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Jeudi 9 août 4 09 /08 /Août 19:39

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Nous sommes en hiver 2010. Mon nom est John et j’ai 35 ans. Ma vie a basculée en juin 2000 lorsque j’ai fait la connaissance d’un homme pervers et de son fils. Avant cet événement, j’étais l’homme parfait, le mari parfait, un père parfait pour un enfant de quatre ans. Un passé et un présent exemplaire… jusqu’à ce que je baise le p’tit Jim, 15 ans, et que je devienne tout aussi accroc et vicieux que son père. Pendant les trois années suivantes, j’ai continué ces soirées immorales, comme on les nommait, jusqu’à ce que Jim soit devenu majeur et que, soudain, son père n’entende plus parler de lui. Ensuite, j’ai perdu ces habitudes de baiser les garçons. Mais, pendant ce même temps, ma femme a décidé de divorcer, sachant fort bien que j’avais une liaison avec quelqu’un d’autre, sans savoir qui c’était. Elle a pris mon fils, Étienne, alors âgé de six ans, et est parti vivre en Europe avec sa famille en compagnie de son nouveau mari.

Je ne les ais plus revu... Puis, en été 2009, mon ex m’a fait une visite surprise. Elle m’appelle un jour pour me dire:

— John! Dieu merci, je dois te parler!

— Qu’est-ce qui se passe?!

— C’est Étienne! Ce petit idiot d'adolescent et ne m’écoute plus! J’en ai ras-le-bol de ses éternelles crises de larme et de solitude!

— Mais c’est ton problème, ma chère! C’est toi qui a tenu à l’avoir à toi toute seule quand il avait six ans et que tu es partie en France, sans t’occuper à savoir si mon fils allait me manquer!

— «Notre» fils, je te corrige! Bah, et puis, à quoi bon! Il est le portrait craché de son père! Maintenant, si tu veux bien, je te rends «ton» fils! Il n’arrête pas de dire qu’il veut aller retourner vivre avec son père donc je te le remmène!

— T’es pas sérieuse?!

— TRÈS! Mais t’inquiète, je vais tout m’arranger pour qu’il puisse revenir vivre au Québec. Mon mari est bon dans ces trucs, donc t’auras pas à t’occuper de tout ça! Je te demande juste une chose: tu prends ton fils et tu t’en occupes!

J’étais bouche bée! Mais bon… pas très surpris! Mon fils est arrivé quelques temps plus tard, juste avant de commencer l’école secondaire. Ouf! Quelle claque j’ai eu en le voyant! La dernière photo que j’avais eue de lui, il avait dix ans. Maintenant, à 13 ans, il n’est plus tout à fait un enfant! Enfin, il a un visage d’enfant, dans un sens, avec des traits plus vieux et… qu’est-ce qu’il a grandi! Il m’arrive déjà au menton, moi qui suis grand! Après quelques jours, je remarque que mon ex m’a menti ou me connaissait mal! Mon fils ne me ressemble pas du tout, mais présente des signes de solitude exagéré: j’ai toujours été plus social, et lui sort rarement de sa chambre, toujours devant son ordinateur, ne fait pas de sport… Enfin, je crois que la vraie raison était qu’il lui rappelait trop, à elle, qui je suis. Alors tant pis pour elle, c’est moi qui aurai la chance de l’élever et d’en faire un parfait petit mini-moi! Ce fût plus facile que je croyais: après un temps, il se tenait toujours avec moi, s’intéressait à ce que je faisais. En plus qu’il soit solitaire, j’ai remarqué aussi qu’il était extrêmement timide.

Un matin, alors que je me branlais dans le lit, mes mains bien glissantes sur mon membre juteux de précum, Étienne est entré dans la chambre sans cogner. Surpris, j’ai mis les couvertures. Encore plus surprenant, il m’a demandé ce que je faisais! Le pauvre, à 13 ans, il ne savait rien du sexe, même pas de la masturbation! Il disait que sa famille en France lui avait appris que ce n’était pas bien, que s’il se réveillait un matin avec du sperme dans son lit, c’est que le Diable était venu lui rendre visite… Ah, les conservateurs religieux… Je suis moi-même croyant mais bon, je reste réaliste!

Puis, je me suis rappelé que mon fils allait bientôt avoir 14 ans, en février prochain. Je repensais déjà au p’tit Jim, dépucelé par son père le jour de ses 14 ans. Soudain, des idées très vicieuses me sont venues en tête et je savais que je tenais de quoi pour apprendre à mon fils des trucs pervers qu’il adorera!

Le premier soir

Nous nous retrouvons donc en février 2010. Nous revenons d’une fête dans la famille, chez mes parents. Il est 21h.

— Bonne fête encore, fiston! T’es content de ta soirée?

— Oui!

Je le sers dans mes bras et je lui donne en cadeau un lecteur CD. Il est tout content et va essayer sa musique sans revenir de sa chambre. Depuis, j’avais un peu oublié toutes les perversités qui m’étaient venues en tête quelques mois auparavant. Après avoir fait du ménage et regardé la télévision une heure, je vais dans ma chambre, sur mon ordinateur, pour voir mes e-mails. Je ne sais pas comment ça se produit, mais par erreur, je clique sur le dossier d’e-mails où je gardais mes anciennes correspondances avec le père du p’tit Jim.

Le lien fatal me revient… les 14 ans du p’tit Jim dépucelé par son père… et maintenant mon propre fils qui a le même âge…

Comme possédé et tremblant, je me dirige vers la chambre de mon fils et j’ouvre la porte. Je le vois étendu dans son lit, en train de dormir… Et quand il dort, il dort dur! Je m’approche pour lui mettre les couvertures du lit bien confortablement sur lui et je me penche pour lui donner un bec sur le front.

Alors que je commençais tout juste à avoir un certain regret d’être si pervers, de bander pour mon fils adolescent, je vois sa belle bouche entrouverte, avec des lèvres rouges et pulpeuses, sa langue toute mignonne et humide à l’intérieur. L’érection que je perdais quelques secondes plus tôt, de par mon regret, me revient plus fort que jamais. Je commence à me caresser la bosse et j’avance mes lèvres de celles de mon fils pour lui faire un bec, puis un deuxième. J’ose sortir la langue et lui lécher la bouche doucement…

Étienne ne réagit pas du tout. Parfait! Il a le sommeil profond. Doucement, j'enlève les couvertures de sur son corps mince et imberbe. Je caresse de mes mains masculines son torse frêle, son sexe par-dessus son sous-vêtement, le creux de ses cuisses où repose sûrement un beau petit anus vierge, ses jambes et finalement ses pieds, encore recouverts de ses bas. Je les retire pour voir de beaux petits pieds mignons tout propres et je me mets à les lécher sans me retenir. Pendant que ma langue parcours la plante du pied et que ma bouche suce ses orteils, je sors ma queue de mon jeans et je commence à me branler. Puis, avec le gland tout humide de précum, je frotte mon membre sensible sur son pied dont la peau est très douce, me donnant des frissons dans tout le corps avec ces sensations extra.

Je remonte tout doucement et je soulève son sous-vêtement. Son pénis d’ados repose en dessous, d’une grosseur normale pour son âge. Ce n’est pas la partie de son corps qui m’intéresse le plus, mais puisque ma langue est vicieuse ce soir, elle ose tout de même lécher le propre sexe de mon fiston. Puis, ma bouche l’englobe au complet et je le suce, dans le but de lui donner une érection, ce qui ne tarde pas. Je le suce encore un moment, mais puisque ce n’est pas mon genre, je ne fais que le branler pendant que je lui suce un mamelon, puis l’autre.

Bientôt, son pénis durcit un peu plus dans mes mains et se met à jouir alors qu'il dort encore profondément, chose que je ne croyais pas possible. Je remets le sous-vêtement par-dessus et j’attends voir. Il ne réagit pas plus pendant que le tissu s'imbibe de son jeune sperme. Ma propre queue est bandée à fond. Il faudrait bien que je m'en occupe... Doucement, j’approche le gland de la bouche de mon fiston. J’étale le précum sur ses douces lèvres puis j’ose entrer un peu mon membre à l’intérieur.

Mmmm… quelle sensation, quelle perversité… Je fais quelques va-et-vient secrètement dans sa bouche tandis que je masturbe la hampe de ma main. Lorsque je suis sur le bord de jouir, dans un acte blasphématoire intense, je me retire vivement et j’éclabousse tout son beau corps de garçon mignon, en retenant mes cris. Voilà mon propre garçon tout souillé du sperme de son papa. Sans essuyer son corps pervertis, je remets les draps sur lui et je vais prendre ma douche avant de dormir paisiblement.

Le deuxième soir

Le lendemain, Étienne ne me reparle pas de la nuit passée, ni de toutes ces taches de sperme sur son corps. La journée se passe bien. Le soir venu, ma queue est déjà toute en érection à l’idée de recommencer. Mais, cette fois, je veux qu’Étienne participe volontairement à cette séance.

Alors qu’il va se coucher, après s’être lavé, je vais le voir dans sa chambre et je m'assois sur le lit pour avoir une discussion de père et fils.

— Étienne, tu te rappelles quand tu es entré dans ma chambre, un matin, et que tu as vu que je touchais mon pénis?

— Oui.

— Tu sais, ça me faisait beaucoup de bien. C’est comme ça que le sperme sort, comme ce qui t’arrive quand tu dors.

— Maman me disait que c’était juste pour faire des bébés.

— Oui, bien sûr! La toute première fonction du sperme, c’est de faire des bébés! Mais, tu sais, faire sortir le sperme de notre pénis c’est aussi un besoin. Tu sais très bien que manger c’est un besoin important pour rester en vie et être heureux, hein?

— Oui.

— Bien, c’est pareil avec la masturbation. C’est quand on touche notre pénis pour faire sortir le sperme. C’est un besoin tout aussi important que de manger et de dormir!

— Est-ce qu’il faut le faire souvent?

— Ça dépend. Il y a des hommes qui le font pas souvent, et d’autres très souvent, car ils aiment ça. Et quand tu ne le fais pas, le corps trouve le moyen de le faire sortir lui-même, comme quand tu te réveilles le matin et que tu vois que c’est sorti pendant la nuit. Tu comprends?

— Oui.

— Maintenant, tu sais aussi que pour faire des bébés, l’homme doit être avec une femme, n’est-ce pas?

— Oui, maman m’a dit.

— Très bien. Maintenant, ce qu’elle ne t’a pas dit, et qu’il est bon que tu saches, c’est aussi que les hommes peuvent satisfaire leurs besoins sexuels seuls, mais aussi avec d’autres femmes, d’autres hommes, et même des garçons comme toi!

— Ah oui?!

Étienne démontre un intérêt fort intéressant pour ce que je viens de dire.

— Oui, s’ils le veulent! Moi, je ne suis pas quelqu’un qui peut aider un autre homme ou un autre garçon comme toi.

— Comment ça?

— Parce que moi, je préfère qu’on m’aide. Je n’aime pas toucher les autres pénis car je préfère toucher le sexe des femmes, mais j’aime bien qu’on touche le mien, que ce soit aussi par un garçon. Tu comprends?

— Je crois.

— Mettons que je te demande de m’aider… tu voudrais, si je te montre?

— Oui! Beaucoup! Je crois!

— Mais si moi je ne peux pas t’aider, ça te dérangerait?

— Oh non, pas du tout! Je n’ai pas envie que tu vois mon pénis, je serais trop gêné. Et si je veux me toucher, je le ferai moi-même. Mais j’aimerais bien t’aider.

S’il savait ce que j’ai fais, la veille, avec son pénis tout pudique… Mais bon, maintenant je l’ai de mon côté. Il ne me reste qu’à l’emmener à l’action! Je sais qu’il adorera!

— Tu voudrais m’aider ce soir? Je suis sûr que tu aimerais ça.

— Oh oui!

— Tu n’es pas trop fatigué?

— Non! Allez, commençons!

Il me fait rire!

— Ok, Étienne. Alors… commençons par ceci. Moi je reste debout, et toi, sur ton lit, viens près de moi, à genoux. Devant moi.

Il obéit à tout ce que je demande, il fait confiance à son papa après tout.

— Très bien. Maintenant, touche la bosse par-dessus mon pantalon. Oui, comme ça. Ça va, jusqu’à présent? Tu es à l’aise?

— Oui. Ensuite, je fais quoi?

— Détache mon pantalon.

De ses belles petites mains d’ados, il détache maladroitement le bouton de mon jeans, puis dézippe le devant.

— Très bien. Touche maintenant à mon sous-vêtement. Tu sens la bosse?

— Oui. C’est chaud et ça l’air gros.

— C’est normal, je suis plus vieux. Tu veux voir ce qu’il y a en dessous?

Il me sourit et rougit:

— Oui, montre-moi.

— C’est toi qui vas aller voir. Baisse mon sous-vêtement.

Il s’exécute. Ma queue en érection, grosse et mesurant sept pouces et demie, lui saute presque à la figure.

— Woah! Ton pénis est vraiment gros!

— Tu l’aimes?

— Oui, il est beau!

— Il a aimé que tu le touches, c’est pour ça qu’il a grossit. Touche-le encore…

Il prend ma queue dans ses deux mains et l’entoure en la regardant attentivement. De mes mains, je lui montre comment faire un va-et-vient avec ma hampe, puis je le laisse faire.

— Fais coulisser la peau sur le gland. Oui, comme ça…

— Je fais bien?

— Oui très bien… Mais tu voudrais faire encore mieux?

— Oui!

— Alors… lèche le gland.

Il fait une drôle de face, puis me demande:

— T’es sûr? Mais c’est pas propre!

— Mais si, c’est propre. Pourquoi tu dis ça?

— Maman dit que c’est pas propre.

— Ta maman n’a pas de pénis et moi si. Alors je sais mieux qu’elle, tu ne crois pas?

— Oui, dit-il en souriant.

Puis, il sort la langue et va lécher mon gland comme un petit chaton. Woah… c’est super… Il y a longtemps la dernière fois, et que ce soit mon propre fils qui le fasse, ça m’excite encore plus.

— Tu vois, c’est pas sale.

— Non, et c’est tout doux.

Une goutte de précum sort. De mon doigt, je la recueille et vais la porter à la bouche de mon fils.

— Ouvre.

— C’est quoi? De l’urine?

— Mais non! Tu vas voir, c’est bon…

Sans attendre sa réaction, je mets le doigt entre ses lèvres et il suce doucement pour goûter à mon miel.

— Mmm… c’est salé.

— Tu aimes?

— Oui!

— Si tu veux, tu peux sucer mon pénis, comme tu viens de faire avec mon doigt, au lieu de le lécher.

— C’est gros.

— Mais ça va entrer dans ta bouche, tu vas voir. C’est comme un gros bonbon… Tu le suceras sans toucher de tes dents, ok? Parce que ça peut me faire mal.

— Ok.

Il avance sa tête et met mon gland entre ses lèvres chaudes et douces. Tout de suite, il commence une succion bien agréable. De ma main gauche, je lui caresse la tête, pendant que je masturbe la hampe de ma main droite.

— Mmmm c’est bon, mon cœur. Va un peu plus loin dans ta bouche… Oui… Oui, voilà, continue, suce moi bien… Ah tu es très doué, mon chéri.

Il me regarde de ses yeux d’ange pendant qu’il me suce, pour voir s’il me satisfait. Mes encouragements le rendent heureux. Il est vraiment content de faire plaisir à son papa. Sa bouche est délicieuse sur mon gland, prêt à exploser.

— Je t’aime mon cœur…

En réponse, il me suce d’avantage, m’emmenant doucement vers la jouissance. Égoïstement, ne pensant qu’à mon plaisir, je lui prends soudainement la tête entre mes deux mains et je pousse ma queue dans sa gorge, ce qui lui fait lever le cœur momentanément. Je ne voudrais pas qu’il soit malade, mais je tenais vraiment à ce que ma queue s’enfonce dans sa gorge, me donnant des sensations extra…

— Pardonne-moi, chéri.

Il me fait un sourire gêné avant de lécher la hampe puis le gland encore, pendant que je me masturbe.

— Mon chéri… Tu veux goûter à mon lait?

— Hein?

— Ouvre ta bouche mon amour…

Sans attendre, il ouvre les lèvres, juste à temps pour le premier jet de sperme qui vient heurter le fond de sa gorge, puis un deuxième, et un troisième qui noient sa jeune langue. Il en avale quelques gorgées pendant que le reste coule sur son menton. Pendant cette grosse jouissance, je perds la tête. Je repousse Étienne sur son dos et je relève ses jambes en lui tenant les chevilles d’une main. De l’autre, je guide ma queue sur son trou imberbe et tout offert. Les dernières gouttes de sperme le mouille pendant que je force l’entrée intime avec mon gland, encore très dur.

— Aaahh papa!

— Tu vas voir fiston…

— Non papa, j’ai peur!

— Arrête, tu vas voir, c’est merveilleux…

— Papa…

Je ne réussis pas à entrer le gland, mais je mets un doigt et, aidé du sperme, celui-ci entre. Je fais un va-et-vient, puis fais la même chose avec deux doigts.

— Mon p’tit chéri, tu voudras pu que j’arrête, tu vas aimer, ma p’tite salope…

— Mmmmm…

Il commence à gémir: bon départ! Je ne pensais pas me rendre si facilement jusque là… Après trois doigts dans son trou et quelques dizaines de minutes de préparation, je mets mon gland sur sa chatte d’amour. Je pousse, encore et encore… En quelques minutes, je me retrouve presque tout en lui.

— Tu aimes, mon chéri?

— Oh papa oui…

Je commence un va-et-vient dans son petit trou tout ouvert pour moi, pendant que je lui lèches les pieds, ses mollets, et que je lui caresse le torse. Son petit corps est à moi! Ma queue le prend de toute sa longueur et de toute sa grosseur maintenant, pendant que mes couilles lui frappent le cul.

— Han! Han! Ah c’est bon! Prends tout en toi mon amour! Aahh ma pute! Han!

Il ne semble pas savoir ce que veux dire «pute» mais ce n’est pas encore nécessaire pour le moment. Le contraste de son petit corps et du mien qui est musclé et plus grand me fait jouir plus rapidement que je l’ai cru. Je me mets à éjaculer dans son cul chaud, je le souille intérieurement, tout en hurlant mon bonheur. Puis, je me retire et penche mon visage entre ses belles fesses. Sa chatte est toute humide, rougie par mon passage, et bien ouverte. Ma langue se met à le lécher abondamment pendant qu’il gémit encore plus.

— Oh papa, oh! C’est bon!

Ses jambes qui sont remontés sur mes épaules et mon dos bougent de plaisir. Finalement, je me mets à sa hauteur et l’embrasse d’un french kiss pervers.

— Tu as aimé, mon chéri?

— Oh oui papa, je suis tout étourdi…

— Mmmm c’est bien…

Car c’est loin d’être fini!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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