Babaslebatard
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Avril 2025 | ||||||||||
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Il y a quelques années, je venais d'avoir 18 ans, et avec mes parents nous avons aménagé dans un lotissement de villa. Au collège, je me liais d'amitié avec José, un jeune Portugais de 18 ans qui vivait à la cité, distante de 100 mètres de ma maison, avec ses parents et son demi-frère Karim de deux ans son aîné. José et moi nous avions la même passion: le foot! Moi j'étais ni bon ni mauvais, José lui, il était un artiste du drible. Il m'invita à jouer comme remplaçant dans l'équipe de la cité. Je fis la connaissance des garçons de la cité qui jouaient dans l'équipe dont le capitaine était le frère de José. Il menait toute la bande de la cité et tous lui obéissaient. Il ne travaillait pas et traînait toute la journée avec ses potes.
Il mesurait 1m78, il avait de grands yeux marron, des cheveux très bruns bouclés, un torse fin mais musclé, des jambes longues et puissantes. Très rapide, nerveux, bagarreur et railleur, il en imposait. Moi, je suis petit (1m70), yeux verts, blond, pas très musclé, imberbe, d'apparence juvénile, on ne me donnait mon âge à cette époque-là.
Au vestiaire, après les matchs, je n'osais pas me foutre à poil de peur que l'on se moque de moi. Mon sexe mesure à peine 15cm, il est fin et courbé. Mes testicules ressemblent à des cerises perdues dans des bourses trop grandes, entourées de poils blonds peu nombreux et presque invisibles. Je prenais la douche le dernier et je gardais un maillot de bain pour éviter que quelqu'un me voit.
Je regardais les autres et matais leurs sexes pour comparer avec le mien. Celui de Karim était long 23cm, assez large 4.5cm, et sous la douche, il se caressait sans hésiter en criant: "Putain que c'est bon! Personne ne veut me sucer, ni me donner son cul!! Un dimanche où je remplaçais un joueur et grâce à moi, on a gagné. Karim hurla: "C'est le blondinet qui a marqué. On va lui faire sa fête."
À peine dans le vestiaire que Karim m'attrape et avec ses copains me foutent à poil. Ils me poussent sous la douche en riant et en criant: "On va te faire ta fête!" Je me débattais comme un fou et Karim dit: "C'est une blague!" José rigolait suivant son frère. J'ai eu très peur et en même temps j'ai ressenti un émoi qui me fit trembler quand Karim me tenait dans ses bras.
Fin d'année, mes parents partent pour 15 jours au ski, moi je reste à la villa seul. La journée, j'allais chercher José pour déambuler dans la cité ou en ville. Karim dans les caves bricolait des 'mobs' pour se faire un peu d'argent et bien d'autres choses. Il fumait. Ce samedi, quelques jours avant Noël, je monte à la cité pour chercher José quand je tombe nez à nez avec un copain de Karim qui me dit: "José est avec son frère dans la cave du fond. Va les voir. C’est tout droit et au fond tu prends à gauche, tu verras la lumière. Ils sont là." J'arrive devant la cave à demie fermée, j'entre. Karim est au fond penché sur une mob.
— Salut. José n'est pas là?
— Non il vient de partir. Tu tombes bien c'est mon anniversaire et j'ai envie de me faire sucer et de prendre le cul d’un bourge! C’est génial! À genoux et pompe!
Éclat de rire général.
— Vous êtes fou! Leurs dis-je en reculant.
Je me retourne pour foutre le camp quand je vois ses trois copains bouchant la sortie. Je me sens attrapé par Karim qui me retourne, me colle au mur et me bloque la tête, se penche pour me rouler une pelle. Je me débats et les autres m'immobilisent. Les lèvres de Karim écrasent les miennes, sa langue force ma bouche. Elle est chaude, dure. Je ne résiste plus et il en profite pour me rouler une pelle qui dure, qui dure jusqu'à me faire perdre la respiration, me mordillant au passage les lèvres jusqu'au sang. Je ressens un émoi, une envie folle qui fait gonfler mon sexe. Il lâche ma bouche, tâte à travers mon survêt mon sexe. Voyant ma réaction, il me dit:
— Je pense que tu aimes ça. Tu vas faire la meuf pendant ces vacances pour moi et mes potes!
Ses copains m'attrapent et m'amènent dans l'autre cave. En entrant je vis un lit, recouvert d'un duvet, un jerrican d'eau et une cuvette. Le goal de l'équipe me dit:
— À poil ou on te déshabille?
Sans réaction de ma part, ils m'arrachent mes vêtements. Tâtant mes fesses, mon anus, Pierre dit:
— Il est puceau, Karim va pas s'emmerder!
Ils prirent mes vêtements, sortirent en fermant la porte à clé. Seul dans le noir, je tremblais de froid et de peur. Je m'allonge sur le lit et me recouvre du duvet. Je fus réveillé par le grincement de la porte. La lumière s'allume et je vois Karim et les autres se diriger vers moi.
— Il est déjà prêt pour nous recevoir.
— Ouais! dit Karim. Je passe le premier.
Il s'assoit sur le bord du lit, me retourne et bloque ma tête bouche contre le matelas. Je sens sa main qui touche mes fesses, des mains qui attrapent mes chevilles m'obligeant à écarter les jambes, offrant mon cul à leurs envies. Tout en tâtant mon trou, il se penche vers moi et me dit:
— Tu es puceau. Tu vas te laisser faire ou on te pénètre à sec méchamment.
Je hurle de douleur quand il m'enfonce ses deux doigts dans mon anus brutalement sans préparation ni lubrifiant. Il s'arrête:
— Tu vois ce que ça fait? Imagine nos chibres. Laisse-toi faire et nous irons doucement.
— Tu nous branleras, tu nous suceras tu avaleras tout ce que l'on crache me dit Pierre en me montrant son sexe en érection.
— Tu seras notre salope! me crie Joe en me mettant une claque sur la tête pour que je le regarde en train de se branler.
À la hauteur de mes yeux, je vois un sexe énorme (27 sur 6.5cm). Ses poils sont abondants, très frisés, dégageant une odeur acide, faîte de relent de sperme, de pisse et de sueur, entourant une bourse gonflée contenant des boules comme des œufs. Son gland violacé crache sur ma figure un sperme épais en plusieurs jets. Je suis aveuglé par ce liquide qui coule le long de ma figure... Grand éclat de rire général.
— Sors ta langue, récupère-le et nettoie-moi, me dit Joe en me mettant son gland entre mes lèvres.
J'hésite. Karim se met à labourer mon intimité avec ses doigts pour me forcer à obéir. J'ai mal et en même temps, j'ai envie qu'il continue.
— Salope, me crie Karim. Va jusqu'à ses boules. Après tu te frotteras le visage avec ta main et tu la lécheras.
Je les prends une par une dans ma bouche et je les suce avalant des poils de son pubis. Avec ma langue je caresse son entrejambe, la glissant sous ses testicules, remontant jusqu’à la naissance de son membre, je le sens frémir. Son sexe devient très dur.
— Oh putain! crie-t-il. J’en peux plus... Je vais me l’enculer à sec.
— Non! dit Karim. Son cul est pour moi.
— Bien! répond-il. Je vais baisser sa bouche!
Et m’agrippant par les cheveux, il glisse son pénis dans mes lèvres et commence à limer s'enfonçant jusqu'au fond de ma gorge, butant sur ma glotte. J'ai l’impression qu’il veut s’enfoncer encore plus profond, que je l’avale entièrement. Chaque fois qu’il s’enfonce, j’ai envie de vomir. Je le sens grossir, m’obligeant à ouvrir au maximum ma bouche. D'un seul coup, il jouit en gémissant de plaisir. Sa semence est âcre, salée, épaisse. J'en ai plein la bouche et je me reprends à deux fois pour l'avaler. Il rit et me dit:
— Et bien, ma salope, tu t'es régalé! Tu m’as fait jouir deux fois. Allez-y les gars, il le fait mieux que ma dernière meuf!
La nuit ne faisait que commencer Karim qui se désape et me dit:
— Je vais prendre ta rondelle. Avec douceur puisque tu participes à nos envies, comme promis. Allez les gars préparez-le!
Des mains écartes mes fesses, malaxe mon anus, des doigts s'enfoncent dans mon intimité, on y crache dessus. Karim se glisse entre mes jambes; me mordille la nuque tout en me disant:
— Décontracte toi, tu vas aimer.
— Vas-y doucement! lui dis-je.
— Sûr! Ta rondelle va aimer.
Son gland appuie sur elle de plus en plus fort. Elle cède, il s'arrête pour laisser passer la douleur. Je le sens juste dans ma rondelle qu'il dilate puis d'un seul coup il s'enfonce en moi. Je me tends, je m'accroche au bord du lit, je gigote, mais tenu par les jambes, je sens ce membre dur et conquérant me défoncer! Je suffoque. J'ai comme des coups de poignard qui remontent de mes entrailles. Karim s'immobilise pour laisser passer la douleur.
— Décontracte-toi! me dit-il. Relâche tes muscles, cambre tes reins, cool mon frère. Cool!
Il m'attrape par les hanches, me soulève légèrement le cul pour me faire cambrer les reins. J'ai l'impression qu'un pieu enflammé remonte dans mes tripes! Cette sensation est douloureuse et très excitante. Karim se met à limer lentement puis il accélère le mouvement sans tenir compte de mes crispations. Je voudrais qu'il s'arrête, et j'ai envie qu'il continue. Mon sexe grossit et se met à bander à mort... Je gémis, et je ne sais plus si c'est sous l'effet de la douleur ou du plaisir. Dans mon cul, son pénis enfle, je sens qu'il va jouir. Moi aussi! Un flot de sperme remplit mes entrailles provoquant ma jouissance... Je lâche ma purée dans le matelas. Il sort, s'effondre à côté de moi, haletant.
Pierre m'attrape, me retourne, écarte mes jambes en mes les relevants. Il se positionne pour me pénétrer en me disant:
— Salope, écarte bien. J’arrive!
Finissant sa phrase, d'un coup sec, il me pénètre violemment! Son sexe (20 de long et 5 de large avec un gland rose et pointu) dilate encore plus mon anus. Il s'enfonce au plus profond sans douceur. Comme un bourrin, il lime avec des petits cris de joie, entrant et sortant de mon intimité, mettant le feu à mes entrailles. Son sexe enfle, se durcit. J'ai l'impression que tout va se déchirer! J'ai mal. Des jets puissants, brûlants, remplissent mon cul, recoulent entre mes jambes.
— Quel pied! me dit Pierre. Je reviendrai!
Paco, dit l'indien, s'approche du lit en se masturbant. Son sexe est fin, long, très recourbé vers le haut. Il me regarde, m'attrape par les cheveux, m'oblige à me mettre à quatre pattes, mon cul tourné vers lui, met son sexe à l'entrée de mon anus. Doucement, avec des gestes lents, il lime sans me pénétrer profondément, juste son gland qui rentre et sort. Il glisse facilement grâce au sperme qui continue à couler. Je le sens se raidir, prêt à jouir. Il sort son pénis et le fait glisser le long de ma raie, entre mes fesses. Ses boules cognent contre les miennes. D'une main il pince ma fesse gauche et de l'autre il se branle. Mon dos est aspergé par un liquide crémeux, chaud.
Pause dans mon calvaire qui ne me paraît pas si terrible. Je regarde Karim; il zyeute mon sexe avec un sourire vicieux et me dit:
— Tu apprécies notre partouze. Tu en as même joui!
— Ouais! Tu as vu! Avant, il faisait des manières, après il en redemandait, marmonne Pierre.
— Tu mériterais que toute la cité te passe dessus! rétorque Joe.
— Ton cul de bourge appelle nos chibres! finit par dire l'indien.
Ils s'en vont en refermant la cave, me laissant dans le noir plein de sperme dans le cul, sur le visage et le dos, avec son goût dans la bouche. Pour une première fois, j'ai été gâté. J'ai honte d'avoir pris mon pied avec Karim. Plus tard dans la nuit, la porte s'ouvre, la tête de José pointe. Il me regarde et me sourit:
— Toi aussi, tu as envie de me prendre. Je te croyais mon ami! Lui dis-je.
— Non! me répond-il. Je viens te chercher pour te ramener chez toi.
Sur ces mots il me tend mes habits.
— Magne-toi! me dit-il en ressortant de la cave et en partant le long du couloir.
Je m'habille à toute vitesse et je le rattrape.
À suivre...
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