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Samedi 15 septembre 6 15 /09 /Sep 03:28

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Je viens de faire enregistrer mes bagages et il me reste un peu plus d'une heure à patienter avant de pouvoir embarquer. J'ai hâte de me retrouver dans l'avion et de décoller. À vrai dire, j'ai plutôt hâte d'atterrir. Cette semaine de vacances a été épuisante... Mes journées et surtout mes nuits ont été bien remplies... comme mes deux trous! L’endroit que j’ai visité est superbe, peuplé de mâles tous aussi superbes! Mâles bourrés de testostérone, poilus et pourvus de grosses bites... et de couilles bien pleines.

Assis sur une banquette dans la zone d’embarquement, j’écoute un peu de musique dans mon lecteur MP3. Évidemment, je n’entends pas les annonces faites dans les diffuseurs... Je m’aperçois cependant qu’une certaine effervescence gagne l’endroit...

Une main se pose sur mon épaule. Une hôtesse me parle. J’enlève mes écouteurs...

— Monsieur, il faut que vous quittiez cette zone immédiatement... il y a une alerte à la bombe dans l’aéroport...

J’ai un frisson qui me parcourt le long du dos.

— Dirigez-vous vers cette porte... Une de mes collègues va vous indiquer la marche à suivre...

J’essaie de ne pas me laisser envahir par la panique. J’y arrive assez bien. En moins de dix minutes, j’ai quitté l’aéroport et je me retrouve assis dans un camion militaire avec des voyageurs un peu perdus... comme moi. Un enfant hurle, une vieille dame geint, deux jeunes types posent constamment des questions... Des Légionnaires aux mines fermées se dressent un peu partout, arme au poing.

Deux heures se sont passées et un responsable de la sécurité annonce que l’aéroport sera fermé pour 24h. Nous allons être logés dans les hôtels les plus proches qui disposent de chambres libres...

À minuit trente, je fais partie d’un petit groupe pour qui on n’a pu trouver une chambre.

— Nous sommes désolés mais les hôtels sont complets. Vous serez logés à la caserne!

Dans un premier temps, j’accueille la nouvelle avec une certaine réserve puis, finalement, je me rends compte que ça peut être amusant de se retrouver dans un univers masculin...

Mon regard a croisé plusieurs fois celui d’un soldat qui est tout à fait bandant. Il m’a même semblé qu’il me souriait en passant sa langue sur ses lèvres. J’imagine ce beau mâle en train de m’enculer sur une table du mess des officiers. À cette pensée, je sens ma queue qui commence à prendre vie dans mon bermuda. Elle grossit et durcit et me voilà dans le camion militaire avec une bonne trique. Je ne sais plus où poser les yeux.

Nous roulons encore une vingtaine de minutes et nous arrivons enfin à la caserne. Partout, je vois des beaux Légionnaires en tenue de combat... Ces machos savent-ils qu’une salope vient d’entrer dans leur «monde». Je me sens prêt à me donner à fond à tous...

— Le temps d’organiser votre logement, nous allons vous servir une collation!

Moi, je sais déjà de quel type de collation j’ai envie.

— Pourriez-vous m’indiquer où se trouvent les toilettes?

Un militaire me montre un couloir et indique qu’il faut tourner à gauche. J’ai la vessie bien remplie. Je me rends très vite à un urinoir et à peine ai-je commencé à pisser que j'entends la porte claquer. Un militaire entre. Il vient s’installer à côté de moi, se débraguette, déballe son engin et se met à pisser. Mes yeux glissent vers sa bite.

— Bon... soir! dit-il un peu nerveusement.

Je lui réponds. Je vois qu’il lorgne sur ma bite qui se met à raidir.

Le militaire est plutôt beau mec. Il doit mesurer 1m85 environ, est brun et poilu... large d’épaules... Il a fini de pisser, se secoue la queue, la remballe et file vers les lavabos. Je ne tarde pas à le suivre. Je choisis un lavabo assez éloigné du sien. Pendant que je me lave les mains, je l’entends bouger derrière moi. Il vient se coller dans mon dos en frottant sa queue contre mon cul. Je suis assez étonné de constater qu’il parle le français...

— Alors, comme ça, on aime regarder les militaires?

— Euh... oui...

— T'aimes la bite, c'est ça? Si y'a que ça pour te faire plaisir, on va t'en donner!

Pendant qu'il me disait ça, il m’a fait une clé de bras et m’a immobilisé.

— Tu es prêt pour un voyage au pays du sexe hard?

— Je n’attends que ça... Maître!

J’avais lâché le mot qu’il fallait... Mon militaire vicelard m’a attaché les mains derrière le dos puis m'a fait sortir des toilettes en ayant bien pris soin de regarder si personne n’arrivait. Il m’a poussé jusqu’au fond du couloir. Là, il a ouvert une porte métallique et m’a fait entrer. La pièce était assez grande – type garage – et j’ai directement vu le mec qui m’avait lâché un sourire dans le camion. Il attendait calmement, appuyé contre une paroi, le pantalon en accordéon sur les chevilles... en train de se branler. J’en suis resté bouche bée.

— Je t’avais dit qu’il y aurait de bonnes choses pour toi... pour tes trous surtout!

Le mec qui se branlait était vraiment très beau. Le voir s’astiquer ainsi m’a tout de suite excité au plus haut point.

— Je te présente Khaled! 1m80, 77 kilos et une bite de 21cm!

— Woaw!

— Comme tu dis! Personne ne s’est encore plaint de son engin... En plus, il sait très bien s’en servir... Tu aimes les beurs, je parie?

— J’aime tous les mecs pourvu qu’ils s’occupent de moi comme d’une salope!

Là, il m’a donné une baffe!

— Alors, ferme ta grande gueule de pouffe! Si on te donne la permission de l’ouvrir ce sera juste pour pomper... OK?

J’ai fait oui de la tête.

Khaled n’avait pas dit un mot ni bougé d’un centimètre. Il était là et me regardait droit dans les yeux en continuant d'astiquer sa grosse saucisse. La porte s’ouvrit et un troisième soldat fit son entrée. Il était plus petit et râblé avec un air hyper vicelard. Il demanda si quelqu’un d’autre devait venir.

— Pas pour l’instant. On va commencer le dressage à trois! Ce sont les ordres du chef!

Le dernier arrivé ferma la porte à double tour, me saisit sous le menton et me cracha à la figure.

— Le petites putes, nous on sait s’en occuper!

— Ouais! On les dresse bien.

Il a sorti sa bite et me l’a claquée au visage.

— T'en voulais, t'en auras! Pompe-la! Tu veux de la bite, en voilà...

— Allez! Ne perds pas ton temps, salope... Taille une bonne pipe à mon pote! T'as vu cette belle queue? Elle donne envie, hein?

Je me suis retrouvé illico face à cette queue lourde et épaisse. J’ai ouvert largement la bouche pour la gober et la sucer. Le militaire s’est mis à gémir au contact de mes lèvres. Sans me vanter, je sais que je suis une bonne pompeuse. Dès que j’ai commencé à jouer avec ma langue sur son gland, ses gémissements ont redoublé et il s'est totalement laissé allé. Le beur se branlait en nous regardant et le troisième poussait ma nuque par derrière. Je n’avais aucun désir de résister car la situation me plaisait. Je l’avais même espérée dans mes rêves les plus fous. Voulant vivre une expérience de dressage musclé, j’ai joué le jeu et j’ai tenté un peu la rébellion. J’ai eu très vite droit à une nouvelle baffe, à des injures et un volée de crachats sur la figure.

Mes mains étaient toujours attachées dans le dos. Le beur s’est approché et il m’a ordonné de lui renifler la bite. Je n’ai pas réagi directement et j’ai reçu ma troisième gifle.

— Tu te prends pour qui, la pute? Ici, t’es à l’armée et tu vas obéir aux ordres... ou il t’en cuira.

— Tu viens d’où, sale pute?

— De France...

— T’es pas le premier Français qu’on dresse... On sait que vous aimez ça, les bites! Vous aimez aussi qu’on vous oblige...

— Ouais...

Gifle et injures.

— T’as pas le droit à la parole. Surtout pas pour dire «ouais»! Avec la permission, tu as droit à «Oui, Maître!» C’est tout! Allez respire la bite de Khaled! C’est de la bonne teub d’Arabe, ça!

J’ai respiré la queue bandée de Khaled jusqu’à ce qu’il m’autorise à la lécher puis la pomper. Durant une trentaine de minutes, j’ai avalé leurs trois bites odorantes et bien dures. J’imaginais déjà l’effet qu’elles me procureraient lorsqu’ils décideraient de m’enculer à la chaîne. J’espérais que d’autres soldats se joindraient à eux pour un long abattage... jusqu’au matin...

Le temps glissait doucement et j’étais toujours au service de trois beaux militaires vicieux. Sans aucune explication, ils m’abandonnèrent dans la pièce sombre et humide et s’éclipsèrent. Je suis resté là un bon moment, seul, nu, effrayé et excité à la fois... Lorsque la porte s’est ouverte, j’ai vu entrer un militaire d’une quarantaine d’années. J’ai tout de suite pensé qu'il s’agissait du supérieur des trois autres soldats. Il a tourné un peu autour de moi sans dire un mot. Je le regardais timidement. Ce mâle était mince et musclé à la fois, bien conservé et très viril. Il s’est débarrassé de sa chemise puis de son pantalon et s’est planté, jambes écartées, devant moi.

— Montre ce que tu sais faire!

Je me suis mis à genoux devant lui et mes mains ont saisi ses chevilles. Remontant doucement, elles ont commencé à parcourir ce corps magnifique. J'ai caressé les puissantes cuisses poilues, pour remonter vers les fesses musclées et poilues elles aussi. Il ne disait rien. Il respirait fort. Pour finir cette exploration, j’ai tendu les bras et j’ai caressé son torse musclé et poilu puis titillé ses tétons dressés. Sa bite dressée cognait mon visage et je l’ai embouchée. Il m’a pissé dans la bouche puis sur le visage. Quel pied intégral! Je pompais une bite énorme qui m’arrosait de sa chaude pisse et je caressais un corps vraiment parfait. Il s’est tourné et m’a offert sa raie à bouffer. J’y ai mis mes mains et la langue tout à son service. Écartant les deux lobes charnus, j’ai fait glisser ma langue dans la raie duveteuse et chaude. Le bouton de rose était serré et la pointe a eu du mal à le forcer. Il a gémi. Pendant que je m’occupais de ce cul divin, un autre gradé est entré. Il s’est appuyé contre la table à notre gauche. J’ai continué mon travail de salope. Son caleçon sur les chevilles, l’autre militaire se branlait en matant le spectacle. J’ai happé la bite de mon beau poilu et je l’ai pompée par l’arrière. Son cul cambré se frottait contre mon nez. Son odeur virile m’envahissait. L’autre s'est finalement approché et a frappé sa queue contre mon dos. Elle était dure, plus courte et plus fine que celle que j'avais en bouche. J’avais maintenant deux belles tiges à honorer. Le premier gradé a pris ma tête et l’a tournée en direction de la bite de son pote.

— Pompe sa bite!

Trop timidement à son goût, sans doute, j’ai aspiré doucement l’autre tige. Il m’a baffé la gueule.

— Un peu de conviction, salope! Bouffe sa queue bien à fond comme tu l'as fait pour la mienne! Je veux la voir disparaître complètement dans ta bouche de petite salope!

Je me suis exécuté directement. Il avait l’impression de me forcer mais il n’en était rien car j'ai toujours aimé pomper un mec. Je prends un pied d'enfer quand j'ai le plaisir de sentir une queue raide et chaude dans ma bouche. Je sais que c’est le prémisse à l’enculade. Un trou est rempli avant l’autre. Aujourd’hui serait faste car je présumais que mes deux trous allaient se faire remplir en même temps. Le sommet de l’extase! J’ai donc mis mon énergie à pomper l’autre bite. Je ne me lassais pas d'entendre son propriétaire gémir sous mes coups de langue.

— Dis que tu aimes ça! a crié celui que je suçais.

— J'adore ça!!! ai-je hurlé.

— On est tombé sur une toute grosse salope. On va bien l’utiliser.

Excité par ses promesses, je me suis mis à le pomper avec beaucoup de conviction. J’ai gobé sa queue au maximum, la laissant heurter le fond de ma gorge et me donnant des haut-le-coeur que je réprimais. Par derrière, l’autre mec me caressait le cul et les cuisses en me traitant de tous les noms.

— On va bien remplir ce trou, ma salope! Ton trou, ta putain de chatte... Tu vas couiner en jouissant sous nos coups de bites! Il y aura nous puis tous les autres. Si tu es là, c’est pour servir...

À leurs pieds, je passais d'une queue à l'autre en essayant de les satisfaire l'un et l'autre. C’est là que la deuxième salve de pisse éclata. De concert, ils me larguèrent leur liquide doré à la gueule. Les deux jets m’inondaient visage, cou, torse et la pisse ruisselait sur les cuisses écartées. C’était très bon.

— Continue à sucer! disaient-ils. Bois! Profite! Ici, on ne te donnera à boire que notre pisse et notre jus blanc...

Je savais que la nuit serait longue et humide...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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