Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
.
Juin 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | ||||||||||
2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | ||||
9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | ||||
16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | ||||
23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | ||||
30 | ||||||||||
|
Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Je me souviens souvent de la première fois où j’ai rencontré mon beau-frère. Ma sœur sortait avec lui depuis quelques semaines lorsqu’elle l’a invité chez nous pour la présentation officielle aux parents. Mes parents n’ont pas vraiment été ravis la première fois qu’ils l’ont rencontré, il avait un look de Bad-boy avec sa barbe non rasée de quelques jours. De plus il entretenait ce look avec son jean déchiré au genou. On pouvait y voir dépasser sa pilosité brune. Moi j’eus une impression assez bizarre. Autant il me paraissait avoir du charme autant j’ai de suite pensé que c’était un beauf.
Ma première impression s’est révélée exacte. Pendant tout le repas, nous avons eu le droit à des blagues dégradantes sur les femmes et parfois même sur les homos. Même mon père qui est un bon vivant, semblait rire jaune. Assis en face de lui, j’ai largement pu le détailler et notamment observer le tatouage qui sortait de son t-shirt largement échancré. Pourtant je décidai que je n’allais pas apprécier ce gros con.
Les semaines ont passé et ma sœur ne s’est pas lassée de son mec. J’arrivais de moins en moins à le supporter. Il faut dire qu’il s’obstinait à me faire des réflexions qui avaient le chic de me faire sortir de mes gonds. J’avais régulièrement le droit à des surnoms comme « petite pédale » ou « tafiole » lorsqu’il passait près de moi et que personne ne pouvait l’entendre ou parfois en présence de mes parents ou de ma sœur j’avais le droit à « ma chatte ». Je me demande encore comment il a pu imaginer que j’étais gay alors que pour tout le monde j’étais hétéro.
Au moins le traitement qu’il m’infligeait m’a incité à me rendre plus viril en faisant du sport et en gagnant de la masse musculaire. Il avait beau avoir trois ans de plus que moi, il n’était pas question qu’il m’impressionne. Parallèlement à mes entrainements en salle de muscu, j’ai suivi des cours de self défense.
Un après-midi de juillet alors que tout le monde était dans le jardin, moi je m’étais mis au frais à l’intérieur. Je pouvais entendre mes parents, ma sœur et Brodie discuter à bâtons rompus. Alors que je commençais à m’assoupir, mon beau-frère s’arrêta devant la porte de ma chambre et comme à son habitude j’eus droit à une réflexion :
— Alors ma chatte, on se la coule douce.
Je ne sais pas ce qu’il m’a pris mais il fut temps de ne plus le laisser faire. Je n’avais qu’une envie à ce moment là, c’était de lui faire payer toutes les humiliations que j’avais dû subir. Malgré les règles qu’on m’avait enseignées, et notamment de ne pas me servir de mes cours de combat contre autrui, je sautai de mon lit tel un félin et attrapai l’objet de mon courroux prestement. Je lui fis une clef de bras ce qui l’immobilisa de suite.
— Mais c’est que ça se rebelle ! Me dit-il.
J’amplifiai la torsion de son bras ce qui le fit souffrir.
— Aie !
— Ça t’amuse de me faire chier ?
— Ouais, osa-t-il répondre.
— À mon tour alors…
Je l’entrainai vers la fenêtre dont les volets avaient été mis en cabane. Je me plaçai derrière lui et m’approchai de son corps pour accentuer encore la douleur. Bien sûr, pour ne pas perdre la face, il fermait sa bouche. Collé à lui, je lui murmurai :
— Alors, c’est qui la tapette maintenant ?
— …
— Tu voulais jouer avec moi !
Ces quelques mots furent soufflés dans son oreille. J’eus soudain une idée de ma vengeance.
— Tu va jouer la tapette pour moi, hein, mon mignon.
Je glissai ma main dans son jean qu’il avait bien sûr très large ainsi que dans son boxer et commençai à palper ses fesses. Celles-ci étaient velues tout comme ses cuisses mais aussi musclées sous ma paume.
— On travaille son petit fessier, tout comme les nanas. C’est mignon ça !
Il essaya de résister mais j’accentuai ma pression sur son bras.
— Tout doux, tu ne voudrais pas qu’on découvre que t’es une petite pédale qui aime se faire sauter.
Je cherchai alors juste à lui faire peur. Je voulais qu’il implore ma clémence pourtant il résistait. Je décidai alors de passer ma main entre les globes de ses fesses. Il avait sa rosette aussi poilue que le reste. Il me fallait l’humilier davantage, je glissai alors un doigt dans sa fente et découvrit une peau soyeuse. La chaleur avait dû le faire suer car son trou était bien humide. Je rentrais difficilement mon doigt mais je lui glissai à l’oreille :
— Humm, un petit cul vierge comme celui-ci. Je sens que je vais me régaler.
Il ne répondit pas mais haleta. Mon doigt entrait davantage encore. Dehors, on pouvait entendre ma famille en pleine discussion. Je fis glisser le jean de mon beau-frère sur ses cuisses et repris mon doigtage. Il semblait prendre plaisir à cette caresse ce que je découvris plus tard. Encore maintenant, j’aime lui ouvrir le cul de mes doigts et l’entendre gémir jusqu’à ce qu’il m’implore de l’enculer.
Je me rendis compte que la pression de mon bassin sur sa cuisse et la situation m’excitait au plus haut point. J’en bandais. Avant cet événement je n’avais jamais imaginé prendre du plaisir avec un mec, mais ce type qui m’avait temps emmerdé me faisait triquer. Je l’ai doigté au moins dix minutes jusqu’à pouvoir y entrer trois doigts. Il soufflait comme un bœuf, ruisselant de sueur. Il me rendait fou. Il résistait sans m’implorer. J’eus une idée plus dégueulasse encore. Je sortis ma queue et lui dis :
— Il est temps que tu me serves.
— Non… Pas comme ça. Dit-il avec une petite voix.
— Mais si, ma chatte.
Je lui léchai le cou remontant vers son oreille.
— Avec un préservatif, je t’en supplie. Je veux rien attrapé…
Brodie me donna l’impression d’être clean et d’avoir peur des maladies. Je savais que j’étais aussi moi clean vu que jusqu’à présent j’avais baisé mes copines avec des préservatifs. Je voulus alors lui faire peur.
— Qu’est ce que j’en ai à foutre moi.
Je crachai dans ma main et badigeonnai ma queue de salive. Je me plaçai dans le dos de Brodie.
— Alors ma belle, prêt à se faire monter par un étalon.
J’introduisis mon gland dans le trou de mon beau-frère et donnai un violent coup en avant ce qui le fit gémir de douleur.
— &Ccdeil;a va Brodie ? Demanda ma sœur de l’extérieur.
— …
— Brodie ?
— Oui, je me suis juste fais mal au pied, chérie, lui répondit-il.
Ce petit macho ne disait rien sur sa position. Il faut dire qu’elle était suffisamment humiliante pour lui. Moi je découvrais une sensation nouvelle. Son fondement était chaud et son anus entourait ma verge avec délice. Collé à lui, je sentais les poils de ses fesses sur mes cuisses et le bas de mon ventre. Je fis un petit mouvement mais replongeai en lui immédiatement. Il se mit à gémir. Je continuais mon va et vient, profitant de chaque sensation. Je découvrais que j’aimais le baiser et que lui semblait apprécier. Je lâchai son bras et pris ses hanches des deux mains. Il dégagea son bras et recula son cul pour se cambrer.
— Oh putain ! Lui dis-je.
— Quel pied, je prends, répondit-il.
Je l’ai enculé peu de temps car je vins rapidement tellement le plaisir était intense. Au moment où je giclai en lui, il se mit à jouir à son tour dans sa main.
Je sortis de lui et me rhabillai alors qu’il essayait de se revêtir avec sa seule main de libre, l’autre pleine de sperme. Il s’est tourné vers moi avec un large sourire et j’ai deviné que notre relation allait changer.
Encore maintenant, lorsque je repense à cet événement, je me dis que tout aurait pu être différent et que ça aurait pu mal se terminer mais je regarde la chance que j’ai su saisir au bond et notamment d’avoir gagner un amant qui m’en demande toujours plus.
Je suis bisexuel mais je souhaite vous raconter une aventure de jeunesse qui m'est arrivée quand j'étais lycéen. Ma curiosité‚ mon goût pour le sexe, m'ont permis d'en connaître beaucoup d'autres depuis.
Chaque jour, matin, midi et soir, pour me rendre au lycée, je traversais un très grand parc public, lieu apprécié pour les promenades. Un jour de printemps, l'année de mes 17 ans, alors que je rentrais comme chaque midi déjeuner chez mes parents, je fus pris d'une "envie" extrêmement urgente. Mon ventre était douloureux, je serrais les fesses sans espoir, je savais que je n'aurais pas le temps de rentrer assez vite chez moi. Je repérais le panneau "Toilette" et m'y précipitai.
Cachés dans un massif d'arbustes, les WC en forme de rotonde comportaient plusieurs cabines. Je me précipitais vers une porte entr'ouverte, refermais vivement et descendis prestement mon pantalon. Installé sur la cuvette je me libérai de mon urgence. En partie soulagé, je regardais autour de moi les murs tapissés de graffitis et de dessins obscènes: une queue pointée vers une paire de fesses, une autre vers une chatte de femme, ou encore des sodomies en chaîne. Je lisais des petites annonces écrites dans tous les sens:
— "JH cherche jeune chatte à lécher"
— "H ch JH pour branler et sucer, de 12 à 14h, ici"
— "Cple rencontrerait F ou Cple pour plaisirs divers"
— "Cple ch mec bien monté - rdv ici"
— "Branle et suce jeunes mecs, ici tous les jours, le midi ou le soir"
Les murs et les portes étaient barbouillées de ces annonces dont certaines paraissaient anciennes, d'autres récentes; des réponses proposaient des rendez-vous. Il y avait un trou de cinq centimètres dans la porte, à 80 centimètres du sol. L'idée que quelqu'un pouvait espionner dans les toilettes m'amusait beaucoup. Je me rendis compte rapidement, qu'il y avait aussi un trou de la taille d'un oeuf percé dans chacun des murs sur les côtés, à hauteur des genoux. Poussé par la curiosité, je me penchais pour regarder au travers de l'un d'eux: la cabine était vide. Je voyais le rebord de la cuvette du WC.
Je me tournais vers le second trou, j'eus l'impression de voir un oeil qui s'effaçait, puis je vis nettement une cuisse; quelqu'un était assis sur le WC de la cabine voisine. Je me reculais vivement, rougissant. Mais poussé par une curiosité viscérale, je regardais à nouveau. La cuisse semblait être celle d'une fille ou d'un adolescent: ferme, mais sans poils. Je m'avançais un peu pour mieux voir et je vis une main qui massait lentement un sexe dressé de taille moyenne au gland bien dégagé, tout rosé. L'autre main triturait doucement les couilles. Mon voisin se masturbait en toute tranquillité, assis sur le bord de la cuvette.
Ma tension montait violemment, Je me surpris à bander à mon tour. Je glissais une main sous ma queue et me masturbais aussi. Mon voisin continuant de s'astiquer, s'était penché sur le côté, avec un peu de recul pour vérifier si je l'observais. Je croisais son regard amusé. Il accélérait sa masturbation, avançant sa queue bien en face du trou. J'étais hypnotisé, rouge de confusion, ne sachant plus ce que je devais faire, fuir ou continuer. Le spectacle m'excitait trop, je me branlais de concert.
Il me fit signe de montrer mon sexe. Intimidé j'hésitais; lui insistant, me montrait le sien avec impudeur. Je m'avançais un peu, lui présentant le profil de ma bite dressée, au gland congestionné. Mon voisin, vint placer son sexe face au trou, l'avançant au travers de la mince cloison. Une douzaine de centimètres dépassait sous mon nez. Attiré par cette chaire inconnue, j'osais une caresse timide, moi qui n'avait jamais touché un autre sexe que le mien. À ce contact doux et chaud, une violente bouffée de chaleur m'envahit. Je faisais glisser délicatement la peau sur le gland, comme j'aimais me le faire moi-même.
L'inconnu se reculait et me fit signe de faire comme lui. Je glissais mon sexe dans l'orifice. Surprise! Ce n'étaient pas ses doigts qui avaient saisi ma bite mais sa bouche tiède et humide. Il aspirait, malaxant de ses lèvres, sa langue chatouillant mon prépuce. Ma tête tourbillonnait, je sentais mon sperme monter dans ma verge. J'allais me retirer, il me retenait par sa bouche. Je sentis mon sexe exploser, j'accompagnais mon éjaculation de coups de ventre saccadés contre la cloison. Vidé je m'asseyais sur la cuvette pour récupérer.
Quelques instants plus tard, j'entendais la porte voisine s'ouvrir. Je me rhabillais, pensant que celui qui m'avait donné autant de plaisir était parti. J'attendis quelques instants avant de sortir pour ne pas le rencontrer.
Le rouge aux joues, je sortais à mon tour, un peu étourdi. À ma plus grande surprise mon voisin m'attendait. Je reconnus un gars de mon lycée! Je le connaissais seulement de vue car nous étions un millier d'élèves et nous n’étions pas dans la même classe. Il était aussi grand que moi, bien que mon cadet d'un an. Voyant ma gêne, il vînt vers moi, la main tendue:
— Je m'appelle Alain, je viens souvent ici, on y fait des rencontres sympas, des gars, mais aussi parfois des femmes ou des filles.
Il continuait:
— Tu as aimé? Apparemment oui! On peut se retrouver ici après déjeuner? Je reprends à 15h et toi?
— Moi aussi je reprends à 15h, répondis-je sans réfléchir. J'aurai fini de déjeuner à 13h15.
— OK, j'attendrais... 13h30, sur le banc dehors, en face.
Avec un large sourire, il s'éloigna. L'esprit embué, j'accélérais cependant mes pas pour aller déjeuner. Je n’avais pas donné mon accord, mais mon envie de revenir était trop forte.
À l'heure convenue, j'étais de retour. Alain me demandait d’emblée de le suivre dans les toilettes. Il m'entraînait dans la cabine la plus éloignée de l'entrée et verrouillait la porte derrière nous. Prestement débarrassé de son pantalon et de son slip qu'il accrocha à une pointe derrière la porte, Alain, la bite fière et dressée, s'avançait vers moi et s'attaquait à la ceinture de mon pantalon. En un tournemain, j'étais débarrassé aussi de mes vêtements. Ma queue bandée à faire mal, j'attendais la suite des évènements. Alain avait jeté un regard par le trou du mur, pour savoir si nous étions tranquilles. Il s'agenouillait devant moi, aspirant mon sexe à pleine bouche; il me pompait à merveille. Quel délice! Adossé au mur, j'étais tendu comme un arc. Inconsciemment, je caressais la tête de mon compagnon. Il avait glissé une main sur mes fesses. Séparant les globes, il descendait vers mon anus qu'il agaçait d'un doigt mais constatant ma contraction, il en restait là.
Une nouvelle fois je déchargeais dans sa bouche, il avalait mon sperme avec délice. J'y avais moi-même goûté et trouvais le goût très agréable. Alain se redressa en disant que c'était super. Je ne voulais pas être en reste, je m'agenouillais à mon tour. Maladroitement je le suçai. Comprenant que c'était la première fois que je suçais une queue, il me conseillait et me guidait dans mes gestes, j'assimilais vite. Rapidement Alain m'informait qu'il allait éjaculer, me demandant si je préférais qu'il se retire. Moi je souhaitais aller jusqu'au bout. Un jet de sperme gicla contre mon palais. Je suffoquais un peu mais continuais à pomper et avalai avec plaisir la semence épaisse.
Après quelques caresses échangées sur les tétons, les fesses et le ventre, nous nous sommes rhabillés pour rentrer au collège.
Alain devenu un ami, venait à la maison pour étudier ou écouter de la musique pensaient mes parents, nous pouvions nous enfermer dans ma chambre sans être dérangés. Alain était même autorisé à rester dormir à la maison, avec moi bien entendu.
Nos jeux évoluèrent rapidement: mon ami me sodomisait, je lui rendais la pareille. Cela ne nous empêchait pas de nous retrouver fréquemment dans nos toilettes préférées ou nous avons vécu d'autres aventures piquantes que je vous raconterai plus tard.
Derniers Commentaires