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Mardi 18 septembre 2 18 /09 /Sep 10:38

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— Tonton, tu veux pas me sucer? me quémande-t-il.

Je craque devant son air implorant et surtout devant sa belle queue dressée. Tant pis, je vais attendre mon tour. J'enfourne sa tige au plus profond, à la limite de l'écoeurement. À entendre ses gémissements immédiats, ça lui fait de l'effet, d'ailleurs je n'ai même pas le temps d'attendre, sa bite durcit encore et ses abdos se contractent, qu'il m'éjacule dans la bouche. Il s'abat en arrière sur le dos en me disant qu'il est vidé dans tous les sens du terme. Je lui montre ma bite qui espère toujours qu'on lui prête attention. Il me fait un sourire charmeur et me dit:

— Tu m'excuses mais j'en peux plus. Si tu veux te branler, je vais te regarder.

Je suis déçu de m'être fait avoir par un petit jeune, mais il fallait s'y attendre. Je commence à m'astiquer en le caressant, ce qu'il accepte, mais ne semble guère le concerner car il somnole déjà. Je laisse tomber et mes souvenirs m'envahissent, je me revois lors de ma première fois avec Andrew.

J'avais 18 ans moi aussi, j'étais parti aux États-Unis pour un stage linguistique. Manque de bol à mon arrivée, la famille d'accueil prévue avait fait faux bond. Le professeur responsable, Andrew N., avait dû me recevoir à l'improviste. Chargé de tout un département de son établissement, c'était un notable de la ville, président d'un club de sport. Il avait, comme moi maintenant, 45 ans. Marié, père de quatre filles dont une de mon âge. Il représentait l'Américain typique: blond, grand, bien bâti, homme décidé, aux mâchoires carrées, allant à la messe tous les dimanches.

Je pris l'une des chambres des filles et me pliai facilement à leurs habitudes. La prière avant les repas, l'hygiène au maximum, la vie saine avec du sport le week-end, bref un mois de vie très différente de ce que je connaissais en France. Très vite, je me pris d'admiration pour Andrew et commençai à être attiré par son magnétisme. Inconsciemment au début puis de manière plus résolue ensuite, je me mis à le draguer, d'abord par des postures et un intérêt soutenu par tout ce qu'il disait puis par des gestes de plus en plus provocants. Par exemple, un jour que nous revenions d'avoir couru, je pris ma douche après lui en veillant à ce qu'il voit que je bandais. Une autre fois qu'il était venu dans ma chambre, je restai allongé sur le lit en remontant une jambe, laissant voir sous mon short très échancré - je faisais exprès en plus de ne pas porter de slip - mon sexe.

Quand il m'apprit des rudiments de golf et de base-ball, je le laissai me prendre en main littéralement, quitte à le solliciter. Le sentir contre moi m'électrisait. Mais j'avais gardé le meilleur pour la fin, j'avais réussi à ramener dans mes bagages un magazine porno gay en prévision de branlettes si cela devait s'avérer nécessaire. Un autre soir qu'il était venu dans ma chambre, je surjouai celui qui s'est fait découvrir et, de manière complètement voyante, je cachai le magazine sous mon oreiller en réussissant à rougir...

Peu de temps après, Andrew devait m'emmener à un rassemblement des Français venus comme moi en stage. Même si je ne connaissais pas la route, je compris qu'on s'éloignait de la destination prévue. De plus, Andrew restait muet. À un moment, il prit un petit chemin, puis un autre et nous arrivâmes dans la clairière d'une forêt. Je me dis que cela allait être la loterie, soit je me faisais jeter pour mon comportement, soit...

Andrew souleva son pull et sortit mon magazine qu'il avait calé sous sa ceinture. Il me demanda si je comprenais de quoi il s'agissait. Pour une fois, je ne fis pas l'ingénu, je lui dis que j'avais des envies et que cela me faisait du bien. Je tournai les pages et lui expliquai que tel mec en photo me plaisait, tel récit m'excitait. Il m'écoutait bouche bée.

Je décidai alors de passer à l'attaque et lui passai la main sur le paquet en me disant, s'il me file une claque, vu sa force, je suis mort. Mais je constatai qu'il bandait, que c'était un beau morceau et qu'il ne réagissait pas. Je m'enhardis et ouvris sa braguette. Alors, il commença à m'aider et défit sa ceinture, je découvris sous son caleçon blanc immaculé XXL qui lui descendait quasiment jusqu'aux genoux l'objet de mon attention; et quel objet! Il était doté d'une énorme bite qui grossissait à vue d'oeil, à la fois longue et épaisse. Je m'empressai de la mettre dans ma bouche mais je n'arrivais même pas à tourner la langue autour du gland. Toujours est-il que je me mis à le lécher et que très vite il jouit, en saccades abondantes d'un sperme épais et très blanc. Il semblait catastrophé, il avait tâché ses vêtements, et surtout répétait sans cesse que c'était mal. J'étais ravi.

Il finit par me conduire au rassemblement et nous nous retrouvâmes le soir dans la famille. Il me glissa à un moment qu'il viendrait me voir. J'attendis après être couché et il entra discrètement. Il se mit à me parler de manière ininterrompue, il avait eu tort, il ne fallait pas que cela se sache, il me demandait pardon, il allait falloir que je parte, il ne savait pas comment faire.

Quand il eut fini, je restai silencieux et m'approchai de lui. Je me blottis dans ses bras et commençai à le caresser. Son corps musclé, son sexe, tout me faisait envie. J'étais en tee-shirt et en caleçon, je les retirai. Il hésita puis se déshabilla à son tour. Je le vis pour la première fois entièrement nu. Ses pectoraux étaient saillants et couverts d'une légère toison blonde qui descendait en fine colonne sous son nombril et son sexe toujours aussi impressionnant montait plein de vigueur. Après un premier baiser, je retentai une fellation. Après nous être mis en 69, il commença à me pomper, assez maladroitement mais j'étais trop content de ma victoire. Rapidement, nous avons joui de concert. Dans le moment de repos qui suivit, je m'attardai sur son corps, mis mon nez sous ses aisselles, lui léchai le corps dont l'odeur m'enivrait. Nous étions hélas arrivés à la fin du séjour. Il n'y eut qu'une autre fois avant le retour.

Nous devions nous revoir quelques semaines plus tard à l'été, car il avait projeté un voyage "en amoureux" avec sa femme Sharon à Paris. J'allai donc à leur rencontre à Roissy dans un premier temps et dès que je le revis, je sus qu'il fallait absolument qu'on recouche ensemble. Même si ce n'était pas très romantique, nous prétextâmes une envie pressante pour nous retrouver serrés dans une cabine des toilettes de l'aéroport et, sans nous préoccuper de quoi que ce soit, avons repris le cours interrompu de notre histoire.

Je devais leur servir de guide, aussi je les rejoignis chaque matin. L'objectif était de se retrouver au moins cinq minutes, le temps de jouir rapidement. Il fallut faire preuve d'imagination et surtout bien surveiller, mais nous y arrivâmes presque tous les jours même lorsqu'ils rencontrèrent une Américaine âgée avec laquelle ils sympathisèrent et qui s'avéra être un boulet pour nos escapades. Je commençai à flipper devant leur retour dans leur pays. Mais la veille du départ, la femme d'Andrew décida de faire du shopping avec sa nouvelle amie. Il ne dit rien, mais pensa comme moi que c'était l'occasion de passer du bon temps ensemble et d'explorer enfin nos corps. Il dit à sa femme que nous irions de notre côté faire une visite qui ne l'intéressait pas.

Mais en fait, une fois que nous fûmes séparés, je rebroussai chemin avec lui pour retourner à la chambre. Celle-ci n'avait pas encore été refaite, il était 10h du matin, nous nous étions donné jusqu'au déjeuner et avions placé la fameuse pancarte "Do not disturb". Nous avons commencé par prendre une douche ensemble où nous nous sommes branlés et sucés mutuellement. Ensuite je l'ai suivi dans les draps qui l'avaient accueilli avec Sharon. Il me dit en riant qu'il allait enfin inaugurer le lit car avec sa femme, ils n'avaient quasiment fait l'amour que pour avoir des enfants. Il m'avait de plus appris qu'elle ne supportait pas la taille de sa queue. J'avais donc l'honneur de lui offrir mon intimité.

Après beaucoup de caresses, de gel, le grand moment arriva. J'avais un peu d'appréhension, même si j'appréciais la sodomie. Dûment encapuchonné, il présenta son monstre à l'entrée de mon cul. Le seul fait d'appuyer son gland m'excita et me fit m'ouvrir encore plus. Le passage au millimètre de sa bite fut long et un peu douloureux, mais cette sensation s'estompa vite d'autant qu'Andrew faisait des pauses. Il suait, à cause de l'excitation, de l'attention extrême. Il me tenait les jambes écartelées, à la limite du supportable et je voyais sa tige engloutie dans mes entrailles. À un moment où il jugea qu'elle était assez entrée, il débuta un léger va-et-vient. Je voyais qu'il découvrait un plaisir inconnu et je bandais extrêmement dur. Puis petit à petit, il réussit à être presque entièrement en moi. J'étais plein et heureux. Il réserva son éjaculation et nous essayâmes plusieurs positions. À un moment, je réussis à m'asseoir sur sa bite, j'étais au septième ciel. Cela faisait si longtemps que nous nous retenions que nous allions jouir d'une minute à l'autre.

Nous étions si absorbés par cette imminence que ce fut la stupeur quand nous y parvînmes dans un cri mutuel, au moment même où nous remarquâmes que la femme d'Andrew était là, bouche bée, à nous regarder, un profond air de dégoût sur le visage. Nous n'avions même pas entendu qu'elle était entrée! Elle tourna les talons et Andrew se retira prestement de moi, en manquant de peu de déchirer son préservatif plein. Il jurait tout en s'habillant, moi j'étais encore sous le coup du bonheur procuré.

Andrew ne revit pas sa femme tout de suite, elle avait repris le premier avion et ne voulait plus lui parler. Ils divorcèrent immédiatement et elle lui demanda une pension faramineuse, en exigeant qu'il quitte le territoire américain s'il ne voulait pas qu'elle révèle tout et lui colle un procès. À la fin de l'été, je me retrouvai avec Andrew, à la recherche d'un emploi en France. Mes parents ignoraient ce qui s'était passé, ils savaient juste quelle était sa fonction. Étant professeurs d'université, ils lui trouvèrent vite un poste d'enseignant en anglais et espagnol en fac. Ce fut un peu plus dur lorsqu'ils apprirent à mes 18 ans qu'il était mon amant et que nous allions habiter ensemble. Depuis nous avons vécu une vie de couple heureuse et épanouie, nous accordant la liberté mutuelle et Andrew a pu découvrir tout ce qui lui manquait dans sa vie sexuelle.

Mais si je reviens à mon neveu et notre première nuit, j'ai un peu la haine le lendemain. De plus, c'est le jour du retour d'Andrew. J'en parle avec Arthur qui me dit qu'il va partir. En effet, il n'a jamais apprécié mon copain, trop masculin, trop directif et puis à 65 ans maintenant, il n'a aucune chance de lui plaire. Hélas pour lui, Andrew prend le vol précédent à celui qu'il nous a annoncé. Je suis heureux de le voir débarquer par surprise à la maison, je vais pouvoir reprendre mes bonnes vieilles habitudes sexuelles. Nous nous embrassons langoureusement après ce mois de séparation, mais Andrew, qui lit en moi, devine tout de suite qu'il s'est passé quelque chose, ce que je lui révèle sur le champ. Il éclate de rire:

— C'est un peu comme toi avec moi, tu m'as dragué, sauf que pour nous ça a bien fini. Tu vas voir, je vais punir ce petit salaud! ajouta-t-il.

Et comme par hasard, c'est après avoir dit ces mots que mon neveu fait son apparition. Il n'a pas l'air ravi de voir Andrew mais comme il est poli, il reste avec nous au salon. Mon copain, qui est assis contre moi sur le canapé, fait exprès de m'embrasser régulièrement et de me caresser au fur et à mesure de la conversation.

À un moment, il me pétrit l'entrejambe. Évidemment, ça me fait de l'effet et je constate qu'Arthur n'y est pas indifférent. Mon compagnon nous quitte quelques instants, mon neveu en profite pour se moquer de moi et me dire que j'ai de la chance, je vais passer à la casserole. Mais quand il revient, surprise, Andrew est en maillot de bain hyper moulant où l'on distingue très bien sa grosse barre semi-rigide. Arthur déglutit et nous dit qu'il va nous laisser.

— Pourquoi? demande Andrew tout en se mettant la main dans le slip, laissant apparaître pas mal de chose. Il se lève et s'approche de lui.

Je suis toujours admiratif devant son corps superbe qui est assez intimidant. Arthur semble touché lui aussi, comme fasciné. Andrew est presque collé à lui et lui demande, de but en blanc, s'il a apprécié de baiser tonton. Mon neveu rougit et ne dit rien, Andrew lui donne alors une claque en ajoutant qu'il a été malpoli de n'avoir rien donné en retour et, en quelques secondes, le prend par le bras, lui fait une clé et le fait se coucher sur la table de salon. Il me demande d'aller chercher notre petit sac de gadgets que nous avons dans notre chambre. Une fois récupéré, il en sort deux godes de bonne taille, mais surtout une paire de menottes qui lui permettent de river Arthur au radiateur. Les choses s'enchaînent assez rapidement. Tout en continuant à le maintenir couché à angle droit sur la table, Andrew lui descend le pantalon et le slip, lui enduit la rosette puis son sexe de gel et présente sa grosse queue devant le petit trou vierge. Rien que le fait de pousser juste le gland le fait hurler, j'en ai mal pour lui. Mais il sait y faire et arrive à perforer mon neveu qui ne cesse de crier en pleurant. Une fois le membre entré aux trois quarts, il commence un va-et-vient qui m'excite beaucoup. La vue de ce sexe luisant qui entre et ressort me fait quasiment mouiller, c'est comme si je l'avais en moi, je bande hyper fort.

Mon copain me fait approcher et me fait signe de prendre la place. Je m'exécute, l'élargissement me donne de la facilité. Je sens qu'Andrew se positionne alors derrière moi et je suis pris en sandwich. Il me donne le tempo pour que nos queues pilonnent en même temps. Arthur ne dit plus rien, écrasé qu'il est par nos deux corps qui le dominent. Je ne tarde pas à jouir, Andrew éjaculant aussi en moi à la suite. Le cul d'Arthur est béant, il y a un peu de mon sperme qui coule le long de ses cuisses. Nous le laissons attaché quand tout à coup il nous insulte:

— Salauds, vous m'avez violé.

Mais il n'est pas crédible, il a un petit sourire qui se dessine au coin de ses lèvres et puis il finit par porter ses doigts à son anus endolori pour terminer par mettre dans sa bouche le nectar qu'il y a récolté, de manière très provocante. Andrew rebande, il a toujours faim de sexe, et il propose de remettre cela...

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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