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Dimanche 5 août 7 05 /08 /Août 22:39

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je m’appelle Yves et j'ai 28 ans. Je suis brun et j’ai un physique d’adolescent. Je n’ai pas très bien vécu le divorce de mes parents et je rêvais d’indépendance. J'ai arrêté mes études assez tôt pour chercher un emploi et me loger. J'ai réussi à décrocher un petit job de secrétariat dans une société d’import export. Il me permet tout juste de boucler mes fins de mois. En quelques mois, mon sérieux, ma ponctualité ont joué en ma faveur. Le patron m’a fait venir dans son bureau pour me faire une proposition. Sa secrétaire devant s'absenter pour un congé maternité, il me proposa d’assurer l’intérim.

— Je préfère cette solution! m’a-t-il dit. Tu connais la boîte et tu te familiariseras plus vite qu’une personne étrangère à la société.

Le patron est un type qui en impose et, sans en avoir peur, je peux affirmer qu’il m’impressionne. Devoir travailler en direct avec lui, me faisait vraiment peur et m’angoissait. Mais, d’un autre côté, mon salaire allait augmenter de 40%... Ce qui n’était pas négligeable!

— Je te donne deux jours pour y réfléchir et prendre ta décision! N’oublie pas que pour tenir ce poste, j’ai besoin d’une personne disponible!

J’ai donc accepté le travail et je suis entré en fonction trois jours plus tard. Au bout de quinze jours, alors que nous étions les deux derniers dans les bureaux, il m’a parlé:

— Jusqu’ici, je suis très content de ton travail...

— Y a-t-il un «mais», monsieur?

— Non... Quoique! Il me reste à évaluer certaines de tes aptitudes. Pour travailler avec moi, il faut être entièrement dévoué.

— Je sais, monsieur. Je pense que...

— Chut! Tu ne dois jamais contredire un de mes ordres. Es-tu prêt à l'accepter?

— Euh... oui, monsieur... Je vais essayer de...

— Ce n'est pas suffisant d’essayer. Il me faut du concret.

J’étais un peu paumé. Tous ces propos étaient bizarres.

— Le travail de la société m'accapare énormément. Je n'ai pas le temps de mener une vie personnelle et intime en parallèle.

— Je comprends que vous exigiez de votre secrétaire.

— Ta gueule!

Il a écarté son siège à roulettes du bureau. Sa queue jaillissait de sa braguette ouverte.

— Allez! Suce!

Tel un animal apeuré devant un prédateur, je me suis laissé hypnotiser par son engin monstrueux. Je l’ai pris en bouche.

— Tu aimes?

— Oui, monsieur.

— Continue à pomper et réponds à mes questions en agitant la tête. Es-tu prêt à ne plus porter de sous-vêtement sous ton pantalon?

J’ai agité la tête pour dire oui.

— Es-tu prêt à me sucer à quatre pattes sous ce bureau pendant que je reçois des clients?

— Oui, monsieur!

— Enlève ton pantalon pour me sucer!

J’ai obtempéré directement.

— Tu as un beau cul. Donc, tu as bien compris... plus de slip ni de caleçon... Cul nu sous ton pantalon! Je veux que tes fesses soient immédiatement accessibles.

— Oui, monsieur!

Il a ouvert un tiroir et posé un large gode sur son bureau.

— Enfonce-toi ça au fion!

— C’est... c’est très gros... je...

— Ne pas contredire un seul de mes ordres!!! As-tu déjà oublié tes résolutions? Je vais te punir pour ça. Debout sur mon bureau et descends doucement sur cet autre gode...

Ce deuxième gode était beaucoup plus grand et gros. J’avais très peur. J’ai pourtant réussi à me l’enfoncer jusqu’à la garde et à m’agiter dessus;

— C’était ta première impertinence! Au bout de trois ce sera le licenciement immédiat sans même la possibilité de retrouver ton ancien poste. Tu es à mon entière disposition. Est-ce bien clair?

— Oui, monsieur!

Je commençais à me rendre compte de ce qui m’arrivait. J’allais devenir un jouet sexuel pour un homme vicieux et sadique. Il m’a retourné sur ses genoux pour me donner la fessée. J’ai un peu gémi de douleur et puis j’ai trouvé la sensation plus supportable.

— Je vois que tu commences à t’habituer. Tu vas sûrement aimer devenir ma petite pute docile, ma petite salope perverse. Je vais te faire progresser dans ton rôle d’objet pour le plaisir!

Il m’ordonna de m’installer à quatre pattes sur son bureau et il me contourna. Je ne le voyais plus; j’étais inquiet. Il ôta le gode pour le remplacer par autre chose.

— Voici TON bouche-trou. C’est un butt plug qui devra toujours être en place sur ce lieu de travail. Il sera enlevé lorsque j’ai envie de me servir de ton trou.

Il poussa bien le plug à fond. Soudain, sa main claqua violemment sur mon cul. Il recommença. Comme j’avais émis un léger cri de surprise mêlé à un autre de douleur, il pousse mon slip en boule dans ma bouche. La fessée reprit jusqu’à me tirer des larmes. Seul mon père qui était très sévère m’avait déjà donné ce type de châtiment.

— Un cul de salope, ça doit être net sans poil! Pour demain, tu vas me nettoyer ta raie et la rendre impeccable!

J’ai agité la tête.

— Ton cul est bien rond et musclé. Ça c’est bien! Tu fais de la musculation?

J’ai agité la tête pour dire non.

— Réponds!

La bouche encombrée par mon slip, j’ai du fournir un effort incroyable pour sortir un son correct de ma gorge.

— Non, mechieu. Che fais de la natachion.

— Très bien! Quand, j'en aurai fini, avec toi, aujourd’hui, je te donnerai le reste de ta journée. Tu iras t’occuper de ton corps. Tous les soins à y apporter sont écrits sur cette liste. Lève-toi.

Je me suis dressé sur la table.

— Au sol! Descends! Je t’interdis de perdre ton plug et de le tenir avec tes mains. Sers-toi de ton cul pour le serrer.

Je suis descendu en essayant de garder le bouche-cul. J'étais debout devant lui, les yeux baisés.

— Il y a aussi ces tétons qui sont bien minuscules! On va arranger ça!

Il sortit, d’un tiroir de son bureau, deux petites pinces reliées par une double-chaîne argentée.

— Je sais que n'es pas encore habitué à tous les traitements que je te réserve. Tu finiras par tellement les apprécier que tu en redemanderas. Sais-tu à quoi servent ces pinces?

— Non, mechieu!

— Elles servent à travailler les tétons, à les faire «bander»... Tu vas, toi-même, en poser une sur chacun de tes tétons. Tu vas voir, au début, la douleur est assez forte mais, ensuite, ça va te plaire! La seule chose, c’est qu’on ne peut jamais oublier qu'on les porte.

Il m’a tendu les pinces et, les yeux remplis d’angoisse, j’allais devoir les placer sur mes pointes sensibles. Le froid de l'acier me fit frissonner. Elle était maintenant ouverte, prête à emprisonner mon téton. La douleur fulgurante m’arracha encore des larmes. Il était en face de moi, terrible.

— C'est une épreuve très difficile, mais je suis sur que tu vas la réussir. Tu les garderas toute cette première journée. Demain, je veux voir tes pointes déjà bien dures et dressées. Tu pourras les retirer chez toi... pour la nuit! C’est à moment là que la douleur sera la plus forte.

— Oui, mechieu!

— Bien, nous allons continuer l'interrogatoire. Combien d'hommes as-tu connus jusqu'à maintenant?

— Aucun, mechieu!

— Aucun? Tu as pourtant l’air d’une fameuse petite salope... Soit! J’espère que tu ne me mens pas... sinon...

— Non, mechieur! Ch’est juré!

— Quand as-tu fait l'amour, la dernière fois?

— Il y a quinche jours!

— Avec une femme donc?

— Oui, mechieu!

— De la société?

— Oui, mechieu!

Un large sourire a éclairé son visage et il a pris quelques notes.

— Son prénom!

— Marianne.

— Tiens donc...

Nouveau sourire.

— Tu te branles souvent?

— Oui, mechieu.

— C'est à dire? Une fois par semaine, tous les trois jours, tous les jours?

— Tous les chours, mechieu!

— Plusieurs fois par jour?

— Cha arrive, mechieu!

— Tu t'es déjà branlé au bureau?

— Oui, mechieu.

— Où?

— Dans les toilettes, mechieu.

— Seul?

— Oui, mechieu!

— Tu étais excité par quelque chose de précis?

— Non, mechieu!

— À partir de maintenant, je t'interdis de te branler sans en avoir obtenu mon autorisation. Ici, chez toi ou ailleurs. Est-ce assez clair?

— Oui, mechieu.

— Si tu as été bien obéissant toute la journée, je te téléphonerai cette nuit chez toi pour te demander de te branler. Ce sera comme ça, tous les jours...

— As-tu déjà pompé une bite?

— Non, mechieu!

— Tu vas te rattraper! Tu me suceras deux ou trois fois par jour et tu avaleras mon foutre chaud jusqu'à la dernière goutte. Il arrivera certains jours que mon jus soit ton unique nourriture. J'aimerai te voir travailler toute la journée devant moi en sachant ton estomac uniquement rempli de mon sperme. Tu vas devenir un petit être pervers et tu seras enculé régulièrement. Ton petit trou servira plus que tous les autres. Il sera même forcé en permanence par des accessoires que je te ferai découvrir.

Je l’écoutais accumuler des horreurs sur moi, sur ce que j’allais devenir. J’étais KO!

— Tu vas devenir une vraie petite pute au trou toujours ouvert et accessible. C’est clair?

— Oui, mechieu!

— Avant que je te lâche, tu vas me prouver que tu as tout compris. Dis moi une chose... demande-moi une chose que tu n’as jamais demandée à personne...

— Quoi donc, mechieu?

— Cherche bien. Réfléchis!

— Demande-moi de «prendre» quelque chose que tu n'as jamais donné.

Je suais. J’angoissais.

— Allez... grouille... Quelle partie de ton corps n’as-tu jamais offerte à un homme?

— Mon anus, mechieu!

— Tu vois comme tu peux être malin! Tu vas me demander de te baiser!

— Oui, mechieu! Baichez-moi...

— Ouh la! Tu vas le demander mieux que ça. Beaucoup mieux!

— Mechieu, voulez-vous me baicher?

— J'ai dit... mieux que ça.

— Mechieu, auriez-vous la bonté de bien vouloir m'enculer.

— C'est mieux, mais fait un effort. Essaie d’éviter les punitions. N’oublie pas que tu n'es plus qu'une petite pute. Encore mieux que ça!

J’ai pris sur moi et je lui ai servi ce qu’il voulait.

— Mechieu, ch'il vous plait, enfilez-moi par mon petit trou de pute. Défonchez-moi mon trou de salope. Enculez votre petite pute choumise!

J’avais un peu de mal à comprendre ce qui m’arrivait, ce qui me poussait à satisfaire les désirs de cet homme autoritaire. J’étais nu. J’avais des pinces accrochées aux tétons et un plug au cul. Cet homme avait fait de moi une larve, une lopette soumise... et ce n’était que le début!

— Approche-toi du bureau. Comme ça... Écarte bien les cuisses et penche-toi en avant, le torse sur le bureau.

Une fois de plus, j’ai directement répondu à ses ordres pour lui être agréable... et sûrement aussi pour éviter toute punition. La position qu’il venait de me faire prendre me rappela douloureusement mes tétons meurtris par les pinces. Je sentais mon cul, envahi par le plug, pris de contractions. Le patron ouvrit un de ses tiroirs d'où il sortit un tube de gel. Il passa derrière moi, ôta le plug et me badigeonna le trou de lubrifiant. Je me mis à frissonner autant d’excitation que de peur. Je savais ce qui allait suivre. C’était moi qui l’en avait supplié! Il massa doucement mon anus puis il introduit un doigt dans mon sphincter. Au bout d’un moment, il était passé par deux, trois puis quatre doigts. J’allais bientôt avoir toute sa main profondément plantée dans mon petit trou. Je souffrais, j’avais des larmes plein les yeux. Il retira ses doigts et j'entendis alors le zip de son pantalon. Un claquement me fit comprendre que la capote était en place.

— Tu vas l’avoir, mon cochon! Tu vas bien en profiter de ma bite!

Son gros gland se posa sur mon anus et lentement il en força l’entrée. Malgré le travail de ses doigts, il rencontra une certaine résistance, puis mon sphincter se détendit et son sexe s'enfonça jusqu'aux testicules.

— Respire! Respire à fond! J’y suis...

Il resta un instant sans bouger, puis il commença à s’agiter en moi. Ses mouvements d’abord assez doux devinrent plus rapides. Mon corps projeté vers l’avant, obligeait mes tétons harnachés de pinces à se frotter contre le bureau. Mes larmes inondaient mon visage, mon cou et ma poitrine.

— C’est bon, hein, sale pute? C’est bon, la bite bien dure de ton Maître?

Il ressortit complètement de mon anus endolori pour s’y réintroduire immédiatement. Il procéda ainsi jusqu'à exploser dans mes entrailles. Il ahanait comme un porc. Une de ses mains s’était glissée sous moi et il commença à caresser ma queue. Il m'amena ainsi au bord de l'orgasme mais il s’arrêta brusquement.

— Tu ne mérites pas de jouir maintenant! Il te faudra attendre...

J’étais au bord de l’évanouissement. Il enleva sa capote et essuya son sexe sur mes fesses.

— Debout! Bien droit devant moi!

Je sentais sa semence ruisseler sur mes fesses et mes cuisses.

— Je t'interdis de t'essuyer. Tu le feras ce soir quand tu seras rentré chez toi. Remets tes vêtements et va porter les mémos dans les bureaux.

— Pas dans chette tenue, mechieu!

— Si! Si, petite salope...il faut bien t'habituer à ta condition.

— Mais «ils» vont voir que...

Sa main frappa violemment ma joue et je me suis écroulé à ses pieds.

— Aujourd’hui ou un autre jour, ils finiront par savoir... comme ils ont su pour toutes mes salopes! Après toi, il y en aura d’autres... C’est moi le patron ici!

J’ai porté la main à ma bouche pour enlever mon slip roulé en boule. J’ai reçu une nouvelle claque.

— Pas avec cha dans la bouche?

— Bien sûr que si!

Je me suis relevé et j’ai commencé à pleurer toutes les larmes de mon corps. Il n’a pas plié. Assis à son bureau, il m’a regardé me rhabiller, prendre les mémos et me diriger vers la porte.

— Enlève le slip de ta bouche!

Je me suis retourné. J’hésitais.

— À la prochaine rouspétance, c’est à poil avec ton plug que tu feras ton travail à chaque étage!

— Bien, mechieu!

J’ai ôté le slip et l’ai jeté dans la poubelle qu’il me montrait.

— De toutes façons, tu n’en auras plus besoin! Va porter les mémos... Avant de rentrer chez toi, tu reviendras ici pour reprendre la même position que tout à l'heure. Je devrai te remettre le butt plug!

De retour après mon travail de coursier, il me remit donc le plug puis me questionna encore.

— Tu as déjà été fessé, n’est-ce pas?

— Il y a longtemps. Mon père le faisait pour me punir, monsieur!

— Il te fessait sur tes vêtements?

— Oui, monsieur.

— Avec moi, ce sera cul nu! Tu finiras aussi par aimer ça... Tes fesses seront celles d'un esclave. À partir d'aujourd'hui, elles seront frappées régulièrement à la cravache. Tu seras fessé tous les jours. Si c’est nécessaire, je le ferai devant témoins! Pour commencer, choisis le nombre de coups que tu crois mériter!

J’étais une fois de plus coincé entre l’envie d’être raisonnable et la peur d’être trop modeste.

— Dix, monsieur!

— C’est trop peu... J’avais pensé à quinze mais comme tu n’en voulais que dix... je vais monter à vingt! Vingt pour moi et dix pour toi... ça fera trente! Tu prendras aussi l’habitude de dire «merci» après chaque coup...

— Oui, monsieur!

Il me donna l’ordre d'allonger les bras sur le bureau. Il me montra la cravache et il leva son bras armé pour l'abattre violemment sur mon cul. Mon cri fut perçant.

— Alors?

— Merciiiiiii, monsieuuuur!

— Premier oubli! C’était un coup pour rien...

Il recommença avec autant de violence mais en s'efforçant de frapper un autre endroit.

— Merci, monsieur!

— C’est mieux!

Au bout de dix coups, mes fesses étaient en feu et chaque coup m’envoyait valdinquer sur la tablette du bureau.

— Écarte-toi du bureau! cria-t-il. Sans plier les genoux, penche-toi en avant pour essayer de toucher tes genoux avec ton nez. Mieux que ça! Encore plus, sale pute! Maintenant, tu vas garder cette position en saisissant tes fesses avec tes mains pour bien écarter ta raie.

Il reprit son travail de bourreau, m’obligeant à lui offrir la partie charnue de mon cul à sa cravache. Il frappa dix fois ma raie écartelée et mon anus envahi par le plug.

— Nous en resterons là pour aujourd’hui!

Épuisé, je suis tombé à genoux en gémissant.

— Ah non, pas de ça avec moi! Assume! Assume, sale pute! Cette place, c’est ton choix! Puisque tu es à genoux, restes-y! Prends ceci...

Il m’a fourré sa pine dans ma bouche et je l’ai sucé.

— Bras derrière le dos! Bois tout!

Il a commencé à me pisser à la gueule et, le regardant dans les yeux, j'ai ouvert les lèvres pour que son urine inonde ma bouche.

— Ce sera ton repas de ce soir!

— Merci, monsieur!

— Je pense que tu as parfaitement compris ce que j'attendais de toi. Je pense que nous ne nous sommes pas trompés et que cela nous promet de belles perspectives. Tu aimes souffrir, tu vas être servi. Tout ce que tu as vécu aujourd’hui n'est que le début...

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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