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fan de histoires de mec

Samedi 21 juillet 6 21 /07 /Juil 18:24

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Aujourd’hui, j’ai 54 ans et, croyez-moi, j’ai bien profité du «sexe» et de ses plaisirs! Mon parcours a commencé lorsque j’avais 17 ans et j’ai vite trouvé ma voie. Ma famille faisait partie de la bourgeoisie dijonnaise. Nous habitions une villa cossue entourée d’un grand jardin pas trop loin du centre-ville. Des soirées mondaines étaient organisées régulièrement chez des amis de mes parents. Nous assistions à certaines de ces «soirées». Il s’agissait surtout d’occasions où les femmes pouvaient parader dans leurs plus belles tenues et où les hommes discutaient d’argent et de femmes. Moi, j’avais à peine dix-sept ans. L’un de mes frères, Jean-Yves, vingt ans, grand, blond, avec de beaux yeux bleus était très séduisant. Mon second frère, en pension dans la région parisienne, était rarement là.

Un soir, alors que les parents étaient invités à une réception, nous les jeunes nous avons été réunis au deuxième étage pour une soirée entre juniors. Nous sommes restés seuls toute la soirée et une bonne partie de la nuit. Vers minuit, nous avions bu un peu de punch - agrémenté secrètement de cognac par, Robert, le fils de nos hôtes - et je me suis mis un peu à l’écart. Je pensais à quelque chose que j’avais vu le jour précédent. Mon frère est venu vers moi. J’étais pensif.

— Que se passe-t-il? À quoi penses-tu?

— Il ne se passe rien. Je suis fatigué.

— Mais, je te connais bien, quand tu fais cette tête, c’est que quelque chose te contrarie. Allons dis-moi ce qui ne va pas!

— Ecoute, c’est un truc qui me trotte... Avant-hier, nous étions tous à nos activités hors de la maison et j’ai dû rentrer pour prendre un livre que j’avais oublié. En passant devant la porte de la chambre des parents, j’ai entendu un petit gémissement. La porte était entrouverte. Je sais que c’était mal mais j’ai regardé...

— Rassure-toi, j’aurais fait pareil!

— Je croyais voir nos parents en train de... Enfin, tu comprends!

— Je comprends!

— J’ai vu les fesses de papa qui bougeaient d’un mouvement lent mais régulier entre des cuisses que je croyais être celles de maman. Le lit craquait, ça gémissait. Après un moment, papa s’est levé et... merde... c’était pas maman...

— Tu veux rire?!

— J’en ai l’air, tiens! C’était Reynaldo, notre jeune valet de chambre. Il était à poil et il s’est mis à quatre pattes sur le lit. Papa s’est mis derrière lui et il lui a enfoncé sa queue dans son...

— Dans son cul?

— Oui.

— Ça doit faire rudement mal! Le plus étonnant c’est que Reynaldo n’a pas crié de douleur mais qu’au contraire, il paraissait apprécier ce que papa lui faisait.

— Il l’enculait, frérot!

— C’est ça «enculer»?!

— Y’a des gens qui apprécient ce genre de rapports, frangin! Continue à raconter... ça m’intéresse...

— Après quelques instants, ils se sont mis à gémir tous les deux et se sont effondrés sur le lit. Reynaldo s’est mis à genoux et papa lui a dit qu’il était «une bonne salope»... Curieux, non?

— Tu comprendras plus tard!

— Papa a saisit sa saucisse et l’a mise dans la bouche du valet. C’était bizarre. Sa langue passait et repassait dessus et papa disait toujours «Suce, salope!» Ils se sont ensuite effondrés sur le lit et se sont endormis. J’ai quitté la maison sans bruit.

— Papa fait des «trucs» avec un mec! Merde alors!

— Ce qui m’a étonné c’est de voir comme la quéquette de papa était grosse... Je l’ai déjà vu faire pipi dans le fond du jardin, elle n’était pas si énorme.

— Ça mon vieux, c’est le mystère de l’anatomie!

— Comment un sexe si petit peut-il devenir si gros?

— Ne me dis pas que tu n’as jamais bandé? Ta queue n’est jamais devenue dure et grosse?

— Si un peu... mais pas comme celle de papa!

— C’est normal! Tu n’es pas encore adulte!

— Toi bien?

— Quoi, moi bien?

— Ben, ta queue grossit comme ça... et devient énorme?

— J’ai pas trop à me plaindre de ce côté!

Jean-Yves m’a entraîné loin des autres vers le grenier et il m’a montré. En frottant sa queue, elle s’est mise à grossir assez fort. J’étais épaté...

— Touche-la! m’a demandé mon frère.

— Tu crois! Je ne crois pas que ça soit bien...

— C’est pas un péché. Allez...

— Woaw! Elle est longue et dure. Comment peut-elle entrer dans un aussi petit trou qu’un trou du cul?

— Veux-tu que je te montre comment cela se passe?

— Euh!.... Oui!

— Enlève ton pantalon...

— Mais...

— Ne discute pas tant! Tu en meurs d’envie... On est seuls! Pas de témoins!

Sans plus attendre, il s’est déshabillé de son côté et m’a regardé baisser mon pantalon.

— Ne sois pas si timide! Je t’ai déjà vu nu, frangin! Tu vois, tous les hommes ont un sexe comme celui-ci: modeste au repos. Pour qu’il change de dimension, il faut le stimuler. Parfois, le simple fait de penser à un truc cochon suffit pour qu’il grandisse.

— Regarder des photos, par exemple?

— Voilà! Mais souvent, un contact physique est nécessaire.

Jean-Yves posa sa main sur mon sexe. Au début, elle ne bougea pas puis elle me caressa délicatement. Les doigts glissèrent sur la peau pour la faire coulisser. Je trouvais ça très agréable. Mon sexe se mit à réagir.

— Veux-tu aller plus loin dans les explications, frangin? Comme par exemple, savoir comment une grosse saucisse peut s’enfoncer dans un petit trou?

— J’aimerais savoir, oui!

— Alors on continue...

Jean-Yves se plaça derrière moi, me caressa le dos et les fesses et me murmura à l’oreille de ne pas faire de bruit pour ne pas que les autres sachent où nous nous cachions. Je me suis laissé aller aux caresses de mon grand frère. Je sentais son membre dur qui frappait contre les fesses. De temps en temps, il entrait entre mes fesses, dans la raie et cognait contre mon trou du cul. Les caresses qu’il me prodiguait étaient formidables et je sentais ma verge grossir, durcir.

Son sexe, lui, était énorme, prêt à exploser et mon frère soufflait comme un bœuf. Il semblait fort excité.

— Respire à fond! me dit-il.

Et il amena son gland rouge de désir contre mon anus. Il le positionna puis s’ enfonça sauvagement, en moi, jusqu'aux couilles. Surpris par la rapidité de son geste, empalé pour la première fois, je souffrais horriblement et, malgré ses paroles de réconfort, je voulais très vite me soustraire à sa pénétration. Il m’était impossible de lutter contre lui et sa force... donc je ne pouvais pas éviter ses assauts virils.

— J’ai très mal! Arrête... Jean-Yves, je t’en prie...

— Calme-toi, ça va passer... C’est toujours comme ça la première fois... après, tu vas voir, c’est délicieux!

Ses coups de queue puissants se sont calmés jusqu’à ce qu’il sente que je m’habituais à sa queue.

— Ça va mieux?

— J’ai moins mal, oui. C’est trop gros.

— Tu voulais savoir.

— Pourquoi Reynaldo n’a pas mal, lui?

— Parce que ce n’était pas la première fois que papa l’enculait... La première fois est toujours douloureuse et, puis, après ça rentre sans problème. C’est même très bon...

Jean-Yves, tout en me parlant, accéléra le rythme et me lima en cadence. À bout de force, il libèra enfin sa semence sur mes reins et mes fesses.

— Eh oh! Où êtes-vous?

C’étaient nos amis qui nous cherchaient. Nous nous sommes tus. Nous croyions qu’ils étaient tous partis et nous avons commencé à nous rhabiller. Le fils de nos hôtes est apparu en haut des marches du grenier. Il souriaient.

— En voilà des petits cochons! Je me doutais bien de quelque chose mais... là... ça dépasse mes espérances... Surtout restez bien à poil! Jean-Yves, j’espère que tu accepteras de me laisser «couvrir» ton frère? Il a l’air d’avoir un bon trou...

Mon frère s’écarta pour laisser la place à Robert. Agrippé à mes hanches, il entra d’un coup sec et donna de grands coups de boutoir. Comme son sexe était moins gros que celui de Jean-Yves, je n’ai pas ressenti de forte douleur. Son sexe entrait et sortait rapidement entre mes fesses et, finalement, il se retira et m’éjacula sur les fesses.

— Je n’ai pas pu tenir plus longtemps! gémit-il en soupirant. On devrait en faire profiter les «autres»! ajoute-t-il.

Ce garçon parlait de moi comme d’un objet... un objet à plaisir. Il ne s’adressait qu’à mon frère pour proposer qu’on m’exhibe devant les autres jeunes invités. Effrayé par la situation, j’ai refuse et je me suis énervé. J’ai alors senti la main de Robert se poser sur mon sexe qui était toujours tout dur.

— C’est ridicule de se buter ainsi! Regarde comme tu bandes. Tu es très excité par la situation. Si c’est à cause des parents, crois-moi, tu n’as rien à craindre. Ils ont d’autres choses à faire. Si tu savais ce que ton père fait au mien... Allez viens te montrer comme ça! On va bien s’occuper de toi et te donner du plaisir. Écoute, voilà ce que je te propose... Tu te rhabilles et on descend. Aux autres, on va leur montrer un show très sexe où ton frère et moi on va te soumettre gentiment. Je suis certain que ça te plaira...

— Qu’en dis-tu, frangin? m’a dit Jean-Yves.

Vous dire que je n’étais pas excité serait mentir. Je l’étais plus que tout. Les deux enculages de mon frère et de Robert m’avaient drôlement mis en appétit et j’étais très excité. Je me suis donc revêtu et je suis descendu avec eux.

— Eh mais qu’est-ce que vous foutiez, vous trois? a demandé un invité.

— On faisait des découvertes dans le grenier.

— Robert, merde, y’a plus rien à boire! a crié un autre.

— Attendez une minute, je vais arranger ça...

Robert a disparu un court moment vers le bas de la maison puis est revenu avec des «munitions».

— Du gin!!! T’es fou! a rigolé mon frère.

— Pour ce qui va suivre, il est préférable d’être dans un état second... Si tu vois ce que je veux dire...

Il a versé deux bouteilles de jus d’orange et deux de gin dans le plat à punch.

— Buvez mes amis!

Jean-Yves m’a serré l’épaule comme pour m’encourager.

— Es-tu prêt pour le spectacle? m’a-t-il demandé.

J’ai rougi et agité la tête.

— Mes amis, cette soirée sera agrémentée d’un show d’un nouveau genre. J’espère que vous aimerez...

Il m’a attiré vers lui. Il a posé ses lèvres sur les miennes. J’ai entendu un chuchotement dans la petite assemblée des spectateurs. Robert m’a donné l’ordre de sortir son membre de son pantalon. Je l’ai fait. Il ne bandait pas encore. Il s’est penché et m’a murmuré de le lécher et de l’introduire dans ma bouche de salope. Nouveaux chuchotement. Je me suis accroupi et je l’ai pompé avec ardeur. J’aimais ça et ça se voyait. Après un long moment, il m’a demandé d’arrêter et m’a dit de me relever pour baiser mon pantalon et m’enlever mon caleçon. Il a exhibé ainsi mon cul nu à tous et m’a forcé à me baisser pour bien ouvrir ma raie. Il m’a alors fait asseoir sur son sexe raide qui est entré du premier coup dans mon conduit brûlant. Il me tenait par les hanches et me faisait remonter et descendre le long de sa bite tendue. Les autres avaient commencé à se caresser. Jean-Yves m’enleva les derniers vêtements pour que je sois nu et offert à tous. J’en ai profité pour l’embrasser au passage et nos langues se sont mêlées. Robert était très excité et un peu brute.

— Mmmm t’es une drôlement bonne salope! Comme ton père, hein! Il adore aussi se faire mettre par des grosses bites de mâles excités!

Tout à coup, il m’a crié que sa jouissance allait arriver et il s’est déversé en moi. C’était bien avant qu’on ne parle du SIDA et nous n’utilisions pas de capotes. Jean-Yves a pris le relais et m’a baisé plus de vingt minutes. Les autres formaient un cercle autour de nous en buvant du gin. Certains s’avançaient pour me caresser les fesses, les tétons ou m’embrasser. J’étais le jouet du jour!

— Mais je vois qu’on s’amuse ici aussi!

Je blêmis. C’était la voix du père de Robert.

— C’est tout jeune et ça veut déjà faire comme les grands. Dites-moi, les gars, faudrait pas vous y prendre de travers et lui faire mal à ce gamin. Ce genre d’initiation c’est important! Faut pas le dégoûter du sexe.

Il s’adressa à Jean-Yves et Robert qui étaient les aînés puis, en se malaxant le sexe, il s’ approcha de moi, me retourna à quatre pattes et m’enfonça son gourdin dans le cul puis il se retira et recommença. Comme je gémissait de douleur, il s’écria:

— Ton père crie aussi mais, lui, c’est pour que je continue. Sois patient! Ton cul est encore tout neuf et il doit s’habituer au calibrage. Tu vas sûrement aimer ça autant que ta salope de père. Je t’assure que, lui, il en redemande. Il est là, au rez-de-chaussée, en train de se faire enculer par notre serviteur noir.

— Justement, il en a fini avec moi... Je venais voir si personne ne pouvait le remplacer!

Robert s’est approché de mon père et d’un coup a plongé sur son pantalon pour en extirper un membre bien bandé. Il l’a glissé dans sa bouche et en s’aidant de la main a entamé un mouvement rythmé pour faire monter son jus. Mon père a souri.

— Nous avons décidément des enfants extraordinaires.

— Tu l’as dit! a répondu notre hôte en me limant de plus belle.

Jean-Yves s’est mis ouvrir la chemise de notre père pour lui titiller les tétons. Tous les autres jeunes étaient stupéfaits par ce qu’ils voyaient et ne savent pas quoi faire. L’alcool aidant, ils ont commencé à se réchauffer et ont enlevé certains de leurs vêtements. Quand Jean-Yves fut bien en forme, il écarta Robert, plia mon père en deux et se plaça derrière lui. C’était bizarre de voir mon père prêt à recevoir la bite de son fils aîné! Jean-Yves se fraya un passage entre les fesses poilues et donna un coup de reins.

De son côté, Robert et un autre invité avaient jeté leur dévolu sur un des plus jeunes qui criait tout son désarroi. Se faire enculer à dix-sept ans ça fait parfois peur.

— Laissez-moi! Je vous en prie... Je ne veux pas, je n’ai jamais fait cela, j’ai peur, non, arrêtez!

— Ne t’énerve pas ainsi, mon mignon, tu vas trouver ça génial... Regarde leurs têtes à tous. Tu ne vois pas comme ils s’éclatent... Même nos parents!

Le jeunot fut très vite à poil et couché sur le dos au milieu du buffet. Son visage grimaçait sous les coups de butoir de Robert puis de l’autre.

— Tu m’en laisses un peu, hein, fiston? lança son père.

— Oui, ‘pa!

Au bout d’un long moment, le père de Robert se retira de mon trou et voulut essayer l’autre garçon. Robert encouragea son pote à m’enculer sauvagement.

— Tu sais, Michel, une bonne salope ne jouit qu’à la dure. Pas de pitié pour les trous de salopes... Ils sont fait pour être baisé à fond et sans répit.

Le père s’installe devant le garçon tremblant.

— Elle est trop grosse, m’sieur! La vôtre est trop grosse. J’ai déjà eu si mal avec... AIE...

C’était trop tard. L’homme lui avait écarté les cuisses, caresse le trou avec de la salive et introduit son gros membre dans l’ouverture serrée.

— Ça fait maaaaaaaaaaaaaaaaaal!

— Ça fait mâle, oui! lança Robert en rigolant.

Mon père se mit à jouir sous les coups de reins de mon frère tandis que le père de Robert jouissait lui aussi dans l’anus qu’il venait d’élargir.

Dix jours plus tard, nous étions invités chez un collègue de mon père. Juste avant de partir, le téléphone sonna. C’était la meilleure amie de maman qui nous annonçait que son mari venait d’être hospitalisé d’urgence. Pas question pour ma mère d’abandonner son amie et d’aller s’amuser à la soirée. Mon père décida d’annuler.

— Non, tu vas me conduire à l’hôpital et puis tu n’auras qu’à te rendre à cette soirée. Je sais que c’est très important pour toi...

Nous sommes montés dans le break de papa et, après avoir fait un crochet à l’hôpital, nous sommes arrivés chez l’ami de papa. C’est lui qui est venu nous ouvrir tout sourire...

— Ta femme n’est pas là?

— Elle est désolée. Un contretemps.

— Décidément, il ne fallait pas de femmes à cette soirée... L’épouse de Guillaume a une crise d’arthrose et est restée chez eux. Ce sera donc une soirée d’hommes!

À cet instant, j’aurais dû comprendre ce qui se tramait. La soirée a débuté par un repas léger puis nous avons bu et parlé. Vers 23h, le collègue de papa s’est avancé vers son valet, un italien bien baraqué et lui a palpé les parties à travers le pantalon. L’italien lui a tendu ses lèvres. Nous nous sommes tous regardés et nous avons vu notre hôte commencer à déshabiller son domestique. Jean-Yves s’approchant d’eux a baissé le pantalon de notre hôte pour lui sucer le gland. L’excitation est montée en flèche. Guillaume, un autre adulte, s’est approché de moi.

— Voyons un peu si tu es si bonne salope qu’on le dit!

Mon père lui a fait un clin d’œil.

— Il a encore beaucoup à apprendre, Guillaume. Nous sommes là pour ça, non?

— Effectivement.

— Et il sera sûrement meilleure salope que moi.

— Ça va être difficile, mon chéri! lui répondit Guillaume en l’embrassant.

Papa et Jean-Yves entouraient l’italien et le collègue vicelard, les caressant et leur enlèvant leurs derniers vêtements.

— Je veux ta queue en moi, mon amour! dit mon père à son collègue.

— Tu vas l’avoir à fond, ma salope.

— Tu vas me faire la même chose qu’hier au bureau?

— En mieux, mon amour!

Et mon père se fit caresser la croupe par l’autre. Jean-Yves s’est penché pour sucer le valet et Guillaume a terminé de me mettre à poil. L’ambiance était très très chaude. Pendant que l’italien poilu se faisait toujours sucer, notre hôte s’est placé derrière mon père et a introduit son membre bien tendu dans son trou non lubrifié. Papa a gémi mais c’était de désir. Le baiseur a commencé des mouvements de va et vient qui faisait trembler tout le corps de mon père.

— Tu veux la même chose que ta salope de père, c’est ça?

— Oui, monsieur! ai-je répondu.

Jean-Yves se faisait sucer par le valet qui se faisait astiquer le membre par mon père et, moi, je recevais le membre imposant de Guillaume. Quel bonheur!

Pendant que nous baisions, on a sonné à la porte d’entrée. Le collègue de papa l’a abandonné un instant et a enfilé un peignoir pour aller ouvrir. J’ai entendu des voix. Lorsqu’il est revenu, il était accompagné de deux policiers en uniforme.

— On a vu de la lumière et on s’est dit... ça partouze sûrement chez notre cher Marc.

— Vous avez bien pensé! Mettez-vous à l’aise...

Excités par le spectacle que nous leur offrions, ils se sont déshabillés rapidement et se sont mis à se caresser à travers leur slip. Ils restèrent un moment à contempler nos ébats en se masturbant, puis rapidement ils participèrent à l’action. Guillaume en attira un vers nous.

— Je l’ai bien préparé. Il est tout chaud et bien lubrifié... Essaie-le!

Le plus jeune des policiers s’est approché et il m’a pénétré d’un coup. J’ai laissé échappé un petit cri de surprise mais je n’ai pas vraiment eu le temps d’avoir mal. Guillaume avait effectivement bien ouvert mon cul. Mon frère avait quitté la bouche de l’italien et s’était dirigé vers nous.

— Tu aimes ça, te faire sauter par un policier? Hein, frangin? Tu sens bien sa grosse matraque te défoncer le trou...

— Il est très bon ton frère! dit le jeune policier. Aussi bon que toi lorsque je t’ai eu pour la première fois...

— Tu entends, frangin? Ce joli policier qui te prend à fond m’a aussi enculé, un soir, dans une ruelle... J’avais adoré la sensation de sa grosse tige qui coulissait en moi!

C’est à ce moment que notre père sentant qu’il allait jouir a hurlé son bonheur. Notre hôte s ‘est retiré de son cul et a joui lui aussi en envoyant son sperme sur le dos de papa. Le policier s’est également retiré de mon trou dilaté et a joui sur mes fesses. L’autre flic plia Jean-Yves en deux et lui claqua les fesses:

— En voilà un qui adore le bon jus de flic!

En regardant mon frère se faire enculer, je me suis mis à me masturber lentement. C’était très excitant et aussi un peu frustrant. J’avais pris goût au fait d’être enculé et j’aimais être «rempli» en permanence. Je me suis avancé vers le visage de Jean-Yves et j’ai frappé sa bouche avec mon sexe tendu. Il a ouvert les lèvres et je l’ai introduit à l’intérieur. Il a passé la langue sur mon gland tout en gémissant sous les coups de reins du policier.

— Toutes de bonnes salopes dans cette famille!

Mon père a souri en nous regardant. J’ai pris la tête de mon frère entre mes mains et j’ai imprimé un mouvement de va et vient. Guillaume s’est dirigé vers mon père et l’a entraîné vers une autre pièce. Mon regard les a suivi. Je n’osais pas les suivre. Mon frère a lâché ma queue.

— Si tu en as envie, suis-les! Vas-y, frangin!

Le jeune policier caressait le collègue de papa et l’autre enculait mon frère. J’ai quitté le living avec cette scène excitante en mémoire. Je bandais très fort à l’idée de découvrir mon père dans une situation particulière. Je suis descendu à la cave où j’entendais des bruits bizarres... des cliquetis... En bas, au bout d’un petit couloir, je suis arrivé dans une pièce aménagée avec des accessoires dont j’ignorais l’utilité. J’ai compris d’où venait le bruit de chaînes que j’avais entendu. Guillaume avait placé mon père sur une espèce de «berceau» de cuir suspendu par des chaînes au plafond. Les jambes de mon père étaient remontées et attachées par des courroies de cuir également. Le cul de mon paternel était bien visible et offert à Guillaume qui lui écartait bien les cuisses et lui léchait le pourtour du trou.

— Approche, fils, ici c’est l’antre des salopes!

— Regarde ce qu’on peut faire à un homme pour lui donner du plaisir... ajouta Guillaume. Un jour, tu aimeras qu’on te le fasse!

Lorsque l’anus de mon père fut luisant de salive, Guillaume se releva et positionna alors son pénis à l’entrée de son cul. Il glissa son gros gland tout rouge entre les fesses, en caressant le torse de mon père. D’un coup sec et bien viril, il introduisit toute sa tige dans l’anus accueillant. Papa gémit.

— Baise-moi Guillaume! Baise ta salope...

— MA salope! La salope de tout le monde, oui! ironisa l’enculeur.

Voilà comment j’ai découvert ce qu’était une «salope» au masculin. Voir mon père et mon frère baiser entre eux et avec d’autres hommes m’a ouvert un autre horizon... J’ai trouvé ma voie cette année-là... Je ne l’ai jamais quittée... L’homme de 35 ans qui vient de quitter mon appartement après m’avoir copieusement arrosé de son urine et de son sperme vous le confirmera: je suis une excellente salope... comme papa!

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 21 juillet 6 21 /07 /Juil 16:48

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Il était 17 heures lorsque je rentrai à la maison, mon père devait être en train de faire de la musculation au sous-sol. Nous vivions seuls tous les deux depuis que ma mère était partie de la maison. Mais aujourd’hui j’étais un peu inquiet. Amoureux d’un mec de ma classe j’avais décidé de le dire à mon père. Je ne savais pas quelle allait être sa réaction, mais je devais le faire.

— Papa, je suis rentré.

— Salut, fiston, rejoins-moi je suis au sous-sol.

— Je me prépare et j’arrive.

Dans ma chambre, je quittai pantalon et chemise et passai rapidement un short sur mon slip. Devant le miroir je me regardai, j’étais plutôt bien foutu pour mes 18 ans, très sportif, mon corps s’était rapidement étoffé ces derniers mois. Et c’est torse nu que je descendis rejoindre mon père.

Allongé sur le sol, torse nu et en slip, celui-ci terminait une série d’abdominaux, ses muscles se dessinaient sous sa peau, de la sueur dégoulinait de son front. Tout son corps brillait de transpiration, les poils de sa poitrine étaient humides et collés à son torse massif et son slip humide, mouillé par l’effort, moulait son sexe épais. À la fin de sa série, il s’assit en me suivant des yeux.

Je fis quelques étirements et commençai une série de pompes à côté de lui. Pendant que mes pectoraux et mes triceps se contractaient sous l’effort je pensais à ce que j’allais lui dire. Il fallait que je le fasse le plus vite possible, sinon j’allais me dégonfler une fois de plus. Me redressant pour me mettre sur mes genoux, je regardai mon père droit dans les yeux.

— Papa ?

— Oui Fabien ?

— Faut que je te parle...

— Qu’y a-t-il, fiston ?

Et là d’un trait je me lançai :

— Je suis gay.

Il me regarda sans répondre, n’osant plus dire un mot, je scrutai la moindre émotion sur ses traits. Une légère crispation au niveau de sa bouche. Son regard ne me quitta pas. Assis en tailleur, les cuisses écartées, Il se redressa légèrement en prenant appui sur ses mains. Dans ses yeux, je n’y vis que de l’incompréhension puis de la colère.

— Alors comme ça mon fils est un pédé !!!

J’en eus le souffle coupé, la phrase s’insinua dans mon cerveau et provoqua une brusque montée d’adrénaline. Comment osait-t-il me parler de cette manière, il n’avait donc aucun respect ? Je sentis mon corps bouillonner de fureur, mon cœur battait la chamade en expulsant le sang à travers mes artères et mes veines pour venir gonfler mes muscles. En répondant à une pulsion dévorante, je me jetai sur lui avec un grand cri de rage et une violence extrême.

Il me reçut comme un boulet de canon, mon corps percuta le sien et ses bras plièrent sous le choc. Tout l’air de ses poumons se vida d’un coup. J’accusai également le coup et la violence du contact entre nos deux torses se cognant l’un à l’autre résonna dans ma cage thoracique. Je voulais l’humilier car les mots qu’il m’avait dits m’avaient profondément choqué. Et qu’est-ce qui était le plus humiliant pour mon père ? Perdre la face et s’avouer vaincu. Je me retrouvai couché sur lui, mes mains s’emparèrent de ses poignets pour les amener au-dessus de sa tête pendant que mes cuisses s’écartaient pour ne pas lui laisser le temps de m’enserrer entre les siennes. Mon visage surplombait le sien, il me regardait avec un air mauvais.

— Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça. Je vais te montrer ce que c’est qu’un homme, un vrai…

Au même instant j’ouvris la bouche pour laisser tomber un filet de salive qui atterrit sur ses lèvres encore entrouvertes. Il rugit, je sentis son corps se tendre sous le mien, pendant que tous ses muscles se gonflaient. Une force surhumaine grandissait en moi. Mes abdos contractés s’écrasaient contre les siens pendant que mon bassin le clouait au sol. Prenant appui sur ses pieds, il ruait comme un taureau pris au piège. Aussitôt je poussai mon bassin contre le sien en me faisant le plus lourd possible. Son visage était rouge et ruisselant sous l’effort, ses pectoraux luisants et gonflés à bloc se frottaient contre les miens. Une douce chaleur commença à envahir mon corps, la domination que j’avais sur mon père à cet instant m’excita au plus haut point. À l’intérieur de mon short, mon sexe commença à se tendre, je ne pus m’empêcher de frotter ma bosse grossissante contre le paquet bien épais de mon père. Je sentis un léger frémissement me répondre à travers le tissu de son slip, ma queue durcie par cette excitation qui me gagnait s’écrasa contre le sexe épais de mon père qui répondit en grossissant de plus en plus.

— Alors papa, t’aimes pas les pédés ???

Ce jeu commençait à me plaire, mon père m’excitait comme un dingue. Le fait de le sentir se débattre sous le poids de mon corps provoqua en moi un sentiment étrange, comme si j’en avais rêvé depuis toujours. C’est vrai que depuis très longtemps j’aimais regarder son corps fort et viril se couvrir de sueur lors des efforts répétés qu’il faisait pendant ses longues séances de musculation. Mon regard se posait immanquablement sur son slip afin de dévorer des yeux le volume de son sexe qui se dessinait sous le tissu. Le contact chaud de ses mains lorsqu’il corrigeait ma position quand j’effectuais un mouvement qu’il venait de m’apprendre. Quand j’étais plus jeune, il me prenait dans ses bras puissants pour m’emmener dans ma chambre, et arrivé devant mon lit, il me lançait sur le matelas. Aussitôt il se jetait sur moi, me recouvrant doucement de son corps pour ne pas me faire mal et me chatouillait de longues minutes pendant lesquelles je frétillais sous lui en hurlant de rire. Mon bonheur était complet. Maintenant, quelque chose était en train de se passer au plus profond de moi. J’étais allé trop loin pour arrêter ce que j’étais en train de faire. Il fallait finir ce qui était commencé.

Les ruades de mon père devenaient de plus en plus fortes, ses yeux, dans son visage impénétrable me regardaient fixement. Je ne pus résister à l’envie puissante de poser mes lèvres sur sa bouche poissée par ma salive. Son corps remua de plus belle, ma langue força sa bouche qui s’entrouvrit légèrement. Son souffle pénétra dans ma gorge et je sentis sa salive se mêler à la mienne. Nos deux langues se touchaient et rapidement se livrèrent un duel chaud et humide. Mon slip se mouilla instantanément lorsque quelques gouttes d’excitation commencèrent à perler de mon sexe raide. Profitant de cet instant, il concentra toute sa force dans ses bras et d’un coup réussit à se libérer les poignets de mes mains glissantes. Ses bras se refermèrent violemment autour de mon corps et il commença à serrer. J’étais pris dans un étau, mes pectoraux se gonflèrent pour résister à cette étreinte, mes mains s’appuyèrent sur ses épaules et j’essayai de me soulever en poussant fortement sur mes bras. Je sentis les mains de mon père trembler dans mon dos et au bout de quelques secondes de combat féroce, la pression se relâcha d’un coup. Je roulai sur le côté en me redressant pendant que lui faisait de même et nous nous retrouvâmes à genoux l’un en face de l’autre.

— Alors, mon petit pédé, tu croyais m’avoir aussi facilement. Regarde-toi, ta queue déborde de ton short. Je te fais tant d’effet que ça ?

— Et toi alors, regarde la forme de ton slip, il est prêt à craquer !

Il baissa les yeux vers son sexe et, furieux de voir son corps le trahir, se rua sur moi. Nous nous sommes attrapés mutuellement à bras le corps comme deux ours se livrant bataille. C’est à celui qui serrerait le plus fort, nos corps humides étaient collés l’un à l’autre. Mes mains s’étaient rejointes dans le bas de son dos et je l’attirai de toutes mes forces contre moi. Mon père avait sa tête appuyée contre mon épaules et j’entendais son souffle de plus en plus fort, Nous nous agrippions l’un à l’autre.

Soudain, une de ses mains agrippa le bord de mon short et tira de toutes ses forces. N’étant plus très solide le short se déchira rapidement libérant mon slip gonflé à bloc. Ce nouveau contact entre nos deux slip déformés par deux sexes en érection me fit frissonner de plaisir. Mais j’en voulais plus, apparemment lui aussi. Cédant à une impulsion irrépressible, chacun glissa une main sous le slip de l’autre et le dernier rempart qui empêchait nos queues d’entrer en contact céda d’un coup. La chaleur et la dureté de sa tige contre la mienne m’arracha un gémissement de bonheur. La sensation était telle qu’il me fallait toute ma concentration pour ne pas jouir sur le champ. Du côté de mon père, son bâton de chair vibrait contre le mien, mais il faisait tout son possible pour assourdir les gémissements qui remontaient du plus profond de ses entrailles. Je continuai de pousser mon torse contre le sien de manière à le faire tomber en arrière, mais cramponné à moi, il résistait avec puissance. La musculation lui avait forgé un corps d’athlète et malgré mes 20 ans de moins j’avais toute les peines du monde à le faire plier. Mais ma jeunesse m’apportait ce qu’il avait un peu moins, la résistance. Au bout de 5 minutes d’un combat acharné il glissa et tomba sur le dos, m’entraînant avec lui.

Aussitôt au sol, il enroula ses cuisses autour de mon bassin pendant que ses bras se refermèrent autour de mon torse. Glissant mes mains sous lui je le ceinturai étroitement à mon tour. Il posa ses pieds à plat sur le sol et poussant sur ses cuisses volumineuses décolla son bassin du sol et nous souleva. Le poids de mon corps contrait son effort, son sexe dur comme du bois s’écrasait contre le mien. C’en était douloureux mais mon excitation était à son comble. Me décollant légèrement, je me laissai retomber violemment sur lui. Ses cuisses lâchèrent aussitôt et je m’écroulai sur lui.

Il essaya d’imprimer un mouvement de balancier à nos deux corps enlacés afin de nous faire basculer sur le côté. Je contrai ce mouvement en me plaquant le plus lourdement possible à son corps. Son visage devenait rouge, mais il ne voulait rien lâcher. Dans un sursaut de désespoir il donna un grand coup de rein qui nous fit basculer sur le côté et il se retrouva enfin sur moi. Mes cuisses entourèrent aussitôt sa taille et doucement, par la force de mes abdominaux, je montai mon bassin contre le sien qui essayait de me maintenir au sol.

— Tu vois bien Fabien, tu n’auras jamais le dessus sur moi !

Sans lui répondre, je resserrai mon étreinte et son torse se retrouva fortement comprimé contre le mien. Sa respiration se fit plus difficile. Prenant appui sur ses mains, il essayait de se libérer, mais à bout de souffle, il se laissa tomber contre moi.

— Alors on fatigue papa ?

Son visage tout près du mien, il ruisselait sur moi, sa poitrine était trempée de sueur et nos tétons glissaient l’un sur l’autre. Je ne pus empêcher ma queue de se durcir davantage. Celle de mon père répondit aussitôt.

— Tu aimes ça, avoue !

— Jamais, je ne suis pas pédé comme toi...

— Alors pourquoi tu bandes ?

Sans répondre, il se mit à gesticuler comme un forcené entre mes bras. Mais je ne relâchai pas, c’était si jouissif de le tenir à ma merci, sentir son corps puissant s’agiter sur moi, pendant que son sexe continuait à s’affoler contre le mien. Dans ses yeux je décelai une détresse infinie de ne pas arriver à me soumettre à sa force, mais il y avait quelque chose d’autre, c’était certain. Je commençai à bouger doucement mon bassin en le soulevant légèrement afin que le contact entre nos deux queues soit encore plus fort. J’ondulai sous lui de manière à masser son bas-ventre.

— Fabien, ne fais pas ça, je t’en prie !

Dans un dernier effort il réussit à se dégager en roulant sur lui-même pour éviter ce contact si charnel. Nos deux corps se retrouvèrent séparés, il eut juste le temps de se mettre à quatre pattes lorsque je me jetai sur lui l’enserrant entre mes bras. Sous le choc on bascula sur le côté, nous roulâmes ensemble et je finis par me retrouver couché sous lui, mes bras se glissèrent sous ses aisselles et je croisai mes mains derrière sa nuque. J’écartai mes cuisses pour les enrouler autour de sa taille. Ma queue humide et durcie par cette envie folle de lui faire l’amour, se retrouva coincée sous ses fesses. Il remuait sur moi et ses deux lobes bien fermes frottaient sur ma verge, cette sensation décupla mon excitation et mon gland laissa perler quelques gouttes de plaisir. Profitant de mon excitation, il réussit à me faire lâcher prise et grâce à nos deux corps trempés de sueur, glissa entre mes bras pour se tourner face à moi. D’un coup de bassin je nous fis rouler au sol, le privant d’une position dominante.

Mon père ne remua même pas, je me retrouvais sur lui, le bloquant de mes bras et mes cuisses contre moi. Ses yeux étaient suppliants, sa bouche luisante. Ma bouche se posa tendrement sur ses lèvres chaudes et humides. Dans ma poitrine, mon cœur battait comme un fou. Il répondit à mes baisers en s’ouvrant à ma langue qui s’engouffra dans cette cavité humide et chaude. Elles fondirent l’une contre l’autre pour se caresser langoureusement, son sexe de plus en plus dur se frottait contre le mien. Un profond râle de plaisir remonta le long de sa gorge pendant qu’il aspirait ma langue au plus profond de sa bouche. Je relâchai la pression de mes bras et jambes et commença à parcourir ses flancs de mes doigts avides de sa peau. Que son corps était beau, viril et tellement excitant. Je me dégageai délicatement de lui pour admirer ce père tant adoré. Il était là sous moi, me regardant avec ses yeux humides, sa main se glissa derrière ma tête pour m’attirer à lui et m’embrasser sauvagement. Il me dévorait littéralement, sa langue envahissait ma bouche où nous échangions nos salives. Me tirant doucement par les cheveux, il plongea ses yeux dans les miens.

— Oh mon Fabien, comment ai-je pu te cacher cela jusqu’à maintenant. C’est pour cette raison que ta mère est partie. Toute ma vie j’ai réfréné ces envies qui me consumaient depuis si longtemps.

— Tais toi papa, on va rattraper le temps perdu, j’en ai trop envie !

Il me serra dans ses bras et mes derniers mots se perdirent dans sa bouche. D’un coup il nous retourna, je me laissai faire. Une fois sur moi, il me plaqua au sol avec force. Son corps se faisait lourd sur le mien, tous ses muscles étaient en action, son bassin donnait de grand coup et je sentais sa barre d’acier se cogner à la mienne. Toute sa peau était en contact avec la mienne, et nos corps ondulaient avec passion. D’une main décidée il m’écarta les cuisses afin de me caresser l’entrejambe, un de ses doigts se posa sur mon anus et commença à me masser le trou par des mouvements circulaires. Appuyant un peu plus, une première phalange perfora mon œillet pendant que des spasmes de bonheur traversaient tout mon corps. Son doigt allait et venait de plus en plus vite, de plus en plus profondément, je râlais de plaisir.

— Oh, papa, prends moi…

— Tu vas voir fiston, comme ton père va bien s’occuper de toi...

Après un dernier passage, son doigt se retira. Il se redressa et je l’entendis cracher dans sa main, un instant plus tard je sentis la dureté de son sexe se cogner contre mon trou. J’écartais les jambes un peu plus pour lui laisser de la place.

- Viens vite, j’en peux plus !

Son gland lubrifié par sa salive, en força l’ouverture. Lentement il fit coulisser sa hampe pour me faire découvrir toute la longueur et la puissance de sa queue énorme, je la sentis m’envahir totalement. Il resta ainsi un long moment. Mes mains s’agrippaient à ses fesses et je l’attirai violemment contre moi pour sentir toute la longueur de sa bite. Il se retira tout doucement jusqu’à ce que son gland sorte et avant que mon anus ne se referme, il s’enfonça à nouveau au plus profond de moi. Aux coins de ses yeux, des larmes de bonheur apparurent, il souriait et était heureux, tout comme moi.

Il fut prit d’une frénésie et commença à me pénétrer de plus en plus fort, de plus en plus vite. À chaque allée et venue sous cet assaut, je m’accrochais à ses épaules et me laissais envahir par le plaisir en m’offrant totalement à lui, sans aucun barrage, sans aucune résistance, avec une soif de lui tellement immense. Nos yeux ne se quittaient plus, sa bouche se rua sur la mienne pour m’embrasser goulument. Empalé sous la violence de ses coups de boutoir, je sentais ses couilles claquer contre mes fesses à chaque pénétration, ce qui m’arrachait des cris de plaisir. Une douce chaleur irradiait mon ventre lorsque son membre caressait mes entrailles de toute sa longueur. De profonds gémissements sortaient de sa bouche, il se cambra un peu et sa queue s’enfonça encore plus profondément. Chaque fois que son membre quittait la chaleur de mon ventre, un manque insoutenable me submergeait. Mes mains cramponnées à ses fesses le ramenaient aussitôt au plus profond de moi. Mon sphincter dilaté par son volume, se resserrait autour de sa hampe pour en sentir tout les reliefs.

Son souffle s’accélérait tandis que je sens la chaleur de mon sperme remonter le long de ma queue. Mon gland cracha de longs jets de semence pendant que des cris de jouissance ininterrompus sortaient de ma gorge. Un dernier coup de rein me fit hoqueter de bonheur, et dans un dernier râle mon père inonda mon conduit d’un bouillonnement de sperme chaud.

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Vendredi 20 juillet 5 20 /07 /Juil 20:02

l6yrWV1xsJ4X

Je me présente, je m’appelle Sylvain, j’ai 17 ans et je suis en train de vivre une expérience pas banale...

Mes parents et moi (je vis seul avec eux puisque mon frère aîné est parti étudier à l’étranger pendant un an) avons déménagé il y a 3 mois dans une belle maison en ville. Le rez-de-chaussée est spacieux et confortable mais il y a moins de place aux étages; il y a le bureau de mon père, la salle de bain, la chambre de mes parents et ma chambre est à côté de la leur... et je commence sérieusement à croire que le hasard n’y est pour rien. En effet, le mur entre les deux chambres à coucher est plutôt fin et tous les bruits se transmettent d’une pièce à l’autre. J’ai bien dit TOUS les bruits!

Comme vous l’aurez compris, cela faisait donc 3 mois que j’entendais - voire écoutais - mes parents faire l’amour de l’autre côté de la cloison. Et quand je dis «faire l’amour», c’était plutôt bestial, ils baisaient comme des bêtes, surtout! Plusieurs fois par semaine, quand ce n’était pas plusieurs fois par jour, je collais mon oreille au mur et les écoutait baiser en me branlant frénétiquement. Et ils étaient assez bruyants, mes parents! «Salope, tu la sens bien, ma grosse pine! Je te bourre ta chatte de grosse putain, t’aimes ça, hein! Pétasse!» ou «Oooh oui, vas-y mon beau, qu’est-ce que t’es bon, qu’est ce que t’es gros, tu me remplis bien le trou du cul, c’est trooop!» etc... Vous pensez bien que je ne résistais jamais longtemps et il m’arrivait de me masturber plusieurs fois de suite rien qu’à les entendre.

Un jour, je n’y tins plus et j’osai m’aventurer jusque dans le couloir pour les observer par la porte entrouverte (encore une fois, j’appris plus tard que cette porte était ouverte intentionnellement!). Je m’agenouillai sur le tapis du couloir et reluquai les bribes de spectacles qu’il m’était donné de voir. Mon père, de derrière, faisait de larges mouvements de va-et-vient dans la chatte reluisante de ma mère, en levrette sous lui. Je voyais les belles fesses de mon paternel bouger de plus en plus vite et ma mère qui gémissait, qui gémissait de plus en plus fort. Et puis soudain, je fis craquer le bois du sol... Prêt à m’enfuir à toutes jambes, je remarquai qu’ils ne s’arrêtaient pas. Ma mère cessa juste de gémir et mon père dit d’une voix forte mais chaleureuse: «Viens Sylvain, tu es le bienvenu, tu sais!»

Je croyais avoir mal compris, et j’étais très gêné par ce que j’avais cru entendre, je retournai donc dans ma chambre, histoire de passer inaperçu, rouge de honte et de confusion. Je passai la demi-heure suivante à me poser des questions en les entendant hurler leur désir et leur passion animales.

Nous n’avons pas parlé de cette histoire durant toute une semaine, mais il me semblait que mes parents avaient une attitude inhabituelle, bien que je décidai de ne pas y prêter attention. Par exemple, mon père se baladait maintenant en caleçon à peine rentré à la maison, alors qu’il n’avait jamais fait ça, comme pour s’exhiber. Et il ne se gênait pas pour se gratter ou se peloter les bijoux de famille en notre présence. Ma mère ne semblait pas le remarquer, je décidai donc de faire comme si de rien n’était.

Cela faisait maintenant 2 ans, au moins, que je savais que j’étais plus attiré par les hommes, j’avais eu beaucoup de mal à assumer cela, et encore à ce moment-là, je n’étais vraiment pas sûr de moi, au point qu’aucun de mes amis, personne dans la famille, aucune de mes connaissances, en fait, n’était au courant de ce qui était pour moi une honte. Mais le manège de mon père ne faisait qu’aggraver les choses. Parfois, je repérais même une bosse dans son caleçon moulant, et je commençais à bander dur, alors je me précipitais (relativement peu discrètement) dans ma chambre ou dans les toilettes pour me soulager.

Une semaine après cet événement inattendu, les choses changèrent. Mes parents m’annoncèrent qu’ils sortaient ce soir-là et que je passerais la soirée seul. Après les recommandations d’usage, il me laissèrent seul. Dès qu’ils furent partis, je filai dans ma chambre et je me dévêtis en vue d’une branlette magistrale. J’étais très excité car lorsque j’étais rentré dans la cuisine, juste avant que mes parents partent, j’avais surpris ma mère assise sur mon père qui était, lui, sur une chaise, en train de faire tous les mouvements suggestifs d’une baise. Ils ne m’ont pas vu (ou ont fait semblant?) et je les ai un tout petit peu regardé, puis je me suis éclipsé, la queue dans un état pas possible, mon boxer trempé de sueur et de mouille.

J’en étais donc à me palucher lentement en me remémorant ces images terriblement salaces, quand mon père est rentré d’un coup dans ma chambre. Je sus par après qu’ils avaient tous les deux simulés une sortie pour mieux revenir en douce et en silence, sachant que je serais excité au maximum par le show qu’ils m’avaient fait, et sachant donc qu’ils pourraient me surprendre en pleine masturbation adolescente.

En attendant, mon père s’approchait lentement de moi, une lueur cochonne dans le regard, pendant que mon sexe débandait entre mes doigts et que j’essayais de me cacher honteusement de lui sous mes couettes. Il me retirai d’un mouvement toutes les couvertures et, ma nudité dévoilée, me regarda d’un œil pervers. Je commençai à avoir peur, mais il me dit de ne pas m’en faire, qu’il ne m’arriverait rien, mais que je devais aller au salon, et comme ça, entièrement nu! Accablé par la honte et l’inquiétude, je le précédai au salon où je dus m’asseoir sur le canapé. Il appela ma mère qui vint de la cuisine en nuisette rouge, il la coucha sur la table du salon, sortis sa bite de son pantalon et l’enfourcha devant moi, d’un coup puissant. Il la pénétrait en face de moi et rugissait de bonheur, comme si l’idée même de se donner en spectacle, surtout à son fils, lui donnait une vigueur de taureau en rut. Malgré moi, je me mis à rebander, de plus en plus dur, de plus en plus ferme, devant leur accouplement torride.

Je voyais l’énorme engin de mon papa entrer, puis sortir complètement du trou béant de ma mère, il s’astiquait une ou deux fois, puis l’enfourchait de nouveau, avec un grand «HAN!» de bûcheron. Ma mère, quant à elle, criait son bonheur de se faire foutre et se tortillait, elle jouissait sous les coups de boutoir de son mari. Moi, j’essayais de cacher mon érection mais elle se faisait de plus en plus grosse, et de plus en plus apparente.

Mon père décida alors de changer de place, ma mère se plaça à quatre pattes par terre et il la prit en levrette, tandis que la tête de ma mère se rapprochait de mon pubis. Mon père rugit que je devais me laisser faire, je laissai donc ma mère engloutir mon sexe et jouer de sa langue experte sur mon gland, sur mes bourses, sur mon nombril et sur ma hampe toute entière pendant que ses doigts essayaient d’atteindre mon anus. Je fus très gêné au début, puis le plaisir m’envahit vite et je laissai aller ma tête en arrière pour profiter au maximum du bonheur que ma mère me procurait. Je ne pus donc voir mon père qui sortait de sa chatte et qui vint s’asseoir à côté de moi. Je sentis sa main chaude et virile me caresser le torse, puis les tétons, je rougis tellement il me faisait du bien. Il était le premier homme à me toucher et il le savait. Ma mère vint l’embrasser pendant qu’elle nous branlait tous les deux. Il lui malaxa les seins, alors que je restai immobile, à moitié apeuré, me demandant ce que je faisais là, à moitié excité par la situation, être enfin avec mes parents quand ils baisaient, c’était jouissif, je n’aurais jamais osé l’espérer. D’un coup, mon père prit ma main et la pose sur son ventre, la dirige vers sa toison jusqu’à ce qu’elle heurte son magnifique sexe au garde-à-vous.

D’un coup je me mets à bander plus fort et je le branle délicatement. Ma mère me laisse faire en m’approuvant d’un sourire et se met à se branler à genoux sur le sol. Mon père se caresse le torse d’une main, et de l’autre, il prend ma tête et l’approche de sa bite luisante. Je fais mine de refuser, de résister, mais il devient violent. Il me couche sur le dos et met d’autorité sa grosse queue sur mes lèvres. Plein de désir et d’appréhension, je commence à le léchouiller timidement. Il m’attrape alors les couilles à pleine main et me les serre. Cela me fait un peu mal mais je trique trois fois plus. Il profite de mon trouble pour m’enfoncer d’un coup sa saucisse jusqu’au fond de la gorge, et je suis obligé de faire des va-et-vient, j’y prends d’ailleurs de plus en plus de plaisir, le sentir se contracter dans ma bouche est merveilleux, surtout que ma mère recommence sa pipe sur mon sexe érigé plus qu’il ne l’a jamais été.

J’imagine que c’est mon père qui me suce et je sens que je vais venir à cette idée. Je jouis dans un énorme cri, je râle, je n’en peux plus de jouir et ma mère avale tout. Quant à mon paternel, il s’est levé, attend que ma mère finisse de me nettoyer la queue, et me fait me mettre de force à quatre patte sur la petite table du salon. Je prends peur, je tente de résister mais ma mère a déjà pris possession de ma volonté en me léchant le trou du cul qui est très exposé, dans cette position. Mon père me caresse comme si j’étais sa jument et sa queue tressaute d’impatience. Quand ma mère s’arrête, je n’ai qu’un désir, c’est qu’on s’occupe de mon petit trou, bien ouvert par la salive et l’excitation. Mon père place alors son énorme gland violet contre ma rosette et commence à entrer. Cela ne me fait même pas mal, je ne sens qu’une immense vague de satisfaction qui m’envahit, je me sens enculé, je suis un enculé, enfin, j’en rêvais depuis si longtemps sans oser me l’avouer. C’est bon, c’est trop bon, et mon père me malaxe les fesses, me les gifle presque tendrement. J’ai à peine senti ma mère qui s’était glissée sous moi et qui resuce ma pine dure comme du fer en me broyant les burnes. J’adore ça! Je sens les couilles de mon père cogner mon cul à chaque fois qu’il me bourre bien à fond, et il me crie des mots orduriers, tellement que j’en ai presque peur pour les voisins:

— Eh bien, petite pédale! Tu la sens ma putain de grosse queue! Je te la bourre à fond, hein, mon pédé! Alors, fils, on ne voulait pas dire qu’on est un gros pédé?! Pour ta punition tu te fais pilonner le trou à merde par ton enfoiré de père, t’aimes ça, hein!

— Oooh oui! Oui, papa, J’adore que tu m’encules! Je sens ta grosse bite, ton énorme bite au fond de mes intestins, c’est trop bon!!! Encule moi, fourre moi plus fort, plus loin, vas-y, je suis ta salope, ton trou à bite, j’aime! Ouiii! Oooh je viens, encore, je jouis!

Et j’éjacule mon jus d’adolescent dans sur la table du salon, et sur ma mère qui me mordait la peau des couilles en me branlant. En m’entendant jouir et en sentant les spasmes de mes intestins sur sa pine, mon père pousse un énorme râle et jouit à grands bouillons dans mon intérieur, il y a tellement de jus que ça déborde même de mon trou et ça coule le long de mon périnée en une délicieuse caresse, jusqu’à mes couilles. Il me retourne alors et me lèche le cul, les fesses, jusqu’aux couilles pour recueillir sa semence et la partager avec moi dans un long et langoureux baiser. Je n’aurais jamais cru ça possible, mais j’ai pris mon pied comme je l’avais encore jamais pris! J’ai joui autant du cul que de la queue, et encore de toutes les parcelles de ma peau.

Après nous être un peu rafraîchi, ma mère m’annonça qu’elle avait voulu profiter une seule et une dernière fois de son fils car elle s’en allait, elle déménageait pour un nouveau job qu’on lui avait proposé. Elle qui cherchait du travail depuis tellement longtemps, elle avait sauté sur l’occasion, même si ça voulait dire ne plus voir son mari et son fils cadet avant longtemps. Elle m’a ensuite confié que mon père était bi et très attiré par moi, sans doute autant que moi j’étais attiré par lui, et que nous pourrions nous contenter sexuellement, surtout maintenant qu’elle serait loin. J’étais attristé par le départ imminent de ma mère mais en même temps terriblement excité et content de ce futur prometteur avec mon père. Ma mère partit donc avec la promesse de revenir nous voir régulièrement et que nous baiserions alors tous les trois comme des bêtes.

En attendant j’étais seul avec mon père, et dès le soir même, j’allai me coucher avec lui, dans sa chambre, dans son lit, où nous fîmes l’amour plus calmement que la dernière fois.

À suivre...

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Vendredi 20 juillet 5 20 /07 /Juil 18:02

l6yrWV1xsJ4X

Quelques semaines plus tard, je me rendis compte qu’un de mes copains de longue date se comportait étrangement avec moi. Je n’avais plus peur d’assumer mon homosexualité, je m’habillais donc un peu plus moulant qu’avant, plus sexy, comme mon père adorait que je m’habille, pour mettre mon beau corps en valeur. Et de temps en temps je tortillais un peu du cul en marchant. Rien de bien grave, et quand il m’arrivait de me faire chambrer par mes camarades, je leur répondais du tac au tac. Voyant qu’ils ne me mettaient pas mal à l’aise et que je m’assumais sans difficulté ni gêne, ils ne recommencèrent pas et me laissèrent en paix. Cela renforça même les liens que j’avais avec eux, puisque cela devenait un sujet de blagues et de taquineries de leur côté autant que du mien.

Tout allait donc pour le mieux, si ce n’était Jérôme qui s’éloignait de moi peu à peu. J’en étais très attristé, et je l’invitai donc à venir s’expliquer à ma maison, lui racontant que mon père nous laisserait tranquille puisqu’il serait dans son bureau. Je dus insister pas mal, mais finalement il vint. Arrivés chez moi, après avoir bu un verre, je lui demandai tout de go pourquoi je le rendais mal à l’aise. Il rougis soudain, et je compris, en voyant son trouble, que je ne le laissais pas indifférent. Ne laissant rien paraître, je lui dis que nous serions mieux dans ma chambre, il vint et s’assit sur un coin de mon lit. Doucement, je m’assis derrière lui et commençai à lui masser le dos. D’abord très tendu, stressé et cambré, il se laissa ensuite faire, et petit à petit je vins à bout de ses résistances, en l’embrassant dans le cou, en le caressant doucement le torse à travers sa chemise.

Il fermait les yeux et soupirait de plaisir, il était magnifiquement beau, avec ses cheveux foncés, sa peau halée et ses muscles tendres que je sentais distinctement. Je l’embrassai alors sur la bouche, il se laissa faire d’abord, puis me rendis le baiser, ce long baiser d’amoureux que nous échangèrent. Je le caressai sur le torse, lui enlevai sa chemise, et m’assis sur son jeans tendu. Je me mis ensuite langoureusement nu. Puis je le débarrassai des quelques vêtements qui lui restaient. Une fois nu tous les deux, nous nous frottâmes longuement le pubis l’un contre l’autre. Puis je le branlai, je le suçai, et, dans un soixante-neuf fabuleusement érotique, nous avons tous les deux joui presque en même temps dans la bouche l’un de l’autre.

Il rentra chez lui, visiblement content de son après-midi, et me jura qu’il repasserait le lendemain, voire même sans doute pour la nuit. Je courus évidemment raconter tout ça à mon père, ce qui l’excita au plus haut point. Il me laissa finir mon histoire en s’astiquant lentement, puis, voyant qu’il n’en pouvait plus, je vins m’asseoir sur lui et m’empaler sur sa queue énorme. Après quelques aller et retour, il jouit toute sa semence dans mon cul et je jouis une deuxième fois, dans sa bouche. Un peu calmé (mais rien qu’un peu!) nous nous mîmes d’accord sur un plan pour «piéger» le beau Jérôme le lendemain soir (rien de bien grave, rassurez vous).

À 19h, donc, mon ami arrive à la maison, nous mangeons tous les trois, avec mon père, tranquillement, puis mon père se lève, se met torse nu pour, dit-il, «se mettre à l’aise», et il va au salon pour «voir le match de foot». Jérôme, hyper intimidé par les muscles saillants et le beau torse de mon paternel, a une bosse dans le pantalon qui ne laisse présager que du bon. Avec un clin d’œil lubrique, je lui dis qu’on devrait aller prendre une douche. Il est évidemment d’accord, et, ne se doutant de rien, il m’accompagne à la salle de bain.

Une fois arrivé là, nous nous déshabillons tendrement en nous embrassant puis, une fois entièrement nu, je lui dit que j’ai oublié quelque chose dans ma chambre, et que je reviens tout de suite. Sans qu’il s’en aperçoive, je prends ses vêtements et les miens et les emporte dans ma chambre, pour revenir ensuite à pas feutrés jusqu’au couloir, à côte de la porte de la salle de bain. Mon père arrive, sans bruit, lui aussi et entre d’un coup sec après m’avoir jeté un clin d’œil plein de sous-entendus. J’entends Jérôme pousser un hoquet de surprise, chercher ses vêtements, et mon père lui demander d’une voix d’ogre ce qu’il fait là, nu comme un ver. Lui ne sait que répondre, je l’imagine rougir, et pense qu’il doit être on ne peut plus mignon, dans cette position insolite.

Je me déplace un peu pour pouvoir voir sans être vu, et j’observe Jérôme tenter de cacher sa nudité comme moi il y a quelques semaines. Mon père le traite de tous les noms, le prend par le bras (pas trop violemment) et le pousse sous la douche et allume celle-ci en lui disant que, de toute façon, il est là pour ça. Jérôme obéit, il n’a pas le choix, et mon père, après s’être mis nu en un temps record, le rejoint sous le jet d’eau chaude. Jérôme est mort de trouille et il ne se calme pas en voyant l’énorme mandrin de mon père le menacer du haut de son érection. Mon père l’agenouille en silence mais avec une main ferme et l’oblige à le sucer. Mon père est donc face à l’entrée de la salle de bain, avec Jérôme à ses pieds en train de lui prodiguer une fellation qui doit être fameuse, à en juger par les cris du sucé.

Moi aussi nu, j’entre alors en silence, mon père coupe le jet d’eau et, comme convenu avec mon père, je me mets à pisser sur Jérôme, sur son dos, sur ses belles fesses. Lui n’est d’abord qu’à peine surpris de sentir un autre jet de liquide chaud sur lui, et est entièrement accaparé par la pipe qu’il fait à mon père. Puis il se rend compte de quelque chose, se retourne, et reçoit mon jet de pisse jaune et brûlant sur la gueule. D’abord dégoûté, il voit que c’est moi, il se rassure, et sans doute se dit comme mon père et moi, que la situation est très excitante, il reçoit donc en gémissant mon urine sur le visage. Puis, quand j’ai fini, c’est mon père qui prend le relais. Comme je frotte ma pine toute molle d’avoir pissé contre le visage de Jérôme, nous recevons tous les deux de la pisse chaude et puante de mon père, lui sur la gueule, dans la bouche, il avale et il a l’air d’aimer ça, et moi sur ma pine qui grossit de plus en plus.

Ensuite, mon ami se lève et il vient se frotter à moi, je lui lèche le visage plein d’urine, je caresse son corps trempé et mon père colle sa queue érigée contre ses fesses et se masturbe ainsi, le gland contre la rosette de Jérôme. Nous sortons alors de la douche, je colle mon copain contre le mur et, après lui avoir léché le trou de cul, je le pénètre violemment, dans un cri de sa part comme de la mienne. Ensuite, mon père vient derrière moi, malaxe mes couilles qui se balancent pendant que j’encule mon second amant puis il m’enfourne aussi, sans préparation, d’un grand coup brutal. Je hurle, d’abord de douleur, puis de plaisir. Nous formons une brochette d’enculades et nous jouissons tous les trois dans d des gémissements sans retenue. Epuisés, nous allons nous reposer, sentant que le lendemain, nous pourrons profiter pleinement de notre envie de sexe jamais assouvie. Nous dormons tous les trois dans le grand lit de mes parents, enlacés, après nous être encore baisé; Jérôme m’a enculé pendant que je suçais mon père, puis mon père a enculé Jérôme alors que je m’occupais de la queue de ce dernier.

Le lendemain, après une baise matinale, Jérôme est rentré chez lui et mon père a eu un nouveau plan lubrique dans la tête. Il n’a rien voulu me dire, il m’a juste fait monté dans sa voiture, un bandeau sur les yeux, en me promettant une belle surprise. Très curieux, j’ai patienté, il m’a fait sortir de la voiture, m’a emmené sur un chemin assez caillouteux jusqu’à un intérieur qui ne sentait pas très bon... J’ai mis du temps à me rappeler où j’avais déjà senti cette odeur, puis il m’a enlevé le bandeau et les souvenirs me sont revenus aussitôt: nous étions dans le box de notre cheval, un étalon noir, magnifique, que nous avions acheté longtemps auparavant et qui nous aimait autant que nous l’aimions. Voyant mon père tout excité, je me suis dit qu’il voulait que nous baisions dans le foin, dans l’odeur de bêtes, et même devant notre étalon, et je me suis rendu compte que cette idée m’excitait pas mal aussi...

Mon père m’a ordonné de me déshabillé et d’être son esclave. Emoustillé par ce petit jeu, je me suis plié à ses désirs et je me suis mis à genoux, nu sur la paille fraîche, devant lui qui avait enfilé une salopette sur sa peau nue, sa grosse queue pointant par l’ouverture de l’entre jambe. Il me cria de faire un tour à quatre patte, jusque sous le ventre de Nuage, notre cheval. Je savais qu’il n’y avait aucun risque de ruade, car il me connaissait bien et qu’il était doux comme un agneau avec nous.

Une fois sous son flanc, mon père m’ordonnai de caresser son ventre d’un coté à l’autre, ce que je fis avec plaisir, Nuage soufflant de plaisir. Ensuite il me cria de lui caresser les bourses. Je le regardai, surpris, puis me dis «après tout, pourquoi pas? C’est un mâle comme les autres finalement!» Je commençai donc à lui effleurer doucement les burnes, qu’il avait noires, puis, pris par le jeu, et par l’excitation grandissante, je commençai à les humer et me surpris à aimer ça. La bite de mon cheval commençait à sortir de son fourreau, à grandir et grossir, et mon esprit autant que ma volonté m’échappait totalement. Je me demandais ce que je faisais, j’étais honteux de mes actes, mais tellement excité que je voulais à tout pris continuer, jusqu’au bout, jusqu’à ce que je pourrais faire de plus lubrique! Mon père n’en espérait peut-être pas tant, mais je commençai ensuite à lécher amoureusement les énormes mandarines, puis la hampe sans fin de mon étalon adoré. Jamais je n’avais connu une aussi grosse bite et je bandais à m’en faire mal tellement cela m'échauffait les sens.

Mon père se mit alors nu aussi, et vint s’occuper de l’énorme pine de notre cheval. Lécher une tel engin était jouissif et nous n’osions pas nous toucher de peur de jouir sur le champ. Nuage n’en pouvait plus, il soufflait par les naseaux, s’agitait, et soudain, sa bite se mit à tressauter dans tous les sens, je la branlai du mieux que je pouvais, avec mes deux mains, et il jouit! Sa semence de cheval gicla sur la paille, sur mon père, sur moi, il y en avait des litres! j’en avais jusque sur les cheveux et mon père en avait plein le visage et le ventre. Je me roulai sur lui pour m’en étaler sur lui et l’embrasser à pleine bouche. Le sperme de Nuage sentait bon, il était brûlant, nous en avions partout et nous nous léchâmes le corps pour nous nettoyer et, surtout, nous soulager. Nous éjaculâmes tous les deux en peu de temps, tellement l’excitation avait été grande.

Puis nous allâmes nous coucher sur la paille, pas loin de Nuage qui se remettait très bien de ses émotions. Petit à petit, nous recommençâmes à nous toucher, à nous caresser et nous étions repartis pour baiser quand l’étalon se manifesta bruyamment en hennissant; il en voulait encore. Nous nous délaissâmes donc pour retourner vers le cheval, sa queue était à nouveau bandée bien dur, très longue, elle était magnifique. Mon père s’occupait de lui lécher le gland, qui avait la grosseur d’un melon, et il se frottait à cet organe magnifique, pendant que, passé derrière Nuage, je lui léchai l’arrière des couilles. Puis, voyant qu’il levait la queue d’une manière suggestive, j’eu une idée totalement insensée. Je remontai avec ma langue le long de son périnée, puis j’arrivai à son trou de cul. Il était bien serré, mais je le léchai sans vergogne. Je le léchais, je le léchais, et je bandais de plus en plus dur de voir que cela excitait énormément Nuage, son anus s’ouvrait de plus en plus, plus il était mouillé, plus il s’ouvrait, comme une fleur, prêt à recevoir un cadeau...

Mon père, sentant que l’étalon prenait un plaisir immense, me demanda ce que je lui faisais. Quand je lui dit, il vint me regarder, la langue dans le trou du cheval, tout en le masturbant. Sentant que le cheval allait jouir, il lui lâcha la bite et me dit de l’enculer. J’ouvris de grands yeux, et mon père me dit qu’il l’avait déjà fait, étant adolescent, il avait l’habitude d’enculer le cheval qu’il avait alors, et cela procurait énormément de plaisir, autant à l’animal qu’à l’humain. Je rentrai donc un doigts, puis deux, puis toute ma main dans l’anus dilaté de Nuage qui, manifestement, prenait son pied royalement. Je bougeai mon poing dans son trou du cul puis, je la sortis, pleine de crottin. Totalement excité, et n’en revenant pas de ce que je faisais, j’étalai toute la merde du cheval sur mes fesses, puis sur mon ventre et mon bas ventre, j’approchai ma queue de son anus, et je pénétrai mon étalon doucement, jusqu’au bout, jusqu’à la boule de crottin qui se terrait au fond de ses intestins. Nuage trépignait de se sentir enculer, et mon père, sentant qu’il allait à nouveau jouir, se mit sous lui pour recueillir ses litres de jus sur son corps.

Quand il en fut remplit, il vint m’en enduire et m’enculer à l’aide de ce lubrifiant. Avec tous ces stimulants, je jouis très vite dans le cul de Nuage, puis m’en retirai. À temps, car il devait visiblement chier. Ce qu’il fit, après avoir essayé de s’éloigner, mais d’un geste je lui avait fait comprendre de rester près de moi. Il envoya donc toute sa merde à mes pieds, et je me couchai sur le monticule puant, sous les yeux de mon père qui rebandait dur. Il se coucha sur moi, nous nous couvrîmes de crottin, puis je me mis ventre dans la merde, la tête dedans, et mon père m’encula jusqu’à jouir une dernière fois. Je jouis dans la merde et nous nous endormîmes ainsi.

Après quelques heures, nous nettoyâmes le box puis nous rentrâmes à la maison, tout en nous promettant de revenir pour des parties de jambes en l’air torrides, et qui sait, peut être y emmènerions nous Jérôme?

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Vendredi 20 juillet 5 20 /07 /Juil 17:05

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Il y a quelques années, alors que j'étais étudiant, je logeais dans une chambre universitaire. À cette époque pas si lointaine, les chambres n'étaient pas aussi confortables que maintenant. Nous avions seulement un petit évier, les toilettes et les douches étaient communes, enfin il y avait le côté homme et le côté femme. Les toilettes étaient grandes et nombreuses, les douches prolongeaient l'alignement des wc. Elles étaient dans une pièce unique les unes à côté des autres. Les lampes du plafond étaient rarement changées et donc souvent en panne; le soir, le coin douche était relativement sombre presque plongé dans le noir. J'appréciais beaucoup d'aller me doucher et je choisissais toujours les heures d'affluence afin de pouvoir mater un maximum. Certains jeunes hommes ressentaient de la gêne et se douchaient rapidement sans lever les yeux. D'autres n'avaient aucun complexe et se lavaient leurs intimités avec une pointe d'exhibition.

Une fin d'après-midi, j'étais sous la douche, nu, l'eau coulant sur mon corps. Je ressentis une petite claque sur mes fesses.

— Alors encore ici, Vic.

Je me retournai et me trouvais en face de Jacques.

Jacques était un jeune homme de 1m70 avec un corps couvert de muscles longs et saillants. Il avait de beaux cheveux noirs, frisés et coupés courts. Ses yeux étaient d'un noir profond. Il avait un visage très viril, une belle petite gueule. Ses fesses étaient bien musclées et rebondies et son sexe était d'une assez belle taille. Je fantasmais à l'idée de le voir en action. Nous nous croisions souvent et à chaque fois il me faisait un petit sourire. Mais c'était la première fois qu'il se permettait une telle familiarité.

— Oh oui encore, répondis-je en offrant encore plus ma croupe.

Il se pencha vers moi. Je pouvais sentir la chaleur de son corps. La pointe de son sexe touchait mes fesses.

— Avec plaisir, mais reviens prendre une douche un peu plus tard. En général après minuit, l'agitation n'est plus la même et le savon ne sert plus uniquement pour se laver.

Il se pencha au dessus de mon épaule:

— Fais attention, tu commences à bander.

— Arrête tes conneries sinon il faudra que tu m'aides à ce que ma queue reprenne une taille normale.

— Je n'ai pas le temps maintenant, mais si cela t'intéresse, il y a un mec pas mal qui attend dans les derniers chiottes. Si tu aimes les mecs, je suis certain que celui-ci sera à ton goût.

Il parlait avec beaucoup trop de sous-entendus. Il devait connaître ma préférence pour les garçons.

— J'apprécie toutes les expériences originales.

Jacques partit se sécher. Je restais avec mon début d'érection que j'avais beaucoup de mal à contenir. Rapidement, en cachant mon sexe du mieux que je le pouvais, je me dirigeais vers les toilettes. Il fallait que je me satisfasse, sinon je ne pourrais pas terminer ma douche.

Inconsciemment, je poussais la porte des dernières toilettes. Un jeune homme était assis sur le siège, il était nu et avait du mal à cacher sa queue turgescente. Il était brun avec des yeux noisettes et un torse puissant et fort viril. Il me fit un signe de la tête. J'hésitais un quart de seconde puis j'entrais et fermais la porte derrière moi.

Je m'approchais et passais une jambe de chaque côté de lui. J'insérerais ma queue grossissante dans sa bouche. Il avala goulûment mon chibre. Pendant qu'il me pompait, ses mains pétrissaient mes fesses, puis un doigt commença à titiller mon anus. Je sentais son majeur coulisser en moi. Je me penchais un peu et pris sa bite dans ma main droite. Il bandait dur et fort. Sa queue avait une taille honorable. Il mettait à présent deux doigts dans mon cul. Il faisait cela avec douceur et savoir faire et pour lui faciliter le travail je me cambrais un peu mettant ma croupe en valeur. Je me redressais, me serrais contre son torse et je descendais le long de son corps jusqu'à ce que je sente la pointe de sa queue toucher mes fesses. Je m'empalais lentement sur son chibre que je sentais entrer et vibrer en moi. Je me retrouvais assis sur ses cuisses, son membre entièrement en moi, nos torses l'un contre l'autre, bouche contre bouche. Je montais et descendais le long de son torse, faisant aller et venir de plus en profondément sa queue en moi. Il me laboura le cul pendant quelques minutes puis les mouvements de son bassin devinrent plus saccadés, plus allongés et profonds. Il expulsa son sperme qui me brûla les entrailles.

Je me redressais, me désempalant. Non seulement je n'avais pas joui, mais je bandais encore plus fort. Je relevais la tête et je vis un blondinet aux yeux bleus qui regardait par dessus le mur des toilettes. Je lui montrais ma bite dans toute sa fierté et lui fis, avec la tête, signe de me rejoindre.

Mon partenaire sortit. J'attendais quelques secondes pour savoir si le blondinet allait venir. Il poussa la porte, une serviette autour de la taille. Il était très mince et je pouvais presque compter ses muscles et ses côtes. Je lui arrachais sa serviette et me pressais contre lui, mon membre dressé, pressé contre son ventre plat. Je l'embrassais farouchement, caressant son corps de mes mains. Puis je lui caressais les fesses. Il se cambrait afin de m'offrir une meilleure prise. Je me mis à genoux, je pus voir que les poils de son pubis étaient aussi d'un blond très clair. Je le retournais et lui écartais les fesses. Il avait le cul rasé et le trou bien large. Cette salope devait aimer se faire labourer et devait pratiquer cette discipline fort régulièrement. Je le pénétrais de ma langue. Il se penchait en avant, se cambrant un maximum tout en gémissant de plaisir. Plus je léchais son trou, plus il tortillait du fion et plus j'étais excité. Je me redressais et le pénétrais d'un coup. Il laissa échapper un petit cri. Son fion était large mais pas assez pour mon chibre. Son cul était un tunnel pour le plaisir. Je faisais beaucoup d'efforts pour ne pas jouir trop vite. Je m'accrochais à ses hanches et faisais des va-et-vient rapides et puissants. Il répétait sans cesse "Oui, vas-y. Défonce-moi. C'est bon. Plus fort."

Je sentis monter en moi la vague électrique annonçant l'expulsion de ma purée. J'avais l'impression que mes couilles explosaient se vidant de tout leur sperme, tel un barrage se rompant et lâchant l'eau qu'il retient. J'avais l'impression de le remplir de ma semence.

Comme je me retirais, je vis qu'il avait aussi jouit.

— Je loge à la chambre 520, me dit-il.

— Alors à bientôt, répliquais-je.

Puis je ressortis terminer ma douche.

Je retournais à ma chambre, la serviette autour de la taille. Comme j'essayais d'ouvrir la porte de ma chambre, ma serviette glissa, me laissant nu au milieu du couloir. L'étudiant qui occupait la chambre d'en face, arriva. Il émit un petit sifflet. Je me retournais, toujours à poil. Il était assez mignon, style étudiant américain. Grand, blond les yeux bleus, son corps viril et élancé était musclé. Il se prénommait Georges.

— Et là, tu ne vois pas le reste en action.

Je me penchais pour ramasser mes clés, cambrant les reins afin de bien exhiber mon cul.

— Ce que je vois me suffirait, dit-il, en ouvrant la porte de sa chambre.

— Fais-moi un signe et le tout est à toi.

Comme signe cela te suffit.

Je me retournais, il laissait son chibre pendre en dehors de sa braguette, une bite longue et grosse de 16cm au repos.

— Mazette que j'aimerais voire tout cela dans une meilleure forme.

Il s'écarta de la porte afin de me laisser le passage. Je n'hésitais pas et le rejoignais. Il ferma la porte derrière moi.

— Maintenant prépare-toi. Ça va être la fête de ton petit cul.

Il retira son tee-shirt. Son torse était musclé et fort, comme je l'avais supposé. Il enleva ses chaussures, il ne portait pas de chaussette, ni de slip sous son jean moulant. Les poils de son pubis étaient plus foncés que ses cheveux.

Il s'approcha de moi, me serra contre son corps. Ses mains prirent tout de suite la direction de mes fesses qu'il pétrissait. Il me souleva de terre, je passais mes jambes de chaque côté de son corps. Il me porta à son lit. Il m'allongea me gardant les jambes en l'air. Il m'écarta les fesses et fourra sa langue dans mon fion. Une langue longue et pointue qui me pénétrait loin dans le cul. Il se redressa, je vis son membre dur encore plus gros, encore plus long, énorme avec quelques veines gonflées sur le pourtour. Le gland était énorme et rouge. Je passais mes jambes sur ses épaules. Il appuya son gros gland sur ma rondelle puis commença à enfoncer son tube dans mes entrailles.

Je redressais la tête pour regarder cette énorme queue pénétrer en moi. Je serrais les dents sous la douleur de cette pénétration anormale mais aussi sous le plaisir intense que me procurait la dilatation de mon anus. Je voyais ce bras de bébé s'enfoncer en moi juste qu'à la garde. Il prenait son temps afin que je ne souffre pas trop. Il se mit à faire des mouvements de va-et-vient d'abord lentement puis plus rapidement. À chaque fois il enfonçait sa bite au fond de mon cul, le plus profondément possible. Je sentais ses couilles battre contre mes fesses. Il se retira et me fit me mettre à genoux, le ventre sur le lit, le cul à sa merci. J'écartais les jambes et me cambrais afin de lui offrir mon trou dilaté. Il m'encula d'un coup. Ses mouvements étaient rapides et forts. À chaque fois le lit tapait contre le mur. Il ahanait bruyamment. Tout d'un coup, de la chambre voisine, un coup fut frappé contre le mur.

— Calmez vous, j'aimerais réviser en silence.

Mon partenaire répliqua:

— Tu n'as qu'à nous rejoindre.

— J'arrive.

Ses coups de butoir continuèrent de plus belle. Après son passage ma cheminée serait une gare routière.

Le voisin entra et nous regarda. C'était un jeune homme appelé François. Il porta immédiatement sa main à son jean. Georges éjacula dans mon cul, me remplissant de sa semence chaude. Il devait bien en déverser plus d'un verre. Il se retira, me mit une petite claque sur les fesses puis dit:

— Allez je vous laisse, je vais prendre une douche.

François s'approcha, ôta sa chemise et se mit à genoux. Il me lécha le cul, lapant le sperme qui s'en écoulait. Il m'écartait bien les fesses afin de pouvoir atteindre le fond de mon trou. Il finit de se déshabiller. Je me retournais et m'asseyais sur le lit. Il s'approcha de moi et fourra sa queue dans ma bouche. Je sentais la chaleur et l'excitation de son corps passer à travers sa bite. Il éjacula très vite.

— N'avale pas.

Il m'embrassa. Son sperme se mêla à nos salives. Il se mit à genoux sur le lit m'offrant sa croupe.

— Baise moi.

Je me mis debout et l'enfourchais d'un coup. Il gémit sous l'impulsion forte qui lui explosait le cul. Il disait des insanités, voulait que je l'insulte, se comportait pire qu'une chienne en chaleur. Je lui défonçais le fion violemment. J'attrapais sa crinière noire et lui tirait la tête en arrière. À chaque fois je ressortais presque entièrement ma queue de son trou et m'y enfonçais d'un coup sec. J'entrais une dernière fois au fond de ses entrailles et j'éjaculais, déversant ce qui restait de mon fluide. Je me retirais.

Il s'enfonça les doigts dans son cul, les ressortait couverts de mon sperme et léchait goulûment sa main. Je le laissais et retournais me reposer dans ma chambre. J'avais besoin d'une douche mais je décidais de me reposer auparavant. Je me réveillais vers minuit et demi. Je retournais me laver. En approchant des douches, j'entendais qu'il y avait beaucoup d'animation. Je passais ma serviette autour de mon cou. La salle de douche était plongée dans une pénombre assez importante et je pouvais voir plus d'une dizaine de formes en action.

Sitôt que j'entrais dans la salle, des mains parcoururent mon corps et arrachèrent la serviette qui me protégeait. Des mains passaient sur mon torse tâtant mes muscles, d'autres caressaient mon sexe, certaines les fesses et même quelques doigts tentaient de pénétrer mon trou. Un homme prit ma tête à deux mains et m'embrassa.

— Salut Vic, prêt pour la fiesta.

C'était Jacques. Il me fit me pencher en avant, m'exhibant sa queue grossissante: une bite grosse, bien droite avec quelques petites veines et surtout très longue.

— Suce-moi et montre bien ton cul. Il faut d'abord que mes copains t'élargissent sinon je ne pourrais jamais te baiser.

Je commençais à le pomper. Sa queue était bonne mais d'une taille vraiment monstrueuse. Une langue glissa le long de la raie de mes fesses. J'écartais les cuisses et me cambrait afin de bien offrir ma croupe. La langue s'enfonça entre mes fesses pour atteindre mon anus. La langue du mec qui me léchait était longue et elle pénétra dans mon trou agilement. Je la sentais bouger dans mes entrailles. Pendant ce temps, Jacques continuait à engouffrer son membre dans ma bouche. La langue se retira, un doigt pris sa place. Un doigt qui fouilla un peu dans mon intimité, puis un deuxième vint le rejoindre, puis un troisième. Le mec essaya d'enfoncer sa main mais mon cul n'était pas assez large.

Néanmoins il continua à travailler mon cul quelques minutes. Puis il retira sa main, se releva et m'enfourcha d'un coup enfonçant dans mon cul sa bite qui était grosse mais peu longue. Je sentais mon anus encercler sa queue. Il alternait les cadences. Une fois il faisait des va-et-vient rapides, puis il ralentissait. Il sortait complètement sa queue et l'enfonçait violemment d'un coup dans mon trou. Pendant se temps, je continuais à sucer Jacques. Mon pénétreur commença à s'exciter, ses mouvements étaient moins rythmés, plus désordonnés. Il expulsa sa jute en moi, réchauffant ainsi mes entrailles. Un autre le remplaça.

— Je vais te nettoyer le cul.

Il prit une savonnette et posa le petit bout devant mon trou et commença à appuyer sur ma rosette. Il poursuivit ce travail lentement jusqu'à ce que la savonnette soit presque entièrement en moi avalée par mon cul. Mon fion, huilé par la savonnette, était glissant comme une patinoire.

— Attends, je vais te nettoyer aussi l'intérieur du cul.

Il se redressa et m'encula, poussant dans mes entrailles la savonnette avec sa bite. Mon anus se referma d'un coup sur sa queue. Il me lima le fion rapidement, entrant et sortant vivement. Sa bite glissait facilement grâce au savon. À chaque fois qu'il enfonçait sa queue il poussait un peu plus la savonnette, c'était douloureux et bon à la fois. Il se retira d'un coup et me fit mettre sur le dos, les cuisses posées sur son torse, le cul en hauteur, offert. Il plongea sa queue d'un coup dans mon cul. Un couple se mit juste au-dessus de moi: un se faisant prendre et l'autre le sodomisant avec vivacité. Je pouvais voir ce que l'on était en train de me faire. Je regardais avec avidité cette belle queue qui s'enfonçait dans ce trou goulu. L'enculeur jouit. insatisfait l'enculé s'accroupit m'offrant son cul à lécher. Son trou était bien large et ma langue pouvait entrer loin en lui. J'arrivais même à lécher quelques gouttes du sperme de son précédent baiseur. Il se redressa et s'empala sur ma queue. Mon enculeur se retira. Il avança doucement derrière le jeune que je pénétrais et essaya de faire entrer sa queue en même temps que la mienne. Nous étions deux en lui. Il gueulait de douleur et de plaisir, surtout que tous les deux nous bougions rapidement nos queues.

— Enfonce moi ta main dans le cul, me dit l'avaleur de bite.

Il se dégagea de nos bites et se mit à genoux. Je fis ce que plus tard on nomma Fist Fucking. Je me mis à genoux et je lui enfonçais ma main dans les entrailles. Un autre homme se mit à côté du premier fist fucké et me demanda de lui mettre mon autre main. Pendant ce temps mon enculeur avait repris sa position initiale, me faisant bien jouir du cul. Un quatrième garçon s'allongea sur le sol et se mit à me sucer alors qu'un cinquième se mit en face de moi afin que je le turlutte. J'étais avec mes deux mains occupées dans deux culs différents, ma queue dans la bouche d'un inconnu, ma bouche bouffant le membre d'un autre et mon cul limé par une bite d'enfer. Alors que je jouissais, le garçon me déchargea dans la bouche et mon enculeur envoyait sa purée brûlante dans mes entrailles. J'enlevais mes mains des fions où très rapidement de grosses bites prirent leur place.

Après une telle séance je préférais retourner à ma chambre pour me reposer car après tout j'avais des cours à suivre le lendemain matin. Comme j'arrivais devant ma chambre, Jacques me rejoignit

— Alors à nous deux maintenant.

J'ouvris la porte de ma chambre, m'écartant pour laisser passer Jacques. Sitôt la porte fermée, Jacques laissa tomber sa serviette, exhibant sa nudité, son corps viril, son membre encore gonflé de sang. Il m'arracha ma serviette et m'attira contre lui. Nos deux corps étaient serrés l'un contre l'autre, nos torses chauffés par l'envie. Sa langue pénétra ma bouche. Il avait une langue fine, pointue, ferme et très agile. De sa main gauche il caressait mon dos, de la main droite, il pétrissait mes fesses. Il me fit mettre à genou et enfila sa grosse queue dans ma bouche. J'avalais avidement cet énorme queue que ma bouche ne pouvait contenir en entier. Je sentais les veines qui couraient le long de son membre turgescent. Mes sens étaient affolés par le plaisir que de pomper Jacques et par l'odeur légère et parfumée dégagée par son pubis.

Jacques me releva et me fit mettre à genoux sur mon lit, les cuisses bien écartées afin d'avoir le cul bien ouvert. Il attaqua ma rosette avec sa langue, pénétrant mon trou de sa pointe fine. Ses mains étaient accrochées à mon bassin, son visage enfoui entre mes fesses. Il dégustait mon trou comme on lèche une bonne glace; passant et repassant la langue, mordillant à pleines dents.

— T'es pas assez ouvert pour que je te pénètre avec la langue.

Il se redressa et présenta son membre turgescent à mon anus. Il força un peu pour faire pénétrer son gland. Il accrocha ses mains à ma taille, me tenant bien fermement, puis d'un coup s'enfonça jusqu'à la garde. Je criai de surprise et de douleur.

— Eh du calme.

— Ce n'est qu'un bon moment à passer.

Il prenait plaisir à aller et venir vigoureusement, sortant complètement sa queue et l'enfonçant à nouveau à fond dans mon cul.

Après quelques minutes de cet intense va-et-vient, qui je devais le reconnaître, me procurait un intense plaisir, il se retira et se remit à genouix derrière moi. Mon trou était bien dilaté et il enfonça sa langue en moi. Je devais reconnaître que sentir cette langue longue et pointue se mouvoir en moi, me déclenchait une sensation incroyable à laquelle je ne m'attendais pas. La pointe de sa langue titillait toutes les zones érogènes de mon cul. Après quelques secondes, mes sphincters se resserrant, il me fit m'allonger sur le lit et me couvrit se son corps, en profitant en même temps même temps pour caler à nouveau sa bite dans mon cul.

J'étais complètement soumis, écrasé par son corps musclé, pénétré par ce mâle énergique. Je me sentais bien, coincé, chauffé par son corps magnifique et excité par sa vibrante queue. Nous basculâmes sur le côté afin que je puisse me branler en même temps qu'il continua son limage viril. Nous jouïssâmes ensemble. Il laissa son membre gonflé dans mon cul.

— Je peux rester dormir avec toi.

— Évidemment, répondis-je avec entrain, encore sous le choc extatique du plaisir.

Nous nous endormîmes, moi calé contre son torse, sa bite toujours dans mon cul.

Dans la nuit, je me réveillais sentant Jacques bouger. Sa queue était toujours dans mon trou et il était en train de faire des basculements de bassin afin de se branler dans mon cul. Je sentais son sexe grossir en moi. La sensation était étonnante et affolante. Son sexe grossissait et se développait dilatant mon trou en même temps. Immédiatement, j'avais une érection. Jacques empoigna ma bite et la serra fortement. Il s'accrochait à mon mât tout en m'enculant. Dans un mouvement plus fort et plus profond, sa lance cracha en moi une nouvelle fois son chaud liquide me faisant jouir en même temps.

Nous nous endormîmes, mais chacun de son côté du lit.

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Jeudi 19 juillet 4 19 /07 /Juil 22:45

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Ma sœur s’est mariée dans un petit village loin de chez mon père et moi (ma mère était morte 2 ans auparavant). Nous y sommes bien sûr allés et avons pris une chambre dans un hôtel. Comme j’avais 15 ans, je n’ai pas assisté la veille du mariage à l’enterrement de la vie de garçon de mon futur beau-frère.

Mon père est rentré dans la chambre vers 2h du matin. J’ai senti et vu à ses gestes et... son haleine qu’il avait beaucoup bu. Il est rentré dans mon lit et s’est collé à moi contre mon dos. J’ai senti la bosse de son slip contre mes fesses et ça m’a tout de suite excité car je savais déjà que j’étais attiré par les mecs, mais je me suis dit "pourvu qu’il ne s’en rende pas compte". Pas manqué, il a placé sa main devant mon corps, en plein sur ma queue bien dure, il a grogné dans le sommeil qui le prenait déjà... «Mon pédé de fils bande!» puis il a ronflé.

Au petit matin, je me suis réveillé avant lui et j’ai pu constater que l’alcool avait eu de l’effet. Tous les draps étaient tombé, son slip était parti et il bandait. Je n’en croyais pas mes yeux, je n’ai pas pu m’empêcher de le toucher. D’abord doucement, puis je me suis enhardi, jusqu’à ce que j’entende terrifié mon père dire: "Suce-moi." Je le regarde, il dormait encore. Et s’il rêvait qu’il était avec une femme?

J’ai continué sur ma première bite et quelle bite! Mon père a joui dans ma bouche et je venais de lever la tête quand il a ouvert brusquement les yeux. Du coup j’ai tout avalé et c’était bon. Mon père semblait un peu comateux, il disait quel rêve! S’il avait su...

Le mariage a eu lieu normalement et le soir pendant le bal, ma sœur m’a demandé d’aller chercher son mari qui devait être à la cave. Ce n’était pas urgent. Comme je n’arrivais pas à le trouver, j’ai fureté un peu. J’ai eu le choc de ma vie. Des gémissements m’avaient attiré vers un local isolé: mon nouveau beau-frère était à moitié couché sur le ventre sur une table pendant que mon père le sautait.

Ce dernier n’a pas semblé surpris de me voir. Il a dit: "Entre vite et approche." Mon père m’a débraguetté et m’a dit: «Fais voir ton cul, petit salaud qui suce son père sans sa permission.» Il a redressé mon beau-frère et m’a ordonné de le sucer, ce que j’ai fait mais avant qu’il ne jouisse, mon père m’a fait me mettre sur le dos sur la table, m’a fait mettre les cuisses en V et a demandé à mon beau-frère de me sauter tout pendant qu’il continuait à le limer; pour connaître la famille dans son entier a-t-il ajouté.

Mon beau-frère pris en sandwich, a joui dans mon cul, puis s’est retiré et mon père qui s’était réservé s’est terminé en moi. On s’est roulé une super pelle à 3 et on s’est séparé après que mon père ait fait promettre à mon beau-frère, bien introduit dans notre famille désormais, de se réserver pour d’autres petites fêtes du même genre...

 

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Jeudi 19 juillet 4 19 /07 /Juil 16:35

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L’histoire que je vais maintenant raconter s’est déroulée cet automne. Alors que je revenais de Paris où j’avais passé une semaine chez mes parents, je décide de faire une halte sur une aire d’autoroute pour me libérer d’un besoin pressant. J’avais une envie de pisser que je ne pouvais plus contenir. Je m’arrête donc et fonce vers le bloc des sanitaires.

En entrant, je remarque un jeune mec à côté des lavabos mais n’y prête aucune attention. Je pénètre dans les toilettes et sans demander mon reste, me vide la vessie. Putain que ça fait du bien! J’ai l’impression que je ne vais jamais m’arrêter. Et finalement si.

Je sors alors des chiottes et me dirige vers les lavabos pour me laver les mains et en profiter pour me rafraîchir un peu la gueule. On a beau être fin septembre mais le soleil tape et il fait bien chaud. Arrivé devant les lavabos, mon regard croise celui du jeune mec. Il semble avoir à peine quinze ans (il en avait en réalité 17), les cheveux courts et vêtu d’un jean assez large et d’un polo, style skater. Il ne fait rien de particulier, appuyé contre l’un des lavabos. Un peu troublé, je me lave les mains tout en continuant de le mater dans la glace.

Au moment de vouloir m’essuyer les mains, je cherche désespérément une serviette ou autre, mais en vain. C’est alors que le gamin me demanda dans un français approximatif si j’avais une clope. Surpris, je mis du temps à réagir mais finis par lui en offrir une. Le dialogue s’instaura alors et il me dit qu’il allait vers le nord. Cela tombait bien, c’était aussi ma destination. Il cherchait quelqu’un pour l’emmener et était prêt à rendre service s’il le fallait. À partir de cet instant, je ne sais pas ce qui s’est passé mais les idées les plus folles ont commencé à tourbillonner dans ma tête. Et pas que dans ma tête. Je m’entendis lui répondre que j’étais d’accord pour l’aider à faire une partie de la route mais à une seule condition: il allait devoir faire exactement ce que je voulais. Je n’en revenais pas moi-même d’avoir dit cela! Et le pire est qu’il me répondit avec un grand sourire qu’il était d’accord. Je ne pense pas qu’à ce moment il savait ce qui l’attendait.

Nous reprîmes donc la route ensemble. Ce môme m’excitait vraiment et j’avais envie de me taper un délire avec lui, de le transformer en un jouet sexuel. Tout en conduisant, je l’observais de la tête aux pieds, et je sentais ma queue gonfler dans mon pantalon. Nous discutions de choses et d’autres lorsque je lui demandais de remonter son polo pour me montrer son ventre et ses seins. Il se tourna alors vers moi et je pus lire dans ses yeux une interrogation. Voyant qu’il ne réagissait pas plus, j’attrapais son polo de la main droite et alors que je le lui remontais, il commença à se débattre, empêchant ma manœuvre. Il me dit qu’il n’était pas homo et qu’il ne voulait pas faire ça. La situation m’excitait de plus en plus. Tout en continuant de conduire, je le saisis alors par les cheveux et lui intimais l’ordre de faire ce que je venais de dire s’il ne voulait pas que je lui en colle une. Il essaya de se reculer mais l’espace de la voiture ne le lui permettait pas. Il était pris au piège et ne pouvait pas faire grand chose. Voyant qu’il ne bougeait pas plus, je lui balançais une claque à réveiller un mort. Par réflexe il porta ses mains sur sa joue mais il était trop tard.

— Vire ton polo et dépêche-toi, sinon t’en reprend une!!!

Dés lors, il comprit qu’il n’avait plus le choix. Il défit sa ceinture de sécurité et lentement, il s’exécuta.

— Le t’shirt aussi!!! Je veux te voir à poil!!!

Le ton était donné et je m’étonnais moi-même. Tout allait si vite que je perdais carrément le contrôle de la situation. Il était maintenant torse nu, ses affaires en boule sur ses genoux, le regard droit devant, fixant la route. Je le laissais dans cet état un instant puis attrapais ses affaires pour les jeter à l’arrière de la voiture.

— Maintenant vire ton froc.

— Non, non, s’il vous plait je veux descendre.

— Trop tard mon gars, il fallait réfléchir avant!!! Allez, vire-moi ton froc!!!

Comme il ne réagissait pas, je lui envoyais une deuxième baffe en travers de la gueule. Cela eut pour effet de le faire se recroqueviller prêt de la porte. J’en profitais alors pour lui mettre une main au paquet en attrapant sa bite à travers la toile de son jean. De peur de recevoir une autre baffe, il ne bougea pas, se protégeant le visage. J’en profitais pour lui malaxer le paquet. Très vite, je lui défis sa ceinture et fit sauter les boutons de se braguette. Je glissais une main à l’intérieur de son pantalon et je sentis sa queue sous la toile de son slip. L’endroit était humide et il faut dire qu’il était pas trop mal monté. Je malaxais sa bite et ses couilles pendant un moment avant de lui redemander de retirer ses fringues. Voyant qu’il ne pouvait pas faire grand chose d’autre, il s’exécuta. Il descendit son jean à mi cuisses et me regarda.

— Retire tout, entièrement!! Je t’ai dit de te mettre à poil. Tu comprends pas le français? Allez magne-toi.

Il retira alors ses baskettes, puis son jean et son slip. Je saisis alors l’ensemble pour l’envoyer valdinguer à l’arrière avec le restant. Il était maintenant complètement nu et entièrement à ma merci.

— Écartes les jambes!!!

Toujours de la main droite je lui attrapais la bite et commençais à jouer avec. Je le masturbais, lui tirais les couilles après les avoir bien malaxées entre mes doigts. Rouge de honte, il se laissait faire, laissant échapper de temps en temps de petits cris, sûrement dus à la douleur. Il faut dire que je n’y allais pas de main morte, surtout lorsque je lui ai décalotté le gland d’un coup sec. Je le pelottais tant que je pouvais, lui pinçant les seins, les cuisses, les couilles. Puis je lui ai demandé de bien écarter les jambes pour me présenter son cul. Sans préambule, je lui enfonçais un doigt dans le cul qu’il avait bien serré. Ma bite me faisait mal et il était temps que je trouve un endroit pour m’arrêter. Je repérais une nouvelle aire d’autoroute et fort heureusement celui-ci était pratiquement vide. Je choisis l’endroit le plus à l’écart prêt d’un sous bois et arrêtais la voiture. Je me suis alors tourné vers lui. Il était en train de pleurer, le visage écarlate par les coups qu’il avait pris.

— Descends! On va aller faire un tour!!

— Mais...

— Ta gueule, descends si tu veux pas que ça soit moi qui t’éjecte!!

J’ouvris sa portière et le poussai dehors. Je sortis à mon tour et l’attrapant par les cheveux je le conduisis sous les arbres, à l’abri des regards. Poussant des petits cris il suivi tant bien que mal. Je le poussais ventre à terre et lui écartai les jambes pour bien voir son trou du cul. Je crachais alors sur sa rondelle et lui enfilais deux doigts d’un coup. Comme il n’était pas préparé, je sentis une résistance et forçai un peu plus pour le pénétrer. Il poussa un cri de douleur me demandant entre deux pleurs d’arrêter. Il ne se doutait pas que cela m’excitait encore plus. J’entamais alors des va-et-vient avec mes doigts, lui écartant les fesses de ma mains libre. Il gigotait et essayait de résister à l’intrusion mais rien n’y faisait. J’enfonçais mes doigts bien au fond de son cul et les ressortaient complètement pour les réintroduire de nouveaux. Très vite, je rajoutais un puis deux doigts. J’étais en train de lui éclater le cul et je n’avais plus qu’une envie c’était d’y mettre la main complète. Mes quatre doigts lui pilonnait les entrailles avec force, sans tenir compte de ses plaintes et de ses pleurs.

Alors que je tentais de lui introduire le pouce, il essaya de se dégager et je le saisis par les cheveux, tirant fortement en arrière pour le maintenir en place. À grosses doses de salive, j’arrivais à faire entrer ma main dans ses entrailles et lui labourait le cul. Ce mec avait un cul vraiment élastique et ma main entrait et sortait assez facilement. Il n’allait pas oublier cet instant de si tôt. Il pleurait toujours mais restait calme et j’en profitais alors pour lui attraper la bite et pour le masturber. À mon grand étonnement sa queue se mit à gonfler. Sans retirer ma main de son cul je le fis s’allonger sur le dos. Sa queue était maintenant tendue vers le ciel, droite comme un I. Je continuais de le fister et en même temps le branlais lorsque je me rendis compte qu’on nous observait.

Un mec était là, gros, type routier, une queue énorme à la main en train de se branler. Je lui ai alors fait signe de s’approcher. Il s’agenouilla devant le gosse et lui attrapa la tête pour lui enfiler son pieu dans la gorge. En de grands va-et-vient violents, il lui défonça la bouche de sa grosse pine. Le môme manquait de s’étouffer à chaque pénétration tellement la queue était énorme et longue. Cela ne dura pas très longtemps. Le mec se retira pour éjaculer sur la gueule du gamin. Il en avait partout et le sperme lui dégoulinait sur les joues. Je ne pus me retenir plus longtemps et devant cette vision j’éjaculais dans mon slip sans me toucher. Je retirais alors ma main du cul de mon jouet et me relevai. Je sortis ma pine encore gluante et lui pissai dessus. Il ne bougeait pas, allongé sur le côté il recevait ma pisse sur lui sans rien dire. Celle-ci ce mélangea avec le sperme du routier.

Puis je l’ai ramené à la voiture. Avant qu’il ne remonte, je lui ai attaché les mains dans le dos et je l’ai bâillonné. Je l’ai fait prendre place sous le tableau de bord côté passager. J’en avais pas fini avec lui, surtout quand je me suis aperçu qu’il avait la queue bien tendue et bien grosse, et qu'il souriait. Ce petit con était en train de prendre son pied finalement... Quel acteur!

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Mercredi 18 juillet 3 18 /07 /Juil 21:20

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À l'époque, je savais que j'étais très gay particulièrement porté sur le muscle, mais je n'avais pas encore découvert le cuir. J'avais 22 ans, super entraîné par trois soirées sportives chaque semaine, j'étais fort, bien sculpté, et je le savais. Je portais les cheveux longs, comme tous les mecs de mon âge. J'étais en permanence en jeans, qui avaient eu le malheur de ne pas grandir avec moi et étaient toujours trois tailles trop serrées, délavés à mort, d'autant que je les rodais longuement au papier de verre, surtout pour mettre mon paquet en valeur.

Un beau jour, je me décide à passer aux puces pour essayer un jeans en cuir. Je boucle la moto à un arbre, et cherche une de ces petites boutiques qu'il y a là bas, qui vendent des articles très orientés. Je marchais quasiment toujours en santiags, j'en avais plusieurs paires. Je les aimais très voyantes. Celles-là étaient rouge vif. Elles me donnaient toujours une démarche chaloupée et bruyante, le talon cognant le sol à chaque pas... dix centimètres de talon biseauté, c'est pas anodin!

Je rentre. Un mec jeune et bien foutu m'accueille. Je lui dis que je cherche un jeans serré et bien luisant. Il me sort ma taille et un autre une taille plus serrée, car il me prévient que cela se détend. On engage la conversation, on finit par sympathiser. Il me demande enfin pour quoi je veux les utiliser: "Moto ou soirées entre copains?" Je dis: "Les deux bien sûr!" avec un regard appuyé.

Il comprend et me sort ce qu'il appelle la coupe spéciale: en les essayant, je comprends: la raie arrière me rentre complètement entre les fesses, le paquet dépasse carrément devant, hyper moulé. Le jeune vendeur me dit qu'il vaut mieux les porter sans rien dessous, pour le confort. Je le prends mais encore une taille plus serrée, je veux qu'ils restent très moulants. J'ai un mal de chien à le fermer, mais j'y arrive. C'est dingue l'impression! Un panard total, je me mets à bander comme un cheval, et cela se voit en détail dans ce jeans là!

Je paye, je sors et tout de suite je me heurte presque à deux mecs qui entraient. Tous deux plus agés que mes 22 ans, mais beaucoup plus musclés aussi, minces et immenses. Eux aussi, tiags, perfecto, jeans cuir. Ils sont beaux. Je suis mo- même un peu gêné car je sais que je suis parfaitement indécent avec ce jeans si serré et qui finalement met tout en valeur.

Il baissent le regard et l'un d'entre eux me fait un petit sifflement: "Ça te fait de l'effet! " Je lui dis que oui, et que ce soir c'est pas moi qui vais réagir le plus fort. L'autre s'approche et profitant qu'il y avait personne dans la boutique, me prend le paquet à travers le jeans et le masse gentiment. Je bande comme un fou et je commence à éjaculer dans le jeans! Les deux s'en aperçoivent et me proposent d'aller vider les concombres chez eux pas loin, avec quelques copains.

J'accepte avec empressement et nous voilà partis, moi roulant les hanches avec mes tiags, ce qui faisait rouler mes couilles de façon hallucinante. Tout en éjaculant un peu plus à chaque pas, je les remarque qui commencent à bander aussi. Je prends peur car c'est des vrais étalons, leurs paquets gonflent à chaque instant de façon incroyable.

On arrive chez eux. Il y en a déjà plusieurs autres, nous sommes bien une demi douzaine en tout. Tous aussi musclés, habillés en cuir hyper moulants, les cheveux longs à très longs. L'air de fauves en rut. Vu la chaleur, ils sont torses nus. Ils me dévisagent et on m'annonce comme la nouvelle recrue! Je les salue et on ne perd pas de temps.

Je retire à regrets mon cuir, comme je suis nu dedans, c'est vite fait. Les tiags volent dans un coin de la pièce, et je reviens au milieu d'entre eux. Les amuse gueules d'abord. Ils me font agenouiller au milieu d'eux en cercle, leurs paquets à hauteur de mes yeux. Tous sont énormes. Ils se rapprochent de moi et je suis cerné par ces couilles et ces pines qui gonflent démesurément.

Je lèche tous ces cuirs, appréciant les tailles du contenu au passage. L'un se dégage, une pine fine et longue sort en force. Je lève les yeux pour voir à qui elle est, je ne vois que des pectoraux énormes qui me bouchent presque la vue! Ses couilles restent prisonnières dedans le cuir, il arrive à peine à les sortir. Elles jaillissent enfin, elles sont complètement épilées et grosses comme des mandarines. Il me prend la tête par les cheveux et me rentre de force la pine dans la bouche.

C'est le signal de la ruée, du viol collectif. En un clin d'oeil, tous ont dégainé et me sautent dessus avec des rugissements de taureaux en rut furieux. J'ai la bouche pleine du premier, on me l'attache dessus avec des coins en liège entre les dents, au cas où... Un autre sort un pine incroyablement longue et me vise le cul. Un peu d'huile et il m'encule sauvagement d'un coup jusqu'à la garde. Gay j'étais, soite, mais pas très entraîné! Ça fait mal et ils me rassurent en me disant que je vais m'habituer si je ne crispe pas. Tout n'est qu'un simulacre, le viol y est bien mais reste contrôlé. Il faut simplement que j'accepte de jouer le jeu du jouet sexuel aussi longtemps qu'ils le veulent.

Un autre se branle sur ma figure déjà bien écrasée contre le premier. Je vois un gros braquemart qui va et vient, violet et énorme, puis il éclate en m'engluant la figure. J'avale. C'est bon, très bon, je le leur dis. Ils en redoublent de fureur sexuelle et celui qui m'a enfilé se met à me limer comme un dingue. Je suis secoué douloureusement de tous côtés, je m'abandonne. Je me croyais fort, je ne résiste pas à ces montagnes de muscles parfaits qui me défoncent. Ils apprécient mes hanches très étroites, me forcent à tour de rôle, me remplissent le cul et la gorge sans ménagements aucuns. Je ne peux rien faire que compter les coups, et surtout avaler assez vite.

Celui qui me lime me remonte loin dans le cul, c'est très agréable, il frotte directement sur la prostate au passage, déclenchant des ondes électriques qui me laissent crevé. Au bout d'un long moment, il éjacule. Je sens une marée chaude m'envahir au plus profond. Il se calme, lime encore un peu en faisant des cris rauques, je ne pense pas que ce serait le moment de l'interrompre... Le super mâle en plein rut, couvrant sa femelle, sauf que je me sens pas vraiment femelle mais aussi mâle qu'eux. Simplement pas dans la même position.

Il se retire enfin, après ce festival. Il est remplacé par un autre qui rentre une pine dirais-je standard, sauf qu'elle est si dure que je crois qu'ils me mettent un gode. Mais non, il y a bien un mec derrière. Je note qu'il est plus mince que les autres, ses couilles sont rasées, assez grosses. Il est pourtant d'une force incroyable. On l'appelle "Champion" car il est champion de triathlon comme je l'apprendrai plus tard. Il a des hanches étroites comme celles d'un adolescent, des jambes musclées et fuselées, dures comme du bois. Il est très jeune. On m'apprendra qu'il a à peine 17 ans et pourtant sa force est dingue. C'est du genre nerveux et sec. Il a peu d'expériences sexuelles et je vois que cela l'impressionne, il en bande que plus et est d'une avidité qui fait rigoler tout le monde. Complètement nymphomane en fait, il dit que s'il se branle pas deux fois par jour, cela coule tout seul... Il va pouvoir y aller de bon coeur!

Il me choppe et me triture entre ses bras, frottant son sexe contre moi, partout, frénétiquement. Il s'approche de mon cul et devient incontrôlable. Il rentre avec un cri de soulagement et commence tout de suite à limer. Ses couilles montent et descendent à toute vitesse. Il éjacule vite mais presque en continu. Il m'encule vicieusement, sortant lentement et rentrant le plus vite et le plus fort possible. Je sens sa pine me ramoner les intestins sans ménagement. Il finit par s'agripper à mes hanches et en limant comme un forcené, il se décharge par longs coups.

Je me retourne pour voir à qui c'est le tour et là j'ai peur. Une espèce de géant, peint en cuir, me dépassant de presque deux têtes, s'approche, un objet long comme une pine de cheval déjà bandée en majesté. Large comme une armoire, des hanches ridiculement petites, des muscles énormes et saillants sans rien pour les contrarier. J'apprends qu'il a été champion de body-building jusqu'à ce qu'il se fasse virer de son équipe car il sautait ses collègues, plus près du viol que de la simple baise. Lui aussi est en santiags. Des muscles énormes jouent librement et on les voit à travers le cuir comme s'il était à poil. Son torse est sans un atome de graisse et impressionnant.

Il me prend les hanches et me soulève simplement comme si j'étais une poupée gonflable. Il place sa pine géante et turgescente sous moi et m'empale brutalement en me laissant retomber dessus! La première fois, je crie de surprise et de douleur. Cela ne sert à rien, il s'en fout, il veut se décharger dans moi et me montrer que je ne suis qu'à peine plus qu'un trou pour foutre. Je suis écartelé sans pouvoir me dégager car il me tient en place. Plus je me débats, plus il jouit. Il me dit que je suis très serré, je lui réponds qu'il doit pas en trouver souvent des trop larges pour lui! Je sens mon intestin remonter sous la pression qu'il applique et en plus, il se met à limer en me re-soulevant pour me laisser retomber. Au bout d'un moment, il nous couche, moi à plat ventre et lui me couvrant le dos. Je ne peux lui résister en rien. Il n'arrête pas de me limer pendant qu'un des autres nous filme en gros plan avec un camescope. Je suis laminé par cette bête de 140kg, dont plusieurs d'objets sexuels.

Pour me faire taire, un autre me met sa pine dans la bouche et m'encule jusqu'à l'oesophage. J'ai le nez dans ses poils pubiens, qui sentent bon le fauve. La seule chose que je peux voir est une rafale d'abdos en plaque de chocolat impressionnants et un ceinturon à boucle énorme. Il lime dedans, très pénible, puis me remplit l'estomac d'un coup. Le prochain me met ses couilles monstrueuses dans la bouche puis se branle sur mon visage. Vision étonnante, une grosse pine qui va et vient en très gros plan. Puis je sens que le foutre arrive en flots et me revoilà englué dans une marée chaude et épaisse. J'en ai partout et pourtant, je ne sens plus que mon cul éclaté et défoncé par mon géant qui continue à me limer de sa façon particulière. Il m'écrase le torse dans son effort sexuel, sa sueur dégouline sur moi. Pourtant, je disparais entre ses bras. C'est fantastique de sentir qu'un tel mâle me remplit de son meilleur jus et y laisse sa force. Il gonfle encore et soudain, c'est l'explosion, de longs flots chauds m'envahissent, à longs traits, accompagnant le mouvement de cris sourds et satisfaits.

Il reste en place, un peu calmé. Un sympa met mes couilles en bouche et me suce gentiment. Je ne peux plus bander tellement je suis rempli par tous les bouts mais c'est une sensation bien agréable. Il attarappe mes couilles avec les dents et tire gentiment. C'est fameux mais cela ne me fait que comme des décharges électriques supplémentaires car je crois qu'il mord un peu fort dedans. J'en ai donc trois sur moi en même temps. Deux autres se mettent en travers sur moi et se branlent entre moi et celui qui me suce, entre moi et celui qui me couvre.

Ils sont restés en cuir tout le temps, j'ai pu apprécier comme c'est beau le cuir gonflé de muscles au travail. C'est irremplaçable � mon avis. Le jeans est pas mal mais c'est tellement répandu que cela ne veut plus rien dire. Un cuir hyper moulant et même dans une foule tout le monde sait qu'il y a des couilles dedans. Pour moi, un cuir noir et moulant sur des santiags, c'est ce qu'il y a de mieux et de plus évocateur! Qu'on se le dise! Que tous les mecs qui ont des couilles et envie de s'en servir et qui veulent que cela se sache, se fringuent comme ça! On ira plus vite à se reconnaître! Tant pis pour les abdos kronembourg qui ne le savent pas!

Le géant finit par sortir, il m'attire les intestins en même temps en faisant ventouse, c'est pénible. Le foutre qu'il y a laissé lubrifie bien le tout alors cela reste possible. Cela fait sloutch en sortant. En le regardant, je me demande comment cela a pu entrer: il a une pine grosse comme un bras ordinaire.

Je leur dis que je suis prêt à être fisté. Ils sont surpris car il y a peu de volontaires pour ce jeu là. Un autre avec des cheveux noirs et longs se rapproche, il a une main fermée. Je lève le cul et je le regarde s'enfoncer sans efforts. Je n'ai même pas mal vu la préparation... Il va jusqu'au coude. Et je le sens m'attraper l'intestin à la main et tirer comme s'il voulait me vider par l'intérieur! Il lâche et visite mon intérieur. Je suis groggy et les vois se remettre à bander. N'en pouvant plus d'attendre, les derniers se baisent sauvagement. Ils se relayent devant moi pour être léchés et sucés, parfois ils m'enculent la gorge profondément, juste pour passer le temps.

Au troisième fistage, ils arrêtent et décident que c'est bon. Ils se branlent tous une dernière fois sur moi, me couvrant rapidement d'une épaisse couche gluante. Ils expliquent que je suis un peu trop sonné et ne réponds plus très bien.

Ils me tendent mon cuir tout neuf. Il est lourd du sperme qu'ils y ont copieusement mis à l'intérieur en m'expliquant qu'il faut le laisser sécher comme ça sur moi pour qu'il prenne sa taille exacte, comme un film de peinture noire. Cela sent fort pendant quelques jours mais si on porte du cuir en général, on n'est pas gêné par des détails comme ça. Je glisse dedans facilement et suis soulagé qu'il me tienne le cul refermé car je ne sens plus rien et je sens que cela coulerait pas mal si il n'était pas bien serré!

Ce soir là, j'en ais pris en tout douze, dont le fameux géant. Je n'ai jamais rêvé de telles brutes sexuelles. Infatigables, toujours pleins, ils me disent que la prochaine fois, ils seront plus vicieux et plus sexuels. C'était pour eux qu'un galop d'essai...

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Mercredi 18 juillet 3 18 /07 /Juil 18:04

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Voici comment s’est passé ma première fois avec un mec. J'avais 20 ans.

Mon nom est Sam, je suis à moitié algérien et français. À l’époque, je vivais chez ma mère et pour les grandes vacances, je décidai de monter deux mois chez mon cousin Joris (25 ans, sportif, boxe et muscul, 1m81, 75 kg, brun et super bogoss).

Fin juin, j'arrivais chez lui avec une simple valise. Il me laissa le canapé comme lit. Après quelques jours de recherche de taff, je ne trouvais rien sauf un simple boulot chez McDo, le rêve quoi, ça ne gagnait pas grand chose. Le soir, je lui ai raconté ma journée, mais il en avait rien à faire, lui ce qu'il voulait, c'était être prêt pour son combat de boxe ce weekend. Il était juste en survêt et torse nu en train de faire des pompes, et moi j'étais en train de le matter grave. Pourtant à l’époque, je n'avais jamais couché avec un mec.

Le soir du combat, il rentra complètement défoncé. Il avait bien sûr gagné et il avait bien fêté ça avec ses potes. Moi j’étais en train de dormir, je pigeais rien de ce qu il me disait.

— Ça va Joris? Ton combat s’est bien passé?

— Je l'ai défoncé grave, ce bâtard!

Il avait le visage quand même un peut gonflé, il avait dû s'en manger plus d’une bonne quand même.

— Et après avec les pote, on est allé en boîte fêter ça, et il y avait une putain de meuf! Trop bonne, avec un bon p’tit cul!!!

Il s’avança vers moi, me regarda le cul.

— Limite comme le tien Sami, et il me plota le cul.

— Oui mais je suis pas une meuf Joris! Bon allez, bonne nuit cousin! Il est super tard et je suis cassé et en plus je taff moi demain!

— Tu as rien foutu de la journée et tu es cassé!!! Tu pourrais au moins t’occuper de moi un peu! Putain!

Il puait l’alcool, je l'aidais à lui retirer ses basket, son jean. J'étais assez gêné car il ne portait pas de slip et je voyais sa queue. Elle ne bandait même pas mais elle était super grosse avec de bonnes couilles mais il y avait pas un poil. Joris me regarda:

— Allez cousin, suce moi, j'ai vu que tu arrêtais pas de mâter la dernière fois! Allez pompe moi, putain je suis trop chaud!

— Oui c’est ça Joris, bonne nuit!

En vérité, j'en avais grave envie, mais bon, je me cassais asse vite car je commençais à avoir ma queue raide dans mon boxer.

Deux minutes plus tard, je n'entendais plus rien. Il devait être en train de dormir. Moi je bandais toujours. J'ai commencé à me branler et quelques minutes plus tard, j'avais joui et je m'endormais en pensant à mon cousin et sa queue.

Quand d'un coup on m'arracha les cheveux et je me pris une baffe dans la gueule, je tombai au sol.

— Tu es vraiment une pute comme toutes les filles. Tu mates et tu fais rien!

Et là, je me pris un coup de pied dans les côtes. Il me prit la tête, me mit un bon coup de poingt dans la geule. Je tombais sur le canapé complètement sonné.

— Comme j'ai pas sauté cette pute en boîte, c’est toi que je vais sauter. Tu as le même cul et tu dois être encore plus serré qu’elle du cul.

Je pigeais vraiment rien de ce qu'il pouvait se passer. Je sentis mon caleçon partir à une vitesse et il me le mit direct dans la bouche.

— Et ne gueule pas trop fort, tu vas voir je suis sûr que tu vas l'aimé, toute les filles l'aiment ma queue. Je vois pas pourquoi pas toi.

J’avais le corps posé sur le canapé, le cul et les jambes qui dépassaient, il me cracha sur mon cul.

— En plus tu es comme les filles, tu n'as pas de poil, je kiff trop ça!

Il me cracha sur ma rondelle, il y mit un doigt et là déjà j'avais mal. Il avait l'air d'avoir une putain de grosse queue, j'ai su plus tard qu'elle faisait 22 cm et super épaisse. Il commença à me travailler le cul avec un deuxième puis un troisième.

— Ça y est, tu es enfin prête salope, tu vas aimer j'en suis sûr, et même tu en redemanderas encore plus.

Il approcha son gland de ma rondelle et poussa d'un coup sec jusqu'au bout. Je me mis à gueuler comme si j'avais reçu un coup de poignard, même mon caleçon n'arrêtait pas le son de ma voix. Il me prit la tête et me la plaqua face contre le canapé pour étouffer les cris, mon cul était déchiré en deux. Il me mit un coup de poingt dans le côté, ce qui me bloqua la respiration.

— Putain tu vas aimé être ma pute je te jure, tu vas être accro de ma queue!

Et il commença à me ramoner le cul. J'avais tellement mal que je n'entendais limite plus tout les insultes qu'il était en train de me dire. Il était en train de me pistonner de plus en plus fort, je sentais ses couilles me taper le cul. Il me claquait les fesses avec force que j’en oubliais le mal que me faisait mon cul.

Il se retira d’un coup, il me prit par les cheveux et me fouta debout contre le mur. Je chialais comme un môme, lui disait plutôt comme une bonne meuf qui vient de se faire dépuceler. Il me retira mon caleçon de la bouche, m'écarta les jambes et pointa sa queue contre mon cul encore en feu. Il rentra encore une fois d'un coup, mais cela me fit moins mal que la première fois.

— Allez salope! Bouge ton cul sur ma queue!

Il me claqua encore une fois le cul. Les mains posées contre le mur, je commençais à bouger mon cul d’avant en arrière, lui posait les siennes sur les mienne et parlait comme une pute dans le creux de l’oreille.

— Tu aimes ça hein? Dis le moi.

Je n'arrivais pas à sortir un seul mot mais je començais à trouver un certain plaisir.

— Allez Sam, dis le moi, tu aimes te faire mettre?

En réponse, j'accélérais le mouvement de mon cul sur sont pieu.

— Oui c’est ça salope, bouge bien ton cul. Ça prouve que tu aimes ça. Allez plus vite!

Je commençais à gémir de plus en plus, je sentais que j'allais jouir sans même me toucher. Joris lui ne parlait plus mais il me pilonnait de plus en vite et de plus en plus fort quand il se raidit et m’écrasa la gueule contre le mur et là, je sentis une vague de chaleur dans mon cul. Moi les mains toujours bloquées par les siennes, je me mis à jouir et déchargeais tout contre le mur et poussai un râle en même temps.

Joris se retira de mon cul sans rien dire et repartit dans sa chambre et ferma la porte. Moi, les jambes en coton, je glissais contre le mur. Je me mis à pleurer. J’avais le cul en feu et qui coulait du sperme de mon cousin et j'avais la joue posée contre le mur dans mon sperme.

Je réussis à peine à dormir cette nuit là et le lendemain matin, je partis direct bosser au McDo. Mais je me disais: Putain, comment ça va se passer ce soir quand je vais rentrer du taffe?

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Mercredi 18 juillet 3 18 /07 /Juil 12:14

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Robert et Denis sont deux voisins de quartier. Robert est camionneur et Denis travaille dans le domaine de l'informatique. Ils ont tous deux la quarantaine et ont de grands enfants. Robert est très fier de son camion et il passe beaucoup de temps à le bichonner, souvent avec l'aide de ses deux fils aînés, âgés de 21 et 18 ans. Ils sont alors souvent en shorts ou en maillots, torses nus. Denis reluque alors souvent par sa fenêtre, admirant ces jeunes éphèbes, car il a toujours rêvé en secret de connaître les plaisirs au masculin.

Et c'est justement son voisin Robert qui allait lui en donner l'occasion sans le savoir... Ils se sont rencontrés un jour au dépanneur du coin. Pendant que Denis arpentait les allées, il entendit Robert raconter au proprio du dépanneur que sa femme le talonnait depuis quelques semaines pour lui faire laver les fenêtres de leur maison, mais qu'il avait cette tâche en horreur. Lorsque Denis s'avança à la caisse, il salua son voisin et lui dit qu'il avait entendu sa conversation et qu'il était prêt à lui offrir son aide pour se débarrasser au plus vite de cette tâche ardue.

Robert accepta aussitôt avec joie l'offre de Denis et lui demanda quand il était disponible. Celui-ci lui répondit qu'il pouvait y aller le samedi suivant. Déçu, Robert lui mentionna qu'il partait pour le week-end avec sa femme et son plus jeune fils, mais que ses deux plus vieux y seraient. Il ajouta que s'il acceptait de s'acquitter de cette tâche seul, il était prêt à le payer pour ses services. Denis s'empressa d'accepter en lui spécifiant qu'il refusait d'être payé. Il ajouta que s'il avait besoin d'un camion, il ferait appel à lui.

Les jours passaient et déjà, le mercredi suivant, Denis comptait les jours, anxieux de pouvoir pénétrer dans l'intimité de ces deux beaux garçons. Il ne s'imaginait pas toutefois qu'il allait la pénétrer à ce point...

Le samedi arriva enfin. Denis se pointa tôt chez Robert, avant qu'il ne fasse trop chaud. C'est le plus jeune des deux aînés, Alexandre, qui vint lui ouvrir la porte. Il ne devait pas être réveillé depuis bien longtemps, car il ne portait qu'un caleçon. OUF!!! Denis lui dit:

— Je viens laver vos fenêtres. J'espère que je ne t'ai pas réveillé?

Alexandre lui répondit:

— Non. Mon père nous avait prévenus. J'étais en train de déjeuner dans lacuisine. Entrez.

Denis le suivit pour remplir son seau d'eau et préparer ses affaires. Pendant qu'il s'affairait, il observait Alexandre du coin de l'oeil. Il regardait les dessins animés à la télé tout en mangeant avec appétit. Celui de Denis grandissait aussi...

Lorsque son matériel fut prêt, Denis dit à Alexandre qu'il préférait commencer par les fenêtres de la façade, à cause de l'orientation du soleil. Alexandre lui répondit:

— La première chambre est celle de mon frère Mathieu. Il dort encore, maissuivez-moi, je vais le réveiller.

Denis lui dit:

— Ne le dérange pas alors. Je peux très bien commencer par une autre pièce.

Alexandre répondit:

— Non, non! Mon père nous a bien prévenu de vous laisser travailler à votreguise.

Denis suivit donc Alexandre dans le corridor menant aux chambres à coucher, admirant ses superbes fesses bien moulées dans son caleçon blanc. Alexandre ouvrit la porte de la chambre de son frère Mathieu, et les deux entrèrent.

Mathieu dormait profondément, étendu sur le dos. Les couvertures ne le couvraient que jusqu'à la taille. Il avait le torse plus découpé que celui de son frère. Il était vraiment très beau, ainsi endormi. Denis se serait volontiers glissé sous les couvertures avec lui...

Alexandre lui tapota l'épaule en lui disant de se lever. Comme celui-ci tardait à réagir, Alexandre tira d'un coup sec sur les couvertures, découvrant Mathieu, en caleçon lui aussi, mais aussi bandé qu'un étalon. WOW!!! Denis pensa en lui-même que dans une telle situation, il se serait immédiatement caché. Mathieu n'eût aucun réflexe de pudeur. C'est vrai qu'à quatre hommes dans une maisonnée, certaines choses deviennent plus familières. Mathieu se leva tout bonnement, salua Denis, et sortit de sa chambre, suivant Alexandre.

Denis commença son travail, non sans avoir des tiraillements entre les jambes. Il entendit la douche couler dans la salle de bain et en conclu qu'un des gars devait y être. Une vingtaine de minutes plus tard, Denis ayant terminé de nettoyer cette première fenêtre, sortit dans le corridor pour se diriger vers la seconde chambre à coucher. En passant devant la salle de bain, il remarqua que la porte était restée entrouverte. Il y risqua discrètement un oeil. Ce qu'il vit le fit figer sur place...

Alexandre était assis sur la toilette dont le couvercle était rabaissé. En baissant les yeux, Denis constata qu'il portait encore son caleçon, mais qu'il était bandé au max et qu'il se caressait la queue. S'avançant encore un peu, sans bruit, pour avoir un meilleur angle de vue, la surprise de Denis fut encore plus grande. Mathieu était debout devant Alexandre, complètement nu, la queue fièrement dressée. Mathieu s'approcha d'Alexandre et celui-ci lui empoigna la queue et commença aussitôt à le sucer.

Denis savait que l'inceste existait, mais là, il en avait une preuve plus qu'évidente. À voir la façon dont ils s'amusaient ensemble, ce n'était sûrement pas la première fois. Denis bandait comme un taureau en rut. Son caleçon était déjà mouillé de précum...

C'est à cet instant même qu'Alexandre tourna la tête en direction du corridor. Trop occupé à regarder leurs ébats, Denis n'avait même pas remarqué que l'ado le regardait. Alexandre dit à Mathieu:

— On a un spectateur!!!

Loin d'en être traumatisé, Mathieu dit alors à Denis au-travers de la porte:

— Si ça t'excite à ce point, entre! Plus on est de fous, plus on s'amuse!

Denis, hébété, ne savait trop comment réagir. Mathieu ouvrit alors complètement la porte et vint près de Denis. Sans aucune hésitation, après avoir regardé la bosse qui déformait son pantalon, il porta sa main à l'entrejambe de Denis, saisissant sa queue qui en tressaillit. Le regardant droit dans les yeux, d'un ton frondeur, il lui dit:

— Tu vois bien que ça te tente. T'es bandé comme un cochon!

Denis ne pouvait nier un fait plus qu'évident. Mathieu l'attira dans la salle de bain. Il repris sa position devant Alexandre, qui recommença à le sucer de plus belle. Pendant ce temps, Mathieu défit le bouton du pantalon de Denis, baissa sa fermeture-éclair, puis son caleçon, sortant sans autre préambule à l'air libre cette queue bien bandée. Denis regardait Alexandre s'enfoncer la queue de Mathieu tout au fond de la gorge, pendant que celui-ci le masturbait, s'attardant sur son frein.

Aucun doute, il savait comment y faire. Mathieu dit à Alexandre:

— Suce-le. Il en meurt d'envie!

Alexandre empoigna fermement la queue de Denis et la porta à sa bouche. Ahhh! Il l'aspira littéralement bien au fond, le suçant de divine façon. Denis en avait les jambes molles. Pendant ce temps, Mathieu entreprenait de lui enlever ses vêtements. Il commença par lui enlever son t-shirt. Se plaçant derrière lui, il lui pinça les mamelons qui durcirent aussitôt. Il se pencha vers eux et commença à les sucer, donnant à Denis des frissons sublimes. Puis, il lui enleva ses baskets et son jean. Il ne lui restait plus que ses chaussettes et son caleçon. Il lui caressa ensuite les fesses, toujours bien fermes malgré son âge. Puis, il faufila sa main sous l'élastique pour les saisir et les pétrir.

Il lui enleva ensuite son caleçon. Sa main se fit baladeuse, passant des fesses, à la raie, pour continuer entre les jambes et venir masser les couilles de Denis, qu'Alexandre suçait toujours avec ardeur. OUF! Denis était excité au max et il sentait déjà monter les prémices de la jouissance. Voulant prévenir, il dit à Alexandre:

— Je vais venir!!!

Plutôt que de se retirer, celui-ci s'acharna de plus belle sur sa queue, pendant que Mathieu se mit à lui faire tournoyer un doigt autour de l'anus.

— Ahhh! Ouiiii!!!

Denis se mit à jouir comme un malade, déversant sa dèche dans cette bouche si accueillante. Alexandre avala tout, lui pourléchant même la queue pour ne rien perdre. Mathieu dit ensuite à Denis:

— Il y a longtemps qu'on s'amuse ensemble tous les deux, mais c'est la premièrefois qu'on partage ça avec quelqu'un d'autre. Et c'est encore plus bandant! Viens, on va aller continuer ça dans ma chambre!

Alexandre, portant encore son caleçon fortement distendu par sa queue bandée, Mathieu, complètement nu, toujours bandé comme un fier étalon, et Denis ont franchi le corridor menant à la chambre, à la queue-leu-leu... Mathieu fit asseoir Denis sur le bord du lit, puis lui présenta sa queue. Sans hésiter, Denis la saisit et commença à la sucer. Mathieu semblait apprécier ses faveurs car il râlait déjà. Ce gars-là était du genre expressif et il disait tout haut ses pensées:

— Ouiii! Vas-y mon homme. Tu suces vraiment bien. Continues! J'aime ça!!!

Tout en s'occupant de Mathieu, Denis tendit le bras et saisit Alexandre par l'élastique de son caleçon en l'attirant vers lui. Il tira sur l'élastique, découvrant sa queue, magnifique, quoiqu'un peu moins longue et épaisse que celle de Mathieu. Denis empoigna ce spectre fièrement dressé et l'attira vers sa bouche. Il s'amusa ainsi de longues minutes, suçant tantôt l'un, tantôt l'autre. Sa propre queue ne tarda pas à retrouver sa forme et Mathieu la caressa pendant que Denis les suçait.

Alors que Denis avait la queue de Mathieu en bouche, Alexandre s'agenouilla et vint lécher les couilles de son frère. Celui lui dit:

— Ahh! Ouiiii!!! Vas-y, p'tit frère. Mange-les mes grosses couilles. Tu sais àquel point j'aime!!!

Alexandre promenait délicatement la pointe de sa langue sur chaque testicule, en dessinant soigneusement le pourtour, pour ensuite les aspirer un à un dans sa bouche et les suçoter doucement. Mathieu se cabra soudainement et dit:

— Oui! Oui! Les gars... je vais jouir!!!

Denis n'eût même pas le temps de réagir. Il reçut cinq longs jets rapides de dèche tout au fond de la gorge. Il n'avait d'autres choix que d'avaler, mais il ne trouva pas le goût désagréable. Lorsque Mathieu eût fini de se vider, il se pencha vers Denis et lui administra un formidable french-kiss. Il ne restait plus que les couilles d'Alexandre à vider. Celui-ci regarda Denis et lui dit:

— J'aimerais bien t'enculer. On s'est toujours contentés de se sucer seulementet j'ai envie d'essayer ça!

Denis lui répondit:

— Je veux bien essayer de te faire plaisir, mais vas-y très très doucement, jesuis vierge!!!

Denis monta sur le lit et se mit à quatre pattes. Mathieu s'installa sous lui et commença à sucer sa queue qui rebanda prestement. Alexandre se masturba quelques instants, en les regardant. Il avait le gland inondé de précum. Il en recueillit sur le bout de son doigt, et en lubrifia la rosette de Denis, faisant tournoyer son doigt tout autour. Mathieu le suçait avidement. Puis, Alexandre introduisit lentement son doigt dans la grotte de Denis. Le premier effet de surprise passé, les sensations devenaient de plus en plus intenses.

Il lui lima ainsi le cul pendant quelques instants, prenant le temps de bien le dilater. Puis il se plaça à genoux derrière lui. Denis sentit son gland prendre la place du doigt. Il le faisait tournoyer autour pour achever de le lubrifier. Il poussa un peu, réussissant à faire pénétrer son gland. Denis se sentait écartelé. Alexandre attendit que les muscles se relâchent. Lorsqu'il le sentit suffisamment détendu, il commença à pousser lentement. Denis le sentait s'introduire en lui, ses muscles se resserrant autour de la queue du jeune homme. Mathieu le suçait sans relâche, et l'effet combiné de leurs gratifications le transportait au septième ciel...

Alexandre n'en pouvant plus saisit Denis parla taille et commença à le baiser fougueusement. Mathieu de son côté l'astiquait de plus en plus rapidement. Au moment où Alexandre déversa son torrent, inondant le cul de Denis de sa dèche si chaude, celui-ci atteignit l'orgasme, emplissant la bouche de Mathieu. Quelle partie de cul!!!

Ils se sont ensuite retrouvés tous les trois sous la douche, riant et blaguant. Denis pouvait poursuivre le travail que lui avait confié son voisin, mais il promit aux jeunes hommes qu'ils allaient remettre ça très bientôt...

SoftDan, 8 décembre 1998

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