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Lundi 10 février 1 10 /02 /Fév 05:00

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J’étais tranquillement en train de bosser lorsque je sens la vibration de mon mobile dans la poche.

 - Allo.

- Salut ! C’est …, tu te souviens de moi ?

A son nom ma bite durcit instantanément, comme aurais-je pu l’oublier. On s’était rencontré il y a une dizaine de jours. Il habite sur mon chemin en allant et rentrant de mon boulot, j’étais passé chez lui le soir en costume cravate pour un plan suce et uro dans sa cave. Il avait pissé dans ma bouche alors que j’étais encore encostumé et j’avais tenté de tout boire pour pas mouiller mes fringues. Tentative qui s’était soldé par un échec j’avais fini trempé, mais qui était d’autant plus excitante. À cette occasion il m’avait donné son cul pas très propre à bouffer et je lui avais dit que je ne rechignais pas contre un plan scat de temps en temps. Et voila qu’il m’appelait pour me proposer de refaire le plan de l’autre jour en y adjoignant une section scat. Je m’empressais d’accepter. Rendez-vous était donc pris pour ce soir bien qu’à cause de la chaleur j’avais troqué ce matin mon costume cravate pour une fine chemisette blanche et un pantalon beige très clair pour mettre mes bijoux en valeur.

 Les présentations n’avaient plus besoin d’être faites, il m’attendait à la porte de son immeuble en tenue de combat, basquets aux pieds, pantacourt fin qui laissait deviner son érection, marcel blanc. Il était bandant comme c’est pas permis.

 On descend dans les couloirs de sa cave, il sort son braquemart et me le fout dans la gueule. Je ne me suis pas plus déshabillé que lors de notre dernier trip, c'est-à-dire je suis totalement habillé, juste la braguette ouverte pour pouvoir me branler. J’avais eu tout juste le temps de lui dire de faire gaffe que des traces jaunes seraient très visibles sur ma chemisette et que je n’avais rien pour me changer. Ce à quoi il avait répondu « au contraire, c’est encore plus bandant ».

 

Les mains de chaque coté de ma tête pour bien diriger le mouvement il me pilone la gorge pendant de longues minutes puis ses muscles se tendent et il s’y déverse abondamment. Je savoure son nectar et n’en pers pas une goutte.

 

Il me prévient alors qu’il va pisser. Cette annonce manque de me faire jouir. Je serre fort ma bite à sa base pour repousser l’orgasme, je ne veux pas jouir maintenant. Il me demande aussi de ne pas jouir maintenant, d’attendre qu’il me l’ordonne.

Sa pisse arrive abondante et en force dans ma bouche. Je tente d’avaler aussi vite que je peux mais c’est autant un échec que la première fois et ma bouche déborde. De grandes quantités viennent tremper ma chemise et mon pantalon. Il ne ralentit pas son rythme pour autant. J’avale ce que je peux, ce que je ne peux pas se déverse sur mes vêtements. L’avant de chemisette doit être bien jaune désormais. Le flot continue à m’abreuver et me tremper pendant de longues secondes avant de se tarir. Il me demande à nouveau d’attendre son ordre pour jouir.

Il me relève et se recule pour admirer son œuvre. En effet, le devant de la chemise est bien jaune et mon pantalon laisse voir mon boxer noir par transparence. Il me demande alors de retirer mon boxer et de remettre mon pantalon. Il range le boxer dans sa poche. Le pantalon ne cache plus rien de mes attributs. Je me demande comment je vais faire pour rentrer chez moi.

Il me donne alors une bouteille d’eau vide et me demande de pisser dedans. Ne sachant pas où il veut en venir je m’exécute. Je remplis un bon tiers de la bouteille. Il jette par terre un carton qu’il avait préparé spécialement et me demande de m’y allonger, ce que je fais. Pendant ce temps il retire son pantacourt.

Il s’installe accroupi sur ma gueule et me dit « je t’avais promis du scat, le voila ». Je pensais qu’il avait oublié, moi je n’étais pas vraiment prêt à me faire chier sur la gueule surtout que je ne voulais pas de traces de merde en plus de celles de pisse sur ma chemise, mais l’excitation qui me transmettait cette situation brisa mes réticences. Et puis je me dis que j’allais lui demander de me prêter des affaires de rechange après que je me serai nettoyé chez lui.

 

« Bouffe moi le cul ! » Comment refuser un tel ordre. Je lui bouffais donc le cul. Je le sentis pousser, s’ouvrir et lâcher une première bouse bien molle dans ma gueule, je n’avais pas eu le temps de l’esquiver. Lui se redressa un peu et lâcha une autre bouse énorme sur ma gueule qui me couvrit du menton aux yeux.

« Vas-y, branle toi maintenant ! » Encore un ordre qu’on ne peut refuser. Je me branlais. Il sortit des gants en latex de ses poches et commença alors simultanément à vider la bouteille que j’avais remplie sur ma bite d’une main, finissant de tremper l’avant et l’arrière du haut de mon pantalon qui devenait presque totalement transparent, et à étaler la merde sur ma gueule et mes cheveux de l’autre main.

J’explosais alors dans une jouissance comme jamais je n’avais connu. Je compris pourquoi certains appelaient ça la petite mort. Mon sperme s’éleva à plusieurs mètres dans les airs et retomba sur le paillasson qui me servait encore de chemise.

Il me fallut plusieurs minutes pour émerger. Quand je repris mes esprit je réalisais la situation dans laquelle je me trouvais. Dans les couloirs d’une cave, à plusieurs kilomètres de chez moi, j’étais trempé de pied en cap de pisse et couvert d’une bonne couche de merde sur la presque totalité de ma tête, sans oublier la bouse que j’avais encore dans la bouche. Lui était à deux pas en train d’admirer la lope qu’il avait larvé tout en retirant ses gants merdeux qu’il jeta sur mon entrejambes, maculant de merde mon pantalon. Dès qu’il s’aperçut que je revenais à moi il m’ordonna d’avaler ce que j’avais dans la bouche, ce que je fis avec de grands efforts. Puis je lui dis que j’avais besoin d’une douche.

« Pour avoir besoin d’une douche, ça c’est sur, t’as besoin d’une douche. Dépêche toi de rentrer chez toi pour te laver. Au fait, je garde ton boxer, je te le rendrai la prochaine fois. Salut ! »

Je le vois alors se tourner et partir me laissant là, dans cet état, sans aucune possibilité de me changer pas plus que de me nettoyer. Si j’avais été debout mes jambes ne m’auraient pas tenu et je me serais écroulé. J’étais encore allongé. Mon ventre se nouait. Je le voyais s’éloigner dans le couloir, et disparaître derrière une porte.

Je ne pouvais pas imaginer qu’il allait me laisser comme ça mais j’avais beau attendre il ne revint pas. Quand j’essayais d’appeler son portable il l’avait coupé et je tombais directement sur sa messagerie. Je me nettoyais comme je pus avec ma chemisette, la pisse qui la mouillait facilita l’opération mais il était clair que j’étais loin d’avoir enlevé toute la merde. Je fis une boule de ma chemisette et je résolus de rentrer chez moi à pied en évitant le métro et les rues les plus passantes. Je ne sais pas si les gens me dévisageaient puisque je ne levai pas les yeux de mes chaussures. Je ne fus pas épargné de la dernière honte, et la pire, une fois arrivé dans mon immeuble. Alors que je voyais le désastre dans le miroir de l’ascenseur et qu’il commençait à se fermer, j’entendis la porte de l’immeuble s’ouvrir et une course dans le couloir pour l’attraper de justesse. Je me maudis de n’avoir pas choisi les escaliers. C’était mon voisin de palier, un mec d’une vingtaine d’années qui m’a toujours fait fantasmer tant il est beau, qui habitait avec une pouffiasse et que je n’ai pas encore eu le courage d’aborder. Après qu’il m’ait vu ainsi c’est sur que je ne l’aborderai jamais.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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