Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Juin 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Après avoir appris mon homosexualité, mon père a cherché à m’en détourner en me livrant à des mecs vicieux qui ont abusé de moi, m’ont soumis et humilié. Voyant que j’en redemandais, mon père a décidé de profiter de la situation en me louant à des hommes dans un sex-shop, tenu par Xavier.
Après la soirée au sex-shop, mon père et moi sommes rentrés sans parler. J’étais toujours aussi excité, j’avais envie de queues, mais je ne savais pas comment en trouver tout seul. Pendant presque une semaine, j’ai dû m’en passer. Mon père n’était presque jamais à la maison, son travail lui prenait beaucoup de temps. J’étais en manque. J’ai fini par prendre mon courage à deux mains pour lui demander quand il me ramènerait dans cet endroit. Il a sourit :
— T’as envie d’y retourner ? T’es encore pire que ce que j’imaginais. Mais ça me fait du fric, alors prépare-toi, on y retourne demain soir.
Le lendemain, pendant les cours, je ne pensais qu’à ça. J’étais tellement excité qu’à midi, au lieu d’aller déjeuner à la cantine, je me suis précipité aux toilettes pour me branler. Je suis entré dans une cabine, j’ai baissé mon jean et j’ai commencé à me masturber en me caressant le trou. J’ai entendu du bruit à côté, des gémissements : c’était clair, quelqu’un d’autre se branlait dans la cabine voisine ! Je me suis penché pour regarder sous la cloison : c’était un garçon de mon âge, mais d’une autre classe, qui se masturbait. Il avait une belle queue, qu’il faisait aller et venir dans sa main. Ça m’excitait encore plus ! Soudain, il a baissé les yeux et m’a aperçu. Il s’est arrêté quelques secondes, surpris. Comme je ne bougeais pas, il s’est remis à se branler en me souriant. Très vite, il a jouit. C’était impressionnant ! Son sperme a jailli en grande quantité, s’est écrasé sur la cloison, a coulé par terre. Il s’est essuyé la bite et est sorti. Je suis alors entré dans sa cabine, je me suis agenouillé et j’ai léché son sperme sur le mur et sur le sol. C’était délicieux. Je me suis masturbé en avalant ce foutre. Quand je suis enfin rentré chez moi, mon père n’était pas là. J’étais déçu, j’avais tellement hâte qu’il m’emmène au sex-shop ! J’ai trouvé un mot dans la cuisine : « Luc. Va sans moi au sex-shop. Xavier s’occupera de toi. ». Mon frère était dans le salon. Est-ce qu’il avait lu le mot ? Depuis le début, il avait l’air de savoir ce qui se passait. Je ne lui avais parlé de rien, et je voyais mal mon père lui expliquer la situation. Malgré tout, il avait forcément compris qu’il se passait quelque chose. Et là, ce mot, qu’il avait dû lire (il était posé en évidence sur la table), était assez explicite. J’ai pris le bus pour aller au sex-shop. En arrivant, Xavier m’a reconnu. Il m’a accueilli avec un grand sourire, et m’a fait la bise.
— Salut toi ! Tu vas bien ?
— Oui, merci.
— Je t’ai préparé les mêmes vêtements que la dernière fois. Va te préparer.
Je me suis changé dans une petite pièce attenante. J’ai enfilé le jock-strap et le t-shirt déchiré aux seins. Quand j’ai retrouvé Xavier, il avait l’air ravi :
— T’es superbe ! T’as eu un succès fou la dernière fois. Je me suis fait pas mal de fric grâce à ton père, tu sais ! Et lui aussi, d’ailleurs. Ça te va, tout ça, au moins ? T’as déjà pas l’âge légal pour entrer ici, en plus j’ai pas le droit de cautionner la prostitution… Alors faudrait pas qu’avec tout ça tu sois pas consentant !
— Non, non, ne vous inquiétez pas. Je suis d’accord.
— Cool ! Bon, écoute j’ai pas vraiment le temps de descendre avec toi, alors tu fais comme la semaine dernière, sauf que c’est à toi d’annoncer les tarifs. Tu prends l’argent avant de baiser, et si un mec profite de toi sans payer, tu viens me voir aussitôt, je m’occuperai de son cas. Ok ?
— Ok.
Je suis descendu. Il n’y avait pas beaucoup de monde, alors je me suis promené dans les couloirs. Dans les cabines, j’ai bien croisé quelques mecs qui se masturbaient, mais aucun n’a fait attention à moi. Je ne savais pas comment les aborder. Pourquoi, quand mon père était là, les mecs sentaient-ils de façon si évidente qu’il y avait du cul dans l’air ? J’étais habillé comme une pute, et depuis 10 minutes que je marchais dans ces couloirs, personne n’était venu m’accoster. Je suis passé devant un miroir, et j’ai compris. Malgré mon t-shirt trop court et mon cul à l’air, j’avais l’air terriblement sage. Avec ma petite mèche sur le front, mes grands yeux innocents, ma petite taille et mon corps menu, j’avais plus l’air d’un petit garçon perdu que d’une pute à prendre. Je repensais à mon père, à sa gueule de voyou, à ses bras tatoués… Lui, dans cet endroit, il se fondait dans le décor. Moi, j’avais l’air d’attendre mes parents pour rentrer !
J’ai décidé de faire comprendre aux hommes pourquoi j’étais là. Je suis entré dans une cabine, je me suis mis à 4 pattes, j’ai cambré mon cul en écartant les cuisses, j’ai posé ma joue par terre, entre mes mains. Par la porte ouverte, les mecs qui passeraient pourraient voir mon jock-strap, mon cul tendu, et comprendre aussitôt qu’il n’y avait plus qu’à venir s’y vider.
Ça a très bien marché ! J’étais là depuis à peine 30 secondes quand des mains m’ont caressé les fesses. J’ai bougé mon cul, un doigt s’est enfoncé en moi, je gémissais déjà. Le type est venu face à moi, sa queue était sortie, je l’ai prise en bouche. Que c’était bon ! Je n’y avais pas eu droit depuis une semaine. Il n’était pas très bien monté, seul son gland était assez gros. Je l’ai sucé avidement, il prenait ma tête dans ses mains pour m’imposer un rythme soutenu, je sentais sa bite qui allait de venait dans le fond de ma gorge, ses couilles poilues contre mon menton, son odeur de mâle… J’étais terriblement excité. Autoritaire, l’homme m’a retourné brutalement et a promené sa queue sur ma raie avant de positionner son gland contre mon trou. Il a essayé de me pénétrer, mais ça ne passait pas. Il m’a frappé les fesses, a craché sur ma raie, a étalé sa salive avec son gland, puis a recommencé. Ça rentrait mieux cette fois, mais j’étais toujours serré. Je l’ai senti passer ! Je serrais les dents, j’avais mal mais j’en avais tellement envie ! Il m’a limé avec rage, ça n’a pas duré longtemps : j’ai senti ses mouvements s’accélérer jusqu’à ce qu’il me remplisse en râlant. Il s’est retiré, j’ai voulu lui lécher la bite mais il l’avait déjà rentrée dans son pantalon. Je l’ai enfin vu : un homme d’une petite trentaine d’années, petit, trapu. Pas vraiment beau, mais pas repoussant non plus. Je m’en foutais : je m’étais fait baiser, c’est tout ce que je voulais. Il est parti.
Je me suis alors rendu compte que je ne lui avais pas demandé de payer. Tant pis. Après tout, moi, je ne voulais pas d’argent. J’ai repris ma pose.
Quelques minutes plus tard, une nouvelle queue s’est enfoncée en moi. Je n’ai même pas eu à sucer, le mec m’a pris direct, sans rien dire. Il m’a limé de longues minutes avant de se retirer pour jouir sur mon cul. Je sentais son sperme chaud couler sur mes fesses, sur mes cuisses. J’ai passé ma main pour en récolter une partie et me lécher les doigts. J’ai ensuite sucé un jeune type, il devait avoir à peine plus de 20 ans. Sa tête me disait vaguement quelque chose. Il a jouit dans ma bouche. Puis deux autres hommes m’ont pris, en même temps : j’en suçais un pendant que l’autre m’enculait, puis inversement. C’était trop bon ! Je me déchainais sur leurs queues, qui étaient très larges et assez longues. Ils ont jouit ensemble dans ma bouche, alors que j’étais allongé sur le dos.
Enfin, un type m’a payé. Il n’a même pas demandé les tarifs, il m’a baisé et a éjaculé au fond de mon cul avant de partir en me jetant trois billets de 20 euros. Je suis aussitôt remonté les donner à Xavier. Il a eu l’air surpris :
— C’est tout ? Ça fait plus de deux heures que t’es en bas, et tu me rapportes 60 euros seulement ?
— Ils n’ont pas tous payé.
— Je t’avais dit de monter me voir quand un mec refusait de payer !
— C’est ma faute. J’ai oublié de leur dire qu’il fallait payer.
Il en est resté interdit. Il me regardait avec de grands yeux, stupéfait.
— Tu as oublié ? Mais… Ils t’ont baisé, ou pas ?
— Oui.
— Mais je… Pourquoi tu les as laissés faire ?
— Ben… Parce que j’en avais envie.
— T’en avais envie ? Vraiment ?
— Oui.
— T’as 16 ans, t’es mignon comme tout, et t’as ENVIE de te faire baiser par des mecs qui ont deux ou trois fois ton âge dans une cabine de sex-shop ?
— Oui.
— Je pensais pas que t’étais aussi salope ! Je croyais que tu faisais ça parce que vous aviez besoin de fric.
— Non. Je ne sais pas si mon père a besoin d’argent, mais moi je le fais parce que j’aime ça.
— C’est encore mieux alors ! Je culpabilisais un peu, pour être honnête. C’est pas la première fois qu’il y a de la prostitution ici, mais j’avais jamais vu un mec aussi jeune le faire. J’étais persuadé que ton père t’obligeait.
— Il m’oblige, mais je suis content qu’il le fasse. Mais je ne dois pas trop lui dire, ça le met en rage que je sois gay.
— T’es plus que gay là… Tu sais que ça commence à me faire bander ? Je suis pas pédé pourtant !
— Vous voulez que je vous suce ?
— Non, ça va. Je baise pas avec des mecs. Même si t’es très mignon. Bon, je dirai pas à ton père que t’as oublié de te faire payer. Je lui dirai qu’il n’y avait presque personne ce soir, mais que t’as réussi quand même à sucer 3 mecs. Ça fait 60 euros. J’en garde la moitié, tu peux rapporter le reste chez toi.
— Je peux rester un peu ?
— Ouais, bien sûr ! Eclate-toi. Mais si t’arrives à faire payer les gars, c’est mieux, hein !
— Je vais essayer. A tout à l’heure !
Je suis redescendu. J’ai encore passé une bonne heure à sucer et à me faire prendre par n’importe qui. Je m’amusais beaucoup, je me sentais bien. J’avais envie de passer ma vie ici. Quand j’ai retrouvé Xavier, il était minuit passé.
— Ça va ? Pas trop fatigué ?
— Si ! Mais c’était trop bien !
— J’ai un très bon pote à qui tu plairais beaucoup, tu sais. Tu veux le rencontrer ?
— Bien sûr ! Maintenant ?
Il a éclaté de rire.
— Maintenant ? Même fatigué, t’as encore envie de te faire mettre ? T’es vraiment une salope !
— Je suis un peu fatigué, mais j’ai toujours envie.
— Il ne vit pas ici. Je lui parlerai de toi, ça lui donnera envie de venir.
— Quand vous voulez !
— Tu sais, on pourrait faire quelque chose pour lui donner envie de venir vite… Tu t’es déjà fait filmer ?
— Oui, pour des films de vacances.
— Non, je veux dire… T’as déjà été filmé pendant que tu baisais ?
— Non, jamais.
— On va essayer alors. Ça te tente ?
— Bien sûr !
— Redescends, alors. Mets-toi dans la cabine 5, et attends qu’un mec vienne.
— Il me filmera ?
— Non. J’ai installé des caméras de sécurité dans le sous-sol, l’une d’elles donne directement sur cette cabine. Tout sera enregistré, et d’ici je pourrai faire des gros plans sur toi.
— J’y vais !
Je me suis installé dans la cabine. Un mec n’a pas tardé à passer et repasser devant la porte ouverte ; voyant que j’étais tout disposé à l’accueillir il a finit par me rejoindre. Il était très mignon, viril, large d’épaules. Je lui donnais 28 ou 29 ans.
— Salut… Ça te dit de me pomper ?
Pour toute réponse, j’ai défait sa braguette. Agenouillé devant lui, j’ai pris sa grosse queue dans ma bouche et l’ai rapidement fait durcir. Il semblait apprécier, il dirigeait le rythme et me donnait des baffes à répétitions. Il s’est mis à me gifler avec sa queue, puis a descendu une main jusqu’à mon cul pour me doigter. En pensant au film, j’étais très excité. J’ai levé les yeux vers la caméra que j’ai vue au dessus de ma tête. Je me suis cambré pour lui faire comprendre que mes fesses étaient à sa disposition, mais il avait envie de profiter de ma bouche. Tout en me doigtant férocement, penché par-dessus moi, il s’excitait dans ma gorge. Il m’a finalement bloqué la tête contre ses couilles, sa queue bien enfoncée dans ma bouche, et a joui. Je n’ai même pas senti le goût de son sperme qui est tombé directement dans mon estomac. Il m’a tapoté la tête, comme à un gentil chien, a remballé sa bite et est parti.
Je suis remonté voir Xavier, qui avait l’air ravi :
— C’était parfait ! T’as assuré.
— Mais il ne m’a pas baisé.
— C’est pas grave, rien qu’avec ça on voit que t’es une bonne pute.
— Vous croyez que ça plaira à votre ami ?
— J’en suis certain. Même à moi, ça m’a plu, c’est pour te dire !
J’ai jeté un coup d’œil vers son entrejambe. On devinait la forme de sa queue en érection à travers son pantalon. J’ai souri :
— Ça vous a excité ? J’aimerais bien la voir.
— Petite salope… Ok, je te la montre, mais c’est tout ! Je suis hétéro, oublie pas !
Il a défait sa ceinture et sa braguette. Sa queue a surgit. Elle était magnifique ! Une bonne vingtaine de centimètres, très large, bien droite. Deux lourdes couilles, un gland énorme… J’en avais très envie ! J’ai avancé une main pour la caresser, mais Xavier ne m’a pas laissé faire :
— Pas touche ! Ton petit film m’a excité, parce que t’as bien fait ta pute, mais je veux pas aller plus loin. Au fait, je te donnerai une copie, si tu veux.
— Oui, je veux bien !
— Rentre chez toi maintenant. Il est tard. J’appellerai ton père pour lui expliquer pourquoi t’as pas plus de fric.
Je suis rentré me coucher. J’avais hâte de goûter à de nouvelles bites. Celle de Xavier a hanté mes rêves toute la nuit.
A suivre…
Après avoir appris mon homosexualité, mon père, homophobe, a cherché à m’en détourner. Il m’a ainsi livré à des pervers qui ont abusé de moi. Voyant que ça ne me dégoûtait pas, il m’a prostitué dans un sex-shop tenu par un de ses amis, Xavier. Celui-ci m’a filmé en train de sucer un homme.
Au lycée, je continuais à fantasmer sur tous les garçons que je croisais. Il m’arrivait de rencontrer celui dont j’avais léché le sperme dans les toilettes, mais nous ne nous parlions jamais. J’allais très souvent me masturber, en imaginant que je suçais un prof, que je branlais le concierge, ou qu’un mec de ma classe me baisait… Je ne pensais plus qu’à ça. Heureusement que j’avais eu de très bonnes notes toute l’année, parce qu’arrivé en juin, je ne travaillais plus beaucoup.
Un vendredi après-midi, mon père est venu me chercher. J’étais en cours d’histoire, quand un des pions est entré dans la classe pour me dire de prendre mes affaires et de le suivre. Arrivé à l’accueil, j’ai vu mon père, en train de discuter avec le concierge. Celui-ci m’a regardé bizarrement, avec un sourire étrange. Mon père m’a dit :
- Tu ne vas pas en cours cet après-midi. J’ai parlé avec ton professeur principal, c’est arrangé.
- Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?
- Je t’emmène à l’hôpital.
J’ai paniqué. Est-ce que quelqu’un de ma famille était malade ? Est-ce que je devais subir des examens ? Est-ce que quelqu’un allait mourir ? J’ai suivi mon père. Dans la voiture, je l’ai assailli de questions :
- Qu’est-ce qui se passe ? Quelqu’un est mort ?
- Mais non.
- Pourquoi on va à l’hôpital ?
- On ne va pas à l’hôpital !
- Ah bon ? Mais… Tu as dit que… Mais, on va où, alors ?
- Chez un client. Je pouvais pas dire à tes profs que tu fais la pute, ils auraient appelé les services sociaux. J’ai quand même fait comprendre au concierge que t’aimais la queue, il a l’air vicieux alors y a pas de risque qu’il me pose de problème.
- …
- Au fait, Xavier m’a montré ta vidéo. Ça m’a donné des idées. Comme t’as ramassé que 60 euros au sex-shop la dernière fois, je vais faire un site internet pour te trouver des clients.
L’idée m’a tout de suite plu. Un site consacré à moi ! Un site sur lequel des hommes vicieux pourraient s’exciter grâce à moi ! C’était génial ! Mon père a continué :
- J’ai demandé à ton frère de s’en occuper, il se débrouille bien avec les ordinateurs.
- Christophe ? Il est au courant ?
- Au courant de quoi ?
- Ben… que…
- Que quoi ? Dis-le !
- Que je… que je suis gay.
- Que t’es une pute, tu veux dire, oui ! Bien sûr qu’il est au courant, tu crois que ça se voit pas quand tu reviens couvert de sperme ?
Je n’ai pas osé répondre. Après avoir roulé quelques minutes, nous sommes sortis de la ville. Nous avons traversé la banlieue, puis la campagne. Ça n’en finissait pas. J’ai fini par m’endormir.
Quand je me suis réveillé, nous étions garés devant une jolie maison assez isolée. Il était 18 heures. Autour de moi, il y avait des champs, un petit bois tout proche, une ou deux maisons à quelques centaines de mètres. J’étais seul. Mon père est alors sorti de la maison, accompagné d’un homme d’une cinquantaine d’années, très grand. Je l’ai détaillé quand ils se sont approchés : des cheveux poivre et sel, un peu de ventre mais une certaine prestance, un visage carré, buriné, mais souriant. Mon père m’a ouvert la portière :
- Je reviendrai te chercher dimanche soir. T’as intérêt à bien obéir à ce monsieur.
Il a pris le volant et est parti. Le « monsieur » m’a invité à le suivre. La maison était bien décorée, elle avait l’air assez grande.
- Tu t’appelles Luc, c’est ça ?
- Oui, monsieur.
- Tu peux m’appeler Gérald. Installe-toi. Tu veux boire quelque chose ?
- Non, merci.
Je me suis assis sur un canapé. Gérald s’est assis à côté de moi.
- Tu n’as pas froid ?
- Non.
- Alors déshabille-toi. Je veux que tu restes nu tout le week-end.
Pendant que je me déshabillais devant lui, Gérald me parlait toujours :
- Ne t’inquiète pas. Je ne suis pas méchant. Je ne te ferai pas de mal. Mais il faudra être gentil avec moi. J’ai donné beaucoup d’argent à ton père pour t’avoir pendant deux jours. Tu devras faire ce que je veux, dès que je le demande. Tu auras à manger, je te prêterai une chambre, où tu auras le droit de te reposer. Tu as un très joli corps. Tout mince. Et sans poil. Tu te rases ?
- Non.
- Tu as quelques poils au dessus du sexe, tout de même. Et entre les fesses ? Montre-moi.
Je me suis penché en avant. Il a écarté mes fesses, les a caressées.
- Même là, tu es imberbe… C’est très agréable. Très beau.
Il s’est levé, a appuyé sur mes épaules. Il a sorti sa bite de son pantalon. Machinalement, j’ai ouvert la bouche. Sa queue était de taille moyenne, assez épaisse quand même. Je l’ai sucé. Elle sentait un peu la pisse. Il me donnait des petites tapes sur la tête. Sa queue entrait toute entière dans ma bouche sans problème. Je l’ai sucé tranquillement, il n’avait pas l’air pressé, ses gestes étaient plutôt doux. Il se penchait pour caresser mon corps, pour me mettre un doigt, parfois il essayait de me branlait mais je n’aimais pas trop ça, il me faisait un peu mal. Ça a duré une dizaine de minutes, puis il a pris mes cheveux, m’a tiré la tête en arrière en se branlant de sa main droite. Il a éjaculé sur mon visage, une partie de son sperme est allée entre mes lèvres ouvertes.
Il me regardait, souriant. Il a étalé son sperme sur ma figure puis m’a fait lécher ses doigts.
- Tu suces très bien. Suis-moi, je vais te montrer ta chambre.
Je me suis installé dans une chambre à côté du salon. Mon père m’avait préparé un petit sac avec quelques affaires de rechange, une brosse à dent, des serviettes. Gérald m’a dit de prendre mon temps, qu’il m’appellerait quand le dîner serait prêt. J’en ai profité pour prendre un bain dans la petite salle de bain attenante à ma chambre.
Vers 20h30, Gérald est venu me chercher. Il avait préparé des pâtes. J’avais faim ! J’allais attaquer mon plat quand il m’a interrompu :
- Attends. Je n’ai pas mis la sauce. Mets-toi à genoux par terre.
J’ai obéit. Il a mis mon assiette devant moi, a sorti sa bite et a commencé à se branler. J’allais la sucer quand il m’a arrêté.
- Non. Tu ne touches pas. Laisse-moi faire, réponds juste à mes questions. Tu aimes la bite ?
- Oui.
- Mieux que ça. Réponds clairement. Tu aimes la bite ?
- Oui, j’aime la bite.
- Tu aimes sucer les hommes ?
- Oui, j’aime sucer les hommes.
- Mieux que ça ! Quels hommes ?
- Tous. Tous les hommes qui veulent. Je suce n’importe qui.
- T’es une pute ? Un vide-couilles ?
- Oui, je suis une pute et un vide-couilles, il suffit de me demander pour que je donne ma bouche ou mon cul.
- C’est mieux, continue. Tu avales le sperme ?
- Oui, j’aime le goût du sperme, j’ai envie d’avoir le ventre plein de sperme tous les soirs.
- Tu te fais remplir la chatte ?
- Oui, les hommes peuvent me prendre et se vider dans mon cul, j’aime me faire remplir.
Gérald était de plus en plus excité. Il se branlait très vite en m’écoutant. Cette « conversation » a duré encore une minute, puis il a jouit sur mes pâtes.
- Tu peux manger maintenant. Reste là. Mange comme une chienne.
Je me suis penché en avant pour manger mes pâtes au sperme. Ce n’était pas très bon, le sperme était déjà froid et les pâtes aussi. Mais j’ai tout mangé. La situation m’excitait.
Après le dîner, nous nous sommes installés sur le canapé pour regarder la télé. J’étais toujours nu, Gérald me caressait. Je sentais sa queue qui gonflait sous son pantalon. Il l’a sortie, m’a dit de m’asseoir dessus. J’ai essayé, mais ça ne rentrait pas, j’étais trop serré, ça me brûlait. Gérald a eu l’air étonné :
- Ton père m’a dit que tu te faisais beaucoup niquer.
- C’est vrai.
- Je pensais que tu serais plus ouvert. Je vais mettre du gel.
Il m’a enduit le trou d’un gel froid. Quand j’ai à nouveau tenté de m’asseoir sur sa queue, c’était beaucoup plus facile. Il fallait toujours forcer un peu, mais je n’avais plus du tout mal, et j’ai très vite pris toute sa bite en moi. Il me tenait par les hanches, me faisait aller et venir sur son sexe, je gémissais. C’était bon. Il caressait mon corps, attrapait dans ses mains mes petits seins, qui n’étaient bien sûr pas développés comme ceux d’une fille mais qu’il arrivait tout de même à prendre. Il donnait lui-même des coups de hanches pour s’enfoncer en moi. Il y avait un peu de brutalité dans ses gestes, mais cette fois il ne parlait pas. Après quelques minutes, il a jouit au fond de moi en râlant, c’était très viril. Il m’a attiré à lui pour me câliner. C’était bizarre, je n’avais pas l’habitude de ça, mais je l’ai laissé faire. Sa queue était toujours en moi.
Peu après, nous sommes allés nous coucher, chacun de notre côté. Je n’avais pas sommeil, j’étais excité. Je me demandais ce qui allait se passer durant ces deux jours. J’espérais que nous ne resterions pas seuls, Gérald était gentil mais je risquais de m’ennuyer avec lui.
Quand je me suis réveillé, il était déjà midi. Gérald était dans ma chambre, un plateau entre les mains avec mon petit déjeuner dessus.
- Bonjour ! J’espère que tu as bien dormi. La journée sera chargée ! Prends ton temps pour déjeuner, mange bien parce qu’il va te falloir des forces ! Je t’attends au salon.
J’ai tout mangé, puis je me suis lavé. Je ne me suis pas habillé, puisqu’il m’avait dit que je resterais nu tout le week-end. J’ai retrouvé Gérald dans le salon. Il tenait un appareil photo à la main.
- J’ai passé un petit deal avec ton père. Il a baissé le prix fixé au départ à condition que je fasse des photos de toi pendant ce week-end. Viens avec moi.
Nous sommes sortis. Dans le jardin, il m’a fait prendre des poses cochonnes. Je devais être à 4 pattes, tirer la langue, écarter mes fesses, m’allonger sur le ventre en écartant les cuisses, me doigter…. Et Gérald photographiait tout ça. C’était très excitant ! Et, visiblement, ça excitait aussi beaucoup Gérald, qui n’a pas tardé à me donner sa queue à sucer. J’étais nu, à genoux dans l’herbe, en train de pomper la queue d’un mec de 35 ans plus âgé que moi, et il me prenait encore en photo. La bite entre les lèvres, je levais les yeux vers lui avec un regard que j’espérais être un regard de salope. Il a jouit dans ma bouche et m’interdisant d’avaler, puis m’a fait tirer la langue. Elle était couverte de sperme : il en a encore pris des photos.
Nous sommes ensuite allés nous promener dans les champs. J’étais toujours nu, j’avais juste passé des petites sandales. La sensation était terrible. J’avais très envie de croiser des hommes. Nous n’avons vu qu’un vieux paysan qui conduisait son tracteur. Il avait au moins 75 ans, une grosse moustache, un béret. Il n’était pas sexy du tout ! Il nous regardait, étonné. Gérald m’a tripoté devant lui, il me mettait des doigts, il me faisait agenouiller devant sa bite. Le vieux a finit par venir vers nous. Sans rien dire, il se caressait l’entrejambe. Gérald m’a poussé vers lui. Le vieux avait l’air hésitant mais curieux. Très excité, j’ai caressé sa bite au travers de son pantalon. Elle n’avait pas l’air bien dur. J’ai défait sa braguette, sorti sa queue molle. Je l’ai prise en bouche. Elle puait. Je l’ai sucé quand même. Il ne bandait pratiquement pas mais apparemment il prenait quand même du plaisir.
Derrière moi, Gérald me léchait le trou. Ça me faisait gémir. Gérald m’a retourné pour tendre mon cul vers le paysan. Il a essayé de me prendre, mais avec sa queue molle et mon trou serré, ça ne rentrait pas. Gérald a pris la bite du vieux dans sa main pour la guider. Le gland est rentré, le vieux a donné quelques coups de reins, je sentais bien qu’il était en moi mais il ne bandait décidément pas. Je bougeais mon cul pour m’empaler un peu plus dessus. Le vieux a finit par abandonner l’idée et est revenu vers ma bouche. Je l’ai encore sucé au moins 10 minutes avant qu’il ne gicle dans ma bouche, sans avoir jamais vraiment bandé. J’ai tout avalé. Le vieux est parti. Gérald, surexcité, a aussitôt investi mon cul. Sa queue était bien raide, elle ! Il m’a défoncé quelques minutes et a rapidement jouit en moi.
Finalement, ce week-end allait peut-être s’avérer sympa…
A suivre...
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