par un bel après-midi d’octobre, 14h, ma voiture file sur le boulevard. Pour une fois que je peux sortir plus tôt du travail, Peter va être content. Et quand je dis "plus tôt" c’est vraiment plus tôt, le lundi habituellement je sors 5h plus tard. Je l’imagine déjà, surpris, en me voyant arriver à cette heure-ci. Il doit sûrement être en train de faire ses devoirs.

Que je nous présente, moi Sylvain, 38 ans, je suis cadre supérieur dans une usine de fabrication d’outils industriels, 1m79, 73kg, brun grisonnant, les yeux verts. Je suis divorcé depuis 2 ans, ma femme étant partie avec un autre homme et j’habite avec mon fils qui a préféré vivre avec moi plutôt qu’avec sa mère. Il a 16 ans, il est étudiant, 1m64, 51kg, cheveux bruns mi-longs, de beaux yeux verts. C’est un jeune très solitaire qui ne parle pas beaucoup de ce qu’il vit, ni de ce qu’il ressent. Je me sens un peu coupable de rentrer tard de mon travail le sachant seul à la maison, mais il faut bien que je gagne ma vie.

La circulation est dense, foutus fonctionnaires qui finissent à des heures pas possibles. Enfin, j’arrive en vue de la maison, foutus embouteillages. J’aperçois la voiture d’un de mes ouvriers qui est garée devant la maison. Je ne comprends pas ce qu’il fait là. Peter ne le connaît même pas. Je trouve cela très bizarre. Gilles (c’est le nom de l’ouvrier) devrait être avec sa femme et ses 2 filles à cette heure-ci. Je dois savoir ce qui se passe, et discrètement, je gare ma voiture à quelques pâtés de maison et sors mon portable. J’appelle Peter... le téléphone sonne, une sonnerie, puis deux, puis trois, il décroche:

— Fiston? C’est moi, ça va?

— Oui et toi papa? Tu m’appelles du boulot?

Sa voix est bizarre et j’entends clairement des gloussements derrière lui.

— Oui, je t’appelle pour te dire que je rentrerai plus tard que prévu, je suis désolé.

— Oh ce n’est rien, je suis habitué, comme toujours.

— Dis-moi, j’entends des bruits derrière toi, tu n’es pas seul?

— Oui, je suis seul, c’est la télé que tu entends.

— Ok, pas de problème...

Je raccroche, je suis sûr qu’il se passe quelque chose. Pourquoi m’avait-il menti? Il faut que j’aille voir. J’avance à pas feutrés à côté de la maison. Il faut à tout prix que je sache ce qu’il fait, que je le prenne la main dans le sac. Je vais passer par la porte de derrière, celle de l’atelier. À peine la porte ouverte que j’entends déjà des voix s’élever du salon, moi qui pensais que mon fils n’était qu’avec Gilles, j’entends une ou deux autres voix masculines. Je commence à me poser de sérieuses questions.

Je franchis les quelques pas qui me séparent de la porte qui mène au salon, et j’entends à nouveau des bruits, cette fois-ci ce n’est pas des bruits de conversation, mais bien des petits cris. Je m’approche de la porte du salon, l’entrouvre et découvre un "spectacle" à glacer le sang: mon fils, que je croyais prude et timide était là au milieu de notre salon, à 4 pattes entouré de 2 hommes. Je ne le reconnais pas, d’ailleurs est-ce vraiment lui? Ce n’est pas possible, rien que de le voir habillé comme ça, j’ai une érection. Peter était presque nu, au milieu de mon salon, vêtu de la sorte et accompagné de 2 mecs?

Les chaises avaient été poussées, et par dessus le tapis, ils avaient posés une sorte de grande couverture blanche. Mon fils était à 4 pattes sur cette couverture, ne portant qu’un string, que l’homme derrière lui avait glissé sur le côté de sa fesse. J’entrouvre un peu plus la porte et j’ai une vue imprenable sur la scène, mon fils suce un homme pendant que l’autre fourre la tête entre ses fesses. Le premier homme est un grand noir, je crois qu’il fait la sécurité dans mon usine, le deuxième est bien évidemment Gilles. Peter avait la queue du black dans la bouche, j’avais les larmes aux yeux.

Le noir sortit sa queue de la bouche de mon fils et je ne pus m’empêcher de me sentir troublé. Il m’était arrivé quelques fois de fantasmer sur des mecs pendant mon mariage ou bien de me branler en regardant secrètement des films XXX mais là, il s’agissait de mon fils. En plus de se faire sucer par lui, ce con me fit ravaler ma fierté, la nature ne m’avait pas exceptionnellement bien monté, mes 14cm me paraissaient néanmoins suffisants, lui arborait un sexe presque deux fois plus grand et plus large que le mien, et mon fils l’avait quasiment avalé en entier. Comment, lui, pouvait-il enfourner un tel sexe? Ce n’était pas la première fois qu’il faisait ça, j’en étais maintenant persuadé... Les deux hommes firent retourner Peter, de sorte à ce que son profil m’apparaisse. Gilles, qui était toujours derrière lui se mit alors à l’insulter. Comment pouvait il faire ça? Il lui giflait les fesses et lui répéta qu’il n’était qu’une "salope", une "chienne qui aime se faire bourrer quand son père n’est pas là", un "bouffeux de sperme", et j’en passe. J’étais tout simplement hébété.

Le black se faisait toujours sucer, et mon fils léchait tour à tour ses couilles et son gland. Je reportais mon attention sur Gilles qui souriait et qui lança à Peter qu’il allait dérouiller. Je le vis se saisir de sa queue et l’enfoncer d’un coup sec dans mon fils. Je me mis à penser qu’il allait lui ramoner le cul, mais Gilles gifla une fesse et dit:

— Alors... tu aimes... te faire défoncer ton... petit cul de chienne... hein?!

J’étais tout simplement éberlué et je n’avais pas fini de l’être.

— Oh... hummm... défonce-moi... dit mon fils.

— Demande le moi plus... gentiment...

Peter lâcha un instant la queue du noir, prit sa respiration et répondit:

— Je veux que tu me laboures violemment mon cul... mon cul de salope... prenez-moi vous deux, humm prenez-moi comme une chienne...

C’en était trop, c’était mon fils qui en redemandait...

Je n’en revenais pas, ne pouvant croire à ce que je voyais et entendais, j’étais encore plus troublé mais je ne pouvais m’empêcher d’avoir une érection... Je bandais tellement que j’avais mal. Tant pis pour moi, je sortis ma queue et, regardant mon fils se faire prendre, je me mis à me branler. Voilà dix minutes que Gilles ramonait le cul de mon fils et que son copain se faisait sucer. D’un coup, Gilles se retira du cul de Peter et présenta sa queue à la place de celle du black. Peter n’hésita pas, il l’enfourna et se mit à le sucer vigoureusement.

Le black fit agenouiller mon fils et les deux hommes se mirent à se branler devant son visage en l’insultant de tout les noms. J’étais horrifié en voyant que Peter ouvrait grand la bouche en tirant la langue. Au bout de quelques minutes de branlettes les deux hommes déchargèrent, et c’est une quantité ahurissante de foutre qui atterrit sur le visage et dans la bouche de mon fils. Il en avait les yeux collés mais souriait.

Je pensais que c’était la fin, qu’ils allaient partir, mais Peter dit alors:

— Et mon dessert messieurs? Alors?

Que voulait-il dire? Je tendais le cou et vit le black s’asseoir sur la bouche de mon fils. Peter dévorait l’anus du black alors que celui-ci le branlait. J’hallucinais, non content d’avoir sucé leur queues, il leur mangeait le cul en plus. Au bout de quelques instants, je vis mon fils éjaculer tout comme moi.

Une fois que les deux hommes eurent fini de se rhabiller, ils regardèrent mon fils et le noir lui dit:

— À très bientôt Peter, ce sera comme la semaine dernière et il lui sourit...

Ce n’était donc pas la première fois... Il faisait ça depuis peut-être bien longtemps...

Après quelques minutes, les hommes s’en allèrent et je restais assis dans le garage, hagard, et totalement éberlué par ce que mon fils avait fait... C’est donc à ça qu’il se livrait en mon absence. Moi qui m’en voulait de travailler si tard et de le savoir seul à la maison. Après tout, c’était son choix. Si il aimait baiser avec des hommes, que pouvais-je y faire? Pourquoi me priverais-je d’un spectacle aussi excitant? Je ne m’en priverai sûrement pas.