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Jeudi 2 août 4 02 /08 /Août 00:23

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père, homophobe, a cherché à m’en détourner. Il m’a ainsi livré à des pervers qui ont abusé de moi. Voyant que ça ne me dégoûtait pas, il m’a prostitué dans un sex-shop tenu par un de ses amis, Xavier. Celui-ci m’a filmé en train de sucer un homme.

Au lycée, je continuais à fantasmer sur tous les garçons que je croisais. Il m’arrivait de rencontrer celui dont j’avais léché le sperme dans les toilettes, mais nous ne nous parlions jamais. J’allais très souvent me masturber, en imaginant que je suçais un prof, que je branlais le concierge, ou qu’un mec de ma classe me baisait… Je ne pensais plus qu’à ça. Heureusement que j’avais eu de très bonnes notes toute l’année, parce qu’arrivé en juin, je ne travaillais plus beaucoup.

Un vendredi après-midi, mon père est venu me chercher. J’étais en cours d’histoire, quand un des pions est entré dans la classe pour me dire de prendre mes affaires et de le suivre. Arrivé à l’accueil, j’ai vu mon père, en train de discuter avec le concierge. Celui-ci m’a regardé bizarrement, avec un sourire étrange. Mon père m’a dit :

- Tu ne vas pas en cours cet après-midi. J’ai parlé avec ton professeur principal, c’est arrangé.

- Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?

- Je t’emmène à l’hôpital.

J’ai paniqué. Est-ce que quelqu’un de ma famille était malade ? Est-ce que je devais subir des examens ? Est-ce que quelqu’un allait mourir ? J’ai suivi mon père. Dans la voiture, je l’ai assailli de questions :

- Qu’est-ce qui se passe ? Quelqu’un est mort ?

- Mais non.

- Pourquoi on va à l’hôpital ?

- On ne va pas à l’hôpital !

- Ah bon ? Mais… Tu as dit que… Mais, on va où, alors ?

- Chez un client. Je pouvais pas dire à tes profs que tu fais la pute, ils auraient appelé les services sociaux. J’ai quand même fait comprendre au concierge que t’aimais la queue, il a l’air vicieux alors y a pas de risque qu’il me pose de problème.

- …

- Au fait, Xavier m’a montré ta vidéo. Ça m’a donné des idées. Comme t’as ramassé que 60 euros au sex-shop la dernière fois, je vais faire un site internet pour te trouver des clients.

L’idée m’a tout de suite plu. Un site consacré à moi ! Un site sur lequel des hommes vicieux pourraient s’exciter grâce à moi ! C’était génial ! Mon père a continué :

- J’ai demandé à ton frère de s’en occuper, il se débrouille bien avec les ordinateurs.

- Christophe ? Il est au courant ?

- Au courant de quoi ?

- Ben… que…

- Que quoi ? Dis-le !

- Que je… que je suis gay.

- Que t’es une pute, tu veux dire, oui ! Bien sûr qu’il est au courant, tu crois que ça se voit pas quand tu reviens couvert de sperme ?

Je n’ai pas osé répondre. Après avoir roulé quelques minutes, nous sommes sortis de la ville. Nous avons traversé la banlieue, puis la campagne. Ça n’en finissait pas. J’ai fini par m’endormir.

Quand je me suis réveillé, nous étions garés devant une jolie maison assez isolée. Il était 18 heures. Autour de moi, il y avait des champs, un petit bois tout proche, une ou deux maisons à quelques centaines de mètres. J’étais seul. Mon père est alors sorti de la maison, accompagné d’un homme d’une cinquantaine d’années, très grand. Je l’ai détaillé quand ils se sont approchés : des cheveux poivre et sel, un peu de ventre mais une certaine prestance, un visage carré, buriné, mais souriant. Mon père m’a ouvert la portière :

- Je reviendrai te chercher dimanche soir. T’as intérêt à bien obéir à ce monsieur.

Il a pris le volant et est parti. Le « monsieur » m’a invité à le suivre. La maison était bien décorée, elle avait l’air assez grande.

- Tu t’appelles Luc, c’est ça ?

- Oui, monsieur.

- Tu peux m’appeler Gérald. Installe-toi. Tu veux boire quelque chose ?

- Non, merci.

Je me suis assis sur un canapé. Gérald s’est assis à côté de moi.

- Tu n’as pas froid ?

- Non.

- Alors déshabille-toi. Je veux que tu restes nu tout le week-end.

Pendant que je me déshabillais devant lui, Gérald me parlait toujours :

- Ne t’inquiète pas. Je ne suis pas méchant. Je ne te ferai pas de mal. Mais il faudra être gentil avec moi. J’ai donné beaucoup d’argent à ton père pour t’avoir pendant deux jours. Tu devras faire ce que je veux, dès que je le demande. Tu auras à manger, je te prêterai une chambre, où tu auras le droit de te reposer. Tu as un très joli corps. Tout mince. Et sans poil. Tu te rases ?

- Non.

- Tu as quelques poils au dessus du sexe, tout de même. Et entre les fesses ? Montre-moi.

Je me suis penché en avant. Il a écarté mes fesses, les a caressées.

- Même là, tu es imberbe… C’est très agréable. Très beau.

Il s’est levé, a appuyé sur mes épaules. Il a sorti sa bite de son pantalon. Machinalement, j’ai ouvert la bouche. Sa queue était de taille moyenne, assez épaisse quand même. Je l’ai sucé. Elle sentait un peu la pisse. Il me donnait des petites tapes sur la tête. Sa queue entrait toute entière dans ma bouche sans problème. Je l’ai sucé tranquillement, il n’avait pas l’air pressé, ses gestes étaient plutôt doux. Il se penchait pour caresser mon corps, pour me mettre un doigt, parfois il essayait de me branlait mais je n’aimais pas trop ça, il me faisait un peu mal. Ça a duré une dizaine de minutes, puis il a pris mes cheveux, m’a tiré la tête en arrière en se branlant de sa main droite. Il a éjaculé sur mon visage, une partie de son sperme est allée entre mes lèvres ouvertes.

Il me regardait, souriant. Il a étalé son sperme sur ma figure puis m’a fait lécher ses doigts.

- Tu suces très bien. Suis-moi, je vais te montrer ta chambre.

Je me suis installé dans une chambre à côté du salon. Mon père m’avait préparé un petit sac avec quelques affaires de rechange, une brosse à dent, des serviettes. Gérald m’a dit de prendre mon temps, qu’il m’appellerait quand le dîner serait prêt. J’en ai profité pour prendre un bain dans la petite salle de bain attenante à ma chambre.

Vers 20h30, Gérald est venu me chercher. Il avait préparé des pâtes. J’avais faim ! J’allais attaquer mon plat quand il m’a interrompu :

- Attends. Je n’ai pas mis la sauce. Mets-toi à genoux par terre.

J’ai obéit. Il a mis mon assiette devant moi, a sorti sa bite et a commencé à se branler. J’allais la sucer quand il m’a arrêté.

- Non. Tu ne touches pas. Laisse-moi faire, réponds juste à mes questions. Tu aimes la bite ?

- Oui.

- Mieux que ça. Réponds clairement. Tu aimes la bite ?

- Oui, j’aime la bite.

- Tu aimes sucer les hommes ?

- Oui, j’aime sucer les hommes.

- Mieux que ça ! Quels hommes ?

- Tous. Tous les hommes qui veulent. Je suce n’importe qui.

- T’es une pute ? Un vide-couilles ?

- Oui, je suis une pute et un vide-couilles, il suffit de me demander pour que je donne ma bouche ou mon cul.

- C’est mieux, continue. Tu avales le sperme ?

- Oui, j’aime le goût du sperme, j’ai envie d’avoir le ventre plein de sperme tous les soirs.

- Tu te fais remplir la chatte ?

- Oui, les hommes peuvent me prendre et se vider dans mon cul, j’aime me faire remplir.

Gérald était de plus en plus excité. Il se branlait très vite en m’écoutant. Cette « conversation » a duré encore une minute, puis il a jouit sur mes pâtes.

- Tu peux manger maintenant. Reste là. Mange comme une chienne.

Je me suis penché en avant pour manger mes pâtes au sperme. Ce n’était pas très bon, le sperme était déjà froid et les pâtes aussi. Mais j’ai tout mangé. La situation m’excitait.

Après le dîner, nous nous sommes installés sur le canapé pour regarder la télé. J’étais toujours nu, Gérald me caressait. Je sentais sa queue qui gonflait sous son pantalon. Il l’a sortie, m’a dit de m’asseoir dessus. J’ai essayé, mais ça ne rentrait pas, j’étais trop serré, ça me brûlait. Gérald a eu l’air étonné :

- Ton père m’a dit que tu te faisais beaucoup niquer.

- C’est vrai.

- Je pensais que tu serais plus ouvert. Je vais mettre du gel.

Il m’a enduit le trou d’un gel froid. Quand j’ai à nouveau tenté de m’asseoir sur sa queue, c’était beaucoup plus facile. Il fallait toujours forcer un peu, mais je n’avais plus du tout mal, et j’ai très vite pris toute sa bite en moi. Il me tenait par les hanches, me faisait aller et venir sur son sexe, je gémissais. C’était bon. Il caressait mon corps, attrapait dans ses mains mes petits seins, qui n’étaient bien sûr pas développés comme ceux d’une fille mais qu’il arrivait tout de même à prendre. Il donnait lui-même des coups de hanches pour s’enfoncer en moi. Il y avait un peu de brutalité dans ses gestes, mais cette fois il ne parlait pas. Après quelques minutes, il a jouit au fond de moi en râlant, c’était très viril. Il m’a attiré à lui pour me câliner. C’était bizarre, je n’avais pas l’habitude de ça, mais je l’ai laissé faire. Sa queue était toujours en moi.

Peu après, nous sommes allés nous coucher, chacun de notre côté. Je n’avais pas sommeil, j’étais excité. Je me demandais ce qui allait se passer durant ces deux jours. J’espérais que nous ne resterions pas seuls, Gérald était gentil mais je risquais de m’ennuyer avec lui.

Quand je me suis réveillé, il était déjà midi. Gérald était dans ma chambre, un plateau entre les mains avec mon petit déjeuner dessus.

- Bonjour ! J’espère que tu as bien dormi. La journée sera chargée ! Prends ton temps pour déjeuner, mange bien parce qu’il va te falloir des forces ! Je t’attends au salon.

J’ai tout mangé, puis je me suis lavé. Je ne me suis pas habillé, puisqu’il m’avait dit que je resterais nu tout le week-end. J’ai retrouvé Gérald dans le salon. Il tenait un appareil photo à la main.

- J’ai passé un petit deal avec ton père. Il a baissé le prix fixé au départ à condition que je fasse des photos de toi pendant ce week-end. Viens avec moi.

Nous sommes sortis. Dans le jardin, il m’a fait prendre des poses cochonnes. Je devais être à 4 pattes, tirer la langue, écarter mes fesses, m’allonger sur le ventre en écartant les cuisses, me doigter…. Et Gérald photographiait tout ça. C’était très excitant ! Et, visiblement, ça excitait aussi beaucoup Gérald, qui n’a pas tardé à me donner sa queue à sucer. J’étais nu, à genoux dans l’herbe, en train de pomper la queue d’un mec de 35 ans plus âgé que moi, et il me prenait encore en photo. La bite entre les lèvres, je levais les yeux vers lui avec un regard que j’espérais être un regard de salope. Il a jouit dans ma bouche et m’interdisant d’avaler, puis m’a fait tirer la langue. Elle était couverte de sperme : il en a encore pris des photos.

Nous sommes ensuite allés nous promener dans les champs. J’étais toujours nu, j’avais juste passé des petites sandales. La sensation était terrible. J’avais très envie de croiser des hommes. Nous n’avons vu qu’un vieux paysan qui conduisait son tracteur. Il avait au moins 75 ans, une grosse moustache, un béret. Il n’était pas sexy du tout ! Il nous regardait, étonné. Gérald m’a tripoté devant lui, il me mettait des doigts, il me faisait agenouiller devant sa bite. Le vieux a finit par venir vers nous. Sans rien dire, il se caressait l’entrejambe. Gérald m’a poussé vers lui. Le vieux avait l’air hésitant mais curieux. Très excité, j’ai caressé sa bite au travers de son pantalon. Elle n’avait pas l’air bien dur. J’ai défait sa braguette, sorti sa queue molle. Je l’ai prise en bouche. Elle puait. Je l’ai sucé quand même. Il ne bandait pratiquement pas mais apparemment il prenait quand même du plaisir.

Derrière moi, Gérald me léchait le trou. Ça me faisait gémir. Gérald m’a retourné pour tendre mon cul vers le paysan. Il a essayé de me prendre, mais avec sa queue molle et mon trou serré, ça ne rentrait pas. Gérald a pris la bite du vieux dans sa main pour la guider. Le gland est rentré, le vieux a donné quelques coups de reins, je sentais bien qu’il était en moi mais il ne bandait décidément pas. Je bougeais mon cul pour m’empaler un peu plus dessus. Le vieux a finit par abandonner l’idée et est revenu vers ma bouche. Je l’ai encore sucé au moins 10 minutes avant qu’il ne gicle dans ma bouche, sans avoir jamais vraiment bandé. J’ai tout avalé. Le vieux est parti. Gérald, surexcité, a aussitôt investi mon cul. Sa queue était bien raide, elle ! Il m’a défoncé quelques minutes et a rapidement jouit en moi.

Finalement, ce week-end allait peut-être s’avérer sympa…

A suivre...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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