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fan de histoires de mec

Jeudi 21 juin 4 21 /06 /Juin 12:46

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Je m'appelle Stéphane Grangé. J'ai 42 ans. Je suis avocat. Un métier prenant. Sans vouloir me vanter, je suis encore plutôt pas mal physiquement, grâce à des exercices physiques hebdomadaires. Longtemps j'ai cherché la femme idéale, Jolie, douce, intelligente, serviable, cultivée... J'ai rencontré Hélène alors que j'avais 30 ans. J'étais un jeune acharné du barreau et je donnais des cours à la fac de droit. Elle était secrétaire médicale, nous nous sommes mariés, et trois ans plus tard, nous avions un fils, Sébastien, suivi un an après de son frère Jérémie.

Nous sommes en mai 2007. Sébastien a maintenant 16 ans. Cela fait quelques mois que je commence à le regarder différemment. En effet, j’ai toujours eu des fantasmes homo que je n’ai jamais osé assouvir vraiment (à part quelques pipes par-ci par-là pendant mon adolescence) En grandissant, son physique prend une tournure très agréable: il est fin, élancé et gracieux et, depuis quelques temps et je m'en veux d'avoir sur lui ce regard de mâle en rut, mais je ne peux m'en empêcher. C'est ainsi. Sébastien à de courts cheveux châtains, de profonds yeux bleus, un petit nez droit et des lèvres joliment dessinées, un petit cul rebondi. Faire l’amour à sa mère ne m'empêche plus de bander à la vue de ce petit corps parfait.

C'est un dimanche en fin d'après-midi que je commence à deviner que mon fils est peut-être aussi salope que son père. Hélène se plaint que c'est un véritable foutoir dans la chambre de notre fils. Je me dévoue donc pour y remédier. Je grimpe les sept marches qui mènent à l'étage et entre dans la chambre de Sébastien. Il travaille à son bureau, ou fait semblant. Merde! C'est vrai que c'est un sacré bordel là-dedans! Je m'énerve, le gronde, et me saisit au hasard d'un sac à dos qui traîne au milieu de la pièce. C'est son sac de sport.

Je le retourne et en renverse le contenu sur le plancher, furieux. Sébastien est tétanisée. Je comprends vite pourquoi en voyant les fringues se répandre sur le sol. Il y a un jogging, un short, des chaussettes, mais surtout un boxer transparent noir. Je suis sur le cul et lui demande en le regardant droit dans les yeux:

— Euh, Sébastien, c'est pas ta mère qui t'a acheté ça?

Il me répond timidement, baissant la tête:

— Non papa...

— Attends... C'est toi?

— Oui, avec un copain... S'il te plaît, ne le dis pas à maman.

La seule chose qui me vient à l'esprit est "si tu savais le genre de trucs que ta mère peut porter", mais je me garde bien de lui répondre ça.

— Bon, range ta chambre, on verra...

Je quitte la pièce, lui confisquant le boxer. Putain! Mon fils est déjà aussi cochon que son père! À 16 ans, porter des sous-vêtements transparents, ça promet... Je suis abasourdi.

Deux semaines plus tard, un mardi, j'ai pris congé. C'est la fin de l'après-midi. Sébastien devrait être rentré du collège, qui est à deux pas, depuis plus d'une demi-heure. Je m'inquiète et décide d'aller le chercher en voiture. Quand j'arrive devant les grilles de l'établissement, je vois mon fils sortir d'une maison, en face de son école. Il semble avoir un air coupable. Bizarre. Je klaxonne. Il me voit et se dirige vers la voiture pour y entrer. Il me fait la bise et esquisse un sourire.

— Salut p'pa!

Alors que je l'embrasse, je sens une odeur forte familière mais que je n'arrive pas à identifier.

— Ben, qu'est-ce que tu fous? Tu devrais déjà être à la maison!

— Désolé p'pa mais je... Je donne parfois un coup de main à Mr Klinsmann, le p'tit vieux... Pour son ménage, pour ranger ses courses... Tout ça...

Je suis dubitatif. Je le connais un peu ce vieux qui habite face à l'école.

— Ah, c'est bien...

Tout en roulant vers la maison, j'arrive à identifier cette fameuse odeur. Mon fils sent en fait le foutre à plein nez... J'ai du mal à y croire mais en suis intimement persuadé. Je n'en reviens pas. Je commence à bander, excité par cette pensée insensée.

Deux jours plus tard, je sors plus tôt du boulot: il faut que je sache. Je me gare non loin du collège, de façon à avoir une vue imprenable sur la porte de sortie de la grille. À 17h, tous les mômes en sortent. Je vois mon fils se diriger directement vers la baraque de Mr Klinsmann. Il y rentre. J'attends que tous les gosses aient disparu avant de sortir de mon véhicule pour me diriger sur ses traces. Je regarde alentour, puis colle mon nez à la fenêtre du rez-de-chaussée. Des rideaux épais m'empêchent de voir quoi que ce soit. Je décide d'y aller au culot, et pose une main sur la poignée de la porte d'entrée. Elle n'est pas verrouillée. Je l'ouvre discrètement et me faufile dans le hall d'entrée sombre. Derrière une autre porte me parvient la voix rocailleuse de Georges Klinsmann:

— C'est bien ma p'tite pute, vas-y pompe bien... Comme ça, c'est ça, suce-moi bien à fond mon cochon...

Je suis en alerte. Je me demande ce qui se passe et ne peut me retenir d'entrouvrir très lentement la porte. Le spectacle que j'y découvre est insensé et sublime à la fois. Sébastien, mon fils, est agenouillé devant Georges, qui est assis dans le canapé, nu, les jambes écartées. D'où je suis, je peux admirer la scène de profil. Ils ne m'ont pas remarqué. Mon gamin est en train de tailler une pipe au vieux monsieur. C'est surréaliste. Ce petit pédé s'applique à lécher et à engouffrer la pine presque en entier. Je suis pétrifié et pris malgré moi d'une gaule d'enfer. D'une main, Georges le saisit par les cheveux, le forçant à le sucer au maximum.

— Allez petit con, suce! Suce bien tonton Georges si tu veux ton fric, salope. SUCE! SUCE! Mieux que ça, suce salope!

Hypnotisé, sur le cul, je regarde mon fils si angélique s'appliquer à avaler la tige du vieillard laid et bedonnant. Il a vraiment l'air de savoir s'y prendre ce petit gigolo! Soudain, l'homme pousse un grognement et se cambre.

— Avale... Oui c'est ça, oui, avale... Bien... Tout...

Je culpabilise de bander ainsi comme un âne, mais reste là, regardant Sébastien aspirer le jus de Klinsmann. N'importe qui de sain d'esprit lui aurait sauté à la gorge.

Je m'esquive avant d'être vu, pour rentrer à la maison avant mon fils. Ainsi mon gosse suce des queues pour du fric. Incroyable! Je ne sais trop que penser.

Quand le soir, je fais l’amour à Hélène, mes doigts agrippés à ses cuisses, c'est au petit cul serré de mon fils que je pense. Après l'avoir fait gueuler et avoir craché la purée dans sa chatte, je me lève pour aller pisser. Une drôle d'odeur passe sous la porte de la chambre de mon fils. Une odeur de cannabis. De mieux en mieux! Un plan prend forme dans ma tête. Ça me refait bander et quand je reviens des chiottes je ne peux m'empêcher de remettre le couvert avec ma femme. Sébastien sera bientôt mien...

Chapitre 2: La confirmation

La semaine suivante, je m'accorde à nouveau une demi-journée. En milieu d'après-midi, je me rends chez Georges Klinsmann. Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Je sonne. Le petit vieux m'ouvre et me fait un sourire convivial.

— Ah, Mr Grangé! Que me vaut le plaisir? Ça fait longtemps!

Il cache bien son jeu le salaud!

— Oui, ça fait un bail.

Je lui serre la main, lui retournant son sourire, et lui demande:

— Je ne vous dérange pas j'espère? Je peux entrer une minute? J'aurais voulu vous parler de deux ou trois petites choses...

— Mais bien sûr, faites!

Je le suis jusqu'au salon et il me propose une tasse de café que j'accepte, avant de nous installer dans son canapé. L'endroit est austère, vieillot, un peu oppressant. J'entre tout de suite dans le vif du sujet:

— Alors Mr Klinsmann. Mon fils m'a dit qu'il venait vous donner un coup de main de temps à autre?

— Oui, oui...

Il semble hésiter puis reprend:

— C'est vraiment gentil de sa part. Il est vraiment... Adorable!

Il a l'air soudainement mal-à-l'aise. J'enchaîne immédiatement:

— Hmm. Et... Sa bouche? Elle est adorable aussi, sa petite bouche?

Là, son visage se décompose totalement.

— Euh, comment ça. Je... Je ne comprends pas...

— Écoutez Georges, je peux vous appeler Georges? Je sais tout. J'ai tout vu. Alors ne me prenez pas pour un con! J'ai tout vu la semaine dernière, ici même. J'étais là quand Sébastien est venu vous sucer la queue mon vieux!

J'éclate de rire. Georges est tout rouge.

— Que... Que voulez-vous. De l'argent? Me dénoncer? Ce n'est pas moi qui ai commencé c'est lui...

Je lui pose une main amicale sur l'épaule. Il est ridicule. Un vrai gamin.

— Non Georges... Détendez-vous! Je crois qu'on s'est mal compris. Je commence à connaître mon fils. Il est aussi salope que son cher père et le fait qu'il vous ait provoqué, je n'en doute pas. Ce que je veux, c'est lui apprendre la vie...

L'homme ne dit plus rien. Je continue:

— Ce soir, avant la sortie de l'école, je viendrai chez vous ok? Et on se le fera tous les deux! Ça vous va? Georges? Alors?

Il se remet à sourire:

— Vous voulez euh... Réellement... faire ça?

— Plutôt deux fois qu'une mon vieux. Si ce garçon est pédé, alors il va en profiter! Et nous aussi!

En fin d'après-midi, je suis chez Georges, planqué dans la cuisine. Peut-être ne viendra-t-il pas. J'espère bien qu'il viendra. Je bande sévère! Puis, enfin, on sonne. J'entends la voix de mon fils. Mon voeu est exaucé.

— Bonjour Georges...

— Salut petite pute... Tu viens chercher ton fric? Petite tapette!

Le vieux se lâche, comme je lui ai demandé. J'entends Sébastien se marrer.

— Allez, perds pas de temps, on a pas que ça à foutre. Viens donc pomper papy Georges.

J'attends quelques minutes pendant que j'entends que mon fils s'active sous les instructions et les insultes du vieux. Puis j'ouvre doucement la porte et tombe sur une vision de paradis. Mon petit cochon de fils est dos à moi, à genoux. Il a enlevé son pantalon. Il porte un marcel blanc et un boxer moulant. Je vois sa tête se lever et se baisser sur l'entrejambe de Klinsmann qui le tient fermement par les cheveux. À ma vue, Klinsmann se désinhibe:

— Allez, maintenant branle-moi salope. Avec les deux mains. Et dis-moi des cochonneries. Dis-moi que t'es qu'une petite pute!

— Hmm que votre bite est si belle! Et si bonne, je suis la petite salope de Georges. Une vraie petite salope.

— Nan! T'es une GROSSE salope. DIS-LE!

— Je suis VOTRE grosse salope, Mr Klinsmann. Oui c'est ça... Ça vous plaît?

— Tais-toi maintenant et suce.

Tout cela dépasse mon imagination. Si j'avais su, je lui aurais cassé le cul depuis des lustres! Il est temps qu'il sache que je suis là. Je m'approche juste derrière lui et me racle la gorge. L'effet est immédiat. Il se retourne et me voit. Il pousse un cri et saute sur ses pieds. Puis il va se réfugier dans le coin opposé de la pièce. Il se met à pleurer à chaudes larmes. Entre les sanglots, je l'entends se justifier sans que je ne lui aie rien demandé.

— Papa, c'est pas ce que tu crois... C'est lui et... J'ai besoin d'argent, je... Pardon... Je suis si désolé... Mais qu'est-ce-que tu fais là, je... Mince... Non... Pardon... Pardon...

Tout ceci est très confus. Ça m'énerve et je l'interromps:

— Ça suffit!

Je m'approche de lui d’un air menaçant. Il se met à genoux devant moi, s'accroche à mon pantalon, m'implore.

— Pardon, pardon, pardon... Tu le diras pas à maman? Hein, tu le diras pas?

Je le relève et lui ordonne d'aller s'asseoir à côté de Georges qui a toujours une fière érection. Je m'assois lentement dans le fauteuil en face, allumant une clope, prenant tout mon temps.

— Alors comme ça tu es un petit suceur de queues? Bien réponds! Assume!

— Mais papa, c'est lui... Je...

— Réponds! C'est ce que tu veux être? Un suceur, pour du fric? Une pute?

— Non je le referai plus! C'est promis!

— Oh que si tu vas le refaire, et tout de suite! Sinon ta mère le saura. Tout le monde le saura.

Il se met à chialer de plus belle.

— Non papa, je t'en supplie... Je comprends plus rien...

— Cherche pas à comprendre. Vas-y, pompe Klinsmann ou je te balance!

Je jette un coup d'oeil au vieux qui me comprend. Il met sa main derrière la nuque de Sébastien pour le forcer à se pencher sur sa bite pourpre. Je le sens décontenancé par la tournure des événements, il hésite.

— Suce-le, il ne demande que ça! Allez, sois gentil avec ce cher Georges...

Il sèche ses larmes, rassuré, et obéit: je le vois engouffrer la bite de Georges. Merde je vais craquer mon pantalon. Je défais ma ceinture et baisse mon froc:

— Il n’y a pas de raison pour que ce soit toujours les mêmes qui en profitent, finalement.

Je me mets tout près de lui, debout. Je le prends doucement par la nuque et approche son visage de ma verge.

— Maintenant pompe-moi.

Ses yeux, surpris, me dévisagent:

— Non! Pas ça papa, pas toi. Je ferai tout ce que tu voudras.

— Ben justement, c'est ça que je veux. Suce-moi, s’il te plaît.

Il sort sa langue, timidement, lèche le bout de mon gland qui n’a jamais été aussi énorme, puis, finalement me prend en bouche tout entier pendant que Georges lui pince les tétons.

— Voilàààà... Sage, c'est bien. Tu vois comme tu peux être gentil avec ton papa. Oui, c’est ça, fais-lui du bien...

Je le regarde droit dans les yeux. J'y décerne de l’excitation, du désir. Je continue à lui parler:

— T'inquiète pas, je ne te laisserai plus gâcher tes talents. Tu suces comme un dieu, mon garçon. À partir d'aujourd'hui, je vais faire de toi mon vide-couille. Ça te choque? Tu vas t'habituer à mon langage un peu cru. Et puis je vois que cela t’excite: tu bandes dur, mon petit, je suis fier de toi. Bon, maintenant tu vas resucer ce bon vieux Klinsmann.

Quand je sors ma grosse queue de sa petite bouche dégoulinante de bave, mon gamin obéit immédiatement, ivre de désir et s'empare du membre de Georges. On sent en lui une faim insatiable de bite. Je m'astique le manche tout en le regardant faire. C'est qu'il a l'air de s'y connaître petit gigolo.

— T'es un vrai pro ma salope! Georges, faites-moi une place sur la canapé, je vais m'occuper de son cul.

— Bien sûr, d’autant plus qu’il adore ça: regarde-le se tortiller du croupion.

Je lui enlève son boxer et me met derrière lui, en position levrette. J'écarte ses cuisses et d'une main palpe son joli fessier musclé. Georges le force à nouveau à le sucer. Je glisse un doigt sur son petit trou. Mince, mais c’est qu’il est impatient, le cochon! Je lui lèche le trou qui est doucement parfumé, pour le lubrifier. Des deux mains, je lui écarte les fesses et vient frotter mon gland contre son cul. Je dois forcer un peu, ce qui le fait couiner. Puis j'arrive à le pénétrer et en à peine trois coups de reins, me voilà bien au fond. Il n'est plus puceau de ce côté-là, c'est clair! Mais je pensais qu'il serait plus étroit. Il a déjà dû en voir des tiges!

Dans un pur moment de merveille, je commence à baiser mon propre fils tandis que Georges se fait gober les couilles. Progressivement, je me fais plus brutal et à mon grand plaisir Sébastien se met à bouger son bassin et à remuer du cul de façon plus en plus salope. Je sens qu'il est à deux doigts de la jouissance; il n’ose pas se branler de peur de venir trop vite.

— Ma parole, c'est que t'aime ça ma salope!

Mes coups de boutoir le liment sauvagement et je l'entends qui commence à gémir.

— Georges. Il aime ça cette pute! Wouaaah! Saaaloooope!

Je suis sur le cul quand j'entends Sébastien se mettre à réclamer:

— Oui papa. Oui... C'est bon... Continue... Oui continue... Comme ça... C'est bon... PLUS FORT! Oui baise-moi!

Je n'en peux plus et quelques secondes plus tard, je me vide les couilles dans ses intestins pendant que Klinsmann repeint la gueule de mon gamin de son jus de burnes...

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 18 juin 1 18 /06 /Juin 22:44

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Salut j'ai 14 ans, blond, yeux bleus, assez grand pour mon âge.

Un samedi matin mon père me demanda si je voulais venir à son bureau pour que je puisse voir comment il travaille. Enthousiasmé, je le suis sans poser de questions.

On arrive dans son bureau, une petite pièce avec un grand bureau, avec un fauteuil confortable, une petite fenêtre laisse passer la lumière qui éclaire juste l'ordinateur. À côté du bureau, il y a des armoires, sûrement pleines de dossiers, et une plante verte.

Lorsque nous sommes arrivés, il faisait une chaleur à mourir, mon père ferme à clé la porte pour être tranquille et se met en chemise; moi je suis en t-shirt et je transpire à grosses gouttes. Mon père m'invite à me déshabiller un peu plus, m'assurant que personne ne viendrait dans son bureau. Je me suis donc mis en slip et j'ai commencé à m'occuper en feuilletant quelques dossiers.

Au bout d'un moment, mon père me demande de venir voir ce qu'il fait sur ordinateur. Il va dans un fichier, mais apparement, il s'est trompé! Je vois à l'écran des photos de mecs nus en train de se sucer ou de s'enculer. Ma réaction est immédiate, je bande et ça se voit; je suis tout de même qu'en slip.

— Tu aimes? me demanda mon père

Je ne réponds pas, je suis un peu gêné.

— Tu n'as pas à avoir honte, moi aussi j'aime bien. Regarde et fais-toi plaisir.

Je matte l'écran pendant que mon père va chercher un dossier dans son armoire. Lorsqu'il revient à son bureau, il commence à me caresser. Je pousse de petits jouisssemants et il me demande si je veux faire comme sur les photos. Je lui réponds que oui.

Mon père passa alors sa main dans mon slip et me malaxe mon sexe. Je suis au paradis. Je regarde mon père et je vois qu'il est encore habillé. Je commence donc à déboutonner sa chemise et son pantalon, il est enfin en slip. Il a une grosse queue par rapport à moi, je la sors de sa prison de tissu et elle prend encore de l'ampleur, ça me fait un peu peur. Mon père s'accroupit et commence à me tailler une pipe, c'est le bonheur absolu, ça y est, j'éjacule. C'est fantastique, c'est trop bon!

Mon père se redresse et porte sa bite à ma bouche, je ne me fais pas prier et je la prends. Elle est assez grosse, j'ai du mal à la prendre dans ma bouche mais je la lèche, la caresse... Mon père me fait maintenant un signe pour que je me lève. Je m'exécute puis il m'allonge sur son bureau et m'écarte les jambes. Il m'enfonce un de ses gros doigts dans le cul, il me fait mal mais c'est supportable. Apres cinq bonne minutes de préparation, mon père se place entre mes jambes et d'un coup sec, enfonce la totalité de sa verge dans mon petit trou du cul. Je crie, mais c'est de plaisir.

Au bout de dix minute de ramonage intensif, il éjacule enfin un grosse quantité de sperme chaud dans mes entrailles. De mon cul coule du sperme que mon père a vite essuyé avec un mouchoir. On s'est rhabillé et on est parti.

C'était super, mon père m'a demandé de garder le silence sur cette histoire, mais il m'a dit qu'on pourrait recommencer, seulement si je voulais...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 18 juin 1 18 /06 /Juin 02:54

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Je suis un homme de 40 ans, marié à une femme que je ne désire plus vraiment. Nous avons un fils, Carl, qui a maintenant 18 ans. Il a beaucoup changé depuis les deux dernières années. Il a beaucoup grandi et il est devenu un homme, un très bel homme athlétique avec un corps splendide.

D'ailleurs, voici le but de mon récit: je dois avouer que mon fils m'attire sexuellement.

Depuis quelques mois, je l'observe et en voyant son corps quelques fois presque nu dans la maison, je ne peux m'empêcher de fantasmer en pensant à lui. L'autre jour, en passant devant sa chambre, j'ai aperçu Carl nu sur son lit et j'ai remarqué que son membre énorme était en érection. Je n'ai pu m'empêcher de l'espionner un peu et j'ai commencé à bander. Il m'arrive de plus en plus souvent de me masturber en pensant à mon fils. Je sais que c'est très grave de désirer de telles choses mais l'envie est plus forte que tout. L'autre jour, à ma grande surprise et à ma grande joie, je m'aperçus que mon fils Carl me regardait lui aussi du coin de l'oeil alors que j'étais habillé légèrement par cette chaude journée d'été. Pour être sûr de ce que je croyais, j'ai tenté de provoquer les choses en m'asseyant en écartant les jambes, portant un short très court, pour lui dévoiler ce que j'ai entre les jambes.

Bref, mon fils ne pouvait s'empêcher de me regarder et soudain il s'est levé et il est monté dans sa chambre à toute vitesse. J'ai remarqué quand il s'est levé qu'il était bandé très dur dans son pantalon. Je suis monté en haut doucement et j'ai espionné mon fils encore. Sa porte de chambre était fermée mais j'ai tendu l'oreille et j'ai pu entendre qu'il se masturbait. Probablement qu'il pensait à moi.

Je n'avais que le goût d'entrée dans sa chambre et de le baiser. Je n'ai pas pu le faire, c'était un trop gros tabou et je ne savais pas s'il aurait voulu. J'ai alors été, moi aussi, me masturber dans ma chambre.

Ne pouvant garder ceci pour moi plus longtemps je me suis décider à en parler à mon grand copain Louis, qui demeure pas très loin de chez nous. Je voulais savoir si j'étais normal et j'avais vraiment besoin de me confier à quelqu'un. Louis m'a écouté. Il était surpris de la situation farfelue mais il me comprenait car lui aussi trouvait mon fils Carl très séduisant. Et il m'a même dit franchement qu'il le "baiserait volontiers" lui aussi.

Le samedi suivant, mon copain Louis nous a invité toute la famille pour souper, mais ma femme ne pouvait y aller et il le savait très bien d'ailleurs. Carl et moi sommes arrivés chez Louis vers 5:00pm et nous avons mangé. Louis portait un pantalon très sexy et j'ai remarqué qu'il regardait Carl d'une drôle de façon. Après avoir pris deux ou trois digestifs, il mit de la musique et prit Carl par le bras pour l'emmener danser dans le salon. En se dirigeant vers le salon, il mit une main sur la fesse de Carl en se retournant vers moi et fit un clin d'oeil. J'ai alors compris son plan tout de suite. Je les suivis au salon et Louis dansait de façon très sexy devant Carl qui avait l'air un peu embarrassé. Je me suis assis sur le canapé et j'ai observé Louis se dandiner devant Carl.

Il caressait maintenant Carl le long de son corps et soudain il allongea ses bras derrière lui, l'agrippa par les fesses pour l'entraîner sur lui. Carl sans faire ni un deux, il lui agrippa les fesses aussi. La danse devenait très cochonne et j'enviais Louis. Il vint alors me chercher par la main pour danser avec eux. J'ai un peu hésité, j'étais embarrassé mais le vin et les digestifs m'encouragèrent à me lancer. Louis se remit à danser langoureusement dos à Carl en se frottant les fesses contre le sexe de mon fils.

Je dansais en regardant les fesses de Carl et je me surpris à mettre mes mains sur ses belles fesses athlétiques. Je me collai à lui en allongeant ma main pour atteindre son sexe déjà dur. Il resta surpris et un peu embarrassé sans toute fois trop le montrer mais se laissa faire et je sentais son érection augmenter dans ma main à son maximum. Il branla ses fesses doucement contre ma bosse humide tout en mettant ses mains sur la poitrine de Louis.

Nous dansions tous les trois dans une danse très cochonne et mes fantasmes des derniers mois se réalisaient. Soudain Louis se retourna et se descendit sur ses genoux face à Carl et détacha son pantalon. Il sortit la queue de mon fils en lui demandant:

— Aimes-tu ta soirée en compagnie de deux beaux hommes?

Il répondit nerveusement:

— Oh oui, je suis excité comme tu peux le voir.

Sa grosse queue dure pointait vers le visage de Louis et il s'empara de son membre, me fit un clin d'oeil et prit le sexe de mon fils dans sa bouche. Il le suçait en le branlant doucement. Je descendis le pantalon de Carl jusqu'en bas et j'ai pris ses fesses dans mes mains pour savourer ce moment.

Je me suis alors assis sur le canapé et les regardant. Louis arrêta et dit à Carl d'aller vers moi. Il avait l'air très surpris, il hésita et me regarda l'air de se demander quoi faire. Je lui fis signe du doigt de venir. Il s'approcha doucement.

Sa bite était là, pour moi maintenant, pointée vers moi et n'attendait que ma bouche. Je pris la queue de mon fils et commençai à la branler et je voyais l'excitation dans son visage. Je sentis mon caleçon devenir tout mouillé et j'ai mis le sexe de mon fils dans ma bouche et le suçai avec intensité. Au bout d'une dizaine de minutes, Louis qui était nu sur le tapis du salon m'interrompit et me demanda: "Pardon, puis-je me faire baiser par ton fils?"

Je fis signe que oui en disant à Carl de le baiser mais de s'en garder pour moi. Pendant que Carl entrait sa jolie queue dans le cul de mon copain Louis, je me déshabillais et m'allongeais sur le canapé et me caressai en les regardant baiser. Louis me regarda et repoussant Carl de lui afin qu'il me voit sur le canapé.

Je lui fis signe de nouveau et cette fois il n'hésita pas en me voyant sur le canapé, les cuisses écartées légèrement. Il se dirigea vers moi et s'allongea au-dessus de moi, lécha mes tétons érigés en les massant doucement.

Je sentis son sexe chaud sur le mien. Mon fils dirigea sa queue vers ma rosette, je le pris par les fesses pour aider le mouvement et mon fils me pénétra d'un seul coup. C'était bon de me faire baiser par mon fils que je désirais, ce beau corps musclé avec une si belle queue que je voyais déambuler chez moi sans pouvoir rien faire. Mon fils me sautait de façon très virile et je sentais que lui aussi était en train de réaliser un fantasme. Il pinça un de mes tétons de ses ongles, le lécha et jouit en moi. Je sentis son sperme chaud couler en moi et j'ai jouis en même temps que lui. Louis s'était reculé dans l'ombre et nous regardait du coin du salon, à la fois excité et abasourdi par le spectacle insolite que mon fils et moi lui donnions.

J'ai dit merci à mon ami Louis. Et depuis ce temps, quand mon fils et moi avons des envies du genre, nous ne nous masturbons plus mais on se permet de baiser à la cachette chez nous ou chez, et avec, Louis.

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Jeudi 14 juin 4 14 /06 /Juin 13:08

 

Je m'appelle Vincent, yeux bleus-gris châtain 1m80 pour 65kg. J'ai depuis toujours été attiré par mon père. Cet homme de 1m95 pour 90kg, musclé avec des abdos en béton et a la pilosité abondante est l'objet de mes désirs les plus secrets. Il m'arrive souvent de me branler en pensant à lui.

Un jour de juin, pour mon seizième anniversaire, il m'offrit un voyage en Alsace. Je n'étais pas plus emballé que ça jusqu'à ce qu'on arrive à l'hôtel et que l'on apprenne que mon père s'était trompé dans les réservations. Nous devions partager un lit double ! Je bandais rien qu'à cette idée. Nous allâmes déposer nos valises et entreprirent de découvrir un peu le pays en début de soirée... Il faisait doux et mon père portait une chemise laissant apparaitre sa toison. Arrivé dans un petit coin de campagne, mon père me prit dans ses bras et me dit qu'il m'aimait. Ce contact m’électrisa et je me dégageai vivement. En rentrant, la pluie nous surprit et nous nous retrouvâmes trempés avant d'arriver à l'hôtel. Il me dit alors :

— Vas prendre un bain chaud tu auras moins froid !

— Et toi ?

— J'attendrai que tu aies fini, ne t'inquiète pas !

— Mais papa ! Tu vas tomber malade et tu vas gâcher la fin du séjour ! Viens avec moi !

Il ne mit pas longtemps à se laisser convaincre. Nous sommes rentrés dans la salle de bain. J'enlevais mon T-shirt trempé dévoilant mon torse fin et retirai mon pantalon. Mon père ôta sa chemise, laissant apparaître sa poitrine et ses poils épais. Le bain avait fini de couler et mon père enleva son caleçon sans pudeur et se glissa dans le bain. Je n'eus pas le temps d'apercevoir sons sexe.

— Et bien dépêche toi !

— Oui oui j'arrive !

Je fis glisser mon caleçon et entrai rapidement dans le bain devant mon père. Il me fit pencher vers son torse et me prit entre ses bras.

— Tu es glacé ! Je vais te réchauffer !

Il frotta énergiquement les bras sur moi, ce qui eut pour effet de me provoquer une érection monumentale. Ma bite dépassait à peine de l'eau mais mon père s'en rendit compte.

— Et bien ! Ça va mieux on dirait ? C'est moi qui te fait cet effet là ?

Je n'osai plus ni bouger ni parler.

— Ne t'inquiète pas c'est naturel va !

C'est à ce moment la que je sentis quelque chose dans mon bas du dos.

— Regarde moi aussi !

Je glissais alors doucement ma main vers son sexe. Il était énorme et très large. Ma main ne pouvait pas en faire le tour. Je commençais alors de lent va-et vient.

— Tu fais quoi là Vincent ?

— Je te donne du plaisir papa !

Mes mouvement se firent plus rapides, plus sûrs :

— Arrête ça... C'est... mal...

Je n'écoutais que ses gémissements et continuai. Sa voix se fit plus rauque, ses gémissements plus rapide. Il enleva ma main de son sexe.

— Je vois que t'as envie de baiser ! J'allais juter ! Attends cinq minutes et rejoins-moi dans la chambre.

Il sortit de l'eau et quitta la salle de bain. Je restais seul dans l'eau. Qu'est-ce-que je devais faire ? Je sortis de l'eau à mon tour et entrepris de me sécher. Je me lavais les dents et me séchais les cheveux. Les cinq minutes sont vite passées. Je pris mon courage à deux mains et sortis de la salle de bain. Mon père était allongé sur le lit. Il était nu et son sexe énorme était posé sur son ventre.

— Approche... Tu veux baiser avec papa ?

— Oui !

— Alors viens !

Je m'approchai du lit et me glissai à côté de mon père.

— Occupe-toi de ma bite tu veux ?

Je descendis vers son sexe et entrepris de le lécher. Je passais ma langue de long en large et suçotais les boules. Sa teub grossissait à vue d’œil. Je la pris en bouche. Son sexe était bon. Il grossissait encore et finit par atteindre un bon 25cm par 7. Je le suçais de plus en plus vite et de plus en plus sûrement. Mon père gémissait... Je sentis une contraction, sa bite grossit et un jet vint s'écraser au fond de ma gorge vite suivi de six autres bien épais. J'avalais ce nectar goulûment et léchais sa bite pour ne pas en prendre une goutte.

— Retourne-toi.

Je m'exécutais et mon père plaça sa bite devant mon trou. Il la fit entrer petit à petit. J'avais mal mais j'aimais ça. Au bout de cinq minutes, je sentis ses poils contre mes fesses. Il commença alors de longs va-et-vient. Il me pilonnait de plus en plus fort et je gémissais. Soudain, un intense plaisir naquit en bas de mon dos et me fit me décharger sur les draps. Les contractions de mon anus achevèrent mon père qui jouit en moi et m'inonda les boyaux. On s'écroula sur le lit, lui toujours en moi et nous nous endormirent d'un coup.

Au réveil, nous avons encore baisé et, par la suite des vacances, avons peu quitté la chambre d'hôtel.

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Jeudi 14 juin 4 14 /06 /Juin 11:48

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Ceux qui ont lu l'histoire ou mon père me baisais en voici une autre. Durant un voyage ou mon père partais en Italie et après lui avoir proposé de venir avec lui et avec son accord nous voilà partis pour une semaine complète a bord de son camion. Le voyage se déroulais très bien, je passais mon temps dans la couchette presque nu, dormant, jouant avec ma console portable, me touchant pendant que mon père lui conduisais. Nous avions dèja baisé ensemble (voir "merci maman") je ne fermais donc pas les rideau lorsque je me touchais.

 

Un soir après avoir fais ses livraisons nous voilà arrêtés sur une aire de repos perdu entourée d'arbres masquant toute visibilitée, nous avons mangé, regarder la télé, parler et mon père parti se coucher. N'ayant pas sommeil, je décidais de rester sur le siège passager à jouer en attendant que je tombe de sommeil. Quelques fois je tournais la tête pour matter le cul ou la bite énorme de mon père ainsi que son torse velu, puis au bout d'un moment le rideau se ferma.

 

" Je ferme le rideau A. la lumière de ta console me dérange.

- Pas de soucis papa dors bien j'irais dans la couchette du haut plus tard

- Traîne pas trop fiston.

 

Je me suis donc remis à jouer tout en me remémorant la fois ou je me suis fais pêter le cul par la bite de papa.

 

Puis un mouvement brusque viens de la couchette, je me retourne et entrebaille le rideau pour voir si tout allais bien, et la je vois mon père bite raide les bras derrière la tête yeux fermés, je me suis lêcher les lèvres, puis ai imaginer sucer cette tige énorme, bien 20 22 cm. Je commence à approché ma main et touche cette queue, ayant toujours les mains froides, mon touché à immédiatement reveiller mon père, qui me souris.

 

- Et bien A. je vois qu'elle te plais toujours, tu vois je repenssais quand je t'ai baisé, sa ma filer une trique et comme tu est la on va remettre sa, d'accord ma salope?

- heuuu... Oui papa sans aucun soucis mais tu sais je pense que ce que l'on fais n'est pas très....

 

J'ai jamais pu finir ma phrase, il avais empoigné ma tête et me l'avais directement collé sur sa bite.

 

- va si fais pas ta sainte nitouche ouvre la bouche et avale la bite de ton père ou je te jure que sa va mal aller pour toi. Je sais que tu aime te faire dominer alors avec moi tu va être ma salope quand comme et ou je veux. coompris?

- Oui papa ne te fais pas de soucis, j'aime tellement me faire baiser par ta grosse queue que je serais ta femme si tu le veux.

- Bien sur que je le veux.

 

A ces mots ma bouche s'ouvris seule et je commencais a engloutir de toute sa longueur cette appendice qui s'offrais a moi. Je lechais ses couilles, caressais son torse, branlais sa queue tout en le regardant dans les yeux, je voulais son jus au plus vite. Je l'ai sucer ainsi durant 10 bonnes minutes, ses rale de plaisir me rendais encore plus chienne et je faisais tout pour qu'il sois satisfait de moi. Je sentais qu'il avais envie de jouir dans ma bouche et pour ne pas faire retomber son envie de me baiser j'ai stopper ma pipe et me suis mis a califourchon au dessus de sa bouche, lui offrant mon trou, sans se faire prier il a commencer a le lecher, je sentais sa langue lubrifier mon trou, je devenais de plus en plus chienne, lui demandais de m'insulter encore et encore.

 

 

- Tien toi près A je vais te défoncer la chatte.

- Va si papa!! Viens me déchirer!!

il remonte la couchette du haut et se met a genoux, je lui offre mon trou et me cambre un maximum pour que sa vue sois satisfaisante, je n'ai pas attendu pour qu'il commence a me caresser le trou avec sa queue, mon trou lui se dilatais de plus en plus, j'hurlais de me sauter, de me jouir dans le cul, de faire de moi sa femelle, sa putte, sa chienne. Sa réaction fut immédiate, sans crier gare il est entré en moi d'un coup sec, un cri sortis de ma bouche, mais je m'en foutais je voulais sa queue en moi!!!

 

Il ma baiser ainsi durant une bonne heure, alternant les positions toujours m'insultant de salope, de garage a bite, de suceuse.

 

- Ecoute moi bien A maintenant comme je te l'ai dis avant tu sera ma salope, je veux que tu sois a entiere disposition pour la queue de ton père, tu a une chatte que je veux baiser aussi souvent que possible, je vais te remplir dès que je peux, sa ne te pose pas de soucis?

- Ma réponse est toujours la même papa, je serais ta femelle et ferais ce que tu voudra!

 

Il continua a me pilloner le cul et me jouis dans le cul dans un rale de plaisir, écartant bien mes fesses.

 

Je me mis assis et suca sa queue encore pleine de sperme tout en le regardant, il ne tardis pas apres 5 minutes de nettoyage de rebander et de me baiser de nouveau la bouche!

 

- Papa?? je veux ton jus dans la bouche!!

- avec joie ouvre bien ta bouche de salope!!

 

Il me fis attendre bouche ouverte son sperme qui ne tarda pas a arriver, même avec l'éjaculation d'avant j'ai reçu un paquet de sperme chaud et gluant.

 

La fin du voyage s'est déroulé casiment dans les même conditions le soir, il me baisais, faisais de lui sa chose, j'étais au paradis, il lui arrivais des fois de demander une pipe en pleine conduite, j'obeissais a ses moindre désirs sans broncher au contraire, plus j'avais sa queue plus j'étais heureux.

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Mercredi 13 juin 3 13 /06 /Juin 23:24

hansebsona2

Bonjour à mes lecteurs, voilà je m’appelle Christophe, j’ai 15 ans, je mesure 1m75 pour 64 kg. Assez bien foutu, je suis musclé pour mon âge. Brun d’origine italienne, j’ai quelques poils sur le torse, jambes, et une grosse touffe à mon sexe de 16 cm.

J’habitais dans le sud avec toute ma famille, à Nice exactement: mon père, ma mère et ma petite sœur de 8 ans. Il y a quelques mois, nous avons accueilli mon grand-père, le père de mon papa, car il vivait seul et voulait de la compagnie. Une veille de vacance, ma mère alla passer avec ma petite sœur une semaine tranquille chez des amis à Marseille, mais le manque de voiture faisait que mon père était forcé de les accompagner et de revenir après.

— Bon, écoute Christophe, j’emmène ta mère et ta sœur à Marseille, on en a pour 2h de route pour l’aller seulement alors je ne serai pas là avant 19h au moins. Tu t’occupes bien de ton grand-père, j’t'embrasse.

Il était 14h, j’avais tout l’après-midi pour m’occuper de mon grand-père. Ma famille partit sur le champs. Mon grand-père s’appelait Jacques, il avait 67 ans et pour son âge, je le trouvais terriblement beau. Ses cheveux grisonnants donnaient un air mature très beau. Pour son âge il était encore très en forme et adorait tous les matins faire du vélo pendant deux heures. Il était donc bien foutu pour son âge, oh oui!

— Papy, aujourd’hui je serai entièrement à ta disposition, je ferai tout ce que tu veux.

En disant ça, je ne savais pas encore ce qui allait m’arriver mais ce n’est pas pour me déplaire.

— Viens Chris, si tu es à ma disposition, tu dois te mettre en tenue.

Etonné, je suivis Jacques jusqu’à sa chambre. Il ouvrit son placard et sortit une sorte de blouse blanche, un pantalon blanc, c’était en faite une tenue d’infirmier. Il sortit aussi la casquette. J’enlevai alors mon pantalon et mon t-shirt. J’étais en boxer noir devant lui qui moulait mon paquet.

— Eh bien, c’est une jolie bosse que tu as là. Mais le noir ça ne va pas faire, ça se verra à travers le pantalon blanc.

Il me passa un slip blanc et me dit d’enfiler ça. Je mis la blouse pour commencer puis un peu gêné je baissai mon boxer et ma queue tomba dans le vide.

— Dis moi pour ton âge tu es bien velu et ton sexe est joli.

— Merci papy, je dois t’avouer que pour ton âge tu ferais craquer encore pas mal de monde.

J’enfilai le slip blanc puis le pantalon. Ça y est j’étais l’infirmer et en quelque sorte je venais d’enfiler le costume du pauvre soumis que je ne pensais pas encore. On retourna dans le salon, et une chaleur intense m’envahit, je me sentais bien dans ce costume. Mon grand-père me dit que je devrai lui faire prendre la douche plus tard. Et contre toute attente, papy me demanda de lui faire un câlin alors que ce n’est pas dans ses habitudes. Étant le serviteur de monsieur je m’exécutais. Je m’avachis dans le canapé devant la télé, serré fort contre lui. Je sentais une odeur de mâle qu’il dégageait. J’étais appuyé contre son torse, il était dur et je sentais à travers le tissu des formes généreuses.

Après quelques minutes de câlins, Jacques me dit de déboutonner ma chemise, que ça me donner un air plus sexy. Je ne reconnaissais plus mon grand-père, il avait vécu toute sa vie avec une femme et je me demandais s’il voulait s’essayer au mec. Moi j’étais 100% gay et ce petit jeu de séduction entre nous commençait à m’exciter. Je déboutonnai deux boutons et quelques poils de mon torse sortirent.

— Encore un ou deux s’il te plaît, me dit-il.

— Comme tu veux, je suis ton homme.

Il me demanda de m’approcher de lui, ce que je fis, puis il passa sa main dans la chemise au niveau du haut de mon torse et il caressait mes poils et mon tétons droit. J’étais en plein délire, mon grand-père me caressait.

— Allez je veux prendre ma douche.

Je partis dans la salle de bain, allumai le jet à bonne température. Je n’avais pas de cabine de douche mais une baignoire. J’allais chercher Jacques dans le salon et lui dis qu’il pouvait venir. Une fois dans la salle de bain, je lui déboutonnai entièrement sa chemise et je lui retirai sans qu’il ne fasse une geste; son ventre était assez plat et très peu poilu. Ses pectoraux ressortaient un peu, il avait dû être très musclé dans sa jeunesse. Ce qui me fit sourire, c’est la ligne de poils qui partait de son nombril pour finir dans le pantalon, elle était grisonnante. Je m’empressais de baisser la braguette puis de lui enlever son pantalon. Il était dans un slip lui moulant le paquet. Il se mit dos à moi et baissa son slip, ses fesses n’étaient plus aussi ferme mais elles tenaient encore la route. Une très légère érection se fit sentir. Il se mit sous l’eau avec le jet, je lui passais sur le corps et lorsqu’il se retourna, je vis enfin sa verge pendante, elle faisait 6–7 cm, circoncise, couverte d’une grosse touffe de poils avec des couilles pendantes revêtues d’une couche de poils. Une fois trempé, je lui passai du savon sur le corps et quand j’arrivai à son cul, je passai juste du savon sur les fesses mais il me dit d’en mettre aussi dans son trou. Étonné, j’y plongeai un doigt; c’était très agréable puis je passai sur sa queue, je l’astiquais avec mes mains.

— Tu fais ça super bien. Allez, rejoins moi, je sais que tu en meurs d’envie.

Je montai dans la baignoire et il me poussa au fond. Je tombai, habillé, dans la baignoire. Il m’aspergea avec le jet douche, mes vêtements blancs devenaient transparents. J’enlevai mon pantalon et mon slip laissait apparaître mon sexe.

— J’ai oublié d’aller aux toilettes avant, alors ouvre la bouche.

J’ouvris grand et il visa avec sa queue. Un long et fin jet de pisse me remplit la bouche et il m’en mit de partout, ma chemise était imbibée de pisse. Je recrachai son urine, c’était pas encore pour moi. Puis il me dit:

— Allez! Viens faire plaisir à papy et pompe moi.

Sans attendre, j’engloutis son dard, ma langue courait sur sa longue queue de 17 cm, je le suçais avec enthousiasme. Je goûtais à une queue vielle de 67 ans et elle était en pleine forme. Moi aussi ma bite avait gonflé et je me branlais en même temps. Sa bite commença à se contracter alors je me retirai et remontai. Jacques me prit la bouche et me roula une pelle. Ma langue se battait avec la sienne. Le jet douche continuait à couler.

— Après une bonne pipe, tu vas me déchirer le cul, je compte sur toi.

L’horloge indiquait déjà 17h45 mais j’en avais rien à faire et je n’y prêtai pas attention. Mon grand-père se mit à genoux et engloutit ma queue. C’était le dieu, il avait sûrment dû le faire auparavant. La sève commençait à monter alors après 10 bonnes minutes de pompage intensif, Jacques me dit:

— Prend moi Christophe et fais moi jouir comme une pute.

Pas le temps de finir sa phrase, il posa ses mains sur le mur, les jambes écartées et mon dard fusa dans son cul. Je lui arrachais des râles de plaisirs, je le pistonnais, ma queue faisait des va-et-vient, je ressortais ma bite puis la replantais. Mes mains sur ses reins, je continuais avec autant de fougue.

Les clefs de la serrure tournaient et mon père entra dans la maison mais avec le bruit de la douche, on n’y fit pas attention.

— Hello, il y a quelqu’un? Papa? Christophe?

Le bruit de la salle de bain l’attira, il arriva devant la porte. Il l’ouvrit et la vision. Il me vit en train d’enculer son père.

— Mais qu’est-ce que vous faite tous les deux?

Mon grand-père réagit tout de suite.

— Viens Alain, on s’amuse bien avec ton fils. Il m’éclate le cul et toi, il va te sucer. Tu v’as voir, comme je te faisais quand t’avais 20 ans.

Surprise! Mon père avait déjà niqué avec un homme... et c’était son père.

— D’accord mais aucun mot à ta mère, c’est bien compris?

— Compte sur moi papa.

Il se fout à poils en deux secondes, mon papa était très poilu, le contraire de son père: un petit bidon très excitant recouvert de poils bruns, des aisselles gonflées de poils, ses jambes, bras, poils de bite en grosse touffe et ses fesses aussi. Sa queue était déjà en érection, un bon 20 cm. Il entra dans la baignoire et ma langue partit dans la bouche de mon père puis très vite je m’attaquais à son gland turgescent. Ma bouche avala sa bite et papa faisait des mouvements de balancement. Il me déchirait la bouche, son énorme dard me transperçait mais j’adorais ça. Pendant ce temps, il roulait une pelle à mon grand-père. Puis je joignis les deux bites dans ma bouche.

Ces deux glands me portaient dans les airs. Quelques minutes après, ces deux glands me giclèrent dans la bouche et sur le visage. J’étais plein de sperme. Alors mes deux dépuceleurs me relevèrent et passèrent leurs langues sur mon visage. On se roula une pelle à trois. C’était très excitant. Une fois la douche finie, on se rhabilla, moi avec de nouveaux habits car la veste puait la pisse et le sperme, alors direction la machine à laver.

On passa une semaine torride. Il n’y avait pas un jour sans qu’on fasse l’amour et on l’a fait partout. Et lorsque ma mère revint à la maison, je le faisais plus avec mon grand-père.

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Mardi 12 juin 2 12 /06 /Juin 15:12

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comment je suis devenu une vrai salope a mecs dominateurs et actifs sadiques.mais j'aime faire cela.cela a commencé quand j'avais 8 a 10 ans,je me branlais souvent. a cet age je revait d'etre attaché suspendu par le cou et les mains liées derriere le dos.j'etait serré avec une fille nue collée contre moi?ensuite rien de plus banal,je me suis marié et fait des enfants.des envies de godes vers l'age de trente ans;mais sinon rien.mais il y a une dizaine d'années,j'ai eu un minitel et bien sur je suis allé voir des sites de sexe,je suis tombé sur bak.fr et la j'ai fait la connaissance de françois de hyeres.

 

c'etait un dominateur qui m'a donné rendez vous un matin vers 8 heures a la plage des salins a hyeres.il y avait quelques hommes nus sur la plage.il m'a reconnu puis immediatement il a mis mes mains en arriere et il m'a attaché avec des cordes,ensuite couché sur le dos il m'a fait jouir en me branlant devant les hommes qi eux aussi se masturbaient en me voyant attaché(quand j'y pense j'aurai bien aimé qu'ils viennent se faire sucer et m'enculer...)j'ai aimé et lui aussi car il m'a reçu chez lui pour m'attacher et me dresser.plusieurs fois .j'y suis allé pour etre attaché cravaché et godé.quelquefois des lavements attaché dans la baignoire.un lundi apres midi des mon arrivée il me dit qu'on serais trois...

 

il me met une cagoule sur la tete et m'attache les mains derriere le dos avant une sangle en cuir reliée a un gros collier des sangles de cuir au genou et aux chevilles.ainsi pret a recevoir des coups de cravaches que je recoit immediatement,j'aime etre travaillé ainsi,le travail des seins me met dans des etats de soumissions;(je suis un peu maso).j'aime etre preparé avant d'etre pris sexuellement.a genou j'attend.je ne voit rien,j'entend rien.puis soudain d'une poussée je ressent une bite qui force ma bouche,j'ouvre immediatement;une grosse bite rentre lentement et commence des va et vient;comme je commence aimer les bites je suce goulument car j'aime...

 

et je grogne de plaisir et je suce un bon moment cette chair que j'aime avoir en bouche,il me baise la bouche a grand coups et j'aime ca.ensuite ils me prennent tout les deux sans me detacher et me mettent sur le lit a plat ventre et l'homme m'encule(ssr)bien profond.je n'ai meme pas eu mal car je suis trés excité il me lime serieusement et je pousse des rales de plaisir,un quart d'heure apres il me gicle son sperme sur le cul et s'en va.françois me detache et m'enleve la cagoule.je ne connaitrait jamais celui qui m'a enculé;

 

malgres mes demandes repetées a françois.c'est a partir de ce jour la que m'a vie a changée je suis devenue une lope a mecs et je ne peut plus me passer de bites....je suis accro!et de plus j'aime a present me travestir pour voir le desirs des hommes monter et les exciter pour qu'ils me prennent a plusieurs.je deviens une vrai salope;mais j'aime trop cette situation.et je continue a chercher sans cesse des hommes pour me prendre la bouche et le cul.attaché bien sur...

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Mardi 12 juin 2 12 /06 /Juin 10:42

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MON PREMIER FIST

 

Un soir relativement tard vers les 23h00 environ, une pulsion et une envie de sexe me pris. Je voulais m'occuper d'un bonne queue de mâle. Je me prépare, la douche mes petites affaires pour parer aux éventualités capotes, gel,popper, coté fringue relativement simple mais assez rapide un jogging rouge à bande blanche et à pression sur les cotés sans sous-vet basket teeshirt une petite veste sans manche . Donc je pris le chemin d'un lieu de drague qui se trouve sur le petit clamart, les connaisseurs reconnaîtront l'endroit.

La température extérieure est super agréable et la lune bien claire donc je vois facilement et je commence à regarder et à mater en marchant sur les chemins. Je suis restés comme cela pendant environ trois quart d'heure. Soudain je remarque un mec grand environ 1m80 facile faut dire que moi je fais 1m65, il est très brun mal rasé en short et teeshirt basket. Je lui tourne autour et il me fait signe en se mettant la main au paquet, donc je m'approche, le banal « salut mec » et je lui mets la main sur paquet et là, il me repousse et me prend la tête de ses mains en me tirant dessus en voulant me faire savoir qu'il veut que je le pompe direct. Sa force étant largement supérieure à la mienne, je tombe a genoux devant lui et commence a lui lécher le short et à sentir sa bite de mâle.

 

Il tomba son short et je me mis à pomper son engin vigoureusement, parfois lui léchant ses burnes. Cela à durée environ un petite dizaine de minutes puis il me releva pour me palper à mon tour les couilles, le cul,les jambes , les mollets et à me pincer doucement les seins. Là je pense qu'il s'est aperçut que je préfère être soumis à un mâle que d'être un dominant car il me pris d'une main par le cou en ayant la tête immobilisée contre un arbre et me dit « pas de bruit et ferme ta gueule bâtard » je fis signe de tête que oui j'avais compris et recommençais a le pomper. Pendant ce temps il fouilla ma petite sacoche et il y trouva le poppers.

Tu aimes ça salope ! Je répondis oui tout en pompant sa queue.

 

Il me donne le popp et me dit de bien me gazer, je le fais la chaleur m'envahit et il me dit à poil j'obéis comme le bâtard que je suis, j'ai une trique d'enfer. Je reprend du poppers et il me travaile les seins, les couilles et j'adore ça donc il l'a bien remarqué car il se fait plaisir en me claquant le cul et en recevant une baffe .

 

Tout à coup il me dis à 4 pattes je veux voir ton trou de bâtard, je m'exécute en étant toujours sous poppers il me travail le trou avec doigt puis il me tira les couilles et enfonça direct son dard sans trot de difficulté car étant bien dilaté grâce au poppers, il se mit à me limer le trou. Je gémis de plaisir quand je m'aperçus que des mecs étaient entrain de nous mater se qui provoqua chez moi un instant de méfiance.

 

Il me dit « t'inquiète ça fait un moment qu'ils sont là et puis t'as rien a dire alors reprend du popers ».

alors je me dis je m'en fou après tout et repris du poppers jusqu'au moment ou j'ai senti qu'il allait bientôt m'envoyer son foutre, il se retira et me dit de le regarder droit dans les yeux et me yoppa la gueule.

 

Quelque minutes plus tard, il me demande si je suis pressé, je lui dit que non.

Il me demande « ont marche un peu ».ok je lui dis . Nous sommes partis sur les chemins plus loin encore dans les bois et au bout d'un petit quart d'heure il me sort sa queue et me dit » j'ai encore envie, pompe » il s'écarte du chemin et baisse son short et je le pompe, sa queue se durcit très vite . Une fois celle-ci bander il me donne un coup de pied en me pousse par terre et là il me dit « à poil tu te gaze bien au popper et tu te mets sur cet arbre tomber je vais te travaille le cul ».

Je m'exécute et il prend mon gel et commence avec ses doigts puis sa queue et encore ses doigts.

Il me demande si ça va je lui répond que oui et là sans que je m'y attende j'avais quatre doigt dans le cul puis le cinquième et il me dit de reprendre du popper et pendant que je prend mon inspiration c'est la main qui me remplie le trou. Un instant d'arrêt et il commence ses va et vient jusqu'à sortir sa main et de la rentrer à nouveau sans difficulté. Je pris un pied d'enfer à en juter sans me toucher. Dans ma tête je me dis c'est fait t 'es fister .

J'ai même réclamer plus et j'ai eu ce que je voulais car à la fin il rentra sa main avec le poing fermé.

Le plan se termine en ayant une bonne claque sur le cul avec les mots « bon bâtard ».

 

je lui demande s'il veut que l'on se revoit et là contre toute attente il me répondit demain je serais là vers les 1h00 du mat donc si tu veux me voir se sera à toi de voir et je suis reparti chez moi il était 2h00 du mat .

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Samedi 9 juin 6 09 /06 /Juin 11:36

bonjour j ai 24 ans

 

je suis brun yeux noir d origine espagnol mais ne parle que français

j ai une queue de 20cm sur 3

 

cette histoire c est passé a aubenas vers l airette un soir tard vers 00h

je voulais aller pisser au wc du parking je vais pour y aller quand tout a coup je me dis pourquoi pas aller plutot pisser vers le parking de la mission local j y vais et commence a pisser d un coup je vois un mec plutot gros environ 50 ans me suivre

 

je commence a sortir ma queue et pisse lui vient a coté de moi et s astique le manche

je commence a le toucher et il me demande si je suis actif ou passif

du coup je lui dis que je suis les deux il est content et me demande de le suivre jusqu a sa voiture la il baisse son pantalon et je vois une queue enorme et bien longue (21cm sur 6)

je me baisse et commence a le sucer il aime le salop, je vais vers ses couilles et la il me dit de continuer de bien lecher je le branle en même temps, la il me demande de le ressucer car il va cracher

 

je le suce bien et le branle d un coup il me chope la tête et me dit de bien sucé et d avaler que j etais fais pour cela

quand il a fini de jouir il me dit de rentrer dans la voiture qu on allait chez lui faire la fête

je suis un peu ko et me repose

 

quand je me reveille je vois la pencarte vals les bains il s arretent plus loin dans un coin de forets et on descent chez lui y a de la lumiere est du bruit

on rentre a l interieur et d un coup je vois une reunion de plein de mec entre 40 et 70 ans ils y a plus de mec marié bien rond que de mec bi ou gay

tous a coup mon coup du soir dit au inviter voici notre putain a nous

heureux d entendre cela les autres se touchent et commence a me mettre au milieux de la salle

les mecs me touchent et retirent mes habilles je me demandes que faire

je commence a voir les mecs tous retirer leurs vetements au bout d un moments on se retrouvent tous nus

 

je sens qu on me prend par le cul et on m emmene sur un slave je connaissais pas

on me dit de lever les jambes et de l autre coté ouvrir la bouche

je commence par me faire prendre le cul par un mec a petite bite ça me va

de l autre coté je suce plein de queue

puis arrive les mecs bien gros qui eux ont une grosse queue bien longue ils m enculent un par un defois par deux

 

je suis content d etre leurs vides couilles fiers

ils aiment pour la plupart ils savent qui je suis et me demande de venir chez eux quand je veux

pour d autres ils me demandent de bosser pour eux et defois de faire plus

vers la fin de soiré je suis remplis de sperme de partout je suis heureux et souriant je me fais insulté et d un coup mon gros mec me dit d un coup appartir de maintenant tu es a nous tous

moi content je dis ok lui arrive et me prend le cul violamment j aimes ça je lui dis de continuer de m enculer de me peter le cul

d un coup il me souleve un peu et m enfile une mains puis il retire sa queue et la me dit que j allais aimer

 

il m enfile son poignet puis monte et continue il m a enfilé jusqu a son epaule j ai mal mais en meme temps j aimes ça il le voit et d un coup ce releve et m encule j ai un trou enorme lui aime aussi il m encule et d un coup se lache en moi

il va se mettre vers mon cul et me leche le trou

ensuite il me remet droit et me demande de venir dormir car la semaine j allais bosser pour eux

j etais heureux tous en dormant j avais eu un cadeau de mon gros mec un gros gode de 40cm sur 10 ce qui laisser mon trou ouvert j aimes ça

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 31 mai 4 31 /05 /Mai 13:53

Une petite présentation, je suis un homme marié, la quarantaine passé et je gère une

petite société de sécurité.

 

Il y a quelques mois j’ai pris un contrat de surveillance d’un chantier, seul

problème, il fallait commencer la surveillance le soir même.

Mes salariés étant déjà affectés sur d’autres contrats et ceux qui était de repos

n’étaient pas disponibles ! La galère commençait, où trouver un agent de sécurité en

urgence ?

Au bout de plusieurs appels, un de mes salariés dit connaitre un voisin qui connait un

copain qui connait ….., bref le dernier connaissant un agent de sécurité

éventuellement disponible. N’ayant pas le choix, je demande à ce que cette personne me

contacte rapidement pour définir les modalités d’embauche.

 

30 mn plus tard, je reçois l’appel de ce fameux agent de sécurité, on ne peut pas dire

qu’il soit très délicat au téléphone (on peut comprendre pourquoi il est disponible),

je lui fixe donc rendez-vous au bureau pour l’heure suivante.

 

Il arrive avec près de 20 mn de retard, il s’en excuse même pas et s’assoit face à mon

bureau sans même attendre que je l’y autorise. Je ne suis pas trop surpris compte tenu

de l’entretien téléphonique que nous avions eu, coté présentation, sa tenue va avec le

reste, basket, jogging … et une façon de s’exprimer qui ne colle pas vraiment avec mes

souhaits en terme de recrutement, mais je n’ai pas vraiment le choix.

 

Il s’appelle Hakim, 20 ans, il doit faire 1,80 m, mais pas très costaud, malgré sa

dégaine désastreuse, je me dis qu’avec un uniforme ça devrait passer et ce n’est qu’un

chantier, il ne croisera personne.

 

Il me tutoie direct, et il met carrément des conditions à son embauche :

- Moi c’est au « black », ok, tu me donne XXX euros pour la nuit et je prends le

job, t’es ok ou pas ?

 

Je suis pris à la gorge, je ne peux qu’accepter et lui indique l’adresse du chantier,

les horaires, …

 

A 20h00, heure de sa prise de service, je ne reçois aucun appel de sa part pour

m’indiquer qu’il est sur place. Je le contacte, il décroche :

- Ouhai

 

Moi :

- Vous êtes sur place ? Vous m’avez pas appelez pour votre prise de service ?

 

Hakim :

- Stress pas, je suis sur le chantier, je ne vais pas t’appeler toutes les 5 mn,

au faite mon fric tu me le donne quand ?

 

Moi :

- Euh (un peu désarçonné par sa façon de me parler, je ne suis pas habitué à ça

avec mes salariés), je ne sais pas, passez au bureau dans la semaine

 

Hakim :

- Tu me prends pour un bouffon ou quoi, je le veux cette nuit ou je dégage

 

Moi :

- Bon, mais je bosse jusqu’à minuit, je passerais après, ça vous va

 

Hakim :

- Ouhai

 

Et il raccroche

Heureusement qu’il ne travail qu’une nuit pour moi celui là, c’est une vrai

catastrophe.

 

A 21h30, la mission sur laquelle j’étais prend fin pour cause de vent trop fort pour

les chapiteaux de la manifestation. Ce qui m’arrange, je suis crevé ce soir.

 

Je décide donc d’aller payer ce Hakim maintenant.

Après un détour à un distributeur, j’arrive sur le chantier à 22h00, je stationne à

proximité et me dirige vers le bâtiment.

J’accède facilement au rez de chaussée (c’est un immeuble de quatre étages), pas

d’Hakim, 1ère étage toujours personne ! Je ne m’attendais pas à une surveillance

parfaite avec lui, mais là ça devient catastrophique, fini la diplomatie, j’ai besoin

de lui, mais il y a des limites.

Puis j’entends du bruit venant des étages supérieur, plutôt des cries très étouffés.

Je monte les étages en direction des voix, parce que c’est bien des voix que

j’entends, et surtout des éclats de voix féminin, je commence à comprendre, il se tape

sa copine sur son lieu de travail, quel connard.

 

Je monte les étages jusqu’à la pièce qui lui servait de « baise au drom », mais à

peine arrivé à la porte, surprise ! Une femme qui avait plus de 20 ans que lui était

allongée sur le dos sur des plaques de placo, habillée semble t’il, la jupe relevée et

Hakim torse nue, le treillis sur les chevilles, grimpé sur elle ! Il l’a baisait d’une

force inouïe, d’une telle violence que j’étais impressionné, n’ayant jamais imaginé

une telle vigueur dans un acte sexuel.

Du coup, je ne savais plus comment réagir, je m’attendais à une jeune fille, sa

copine, mais pas à une femme de mon âge !

Dans le doute, je décide de me faire discret, d’attendre que cette femme soit partie

pour régler mes comptes avec Hakim.

Je retourne à ma voiture et attend patiemment qu’elle quitte le chantier.

 

Quelques minutes plus tard, la femme sort du chantier accompagné d’Hakim. Elle se

dirige vers une voiture stationnée à proximité, ouvre la voiture, sort son sac et

fouille à l’intérieur, en ressort des papiers (je n’arrive pas à distinguer de ma

position), et les remets à Hakim qui fait demi-tour et retourne au chantier, puis elle

monte dans sa voiture et démarre.

 

Je n’y crois pas ! Elle l’a payé pour l’avoir baisé !!!!

 

Il ne doute de rien ce con, il fait ça sur son lieu de travail, là je suis énervé, je

descends de voiture et me dirige rapidement vers le chantier.

 

Je rentre dans le local du RDC servant de poste de sécurité, Hakim est de dos, je lui

gueule dessus :

- C’est quoi ce bordel ! C’est qui cette femme ! Je vous est vu baisé la haut,

je vous paye pas pour vous amuser, c’est bon vous dégagez.

 

Hakim a juste tourné la tête pour m’écouter, ça n’a pas l’air de l’inquiéter plus que

ça !!!!

Sa désinvolture me met hors de moi (et me met à le tutoyer à mon tour) :

- Que tu fasses la pute, je m’en tape, mais pas ici, je ne te paye pas pour ça

 

Son regard devient noir, il se retourne pour me faire face

 

J’en crois pas les yeux, il a la bite à l’air, le blouson ouvert torse nu dessous et

s’essuie la bite avec son tee-shirt ! Mon tee-shirt, ces vêtements c’est moi qui lui

ai fournis.

 

Il se démonte pas, me regarde droit dans les yeux, arrête de s’essuyer la bite et

jette le tee-shirt à terre :

- C’est moi la pute, si ça se trouve je baise ta meuf, et c’est avec ton fric

qu’elle se fait baiser connard …

 

Je l’écoute même pas, mon regard fixe sa bite, elle est au repos, mais semble déjà

plus grosse que la mienne quand je bande.

Je me reprends tout de suite et remonte mon regard vers le sien, mais il a vu que je

matais sa bite :

- Elle te plait ma bite, putain t’es un Pd, tu va me l’a nettoyé salope

 

Moi :

- Ca ne va pas, tu rêve ou quoi

 

Hakim qui a pris sa bite en main pour bien me la montrer :

- Ferme ta gueule, regarde le morceau, je l’ais fait criée cette salope tout à

l’heure, elles aiment ma bite de rebeu vos femmes, eh ouhai Pd, les français vous ne

savez pas les baiser, allez à genoux et nettoie la.

 

Normalement j’aurais du réagir, mais je ne sais pas pourquoi, je me suis mis à genoux

devant lui, avant même qu’il termine sa phrase.

D’ailleurs ma réaction l’a fait rigoler, il m’a tiré la tête en arrière, m’a fixé et

avec un air de vainqueur m’a dit :

- C’est qui la pute, hein …. Sort ta langue, et tu me l’a nettoie bien, tu

t’arrête pas tant que tu n’as pas fini, et tu la suce pas, je ne suis pas Pd moi,

allez sors ta langue.

 

J’ai pris sa bite dans la main droite et je me suis appliqué à lui nettoyé sa bite,

plus je l’a léchais, plus elle m’excitait, j’avais une envie folle de la prendre en

bouche.

Après quelques minutes, il me reprend la tête, me regarde et dit :

- Oh c’est bon là, elle est propre, allez dégage

 

Voyant qu’il fallait arrêter, je n’ais pu m’empêcher de la prendre en bouche avant

qu’elle disparaisse dans son treillis, pourquoi, je ne sais pas, je ne semble plus

rien maitriser.

 

Mais avant même de l’avoir sentie en bouche, il me repousse violement en arrière, me

retrouvant assis au sol les mains en arrière pour ne pas tomber. Remet sa bite dans

son treillis et me dit :

- Putain t’es une vrai lope toi, si tu veux la voir en action, bien dur, amène

moi ta meuf et tu verras ce que c’est qu’un mec sale pute.

 

Il se met à rigoler, un rire suffisant et moqueur me regardant assis sur le sol face à

lui :

- Bon, la récré est terminée, tu as mon fric ?

 

Il ne perd pas le nord, je commence à reprendre mes esprits, il faut que je prenne

l’air, je lui réponds :

- Oui dans la voiture

 

Hakim :

- Qu’est t’attend, va chercher mon fric

 

Je ne lui réponds pas, et sort dehors en direction de ma voiture. L’air frais me fait

du bien, et je commence à prendre peur de se que je viens de faire.

Comment j’ais pu en arriver là ? Avec un salariés, je suis sensé être le boss, moi un

homme marié de plus de 40 ans, qu’est que j’ais fait !

Je sais qu’il ne m’a pas forcé, il n’a jamais bandé, il n’est pas Pd, il ne

s’attendait certainement pas à ce que je le prenne aux mots, c’était des paroles de

défense.

 

Il m’est déjà arrivé de sucer des hommes et de me faire prendre aussi, je ne suis pas

attiré par les hommes, mais l’idée de me sentir traiter comme une salope par un mec me

plait beaucoup, c’est même devenu un besoin obsessionnel aux cours des années. Mais

jamais avec quelqu’un que je connais et encore moins au boulot, où l’image d’un homme

viril est important de part ma fonction et mon métier, sans parler de ma position

d’homme marié.

 

Mon obligation de discrétion vis-à-vis de mes envies sexuelles avec les hommes (leurs

bites surtout) ne me permet pas d’assouvir fréquemment mon besoin, est-ce pour ça que

j’ai craqué à la vu de sa bite !

 

Quoi qu’il en soit, j’ai honte et je me demande comment me sortir de cette situation.

 

Je retourne voir Hakim et lui remet l’argent promis,

Il met le fric dans sa poche et dit :

- Ca c’est pour le boulot, eh pour ma bite ?

 

Moi :

- Comment ça pour ta bite ?

 

Hakim :

- Oh, t’as aimé me nettoyer la bite, non ? Et t’a pu la mater, tu crois que

c’est gratuit

 

Moi :

- Ok, je vais te payer, mais après ça tu oubli, personne ne doit savoir

 

Hakim semble avoir compris mon inquiétude et ça semble le surprendre :

- Pourquoi tu t’es mit à genoux devant ma bite ? T’aime ça la bite ? Vas y soit

franc, tu as fait la salope, alors répond

 

Sa voix n’était pas agressive, mais il semblait vraiment s’interroger sur mon geste,

preuve qu’il ne s’y attendait pas, ce n’était que des paroles de défense.

 

Moi, toujours aussi inquiet pour son silence vis-à-vis de mon acte :

- Promet moi que tu ne le répéteras à personne, s’il te plait ?

 

Hakim :

- T’inquiète, je ne veux pas passer pour un Pd, mais répond moi, tu t’es déjà

fait enculé ?

 

Je sens qu’il se pose vraiment des questions :

- Oui ça m’est arrivé

 

Hakim :

- Par des rebeus ?

 

Moi :

- Pas spécialement ?

 

Hakim :

- Et ma bite elle te plait, tu t’es mis à genoux direct comme une chienne

 

Moi :

- J’ai pas réfléchi, je l’ai vu, elle était grosse, tu étais agressif avec moi,

le fait que tu sois rebeu m’a excité encore plus, voilà je n’ai pas pu m’empêcher

 

Hakim ne s’attendais peut-être pas à autant de franchise, ça le fait sourire, il

s’assoie sur la chaise, me regarde et dit :

- Ok, tu veux que je ferme ma gueule, hein ! Moi je me fais du fric avec vos

meufs, mais ça ne suffit pas. Alors je te propose un deal, tu me fais un contrat temps

partiel de 10 heures par semaine, en échange, je ferme ma gueule et je te laisse me

sucer ma grosse bite ? Si tu refuse je te balance et tout le monde seras que t’es une

lope.

 

Il profite de la situation, mais je ne vois pas comment refuser

- Ok mais tu tiens parole

 

Je ne sais pas ce qu’Hakim a compris à ma réponse, je crois qu’il a compris « tu tiens

parole » pour le fait de se laisser sucer et non pour n’en parler à personne, ce que

je voulais dire par cette phrase. Et la il baisse son treillis, sort sa bite (toujours

molle), reste assis et me dit :

- On est d’accord mon pote, allez suce

 

Mmmm, j’en avais trop envie, et autant en profiter tout de suite, il était assis, sa

grosse bite en main, son blouson toujours ouvert sur son torse nu (et contrairement à

ce que j’imaginais, il était musclé sec). Je m’approche me met à genoux, mais là il me

repousse et me dit :

- Pas avec ton uniforme, j’ai l’impression de me faire sucer par un pote, j’y

arriverais pas, fout toi à poil

 

Moi :

- A poil

 

Hakim :

- Putain, tu la veux ou pas ma bite, alors à oilpé salope

 

Son regard était de nouveau noir, se faire sucer par un mec ne semblait pas lui

plaire.

 

Ne voulant pas le voir revenir sur sa proposition et en parler à tout le monde, je me

déshabille rapidement. Entièrement à poil, je me remets à genoux.

Je commence à prendre sa bite, et je la suce

 

Hakim :

- Tu bande Pd, haha, ta vu ta bite, même molle la mienne est plus grosse, je

comprends vos femme

 

Il me tire par les cheveux

- C’est bon Pd, t’aime ça la grosse bite de rebeu, hein salope

 

Moi :

- Oui, c’est bon

 

Hakim se met à rigoler sans retenu, ne me lâche pas la tête, me regarde de nouveau, me

claque la gueule et me dit :

- C’est qui le boss Pd ?

 

Moi :

- C’est toi Hakim

 

Hakim est satisfait de ma réponse :

- Eh ouhai, les temps change salope, c’est les céfrans qui obéisse aux rebeus,

hein ma pute

 

Moi :

- Oui, c’est vrai, vous êtes des vrais mecs vous les rebeus

 

Hakim :

- C’est ça grosse chienne, t’en ais une vrai toi

 

Il me remet la gueule sur sa bite, elle a durcie, elle me parait énorme et très

épaisse, je suis presque étouffé. Ca le fait marrer :

- 23 cm dans ta gueule de pute, je vais te la niker ta sa gueule de céfran

 

Il se lève sans lâcher sa pression sur ma tête et commence à me défoncer la bouche, sa

bite est grosse, j’en peu plus, j’en pleur tellement il me défonce violement, il se

défoule sur moi sans aucun ménagement.

Il stoppe sa cadence, sa bite au fond de ma gorge, je l’entends crier :

- Sale Pd

 

Et il se décharge dans ma gorge, je sens son jus. Il se retire en éjaculant et m’en

met partout sur le visage.

Il me regarde fière de lui, il rigole en m’observant plein de son jus, les larmes aux

yeux :

- AHAHAH c’est bon, hein, grosse pute

 

Il prend mon tee-shirt posé sur la table et s’essuie sa bite avec tout en me regardant

avec arrogance, Puis me jette mon tee-shirt à la figure et me dit :

- Essuie ta gueule salope

 

Ce que je fais, lui se rhabille correctement, s’approche de moi, je suis toujours à

genoux :

- Alors, rappelle moi qui c’est le boss ?

 

Moi :

- C’est toi

 

Et là il me décroche une nouvelle claque qui me met au sol et me dit :

- T’as pas intérêt à l’oublier connard, aller tu t’es fait plaisir avec ma

grosse queue, alors je me casse, tu finiras le service, hein ?

 

Moi :

- Oui je vais prendre ta place

 

Hakim :

- Ouhai c’est ça, tu m’enverras le contrat et je vais te faire comprendre qui

sont les vrais males, ahahah ça risque pas d’être les céfrans, et surtout pas toi,

sale merde, à la prochaine, tu vas déguster

 

Je vois Hakim disparaitre, je me retrouve allongé sur le sol, son jus encore en

bouche, j’aime être traité comme une salope, mais là, j’ai dégusté.

Mais j’ai adoré être une lope à rebeu, j’ai l’impression d’avoir comblé un manque et

d’être à ma place.

Quel mec, et quelle bite il l’a

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