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Vendredi 12 octobre 5 12 /10 /Oct 00:19

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Je n’avais en mémoire qu’un seul visage, celui du moustachu. Je le revis le lendemain matin. En fait il faisait partie d’une famille de ceux qui hébergeait un des moniteurs et parlait très bien le français. Il me fit comprendre que si je ne voulais pas qu’il raconte ce qui c’était passé, je devais lui obéir et faire ce qu’il allait me demander...

Salim (c’était son prénom) s’arrangeait toujours pour faire partie du groupe dans lequel j’étais lors des excursions ou des activités. Il me tenait à l’œil et je sentais sans arrêt son regard et sa pression sur moi. Bien sûr, étant donné que je voulais pas qu’il raconte tout aux autres, je me pliais à ses moindres désirs. La première des choses qu’il m’ordonna dès le début fut de ne jamais rien porter en dessous de mes shorts. Je devais être prêt à tout moment comme il disait, et dès qu’il me voyait arriver le matin, il m’attirait dans un coin isolé pour le vérifier. Il attrapait mon short à pleine main et le descendait d’un coup sur mes mollets, puis me demandait de remonter mon maillot. Il me caressait ensuite comme il l’avait fait la première fois, jusqu’au moment où il me donnait une claques sur les fesses et me demandait brusquement de me rhabiller. Il s’est vite aperçu que cela ne me laissait pas indifférent car dès qu’il commençait sa revue je me mettais à bander.

Le cinquième jour, nous avons fait une excursion dans une grande ville. Nous sommes partis de bonne heure en car, le voyage devant durer deux bonnes heures. Bien évidemment, il est venu s’asseoir à côté de moi après m’avoir indiqué où m’installer. Il me fit asseoir à côté de la fenêtre, un peu à l’écart des autres. Comme il faisait très frais, j’avais enfilé un survêtement avec mon short en dessous. D’ailleurs, on nous distribua des couvertures pour nous couvrir, le chauffage ne fonctionnant pas. À peine le car avait-il démarré qu’il me fit remarquer qu’il n’était pas content de moi. Il me fit remarquer que je n’avais pas écouté ce qu’il m’avait dit. Je ne devais jamais rien porter sous mon short ou sous mon pantalon. J’allais devoir être puni pour avoir désobéi.

Il installa la couverture sur nous et d’un ordre bref me demanda de retirer mon pantalon et mon short. Devant mon hésitation, il attrappa lui même les vêtements qu’il fit descendre sur mes genoux. Caché par la couverture et aidé par la pénombre matinale, je dus les retirer entièrement. Une fois terminé, il se tourna vers moi et dirigea une main entre mes jambes, direction mon cul. Je me suis retrouvé très vite avec un puis deux doigts en train de me fouiller le cul. Il me les a enfoncés d’un coup sec sans préparation et malgré l’aventure de l’autre soir, je les sentis passer et me mordais les lèvres pour ne pas crier. Gêné par l’exiguïté de l’espace dans lequel nous nous trouvions, il me positionna une jambe sur lui pour faciliter l’accès. Penché au dessus de moi il me travailla le cul pendant un bon moment, allant jusqu’à m’enfoncer un troisième doigt, me tirant sur la bite et les couilles.

Puis il m’attrapa soudainement par la nuque et attira ma tête vers son pubis. Dans le noir et sous la couverture je n’avais pas remarqué qu’il avait relevé sa djellaba. Il bandait déjà comme un turc et je reçus sa queue et pleine bouche très vite. Il me recouvrit de la couverture et me força à le sucer et effectuant des pressions sur ma tête. Dans le car il n’y avait aucun bruit, les autres dormant sûrement, bercés par le ronronnement du moteur. À un moment, il s’arrêta et me bloqua la tête en ayant sa queue au fond de ma gorge. Je le sentis se tendre et sa queue gonfler encore plus. Il se vida et je fus obligé d’avaler sa semence. Il me redressa alors et me repoussa vers la vitre. Je me rhabillais mais en ne mettant que mon survêtement, car il s’était emparé de mon short. La fin du trajet se fit calmement et je me suis d’ailleurs endormi comme les autres, mais avec le goût du sperme en bouche et la queue bien tendue.

Arrivé à destination, il faisait déjà bien jour et le soleil était déjà assez haut. La chaleur commençait à se faire sentir et je regrettais de ne pas pouvoir me mettre en short, celui-ci étant sûrement resté dans l’autocar. La visite du matin se déroula sans encombre: musée, atelier de confection et de tissage, usine de dattes. Salim avait rejoint le groupe des adultes et moi celui des autres ados. Le midi nous avons effectué un pique-nique dans une palmeraie, à l’abri des rayons du soleil qui tapait de plus en plus fort.

Le programme de l’après-midi était quartier libre en ville avec retour vers les 17 heures. Nous avions 4 heures de libre devant nous. Le groupe s’est vite éparpillé et alors que je m’apprêtais à partir, j’entendis Salim qui m’appelait. Il allait m’accompagner en ville. Il marchait rapidement et savait où il allait. Obéissant, je le suivais. Après avoir parcouru quelques ruelles dans la vieille ville, il s’arrêta devant une échoppe. La spécialité de celle-ci était apparemment les djellabas. Je pensais qu’il voulait s’en acheter une mais après avoir discuté avec l’un des vendeurs, il me fit entrer dans le magasin. En fait il voulait m’en acheter une et je devais l’essayer. Content, je le suivis docilement.

Il parcourut d’un œil connaisseur les différents modèles exposés. Un employé d’une vingtaine d’année que Salim devait connaître, nous accompagna. Il décrocha quelques modèles et nous les tendis. L’intérieur du magasin était frais et à mesure que nous reculions de l’entrée la lumière était de moins en moins présente. Le seul éclairage qu’il y avait était celui des rayons du soleil. Arrivé au fond de la boutique, la pénombre régnait. Cet là que Salim me tendit une djellaba pour me demander de l’essayer. Sans réfléchir, j’attrapais le vêtement et commençais à l’enfiler. Salim m’en empêcha bien vite. Je ne devais rien porter en dessous. D’un geste brusque, il tira sur mon maillot et me le retira. Le jeune employé nous regardait avec un sourire sur les lèvres.

Une fois torse nu, Salim me demanda de retirer mon pantalon. Comme je ne portais rien en dessous, j’ai hésité. Je n’aurais pas dû car cela énerva Salim, qui m’attrapa par les cheveux et m’envoya une claque dans le dos. Il fit descendre lui même mon survêtement jusqu’à mes chevilles. Il me tourna de sorte à montrer mon cul au vendeur et me plia en deux pour finir de me déshabiller. J’étais rouge de honte de me montrer ainsi devant un inconnu, ne sachant pas qui pouvait encore arriver. Une fois nu, je me redressai et tentai de camoufler mon sexe avec mes mains. Je croisais alors le regard de l’employé qui me détaillait de la tête aux pieds comme une marchandise, en discutant avec Salim. Bien évidemment, je dus essayer plusieurs djellabas avant de trouver celle qui plaisait à Salim, et entre chaque essayage, je devais attendre nu, exposé aux regards.

Le choix de Salim se porta finalement sur un modèle très simple. La toile était légère et j’avais l’impression de ne rien avoir sur le dos tellement le tissu semblait fin. Content de son choix Salim palabra avec le vendeur. Il devait certainement discuter le prix. Après quelques conciliabules, il sortit quelques billets et en me regardant, il me dit que je devais participer à l’achat. N’ayant aucun argent sur moi, je ne voyais vraiment pas comment j’allais pouvoir faire.

Je compris très vite. Le vendeur m’entraîna dans l’arrière boutique, un espace assez restreint dans lequel étaient entreposés des rouleaux de toile et des cartons de marchandise. Sans préambule, il me plaqua face contre une pile de cartons et releva ma djellaba sur mon dos. Il m’écarta les jambes et cracha dans sa main et sur mon cul. Sans un mot, il plaça son gland à l’entrée de mon cul et d’un coup de rein me pénétra. J’avais encore le cul en feu suite à ma correction de ce matin et la douleur se raviva. Serrant les dents, je l’ai laissé me pilonner. Il faisait ça rapidement, comme un débutant, à la sauvage. Il éjacula en moi au bout de cinq minutes. Il se retira, la djellaba retomba toute seul jusqu’à mes pieds. Je sentais son sperme glisser entre mes cuisses. Sans un mot, il me raccompagna dans le magasin où Salim était en train de discuter avec le patron. Je n’osais lever les yeux et regarder qui que se soit. Tout le monde devait être au courant que je venais de me faire enculer par le jeune employé et rigolait en me regardant.

Je fus content de me retrouver dehors. Le soleil m’éblouit quelques instants et du coup, je ne fis pas attention au fait que je portais la djellaba. Celle-ci était de couleurs beige et vraiment très légère. En fait d’être légère, et je pense que c’est pour cela que Salim l’avait choisie, elle était aussi transparente. Je m’en suis rendu compte en passant devant la vitrine d’un barbier. En me regardant devant une glace, je me suis aperçu que l’on pouvait sans aucun problème distinguer que j’étais nu sous le vêtement. Cela me fit un drôle d’effet. Salim était en train de m’exposer au regard de toute la population, et les hommes que l’on croisait ne s’en privaient pas. Je sentais leur regards envieux se poser sur mes fesses. Je me serais balader nu je crois, que le résultat aurait été pareil. Salim se tenait à côté de moi et se délectait de la situation. Il nous enmenait évidemment là où il y avait le plus de monde, s’arrêtant çà et là, faisant semblant de regarder sur un étal ou pour discuter avec un autochtone. À chaque fois que l’on s’arrêtais, je remarquais les gestes des mains qui venaient se placer sur les pubis, voir certaines venir effleurer mon cul en passant. Il faut dire que ma queue était tendue à craquer et que cela se voyait aussi. J’étais excité au plus haut point. Fort heureusement, nous ne croisâmes aucune personne du groupe et au moment de retourner au car, Salim me rendit mon pantalon de survêtement pour que je puisse le remettre.

Le retour se fit normalement. J’étais vanné et je m’endormis à peine installé, d’autant que je savais que la journée n’était pas finie. En effet, une soirée était organisée à la maison de la jeunesse avec l’ensemble du groupe et des familles qui nous recevaient.

La soirée s’éternisa jusqu’à 22h et puis les convives se séparèrent un à un. Pour ceux qui le voulaient, nous avions quartier libre jusqu’à minuit et pouvions profiter de la douceur de la soirée pour aller nous promener ou faire ce que bon nous semblait. Salim que je n’avais pratiquement pas vu de la soirée réapparut à ce moment-là comme par enchantement.

Il se rapprocha de moi et arrivé à ma hauteur, il me dit qu’il allait m’emmener voir des amis à lui. Le trajet ne fut pas long. Arrivés devant une porte cochère, il me fit comprendre que je ne devais bien entendu porter que ma djellaba. Soumis, je retirai alors les vêtements que je portais en dessous et les lui tendis pour qu’il les mettent dans un sac. Une fois prêt, il frappa et un homme d’une quarantaine d’année aussi vint nous ouvrir.

À peine avais-je passé la porte que sans présentation (cela avait dû être fait bien avant), le type me mit la main au cul et commença à me malaxer les fesses, tout le long du couloir que nous traversions. Nous arrivâmes dans une pièce faiblement éclairée, d’où s’échappait en sourdine de la musique. Deux autres hommes étaient vautrés dans des canapés et fumaient tranquillement. Une odeur bizarre flottait dans l’air.

Sans préambule, Salim me plaça au milieu du salon et remonta ma djellaba. Les autres me fixaient et applaudissaient. Une fois nu, il me fit tourner dans tous les sens pour bien me montrer comme une vulgaire marchandise. Il me demanda ensuite de me pencher en avant et de bien �carter mes fesses pour que tout le monde puisse voir ma rondelle. Les hommes échangeaient entre eux sur ce qu’ils voyaient dans mon dos. Je restais dans cette position en attendant la suite. Puis il me fit passer de mains en mains et chacun me pelota à sa guise, faisant des commentaires, me faisant m’asseoir sur eux. Je sentais leur grosse bite gonfler sous la toile de leur vêtement. Bien évidemment, la partie qui les intéressaient le plus était mon cul.

Mais quelque chose les gênaient, c’était les poils que j’avais. Alors celui qui semblait être le propriétaire des lieux se leva et alla chercher un rasoir. En moins de temps qu’il ne le faut pour le dire, je me suis retrouvé allongé sur une table. Le rasoir parcourut mes endroits les plus intimes, me dépouillant de toute virilité. À cet âge-là, j’étais assez fier des poils pubiens que j’avais, mais pour le coup, je devrais attendre qu’ils repoussent. J’ai retrouvé une peau de bébé et cela sembla leur plaire.

Il me firent reprendre la pose pour bien me regarder jusqu’à ce que l’un d’eux se lève et vienne se positionner devant moi. Il souleva sa djellaba et attrapa sa queue à moins tendue d’une main pour me la présenter. J’ouvris la bouche et avalai le morceau de chair. Il laissa retomber son vêtement et je me retrouvais à le sucer, toujours le cul bien offert, d’autant qu’il s’était penché au-dessus de moi et qu’il m’écartait les globes. Son sexe durcit rapidement et me remplit la bouche à fond. Bien enfoncé en moi, il ne bougeait pratiquement pas, trop occupé par mon cul sur lequel il assenait de grosses claques. À mesure que les coups pleuvaient, je sentais mon cul chauffer. J’avais du mal à respirer, coincé sous la toile, avec cette bite enfoncée au fond de ma gorge.

Puis les coups s’arrêtèrent et je sentis que l’on présentait un objet à l’entrée de mon cul. Je ne voyais pas ce que c’était mais le contact était froid. En fait un autre mec était en train de m’enculer avec un concombre. Déjà bien ouvert, mon cul aspira le légume assez facilement à ma grande stupeur. Ils s’amusèrent à me préparer le cul avec pendant un bon moment et d’autres objets suivirent. Ils se relayaient chacun leur tour pour me travailler la rondelle, alors que j’étais toujours maintenu par le premier qui, imprimant des mouvements du bassin faisait entrer et sortir sa queue de ma bouche. Il éjacula une première fois et m’en colla partout sur la gueule.

Lorsqu’il se dégagea, je crus qu’il allait être remplacé par un autre mais ils me firent mettre à quatre pattes devant eux et me laissant en l’état, firent une pause. J’avais toujours quelques choses dans le cul et le sperme me dégoulinait le long des joues. À mesure que la soirée avançait, ils se sont tous retrouvés nus et la bite à la main. Ils se présentaient à tour de rôle pour que j’astique leur mandrin. Ils avaient tous des bites énormes, tendues à craquer, le gland bien décalotté et bien reluisant.

Quand je les ai eu tous sucés, ils me firent m’allonger sur le dos. L’un deux se positionna au dessus de ma tête et après m’avoir enfourné sa bite dans la bouche, attrapa mes jambes pour les remonter vers lui. Ce fut ensuite une série d’enculade. Un par un, ils me défoncèrent le cul sauvagement alors que je devais toujours en avoir un en bouche, sûrement pour étouffer les cris de douleurs que je poussais. Cela se termina évidemment dans un bain de sperme. J’en ai reçu partout, même le mien est venu se répandre sur mon torse sans que je me touche.

J’étais épuisé, et le corps endolori de partout. Ce n’était que le début et je n’étais pas au bout de mes peines.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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