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Samedi 1 février 6 01 /02 /Fév 15:44

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En s'installant dans ce vieux bâtiment du 18e arrondissement, il avait privilégié un loyer faible. L'immeuble, proche du métro, était occupé par quelques personnes âgées et une population cosmopolite qui lui plaisait bien. Il venait de province et cela lui confirmait qu'il était bien à la capitale. Il ne prêta pas attention, lors du déménagement à la perte d'un carton, laissé avec d'autres lors de la montée de ses quelques meubles et de ses affaires. Il s'agissait de vieilles bricoles informatiques, câbles, chargeurs, raccords et disques durs anciens. Il aurait du.

Une semaine plus tard, tandis qu'il descendait du 7e par l'ascenseur, un arrêt au 4e étage permit à un grand black d’entrer dans la cabine. Il le regarda de façon appuyée, sourit et lança : « Dites, vous n'auriez pas perdu un paquet de trucs informatiques. Un ami me l'a donné car il l’avait trouvé dans l'ascenseur. J'ai regardé et c'est vous sur les photos. Je file bosser. Passez ce soir vers 19 heures si vous voulez, la porte de droite en sortant de l'ascenseur. »

A 19 heures, les trois occupants de l'appartement l'attendaient dans leur salon, devant un ordinateur portable relié à son vieux disque dur. En diaporama défilait une série de photos. Les siennes. Pas celles des vacances. Celle d’un plan cul. Arrêt sur une image : il était nu, à quatre pattes, un lourd collier au cou. Une bite dans le cul et une autre dans la bouche. On devinait qu’un troisième gars avait pris la photo. Les trois Africains se tournèrent vers lui. Il avaient le même sourire. Dans son dos. La clé tourna dans la serrure.

Un an plus tard. L’appartement du 7e étage avait été vidé progressivement de presque tous ses meubles. Les trois mecs du 4e étage avaient d’abord emporté le canapé qui leur plaisait, puis, un jour, le four à micro-ondes. « Vous nous avez colonisés, maintenant on se sert » justifia l’un d’eux. Ils n’avaient pas touché au lit, à la machine à laver, au fer à repasser et à sa table. Ils lui avaient enjoint d’abord de s’arrêter le soir, en rentrant vers 19 heurs, à leur appartement , pour voir s’ils n’avaient besoin de rien. Il en repartait généralement le cul défoncé, après avoir aussi fait la vaisselle, tâche à laquelle les trois occupants rechignaient. Il remontait chez lui avec au bout du bras un sac de linge à laver et repasser et à remettre le lendemain devant la porte, en partant.

Parfois, l’un des voisins blacks montait seul ou pour lui présenter un visiteur. Un jour, trouvant porte close, il força le verrou. Puis les allées et venues attirèrent d’autres habitants de la cage d’escalier, des jeunes surtout, arrivant à plusieurs, incrédules d’abord mais qui repartaient les couilles soulagées, emportant souvent chacun un objet. Le téléphone arabe fonctionnait bien. Peu à peu les quelques biens du locataire du 7e étage se réduisirent aux vêtements qu’il portait sur lui. Il n’osait plus en acheter. Ceux qu’il déposaient dans la penderie disparaissaient en son absence.

Un soir, épuisé, il s’endormit sans effectuer le repassage. Le lendemain matin, il quitta pourtant l’immeuble rapidement pour aller à son travail. Lourde erreur. Au retour, ils étaient là, silencieux, assis sur la porte qu’ils venaient d’ôter de ses gonds. Ils lui arrachèrent ses fringues et malgré ses protestations, le collèrent contre la table. Ils l’enculèrent sauvagement. Puis un cri jaillit : « Tu m’as sali la bite. » L’un des gars montra son gland tâché de merde et le gifla violemment, l’envoyant à terre. Le locataire fut maintenu plaqué au sol par des bras solides. L’homme s’accroupit et lui commença à lui chier sur la gueule. Sur le palier, on entendit des rires. Le bruit avait attiré les habitués. Il entendit : « Pisse lui dans la tronche. Attends je vais le faire. » Ils l’abandonnèrent au milieu d’une mare de pisse, couvert de merde étalée avec un balai à chiotte qu’ils avaient tenté de lui enfoncer dans la gueule. Le lendemain, sa porte partait avec le camion-benne des encombrants.

Un mois plus tard, « la sous-merde du 7e » avait perdu toute dignité. Il avait surtout perdu son travail car il n’osait plus sortir de l’immeuble. En intérim, les absences ou les abandons sont fréquents, personne ne s’inquiéta. Ses voisins lui avaient interdit l’accès à l’ascenseur, qu’il se réservaient, et « à cause des enfants. » Il devait se déplacer discrètement, nu, les pieds escaladant sans bruit les marches froides de l’escalier, pour enlever ou déposer les sacs de fringues qu’il nettoyait et repassait au service de plusieurs foyers de célibataires. Il frappait aussi à certaines portes, où il était attendu à des moments précis pour servir d’homme de ménage. En début de nuit, il allait dans la petite cour où étaient rangées les poubelles, pour y chercher de la nourriture. Il mangeait souvent en remontant chez lui. Il ne fallait pas traîner. On voulait le savoir disponible, sur son lit, couché sur le ventre, dans l’attente des sexes noirs et épais qui s’enfonçaient résolument entre ses fesses. S’il traînait, il retrouvait le matelas inondé de pisse.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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