Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
.
Juin 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | ||||||||||
2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | ||||
9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | ||||
16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | ||||
23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | ||||
30 | ||||||||||
|
Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Après avoir dit à mon père que j’étais gay, ce qu’il avait très mal pris, il m’avait attaché nu dans les toilettes d’une aire d’autoroute, les yeux bandés. Un mec m’avait pissé dessus, et ça m’avait plu.
J’ai attendu encore de longues minutes sans que rien ne se passe. Par terre, yeux bandés, trempé de pisse, mains attachées à la poignée de la porte par un tissu assez long pour me permettre de me déplacer dans la cabine des toilettes, mais trop court pour que je puisse m’éloigner.
Des pas se sont à nouveau approchés, se sont arrêtés pas loin de moi. Il y a eu un silence, une main s’est posée sur mon corps, m’a retourné, a caressé mon cul. Un bruit de fermeture éclair. J’ai senti la queue du mec contre mes fesses. Elle était molle, chaude. Il s’est frotté un peu contre moi. Le gars m’a encore retourné, vers lui cette fois. Sa queue s’est posée sur mon visage. J’ai automatiquement ouvert la bouche, et la bite est entrée entre mes lèvres. Elle avait commencé à durcir, j’ai sucé. C’était agréable, je la sentais gonfler entre mes joues, je suçais, sans réfléchir, sans me demander comment faire : c’était assez naturel.
Le type, qui était resté debout, a mis une main derrière ma tête, pour me donner le rythme. Il a commencé à baiser ma bouche, sa bite allait et venait jusqu’au fond de ma gorge, il devenait brutal. Sa queue me semblait énorme. Je n’avais pas de point de comparaison, mais je supposais qu’il était très bien monté parce que je m’étouffais, j’avais parfois des haut-le-cœur ; mais je tenais bon. Le mec gémissait, me donnait des baffes, parfois il sortait sa bite de ma bouche pour me gifler le visage avec sa queue. Il s’est mis à me parler, me traitant de salope, m’ordonnant de tirer la langue, d’ouvrir la bouche ; il maintenait sa queue enfoncée dans ma gorge, une main toujours derrière ma tête, pendant de longues secondes.
Puis il m’a ordonné : « Retourne-toi salope ! A quatre pattes ! ». J’ai obéi. Je savais ce qui m’attendait. J’avais peur, je me doutais que ça devait faire mal, mais j’en avais envie. Le type a craché sur la raie de mon cul, il a frotté sa queue raide sur mes fesses avant de positionner son gland à l’entrée de mon cul. Il a commencé à pousser. Du haut de mes 16 ans, encore tout vierge, j’étais très serré. J’ai tout de suite eu mal, j’ai crié. Le gars m’a frappé, me donnant des baffes, des fessées, m’ordonnant de fermer ma gueule. Il donnait de grands coups de bite pour la faire entrer entièrement ; de mon côté j’avais toujours mal mais je commençais à aimer ça. J’ai alors arrêté de crier pour commencer à gémir. Je ne savais pas très bien si je gémissais de douleur ou de plaisir, je crois que c’était les deux à la fois. En tout cas, le type semblait n’en avoir rien à foutre, et quand sa queue a été toute entière dans mon cul, il a aussitôt commencé des va et vient brutaux, la sortant presque entièrement pour me la remettre d’un coup au plus profond de moi, faisant claquer ses couilles contre mes fesses, râlant, haletant, me tenant fermement les hanches entre ses mains. Il continuait de temps en temps à me claquer le cul, ou à me donner des baffes, ou même à m’agripper par les cheveux pour me tirer la tête en arrière, ou au contraire pour la coller contre le sol plein de pisse. Il m’insultait toujours, me traitant de salope, de vide-couilles, de pute…
Je gémissais de plus en plus ; je me faisais défoncer par une vraie bête mais j’aimais ça. Ça n’a pas duré longtemps : au bout de deux ou trois minutes, il a crié de façon sauvage, j’ai senti sa bite gonfler encore et j’ai compris qu’il se vidait en moi. Il s’est calmé, il est resté dans mon cul quelques secondes. Je sentais son souffle sur ma nuque, je n’osais pas bouger. Il s’est ensuite retiré de mon cul, m’a attrapé la tête et m’a retourné vers lui pour m’enfoncer sa queue molle dans la bouche. Il a dit : « Lèche, nettoie-moi ça. ». J’ai léché, sucé, il y avait du sperme dessus, j’ai passé ma langue partout pour nettoyer son sexe. Son sperme avait un goût amer, un peu salé, c’était pas désagréable.
Il s’est levé, je le sentais toujours à côté de moi et j’ai entendu le bruit de son jet de pisse qui coulait dans la cuvette des toilettes. Quand il a eu fini de pisser, il a à nouveau fourré sa queue dans ma bouche. Je l’ai encore nettoyé, avalant les dernières petites gouttes de pisse. J’ai entendu le bruit de sa braguette qu’il refermait, il m’a craché dessus et est parti.
J’étais terriblement excité. Je venais de me faire baiser, par un mec que je n’avais même pas vu. Je ne savais rien de lui. Je n’avais même pas pu toucher son corps, à peine son jean quand je le suçais ; j’avais eu vaguement l’impression qu’il était plutôt costaud, et je n’en étais même pas sûr. Quel âge avait-il ? Est-ce qu’il était beau mec ? Ou très laid ? Gay ? Bi ? Peut-être même hétéro, avec juste une envie de se vider les couilles… Et le précédent, celui qui m’avait pissé dessus sans même me toucher ? Je ne savais rien de ces deux mecs, qui m’avaient soumis, humilié, et dont l’un avait été le premier à me baiser. Je ne savais qu’une chose : tout ça m’avait plu.
J’en étais là de mes réflexions, quand j’ai entendu des voix à l’extérieur :
— Hé Roger ! Je vais pisser, et on reprend la route ?
— Ok ! Grouille, on est pas rendu !
A nouveau, des pas. Une braguette qui s’ouvre, un jet de pisse, dans un urinoir probablement… La braguette qui se referme. Des pas… qui s’arrêtent brusquement. Un silence.
— Roger ! Viens voir ça !
— Quoi ? Putain magne, qu’on reparte !
— Viens, je te dis !
Le fameux Roger entre à son tour dans les toilettes.
— Oh putain, c’est quoi ça ?
— Je crois que c’est un petit pédé qui veut de la bite.
— Ben je vais lui en donner, moi ! Tu nous laisses ?
— Ok, tu me préviens quand t’as fini ?
— Ouais, ouais.
Le premier type sort. Roger s’approche de moi. Je ne le vois pas, évidemment, les yeux aveuglés par mon bandeau. Il me parle :
— Ben alors petit pédé, qu’est-ce que tu fous là ? T’as envie de te faire mettre ? Tu veux ma bite ?
Je fais « oui » de la tête. J’entends sa braguette s’ouvrir, il s’approche encore, j’ouvre la bouche. Il fout sa queue toute molle dans ma bouche. Elle pue, un mélange de pisse et de sueur, elle est courte et fine, je sens des tas de poils à la base. Mes deux mains sont toujours attachées l’une à l’autre par le tissu accroché à la poignée de porte, mais je les monte machinalement à ses couilles pour les caresser. Elles sont très poilues. Ses cuisses sont énormes ; je sens son gros ventre contre mon crâne. Sa queue durcit dans ma bouche, il place une main derrière ma tête pour m’imposer son rythme. Sa petite bite ne me donne pas de mal à la sucer, et très vite l’odeur et le goût dégueulasses disparaissent. Je pense alors que j’ai dû déjà avaler toutes les traces sales qui trainaient sur cette queue, et cette pensée me dégoûte et m’excite à la fois. Il ne dit rien, mais j’entends son souffle s’accélérer, et un liquide épais et chaud m’envahit la gorge. Il jouit dans ma bouche. J’avale tout, en le suçant toujours. Il débande, je lèche encore un peu mais il se retire déjà. Il s’éloigne. J’ai encore le goût de son sperme sur ma langue. J’espère que son ami viendra le remplacer.
Ça ne loupe pas : j’entends ses pas qui s’approchent. Il m’attrape par les cheveux, lève mon visage vers lui, enlève mon bandeau. Mes yeux mettent une ou deux secondes à s’habituer, je le distingue : il est grand, au moins 1m80, costaud, musclé sous son marcel, avec un peu de ventre. Il est assez poilu. Je lui donne une bonne quarantaine d’années, peut-être pas loin de 50. Il n’est pas moche, mais pas vraiment beau : son visage n’inspire pas confiance. Il sourit, d’un sourire cruel. Il se racle la gorge et me crache un gros mollard sur le visage, ça coule sur mes lèvres et dans mon cou. Il me parle :
— T’as l’air d’être une bonne salope toi ! T’as quel âge ?
— 16 ans.
— Qui est-ce qui t’a attaché là ?
— Mon père.
— Putain c’est une famille de pervers ça ! Tu te fais baiser par ton père ?
— Non.
— Alors pourquoi il t’a mis là ?
— Pour me punir d’être gay.
— Ah ouais ? Ben je vais te punir alors… Allez, ouvre la bouche, salope !
Je lui obéis, il sort sa queue, pas extrêmement longue, 16 ou 17 centimètres a priori, mais très épaisse, et déjà en érection. Il me la fourre direct dans la bouche, et je commence à le sucer. Mais il ne me laisse pas vraiment faire : il me donne des baffes, me tire les cheveux, me crache dessus, m’insulte, parfois il sort sa queue de ma bouche, me frappe avec… Je me fais malmener dans tous les sens et ça m’excite tellement que je gémis sans cesse. Il est lui aussi très excité, il me coince la tête contre le mur et me baise la bouche sans ménagement, enfonçant sa queue au plus profond de ma gorge ; j’en ai les larmes aux yeux, j’ai envie de vomir, j’étouffe, mais il s’en fout complètement.
Au bout d’un moment, il me lance :
— Allez, j’en ai marre de te niquer la gueule. Je vais m’occuper de ton cul.
Et il me donne un grand coup de pied qui me renverse. Je m’affale par terre. Il me redresse, me tenant entre ses bras, me fait mettre à quatre pattes. J’ai la tête pratiquement dans la cuvette des toilettes, une odeur épaisse de pisse m’envahit les narines. Il commence à me doigter le cul.
— T’es toute humide, la pute ! Tu t’es fait baiser ?
— Oui, tout à l’heure.
— Par qui ?
— Je ne sais pas, je ne l’ai pas vu.
— Un inconnu ? Il t’a bien rempli la chatte en tout cas. C’est bien, ça sera plus pratique pour te baiser.
Il positionne alors son gland contre mon trou et m’enfonce aussitôt sa queue toute entière dans le cul. Malgré ma baise de tout à l’heure, je suis toujours serré et j’ai très mal. Je hurle, alors il m’attrape par les cheveux et m’enfonce la tête dans la cuvette. J’ai le visage dans l’eau pisseuse, je ne peux plus respirer, et surtout je ne peux plus crier. J’essaie de me débattre, mais j’ai toujours les mains liées l’une à l’autre sous mon ventre, et le poids du mec sur mon corps : je suis incapable de lutter. Après quelques secondes, il me sort la tête de l’eau :
— Alors salope, t’as fini de gueuler ?
Je gémis douloureusement :
— Oui, oui !
Il commence alors à me pilonner, brutalement, faisant coulisser sa large queue dans mon trou, me frappant toujours les fesses, et m’insultant sans cesse. Je m’y habitue rapidement et je couine comme une femelle, cambrant naturellement mon cul pour mieux le lui offrir. Il m’a baisé comme ça pendant dix bonnes minutes, avant de se mettre à pousser de longs râles rauques en se vidant dans mes entrailles.
— Ah salope c’est bon ! T’as un bon cul, putain !
Il a retiré sa bite, l’a essuyée sur mes fesses.
— Comment tu t’appelles, la pute ?
— Luc.
— Ton père te fait souvent baiser comme ça ?
— C’est la première fois.
— Ok. Je vais te laisser un mot à lui donner. Je te préviens, si tu lui donnes pas et que je te retrouves, je te frappe ! C’est compris ?
— Oui. Je lui donnerai.
Il a rapidement écrit un petit mot sur un papier qu’il a sorti de sa poche. Il a posé le papier sur le réservoir de la chasse d’eau.
— Fous ta gueule dans la cuvette, en la tournant de profil vers moi.
J’ai obéis. Il m’a alors pissé sur la tête. Machinalement, j’ouvrais la bouche pour avaler un peu de sa pisse. Quand il a eu terminé de se vider la vessie, il a tiré la chasse, ma tête toujours dans la cuvette, me nettoyant au passage le visage et les cheveux.
Il est parti aussitôt, sans un mot de plus. Je me suis précipité sur le papier qu’il avait laissé : « Si t’as besoin de punir ton fils, je suis là. C’est une bonne pute et j’ai souvent besoin de me vider les couilles ». Et son numéro de portable qui suivait.
A suivre…
Tyron Bang se fait défoncer le cul par une teub black hors normes
Tyron Bang a l’habitude de gérer des grosses teubs mais cette fois-ci il a du mal à se prendre celle de CutlerX dans le cul. Et on comprend pourquoi quand on voit la taille de l’engin ! Read More...
Après avoir appris mon homosexualité, mon père a voulu me punir. Il m’a attaché nu dans des toilettes publiques, où plusieurs mecs ont abusé de moi. Voyant que cela ne suffisait pas à me détourner des hommes, mon père m’a livré à un routier qui m’a emmené dans son camion. Arrivés sur une aire d’autoroute, Georges, le routier, m’a passé une laisse autour du cou et m’a traîné dans les bois.
Georges marchait devant moi, la laisse à la main. Je le suivais, docile, la tête baissée pour voir où je posais les pieds : j’étais nu, je ne voulais pas me blesser sur une pierre ou un bout de bois. Je distinguais des silhouettes dans les bois, des ombres. Soudain, Georges s’est retourné vers moi.
— À genoux, la pute.
J’ai obéi. Georges a attaché ma laisse à la branche d’un arbre puis il s’est éloigné. J’ai attendu plusieurs minutes. Un homme est passé devant moi, une trentaine d’années, de taille moyenne, mince. Il m’a regardé, est parti, puis est revenu. Il a commencé à me tripoter. Georges ne m’avait pas donné d’indication, alors je l’ai laissé faire. Il m’a caressé le cul, puis il a sorti sa bite raide pour que je le suce. J’ai sucé, il ne disait rien, il me laissait faire. Il a fermé les yeux, j’ai pris appui sur ses cuisses pour mieux le pomper. Sa queue était très longue, moins épaisse que celle de Georges mais assez large tout de même. Rapidement, il a commencé à gémir, et soudain j’ai senti son sperme envahir ma bouche. J’ai gardé ce sperme sur ma langue tout en continuant à sucer jusqu’à ce qu’il débande complètement. J’ai avalé, je l’ai sucé encore pour tout nettoyer. Il a remballé sa queue, m’a donné une petite tape sur la tête, m’a souri et s’est barré.
Plus rien pendant quelques minutes encore. Georges est revenu, accompagné de deux types, deux rebeus assez jeunes, peut-être 20 ou 25 ans, en joggings et casquettes. Des racailles, quoi ! Georges me dit :
— T’as eu de la visite ?
— Oui. Un homme.
— Il t’a fait quoi ?
— Je l’ai sucé.
— C’est bien. T’as avalé ?
— Oui.
— Bien. Maintenant tu vas t’occuper de ces deux là.
Georges prend appui contre un arbre, pendant qu’un des deux jeunes mecs s’approche de moi. Je sens que j’ai déjà pris de l’assurance : j’ouvre la bouche, je sors ma langue, j’attends sa bite. Il la sort, elle est encore molle, il la fourre dans ma bouche. Elle est circoncise, ça me fait drôle, je n’en avais jamais vu. Je le suce, rapidement il bande, il est très bien monté. L’autre mec est resté en retrait, il fume une cigarette. Le mec que je suce me parle :
— Caresse-moi les couilles salope ! Vas-y, suce ! Suce ! C’est bien, t’es une bonne pute. Prends-la toute entière. Ouais… Putain de salope…
Ses mots m’excitent. Je me mets à le pomper comme une vraie petite pute soumise, j’ai un peu de mal parfois, il en a vraiment une très grosse. Parfois il me bloque la tête pour maintenir sa queue enfoncée dans ma gorge, mais ça aussi je commence à m’y habituer. Je reste calme, ça me permet de tenir un peu plus longtemps sans respirer. Il me frappe au visage, me tire les cheveux, il s’excite dans ma bouche. Fermement, il me retourne : je me retrouve à quatre pattes, le cul tendu vers lui. Il crache sur ma raie, passe un doigt :
— Tu t’es déjà bien fait niquer, salope !
Je sens alors son gland qui force le passage. Je suis surpris de constater que sa queue a du mal à me pénétrer : Georges m’a pris il y a à peine une demi heure, et sa queue est très large. J’avais imaginé que le suivant pourrait entrer en moi très facilement. Qu’à cela ne tienne, le mec force jusqu’à ce que son gland soit bien entré en moi, puis, progressivement, il me pénètre de toute la longueur de sa queue. Je gémis déjà, un peu de douleur et beaucoup de plaisir ; je regarde le deuxième jeune mec qui termine sa cigarette. J’ai très envie d’avoir sa queue dans ma bouche alors je passe ma langue sur mes lèvres en le regardant dans les yeux. Voyant cela, il vient vers moi, sors sa bite. Il bande déjà, voir son pote me baiser a dû l’exciter ! Sa queue est moins longue et moins large que celle de son pote. Il est circoncis, lui aussi.
Je me retrouve avec une bite dans la bouche et une autre dans le cul. Tous les deux me défoncent sauvagement, celui qui m’encule est très bavard, il m’insulte sans cesse, me frappe violemment les fesses ; l’autre se contente de me tenir la tête pour me forcer à prendre sa queue en fond de gorge, de temps en temps il la sort d’entre mes lèvres pour me gifler avec.
Celui qui m’encule finit par jouir en moi. Il se retire aussitôt et s’adresse à l’autre :
— Tu veux lui niquer le boule ?
— Ouais.
Ils échangent leurs places. Celui qui m’enculait vient me donner sa bite à lécher pendant que le deuxième me défonce d’un coup. Cette fois, aucune douleur. Je sens bien que je ne suis pas complètement ouvert, mais je n’ai pas mal. Je lèche soigneusement la bite du premier, son sperme a très bon goût. Je passe ma langue partout pour ne pas en perdre une goutte. Derrière moi, son pote jouit très rapidement, me remplissant lui aussi le cul. Mais lui ne vient pas se faire nettoyer la bite, il remballe très vite son engin et se casse aussitôt, suivi par l’autre.
Georges s’approche alors de moi :
— Alors petite pute, tu te sens comment ?
— Je me sens bien.
— Ah ouais ? T’as kiffé te faire mettre ?
— Oui. Et sucer aussi.
— T’es vraiment une salope, toi… Et ton père qui veut te faire changer… Je crois qu’il n’y a aucun espoir de ce côté-là ! Allez, viens.
Il reprend ma laisse en main et m’entraîne à sa suite. On se dirige à nouveau vers le parking de l’aire d’autoroute. En chemin, on croise un mec qui pisse contre un arbre. Il est en costume, il doit avoir une cinquantaine d’années, il a des cheveux gris. Il tourne la tête vers nous, il n’a pas l’air surpris et son jet s’arrête. Georges me dit :
— A genoux. La gueule en arrière, bouche ouverte.
J’obéis. Georges s’adresse alors au type :
— Si ça vous tente… Faut pas hésiter.
Le mec hésite quand même ; finalement il vient vers moi, dirige sa queue vers mon visage et se remet à pisser. Il vise bien : j’en prends plein dans ma bouche ouverte. Ça déborde, ça coule sur mon visage, dans mon cou, et sur tout mon corps. On dirait que le jet ne va jamais s’arrêter. Ça finit quand même par s’arrêter. Le type commence à remballer sa bite, mais Georges l’interrompt :
— Vous voulez pas qu’il vous suce ? Ou le baiser ?
— Heu non. Je suis pas attiré par les mecs, désolé.
— C’est pas un mec, c’est juste une pute. Et elle attends que ça.
— Il est trop jeune.
— Il a que 16 ans, mais c’est déjà une belle salope.
— Non, désolé. Mais merci quand même.
— Si vous voulez pas le toucher, vous pouvez juste vous branler et lui gicler dessus.
— Pourquoi pas… Mais il est d’accord ?
— Mais oui, il adore ça je vous dis. Et de toute façon, il est à mes ordres, il fait ce que je lui dis.
Ça semble exciter le gars qui commence à se caresser. Je reste à genoux, la bouche ouverte et la langue tendue. Il se branle devant moi, sa queue est à quelques centimètres de mon visage. Il s’arrête soudain :
— Retourne-toi, que je mate ton cul.
J’obéis. Il ne me touche toujours pas mais se masturbe toujours, à quelques centimètres de mes fesses maintenant. Le rythme de sa respiration s’accélère, et il jouit, déversant tout son sperme sur mon cul. C’est chaud, ça coule le long de ma raie. J’aime. Le type range sa bite, il a l’air honteux. Il doit regretter de s’être laissé tenter par un mec, de mon âge en plus. Georges vient à côté de moi :
— Tu vois, t’es un vrai vide-couilles maintenant. Quand tu croises un mec, ton job c’est de le vider. Tu sers qu’à ça. Je crois que tu changeras pas, ton père va être déçu. Mais tu vas faire le bonheur des hommes !
J’ai souri. Petit à petit, je prenais conscience de ce fait : j’aimais être à la disposition des hommes. Ce soir, j’avais été humilié, pris, baisé et jeté, j’avais eu la bouche et le cul rempli, et personne n’avait même eu l’idée de chercher à me donner du plaisir. Et ça m’avait plu.
Nous sommes retournés au parking. Georges m’a fait prendre une autre douche ; puis dans le camion j’ai dû à nouveau le sucer et avaler son sperme, puis nous avons roulé jusqu’à chez moi. Avant de me laisser, Georges m’a enculé et a jouit dans mon cul. Il m’a rendu mes vêtements et s’est gentiment assuré que j’étais bien rentré dans l’immeuble. Il m’a même fait un sourire.
A suivre...
et voila oui suis enfin en vacance mes je suis la pour vous mon blog et pas en vacance lui lol
biz a tous babaslebatard
Derniers Commentaires