Étant étudiant à Montréal et ma copine à Québec, il m'arrive parfois de sécher des cours pour venir passer quelques jours auprès d'elle. Elle partage son appartement avec un de ses frères qui a 29 ans, soit 12 ans de plus que moi. D'après ce que m'a raconté ma copine, Serge qui est homo a collectionné les mecs ces dernières années car il est plutôt du genre obsédé sexuel.

Il m’arrivait parfois de l’envier car comme je ne voyais pas souvent ma copine, j’étais souvent en manque de sexe. N’ayant aucun préjugés contre les homos, je m’entendais bien avec lui, même qu’il m’arrivait à plusieurs reprise de sentir son regard poser sur mon entrejambe. Je sentais que je lui plaisais mais jamais il n’essaya quoi que ce soit pour tenter de me tirer dans son lit.

Ce matin-là, ma copine s'étant levé tôt pour aller en stage à l'hôpital en école d'infirmière, je finissais donc ma nuit seul. Quand je me suis réveillé, j'avais ma traditionnelle envie du matin. J'avais 2 alternatives: soit je sortais comme ça pour aller aux toilette et je risquais de croiser Serge, soit je restais au lit et je me branlais un bon coup pour me vider les couilles. Je choisis la 2ème solution, et je commençais donc à m'astiquer le sexe. C'est une pratique que je réalise souvent, car je suis en quelque sorte célibataire la plupart du temps.

Serge ne travaillait pas ce jour-là. Or cinq minutes après que j'eus commencé à me branler, il est sorti de sa chambre et frappa à ma porte. Je ne sais pour quelle raison, je suppose que c'était pour voir sa réaction, je décidai de faire semblant de dormir, en repoussant la couverture, de sorte que mon sexe bien dressé soit visible sous mon caleçon, dans la semi-pénombre.

Bien qu'il n'eut pas de réponse, Serge entra doucement dans la chambre, faisant attention à ne pas faire de bruit. Je gardais les yeux à demi-clos pour surveiller ses faits et gestes. Serge étais en slip. Il mesure 1m70, a des cheveux bruns, est plutôt maigre mais avais quand même de belles fesses et une bosse assez prédominante à son entrejambe. Ce n'est pas à proprement dire un canon, mais il a pas mal de charme.

Donc en entrant il jette un oeil vers moi pour voir si je dors bien, et évidemment il voit tout de suite mon érection. D'ailleurs j'en profite pour faire bouger mon sexe un petit peu, et tout de suite je le vois s'émouvoir un peu. Il remonte sa main gauche sur son torse et il caresse ses mamelons qui commencent à pointer. En plus de ses baises, j'ai su qu'il se touchait et se branlait assez souvent. Et là justement, il s'assit sur un fauteuil, écarta ses jambes, et commença à se caresser son sexe. Son souffle s'accéléra, sa queue sous son slip se raidissait...

Je me tournai alors vers lui, en constatant que je bandais encore plus fort. Puis je m'étirais comme si j'allais me réveiller. J'ouvre alors vraiment les yeux, prenant Serge au dépourvu.

— Ben alors, Serge, on se donne un petit plaisir?

— Je suis désolé, je ne voulais pas me présenter ainsi devant toi, en fait je t'ai vu bandé et ça m'a excité. J'ai commencé à me toucher... Je suis en manque tu sais.

— Dis-moi, ça fait longtemps que t'as pas couché avec un mec?

— La dernière fois c'était il y a 2 jours, et il était vraiment nul au lit.

— Alors comme ça, je te plais?

— Bien sûr, tu est un homme très excitant, surtout ton beau petit cul.

— Pourquoi tu ne m’a jamais fait d’avances alors?

— Ben voyons! Tu sors avec ma sœur.

— Et si ce n’était pas le cas, tu aurais essayé?

— Bien sûr, sans hésiter, mais comme tu es hétéro...

— Écoute, je vais te faire une proposition; elle est malhonnête mais on peut y trouver notre compte tous les deux. En fait, depuis que ta sœur m’a raconté que tu es très fort sur la baise, ça m'arrive souvent, même si je suis hétéro, de fantasmer d’essayer ça au moins une fois de coucher avec un mec, pourquoi pas toi?

— Quand tu veux, je suis à toi. Si tu savais depuis combien de temps j’avais envie de ta queue

Et aussitôt il se jette sur le lit, sur moi, me baisse le caleçon et commence à me sucer. Jamais ma copine ne m'avait sucé comme ça. Il allait très vite du gland vers la base, en salivant beaucoup, en râlant de plaisir. Mon érection était extrême, il suçait super bien et le fait que ce soit le frère de ma copine qui le faisait ajoutait de l'excitation supplémentaire.

N'aimant pas être inactif, je le fis tourner pour qu'il vienne placer sa verge au dessus de ma tête, et ma langue commença à lécher son gland. Celui-ci était mouillé de precum et je me surpris à aimer le goût. Je pris alors une partie de son gros membre dans ma bouche et commença à le sucer aussi. Alors qu’il continuait de me déguster le morceau, Serge glissa un doigts dans mon anus. Je me raidis sur le coup mais quand je sentis son doigt me fouiller le cul, cela m’excita encore plus et j’entrepris de le sucer de plus belle. Je sentis que j'allais pas tarder à éjaculer.

— Ça te plait hein le beau-frère de faire un 69 avec moi?

— Et comment, jamais je n’aurais cru ça d’aimer manger une bite.

— Dit moi, ça te plairait de savoir ce que ma sœur ressent quand tu la pénètre?

— Tu veux m’enculer?

— Pourquoi pas, tu as aimé sentir mon doigt te fouiller le cul tantôt, avec ma queue, tu vas jouir cent fois plus!

Excité comme j’étais, aussitôt, je me mis à quatre pattes et lui demandai de me prendre en levrette. Aussitôt dit, aussitôt fait, il se plaçait derrière moi et entrait dans mon cul comme dans du beurre. Il entamait des va-et-vient rapides qui m’arrachaient des cris de plaisir.

— Oh oui, vas-y, fais moi jouir, défonce moi avec ta grosse queue, t'es bon, continue...

Pour Serge le spectacle était grandiose, il voyait son sexe rentrer en moi, mes fesses venir se coller à son ventre, il caressait mon dos, ma nuque. Il me tenait par les fesses pour pousser sa verge bien au fond. Puis on changea de position, il se mit sur le dos et je vins m'empaler sur son sexe au garde-à-vous. J’avais son visage face à moi, il caressait mes mamelons, je remuais au rythme de sa queue qui entrait et sortait et quand son gland, rendu bien au fond de mon anus, touchait ma prostate, cela me rendait fou de plaisir.

— Alors t'aimes ça, tu comprends mieux ma sœur maintenant?

— Oui, putain que c'est bon, j'ai jamais joui comme ça! Je n’aurais jamais pensé qu’un mec pouvait en faire jouir un autre autant que ça!

— C’est pas fini, j’adore te défoncer le cul.

Alors il me prit différement, il m'a mis sur le dos, il est venu au dessus de moi, puis il a monté mes jambes au dessus de ses épaules. Et là il a effectué des lents va-et-vient puissants. À chaque coup, je gueulais de douleur et de plaisir mélangés. Il entrait profondément en moi.

Au bout de quelques dernières minutes d'effort, Serge éjaculais, me vidant tout son sperme en moi, je jouissais à fond... À mon tour, j’éculais sur mon torse. Puis, après qu’il eut tout léché mon sperme, il m'embrassait pour la première fois sur la bouche, un baiser passionné qui me fit prendre conscience que j'avais bien aimé fait l'amour avec lui, même s'il était le frère de ma copine. Il me confia alors:

— On a peut-être fait une bêtise, mais sache que je saurai rester discret, que je n'en parlerai jamais à personne. J'ai pris mon pied comme pas possible. Et si par hasard on a d'autres occasions, est-ce que tu aimerais le refaire?

— Bien sûr, Serge, J'ai adoré faire l'amour avec toi, c'était la première fois que je jouissais comme ça. Et j'ai aimé découvrir ton corps et ta jouissance, je veux bien sûr en profiter encore.

Et sur ces belles paroles, on s'est embrassé. Et il a quitté ma chambre, me laissant seul, encore abasourdi par cette nouvelle expérience vécue.