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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 13:34

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Dernier soir. Parrain repart demain. Repas normal, je monte vite dans ma chambre, mon plug me manque. Je m’installe sur le lit. La pommade a fait son effet. Ça démange depuis longtemps et j’ai qu’une envie: me défoncer le cul. J’introduis le bidule à parrain. Ce cône de métal rempli de plomb me fait toujours de l’effet. Je suis à quatre pattes et dès que je le rentre, mon cul est tiré vers le bas. La sensation est agréable. J’introduis les deux boules de pétanque et je m’apprête à rentrer le plug quand la porte de ma chambre s’ouvre! Ouf, c’est parrain. Il me dit d’arrêter. Il s’approche de mon cul et le regarde en détail.

Parrain me dit de ne pas bouger. Il sort et revient quelques secondes plus tard. Il me dit de regarder mon nouveau jouet. J’hallucine en voyant ce que tient parrain. C’est un plug mais il est monstrueux. Parrain me dit qu’il fait 11cm. Il n’y a pas plus gros. Je me demande comment un truc pareil va pouvoir entrer en moi. Parrain sort du gel et travaille mon cul avec ses doigts, d’une main, puis des deux. Il étire mon cul tout ce qu’il peut. Puis il me dit qu’il va me passer une pommade anesthésiante pour diminuer la douleur. C’est froid, et au bout de quelques minutes, effectivement, je ne ressens presque plus ses doigts. Je sens par contre qu’il force l’ouverture de mon cul. Il me dit de me lever et pose l’énorme plug par terre. Je me positionne pour m’asseoir dessus. Je ne le sens pas entrer. Parrain guide la manœuvre. Il me dit que si je force trop, je risque de me déchirer. Je lui demande les conséquences. Parrain me dit que ça va saigner un peu mais que si je me déchire et que je garde le plug suffisamment longtemps, par contre, ça cicatrisera mais en laissant l’ouverture. Je force comme un malade mais le plug n'entre visiblement pas. Parrain me demande si je suis sûr de vouloir avoir le cul déformé à vie. Je lui dis que oui, que je veux que mon cul soit une chatte ouverte à toute bite. Parce que je suis une chienne, un trou à bite permanent lui dis-je. Parrain place ses mains sur mes épaules et appuie. Je sens que je descends et que le plug entre, lentement. Je ne ressens pas de douleur mais je suis sûr que mon cul est ouvert comme jamais. L’impression est bizarre. Je descends toujours lentement, puis je sens que mon cul se resserre et je suis assis par terre.

Parrain me dit qu’il est en place. Je me relève comme je peux. Pas de douleur, mais difficile de bouger avec un truc pareil. Parrain me demande comment ça va. Bien je lui dis. Je me mets à genoux devant lui. Parrain me demande ce que je veux. "Que tu me baises la bouche!" je lui réponds. Parrain sort sa bite et elle est bien dure. Il me prend par les cheveux et me baise la bouche. Il entre tellement profondément que j’ai des hauts-le-cœur mais ça me plaît. Il me bloque contre lui. Je sens sa bite dans ma gorge et il jouit. Je n’arrive pas à respirer. Il ressort sa bite. Je l’essore jusqu’à la dernière goutte. Parrain me dit de ne pas avaler, de me coucher la bouche pleine. Et si je peux, de garder le plug le plus longtemps possible.

Je me couche et je m’endors.

Au réveil, curieusement, je ne sens pas de gêne malgré le plug monstrueux planté en moi. Par contre, quand je bouge, je sens que ça m’excite. Je bouge d’avant en arrière, pas trop vite, et le plaisir monte de plus en plus.

Parrain vient d'entrer dans ma chambre. Je suis tellement occupé à me branler mon cul-chatte que je ne l’ai pas entendu entrer. Parrain me demande ce que je fais. Je lui dis que de bouger, ça m’excite de plus en plus. Parrain se positionne au dessus de moi et me donne sa bite à sucer. Je continue à bouger, et je sens que je vais jouir. Je ralentis le rythme, j’ai envie de jouir quand parrain déchargera dans ma bouche. Parrain se crispe et sa semence remplit ma bouche. J’accélère mes coups de bassin et je jouis, la bouche ouverte remplie de sperme.

Parrain me dit qu’il part et que l’on se revoit dans une semaine à Paris. J’avale son sperme et reprends sa bite dans ma bouche. Parrain me demande ce qui m’arrive. Je lui dis que je dis au revoir à sa bite. Il me dit que je suis vraiment un vide-couilles exceptionnel et qu’à Paris, dès mon arrivé, je ne vais voir que de la bite, nuit et jour. Je lui dis que ça me tarde. Puis il sort.

J’enfile un pyjama, sors de sa cachette le bidule en plomb offert par parrain, la crème anesthésiante et vais à la salle de bains. Je me positionne au-dessus de la baignoire et sors le plug doucement. Il m’écartèle en sortant, mais la sensation me fait bander. Je lave bien l’intérieur de ma chatte. Puis j’introduis le bidule de parrain, un cône arrondi en inox rempli de plomb. Sauf qu’il ne tient plus et retombe à grand bruit dans la baignoire. Je change de tactique. Je frotte mon cul que je sens bien ouvert avec la crème anesthésiante, positionne le plug toujours aussi monstrueux au fond de la baignoire, entre le bidule et me positionne sur le plug. Avec la pommade anesthésiante, je ne ressens rien ou presque. Je descends sur le plug. Mais il a du mal à rentrer. Je soulève mes jambes et me tiens par les bras aux rebords de la baignoire.

Je sens que je descends. Je me laisse tomber sur le plug. La descente continue et de par la position, je sens que ça m’excite. Puis, d’un coup je suis assis au fond de la baignoire. Le plug est donc rentré. Je passe ma main pour vérifier s’il est bien entré et je vois du sang sur ma main. J’ai dû me déchirer un peu. Je rince avec la douche. Mais ça saigne toujours un peu. Je sors de la baignoire et prends la crème que papa utilise quand il se taille en se rasant. Vu que je ne vois pas d’où ça saigne, j’enduis tout le tour. Ça a l’air de marcher. Je remets le pantalon de pyjama et vais dans ma chambre.

Je décide de mettre un slip avec du papier pour éviter les taches de sang. Ma bite est sensible. Je la masse avec la pommade anesthésiante. Au bout de deux minutes, je ne ressens rien par ma bite. Par contre, si je bouge le bassin, ça m’excite. Je suis ravi. Tout par mon cul-chatte. Je finis de m’habiller et par au lycée.

La journée se passe dans le calme. Marc est toujours à l’hosto, on n’a pas beaucoup de nouvelles. Je ne croise ni mes jeunes de la cité, ni le terminale. En cours, par deux fois je me fais jouir en bougeant sur ma chaise. Heureusement que j’ai bourré mon slip de papier. À midi, ça me fait un peu mal et je m’enferme dans les toilettes pour repasser la pommade anesthésiante sur mon cul et ma bite. Il me tarde de voir mon homme ce soir.

J’arrive au Cours Dillon. Mon homme est sur le banc. Je m’assois à côté de lui. Il me demande de lui raconter mes aventures depuis que je l’ai vu. Je lui raconte. Je lui décris le plug monstrueux et le bidule. Il me demande ce que je ressens. Je lui dis que j’ai l’impression que mon cul est énorme, complètement ouvert, et tiré vers le bas. Que j’espère que ça va le déformer en belle chatte bien ouverte. Mon homme me demande de lui montrer. Je vais pour me lever et descendre vers la Garonne, mais il me dit non. Là. Il veut que je lui montre là. Avec les voitures qui passent, à la vue de tout le monde. Il me dit que maintenant, je dois m’assumer. Totalement. Je défais mon jeans, le tombe à mes chevilles, mon slip suis le même chemin. Je les retire et les jettent sur le banc. Mon homme roule mon jeans et le garde à côté de lui. Je m’accroupis et tire sur la base du plug. Il sort lentement, puis d’un coup. Le bidule tombe sur le sol. Je me relève, me retourne, me penche en avant et écarte les fesses.

Mon homme me dit que ce n’est effectivement plus un cul mais une chatte béante. Il défait sa braguette et sort sa bite. Il me demande de ramasser le plug et le bidule, qu’il coince dans mon jeans roulé et de venir m’asseoir sur sa bite. Je descends lentement. Sa bite est positionnée devant mon trou. Je descends et elle entre sans forcer. La sensation est étrange pour moi. Je m’assois sur lui. On ne bouge plus. On reste comme ça pendant quelques minutes. Puis il me dit de me relever et de descendre vers la Garonne. Je m’exécute. Je descends l’escalier. En bas, il y a le groupe de clochards. Je regarde mon homme, toujours assis. Il me demande ce que je vais faire. Je lui réponds que je vais me faire bourrer la chatte par les clochards, puis par les chiens et par tout ce que l’on voudra fourrer dans ma chatte parce que je suis un trou à bite permanent.

Je descends l’escalier. Arrivé en bas, je me mets devant les clodos à quatre pattes. J’écarte mes fesses et leur hurle de venir me sauter. Ils ne se font pas prier, ils commencent à reconnaître la jeune salope qui vient se faire baiser et me baisent. Je n’ai plus les mêmes sensations. Je sens les bites qui glissent sur les lèvres de ma chatte et le sperme qui coule le long de mes cuisses. Ils sont incroyablement rapides. Pour être franc, je n’ai vraiment pas eu ma dose et je veux jouir. Mon homme est descendu. Il tient dans une main mon plug. Il s’approche de moi. Mais au lieu de m’enculer, il positionne sa main devant mon trou. Il me demande ce que je suis:

— Un vide-couilles permanentm ouvert à toute bite, je lui dis.

Il me dit:

— Que les bites?

Je lui dis non, tout ce qui peut me faire jouir peut exploser ma chatte. Il me dit qu’il va voir si je suis une vraie salope soumise, qu’il veut entrer sa main dans mon cul, d’un seul coup, mais que c’est à moi à m’empaler sur sa main. Je recule sur sa main. Ça force, ça tire. Je pousse de toutes mes forces et je sens sa main qui est aspirée dans mon cul. Finalement, ça n’a pas fait si mal que ça. Il me demande de me relever. Pas évident mais j’y arrive et il me dit que l’on va se promener comme ça. Et j’avance, sa main plantée dans mon cul.

On avance ainsi le long de la Garonne. Un mec nous regarde arriver en se branlant. Je tente de me diriger vers lui mais mon homme a toujours sa main dans mon cul. Il me demande ce que je veux faire. Je lui dis que j’ai envie de sucer. On va vers le mec qui se branle. Je m’approche de lui, me penche et prends sa bite dans ma bouche. Il jouit presque immédiatement. Je garde la bouche pleine, mais il part de suite. Je garde la bouche pleine. Mon homme pousse sa main en moi et je me redresse à peu près et on avance. On se retrouve en bas de l’escalier. Les clochards sont toujours là. L’un demande à mon homme s’il promène sa chienne. Il lui dit que oui. Il demande s’il peut encore m’enculer. Mon homme lui dit que mon cul est pris mais que ma bouche est vide. J’ai encore le sperme dans la bouche. Le clochard me demande d’ouvrir la boucle. J’ouvre. Il gueule:

— Putain, elle est pleine de foutre!

Je le fixe, ferme la bouche, avale, re-ouvre en grand. Il dit que c’est bien, je suis propre, j’avale. Il sort sa bite et me dis de l’éponger. Je me penche, le suce. Sa bite pue mais curieusement, ça m’excite. Mon homme bouge sa main dans mon cul et m’impose le rythme. Mon homme accélère et je sens sa main qui sort et entre dans mon cul. Le clochard me bloque la tête, et jouit. Il me dit qu’il veut sa bite bien propre. J’avale et je l’essore complètement. Sa bite ramollie, elle sort de ma bouche bien propre. Mon homme entre sa main d’un coup dans mon cul et me dit d’avancer.

On monte l’escalier. Arrivé devant le banc, mon homme positionne le plug sur le banc. Il sort sa main, rentre le bidule dans mon cul et me dit de m’asseoir sur le plug. Je retiens avec ma main le bidule et me positionne sur le plug. Mon homme passe derrière moi, met ses mains sur mes épaules et appuie de tout son poids. Le plug entre d’un coup. Je me sens déchiré, ça fait mal et je gémis. Mon homme me dit à l’oreille:

— Tu es un vide-couilles. Ton cul n’est qu’un trou. Tu veux qu’il devienne une chatte, il va le devenir. Il ne se refermera jamais et tu pourras te faire défoncer par n’importe quelle bite, n’importe quand, sans aucune préparation. Ça sera une chatte affamée de bite. Je sais que je viens de te déchirer. On va passer chez moi et Auguste va cautériser ça. La douleur se calme un peu mais ça fait mal et je sens que je saigne. Mon homme me fait me lever. Il y a du sang sur le banc. Il enlève son pull, l’attache autour de ma taille, et me dis qu’on va chez lui. Ma démarche doit être bizarre. Ça fait mal à chaque pas et je sens que le sang coule sur les cuisses. Il y a peu de monde dans les rues, et son appart est proche.

Arrivé chez lui, il m’emmène dans la salle de bain. Je m’assois sur le rebord de la baignoire. Il part, je l’entends téléphoner. Puis il revient. Il se met devant moi et sort sa bite. J’avance la tête pour le sucer. Il me bloque et me dit:

— Tu vois, tu n’es qu’un vide-couilles. Malgré la douleur, tu n’as qu’une envie, c’est de bouffer de la bite.

J’avance ma tête et le suce. Il a raison. Je suis un vide-couilles, un trou à bites. Mon homme n’a pas joui quand Auguste arrive. Il me fait mettre à quatre pattes. Il me dit qu’une chienne doit savoir souffrir pour être belle, prend la base du plug et le tire fortement. Le plug sort d’un coup. Auguste écarte mes fesses et me demande ce que je suis et ce que je veux. Je lui dis:

— Je suis un vide-couilles. Mon cul doit être un trou à bite toujours ouvert, toujours disponible à n’importe quelle bite sans aucune préparation 24h sur 24.

Auguste me demande s’il peut m’enculer. Je lui réponds que mon cul est là pour recevoir sa bite, il n’a pas à demander. Auguste me demande si je veux une chatte et non un cul.

— Une chatte toujours ouverte, je lui dis.

Mon homme vient devant moi et me tient pas les épaules. Auguste positionne le plug et le rentre d’un coup, puis le ressort et me branle violemment avec. La douleur est violente mais je ne dis rien. Puis il dit à mon homme de venir. Il sort le plug. Mon homme positionne ses deux mains à plat l’une contre l’autre, et les rentrent dans mon cul. Auguste lui fait alors écarter doucement les mains. Ma tête est posée sur le carrelage. La douleur se calme. Il écarte de plus en plus. La douleur devient de plus en plus violente. Auguste lui dit de ne plus bouger. Il défait un flacon et passe un coton sur mon cul. Je sursaute tellement que ça fait mal. Ça brûle comme jamais. Auguste me dit que mon cul s’est un peu déchiré et qu’il cautérise la plaie pour ne pas qu’elle cicatrise. Mon cul n’est plus un cul. Il ne peu plus se refermer. Ma chatte vient de naître.

À suivre...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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