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Jeudi 31 octobre 4 31 /10 /Oct 22:17

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C’est samedi, je suis seul ce weekend. Rémi est en visite chez sa grand-mère, Julien fait un stage aux USA et Gérard est parti pour la semaine en randonnée avec des membres de son club de marche. Je ne sais comment satisfaire mon envie de baiser et surtout, de me faire baiser…

Il y a bien la boîte gay du coin mais je trouve ça un peu ringard: me faire enculer dans un coin sombre par un type qui me lâche dès qu’il a pris son pied…Non merci! J’en veux plus, beaucoup plus!

Je me rends cependant dans cette boîte de merde… en espérant y trouver une occase… Je connais le barman et je sais qu’il peut me proposer un bon plan:

— Pierre, t’as pas une super affaire pour moi?

— Maxime… Je crois que j’ai ce qu’il te faut. Attends… j’appelle un excellent ami… Allo? Thibaut? … Oui … Dis-donc, j’ai devant moi un ravissant garçon qui n’a pas froid aux yeux … Tu veux une description précise? … Il doit se mettre à poil? OK…

J’ai compris! Je passe dans l’arrière-boutique et j’enlève tous mes habits. Pierre me rejoint et commence son examen. Je lui donne mes mensurations. Pierre donne les renseignements attendus:

— Ce garçon mesure 1m76, il pèse 68 kg. Il a 22 ans. Il est blond comme les blés. Il n’est pas poilu… sauf un mignon triangle un peu plus sombre que ses cheveux bouclés. Il a les yeux bleus… Son haleine est fraîche voire troublante, ses dents sont blanches et bien rangées… Son ventre est bien plat; ses hanches fines et son petit cul ferme et un peu cambré. Son anus est très souple, il doit être en mesure de prendre de beaux calibres… Tu as ce qu’il faut? Goliath? Ah, c’est son surnom! … Un géant de deux mètres? Ouah! … Sa bite? Très jolie; bien droite … Oui, il bande déjà! Belle peau bronzée partout, pas de veine trop saillante, bonne à décalotter… mignon gland tout rose … Il a une légère odeur de garçon très propre… Un doigt dans le cul? Aucune trace de merde… parfaitement préparé… Ses couilles? Deux délicieux bonbons très mobiles sous une peau très douce… Pas de poil dans la raie ni sur les couilles ni sur les cuisses, juste un léger duvet blond sur les fesses et les jambes. Pas de barbe ni de poils sous les bras… Son allure est sportive, tu pourras compter sur sa souplesse et son endurance… Il te convient? Je te prépare le colis? En slip? Rien d’autre? OK! … Tu envoies quelqu’un le chercher? Parfait! Bonne soirée!

Pendant cette conversation, j’ai subi des examens approfondis et agréables; je suis heureux car tout cela sort de l’ordinaire, je n’aurai pas à me faire prendre le cul sans originalité. J’ai hâte de rencontrer ce Goliath… et d’autres…

J’attends, en slip, le type qui doit me transporter chez ce Thibaut. Pierre m’a expliqué que cet hôte est propriétaire d’une très riche demeure et qu’il organise souvent des orgies dans les sous-sols; il paraît même que «l’outillage» y est très abondant…

La voiture est là! Je sors par une porte dérobée… heureusement car ma tenue aurait pu tenter de nombreux convives de cette boîte de pédés! Le chauffeur a du mal à regarder la route tant ma présence l’intéresse… Mon arrivée est saluée par une dizaine de personnes plus ou moins vêtues. Le maître, Thibaut, est en peignoir blanc, assis sur une sorte de trône. Il règne sur cette cour de dépravés avides d’obéir à ses fantaisies. Soudain, je vois Goliath! Le géant est totalement nu. Mon regard se porte tout de suite sur sa queue, énorme et pas encore dure… Impressionnant et attirant…

— Préparez-le!

Un mec m’oblige à rester debout sur une table basse, jambes écartées; il est muni d’une grosse paire de ciseaux et il commence à découper mon slip… Dans l’entrejambe d’abord, puis le long des cuisses jusqu’à la ceinture… J’ai maintenant une jupette, ouverte sur les cuisses et qui laisse voir une bonne partie de mes attributs sexuels. Le tailleur n’en reste pas là: il débite les deux pans du slip en bandelettes très fines. Je sens, chaque fois avec une certaine crainte, les lames froides des ciseaux se poser sur mes couilles toutes chaudes ou ma bite de plus en plus dure. Je reste cependant intact; ce n’est pas le cas de mon slip de coton qui est transformé en mini-jupe à lanières. Ma queue sort fièrement de ce nouvel habit. Je suis, par ailleurs, obligé d’ingurgiter deux à trois litres d’eau; de quoi bien m’encombrer la vessie…

— Pour la suite, il ne doit pas bander. Apporte-le et branle-le dans ma bouche.

Je suis alors soulevé; je reste debout alors que mes pieds sont posés sur les bras du trône et mon sexe tendu est positionné devant les lèvres du maître. Un complice se met à me masturber très violemment et très rapidement. Mes couilles sont secouées contre la main du branleur au point d’en avoir mal et je répands vite ma semence dans la bouche largement ouverte du gourmand qui ne manque pas de sucer les restes accrochés à mon gland. Ah, que c’était déjà bon!

— Savoureux! J’espère que tu sauras nous en nourrir encore ce soir!

Je débande et je suis dans l’état attendu.

— Maintenant, en avant la musique! Tu dois danser dans le rythme en te trémoussant au maximum. Allez!

Sur une musique entraînante, au milieu d’un cercle de types qui ont tous la bite dans la main, je commence timidement ma danse du ventre.

— Plus forts, tes déhanchements! Bouge ton cul! Saute! Écarte tes cuisses! Montre-nous tout!

Je m’enhardis et mes mouvements, révélateurs de mon anatomie, déclenchent une belle masturbation collective. Mes hanches impriment un balancement apprécié de mes fesses. Les lanières de coton voltigent, ma bite et mes couilles suivent leur mouvement. Mon ventre est agité de violents soubresauts. Mes reins se creusent et recueillent des jets de foutre tandis que des mains s’emparent de mes organes pour les triturer et provoquer une belle érection.

— Bravo! Tu t’en es très bien sorti! C’était beau! Regarde tout ce qu’ils ont giclé pour toi!

J’en ai plein le corps et le sol en est jonché…

— À quatre pattes! Lèche!

Je m’exécute et je ramasse avec ma langue de belles quantités de foutre encore gluant que je dois ensuite apporter dans la bouche du maître. Il se délecte non seulement du sperme de ses acolytes mais aussi de ma bouche, de ma langue et de ma salive. Je bande encore plus mais personne ne s’en préoccupe… Après tout, c’est mieux ainsi car je dois maintenant passer dans les mains de Goliath!

Le moment est alors prodigieux. Il me prend dans ses bras, m’allonge sur la table, se charge de lécher toutes les souillures dont mon corps est enduit, me donne un baiser très profond puis crache dans ma raie. Sa langue puis ses doigts pénètrent, délicatement, dans mon cul; il me prépare à une généreuse introduction mais me donne d’abord sa grosse bite à sucer. Elle est si grosse que j’ai quelque difficulté à avaler le gland puis une petite partie du bâton! J’imagine déjà la douleur que je vais devoir supporter!

Il me retourne sur la table, mon cul est largement offert et l’enculade commence. J’ai très mal mais ses lents aller et retours me permettent de souffler un peu et de m’écarter l’entrée. Je sens l’énorme morceau de chair dure qui pénètre de plus en plus loin dans mon corps et je me demande comment je vais aussi supporter une pareille longueur. Il semble qu’il s’est joué du premier virage de mes boyaux car je sens son ventre dur contre mes fesses. Il m’a tout mis!

— Soulève-le! On va l’attacher!

Il me prend dans ses bras et, sans déculer, me tient par les hanches, bien collé à son corps. Des sangles nous entourent le bassin, les cuisses, les jambes et le torse. Il n’a plus besoin de me porter; je ne fais plus qu’un avec lui. Je suis empalé sur ce magnifique zob et mes pieds ne touchent pas terre car il est beaucoup plus grand que moi.

— Marche!

Goliath commence à avancer; lentement d’abord, à chacun de ses pas je sens sa bite qui s’enfonce encore plus. Il accélère sa marche et le mouvement saccadé s’accentue. Il me fait très mal et j’aime ça! Les spectateurs se régalent et mon mastodonte commence à jouir… en me tenant la queue.

— Ah! Ouihhhhhhhh! Tu es trop bon!

Il s’assied et les sangles sont défaites. Le gros chibre sort dans un merveilleux flop de sa retraite serrée. Mon cul dilaté est vite l’objet de langues récupératrices. Je suis branlé par plusieurs mains à la fois et je finis par jouir, pour la seconde fois, dans une profusion de convulsions.

— Pendez-le!

Cet ordre me fait frémir! Les types me saisissent, m’enlèvent ce qui me reste de slip, m’attachent les poignets et les chevilles à de beaux bracelets de cuir. De grosses bandes de peau m’entourent le ventre et les cuisses; je suis ainsi suspendu à un seul câble qui est actionné au moyen d’une poulie fixée au plafond. Ma situation est peu confortable, mon bas-ventre est le point le plus bas de mon corps et je me retrouve vite les fesses près du plafond, allongé dans les airs: j’ai une vue plongeante sur un tas de mecs à poil qui s’agglutinent en dessous, admirant ma position. Ma bite et mes couilles pendent lamentablement vers le bas. C’est ce que guettent mes admirateurs, bouches grande ouvertes.

— Pisse! Crache!

L’ordre est bref mais ne peut pas être plus clair et plus réjouissant: pour moi d’abord car ma vessie est pleine à en éclater et pour les autres qui sont prêts à en recueillir le liquide.

— Avalez le merveilleux jus d’or qui vous vient d’un ange!

Ils se battent pour récupérer la moindre goutte de mon nectar; je pense avec une certaine satisfaction que ce sont eux, les lopes! Ils sont tels les oisillons à attendre la becquée! Je leur crache dessus en visant du mieux que je peux. Quelle n’est pas ma joie lorsque mon mollard tombe pile sur une langue à humecter! Mon jet de pisse est expédié dans une mêlée indescriptible; les corps sont luisants de mon breuvage; ils glissent les uns sur les autres; ce que les bouches n’obtiennent pas directement, les langues vont à sa recherche sur la peau des autres…

Et ils aiment ça, les salauds! Heureusement, mon envie est telle que je peux satisfaire la gourmandise de chacun… Thibaut est resté sur son trône, il a écarté les pans de son peignoir et se tripote généreusement la bite en regardant le spectacle. Il appelle un garçon pour qu’il lui redonne dans la bouche mon urine encore chaude et légère.

Je suis soulagé, ils me descendent un peu. Mon corps est à la hauteur de leurs visages. Ils me tirent la queue qui raidit bien vite, me triturent les couilles, me lèchent l’entre-cuisses, m’embrassent à pleines gorgées de pisse et de salive, enfin me descendent d’un nouvel étage où je suis cette fois à la hauteur de leurs bites. Mes jambes sont maintenues très écartées. Je n’ai plus qu’à supporter un défilé de bites qui n’ont aucun mal à pénétrer, l’une après l’autre, dans mon anus encore bien ouvert par le fameux morceau de Goliath.

Mes boyaux sont noyés de foutre qui dégouline sur mes couilles parfois gobées par une bouche encore avide.

Je suis dépendu et empalé sur la bite de Thibaut qui n’attendait plus que ça pour jouir à grands cris. C’est Goliath qui se charge d’agiter mon corps sur le pieu du maître. La jouissance s’empare vite de l’enculeur qui hurle sa satisfaction.

C’est l’épuisement pour tous qui sonne mon retour à la boîte de pédés. J’enfile mon «slip». Mon chauffeur, qui n’a pas participé aux ébats, profite de ma situation provocante pour me tâter. Il m’ordonne de me pencher pour sucer son paquet largement sorti de sa braguette. Je dois ensuite m’asseoir sur sa queue raide et humide. Je tiens le volant tandis qu’il garde ses pieds sur les pédales et sa bite dans la pédale. Les freinages, accélérations, défauts du revêtement de la route et mon mouvement vertical ont raison de lui. Il jouit au point qu’il cafouille avec les vitesses de la voiture, qui cale. J’en profite pour me dégager et remballer ses outils dans son pantalon. Moi, je reste quasi-nu et dégoulinant; tant pis pour le tissu des sièges!

Mon arrivée auprès de Pierre ne passe pas inaperçue. Les clients avachis, cul à l’air ou bite molle et poisseuse, sont trop usés pour m’agresser mais Pierre, stimulé par ma tenue étonnante et excitante, nullement soucieux de mon état de grande fatigue, me plie sur une table pour m’enculer avec vigueur. Je ne peux pas lui refuser ça, c’est grâce à lui que j’ai vécu un moment exceptionnel.

Il a joui comme il le voulait! Maintenant, je peux m’habiller et rentrer chez moi, me doucher et m’allonger, nu, sur mon grand lit douillet… en pensant à Goliath…

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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