Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Juin 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Un nounours barbu avec la gueule et la barbe couverte de sperme est à genoux entouré de mecs qui se branlent et qui vont lui doser la gueule, chaque mec jute sur la face de notre gueule à sperme !
Après avoir appris mon homosexualité, mon père a voulu me punir. Il m’a abandonné sur une aire d’autoroute, nu, où plusieurs hommes ont abusé de moi. Parmi ces hommes, Georges, un routier. Voyant que ma punition ne me faisait pas changer, mon père m’a livré à Georges qui m’a emmené un soir me faire baiser dans une forêt. J’y prends de plus en plus goût.
Je suis rentré chez moi à minuit passé. Mon père et mon frère étaient devant la télé. Mon frère m’a jeté un vague coup d’œil, mais mon père s’est levé et m’a aussitôt attrapé par le col de ma chemise.
— Alors ?
J’étais tétanisé. Pas par la violence de mon père, je commençais à avoir l’habitude. C’est la présence de mon frère qui me faisait peur. Devais-je tout raconter devant lui ? Mon père l’avait-il mis au courant ? Je décidais de ne pas employer de mot trop explicite.
— Georges m’a emmené avec lui. Il a fait ce que tu voulais. Et moi aussi.
— Ça t’a suffit ? T’es bien dégoûté maintenant ?
C’était incroyable ! Mon père espérait toujours que je deviendrais hétéro ! Je n’en croyais pas mes oreilles. Ça m’a tellement choqué que je me suis énervé, et je me suis mis à crier :
— Arrête avec ça ! Tu peux me torturer, me faire subir tout ce que tu voudras, ça ne changera rien ! Je suis comme ça, et tu n’y peux rien ! Et moi non plus, je n’y peux rien ! Je ne peux pas changer ! Et je ne veux pas changer !
— Je m’en doutais, sale bâtard !
Il m’a giflé. Ça aussi, je m’y habituais. Je n’ai même pas été étonné. Mais j’étais bien sonné ! Il frappait fort. Mon frère s’est levé brusquement, la scène avait dû finir par le choquer. Mais il n’est pas venu vers nous, il n’a pas cherché à me défendre. Il s’est contenté d’aller s’enfermer dans sa chambre. Mon père m’a lâché, je suis tombé par terre. Il m’a regardé, méprisant :
— Puisque tu veux pas changer, je te préviens : tu vas morfler. Je veux pas d’un fils pédé. Alors à partir de maintenant, je ne te considère plus comme mon fils. T’es juste un pédé. Je peux pas te foutre dehors, mais va falloir que tu payes pour ton loyer, pour ta bouffe, pour tes fringues. Pour tout. T’as compris ?
J’ai fait « oui » de la tête. Je n’avais pas compris, en réalité : comment voulait-il que je lui paie un loyer ? Ou même ma nourriture ou mes vêtements ou je ne sais quoi encore ? A 16 ans, on n’a pas de quoi payer tout ça ! Il est retourné s’installer devant la télé. Je suis allé dormir.
Le lendemain, je suis allé au lycée. J’étais distrait toute la journée. Dès que je voyais un homme, un prof, un élève, un surveillant, n’importe qui, je pensais à sa queue. J’avais envie d’aller demander : « Excusez-moi, vous n’auriez pas envie que je vous suce ? Ou que je vous donne mon cul ? ». Evidemment, je ne l’ai pas fait. Je savais que c’était trop risqué.
En sortant du lycée, alors que je rentrais chez moi, j’ai vu la voiture de mon père. Il m’attendait. Je suis monté, sans rien dire. Nous avons roulé en ville quelques minutes, puis nous nous sommes arrêtés devant une petite boutique sombre. La vitrine était noire, il n’y avait qu’une enseigne : « X Shop ». Nous sommes entrés, mon père a serré la main du type qui était à l’accueil.
— Hey salut ! lui a lancé ce type.
— Salut Xavier. Tu vas bien ?
— Ouais, et toi ? C’est lui ton fils ?
— Ouais. Qu’est-ce que t’en penses ?
— Bah tu sais, ici les clients ne sont pas difficiles, ils ont surtout envie de se vider les couilles en sortant du boulot. Mais il est jeune quand même. J’ai pas envie d’avoir des problèmes avec les flics.
— Ce sera pas la première fois que t’es en infraction avec la loi… Et les flics t’ont à la bonne, non ?
— Ils peuvent, avec les entrées gratuites que je leur file… Bon, OK, fais-le entrer. Mais je te fais confiance, hein ! Je veux mes 50% sur tout ce que tu te fais ! Pas d’arnaque !
— T’inquiète pas, tu les auras.
Mon père m’a poussé en avant. Nous avons descendu un petit escalier, qui donnait sur une grande salle sombre. Partout, des portes, des couloirs, et, sur les murs, quelques écrans qui diffusaient des films pornos hétéros. Mon père m’a poussé dans un coin sombre et m’a dit :
— Enlève tes fringues et attends-moi là.
J’ai obéi. Mon père a emporté mes vêtements et a remonté l’escalier. Je suis resté seul quelques minutes. Je ne comprenais pas exactement ce qui m’attendait, mais je sentais bien que j’allais me faire baiser. Et l’atmosphère qui régnait ici m’excitait beaucoup. Je voyais des hommes passer dans la grande salle ; eux ne me voyaient pas, j’étais dans un petit coin un peu caché.
Mon père est revenu. Il m’a fait enfiler une sorte de boxer ouvert sur les fesses (j’ai appris ensuite que c’était un « jock-strap ») et un t-shirt trop court, déchiré au niveau des seins. En passant devant un miroir, j’ai pensé que j’avais vraiment l’air d’une pute. Puis nous sommes allés nous promener dans les couloirs. Beaucoup d’hommes me regardaient, certains me mettaient des mains aux fesses. Je voyais des petites cabines, aux portes parfois fermées, parfois ouvertes, à l’intérieur, il y avait encore des écrans avec des films X, hétéros, et souvent un homme était dedans, en train de se masturber. En regardant mon père, j’ai vu qu’il tenait un billet froissé dans sa main. Un homme s’est adressé à lui :
— Tu le mets à dispo ?
— Ouais.
— Combien ?
— Ça dépend ce que tu veux. C’est 20 ou 50.
— Je veux le baiser.
— Alors c’est 50.
Le type a sorti des billets qu’il a filé à mon père. Celui-ci s’est alors tourné vers moi :
— Tu vas avec le monsieur, et tu lui obéis.
Le « monsieur » m’a fait entrer dans une des cabines. Il devait avoir 40 ou 45 ans, plutôt bel homme, assez grand. Il portait un costume qui lui donnait une allure très élégante. Il a approché son visage du mien, il m’a embrassé. C’était plutôt agréable. Il passait ses mains sur mon corps, pelotait mes fesses, me pinçait les tétons. Il devait se pencher pour m’embrasser, avec mes 1m65, il avait facilement 25 centimètres de plus que moi. Ses caresses se faisaient de plus en plus viriles, il promenait ses grandes mains partout sur mon corps, de mon côté j’ai passé mes bras autour de son cou, on s’embrassait toujours, il m’a soulevé, m’a plaqué contre le mur, j’ai croisé mes jambes autour de sa taille. Il caressait mes cuisses, a glissé un doigt entre mes fesses, a commencé à me doigter. Je gémissais. Je sentais sa queue raide sous son pantalon. Il m’a reposé, a appuyé sur mes épaules, je me suis retrouvé agenouillé, la tête au niveau de son entrejambes. Il a défait son pantalon et a sorti sa bite. Elle allait parfaitement avec son propriétaire : décidément, tout était grand chez lui ! J’ai léché son gland, je me demandais comment je ferais pour tout prendre dans ma petite bouche. Rien que son gland m’écartait les lèvres au maximum !
Il a posé ses mains sur ma tête, m’a guidé, m’a fait lécher ses grosses couilles, puis a fait entrer sa queue dans ma bouche. Il devait forcer pour la faire progresser, mais il y parvenait très bien. Je n’ai pas pu tout avaler, mais j’en avais plus de la moitié en bouche quand j’ai senti son gland dans le fond de ma gorge. Il a avancé un peu pour me plaquer la tête contre la paroi de la cabine, et s’est mis à me baiser la bouche. Je n’avais aucune marge de manœuvre, il faisait tout le travail.
J’aimais son attitude, à la fois autoritaire et tendre. Il ne ménageait pas ma bouche, mais ses mains me caressaient les cheveux, les joues ; il descendait parfois me pincer les tétons, sans pour autant me faire mal. Sa queue allait et venait entre mes lèvres et jusqu’au fond de ma gorge, je sentais ma salive couler sur mon menton. Il râlait doucement, moi je gémissais. Pourquoi je gémissais ? Je ne sais pas. Je ne peux pas dire qu’il me procurait physiquement du plaisir, mais j’étais bien. Je me sentais à ma place. Une queue dans la bouche, au fond d’une cabine sordide en sous-sol, avec un homme qui avait payé pour m’avoir. S’il savait que sans la présence de mon père, il n’aurait même pas eu à payer ! Il lui aurait suffit de m’aborder dans la rue pour que j’accepte de le sucer.
Je l’ai sucé très longtemps, parfois je sentais qu’il était sur le point de jouir mais il se retenait. Ça m’allait bien : j’avais envie que ça dure. J’avais surtout très envie de sa queue dans mon cul ! Ça n’a pas tardé, il m’a fait relever, m’a retourné. Aussitôt, j’ai appuyé mes mains contre la paroi de la cabine, j’ai cambré mon cul, écarté les cuisses. Il a eu l’air d’apprécier mon initiative :
— T’as l’air d’avoir l’habitude… Tu te fais souvent baiser ?
— Non, ça ne fait pas longtemps. Mais j’adore ça.
— T’as envie que je te défonce ?
— Oui, j’ai très envie de sentir votre queue en moi.
— Une vraie petite salope… Le mec qui te vend, c’est qui ? Ton copain ?
— Mon père.
— C’est un vrai pervers, ton père ! J’aimerais bien avoir un fils comme toi…
C’est là que j’ai vu, à sa main gauche, une alliance. Il était donc marié, probablement père de famille. Je sentais sa bite contre mes fesses, bien raide, toute chaude. J’avais hâte qu’il me la mette ! J’ai bougé mon cul pour tenter de la faire entrer, son gland était contre mon trou, mais il était trop gros pour entrer. Il s’est agenouillé derrière moi, j’ai senti sa langue sur mes fesses. Sensation nouvelle : il me léchait le cul. C’était très agréable. Sa langue humidifiait bien mon trou, elle me pénétrait, c’était délicieux, c’était doux. Je gémissais encore et encore. Il s’est relevé, sa queue est à nouveau venue contre mon cul, cette fois son gland est entré un peu, il a poussé pour entrer en moi. C’était difficile, j’étais toujours aussi serré mais sa salive aidait la progression. Il avait la tête penchée sur mon cou. Il me parlait :
— T’es tout serré… C’est chaud, ton cul est trop bon. Tu t’es déjà fait tirer aujourd’hui ?
— Non, pas encore.
— Ton père t’a pas niqué avant de venir ?
— Non, il n’aime pas ça.
— Tu le suces, au moins ?
— Non plus.
— Pourquoi il t’emmène ici alors ? C’est toi qui lui demandes ?
— Non. Il voulait me punir d’aimer les hommes, mais ça n’a pas marché.
— Il a tord… Une bonne salope comme toi, faut pas l’empêcher de suivre sa nature… Faut en profiter, au contraire.
Tout en me parlant, il continuait à faire entrer sa bite entre mes fesses. Quand j’ai senti ses couilles contre moi, j’ai commencé à faire bouger mon cul sur sa queue. Ça lui plaisait, il a alors suivi mon rythme, reculant quand j’avançais, avançant quand je reculais. De cette façon, les mouvements étaient amples, et je sentais sa bite toute entière qui me pénétrait jusqu’au plus profond de mon cul.
Il a très vite accéléré le rythme, s’est mis à me défoncer, en m’insultant et en me donnant de grandes claques sur les fesses. Ses couilles claquaient contre ma peau, ça faisait un bruit sec très excitant. Je gémissais de plus en plus, ça lui donnait encore plus d’énergie ; son souffle sur mon cou se faisait plus rapide ; parfois il me mordait ou tournait mon visage vers lui pour me cracher dessus.
Après une bonne dizaine de minutes de ce traitement, il s’est retiré ; d’une main il m’a fait agenouiller devant lui, j’ai levé la tête vers lui, la bouche ouverte, il tenait sa bite tendue et a éjaculé, déversant son sperme, très abondant, sur mon visage et ma langue. J’ai consciencieusement tout avalé, léchant mes lèvres pour en prendre le plus possible. Il souriait, il a passé son gland sur mon visage pour ramasser du sperme, qu’il me remettait en bouche. Je léchais ce gland baveux, couvert de foutre. Le goût du sperme me plaisait de plus en plus. Il s’est penché vers moi, a déposé un baiser sur mon front.
- J’espère qu’on se recroisera.
Il est sorti. Mon père est aussitôt entré dans la cabine.
- T’en as mis du temps ! J’ai d’autres clients pour toi. Viens.
J’ai suivi mon père. Il m’a fait sucer un vieux, qui devait bien avoir 70 ans. Il bandait mou, il était trop tendre pour m’exciter. Quand il a jouit, il y avait très peu de sperme. Je n’ai eu aucun mal à tout avaler. Juste après, un beur d’une trentaine d’années m’a enculé. Je ne l’ai même pas sucé, et il a jouit très vite en moi. Puis un type très gros s’est occupé de moi, il était vraiment laid, sa bite puait. Je l’ai sucé avec dégoût, j’avais hâte qu’il éjacule ou qu’il m’encule pour ne plus sentir l’odeur de sa queue. Mais ça a duré presque une demi-heure. Je me sentais très sale, mais j’étais toujours excité.
J’ai ensuite dû sucer deux autres hommes, que je n’ai pas bien vus : nous étions dans une petite salle sans lumière, au fond du couloir. J’ai avalé, évidemment. Après ça, mon père m’a fait remonter à l’accueil, je me suis rhabillé devant Xavier, le monsieur qui tenait la caisse, et nous sommes partis. Je sentais le sperme. Nous avons roulé jusqu’à chez nous.
En entrant dans l’immeuble, nous avons croisé des voisins, un père et son fils de 19 ans. Mon père s’est arrêté quelques minutes pour discuter avec eux. Ils me regardaient bizarrement, ils devaient bien sentir une drôle d’odeur sur moi. J’ai enfin pu prendre une douche. Je bandais à mort. Je me suis branlé en repensant aux événements de ces derniers jours. J’ai beaucoup jouit. J’avais déjà hâte de recommencer.
À suivre…
Après avoir appris mon homosexualité, mon père a voulu me punir. Il m’a attaché nu dans des toilettes publiques, où plusieurs mecs ont abusé de moi. Voyant que cela ne suffisait pas à me détourner des hommes, mon père m’a livré à un routier qui m’a emmené dans son camion. Arrivés sur une aire d’autoroute, Georges, le routier, m’a passé une laisse autour du cou et m’a traîné dans les bois.
Georges marchait devant moi, la laisse à la main. Je le suivais, docile, la tête baissée pour voir où je posais les pieds : j’étais nu, je ne voulais pas me blesser sur une pierre ou un bout de bois. Je distinguais des silhouettes dans les bois, des ombres. Soudain, Georges s’est retourné vers moi.
— À genoux, la pute.
J’ai obéi. Georges a attaché ma laisse à la branche d’un arbre puis il s’est éloigné. J’ai attendu plusieurs minutes. Un homme est passé devant moi, une trentaine d’années, de taille moyenne, mince. Il m’a regardé, est parti, puis est revenu. Il a commencé à me tripoter. Georges ne m’avait pas donné d’indication, alors je l’ai laissé faire. Il m’a caressé le cul, puis il a sorti sa bite raide pour que je le suce. J’ai sucé, il ne disait rien, il me laissait faire. Il a fermé les yeux, j’ai pris appui sur ses cuisses pour mieux le pomper. Sa queue était très longue, moins épaisse que celle de Georges mais assez large tout de même. Rapidement, il a commencé à gémir, et soudain j’ai senti son sperme envahir ma bouche. J’ai gardé ce sperme sur ma langue tout en continuant à sucer jusqu’à ce qu’il débande complètement. J’ai avalé, je l’ai sucé encore pour tout nettoyer. Il a remballé sa queue, m’a donné une petite tape sur la tête, m’a souri et s’est barré.
Plus rien pendant quelques minutes encore. Georges est revenu, accompagné de deux types, deux rebeus assez jeunes, peut-être 20 ou 25 ans, en joggings et casquettes. Des racailles, quoi ! Georges me dit :
— T’as eu de la visite ?
— Oui. Un homme.
— Il t’a fait quoi ?
— Je l’ai sucé.
— C’est bien. T’as avalé ?
— Oui.
— Bien. Maintenant tu vas t’occuper de ces deux là.
Georges prend appui contre un arbre, pendant qu’un des deux jeunes mecs s’approche de moi. Je sens que j’ai déjà pris de l’assurance : j’ouvre la bouche, je sors ma langue, j’attends sa bite. Il la sort, elle est encore molle, il la fourre dans ma bouche. Elle est circoncise, ça me fait drôle, je n’en avais jamais vu. Je le suce, rapidement il bande, il est très bien monté. L’autre mec est resté en retrait, il fume une cigarette. Le mec que je suce me parle :
— Caresse-moi les couilles salope ! Vas-y, suce ! Suce ! C’est bien, t’es une bonne pute. Prends-la toute entière. Ouais… Putain de salope…
Ses mots m’excitent. Je me mets à le pomper comme une vraie petite pute soumise, j’ai un peu de mal parfois, il en a vraiment une très grosse. Parfois il me bloque la tête pour maintenir sa queue enfoncée dans ma gorge, mais ça aussi je commence à m’y habituer. Je reste calme, ça me permet de tenir un peu plus longtemps sans respirer. Il me frappe au visage, me tire les cheveux, il s’excite dans ma bouche. Fermement, il me retourne : je me retrouve à quatre pattes, le cul tendu vers lui. Il crache sur ma raie, passe un doigt :
— Tu t’es déjà bien fait niquer, salope !
Je sens alors son gland qui force le passage. Je suis surpris de constater que sa queue a du mal à me pénétrer : Georges m’a pris il y a à peine une demi heure, et sa queue est très large. J’avais imaginé que le suivant pourrait entrer en moi très facilement. Qu’à cela ne tienne, le mec force jusqu’à ce que son gland soit bien entré en moi, puis, progressivement, il me pénètre de toute la longueur de sa queue. Je gémis déjà, un peu de douleur et beaucoup de plaisir ; je regarde le deuxième jeune mec qui termine sa cigarette. J’ai très envie d’avoir sa queue dans ma bouche alors je passe ma langue sur mes lèvres en le regardant dans les yeux. Voyant cela, il vient vers moi, sors sa bite. Il bande déjà, voir son pote me baiser a dû l’exciter ! Sa queue est moins longue et moins large que celle de son pote. Il est circoncis, lui aussi.
Je me retrouve avec une bite dans la bouche et une autre dans le cul. Tous les deux me défoncent sauvagement, celui qui m’encule est très bavard, il m’insulte sans cesse, me frappe violemment les fesses ; l’autre se contente de me tenir la tête pour me forcer à prendre sa queue en fond de gorge, de temps en temps il la sort d’entre mes lèvres pour me gifler avec.
Celui qui m’encule finit par jouir en moi. Il se retire aussitôt et s’adresse à l’autre :
— Tu veux lui niquer le boule ?
— Ouais.
Ils échangent leurs places. Celui qui m’enculait vient me donner sa bite à lécher pendant que le deuxième me défonce d’un coup. Cette fois, aucune douleur. Je sens bien que je ne suis pas complètement ouvert, mais je n’ai pas mal. Je lèche soigneusement la bite du premier, son sperme a très bon goût. Je passe ma langue partout pour ne pas en perdre une goutte. Derrière moi, son pote jouit très rapidement, me remplissant lui aussi le cul. Mais lui ne vient pas se faire nettoyer la bite, il remballe très vite son engin et se casse aussitôt, suivi par l’autre.
Georges s’approche alors de moi :
— Alors petite pute, tu te sens comment ?
— Je me sens bien.
— Ah ouais ? T’as kiffé te faire mettre ?
— Oui. Et sucer aussi.
— T’es vraiment une salope, toi… Et ton père qui veut te faire changer… Je crois qu’il n’y a aucun espoir de ce côté-là ! Allez, viens.
Il reprend ma laisse en main et m’entraîne à sa suite. On se dirige à nouveau vers le parking de l’aire d’autoroute. En chemin, on croise un mec qui pisse contre un arbre. Il est en costume, il doit avoir une cinquantaine d’années, il a des cheveux gris. Il tourne la tête vers nous, il n’a pas l’air surpris et son jet s’arrête. Georges me dit :
— A genoux. La gueule en arrière, bouche ouverte.
J’obéis. Georges s’adresse alors au type :
— Si ça vous tente… Faut pas hésiter.
Le mec hésite quand même ; finalement il vient vers moi, dirige sa queue vers mon visage et se remet à pisser. Il vise bien : j’en prends plein dans ma bouche ouverte. Ça déborde, ça coule sur mon visage, dans mon cou, et sur tout mon corps. On dirait que le jet ne va jamais s’arrêter. Ça finit quand même par s’arrêter. Le type commence à remballer sa bite, mais Georges l’interrompt :
— Vous voulez pas qu’il vous suce ? Ou le baiser ?
— Heu non. Je suis pas attiré par les mecs, désolé.
— C’est pas un mec, c’est juste une pute. Et elle attends que ça.
— Il est trop jeune.
— Il a que 16 ans, mais c’est déjà une belle salope.
— Non, désolé. Mais merci quand même.
— Si vous voulez pas le toucher, vous pouvez juste vous branler et lui gicler dessus.
— Pourquoi pas… Mais il est d’accord ?
— Mais oui, il adore ça je vous dis. Et de toute façon, il est à mes ordres, il fait ce que je lui dis.
Ça semble exciter le gars qui commence à se caresser. Je reste à genoux, la bouche ouverte et la langue tendue. Il se branle devant moi, sa queue est à quelques centimètres de mon visage. Il s’arrête soudain :
— Retourne-toi, que je mate ton cul.
J’obéis. Il ne me touche toujours pas mais se masturbe toujours, à quelques centimètres de mes fesses maintenant. Le rythme de sa respiration s’accélère, et il jouit, déversant tout son sperme sur mon cul. C’est chaud, ça coule le long de ma raie. J’aime. Le type range sa bite, il a l’air honteux. Il doit regretter de s’être laissé tenter par un mec, de mon âge en plus. Georges vient à côté de moi :
— Tu vois, t’es un vrai vide-couilles maintenant. Quand tu croises un mec, ton job c’est de le vider. Tu sers qu’à ça. Je crois que tu changeras pas, ton père va être déçu. Mais tu vas faire le bonheur des hommes !
J’ai souri. Petit à petit, je prenais conscience de ce fait : j’aimais être à la disposition des hommes. Ce soir, j’avais été humilié, pris, baisé et jeté, j’avais eu la bouche et le cul rempli, et personne n’avait même eu l’idée de chercher à me donner du plaisir. Et ça m’avait plu.
Nous sommes retournés au parking. Georges m’a fait prendre une autre douche ; puis dans le camion j’ai dû à nouveau le sucer et avaler son sperme, puis nous avons roulé jusqu’à chez moi. Avant de me laisser, Georges m’a enculé et a jouit dans mon cul. Il m’a rendu mes vêtements et s’est gentiment assuré que j’étais bien rentré dans l’immeuble. Il m’a même fait un sourire.
A suivre...
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