Visiteur de mon blog

Compteur Global

 

 

Profil

  • babaslebatard
  • Le blog de babaslebatard
  • cuir pisse jus batard
  • bon batard de reims

Jeux

ATT00002.jpg

logo_gratorama_fr_0.png

12.gif

jeux.png

Bannières bonne adresse a reims

logo.png

521281_366782503376505_1942711169_n.jpg

photo.jpg

logo-tunnel.png

buffalo_logo.png

L'actu presse

logoUAOK.jpg

images--1-.jpg

 

Bannières amis

  • DOIGT.gifpurb2900eeb4a6afc14.gifpur1b553514b074d3af.gifpur7ab41e1511b08c74.gifpurcf76acf32979b5dd.gifpurf6797784ad9b0907.gif

Bannières

874401315506344-7Ebp--1-

allredallblack.jpg

158 1 (1)

20131001024554M

9-gay-beur-gay-rebeu-gay-arabe-bledar

mathieu-ferhati-atlant-adam-gabriel-paris-sketboy-sneaker-g.jpg

 

1667 sponsor

Bannière site pisse

tumblr_mnkoogm3hK1r1u480o1_1280.jpg

Bannière cite zoo

Images Aléatoires

First 7Frist 4

tumblr mxmor5s1ng1ruyqizo1 400

tumblr mwnua4a7Di1t1p07co1 r1 400

tumblr mfv493YkjL1s15ugoo1 500

l6UaXmLnqO6s

Bannières site scat

tumblr mw610yeM4F1t1p07co4 1280

scatphil
tumblr_mpbfj2MdZB1ryonkio1_500.jpg

photo-fetes-drapeau-gay,5203

livre d or

dyn004 original 200 129 gif 2622397 5183987aa208da-copie-1

Moi au Maroc

2055 1095388427767 1318285446 280200 5342 n

CATÉGORIES

Bannières site fist

tumblr mjf9an9elq1qg4n09o1 400

GAY_FISTING_EXTREME_FIST_DOUBLE_Felix_Barca_Schaaf-copie-1.jpg

tumblr mmhh1oAr821s35h5io1 400

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Vendredi 3 août 5 03 /08 /Août 00:54

tumblr m7ekb1ZiK91qg4n09o1 500l3l79Pglc8oa

Après avoir appris mon homosexualité, mon père a cherché à m’en détourner en me livrant à des mecs vicieux qui ont abusé de moi, m’ont soumis et humilié. Voyant que j’en redemandais, mon père a décidé de profiter de la situation en me louant à des hommes dans un sex-shop, tenu par Xavier.

Après la soirée au sex-shop, mon père et moi sommes rentrés sans parler. J’étais toujours aussi excité, j’avais envie de queues, mais je ne savais pas comment en trouver tout seul. Pendant presque une semaine, j’ai dû m’en passer. Mon père n’était presque jamais à la maison, son travail lui prenait beaucoup de temps. J’étais en manque. J’ai fini par prendre mon courage à deux mains pour lui demander quand il me ramènerait dans cet endroit. Il a sourit :

— T’as envie d’y retourner ? T’es encore pire que ce que j’imaginais. Mais ça me fait du fric, alors prépare-toi, on y retourne demain soir.

Le lendemain, pendant les cours, je ne pensais qu’à ça. J’étais tellement excité qu’à midi, au lieu d’aller déjeuner à la cantine, je me suis précipité aux toilettes pour me branler. Je suis entré dans une cabine, j’ai baissé mon jean et j’ai commencé à me masturber en me caressant le trou. J’ai entendu du bruit à côté, des gémissements : c’était clair, quelqu’un d’autre se branlait dans la cabine voisine ! Je me suis penché pour regarder sous la cloison : c’était un garçon de mon âge, mais d’une autre classe, qui se masturbait. Il avait une belle queue, qu’il faisait aller et venir dans sa main. Ça m’excitait encore plus ! Soudain, il a baissé les yeux et m’a aperçu. Il s’est arrêté quelques secondes, surpris. Comme je ne bougeais pas, il s’est remis à se branler en me souriant. Très vite, il a jouit. C’était impressionnant ! Son sperme a jailli en grande quantité, s’est écrasé sur la cloison, a coulé par terre. Il s’est essuyé la bite et est sorti. Je suis alors entré dans sa cabine, je me suis agenouillé et j’ai léché son sperme sur le mur et sur le sol. C’était délicieux. Je me suis masturbé en avalant ce foutre. Quand je suis enfin rentré chez moi, mon père n’était pas là. J’étais déçu, j’avais tellement hâte qu’il m’emmène au sex-shop ! J’ai trouvé un mot dans la cuisine : « Luc. Va sans moi au sex-shop. Xavier s’occupera de toi. ». Mon frère était dans le salon. Est-ce qu’il avait lu le mot ? Depuis le début, il avait l’air de savoir ce qui se passait. Je ne lui avais parlé de rien, et je voyais mal mon père lui expliquer la situation. Malgré tout, il avait forcément compris qu’il se passait quelque chose. Et là, ce mot, qu’il avait dû lire (il était posé en évidence sur la table), était assez explicite. J’ai pris le bus pour aller au sex-shop. En arrivant, Xavier m’a reconnu. Il m’a accueilli avec un grand sourire, et m’a fait la bise.

— Salut toi ! Tu vas bien ?

— Oui, merci.

— Je t’ai préparé les mêmes vêtements que la dernière fois. Va te préparer.

Je me suis changé dans une petite pièce attenante. J’ai enfilé le jock-strap et le t-shirt déchiré aux seins. Quand j’ai retrouvé Xavier, il avait l’air ravi :

— T’es superbe ! T’as eu un succès fou la dernière fois. Je me suis fait pas mal de fric grâce à ton père, tu sais ! Et lui aussi, d’ailleurs. Ça te va, tout ça, au moins ? T’as déjà pas l’âge légal pour entrer ici, en plus j’ai pas le droit de cautionner la prostitution… Alors faudrait pas qu’avec tout ça tu sois pas consentant !

— Non, non, ne vous inquiétez pas. Je suis d’accord.

— Cool ! Bon, écoute j’ai pas vraiment le temps de descendre avec toi, alors tu fais comme la semaine dernière, sauf que c’est à toi d’annoncer les tarifs. Tu prends l’argent avant de baiser, et si un mec profite de toi sans payer, tu viens me voir aussitôt, je m’occuperai de son cas. Ok ?

— Ok.

Je suis descendu. Il n’y avait pas beaucoup de monde, alors je me suis promené dans les couloirs. Dans les cabines, j’ai bien croisé quelques mecs qui se masturbaient, mais aucun n’a fait attention à moi. Je ne savais pas comment les aborder. Pourquoi, quand mon père était là, les mecs sentaient-ils de façon si évidente qu’il y avait du cul dans l’air ? J’étais habillé comme une pute, et depuis 10 minutes que je marchais dans ces couloirs, personne n’était venu m’accoster. Je suis passé devant un miroir, et j’ai compris. Malgré mon t-shirt trop court et mon cul à l’air, j’avais l’air terriblement sage. Avec ma petite mèche sur le front, mes grands yeux innocents, ma petite taille et mon corps menu, j’avais plus l’air d’un petit garçon perdu que d’une pute à prendre. Je repensais à mon père, à sa gueule de voyou, à ses bras tatoués… Lui, dans cet endroit, il se fondait dans le décor. Moi, j’avais l’air d’attendre mes parents pour rentrer !

J’ai décidé de faire comprendre aux hommes pourquoi j’étais là. Je suis entré dans une cabine, je me suis mis à 4 pattes, j’ai cambré mon cul en écartant les cuisses, j’ai posé ma joue par terre, entre mes mains. Par la porte ouverte, les mecs qui passeraient pourraient voir mon jock-strap, mon cul tendu, et comprendre aussitôt qu’il n’y avait plus qu’à venir s’y vider.

Ça a très bien marché ! J’étais là depuis à peine 30 secondes quand des mains m’ont caressé les fesses. J’ai bougé mon cul, un doigt s’est enfoncé en moi, je gémissais déjà. Le type est venu face à moi, sa queue était sortie, je l’ai prise en bouche. Que c’était bon ! Je n’y avais pas eu droit depuis une semaine. Il n’était pas très bien monté, seul son gland était assez gros. Je l’ai sucé avidement, il prenait ma tête dans ses mains pour m’imposer un rythme soutenu, je sentais sa bite qui allait de venait dans le fond de ma gorge, ses couilles poilues contre mon menton, son odeur de mâle… J’étais terriblement excité. Autoritaire, l’homme m’a retourné brutalement et a promené sa queue sur ma raie avant de positionner son gland contre mon trou. Il a essayé de me pénétrer, mais ça ne passait pas. Il m’a frappé les fesses, a craché sur ma raie, a étalé sa salive avec son gland, puis a recommencé. Ça rentrait mieux cette fois, mais j’étais toujours serré. Je l’ai senti passer ! Je serrais les dents, j’avais mal mais j’en avais tellement envie ! Il m’a limé avec rage, ça n’a pas duré longtemps : j’ai senti ses mouvements s’accélérer jusqu’à ce qu’il me remplisse en râlant. Il s’est retiré, j’ai voulu lui lécher la bite mais il l’avait déjà rentrée dans son pantalon. Je l’ai enfin vu : un homme d’une petite trentaine d’années, petit, trapu. Pas vraiment beau, mais pas repoussant non plus. Je m’en foutais : je m’étais fait baiser, c’est tout ce que je voulais. Il est parti.

Je me suis alors rendu compte que je ne lui avais pas demandé de payer. Tant pis. Après tout, moi, je ne voulais pas d’argent. J’ai repris ma pose.

Quelques minutes plus tard, une nouvelle queue s’est enfoncée en moi. Je n’ai même pas eu à sucer, le mec m’a pris direct, sans rien dire. Il m’a limé de longues minutes avant de se retirer pour jouir sur mon cul. Je sentais son sperme chaud couler sur mes fesses, sur mes cuisses. J’ai passé ma main pour en récolter une partie et me lécher les doigts. J’ai ensuite sucé un jeune type, il devait avoir à peine plus de 20 ans. Sa tête me disait vaguement quelque chose. Il a jouit dans ma bouche. Puis deux autres hommes m’ont pris, en même temps : j’en suçais un pendant que l’autre m’enculait, puis inversement. C’était trop bon ! Je me déchainais sur leurs queues, qui étaient très larges et assez longues. Ils ont jouit ensemble dans ma bouche, alors que j’étais allongé sur le dos.

Enfin, un type m’a payé. Il n’a même pas demandé les tarifs, il m’a baisé et a éjaculé au fond de mon cul avant de partir en me jetant trois billets de 20 euros. Je suis aussitôt remonté les donner à Xavier. Il a eu l’air surpris :

— C’est tout ? Ça fait plus de deux heures que t’es en bas, et tu me rapportes 60 euros seulement ?

— Ils n’ont pas tous payé.

— Je t’avais dit de monter me voir quand un mec refusait de payer !

— C’est ma faute. J’ai oublié de leur dire qu’il fallait payer.

Il en est resté interdit. Il me regardait avec de grands yeux, stupéfait.

— Tu as oublié ? Mais… Ils t’ont baisé, ou pas ?

— Oui.

— Mais je… Pourquoi tu les as laissés faire ?

— Ben… Parce que j’en avais envie.

— T’en avais envie ? Vraiment ?

— Oui.

— T’as 16 ans, t’es mignon comme tout, et t’as ENVIE de te faire baiser par des mecs qui ont deux ou trois fois ton âge dans une cabine de sex-shop ?

— Oui.

— Je pensais pas que t’étais aussi salope ! Je croyais que tu faisais ça parce que vous aviez besoin de fric.

— Non. Je ne sais pas si mon père a besoin d’argent, mais moi je le fais parce que j’aime ça.

— C’est encore mieux alors ! Je culpabilisais un peu, pour être honnête. C’est pas la première fois qu’il y a de la prostitution ici, mais j’avais jamais vu un mec aussi jeune le faire. J’étais persuadé que ton père t’obligeait.

— Il m’oblige, mais je suis content qu’il le fasse. Mais je ne dois pas trop lui dire, ça le met en rage que je sois gay.

— T’es plus que gay là… Tu sais que ça commence à me faire bander ? Je suis pas pédé pourtant !

— Vous voulez que je vous suce ?

— Non, ça va. Je baise pas avec des mecs. Même si t’es très mignon. Bon, je dirai pas à ton père que t’as oublié de te faire payer. Je lui dirai qu’il n’y avait presque personne ce soir, mais que t’as réussi quand même à sucer 3 mecs. Ça fait 60 euros. J’en garde la moitié, tu peux rapporter le reste chez toi.

— Je peux rester un peu ?

— Ouais, bien sûr ! Eclate-toi. Mais si t’arrives à faire payer les gars, c’est mieux, hein !

— Je vais essayer. A tout à l’heure !

Je suis redescendu. J’ai encore passé une bonne heure à sucer et à me faire prendre par n’importe qui. Je m’amusais beaucoup, je me sentais bien. J’avais envie de passer ma vie ici. Quand j’ai retrouvé Xavier, il était minuit passé.

— Ça va ? Pas trop fatigué ?

— Si ! Mais c’était trop bien !

— J’ai un très bon pote à qui tu plairais beaucoup, tu sais. Tu veux le rencontrer ?

— Bien sûr ! Maintenant ?

Il a éclaté de rire.

— Maintenant ? Même fatigué, t’as encore envie de te faire mettre ? T’es vraiment une salope !

— Je suis un peu fatigué, mais j’ai toujours envie.

— Il ne vit pas ici. Je lui parlerai de toi, ça lui donnera envie de venir.

— Quand vous voulez !

— Tu sais, on pourrait faire quelque chose pour lui donner envie de venir vite… Tu t’es déjà fait filmer ?

— Oui, pour des films de vacances.

— Non, je veux dire… T’as déjà été filmé pendant que tu baisais ?

— Non, jamais.

— On va essayer alors. Ça te tente ?

— Bien sûr !

— Redescends, alors. Mets-toi dans la cabine 5, et attends qu’un mec vienne.

— Il me filmera ?

— Non. J’ai installé des caméras de sécurité dans le sous-sol, l’une d’elles donne directement sur cette cabine. Tout sera enregistré, et d’ici je pourrai faire des gros plans sur toi.

— J’y vais !

Je me suis installé dans la cabine. Un mec n’a pas tardé à passer et repasser devant la porte ouverte ; voyant que j’étais tout disposé à l’accueillir il a finit par me rejoindre. Il était très mignon, viril, large d’épaules. Je lui donnais 28 ou 29 ans.

— Salut… Ça te dit de me pomper ?

Pour toute réponse, j’ai défait sa braguette. Agenouillé devant lui, j’ai pris sa grosse queue dans ma bouche et l’ai rapidement fait durcir. Il semblait apprécier, il dirigeait le rythme et me donnait des baffes à répétitions. Il s’est mis à me gifler avec sa queue, puis a descendu une main jusqu’à mon cul pour me doigter. En pensant au film, j’étais très excité. J’ai levé les yeux vers la caméra que j’ai vue au dessus de ma tête. Je me suis cambré pour lui faire comprendre que mes fesses étaient à sa disposition, mais il avait envie de profiter de ma bouche. Tout en me doigtant férocement, penché par-dessus moi, il s’excitait dans ma gorge. Il m’a finalement bloqué la tête contre ses couilles, sa queue bien enfoncée dans ma bouche, et a joui. Je n’ai même pas senti le goût de son sperme qui est tombé directement dans mon estomac. Il m’a tapoté la tête, comme à un gentil chien, a remballé sa bite et est parti.

Je suis remonté voir Xavier, qui avait l’air ravi :

— C’était parfait ! T’as assuré.

— Mais il ne m’a pas baisé.

— C’est pas grave, rien qu’avec ça on voit que t’es une bonne pute.

— Vous croyez que ça plaira à votre ami ?

— J’en suis certain. Même à moi, ça m’a plu, c’est pour te dire !

J’ai jeté un coup d’œil vers son entrejambe. On devinait la forme de sa queue en érection à travers son pantalon. J’ai souri :

— Ça vous a excité ? J’aimerais bien la voir.

— Petite salope… Ok, je te la montre, mais c’est tout ! Je suis hétéro, oublie pas !

Il a défait sa ceinture et sa braguette. Sa queue a surgit. Elle était magnifique ! Une bonne vingtaine de centimètres, très large, bien droite. Deux lourdes couilles, un gland énorme… J’en avais très envie ! J’ai avancé une main pour la caresser, mais Xavier ne m’a pas laissé faire :

— Pas touche ! Ton petit film m’a excité, parce que t’as bien fait ta pute, mais je veux pas aller plus loin. Au fait, je te donnerai une copie, si tu veux.

— Oui, je veux bien !

— Rentre chez toi maintenant. Il est tard. J’appellerai ton père pour lui expliquer pourquoi t’as pas plus de fric.

Je suis rentré me coucher. J’avais hâte de goûter à de nouvelles bites. Celle de Xavier a hanté mes rêves toute la nuit.

A suivre…

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés