Babaslebatard
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Avril 2025 | ||||||||||
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Nous marchons dans l'étroit boyau qui longe les caves de la cité, vers la liberté. À la hauteur de la sortie, une main surgit de l'ombre agrippe mon épaule, pince le muscle et me force à tomber à genoux.
— Notre gazelle s'échappe! me dit une voix inconnue. Et moi qui veux la défoncer! Salope, tu ne vas pas t'en tirer comme ça!
Joignant la parole à l'acte il me donne un coup de genou en pleine poitrine. Sous le choc, je perds la respiration. José s'interpose! Il est immobilisé par une autre ombre surgie d'une cave. Un troisième larron apparaît et dit:
— Il est belliqueux le petit. Faut pas toucher à sa meuf! Tu vas voir quand Karim saura. Retournez à la «chambre».
Il me soulève par les cheveux et me traîne en me flanquant des coups au derrière. José est poussé par les deux autres à grands coups de pied.
— À poil! me dit l'inconnu. Fissa! Fissa! On a envie de te sauter. Tu es un bon garage à bite; Pierre me la dit!
— Et le faux frère? dit un autre.
— Comme sa pétasse! Répond celui qui me tient. Dans la cave il pourra la voir se faire niquer par des vrais mecs.
Je jette mes frusques au sol tandis que José se débat. Je rentre la tête basse et je vais m'asseoir sur le lit. Ils l'immobilisent, le déshabillent, jetant son survêt à côté du mien. Il est en caleçon, traîné par les épaules, coincé entre deux étagères, puis attaché au montant, les bras en l'air, les pieds écartés, face au mur. Momo sort son couteau, le passe entre la peau de José et son caleçon, coupant les tissus pour découvrir son cul. Il est musclé, rebondi avec une ligne de poil qui dépasse de sa raie. Je devine entre ses jambes ses boules et le bout de son pénis qui dépasse. J'imagine qu'il doit être long!
Un des mecs m'attrape d'une main par les cheveux, m'oblige à me mettre à genoux, tandis que de l'autre, il ouvre sa braguette, sort sa queue, se la caresse et vient me l'enfoncer jusqu'au fond de la bouche. Puis il saisit mes oreilles et commence à me faire l'amour en limant vigoureusement, butant sur ma glotte. Pendant ce temps, un autre se glisse derrière moi, écarte mes fesses et me pénètre violemment à sec. La douleur me fait serrer la bouche sur la queue de l'autre qui gémit et me file une gifle. Le troisième s'approche en se branlant, jouissant du spectacle. Ma bouche se remplit de sperme, mon cul réceptionne trois jets brûlants, et le dernier me jouit dessus. Quelle humiliation! Celui qui m'enculait me dit:
— Lave moi! Tu ne crois pas que je vais le mettre dans mon caleçon avec les traces de ta merde. Il faut qu'il soit nickel chrome!
Il lève la main, je m'exécute pour éviter les coups. Puis, on se met devant moi et on me dit:
— Ouvre ta bouche, je vais pisser...
Je baisse la tête et je fais signe que non. Un déluge de coups sur mon sexe, mes fesses, ma tête ponctua ce refus.
— Sale fiotte, sale pute, sale pédé, me crie le meneur. Tu vas voir ce que l'on va te faire. Rick aime les culs sales. Viens ici mon petit Rick!
Je sens un souffle chaud, humide sur mes fesses.
— C'est quoi?
Je hurle en me débattant.
— C'est un doberman, me dit-on. Tu vas aimer!
— Non, non, pas ça! Hurlais-je en gigotant comme un fou pour éviter d'être monté par le doberman.
On me tire brutalement la tête en arrière. Des petits yeux porcins dans une figure mal lavée, mal rasée, avec un sourire vicieux, cruel et une haleine qui empeste la bière, me fixent.
— Arrête de gigoter. Tu vas y passer à la casserole, me dit le meneur à qui appartient cette figure de cauchemar. Sinon je vais cogner!
Il se relève, lève le bras. Une douleur vive me fait sursauter quand la laisse du chien frappe mes fesses. Son bras armé s'abat une, deux, trois, quatre fois, cinglant de plus en plus fort mon cul. La peau rouge, j'abandonne. Je ne bouge plus! Les bras ballants, à genoux j'attends la suite des événements. Le meneurs regarde ses collègues et dit:
— Il faut qu'il le branle, qu'il le suce, pour le mettre en état de l'enculer.
— Bonne idée! lui répond une voix.
— Allez, pédale, attrape son sexe et branle! me crie le meneur en amenant le doberman devant moi.
Je reste prostré tout en murmurant: «Faites ce que vous voulez de moi. Je m'en fous!»
Silence dans la cave. Sur ma gauche, celui qui s'appelle Momo dit:
— Moi je sais ce qu'il faut faire, et il attrape un manche de balai, me regarde avec un sourire sardonique.
Je me recroqueville en attendant les coups. José hurle quand le manche le frappe à la hauteur des épaules. Puis Momo le glisse entre ses jambes écartées et frappe ses couilles. José a un hoquet, se crispe.
— Arrêtez. Je fais ce que tu veux, et disant cela, j'attrape la queue de Rick et je le branle.
— Tu vois, il veut pas que on abîme son mec!
— C'est pas mon mec! dis-je.
— On dit ça! Tu rates quelque chose. Pour son âge, il est bien monté.
— Allez suce maintenant! Rick attend...
Je me glisse sous le chien et je lèche sous son sexe des couilles au bout de son pénis. Je le prends dans ma bouche et je suce. D'un seul coup, le meneur m'attrape par les cheveux et me dit:
— Mets la tête sur le sol, le cul en l'air, mon chien va prendre son pied.
J'obéis! Il pose les pattes avant du chien sur mon dos, met son sexe sur mon anus. Drôle de sensation! Il est dur, pointu, fin et très recourbé. Il me fait mal. Il lime à une vitesse folle, mettant le feu à mes boyaux, haletant au dessus de moi, bavant sur mon dos. Je ne prends aucun plaisir à supporter cette enculade. Au bout de quelques minutes, Rick décharge. Tous rigolent autours de moi.
Ils sortent leurs sexes et à tour de rôle me pissent dans le cul pour me laver; disent-il. Puis ils s'en vont en criant: «On va faire passer le mot. Tu auras des visites!»
Pendant un long moment, je ne bouge pas. Aucuns bruits. Je me lève, me dirige vers la porte et doucement je l'entrebâille. J'attrape nos survêts. J'enfile le mien et je vais auprès de José que je détache. Il me dit, tourné vers le mur:
— Passe-moi mes vêtements...
Il les met puis se tourne vers moi et me dit:
— Attends, je prends un marteau et je te jure que personne nous ramènera ici! Allons-y!
On sort et on marche rapidement dans la nuit noire en direction de chez moi. Arrivés devant ma maison, José me regarde et me dit:
— Pas de connerie! Tu ne parles à personne de ta nuit! Sinon gare aux représailles, pour toi et ta famille!
— T'inquiètes, je ne me venterai pas de mon aventure ni à mes parents, ni à d'autres personnes!
— Tu as pris ton pied, alors tu n'as rien à dire.
— J'ai honte et j'ai mal! De plus j'ai envie de prendre un bon bain pour me laver de tout et oublier mes faiblesses! Tu rentres chez moi?
— Si, tu ne m’en veux pas?
— Pourquoi? Tu n'es pas responsable de tes amis!
J'ouvre la porte et nous rentrons. Je me rue dans la salle de bain; j'ouvre les robinets, je parfume à la folie l'eau du bain. Je cours à ma chambre et je jette mes vêtements, caleçon compris, au milieu de la pièce. Je me retourne et je vois José qui me regarde faire. Surpris, je cache mon sexe avec ma main.
— T'es pressé! me dit-il en souriant.
— Plus qu'un peu, lui rétorquais-je.
— Que caches-tu avec ta main?
— Je. Je. Hébé...
— Tu sais, je t'ai déjà maté sous la douche aux vestiaires! Il me semble petit!
— Ah oui? Dis-je en rougissant.
— Tout ce qui petit est mignon!
Il s'approche de moi, me pose ses mains sur mes épaules, se penche vers ma bouche et y dépose un baiser. Ses yeux brillent de plaisir. Avec un sourire narquois au coin des lèvres, il me dit:
— Je voulais te remercier pour ce que tu as fait dans la cave. C'était vraiment cool.
Je le regarde en souriant et je lui dis:
— J'en supportais assez sans que toi tu en subisses. C'est moi qu'ils voulaient!
Son sourire s'accentue, je vois ses dents briller et il me dit:
— Va te laver, je viens pour te savonner le dos...
Et joignant le geste à la parole, il commence à se déssaper. Son sexe pend le long de sa bourse, la dépassant. Sous mon regard, il commence à gonfler, à se tendre, pour former un pic. Il s'approche de moi, pose ses lèvres sur les miennes, sa langue fraye un passage, caresse la mienne, s'enfonce et remplit toute ma bouche. Je fonds. Je m'abandonne à ce baiser tendre et fougueux. Il passe ses mains dans mes cheveux caressant ma nuque d'une main, tandis que l'autre descend le long de mon corps, titillant au passage la pointe de mes seings, effleurant mes abdos, mon nombril, écartant mes mains pour saisir ma verge avec deux doigts, tandis que les trois autres jouent avec mes couilles. Je bande sous l'effet de cette caresse. Il me lâche, je recule.
Enfin, je peux le mater: un corps fin, taillé en V; une peau fine et mate; une touffe de poil très brun décore sa poitrine entre les deux pectoraux bien dessinés mais fins; de sous ses bras jaillissent des poils frisés mi-longs. Une ligne de duvet courre sur ses abdos pour finir dans une forêt vierge abondante, drue, qui entoure son sexe et ses bourses bien remplies par une paire de boules presque rondes, lourdes. Des jambes poilues et musclées achèvent ce tableau.
Je rougis quand je m'aperçois qu'il devine mon intérêt pour son corps. Ce qui m'a empêché de débander. Brutalement il me retourne, me met une claque sur les fesses et me dit: «Au bain!» Je cours me réfugier dans la baignoire. Il arrive majestueux, ses couilles ballottant entre ses jambes, son sexe droit à moitié décalotté, le sourire aux lèvres, heureux et content de mes réactions. Il entre dans la baignoire, se glisse dans mon dos, m'enserre avec ses jambes, dépose un baiser dans mon cou. Il prend du gel douche et commence à me frictionner le dos. Ses doigts dansent le long de mes épaules, de mes pectoraux, descendent le long des mes bras, remontent et caressent mes côtes, mes aisselles. Je m'abandonne sous l'effet de son jeu de main, rejetant la tête en arrière, m'appuyant de tout mon poids contre son corps. Je sens son membre dur. Ses mains se remettent en mouvement le long de mes côtes, arrive au pli de mes jambes, glissent vers mon pénis. De la droite, il s'en saisit et commence à me le décalotter.
— Il faut le laver, me dit-il en faisant jaillir mon gland.
Avec un doigt, il le frotte, le glisse sous mon prépuce, titille le nerf. L'autre main cherche mes boules, les attrape, les caresse, les palpe. Quel pied! Je sens que je vais partir dans l'eau tiède du bain! Je me crispe quand il m'embrasse dans le cou. J'explose, me vidant complètement. Il en profite pour accentuer son baiser, en faire un suçon. Heureux, amorphe, je me laisse faire. Il m'essuie et me pousse vers mon lit.
— Tu as un corps d'ado imberbe avec du duvet blond.
— Je ne fais pas mon âge...
— Comme tu dit. Ton sexe est mignon.
— Tu parles, il est si petit que j'en ai honte!
Je le regarde, bandant comme un taureau en rut au pied de mon lit:
— Tu veux me faire l'amour, que je te suce?
— Non! Après tes aventures, on verra demain si tu es remis de tes émotions! Je ne veux pas t'imposer des relations que tu regretteras ou que tu ne supporterais pas.
Sur ces mots, je sombre dans un sommeil agité où je rêve de mecs à poil qui m'attachent en m'écartant les bras et les jambes à quatre pattes, me défonçant la gorge avec leurs sexes gros comme mon avant bras, me prenant par la nuque pour que je les avale entièrement. Je n'y arrive pas. Une sensation me tire de mon cauchemar. Lentement j'émerge tout en me touchant: J'ai la trique et une tache blanche de foutre sur mon bas-ventre! José dort à mes côtés en chien de fusil, tourné vers moi. Il a dû se branler sur moi. Il bandait trop hier soir. Dans mon sommeil, il me semble que j'ai vu une ombre qui s'agitait. Cette vision a dû entraîner mon délire.
Curieux, je soulève légèrement le drap, je vois son pieu gonflé, dur. J'ai envie de le faire jouir! Je plonge ma main et doucement je le saisis. Tout en faisant attention à ne pas le réveiller, je le caresse, je le décalotte. Sur son gland violacé, quelques gouttes de sperme apparaissent. J'ai envie d'y goûter! Je glisse ma tête sous le drap jusqu'à son sexe, je lèche son bout, juste sur la fente, pour récupérer les gouttelettes. Je veux le faire jouir. Sans aucune retenue, je gobe son membre. Je le suce comme un esquimau, maladroitement, l'enserrant entre mes lèvres, ma langue caressant sa veine. Il grossit, occupe toute ma bouche, prêt à exploser.
Brusquement, sa main se pose sur ma tête, bloque mes mouvements. Ses jambes se soulèvent et s'écartent légèrement pour m'offrir complètement ses couilles. Il pousse ma tête vers ses boules pour que je les suce. Je m'exécute! Je les lèche à grands coups de langue, puis je la glisse entre sa bourse et ses jambes, descendant jusqu'à la naissance de son pénis. Je remonte le long de son dard. Je le reprends et je le mets de biais pour l'avaler entièrement. Dans un râle, il jouit à mort. J'en ai plein la bouche. Il se retire. Je déglutis pour avaler son jus. Son gland est encore congestionné, une goûte perle au méat. Je la récupère.
Je lève la tête et je contemple José en moitié endormi, qui sourit, heureux, les yeux mi-clos. Ma main est posée sur son sexe. Il se met à me caresser mes cheveux tendrement. Il pose ma tête au creux de son épaule tout en me murmurant:
— On est bien tous les deux. Tu t'es remis d'hier?
— Oui! Dis-je en retirant ma main de son sexe.
— Laisse-là où elle est! Il est pour toi et à toi!
— C'est vrai?
— Sûr! Tu ne l'as pas compris quand j'ai craché! C’était tellement bon! Tu veux que je te fasse un aveu: c’était la première fois!
— C'est la première fois qu'on te suce? Je suis heureux que ce soit moi qui l'ai fait.
En disant cela, je me pelotonne contre lui, remets ma main sur son sexe tandis que José glisse sa jambe entre mes cuisses, caressant au passage doucement mes boules, et plonge dans un sommeil profond. Je le regarde dormir, véritable visage d'ange heureux et amoureux; tout en somnolant sans bouger, gardant au chaud sous ma main son sexe. C'est tellement excitant que je finis par imaginer tout le plaisir qu'il va me donner et que je vais prendre: un pied d'enfer!
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