Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Après avoir appris mon homosexualité, mon père a cherché à m’en détourner en me livrant à des hommes vicieux. Voyant que ça n’avait pas l’effet voulu, il m’a prostitué dans un sex-shop, où Xavier, le gérant, m’a filmé en pleine action. Au cours d’un week-end chez un autre client, celui-ci m’a également filmé et pris en photo pendant nos ébats. Les photos et vidéos servent à présent à illustrer un site internet, créé par mon frère, qui permet aux clients potentiels de prendre contact avec mon père pour me louer. Je suis maintenant une vraie petite pute qui rapporte de l’argent à mon père.
En plein mois de juillet, les clients étant rares, mon frère m’a proposé de m’accompagner sur des aires d’autoroute pour m’y faire baiser. Il n’était pas question d’en parler à notre père : nous allions nous partager l’argent à deux ! Un soir que mon père était au bar avec ses collègues, nous avons pris sa voiture. Christophe venait d’avoir son permis. Nous avons roulé une bonne demi-heure. Nous étions un peu anxieux, nous ne savions pas comment nous y prendre une fois sur place. J’ai suggéré que je me déshabille entièrement, ou bien que je ne porte qu’un boxer et des baskets, et que lui reste à côté pour fixer les tarifs et encaisser l’argent des éventuels clients. J’espérais qu’ils seraient nombreux : j’étais vraiment en manque !
Nous sommes arrivés sur une aire d’autoroute. Christophe m’a dit qu’il s’était renseigné sur Internet, et que c’était un lieu de drague connu. Nous nous sommes promenés dans l’aire, histoire de nous familiariser avec les lieux. Il y avait un petit bâtiment qui abritait les toilettes, un parking pour les poids-lourds avec trois camions garés, un autre parking pour les voitures, avec cinq voitures, dont la nôtre, et, un peu plus loin, ce qui semblait être une petite forêt. La nuit tombait doucement, il était un peu plus de 22 heures. Une des voitures est partie. Il était temps de s’y mettre ! Christophe s’est tourné vers moi :
— Va à la voiture, enlève tes fringues. Garde juste tes baskets pour marcher, et ton boxer si tu veux. Moi je vais regarder s’il y a des mecs dans les voitures et les camions.
— Ok. A tout de suite !
Je le retrouve quelques minutes plus tard à côté des toilettes. En me voyant arriver, presque nu, il me fait un grand sourire :
— C’est vrai que t’es mignon comme ça ! Je comprends que les mecs craquent !
— Arrête de te foutre de moi.
— Bon, il y a quelques routiers, un couple dans une des voitures, et un mec, genre commercial, dans les toilettes. On fait quoi ?
— Ben… je sais pas…
— On va faire sembler d’aller pisser.
On entre ensemble dans les toilettes. Effectivement, un homme d’une trentaine d’années, en costume-cravate, est arrêté devant les urinoirs. Mon frère s’installe à côté de lui. Je reste en retrait. L’homme tourne la tête, il a l’air surpris de me voir à moitié nu mais il fixe son regard sur moi. Je suis alors très impressionné par l’aplomb de Christophe :
— Il te branche ? Tu peux te le taper, si tu veux ?
L’homme hésite. Il a l’air de croire qu’on se moque de lui.
— T’es sérieux ? Tu te fous pas de moi ?
— Je suis sérieux. C’est 20 euros pour une pipe, 40 si tu veux le baiser.
— On fait ça où ?
— Je sais pas. Là, dans les toilettes. Ou dans ta caisse si tu préfères.
— Ici c’est bien. Tiens.
Il sort deux billets de 20 de sa poche et les tend à mon frère. Je me glisse dans une cabine. L’homme me rejoint. Il ferme la porte derrière lui, je me mets à genoux et caresse sa bite à travers son pantalon. La bosse est prometteuse. L’homme bande déjà. Il défait sa braguette et sort sa queue, sans baisser son boxer si son pantalon. La bite est bien large, longue et dure ; je suis méga excité et je me jette dessus pour la pomper. L’homme place ses mains derrière ma tête pour m’imposer son rythme. Il fait glisser sa queue jusque dans le fond de ma gorge, la ressort entièrement puis la remet, lentement mais fermement. D’une main sous mon menton, il me fait lever la tête vers lui pour que je le regarde pendant que je le suce ; il maintient son sexe enfoncé dans ma bouche quelques secondes, j’ai du mal à respirer mais je ne me débat pas, je le laisse faire, entièrement soumis. Sa bite est délicieuse, douce et chaude, humide. Je suis accroché à ses jambes pendant qu’il me baise la bouche. Après quelques minutes de ce traitement, il me fait mettre debout et me retourne. Je m’appuie contre la paroi et cambre mon cul. Il baisse mon boxer qui tombe à mes pieds, puis il me doigte quelques instants, sans tendresse mais sans me faire mal. Enfin je sens sa queue raide contre mes fesses. Il crache plusieurs fois sur sa bite et étale sa salive sur mon trou à l’aide de son gland. C’est trop bon, je gémis en tendant encore plus mon cul, j’ai tellement hâte qu’il me défonce ! Ça ne tarde pas ; son gland commence à ouvrir ma chatte pour me pénétrer. Il s’enfonce doucement, sans marquer de pause, jusqu’à ce que la totalité de sa bite soit en moi. Ça prend deux bonnes minutes : je suis toujours aussi serré mais très excité, ce qui fait qu’il n’y a aucune douleur. Quand je sens le tissu de son pantalon contre ma peau, je sais qu’il a réussit à faire entrer toute sa queue. Il commence alors à faire des va et vient, très profondément dans mon cul, sans s’arrêter, sortant presque entièrement sa bite pour mieux la ré-enfoncer au plus profond de mes entrailles. C’est trop bon, je gémis à fond ; je sais que je ne suis pas discret mais ça m’excite encore plus. Lui aussi semble apprécier, il se penche à mon oreille pour murmurer : « T’aimes ça, petite salope ! T’es déjà une vraie chienne, ça se voit que t’es habitué à la bite. Elle te plait, la mienne, hein ? J’ai pas trop l’habitude de me taper des mecs, je préfère une bonne chatte de fille, mais ton petit cul est délicieux… Et tu suces super bien, en plus. T’es une bonne pute… Je vais te remplir de foutre, tu vas voir… »
Ses mots me font un effet de dingue, je me mets presque à crier sous ses coups de butoir ; il y va encore plus fort et me défonce comme une bête, en me tenant par les hanches pour m’éviter de tomber sous ses assauts. Je sens son souffle s’accélérer sur mon cou, il fait des bruits de taureau, sa queue se gonfle encore un peu en moi, et il jouit en râlant, déversant son sperme dans mes entrailles, ses doigts enfoncés dans ma peau, tout son corps couvant le mien, m’écrasant contre la paroi de la cabine des toilettes.
L’homme reste quelques instants en moi. C’est agréable, je sens sa bite débander en moi, maintenant son sperme dans mon cul. Il finit par ressortir. Je me retourne. Sa queue est luisante, poisseuse. Je me mets à genoux et la reprends en bouche pour la nettoyer. J’aime toujours autant le goût du foutre. Quand la bite est propre, je la rends à son propriétaire, qui me dit en souriant : « Merci. C’était sympa. ». Puis il ouvre la porte de la cabine et s’éloigne. Je sors à mon tour. Christophe est là, il attend. Je vois sous son boxer une énorme barre. Je souris :
— Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu bandes ?
— Ben ouais, à t’entendre on avait l’impression que c’est une meuf qui se faisait baiser. Ça m’a excité.
— On continue ?
— Evidemment. On se fait de la thune, tu prends ton pied, et moi je bande. C’est une putain de soirée, non ?
On rit ensemble. Je me passe un peu d’eau sur le visage ; un mec entre à ce moment-là. Ce doit être un routier, il a entre 45 et 50 ans, les cheveux gris, bedonnant. Une barbe de quelques jours et un visage avenant, un peu ours mais pas effrayant. Il comprend aussitôt ce qu’on fait là et se gratte les couilles. Il s’adresse à mon frère :
— Salut. Vous cherchez un mec, tous les deux ?
— Mon frère, oui. C’est une bonne pute. 20 euros pour une pipe, 40 pour le baiser. Ça te dit ?
— Ben ouais, carrément. Mais je préfèrerais vous avoir tous les deux. Surtout des frangins, c’est excitant.
— Désolé, pour moi c’est non.
— Dommage. Ok pour 40. Mais j’ai besoin de pisser avant. Tu demandes à ton frère de m’aider ?
Je ne me fais pas prier. Je m’agenouille devant l’urinoir, le mec s’approche, sort sa queue et commence à me pisser dessus. J’ouvre grand la bouche pour recevoir sa pisse dans la gueule. C’est chaud, j’adore. J’en avale une partie, le reste gicle sur mon visage, mes cheveux, coule dans mon cou et sur tout mon corps. Christophe nous regarde. Du coin de l’œil, je vois qu’il bande encore sous son short. Il est même obligé de déplacer sa bite vers le côté tellement il est à l’étroit dans son caleçon. Je repense aux sous-vêtements usagés qu’il me prête de temps en temps pour mes branlettes et je bande encore plus. Le routier a finit de pisser, il remballe son matos et s’adresse à mon frère :
— Si tu veux pas participer, je comprends. Mais ça me plairait bien que nous mattes. Tu nous suis ? On va dans ma cabine.
Christophe hésite. Il finit par accepter. Je me rince rapidement aux lavabos et nous sortons tous les trois des urinoirs pour nous diriger vers le camion du routier. Arrivés dans la cabine, l’homme dégage derrière le fauteuil passager un grand espace qui nous permet de tenir à trois sans être trop serrés. Je me jette sur la queue du routier, qui n’est pas aussi belle que celle du commercial mais d’une taille honnête tout de même. Elle sent la pisse et la sueur mais je m’en fous. Je le pompe comme un affamé. Il grogne, il me tient par les cheveux pour me baiser la bouche violemment. C’est trop bon, je suis aux anges. Rapidement, le mec arraché mon boxer, me fait allonger sur le dos, écarte mes cuisses et vient me bouffer la chatte. Je gémis de plus belle, la tête en arrière, et j’aperçois derrière moi Christophe qui se caresse la bite à travers son short en nous regardant.
Le routier cesse de me lécher le cul et vient m’enfoncer sa bite entre les fesses, d’un coup sec, sans ménagement. C’est hard mais ça m’excite terriblement. Il se déchaîne en moi, me défonce en me claquant les cuisses et en m’insultant de salope, de pute, de trou à jus, de bonne femelle à engrosser… Soudain, en souriant, il me dit : « Regarde ton frère ».
Je tourne légèrement la tête. Christophe a sorti sa queue et se branle. Il a l’air en transe, il s’astique comme un malade, les yeux fixés sur moi. Alors que le routier commence à respirer de plus en plus fort, de plus en plus vite, signe qu’il va jouir, Christophe s’approche soudain, sa queue au dessus de mon visage, et me jouit dessus, laissant son sperme couler sur mes lèvres et mes joues, pendant que ma chatte se fait remplir de sa deuxième dose de la soirée.
À suivre.
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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a cherché à m’en détourner en me livrant à des hommes vicieux. Voyant que ça n’avait pas l’effet voulu, il m’a prostitué dans un sex-shop, où Xavier, le gérant, m’a filmé en pleine action. Au cours d’un week-end chez un autre client, celui-ci m’a également filmé et pris en photo pendant nos ébats. Les photos et vidéos servent à présent à illustrer un site internet, créé par mon frère, qui permet aux clients potentiels de prendre contact avec mon père pour me louer. Je suis maintenant une vraie petite pute qui rapporte de l’argent à mon père. En son absence, mon frère Christophe m’a emmené sur une aire d’autoroute afin que je puisse satisfaire mes envies de sexe, tout en nous faisant sa l’argent. Dans la cabine d’un routier, alors que je me faisais baiser, Christophe, excité, s’est branlé et m’a jouit dessus.
Christophe et moi sortons de la cabine du routier. J’ai encore son sperme sur le visage. Je lèche mes lèvres pour goûter. C’est délicieux. Ça m’excite, rien que de penser que j’avale le sperme de mon frère. Christophe ne dit rien, mais il ne semble pas faire la gueule. Je lui demande en souriant timidement :
— Ça va ?
Il me rend mon sourire, mais en beaucoup plus grand :
— Ça va super. Et toi ?
— Ben ouais. Tu m’en veux pas ?
— Pourquoi ? C’est moi qui ai peur que tu m’en veuilles.
— J’ai aucune raison de t’en vouloir. J’ai adoré.
— C’est vrai ? Putain, c’est trop bizarre. J’avais jamais pensé à ça, mais là, te voir te faire baiser, ça m’a grave excité.
Je souris encore. Il est tellement mignon ! Il semble gêné et content à la fois. Le routier sort la tête de son camion :
— Eh, les gars ! J’ai deux potes dans le coin qui seront sûrement très chauds pour se vider. Allez voir le deuxième bahut, par là.
Christophe me lance un regard interrogatif. Je fais « oui » de la tête. Nous trouvons rapidement le camion, dont le conducteur fait des appels de phare dès qu’il nous voit arriver. Il faut dire que je suis toujours en boxer, ce qui laisse peu de doute quant à mes intentions. Le routier se met rapidement d’accord avec Christophe sur le tarif. Je monte dans la cabine, Christophe reste dehors pour fumer une cigarette.
Le routier est plutôt sympa, il prend le temps de se présenter. Il s’appelle Ahmed, il a 40 ans, d’origine algérienne. Pas très beau, mais il me met à l’aise. Il me caresse, m’embrasse, lèche mes seins, glisse un doigt sous mon boxer pour tripoter mon cul ; je m’assois sur ses genoux, face à lui, passe mes bras autour de son cou et mime une pénétration. Je sens une grosse barre sous son pantalon. Il sent la sueur, ça m’excite. Je défais sa braguette et sort sa queue pour le branler. Rapidement, je glisse entre ses jambes et, à genoux, le suce. Sa bite est circoncise, assez longue mais pas particulièrement épaisse. Dommage, je les préfère larges… Mais je ne m’arrête pas à ce détail et je le pompe avec passion. D’une main, il agrippe mes cheveux, de l’autre il caresse mon dos et mes fesses. Il me fait faire des fonds de gorge, me donne ses couilles à lécher, me gifle avec sa bite, et se met à me parler crument :
— T’es bonne ma salope… T’aimes les bonnes queues dans ta petite bouche ? C’est ça, suce… Suce comme une chienne… Bonne pute… Je vais te la mettre tout à l’heure, crois-moi tu vas la sentir passer. T’aimes te faire niquer, hein ? T’as envie de te faire baiser, toi, ça se sent… Tu te fais souvent défoncer ?
Je lui réponds tant bien que mal :
— Oui, le plus souvent possible, j’aime sentir une grosse bite en moi.
Ça semble exciter mon routier, qui reprend :
— J’en étais sûr, ça se voit sur ta gueule que t’es accro à la queue. Je vais te niquer, t’inquiète pas… Je vais te l’enfoncer tout au fond de ton petit cul et je vais te remplir la chatte… Tu vas bien me vider. T’es prêt à te faire baiser par n’importe qui pour avoir ta dose, hein ?
Sa queue dans la bouche, je ne peux pas trop lui répondre mais je fais « oui » de la tête. Ahmed me relève, je me retourne et prend appui sur le tableau de bord en tendant mon cul. Il fait tomber mon boxer à mes pieds et présente aussitôt sa queue à l’entrée de mon trou. Il force et me pénètre rapidement, la taille de son sexe et le fait que je vienne de me faire baiser facilitent le passage. Il donne de violents coups de reins, ses couilles claquent contre mon cul, il me bourre sans chercher à savoir si ça me plait ou pas. Il a une main appuyée sur ma nuque, et de l’autre il commence à me donner des coups sur les fesses, en faisant claquer sa paume sur ma peau ; il se met du même coup à me traiter de salope, de chienne en chaleur, de vide-couilles… Je gémis sous ses coups de queue dans mon petit cul qui me font un effet de dingue, je suis complètement soumis à ce mâle dominant. Il accélère la cadence de ses mouvements, va et plus en plus vite, et se retire soudain pour éjaculer longuement sur mes fesses. 5 jets de sperme giclent sur ma peau. Il ne bouge pas pendant deux ou trois minutes, laissant son jus couler sur mes fesses et le long de mes cuisses. Puis il me tire vers lui en me tenant par les cheveux, et me met sa bite encore à demi dure dans la bouche. Je lèche cette queue en prenant soin de ne pas laisser une goutte de sperme, j’avale tout ce qui reste sur son sexe.
Ahmed m’embrasse encore, dans un grand sourire me remercie et me conseille d’aller voir le gars du camion d’à côté. En descendant de la cabine, je retrouve Christophe.
— Ça a été ?
— Oui, super bien. Il dit que dans le camion d’à côté, le mec sera ok pour payer aussi.
— J’ai essayé de lui parler pendant que t’étais là-dedans, mais il dort. Viens, tu vas te laver un peu déjà.
Nous retournons vers les toilettes où je me passe de l’eau sur le visage et le corps. Ça ne suffit pas à enlever les traces de sperme que j’ai partout, mais tant pis. Christophe me sourit :
— Tu veux qu’on fasse une pause ?
— Non. On peut pas rester trop tard, Papa va rentrer bientôt et si on est absents tous les deux, il risque de me tomber dessus… Vaut mieux profiter du temps qui reste.
— On peut aller voir dans le petit bois à côté. J’ai lu sur internet qu’il y avait parfois des mecs qui y tournent.
Nous y allons. Effectivement, nous ne tardons pas à croiser un type d’environ 25 ans qui promène son chien. Il nous remarque aussitôt (je suis toujours presque nu) et se caresse l’entrejambe à travers son jean. Christophe lui lance :
— Ça te branche de te vider les couilles ? Il te suce pour 20 euros.
— Ouais je veux qu’il me suce, et je veux le baiser aussi. Mais je veux pas payer.
— Je te laisse lui faire tout ce que tu veux pour 20 euros. Mais si tu préfères te taper un routier… Y a que ça, ici.
— Ok, t’as raison…
— Vas-y, défoule-toi.
Il fouille dans sa poche et tend les 20 euros à mon frère. Le type s’approche de moi en défaisant sa braguette. Je me mets à genoux et sors sa queue, puis commence à donner des coups de langue sur son gland encore recouvert de peau. Je le prends dans ma bouche et je commence à le sucer, je le sens commencer à durcir, je le vois gonfler sous mes yeux, la bite prend une belle taille excitante et le mec gémit. Pendant que je prends son sexe de plus en plus profondément dans ma bouche ; je sens son gland qui atteint le fond de ma gorge et je le suce de plus belle en salivant bien sur sa belle queue raide qui dépasse juste de son jean à peine baissé. Il me laisse sucer pendant au moins dix minutes en donnant des coups de rein pour me niquer la bouche plus profondément, de temps en temps il me prend les cheveux de sa main droite pour maintenir sa bite enfoncée dans ma gorge, j’étouffe jusqu’à ce qu’il relâche la pression puis, à peine le temps d’inspirer, je me remets à pomper comme une chienne cette queue dure et droite.
Il se penche en avant, ses doigts viennent sur mon cul et commencent à me caresser le trou. Je gémis quand ses doigts entrent en moi. Il les humidifie de sa salive et recommence à me doigter, je me sens m’ouvrir. Après une fellation de quelques minutes, le mec me donne une petite tape sur les fesses, je me retourne, je suis toujours à 4 pattes ; je tends mon cul vers lui et aussitôt son gland vient glisser contre mon cul, il ne tarde pas à me le mettre ; je gémis encore plus, c’est presque douloureux, sa queue s’enfonce progressivement en moi, et bientôt il commence à faire des va et viens dans mon cul, faisant claquer ses couilles contre ma peau, et me tenant fermement par les hanches. Il accélère ses mouvements, et dans un râle s’enfonce à fond dans mon cul en éjaculant. Il reste quelques secondes en moi, puis se retire sans dire un mot.
Je regarde Christophe qui nous a matés pendant tout ce temps. Il me sourit. Le gars s’éloigne rapidement avec son chien. Christophe vient vers moi et me prend dans ses bras. Il est doux, c’est très agréable. Il me murmure :
— On va devoir rentrer. Viens, je vais te laver une dernière fois.
Je le suis docilement. Arrivés dans les toilettes, Christophe me déshabille entièrement et, tendrement, me passe de l’eau sur le visage et le corps. Un mec entre alors dans les toilettes, nous regarde, surpris, puis, naturellement, vient se mettre à côté pour pisser, nous regardant toujours. Quant il a fini de pisser, il commence à se branler, sa bite entre en érection. Mon frère me prend la tête et la dirige vers le gars, qui me présente sa queue raide. Je la suce aussitôt, elle est très large, d’une longueur moyenne ; mais très vite le mec s’intéresse à mon cul, et me retourne fermement. Il me caresse le cul, le trou, et s’adresse à mon frère :
— Combien pour sa chatte ?
— 50.
— Ok. Tiens.
Christophe prend le billet, et aussitôt le gars présente sa queue à l’entrée de mon cul, pour s’enfoncer directement. Très vite il se met à me niquer à fond, m’agrippant violemment les hanches, silencieusement, en me pénétrant complètement, s’arrêtant parfois quelques secondes dans le fond de mon trou puis reprenant ses va et viens brutaux, sauvages. Il se retire d’un coup sec, et m’envoie son sperme sur le cul. Il ne s’était même pas déshabillé, il n’a qu’à remonter son pantalon et il se casse, me laissant allongé sur le ventre à même le sol.
Christophe rit :
— On n’a plus qu’à te laver à nouveau !
— Pourquoi tu lui as demandé plus, à lui ?
— C’est lui qui a demandé, donc j’ai pensé qu’il avait l’habitude. Alors, tant qu’à faire… Fallait essayer.
Et, soudain, Christophe m’embrasse. Sa langue glisse sur la mienne, ses mains caressent mon dos, mes fesses, il me serre contre lui. C’est délicieux. Je n’avais jamais autant apprécié de marque de tendresse. Il me fait mettre à 4 pattes. Il a sorti sa bite, et la fait glisser sur ma raie. Il se penche, crache sur sa queue raide et me prend sans un mot. Il s’enfonce facilement en moi, je gémis doucement ; il me baise à un rythme régulier, lentement, profondément, sans forcer, les mains appuyées mes hanches. Ses mouvements sont puissants et doux à le fois, mélange de tendresse et de domination naturelle, jusqu’à ce que je sente son sperme jaillir et me remplir. Il reste quelques instants enfoncé en moi sans rien dire. Je ne dis rien non plus. Je suis immobile, à 4 pattes par terre, plein de ce sexe qui perd de sa raideur mais reste en moi, sa peau en contact continu avec la mienne.
Nous nous embrassons encore avant de nous diriger vers la voiture pour rentrer, sans un mot, à l’appartement.
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