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Samedi 18 août 6 18 /08 /Août 00:20

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Comme beaucoup de jeunes gens, j’ai traversé une période difficile durant mon adolescence qui s’est caractérisée chez moi par un violent rejet de la norme. Vers 13, 14 ans, j’ai commencé à fréquenter quelques skins et adopté leur look et leurs manières, au grand dam de mes parents. Il était aussi parfois difficile de supporter le regard suspicieux des profs et des adultes en général. J’aimais cependant ce sentiment d’appartenir à une bande, voire à une conférie. A partir de ma quinzième année, j’ai entamé une impressionnante série de fugues qui m’emmenèrent dans toute la France et même à l’étranger, ce qui me permit de vivre pleinement la découverte de mon homosexualité et de mes fantasmes déjà bien affirmés. C’est ainsi qu’alors que je venais de fêter mes 18 ans, je me trouvai dans le vieux Reims, non loin de la cathédrale. C’est dans cette zone que se retrouvaient les zonards et notamment les « frangins ». Je me revois avec ma paire de Docs, mon jean crado et mon éternel bomber’s noir, les tifs tondus, en train de déambuler dans ce quartier. Ca faisait déjà trois jours que je m’étais tiré de chez mes vieux et depuis je n’avais pas vu l’ombre d’une douche. Un jeune mec vêtu d’un sweat à capuche Lonsdale attira mon regard : il avait un visage ouvert et souriant, rien à voir avec la caricature du skin. Il était assis sur une barrière et buvait des gorgées de bière. Je m’approchai de lui et nous ne tardâmes pas à engager la conversation, solidarité de corps oblige. Il s’appelait Pascal et il avait le même âge que moi. Il me proposa de la bière et je lui offris une cigarette. J’appris que sa situation était encore moins enviable que la mienne dans la mesure où il n’avait absolument aucune famille et avait passé presque toute son existence en foyer. Je lui demandai s’il avait une idée d’endroit où passer la nuit. Il me dit alors qu’il connaissait un moyen de gagner du fric facilement et que cette somme nous permettrait non seulement de pouvoir dormir à l’hôtel mais encore d’avoir à bouffer toute la semaine.

« Ca consiste en quoi ?

_ Il s’agit de s’occuper d’un PD… Il paye bien… Je dois le voir aujourd’hui.

_ T’es quand même pas PD, mec ?

_Naan, j’aime les meufs. Mais je ne crache pas sur un peu d’argent de poche discrètement gagné… D’autant plus qu’il ne s’agit pas de sexe à proprement parler…»

Je continuai à tergiverser et arguai du fait que j’étais trop crade pour pouvoir prétendre séduire un amateur de jeunes. Mon pote me fit alors comprendre qu’au contraire nous étions absolument parfaits pour ce qui était prévu.

Pour l’instant, il refusa de m’en dire plus mais me demanda de lui faire confiance. Je réalisai que le jeune hétéro qu’il prétendait être appréhendait de se rendre seul à ce rendez-vous. Ainsi, en me proposant de l’accompagner, il était rassuré et le sacrifice financier était moins grand pour lui que s’il avait entraîné dans cette expédition 2 ou 3 frangins supplémentaires. Au fond, je trouvais la proposition à la fois mystérieuse et excitante. Et contrairement à Pascal, j’aimais les mecs, moi. Lors de mes pérégrinations, il m’était souvent arrivé de passer la nuit chez des types et j’avais constaté à quel point les skins, tout comme les militaires, excitent les homos. J’acceptai l’offre de mon nouveau pote et le suivit. Il est vrai que j’avais les couilles bien pleines et envie de me vider. Nous traversâmes une partie de la ville et je remarquai que nous nous trouvions maintenant dans les beaux quartiers, comme on dit. Pascal s’engagea dans une petite rue tranquille dans laquelle se trouvaient de superbes immeubles anciens. Il s’arrêta devant une belle et grande porte en bois, entra le code qu’il connaissait et nous fîmes notre entrée en ces lieux. Le spectacle de ces deux jeunes skins crasseux pénétrant dans un lieu aussi classe aurait surpris n’importe quel observateur. Mais le couloir était désert. Nous prîmes le grand ascenseur qui semblait nous attendre et sortîmes au cinquième étage. Pascal sonna deux coups brefs à l’une des deux portes qui se faisaient face. J’attendais avec impatience de voir la trombine du mec : je m’attendais à un vieux bourge, ou pire à un jeune moche, gras et dégarni. La porte s’ouvrit franchement et j’entendis une voix masculine et agréable déclarer :

« Bonsoir Pascal. C’est sympa d’être venu. Je vois que tu as amené un copain… Très bien… En plus, il est aussi charmant que toi… Entrez messieurs… »

Celui qui venait de parler ne ressemblait en rien au genre de client que je redoutais de voir. Il s’agissait d’un très beau gars d’une trentaine d’années, brun, masculin, pas le genre de type à en être réduit à payer en tout cas. J’étais pour le moins déconcerté…

L’appartement était très grand et somptueusement décoré. Le jeune mec d’origine modeste que j’étais n’en croyait pas ses yeux. Marc (c’était le prénom du propriétaire des lieux) nous offrit à boire. Des bières, bien sûr. Au bout de plusieurs bouteilles, j’avais bien évidemment envie de pisser. Je m’apprêtai à demander où se trouvaient les toilettes lorsque Pascal, semblant lire mes pensées, me fit signe de ne pas bouger et de me taire. Il se leva et regarda Marc d’un air méchant qu’il n’avait pas en temps ordinaire. Je compris que cela faisait partie du jeu. Marc eut un sourire satisfait et entreprit de se déshabiller : il ôta sa chemise blanche et dévoila un torse musclé et imberbe. Ses chaussures et son pantalon furent eux-aussi enlevés. Il ne portait plus qu’un slip blanc à poche. Il se mit à genoux. Pascal défit promptement les boutons de son pantalon et sortit sa queue. Je n’eus pas l’occasion d’admirer son engin : il l’enfonça promptement dans la gueule ouverte du beau Marc. Je m’attendais à la traditionnelle pipe mais je me rendis vite compte que Pascal ne bandait pas. En fait, il était en train de pisser dans la bouche accueillante du brun. Celui-ci semblait se régaler et ne perdait pas une goutte du liquide tiède. C’était donc ça ! Ce mec invitait des petits jeunes pour leur servir de pissotière. Et en plus il les payait grassement ! Je dois avouer que j’en avais vu d’autres. Ce que Pascal ignorait, c’est que j’avais déjà une certaine expérience des pratiques uro et que j’avais expérimenté tant comme donneur que receveur ! Une fois son pipi terminé, mon copain s’empressa de se retirer. Et je me hâtai de prendre la suite. Marc sembla apprécier l’odeur de ma tige mal lavée ; de plus, j’avais du mal à ne pas bander. Je me vidai donc dans sa gueule. Je dus bien lui verser près d’un litre de liquide jaune. Quelques minutes plus tard, l’affaire était pliée et je m’attendais à ce que nous mettions les voiles après avoir reçu notre récompense.

Marc s’était relevé. Il semblait satisfait. « On passe à la salle de bains pour la suite ? » Ce n’était donc pas fini. « Après l’apéro, le dîner », lança Pascal d’un air sarcastique. Je ne comprenais pas vraiment ce qu’il voulait dire.

La salle de bains était de grande taille. Marc ôta son slip. Pascal baissa son froc et son caleçon. Le brun s’était allongé sur le dos dans la gigantesque baignoire. Mon pote s’accroupit sur sa gueule. Je commençais à comprendre. Jusqu’à ce jour, je n’avais pas vraiment eu d’expérience scato. Ainsi, notre hôte était l’un de ces masos qui aiment se faire chier dans la bouche. Je n’en revenais pas … Cela me sembla totalement délirant… En même temps, le spectacle qui s’offrait à mes yeux était pour le moins excitant. J’étais placé de telle façon que je voyais le visage de Marc collé au cul lisse de Pascal. « J’y vais, je peux plus me retenir, mec. Allez, bouffe ma merde, PD. » Je vis une grosse merde sortir du trou et pénétrer dans la bouche ouverte, telle une bite noire. L’odeur devenait intense et je me rendis compte que je bandais. Le soumis mâchait l’étron voluptueusement… il semblait vraiment apprécier. Au bout d’une minute maximum, il avait tout avalé. Mon pote se releva en jurant après s’être fait nettoyer la rondelle à la langue. « Putain, j’espère que ça t’a plu parce que j’ai que ça aujourd’hui. Une seule bouse. Mais je suis sûr que mon pote va bien te remplir. » Je savais ce que j’avais à faire. Le seul truc qui me chiffonnait par rapport à Pascal, qui se diqait hétéro, c’est que j’avais le sexe en érection. Je ne pouvais dissimuler mon excitation. Mon cul était forcément odorant et je n’avais pas chié depuis deux jours. Autrement dit, j’étais plein de chez plein. Je sentis la langue de Marc s’immiscer dans les interstices de mon anus. Il dut remarquer qu’il était bien dilaté pour un soi-disant skin hétéro… Je décidai de forcer et je ne réussis dans un premier temps qu’à envoyer un gros pet bruyant qui fit rire Pascal alors que la langue de l’autre s’activait avec encore plus d’acharnement. Enfin, je sentis que ça venait. Une grosse merde passa à travers mon sphincter et échoua dans la bouche gourmande de Marc qui s’empressa de la mâcher et de l’avaler à toute vitesse. Il tentait vainement de respecter mon rythme mais il avait du mal. Je chiai une quantité impressionnante de bouse ce soir-là. Et de la bonne, bien dure ! Celui que je régalais n’en pouvait plus, je l’entendais grogner de façon presque hystérique entre deux bruits de mastication. Soudain il se mit à gémir longuement et je vis des flots de sperme jaillir de son sexe. Comme je l’ai déjà précisé, je bandais moi-même comme un âne. Tandis que sa langue achevait de nettoyer mon trou, je fus à mon tour pris de spasmes et je me vidai de mon foutre. Je ne m’étais même pas touché ! Pascal me regardait d’un air stupéfait.

Après nous être rhabillés, et avoir décliné l’offre de Marc qui nous proposait de prendre une douche et de profiter de son installation, nous partîmes, les poches pleines. Le mec avait vraiment été généreux.

Une fois dans la rue, Pascal me demanda ce que j’avais pensé de tout ça. « Intéressant. Tu avais raison, ça rapporte bien.

_Et puis, ça n’a pas eu l’air de te déplaire, mec.

_En fait, je pensais à autre chose, répondis-je d’un air gêné et pas très convaincant.

_Le problème, c’est que si tu montres au type que tu prends ton pied, il va être tenté de moins bien payer… »

Comme l’avait pronostiqué mon compagnon, nous avions de quoi nous payer l’hôtel et nous trouvâmes un petit établissement sympa. Après être sortis manger un morceau, nous étions de retour dans notre chambre. J’étais sur le point de me coucher. Auparavant, j’avais envie de me vider la vessie et même d’aller faire une petite crotte (rien à voir bien sûr avec ce qui avait précédé). Mais Pascal était dans le petit WC et cela faisait un certain temps que je ne l’entendais plus. Je l’appelai mais il ne répondait pas. J’avais trop envie de pisser. Je décidai d’aller voir ce qu’il faisait. J’étais uniquement vêtu de mon caleçon puant. J’ouvris la porte. Le spectacle qui s’offrit à mes yeux était étonnant. Mon pote était à genoux, la bouche ouverte. Il m’attendait. « Ainsi tu ne fais pas ça uniquement pour le fric…

_Toi non plus, il suffit de voir le pied que tu as pris tout à l’heure. Alors, s’il te plaît, remplis moi. J’en crève d’envie depuis que je t’ai vu dans la rue. »

Je ne me fis pas prier et à partir de ce moment Pascal devint mon chiotte régulier. Ce fut de plus le début d’une relation intense qui dure toujours.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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