre sous le nez. Je sniffe avec délectation et m’enivre de ses effluves. Quand Bertrand juge que mon humiliation est à son terme, il se lève, me retourne précipitamment et introduit avec force sa queue au fond de mon trou. Toute la longueur de sa bite épaisse et veineuse me perfore pendant de longues minutes. Petit à petit, je participe à son plaisir en m’empalant le plus profondément possible sur son gourdin. Sa purée s’éjecte alors avec une volonté de me faire hurler de douleur.

Le temps de reprendre mes esprits, Bertrand s’est torché. Il me congédie sans un mot, poussant du pied sa paire de chaussettes sales jusque sur le pas de sa porte. “Débarrasse-m’en!” me lance-t-il avant de me claquer la porte au nez.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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