Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
.
Juin 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | ||||||||||
2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | ||||
9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | ||||
16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | ||||
23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | ||||
30 | ||||||||||
|
Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
J'ai exercé cet été un emploi saisonnier à La Poste. Voici l'histoire qui m'est arrivée, il y a de ça quelques semaines... Mon rôle à La Poste est de distribuer de la publicité sur deux tournées (c'est à dire deux quartiers), ce qui me prend deux journées et demie dans la semaine. Toute une belle façon de passer les vacances scolaires.
C'était un mardi après-midi du mois de juillet. Il faisait chaud et beau. J'avais commencé ma distribution, et, comme à l'habitude, cela me paraissait bien monotone. Ma seule occupation étant de mater les beaux mecs que je croisais, et surtout leurs belles fesses. Il faut aussi que vous sachiez qu'à l'époque j'étais vraiment en mal de sensations fortes, de plaisir. Et je me demandais vraiment bien comment parvenir à satisfaire mes envies, étant trop timide pour draguer. Je n'aurais jamais cru qu'il puisse m'arriver ce qu'il m'est arrivé...
J'étais bien avancé dans ma tournée. J'arrivais dans un endroit que j'aimais bien, un peu à l'extérieur de la ville. En fait il y avait une grande descente. avec une maison tout au bout. Je m'approche de la boîte aux lettres pour y mettre les prospectus quant tout à coup une voix m'interpelle et me fait sursauter.
— Bonjour jeune homme! Excusez-moi de vous avoir effrayé, je croyais que vous m'aviez vu.
Wow, un vrai étalon... en fait il venait juste de sortir de sa voiture qui se trouvait juste devant son garage, et moi, tête en l'air comme je suis, je ne l'avais même pas vu! Il m'a vraiment fait sursauter en tout cas, je ne m'y attendais pas. Ni à lui, ni à ce qu'il soit aussi beau. Brun, cheveux mi-longs, la peau très bronzé, yeux verts, environ la trentaine. Il portait un complet noir qui mettait magnifiquement en valeur ses jolies jambes musclées. Il avait un corps de rêve.
J'étais comme paralysé devant lui. Je lui ai tout de même tendu les prospectus et il me remercia avec un très grand sourire. Je continua ma tournée heureux de cette rencontre et le soir je ne pus m'empêcher de fantasmer sur lui. Je n'avais qu'une chose en tête: le revoir. Je dus attendre une semaine.
Comme la semaine passée, je rejoignais la maison à pied. Je l'aperçus au loin, près de sa voiture à nouveau. Il me reconnut lorsque j'approcha.
— Bonjour jeune homme de la pub!
— Bonjour monsieur, tenez... lui dis-je en lui tendant les imprimés, et avec un petit sourire en prime.
— Merci! La tournée se passe bien?
— Oui, merci, tout va bien pour le moment.
— Ça fait longtemps que vous faites ce travail?
— Non, tout juste un mois, et ce n'est qu'un emploi saisonnier. Je reprends les études à la rentrée.
— Ah d'accord. Et vous avez quel âge?
— 15 ans...
Nous avons continué à discuter, pendant un quart d'heure environ. J'ai appris qu'il travaillait dans une banque, qu'il était marié, que lui et sa femme venaient d'emménager par ici et que par conséquence il ne connaissait pas grand monde.
— En tout cas, j'espère que les gens d'ici sont aussi gentils que toi, la semaine prochaine je t’offre un verre, d'accord?
— D'accord, lui répondis-je en rougissant.
Tout cela était pour moi inespéré. J'étais aux anges. La semaine me parut interminable. Je rêvais de lui, je n'avais plus que lui en tête. Comme j’espérais qu’il soit le premier à me faire découvrir les joies du sexe. Le mardi suivant arriva. Je décidai de commencer ma tournée plus tôt et d'en changer l'itinéraire, pour pouvoir terminer par la maison de ce splendide mec. Cette fois, il était dans son jardin, au téléphone. Il me fit un grand sourire en me voyant, me fit signe de le rejoindre et de m'asseoir.
Il portait un short noir assez moulant qui laissait deviner un sexe assez gros et une camisole blanche qui mettait très bien en valeur son torse poilu. Bref, il m'excitait au plus haut point. Il devait être au téléphone avec son patron, ou du moins avec quelqu'un de la banque, car il parlait argent. Je profitais de ce moment pour regarder la maison et le jardin. Sa conversation téléphonique se termina.
— Excusez-moi j'étais avec mon patron, il avait besoin de renseignements. Il faut toujours qu'il me dérange pendant mes congés! Bref, oublions tout ça. Je t’avais promis un verre je crois?
— Oui.
— Que désire-tu? Je fais de délicieux jus d'orange pressées!
— Ça m'ira très bien!
— D'accord, je reviens dans cinq minutes.
Il entra dans la maison, me laissant seul dans le jardin. Je pus admirer son joli postérieur. Un vrai régal. Je l'imaginais avec un joli slip. Hmmmm... mon excitation se transforma vite en belle érection. Ce jour là je portais un short et un tee-shirt, ainsi qu'un boxer blanc très moulant... dans lequel mon sexe se sentait déjà très à l'étroit à ce moment-là. Il revint dix minutes plus tard, deux verres à la main.
— Merci beaucoup, ça va me rafraîchir un peu. Dîtes-moi, je ne vois jamais votre femme, que fait-elle dans la vie?
— Ma femme est souvent en déplacement. On se voit très peu, à l'exception du week-end.
— Vous avez donc cette grande maison pour vous toute seule?
— Oui. D'ailleurs elle me parait bien vide.
— Ça doit.
— Et toi, tu as une petite amie? À ton âge tu dois bien t’amuser!
— Pourquoi dites-vous "à votre âge"? Il n'y a pas d'âge pour s'amuser! Et puis vous êtes encore jeune! Je n'ai pas de petite amie actuellement, et je n’en aurais pas non plus.
— C’est vrai, comment ça?
— Trop compliqué...
— Tu préfère peut-être les hommes?
Je ne savais que répondre, je bafouillait tellement j’étais nerveux.
— N’aie crainte, je n’ai rien contre ça, au contraire.
Je baissais les yeux, mal à l’aise, je fixais mon verre de jus.
— Et sexuellement?
La brutalité de la question me laissa sans voix.
— Euh... lui dis-je en rougissant.
— Allez n'aie pas honte, dis-moi tout.
— Et bien, rien de sexuel encore.
— Sérieux?
— Si bien sûr.
— Moi ça fait deux semaines que je n'ai pas fait l'amour et ça me manque, tu dois trouver ça insupportable ton manque de sexe?
— Je m'arrange...
— Oui, la masturbation je suppose. Je peux être indiscret? Depuis la première fois que tu m'as vu, as-tu fantasmé sur moi?
— Non! Ne croyez pas ça!
— J’ai vu comment tu me regardes à chaque fois qu’on se rencontre et je suis certain que le fait de parler de sexe avec moi t’excite très fort...
— C'est possible...
D'un seul coup, il ôte sa camisole, me dévoilant son superbe torse.
— Approche toi, avec ton verre.
Son ton changeai, il devenait beaucoup plus autoritaire.
— Renverse ton verre sur mon torse.
Je tremble de partout, tout va si vite! Après un petit moment d'hésitation, je m'approche de lui, penche le verre et arrose son torse.
— Lèche-moi maintenant.
Je suis encore plus hésitant. Il attrape mes deux joues avec ses mains puis me presse contre sa poitrine. Cette fois ma bouche s'active sur ses deux mamelons. Je lèche ce délicieux jus. Il ferme les yeux et bascule la tête en arrière, tout en me caressant les cheveux. Il a l'air d'apprécier. Je sors ma langue pour profiter de ses mamelons qui se dressent comme ma queue à ce moment là. Je nettoie son torse entièrement. Une fois le travail terminé, il se redresse.
— Tu sais, dans mon ancienne ville, j’ai quelques fois tromper ma femme avec des jeunes de ton âge. Je sais par expériences que les jeunes ont beaucoup à donner. Ça doit être ton cas... Je vais voir de quoi tu es capable.
Il ôta alors mon tee-shirt et commença à me caresser le torse. La douceur de ses mains me fit frissonner. Il m'allongea sur l'herbe et se colla contre moi. Avec sa bouche, il embrassa, mordilla mes mamelons. Sa langue léchait mon nombril. Puis ses mains baissèrent mon short et l'enlevèrent. J'étais totalement à sa merci, en boxer. Il me demanda de me mettre sur le ventre. Avec le bout de sa langue, il descendit du haut de ma nuque jusqu'aux creux de mes reins en passant par le long de la colonne vertébrale. Ensuite ses mains massèrent mes fesses.
— Tu as des fesses superbes... me dit-il en baissant mon boxer de façon à les voir le mieux possible.
Sa bouche se posa dessus... On aurait cru qu'il voulut les croquer. Il remonta mon boxer et me retourna pour se retrouver face à moi.
— Maintenant passons à ce qui m'intéresse vraiment.
Il commença à caresser mon sexe à travers mon boxer.
— Ça m'a l'air acceptable.
Il baissa puis enleva mon boxer. Je bandais comme un fou.
— Oui, tu as une très jolie queue... comme je les aime.
Sa main gauche se posa sur mon sexe dressé et s'activa doucement au début. Puis sa bouche la remplaça. Non, ce fut d'abord sa langue. Il décalotta mon sexe entièrement, et avec le bout de sa langue remontait et descendait le long de mon bâton. Il n'alla pas plus loin, il voyait bien que j'allais tout lui donner. Il se releva et alla se rasseoir sur sa chaise. Il enleva son short tout en me regardant d'un regard on ne peut plus évocateur et sensuel. Je vis ce que je voulais voir. Un slip noir rempli à rebord.
— Viens t’occuper de moi maintenant.
Je m'approchai de lui et écartai bien ses deux cuisses après les avoir doucement caressées. Je passai une main sur son slip. Sa queue dessous était dure comme fer. Je fis glisser doucement son slip pour apercevoir ce qui m'intéressait le plus. Je n’en revenais pas de voir une queue si grosse. Je le branlai doucement en malaxant ses couilles avec ma langue.
— Ouiiii, c'est très bon, fais moi plaisir, suce ma queue.
Je commençai par lécher son gland en faisant le tour avec ma langue. L’entendant gémir, je ne tardai pas à prendre sa queue à pleine bouche. J’appliquais un mouvement de va-et-vient sur sa verge, sa main posée sur ma tête accompagnait le mouvement. Il appuyait plus fort pour que sa queue touche le fond de ma gorge.
— Humm, pour une première fois, tu suces vraiment bien!
Dans mon boxer, mon sexe n'en pouvait plus. Je le baissai pour me branler.
— Je crois que tu es à point, maintenant, on va passer à autre chose.
Avec son bras, il me tourna sur le côté, afin de se retrouver face à mes fesses.
— Que fais-tu?
Il ne répondit pas. Il approcha juste son index gauche de la raie de mes fesses et il commença à caresser mon petit anus.
— Ah non, pas ça!
— Tu vas adoré être sodomisé!
— Non, je n'en ai pas envie!
— Écoute, je vois tes fesses, j'en meurs d'envie, si on le fait tout en douceur tu n'auras pas mal c'est sûr!
— Je ne sais pas...
— On essaye et dès que tu as mal on arrête.
Je ne répondis pas. Il sentait qu’il avait sa chance.
— Je te promets d'être très doux.
— D’accord...
Il était aux anges. Pendant que je me mettais à quatre pattes, il finissait d'obtenir une très belle érection. Il se mit alors sur les genoux et s'approcha de mon anus. Il humidifia l'un de ses doigts et caressa mon petit trou.
— Je suis ravi que je puisse t'initier.
Mon anus était maintenant bien humide. Il approcha son sexe. Mon coeur battait fort. Il posa son gland sur mon anus et commença à le faire pénétrer.
— Aïïe!!!!
— J'arrête?
— Non! Mais vas-y très doucement!
Il continua à s'enfoncer, il était environ à la moitié. Il sentais que j’avait mal.
— Vas-y, continue! Enfonce-toi!
Il s'enfonça entièrement.
— Ça va, tu n'as pas mal?
— Un peu mais je veux que tu me défonces! Allez, défonce-moi!!!
Il se mit alors à effectuer un léger va et vient. Mes cris de douleurs laissèrent leur place à de petits gémissements. Voyant que je commençais à apprécier, il augmenta le rythme.
— Ooooohhh vas-y, C'est bon!
Je posai ses deux mains sur mes fesses pour prendre appui. Il s'enfonçait au plus profond de moi, sans relâche. J'adorais ça. Et le fait de savoir qu’il était le premier à me sodomiser l'excitait encore plus. Il était mon initiateur. Par moment, au plus profond de moi, il s'arrêtait. J’en redemandais. Alors il repartait, d'abord lentement, puis plus vite.
— Oooh ouiiii, fais-moi jouir, vas-y!
Il sentit que je n'étais pas loin de l'explosion. De sa main, il caressa ma verge et je me mis à jouir violemment en éjaculant.
Doucement, il se retira de mon anus.
— Hmmmmm tu es très bon initiateur je crois. Tu m'as converti. Laisse-moi te remercier et goûter à ton jus.
Mes mains vinrent se poser sur ses testicules puis remontèrent. Ma bouche se posa sur son gland et elle engloutit son sexe entièrement. Je le pompais comme jamais on ne lui avait fait. Il était au bord du plaisir. Je posai son gland sur ma lèvre d'en bas et ouvris grand la bouche. Il éjacula dans ma bouche. Je n'en perdis pas une goutte et terminai en engloutissant une dernière fois son sexe.
— Merci, c'était très bon, lui dis-je.
— Tout le plaisir était pour moi.
J'étais très heureux de ce qui venait de se passer, je n'en revenais vraiment pas. Je me sentis pousser des ailes.
— Merci jeune homme. Je pense que tu vas être en retard à La Poste...
Merde! La Poste! Complètement oublié! Je l'embrassai une dernière fois, le remerciai de tout mon cœur pour ce moment incroyable de plaisir et partis en courant espérant rentrer avant la fermeture. Arrivé devant La Poste, elle était déjà fermée. J'eus donc droit à quelques remontrances le lendemain. J'expliquai que, en avance sur ma tournée, je m'étais permis de m'arrêter chez un ami et que je n'avais pas vu le temps passé...
Heureusement, ils m’ont cru...
Ma vie se poursuivit ainsi longtemps: je travaillais en tant que conseiller personnel de mon patron, normalement sans aucune différence avec un autre conseiller, lorsque les portes étaient ouvertes, et quelques petits aménagements lorsqu’elles étaient fermées.
Souvent, Monsieur aimait à me voir travailler en slip et torse nu. Parfois il a même exigé que je sois complètement nu. Mais les sodomies qu’il me faisaient et fellations qu’il exigeait que je lui fasse n’étaient pas quotidienne, c’était selon son humeur, ses envies...
Souvent lorsqu’un coup de fil traînait ou l’énervait, il me faisait signe de m’approcher, sans attendre d’autres gestes, j’étais devant lui à genoux, sortant de son pantalon, sa queue déjà en demi-érection et de ma langue je m’appliquais à lui donner une bonne vigueur, pour ensuite l’emboucher entièrement et la pomper avec délectation.
Lors d’une période particulièrement stressante pour Monsieur, il lui arrivait très régulièrement de me pénétrer sur le bureau, sans ménagement, jusqu’à 6 fois sur une journée, profitant selon son envie, de mon cul. Mais je finissais par m’ennuyer. Ce sexe fonctionnel dirais-je, ne m’attirait plus, il manquait de piment, de vie.
Oui, bien sûr, il y avait les sorties, une ou deux fois par semaine, au restaurant pour affaire mais même les serveurs trop polis ou trop guindés pour paraître intéressés ne me laissaient plus goûter à l’exhibition. Je crois que mon patron s’en rendait compte. Lors d’un contrat quelconque, Monsieur faisait affaire avec un autre monsieur, très gentil, très correct qui venait toujours accompagné d’un homme plus jeune. Cet homme, dans le début de la vingtaine tout comme moi, assez mignon, aux yeux souriants, semblait trouver mon corps très à son goût. Et ses coups d’œil, sourires et autres commentaires eurent vite fait de me faire comprendre ses envies à mon égard. Pour la première fois depuis longtemps, je me sentais vraiment désiré. Ma verge n’en demanda pas plus pour se mettre à durcir sous l’effet du désir. Mais la réalité est là et je sais que cet homme n’entendra pas ma voix lui dire de me prendre, de me baiser.
Le soir quand mon patron me demande d’approcher, je sens qu’il y a quelque chose qui le tracasse. Tout de suite, il baisse mon pantalon et passe sa main dans mon slip, se rendant compte de mon érection.
— Hé bien! Qui t’a donc mis dans cet état?
Ce disant, il m’avait attiré sur le fauteuil, à sa place, m’asseyant et me plaçant les jambes sur les accoudoirs, il avait une vue complète sur mon anus mouillé par l’excitation.
— Dis-moi, mon beau, tu n’es pas en train de tomber amoureux, j’espère?
Cette idée me fit l’effet d’une bombe.
— Non, j’ai juste envie de sa queue.
La réponse était sortie sans même être réfléchie dirais-je. Mon patron sourit...
— C’est bien Tom, c’est bien... Caresse-toi un peu....
Je ne me fis pas prier, mes doigts allant et venant sur ma queue, s’arrêtant un peu sur mes couilles, puis repartant pour s’enfoncer dans mon anus, en ressortir complètement trempés et recommencer à jouer avec ma queue.
Ce jour-là, mon patron semblait particulièrement heureux... Il fit un chose à laquelle je ne m’attendais pas: il se mit à genoux devant moi et se penchant, se mit à me lécher la queue. Longuement sa langue un peu râpeuse m’a léché la queue, le gland, puis s’attardant sur mes couilles, m’approcha d’une éjaculation fulgurante, il s’arrêta juste avant, alors que je commençais déjà à haleter comme un chien en chaleur....
Me redressant, il m’amena au canapé, m’y coucha et me pénétra sans aucune difficulté. Il ne lui fallut pas plus de quelques coups de reins pour m’arracher des cris de jouissance. Il me regarda jouir, puis me disant de me retourner, il revint se coucher sur moi pour me prendre comme il le dit lui même: "Le petit salop que j’ai engagé et qui soupire après le premier mâle venu." Il m’encula. Je sentis très vite son sperme s’épandre en jets chauds en moi.
Lorsqu’il se releva il me dit:
— Demain, ne prévois rien de ta soirée. J’aurai besoin de toi.
La situation, et la phrase, étant habituelle, je ne me posais aucune question. Le lendemain, la journée se passa assez simplement: resto pour fêter avec les deux messieurs la signature du contrat de 13h à 16h. classique en dîner d’affaire. Les regards de mon vis-à-vis de table m’en disaient longs sur ses pensées. Plus d’une fois je sentis mon visage s’empourprer.
Quittant la table, nous passons déposer ces messieurs à l’hôtel où ils résidaient. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je m’aperçus que l’homme le plus jeune resta dans notre voiture. Après les salutations et remerciements d’usage, nous repartons. Le chauffeur nous conduit chez nous.
Je sors.
— Tom, Monsieur B. souhaite profiter de votre hospitalité cette nuit. Je pense que vous n’y verrez pas d’inconvénient.
Je me sens trembler des pieds à la tête, l’homme sort en vainqueur de la voiture, sourire presque carnassier, je rougis.
— Laissez les lumières allumées, Tom. Merci
Je monte les quelques marchent avant l’ascenseur devant monsieur B que je n’ose toujours pas regarder. L’ascenseur s’ouvre, je le sens qui me suit, qui se colle à moi alors que la cabine est spacieuse. Il en profite pour laisser ses mains se perdrent sur mes fesses. Arrivés à mon étage, nous sortons, je me vois dans le miroir du couloir, on dirait un gamin pris en faute, qui attend sa correction.
J’ouvre ma porte et sans même me poser de questions, me dirige vers la chambre. Puis soudain je me rends compte que j’aurais pu ne pas l’y inviter, que j’aurais pu rester au salon. Qu’est ce que je fais? Je suis fou! Mais je sens mon cul palpiter, j’ai envie... Je me retourne, il est à l’entrée de la chambre.
Je le regarde droit dans les yeux. Je retire mon veston, le lâche sur le sol. Je commence à déboutonner ma chemise qui s’entrouvre peu à peu, laissant voir mon torse imberbe. Je dégrafe le bouton de mon pantalon, le laisse glisser au sol. Je ne suis plus vêtu que de ma chemise ouverte. La bosse dans son pantalon est plus qu’explicite...
Je m’approche de lui, place mes bras autour de son cou et pose mes lèvres sur ses lèvres. Cela le met en route, en furie plutôt. Il me soulève, me porte au lit, descend la fermeture-éclair de son pantalon, ne le retire même pas, sort sa queue qu’il m’enfonce d’un coup dans l’anus. La brusquerie me fait un peu peur, m’arrache un cri...
Après quelques coups de queues rapides, il se calme et sans sortir sa queue du fourreau où elle est, il se redresse un peu et commence à me caresser le torse d’une main. Il écarte totalement ma chemise, puis approchant sa bouche du mamelon, commence à le lécher, presque tendrement. Sa queue reste bien au chaud. De temps en temps, sa queue me fait sentir sa présence par un petit mouvement doux. Le laissant continuer à ce rythme qui me change et me ravit, j’entreprends de lui retirer sa veste. Il se laisse faire... Cravate...
Toujours affairé auprès de mes mamelons, je le sens de nouveau s’exciter plus... Il les relâchent, il se redresse, libère sa queue de mon cul et ouvre sa chemise sans s’occuper des boutons qui disparaissent dans tous les coins, retire d’un coup son pantalon et ce qu’il avait dessous avant de s’abattre une nouvelle fois sur moi, replonger sa queue au chaud et accompagnant par des coups rapides de queue ses mouvements, il se met à me mordiller les seins, l’un après l’autre. Jamais on ne m’avait fait cela. La sensation m’électrise, j’ai l’impression que je brûle de l’intérieur.
Je sens sa queue qui accélère encore son mouvement. Je regarde d’un coup d’œil vers la fenêtre... Mon patron est là... Mmm je sens que cela vient. J’éjacule en poussant de petits cris. Ne voulant pas rester en arrière, sa cadence prend plus d’ampleur, plus de force. Je sens enfin son foutre me remplir l’anus, c’est chaud, c’est doux.
Sa tête se pose sur mon épaule, ses doigts jouent avec mon téton, la tempête est passée, le repos du guerrier. Mon patron est toujours là, un verre à la main... il me regarde droit dans les yeux... J’ai encore envie de me montrer à lui, j’ai encore envie de jouir. Apparemment mon envie se sent puisque mon amant se réveille et se met à m’embrasser dans le cou. Il se redresse un peu pour prendre une position plus confortable sans doute mais je profite de l’occasion pour fuir de l’autre côté du lit... Il tente un coup de patte, dirait-on pour me rattraper. Pas encore bien réveillé, il se laisse aller sur le dos. Je m’approche, à quatre pattes, regarde cette queue à moitié débandée. Je commence à la lécher à la manière d’un chat, à petits coups de langue. Il aime ça, je le vois, je le sens... Très vite sa queue grandit, grossit pour atteindre une taille très confortable.
Monsieur B semble aux anges. Il sourit béatement mais j’ai envie qu’il se réveille, moi. Alors de ma langue douce je passe à la bouche active. Je le suce, je le pompe laissant ma bouche serrée autour de son membre, puis parfois je le mords un peu... Juste pour tester les réactions. Intéressant, il semble avoir du mal à rester en place... j’essaye donc le même traitement plus bas, sur ces deux couilles charnues qui s’offre à mon regard.
Sans appel, cette solution: monsieur B se redresse avec une queue bien dressée, bien raide. Ravi, je lui présente de nouveau mon cul, mes fesses attirent ses mains. C’est dans mon anus que sa bite retourne. Il s’active... tenant mes hanches dans ses mains, ses coups de boutoir sont forts, rapides... j’aime ça. Je sens que le plaisir monte.
Il jouit, m’inondant une seconde fois... En mâle repu, il se couche sur le côté. Je suis déçu, frustré. Le téléphone sonne, je décroche, c’est mon patron.
— Passe-le moi!
Sans un mot, Monsieur B me repasse le téléphone et commence à s’habiller.
— Laisse-le partir. Tu veux le revoir?
— Non.
— Ne te lave pas, ne bouge pas, j’arrive.
B part après un rapide baiser sur mes lèvres, je reste allongé. Mon patron arrive...
— Alors, il t’a plu?
— Bof....
— Tu n’as pas assez joui?
— Non...
— Laisse toi faire alors...
Il m’écarte les jambes, m’amène au bord du lit... Et se mettant pour la seconde fois à genoux devant moi il se met à me lécher, à aspirer tout le sperme qui occupe mon cul, à jouer avec mes couilles... Je crois avoir ce soir-là joui cinq ou six fois d’affilée sous sa langue experte. Je sentais ma tête me tourner, je voulais refermer les jambes mais il me les maintenait ouverte continuant encore et encore.
— J’ai aimé le spectacle. Nous recommencerons.
Je me suis endormi, épuisé, sur ces mots...
Et il a tenu sa promesse.
Derniers Commentaires