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Samedi 21 juillet 6 21 /07 /Juil 23:41

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En fin de troisième, alors que je me préparais à passer les épreuves du Brevet, j'allais souvent réviser avec un camarade de classe. Thierry vivait seul avec son père dans une maison non loin du collège. Son père étant souvent absent, nous disposions de toute la maison mais le plus souvent, nous nous installions dans la chambre de mon ami pour travailler.

Quel que soit le lieu où nous travaillions, dans la chambre c'était l'occasion d'attouchements ambigus. La table de travail par son exiguïté nous obligeait à nous asseoir côte à côte. Thierry ne ratait pas une occasion de prendre appui sur mes cuisses, frôlant mon sexe. Combien de fois, sous prétexte de me montrer un texte, s'est-il levé, venant se placer derrière moi, en profitant pour frotter sa verge contre mon dos? Quand nous nous installions sur le lit, à la moindre occasion nous nous chevauchions pour passer de l'autre côté.

Pour nous détendre de nos heures studieuses, nous nous affrontions dans de pseudo-matches de catch sur ce même lit. Nous posions alors la chemise et nous livrions à un corps à corps continu, roulant parfois par terre sans lâcher prise, restant emmêler. Le but était d'arriver à immobiliser l'autre, l'écraser sous notre corps, le gagnant donnant alors un gage à son malheureux rival.

Thierry fit évoluer ces jeux "innocents" en m'accueillant un jour en short. Le temps particulièrement torride de cette journée pouvait justifier cette tenue mais sa sensualité et l'odeur de la peau chaude m'échauffèrent les sens dès le départ. Le contact de ses jambes nues quand nous étions assis au bureau m'incitait à m'appuyer moi aussi contre elles quand je me levais. La forme de ce vêtement me laissait deviner que je n'étais pas le seul que cette situation faisait bander. Quand un appel téléphonique éloigna Thierry de sa chambre, je profitai de son absence pour humer son pyjama, m'enivrant de son odeur.

Quand il revint, j'étais en train de fouiller dans ses sous-vêtements. Comme il me jetait un regard interrogateur, je lui demandais, innocemment, s'il ne pourrait pas me prêter un short, la chaleur étant vraiment intenable. Je rajoutais en toute ingénuité que celui qu'il portait était très sexy. Il me proposa de l'essayer. Avant que je n'aie eu le temps de refuser, ce que je n'avais nullement l'intention de faire, il avait ôté son short apparaissant dans un mini slip mettant en valeur un appareil génital qui ne demandait qu'à sortir faire un petit tour. Pendant que je posais mon pantalon, il caressait discrètement la bosse que formait son slip, puis il m'aida à enfiler son short, en profitant pour me peloter les fesses.

— Il est vraiment confortable.

— Il ne te serre pas trop me demanda-t-il, saisissant l'occasion de me palper le sexe.

— Non, le tissu est léger et souple, il moule bien.

— Oui effectivement il te moule bien. Tu peux le garder. Je vais rester en slip.

— Bon et bien merci.

Cette fois pour travailler, nous nous installâmes sur le sol. Nous étions assis face à face, je m'appuyais contre le mur alors que Thierry était assis en tailleur contre le lit. Au bout d'un moment, il déplia ses jambes envoyant un de ses pieds entre mes cuisses, contre mon sexe. Nous continuâmes un moment à simuler un travail assidu pendant que de la pointe du pied, il me massait l'entrejambe.

Cette situation ne pouvant s'éterniser, il me proposa un petit combat. Après le bas, nous tombâmes le haut, pour la première fois nous nous affrontions aussi peu vêtu, tous les deux en slip. Nous nous observâmes un moment nous tournant autour. Il passa le premier à l'attaque m'empoignant par surprise les parties génitales à travers le tissu, il me renversa sur le lit. Avant que je n'aie eu le temps de réagir j'étais immobilisé, allongé sur le lit, Thierry à cheval sur mon dos. Pendant un moment, nous restâmes dans cette position, je sentais son sexe bien dur contre mes fesses, discrètement par de petits mouvements de va-et-vient, il frottait sa bite contre mon cul.

— Quel gage tu vas me donner? lui demandai-je.

— Tu vas te branler devant moi.

— Tu regardes, mais tu ne touches pas, implorai-je hypocritement.

— J'ai gagné. Tu n'as pas à poser de conditions. Tu obéis.

Me retournant comme une crêpe, il me finit de déshabiller, attachant mon slip en trophée à son bras. S'étendant à côté de moi sur le lit, pendant que je commençais à secouer mon dard, il me pétrissait les couilles.

— Hum! Elles sont pleines de foutre tes couilles me susurra-t-il à l'oreille, en me titillant le lobe. Vas-y, pompe pour faire monter le jus.

Il se mit à cheval sur moi, tête-bêche, son slip bien gonflé juste au-dessus de mes yeux. Encore très inexpérimenté, je ne compris pas l'invitation.

— Laisse-moi prendre le manche. Quand tu as envie d'une bonne branlette de derrière les fagots, n'hésite pas à me le demander. Je te donnerai avec plaisir un coup de main.

Quand il me sentit prêt à jouir, il attrapa mon sexe dans sa bouche, avalant les jets de sperme que je lançais.

Ce soir là nous en restâmes là dans ce domaine, mais le lendemain quand il vint m'ouvrir la porte, il ne portait qu'un string, le triangle de tissu moulait son sexe et, quand il se retournait, je voyais le cordon qui disparaissait entre ses fesses.

— Le gage que je t'ai infligé hier m'a inspiré une idée de distraction. C'est le jeu du maître et de l'esclave. Chacun notre tour, nous interpréterons le rôle du maître, l'autre étant l'esclave et obéissant à tous ses ordres.

— Des ordres de la même veine que le gage d'hier, si j'en juge par ta tenue!

— Oui! Tu paraissais aimer ça. Pour que tu comprennes mieux la règle, aujourd'hui je serai le maître.

— Bon d'accord cela me convient. Je me déshabille?

— Non. Viens, on va travailler.

— Mais j'ai trop chaud.

— Tu y prends goût petit vicieux à t'exhiber. Allez viens! On va s'installer dans le salon aujourd'hui.

— Ton père ne risque pas de nous surprendre?

— Ce ne serait pas pour lui déplaire, mais il est absent. Pose ta chemise et installe-toi dans le canapé.

Je vais te bander les yeux. On va faire travailler tes autres sens. Tiens cette sucette pour te faire patienter. Hum qu'elle est bonne! Sa forme ne te fait pas penser à un autre objet? Comprenant l'allusion, je laissais une de mes mains descendre caresser mon entrejambe.

— Oui! Tu vois la ressemblance. La différence avec la sucette, c'est que plus tu le suces plus il y en a. Goûte donc la différence.

Son sexe vint remplacer entre mes lèvres le sucre d'orge. Je m'amusais à le léchouiller et à le mordiller.

Il me fit relever et finit de me déshabiller. J'avais toujours les yeux bandés. Il me caressa les fesses entre lesquelles il lança un doigt inquisiteur. Il me murmura à l'oreille.

— Tu ne t'es jamais fait enculer?

— Non mais toi tu as l'air d'avoir plus d'expérience?

— Oui! J'ai même eu déjà plusieurs partenaires, mais ils étaient toutes les fois plus expérimentés que moi. Je sens que tu as envie d'essayer. Si tu m'offres ton pucelage, je t'apprendrai à m'enculer. Tu verras, ce sera plus plaisant pour toi la première fois si c'est moi plutôt qu'un adulte avec un gros membre.

— Tu t'es déjà fait sodomiser par une grosse bite?

— Oui j'ai un ami qui en a une belle. Maintenant qu'il m'a ouvert à son calibre, c'est bon mais au début j'ai dégusté.

— Il t'a forcé la première fois?

— Non, non, j'en avais trop envie. Il m'avait laissé mijoté, c'est moi qui l'ai supplié de me la mettre. Si tu veux, je te le présenterai. Mais en attendant je sens que tu as envie de goûter à ma bite.

Il me fit incliner devant lui, en m'accoudant sur le bureau. Les jambes écartées, les fesses cambrées je lui présentais au mieux mon cul. Passant ses doigts dans sa bouche à plusieurs reprises, il entreprit de m'humecter la rondelle. Quand il la sentit bien se dilater, il força le passage de mon anneau culien, faisant pénétrer d'abord une phalange, puis deux. Il remua alors son doigt dans la chaleur de mon cul me faisant émettre un petit gémissement de satisfaction. Devant ma réaction, il décida alors de tenter d'y mettre deux doigts... Je les sentis forcer ma rosette, une petite douleur envahit mon cul pour très vite se dissiper quand les deux doigts plongèrent dans mon trou offert et soumis...

Il les ressortit tout poisseux, contemplant un instant le trou béant entre mes fesses puis les replongea à nouveau dans mes entrailles. Il s'amusa ensuite à les faire coulisser, restant parfois de longues secondes enfoncés profondément dans mon cul, les faisant bouger. Ses deux doigts qui s'activaient ainsi en moi, se croisant, se décroisant, se pliant me caressant l'intérieur du cul m'excitaient énormément.

Enfin il présenta sa queue encore humide de ma salive devant mon petit trou. Je sentis le gland palpiter à l'entrée de mon intimité, mon sphincter s'ouvrant sous la pression de sa tige. Mon cul se dilatait pour absorber son membre au fur et à mesure de son avancée. Il fut bientôt totalement en moi, je sentais ses couilles s'écraser sur mes fesses C'est ainsi que pour la première fois de ma vie, mais pas la dernière, je me fis enculer. Il est vrai que depuis, j'ai connu des bites plus grosse que celle de Thierry à l'époque, mais pour une première, je la sentais passer. Cependant il était assez doué pour me faire aimer cela.

— Déjà la dernière demie journée de ce week-end.

— Heureusement, j'ai les bourses à sec. Tu m'as pompé toute ma sève.

— Ne crois pas cela. Tu as besoin d'un petit stimulant. Je connais un endroit qui devrait te redonner du tonus: le jeu de miroirs dans la chambre de mon père.

— Tu es fou! S'il nous surprend?

— Ton inquiétude mettra du piquant à la situation et moi cela me fait fantasmer l'idée qu'il puisse te voir en train de m'enculer dans sa chambre.

M'empoignant la queue, il me tira vers cette partie de la maison que je ne connaissais pas encore. Nous pénétrâmes dans une grande pièce dont toutes les parois et le plafond étaient recouverts de glaces. Thierry se retournant écrasa sa bouche contre la mienne, lâchant mon sexe il m'enlaça pendant que sa langue pénétrait à la recherche de la mienne. La vue de ces corps répétés à l'infini eut rapidement raison de mon abstinence, mes mains allèrent se poser sur ses fesses.

Sentant que j'avais repris de la vigueur, mon ami se mit à quatre pattes sur le tapis, frétillant du cul.

— Tu es une vraie chienne en chaleur.

— Oh oui! Fourre-moi ta bite dans mon petit trou, il est brûlant, il a besoin d'être arrosé. Allez mon petit pompier, enfile-moi ta lance d'arrosage.

Sa soumission provoquait en moi des pulsions de violence. Je lui passais autour du cou une ceinture qui traînait sur une chaise et lui administrais une fessée énergique avant de lui enfoncer brutalement mon glaive entre ses fesses chaudes de la correction.

Je sentis une main qui me palpait les fesses. Relevant la tête, je découvrais dans la glace le reflet du père de Thierry tout vêtu de noir, il était entré dans la pièce sans que je l'entende. Comme je cherchais à me redresser, me demandant comment j'allais me tirer de cette situation embarrassante, sa main accentua sa pression sur mes fesses pendant que l'autre venait appuyer ma nuque m'incitant à continuer mon va-et-vient. Je croisais le regard de Thierry dans la glace, il n'était pas surpris par cette intrusion, je commençais à comprendre ses allusions quand je craignais que son père ne nous surprenne. J'étais tombé dans un traquenard.

Portant sa main à sa braguette, son père fit jaillir une bonne grosse bite de mâle en rut. Sans me quitter des yeux, il commença à la branler, décalottant un gland turgescent brillant de la présence de présperme. La vue du reflet dans le miroir de cette énorme bite tout contre mes fesses me fascinait. J'étais hypnotisé par les mouvements de ce gros hochet. Passant devant, il présenta son vit devant le visage de son fils. Celui-ci ouvrit docilement la bouche et engloutit le gland. Son père, le laissant s'amuser avec, se pencha vers moi, et me susurra à l'oreille:

— Tu l'as vue cette belle queue? Je vais la fourrer dans ton joli petit cul bien étroit.

— Elle est bien trop grosse! Elle ne pourra pas entrer.

— Oh si! Dès que Thierry va l'avoir lubrifiée, je vais te l'enfiler toute entière. Il est sûr que tu vas la sentir passer mais mon gentil petit fiston m'a ouvert la voie, il ne me reste plus qu'à l'élargir à mon gabarit.

— Donne la lui à sucer papa, qu'il en sente bien toute l'ampleur. Il fait la fine bouche mais je suis sûr qu'il va en raffoler. Papa est un artiste du sexe, tu vas voir tout le plaisir qu'il sait donner avec son mandrin.

J'enfilais à fond ma queue dans le cul de mon ami et me pencher pour goûter celle de son père. Ce dernier me caressait la nuque m'encourageant à bien avaler son sexe pour bien l'humecter. Jugeant son état satisfaisant, il revint derrière moi, s'accroupit pour glisser sa langue entre mes fesses cherchant à préparer le terrain. Il poussa son exploration également vers mon sexe qui avait repris son mouvement dans l'anus de Thierry. Je m'immobilisai quand je sentis son gland contre mon orifice. M'empoignant fermement par les hanches, il commença à m'enfoncer son gourdin. Je sentais mon cul éclater, mes sphincters se dilataient pour laisser pénétrer l'intrus. Je poussai un cri de douleur, protestant vivement; je cherchais à lui échapper, mais il me maintenait fermement en place. Coincé entre son fils et lui, je ne pouvais me soustraire à sa volonté.

— Vas y, crie si cela peut t'aider à avaler le suppositoire; ça m'excite. Oh que c'est bon! Voilà bien longtemps que je n'avais pas pénétré dans un fourreau aussi serré. Même mon fiston avait trouvé le moyen de se faire éclater le cul avant que j'y touche.

Il sut me travailler le cul assez lentement pour que je finisse par prendre goût à cette pénétration et mes cris se transformèrent en gémissement de plaisir.

— Tu devrais aller tondre la pelouse Thierry pendant que je finis de défoncer le cul de Guillaume. Notre voisin est là. Vous allez lui offrir une représentation somptueuse. Te voir passer la tondeuse à poil lui fait déjà prendre son pied. Mais aujourd'hui, nous allons profiter de la présence de ton ami pour compléter notre spectacle et l'inciter à y participer.

Mon ami se libéra de mon étreinte, me laissant suspendu à la bite de son père. Pendant qu'il commençait à tondre, son père, tout en continuant son mouvement de va-et-vient dans mes entrailles, m'expliquait la situation:

— Un jour où Thierry se croyant seul, se baladait sur la pelouse la queue à l'air, il a découvert que le voisin le matait, caché derrière ses rideaux. Le mouvement régulier du rideau laissait supposer qu'il se branlait en le regardant. Depuis, on veille à alimenter régulièrement ses fantasmes en espérant le voir un jour passer à l'action. Cela ne te gêne pas d'aller lui montrer la disponibilité de Thierry et son ouverture d'esprit?

— L'ouverture de son cul plutôt!

— Tu as vu comme il est bon? Il faut que tu viennes passer les vacances avec nous. J'ai loué un studio avec une seule chambre mais un grand lit. On pourrait t'organiser un stage intensif avec mon fiston, tu verras on a beaucoup d'imagination quand il s'agit de baise.

Pendant que nous échangions ces propos, il finissait de décharger entre mes fesses.

— Allez, à toi d'entrer en scène. Va le rejoindre!

En sortant dans le jardin, je pris un râteau avec lequel je rassemblais l'herbe tondue. De temps en temps, je m'arrêtais pour me gratter les couilles. Passant à proximité de mon ami, je m'amusais à lui taquiner les fesses avec le bout du manche du râteau, il se cambrait me permettant de lui entrer le bout. Quand il eut finit de tondre, je lui taillai une pipe avant que l'on rentre rejoindre son père.

Ce soir-là, j'eus un peu de mal à les laisser, mais ma vie venait de prendre un grand tournant. Un jour, je vous raconterai peut-être nos vacances...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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