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Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 14:55

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Depuis toujours mon frère m'attirait. Il se promenait toujours dans des tenues suggestives qui mettaient en valeur son corps parfait. Il ne se souciait pas des remontrances de ma mère qui le trouvait un peu trop impudique. Stéphane – c’est mon frère de 19 ans – avait dû remarquer mon émoi lorsque je le voyais à moitié nu et il en abusait. Était-ce pour s’amuser à mes dépens ou pour m’inviter à des jeux à deux? De plus en plus, je remarquais qu'il exposait ses cuisses et son bas-ventre. Je constatais que cela ne lui déplaisait pas de voir mon regard de convoitise à son égard.

Le matin, c’était la course à la salle de bain et il réussissait toujours en l’investir en premier. Il y passait de longs moments et j’attendais comme un con devant la porte; porte qu’il laissait entrouverte à plusieurs reprises de sorte que je puisse l’admirer pendant sa toilette. Son petit cul bien ferme et rond était toujours serré dans des boxers noirs ou gris. Sa poitrine musclée portait quelques poils finement couchés sur sa peau bronzée. Toutes ces visions m'excitaient terriblement. J’étais en érection presque en permanence. Plus j'étais gêné et plus il jouait son petit jeu pervers. Le soir, dans mon lit, je repassais les images entrevues et je me branlais avec force pour trouver le calme.

Un jour d’été alors que je somnolais encore, il est entré dans ma chambre, afin, me dit-il, de m'emprunter une chemise. Comme d’habitude, il ne portait presque rien et se dandinait comme une pute en chaleur.

— Je peux?

J’ai fait «oui» de la tête.

— Maman n’a pas eu le temps de m’en repasser une et... comme elle est déjà partie...

Il ouvrit mon placard et se mit à chercher. Comme il me tournait le dos, je voyais ses deux fesses bien rondes qui s’agitaient face à moi. Je me suis mis à bander et j’ai porté ma main machinalement sur ma bite.

— Eh, mec! T’as de chouettes fringues, toi! Tu les mets jamais tes frusques!

— Si!

Il sortit trois ou quatre chemises qu'il mit devant lui pour voir dans la glace l'effet obtenu. L'une d'elle retint son choix. Il se retourna et me demanda mon avis.

— Pour plaire, celle-ci, tu crois qu’elle convient?

Je n’avais encore rien répondu qu’il avait déjà enfilé le vêtement.

— Comment trouves-tu qu'elle me va?

— Elle te va très bien...

— Vrai?

— On dirait qu'elle a été faite pour toi!

Il s’agita comme une puce au pied de mon lit et mon excitation redoubla. Ma main se crispa sur ma bite et j'eu un spasme.

— Tu as un problème? dit-il. Tu as l’air tout bizarre.

— Non, ça va!

Il s'assit à côté de moi sur le lit. Son regard s'arrêta sur la bosse que faisait ma main sous les draps et s'inclina vers moi.

— Réaction du matin? murmura-t-il.

— On peut dire ça, oui!

— Moi, ça m’arrive tout le temps.

— Je sais oui.

J’en avais peut-être dit trop. Son regard devint fixe et il sourit vicieusement:

— Tu as souvent envie de me toucher, hein?... ça t'excite de me voir comme ça, à moitié à poil...

— Tu divagues!

— T’es pas excité en me regardant?!!! Alors c'est quoi cette bosse sous ton drap?

Il plongea sa main sous les draps jusqu'à ma queue. Il la palpa avec douceur.

— Ah mon, salaud... c'est pour ça que tu as la main sous les draps... pour te toucher la bite et te caresser... je te fais bander!

J’étais blême. Il tira le drap et me découvrit en entier. Il se pencha et prit ma bite dans la main droite.

— Je ne me doutais pas que tu en avais une aussi grosse! Putain, frangin, tu bandes comme un âne...tu as une sacré trique! C’est moi qui te fais cet effet?

— Toi ou autre chose! Tout ce qui est beau m’excite!

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il avait viré son boxer et était à poil comme moi. Il bandait ferme lui-aussi.

— Vas-y, mets-moi ta main sur mon paquet...

Je le devinais très excité. Il ouvrit les jambes en grand. Je me penchais et mis ma bouche sur sa bite pour l’embrasser.

— Tu as déjà fait des trucs comme ça? Je veux dire avec des mecs?

— Un peu, oui!

— Tu te sers de ta bouche?

— Alors mon putain de salaud, suce moi bien à fond!

— Et toi, tu l'as déjà fait?

— À ton avis?

— Oui bien sûr, avec des gars de ma classe et aussi avec des types à la sortie de l’école...

— Tu rigoles?

— Pas du tout!

— Comment, tu vas avec des types? Des adultes?

— Bien sûr, ce que tu peux être naïf! Où est le mal... Ils me filent du fric et puis je les touche, je les suce et je les fais jouir.

— Tu as déjà baisé avec eux?

— Oui... plus d'une fois... et puis merde avec tes questions. Tu me pompes, oui ou non? Regarde ma grosse tétine comme elle est belle... elle te fait bander, hein, mon salaud... tu l’auras dans ton trou tout à l'heure... Oui, je vois tes yeux qui brillent d’envie... Tout à l’heure, je vais baiser ma salope de frère... j'ai envie de ton cul!

Je me suis penché sur sa bite et l’ai prise en bouche.

— Allons, suce-la bien... Je veux qu’elle bute au fond de ta gorge! Il faut que tu apprennes si tu veux devenir un homme.

Stéphane m’avait bien baisé et nous reposions tous les deux sur mon lit. Il avait les yeux fermés et je le regardais. J’étais amoureux, c’était clair! Je me suis penché au-dessus de son torse et je lui ai donné de petits baisers.

— Hé, tu fais quoi là?

— Je t’embrasse.

— T’es malade ou quoi? C’est un truc de pédé, ça!

— Et ce que nous venons de faire alors c’est quoi?

— J’avais besoin de me vider les burnes. Un trou c’est un trou.

— Stéphane, tu es vraiment de mauvaise foi.

— Je ne veux pas passer pour une tapiole!

— Qui te demande de le faire? Nous sommes là, à l’abri des regards, à nous donner du plaisir.

— Mais tu m’embrassais!

— Parce que, moi, ça me donne du plaisir! Pas toi?

— Je ne sais pas.

— On va réessayer!

Je l’ai embrassé sur le torse, les tétons, le menton, les joues, le front, le nez et j’ai terminé sur sa bouche. Je tenais sa bite à l’œil: elle s’est dressée assez vite. Pendant qu'il se branlait la tige avec sa main droite et me caressait le trou du cul de la main gauche, j’ai continué à lui rouler des bonnes pelles bien humides.

— Tu aimes que je te branle le cul, hein, ma petite salope de frère?

— Y’a qu’à voir comme tu me fais triquer.

Il m’a mis un doigt dans le cul et a continué ses caresses. Je me tortillais de plaisir. C’était trop bon.

— Merde! Putain de bordel, c'est bon ce que tu me fais, Stéphane... J’ai tout le temps envie de toi! Ah oui, continue...

— J’ai un truc plus gros pour te faire du bien!

— Allez, viens maintenant, mets-moi ta bite dans le fion! J'ai envie! Tu n’imagines pas à quel point!

— T’as raison... s’embrasser c’est géant... ça me fait durcir le gourdin!

— Stéphane, mon mâle... viens vite, baise-moi!

Je me suis installé au-dessus de lui, le chevauchant au niveau du bassin. J’ai pris sa queue entre mes doigts et l’ai guidée jusqu'à mon trou qui n’en pouvait plus. Il s’est enfoncé doucement.

— Mmmm, ton fourreau est délicieux. J’en veux encore et encore...

— C’est mieux qu’une chatte de fille?

— J’te crois. Les filles sont trop coincées côté cul. Là, toi, tu te lâches... Tu es prêt à tout pour te faire une bite. T’es un mec avec une chatte!

— J’adore le compliment.

Il m’a pris par la taille et a commencé à me baiser en allant bien profond en moi. Moi, très salope, j’ondulais du cul. Je me penchais sur lui et lui donnais un baiser profond auquel il répondait avec passion. Nos langues se mélangeaient, se suçaient. C’était un feu d’artifice!

— Mon frère! Comme ta bite est bonne...

— J’en ai autant à dire pour ton cul, frangin! T’es une bonne chiennasse!

— Vas-y, donne moi des coups de bite! Ne ménage pas mon trou... Il en veut! Baise-moi bien profond...

Mon cul lui aspirait quasiment la tige et il se mit à me caresser la mienne. Un bien-être profond m'envahissait. Je n'étais plus qu’un trou, un trou qui n'aspire qu'à jouir.

— Oh Steph! Mon chéri... Ta queue est bonne. Elle me rend dingue. Vas-y! Baise ta chiennasse, encule-la plus fort.

Là, j’ai senti mon frère mûr pour cracher.

— Tu m’excites comme c’est pas possible, frangin! Je vais jouir... Oh oui, je largue ma purée... Viens! Jute avec moi... ah putain... je viens... ah bordel, je jouis...

Nous avons joui de concert et ce fut inoubliable... mieux que la première fois... plus intense...

Il a regardé sa montre et a juré.

— Midi! Putain, maman va rentrer! Tu imagines si elle nous chope comme ça! La honte...

Il est allé dans la salle de bain faire un peu de toilette. J’ai entendu couler la douche et je suis allé le rejoindre.

— Je peux t’accompagner?

— Et si maman rev...

— Calme! J’ai fermé la porte de la salle de bain!

— Oui mais tout de même...

J’étais déjà sous le jet brûlant à lui savonner le dos. Il était tendu.

— Eh bien mon cochon, ce que tu m'as mis... tu m'as fait jouir comme jamais. J’en ai le cul en bouillie!

— Tu as aimé à ce point? dit-il avec une pointe de fierté.

— J’espère qu’il y aura d’autres fois!

Il m’a tourné contre le mur et il s’est collé à moi par derrière. Il bandait encore.

— Viens que je te lave ta chatte de mec!

— Prends-en bien soin, mon frère, elle t’appartient maintenant.

— Je sais. Elle n’est qu’à moi... rien qu’à moi...

Et depuis ce matin d’été je suis la salope de mon frère...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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