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fan de histoires de mec

Mercredi 21 novembre 3 21 /11 /Nov 00:37

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Je suis bisexuel mais je souhaite vous raconter une aventure de jeunesse qui m'est arrivée quand j'étais lycéen. Ma curiosité‚ mon goût pour le sexe, m'ont permis d'en connaître beaucoup d'autres depuis.

Chaque jour, matin, midi et soir, pour me rendre au lycée, je traversais un très grand parc public, lieu apprécié pour les promenades. Un jour de printemps, l'année de mes 17 ans, alors que je rentrais comme chaque midi déjeuner chez mes parents, je fus pris d'une "envie" extrêmement urgente. Mon ventre était douloureux, je serrais les fesses sans espoir, je savais que je n'aurais pas le temps de rentrer assez vite chez moi. Je repérais le panneau "Toilette" et m'y précipitai.

Cachés dans un massif d'arbustes, les WC en forme de rotonde comportaient plusieurs cabines. Je me précipitais vers une porte entr'ouverte, refermais vivement et descendis prestement mon pantalon. Installé sur la cuvette je me libérai de mon urgence. En partie soulagé, je regardais autour de moi les murs tapissés de graffitis et de dessins obscènes: une queue pointée vers une paire de fesses, une autre vers une chatte de femme, ou encore des sodomies en chaîne. Je lisais des petites annonces écrites dans tous les sens:

— "JH cherche jeune chatte à lécher"

— "H ch JH pour branler et sucer, de 12 à 14h, ici"

— "Cple rencontrerait F ou Cple pour plaisirs divers"

— "Cple ch mec bien monté - rdv ici"

— "Branle et suce jeunes mecs, ici tous les jours, le midi ou le soir"

Les murs et les portes étaient barbouillées de ces annonces dont certaines paraissaient anciennes, d'autres récentes; des réponses proposaient des rendez-vous. Il y avait un trou de cinq centimètres dans la porte, à 80 centimètres du sol. L'idée que quelqu'un pouvait espionner dans les toilettes m'amusait beaucoup. Je me rendis compte rapidement, qu'il y avait aussi un trou de la taille d'un oeuf percé dans chacun des murs sur les côtés, à hauteur des genoux. Poussé par la curiosité, je me penchais pour regarder au travers de l'un d'eux: la cabine était vide. Je voyais le rebord de la cuvette du WC.

Je me tournais vers le second trou, j'eus l'impression de voir un oeil qui s'effaçait, puis je vis nettement une cuisse; quelqu'un était assis sur le WC de la cabine voisine. Je me reculais vivement, rougissant. Mais poussé par une curiosité viscérale, je regardais à nouveau. La cuisse semblait être celle d'une fille ou d'un adolescent: ferme, mais sans poils. Je m'avançais un peu pour mieux voir et je vis une main qui massait lentement un sexe dressé de taille moyenne au gland bien dégagé, tout rosé. L'autre main triturait doucement les couilles. Mon voisin se masturbait en toute tranquillité, assis sur le bord de la cuvette.

Ma tension montait violemment, Je me surpris à bander à mon tour. Je glissais une main sous ma queue et me masturbais aussi. Mon voisin continuant de s'astiquer, s'était penché sur le côté, avec un peu de recul pour vérifier si je l'observais. Je croisais son regard amusé. Il accélérait sa masturbation, avançant sa queue bien en face du trou. J'étais hypnotisé, rouge de confusion, ne sachant plus ce que je devais faire, fuir ou continuer. Le spectacle m'excitait trop, je me branlais de concert.

Il me fit signe de montrer mon sexe. Intimidé j'hésitais; lui insistant, me montrait le sien avec impudeur. Je m'avançais un peu, lui présentant le profil de ma bite dressée, au gland congestionné. Mon voisin, vint placer son sexe face au trou, l'avançant au travers de la mince cloison. Une douzaine de centimètres dépassait sous mon nez. Attiré par cette chaire inconnue, j'osais une caresse timide, moi qui n'avait jamais touché un autre sexe que le mien. À ce contact doux et chaud, une violente bouffée de chaleur m'envahit. Je faisais glisser délicatement la peau sur le gland, comme j'aimais me le faire moi-même.

L'inconnu se reculait et me fit signe de faire comme lui. Je glissais mon sexe dans l'orifice. Surprise! Ce n'étaient pas ses doigts qui avaient saisi ma bite mais sa bouche tiède et humide. Il aspirait, malaxant de ses lèvres, sa langue chatouillant mon prépuce. Ma tête tourbillonnait, je sentais mon sperme monter dans ma verge. J'allais me retirer, il me retenait par sa bouche. Je sentis mon sexe exploser, j'accompagnais mon éjaculation de coups de ventre saccadés contre la cloison. Vidé je m'asseyais sur la cuvette pour récupérer.

Quelques instants plus tard, j'entendais la porte voisine s'ouvrir. Je me rhabillais, pensant que celui qui m'avait donné autant de plaisir était parti. J'attendis quelques instants avant de sortir pour ne pas le rencontrer.

Le rouge aux joues, je sortais à mon tour, un peu étourdi. À ma plus grande surprise mon voisin m'attendait. Je reconnus un gars de mon lycée! Je le connaissais seulement de vue car nous étions un millier d'élèves et nous n’étions pas dans la même classe. Il était aussi grand que moi, bien que mon cadet d'un an. Voyant ma gêne, il vînt vers moi, la main tendue:

— Je m'appelle Alain, je viens souvent ici, on y fait des rencontres sympas, des gars, mais aussi parfois des femmes ou des filles.

Il continuait:

— Tu as aimé? Apparemment oui! On peut se retrouver ici après déjeuner? Je reprends à 15h et toi?

— Moi aussi je reprends à 15h, répondis-je sans réfléchir. J'aurai fini de déjeuner à 13h15.

— OK, j'attendrais... 13h30, sur le banc dehors, en face.

Avec un large sourire, il s'éloigna. L'esprit embué, j'accélérais cependant mes pas pour aller déjeuner. Je n’avais pas donné mon accord, mais mon envie de revenir était trop forte.

À l'heure convenue, j'étais de retour. Alain me demandait d’emblée de le suivre dans les toilettes. Il m'entraînait dans la cabine la plus éloignée de l'entrée et verrouillait la porte derrière nous. Prestement débarrassé de son pantalon et de son slip qu'il accrocha à une pointe derrière la porte, Alain, la bite fière et dressée, s'avançait vers moi et s'attaquait à la ceinture de mon pantalon. En un tournemain, j'étais débarrassé aussi de mes vêtements. Ma queue bandée à faire mal, j'attendais la suite des évènements. Alain avait jeté un regard par le trou du mur, pour savoir si nous étions tranquilles. Il s'agenouillait devant moi, aspirant mon sexe à pleine bouche; il me pompait à merveille. Quel délice! Adossé au mur, j'étais tendu comme un arc. Inconsciemment, je caressais la tête de mon compagnon. Il avait glissé une main sur mes fesses. Séparant les globes, il descendait vers mon anus qu'il agaçait d'un doigt mais constatant ma contraction, il en restait là.

Une nouvelle fois je déchargeais dans sa bouche, il avalait mon sperme avec délice. J'y avais moi-même goûté et trouvais le goût très agréable. Alain se redressa en disant que c'était super. Je ne voulais pas être en reste, je m'agenouillais à mon tour. Maladroitement je le suçai. Comprenant que c'était la première fois que je suçais une queue, il me conseillait et me guidait dans mes gestes, j'assimilais vite. Rapidement Alain m'informait qu'il allait éjaculer, me demandant si je préférais qu'il se retire. Moi je souhaitais aller jusqu'au bout. Un jet de sperme gicla contre mon palais. Je suffoquais un peu mais continuais à pomper et avalai avec plaisir la semence épaisse.

Après quelques caresses échangées sur les tétons, les fesses et le ventre, nous nous sommes rhabillés pour rentrer au collège.

Alain devenu un ami, venait à la maison pour étudier ou écouter de la musique pensaient mes parents, nous pouvions nous enfermer dans ma chambre sans être dérangés. Alain était même autorisé à rester dormir à la maison, avec moi bien entendu.

Nos jeux évoluèrent rapidement: mon ami me sodomisait, je lui rendais la pareille. Cela ne nous empêchait pas de nous retrouver fréquemment dans nos toilettes préférées ou nous avons vécu d'autres aventures piquantes que je vous raconterai plus tard.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 20 novembre 2 20 /11 /Nov 22:25

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Depuis le décès de maman il y a sept ans, je vivais avec papa. Nous étions heureux ensemble, bien que l’absence de ma mère nous pesait à tous les deux. J’avais 21 ans, je poursuivais mes études à l’université voisine, papa était cadre dans une entreprise de la ville. Nous partagions les différentes tâches ménagères, mais aussi certains plaisirs.

L’année de mes seize ans, nous avions dîné en tête-à-tête, la vaisselle faite et rangée, nous nous étions installés devant la télé, nous regardions une émission qui rapidement s’avéra être sans intérêt. Papa me proposa de regarder un film qu’il avait enregistré la veille au soir. Pensant que la cassette était restée en place, il lança le magnétoscope,

Sur l’écran deux gars se suçaient avidement. Papa me regardait d’un air interrogateur, j’étais rouge de confusion; il souriait attendant mes explications. Il n’avait pas arrêté le film et maintenant l’un des gars enculait son compère. Voyant que mon père attendait toujours une explication, je me lançais:

— J’ai trouvé cette cassette en rageant TA bibliothèque! Je l’ai trouvée super! J’ai invité un copain à venir la visionner cet après-midi...

— Ah bon... et il a aimé?

— Oh oui beaucoup!

— Et qu’avez-vous fait en la visionnant?

— Comme sur la vidéo!

— Vous vous êtes sucés et enculés?

— Oh oui! Plusieurs fois même!

— Tu aimes ça?

— J’adore! Mon copain aimerait revenir!

Nous étions assis côte à côte, mon regard allait de l’écran télé où les deux gars continuaient leurs ébats au jogging de papa déformé par sa queue raide. Je bandais aussi, mon jogging de la même manière ne cachait pas grand chose de mon érection. Papa avait glissé sa main dans son pantalon, il se triturait la bite doucement. Je savais que les jeux homos ne le dérangeaient pas, compte tenu du nombre de cassettes vidéo qu’il avait sur le sujet.

J’avais moi aussi glissé une main dans mon jogging pour me branler lentement, papa l’avait vu. Il se rapprocha de moi, glissant sa main sur ma queue au travers du tissu. Je le laissais faire. Il descendit l’élastique de mon pantalon, je me contorsionnais pour l’aider, dans le même temps il avait dégagé sa pine. Puis il de penchait pour enfourner ma queue, il me suçait en douceur. J’étais heureux d’avoir oublié la cassette dans le magnétoscope.

Rapidement nous nous sommes retrouvés en 69, l’un suçant l’autre et nous doigtant mutuellement le cul. Je n’étais pas du tout gêné que ce soit avec mon père que je faisais l’amour. Il me demanda si je voulais bien l’enculer. Quel bonheur pour moi de découvrir qu’il aimait ça lui aussi. Nous avons passé la nuit ensemble à nous prendre à tour de rôle, nous sucer, nous caresser, qui mieux que lui pouvait parfaire mon éducation?

Nous étions devenus totalement complices. À sa demande, mon ami avait participé à nos ébats pour le plaisir de tous les trois.

Après avoir fêté mes 18 ans, comme j’étais majeur, papa me proposa d’aller voir un film porno mais dans une salle de cinéma cette fois. C’était un samedi. Nous étions descendus au sous-sol, dans une salle aux sièges usés. La salle était juste éclairée par la lumière du film, je m’étais vite habitué à la pénombre. Papa m’avait amené au dernier rang qui était vide. Devant nous, trois autres hommes étaient assis.

Rapidement je me rendis compte que les trois mecs se branlaient mutuellement. De temps en temps, celui du milieu se penchait vers un de ses voisins pour le sucer, ceux-ci lui rendaient alternativement la pareille. Papa avait sorti sa bite puis la mienne. Le premier, il me suça avant d’attirer ma tête vers sa queue. Ni l’un ni l’autre ne voulions jouir trop vite. Au bout d’un moment, un homme vint s’asseoir à côté de moi. Visiblement un très grand gaillard, je constatais qu’il était black. Il avait sorti sa bite pour se branler, je ne la voyais pas, l’éclairage était trop faible. Le gaillard ayant vu que j’échangeais des caresses avec mon autre voisin, lançait une main vers ma queue, puis il se penchait pour me sucer. C’était bon et être sucé par un inconnu m’excitait plus encore! Papa se penchait à mon oreille pour me demander de branler mon nouveau voisin moi aussi; je ne me fis pas prier.

Ouawhh! quelle bite! Un mandrin très long et d’une grosseur que je n’imaginais pas, mes doigts faisaient difficilement le tour. De la caresser, j’en avais des frissons partout, ça me picotait le ventre, quelle sensation! Je me penchais pour la sucer, j’avais du mal à la saisir entre mes lèvres. Je voulais partager ça avec papa. Je me levais et je demandais au gars de venir à ma place entre nous deux. L’exclamation de mon père en touchant ce mandrin ne me surprenait pas, il se penchait à son tour. Il réussit lui à prendre le gland dans sa bouche, moi je me contentais de masser la tige. C’était géant de triturer ces énormes couilles surmontées d’un pareil engin. Passif, le black nous laissait faire. Malgré la pénombre, j’avais vu papa fouiller dans une de ses poches puis il jouait avec son cul; il devait se lubrifier le cul avec de la crème qu’il avait prise avant notre départ de la maison. Il n’allait quand même pas s’enfiler cet engin?

Papa s’était mis debout, il vint placer son anus sur le nœud énorme, et poussait lentement, soupirant sous l’effort. Il était descendu de quelques centimètres poussant toujours, j’imaginais cet engin le dilatant à l’extrême. À force de patience, il réussit à s’asseoir sur les genoux du black, l’engin était totalement planté en lui il resta quelques instants sans bouger. J’en profitais pour sucer la bite de mon père, Puis doucement, il se mit à entamer une cavalcade qui accéléra très vite. J’imaginais ce truc qui devait le fouiller jusqu’au fond de lui, lui remonter l’estomac. Cette idée me procurait des frissons agréables. J’avais repris la bite de papa en bouche et calquais mon rythme sur le sien. Quand le black l’agrippa aux hanches pour jouir, je sentis les palpitations de la bite de mon père, il allait jouir lui aussi. Un flot de sperme me claqua le palais, j’avalais tout, il ne bougeait plus. J’avais l’impression de sentir les giclées de son partenaire dans son cul.

Le black s’était essuyé après avoir libéré le cul de papa, puis il est sorti. Nous étions de nouveau côte à côte, il me glissa à l’oreille: "C’était géant!" Pour que je ne reste pas sur ma faim, il me suça, se régalant de mon foutre. Rentrés à la maison, je tartinais le cul de mon père de crème adoucissante car visiblement la pénétration le cuiusait encore.

Quelques jours plus tard en semaine, en début de l’après-midi, je retournais seul au cinéma porno, c’était presque désert. Je m’installais à nouveau au dernier rang. J’avais sorti ma pine et me caressais, espérant l’arrivée d’un voisin. L’attente ne fut pas trop longue, un gars vint s’asseoir près de moi, il semblait avoir une quarantaine d’année, bien habillé.

Aussitôt assis, il sortit sa bite déjà raide pour se branler et sans manière, il posa sa main sur ma queue, attirant la mienne sur la sienne. Il se pencha pour me sucer, puis se redressant, m’attrapait par la nuque avec autorité pour que je le suce à mon tour. Cela faisait un moment que nous alternions les rôles sans avoir vu ne bribe du film, médiocre au demeurant. Le souvenir de papa assis sur la bite du black me revint à l’esprit. Je me levais pour aller de moi-même m’asseoir sur la bite du mec, m'empalant seul sur sa tige. Ravi, les mains plaquées à mes hanches, il rythmait mes allées et venues. Bien qu’il se soit avancé sur son siège, la position lui semblait inconfortable. À l’oreille, il me demandait de me mettre à genoux entre les fauteuils. Il s’était mis lui aussi à genoux, m’enculant en levrette. C’était bien plus agréable pour tous les deux. Le gars prenait son temps, il m’enfilait par à-coups, se dégageant presque totalement pour s’enfoncer en moi jusqu’aux couilles. Mon partenaire s’était penché et me murmurait à l’oreille: "Tu es une vraie petite salope! Une vraie vicieuse! Tu aimes ça, dit le petit vicieux! Quelle chienne tu fais! Une vraie femelle! Que tu es bonne!" Il alternait compliments et insultes.

Deux hommes s’étaient installés sur la rangée de sièges devant nous et mataient en se branlant. J’adorais cette situation, la façon dont j’étais pris, mais aussi les odeurs particulières qui flottaient ici. Celles de la sueur mélangée à celle des relents de foutre. Le gars avait accéléré, me serrant plus fort aux hanches. Il me pistonnait maintenant à une cadence bien plus rapide. Je me régalais de cette queue qui me fouillait les entrailles. Que c’était bon! Soudain il se cabra, restant plaqué à mon cul. Je sentais les palpitations de sa pine qui lâchait son foutre, il déchargeait en moi. Nous nous étions redressés pour nous rasseoir, il me caressait la tête, les joues, le ventre. Se penchant vers moi, il me glissait à l’oreille: "J’habite tout près d’ici, si ça te dit de venir jusqu'à chez moi! Tu es une vraie chienne, je veux te faire connaître d’autres plaisirs que tu ne connais peut-être pas!" La curiosité autant que mon envie de continuer avec ce nouveau partenaire qui m’avait si bien enculé m’ont poussées à le suivre.

Il habitait une appartement confortable à trois pâtés de maisons du cinéma. Il ouvrait la porte en parlant à voix haute, me fit entrer. Débarrassés de nos manteaux, de nos vestes, il me fit asseoir dans une canapé. Il avait servi des rafraîchissements, me disant: "Déshabille-toi, mets-toi à l’aise." Lui-même était allé se mettre en robe de chambre, il était visiblement nu dessous. J’étais resté en slip et en tee-shirt, il m’enlevait rapidement le slip. Nous nous caressions mutuellement, nous embrassant goulûment.

Paul, c’était son nom, lança un bref coup de sifflet. Par une porte entrebaîllée, je vis arriver un berger allemand. Il s’approchait de mon ami, vint directement renifler entre ses jambes et se mit à lui lécher la pine déjà raide. "Je te présente Wolf." Le bout rouge de la bite du chien émergeait de son fourreau. Surpris par le spectacle, j’observais. Puis Paul se plaçait à quatre pattes, ramenant sa robe de chambre sur ses reins. L’animal vint lui gratifier le cul de larges coups de langue dont mon ami vantait les bienfaits.

Le chien s’était arrêté de lécher, se dressant sur ses pattes arrières. Il montait sur son dos, visiblement habitué à cette pratique, s’agrippant aux hanches. Paul avait attrapé le fourreau de la pine, il plaçait le bout rouge qui avait pris du volume contre son petit trou. Wolf d’un coup sec l’empalait et se mit à limer à une cadence infernale. Je voyais sa bite enfoncée jusqu’aux couilles prendre du volume. L’homme et la bête étaient magistralement accouplés. Quel spectacle, je ne pouvais que me branler, la situation ne m’avait pas choqué, seulement excité.

Wolf s’était arrêté, haletant, il ne bougeait plus, essayant de se retirer avec un peu de difficulté. Puis du cul dilaté, je vis sortir lentement une énorme boule. Quand elle se dégagea, la pine sortit d’un coup, libérant un flot de foutre qui inondait le sol en laissant des traînée sur les cuisses de mon nouvel ami. Le chien était venu nettoyer le cul et les cuisses de Paul à grands coups de langue. Ce dernier, l’air ravi, me dit: "Si ça te dit d’essayer? Une chienne comme toi devrait aimer! C’est géant! Mais il va falloir attendre un moment que Wolf récupère!"

À grands coups de langue, le chien recroquevillé en demi cercle faisait rentrer sa bite dans son fourreau. Pendant ce temps, Paul s’était essuyé et m’avait rejoint sur le canapé. Il me caressait partout, puis comme s’il craignait que je refuse l’expérience, il me disait: "Tu vas voir comme c’est bon! Tu vas te sentir chienne, totalement femelle! Une salope comme toi devrait se régaler!" Dans ma tête, j’avais l’envie folle de le faire, de m’accoupler avec l’animal. J’étais vraiment décidé à essayer.

Sous les directives de Paul, je m’étais installé à quatre pattes. Wolf avait compris, il me gratifiait à mon tour de grands coups de sa langue râpeuse. Elle me procurait déjà un plaisir formidable. Puis il s’emparait de mes hanches entre ses pattes avant. Mon ami guidait sa pine pointue dans mon anus, elle pénétra d’un coup sec avant que commence le rythme infernal de la saillie. L’idée d’être ainsi embroché par un animal provoquait en moi une confusion d’idée. C’était d’une perversité totale, je n’étais plus qu’une femelle, une chienne en chaleur, j’allais être son "vide-couilles". Wolf me pilonnait à coups de reins rapides, sans état d’âme évidemment. Je sentais son sexe qui enflait en moi, sa boule dilatait mon anus. Ses poils frottaient sur mes fesses et son ventre chaud contre mon cul: c’était génial. Il lâchait ses giclées de sperme par saccades incessantes, je sentais palpiter son membre à chacunes d’elles. J’étais fou, j’étais dingue, mais que j’étais bien! L’excitation du chien était communicative.

Paul s’était allongé sous moi. Il me suçait, essayant de suivre la cadence du chien. Comment résister à ces traitement. J’explosais dans un long râle de plaisir, j’avais la sensation de me vider totalement, je jouissais de manière inhabituelle. Un explosion d’étoiles m’embuait la tête. Je n’aurais jamais imaginé un tel plaisir. Wolf s’était arrêté il cherchait à se dégager. Moins habitué que Paul à de tels calibres, le nœud était plus long à sortir. Mais quelle sensation quand il se libéra dans un bruit de sucion étonnant. Je sentais le liquide poisseux qui dégoulinait sur mes cuisses, puis une langue très douce bien que râpeuse, vint calmer le feu de mon anus. Wolf me nettoyait consciencieusement le cul et les jambes avant de se lécher lui-même.

Nous étions de nouveau assis dans le canapé sirotant un rafraîchissement bienvenu. Je remerciais Paul de m’avoir fait découvrir ce nouveau plaisir. Ile me remerciait lui aussi, me donnant son numéro de téléphone pour revenir quand il me plairait. Je lui expliquai la relation intime que j’avais avec papa. Du coup, il me proposa de lui parler de Wolf et si ça lui tentait de faire l’expérience aussi.

Papa avait entendu parler de ces plaisirs mais n’avait jamais eu l’occasion de les découvrir en réel; il voulait rapidement essayer aussi. Son plaisir fut aussi grand que le mien. Je ne fus donc pas surpris de le voir arriver un jour avec un gros chien qu’il venait d’acquérir à la SPA, âgé d'un an. Il serait facile à "former" et vite opérationnel.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 20 novembre 2 20 /11 /Nov 01:05

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Je suis l’amant d’une jolie brune aux gros nichons. J’adore la bourrer chaque soir. En surfant sur le Net, j’ai découvert la bisexualité virtuelle. J’ai commencé à bander en matant des bites... surtout des grosses. J’ai répondu à l’annonce d’un type qui m’a expliqué que si j’étais bisexuel comme lui, on pourrait se rencontrer et apprendre...

Je l’ai contacté hier pour lui dire que j’étais prêt à le rencontrer et que je devais passer quelques jours à Paris. Le soir convenu, je me suis rendu chez lui. J’étais fébrile.

— Entre! Avance par là!

Dans le living, je découvris deux hommes nus assis sur le canapé. Je fus surpris et il remarqua mon mouvement de panique.

— T’es un mec ou une lopette? me demanda-t-il.

— Il n’était pas question de faire ça à quatre.

— Nous n’allons pas faire ça à quatre mais à six. J’attends encore deux personnes.

— Tu es carrément malade!

Un pas vers l’avant, trois vers l’arrière. Je veux savoir si je suis «bi» mais j’ai la trouille de savoir. C’est ça ton problème!

— Bon, je me tire!

J’ai voulu quitter le living et il s’est interposé.

— Plus moyen de reculer! Fous-toi à poil!

— Pas question!

Ceinturé, immobilisé, je me suis senti dépouiller de tous mes vêtements. J’ai un peu gueulé mais j’ai fini par me résoudre à cette situation excitante. Une fois nu, mon mentor m’obligea à montrer mon cul à ces messieurs.

— Joli petit cul!

— Et vierge en plus!

— On va se régaler...

Le type de l’annonce s’approcha de moi et il mit sa main gauche derrière ma nuque.

— Donne tes lèvres à ton Maître!

Il plaqua ses lèvres contre les miennes et m’embrassa vigoureusement. C’était mon premier baiser avec un mec. Tout en me roulant cette pelle baveuse, il laissait courir ses mains vicieuses sur mon corps. Je m’abandonnais à ses caresses. Il me pinça un téton d’une main et palpa mes fesses avec son autre main. Je me mis à bander.

— 80% des mecs ne résistent pas à une excitation des tétons! Bienvenue au club, mec!

Un des autres mecs me cria:

— Viens me sucer!

M’agenouillant, je saisis son pénis et le mis maladroitement dans ma bouche sous les insultes des deux autres. Je suçais très mal et le type me le fit comprendre en me balançant une claque.

— Tu ne pourrais pas t’appliquer un peu plus? Si ta bonne femme te suce ainsi, y’a de quoi te flinguer!

Je tentais d’améliorer mon travail mais je n’étais visiblement pas très performant car le type que je suçais me saisit la tête à pleines mains et il m’imprima de vigoureux mouvements.

— Ça c’est du rythme!

Il pilonna ma bouche en envoyant son sexe cogner au fond de ma gorge. J’ai essayé de garder ce rythme.

— Bon! Voilà qui est beaucoup mieux. On va peut-être arriver à faire quelque chose de toi!

Quelques instant plus tard, toujours occupé à pomper, je sentis que des mains écartaient mes fesses et un liquide froid coula sur mon anus. Ma réaction fut vive. Je me mis à serrer les cuisses. Les deux autres mecs me les écartèrent avec force.

— Putain, tu ne vas pas recommencer! T’es ici pour apprendre alors laisse-toi faire. T’as bien compris?

La claque me calma.

— Pas sans capote! ai-je supplié.

— Tu la prendras comme on veut que tu la prennes, salope! On ne met pas de gants avec les truies de ton espèce...

Nouvelle baffe. Je sentis tout de suite un sexe appuyer sur ma rondelle très serrée.

Le type que je suçais m’obligea à avaler sa queue jusqu’à la glotte, m’étouffant presque. Derrière, l’énorme bite dilatait mon anus et commençait à me pénétrer. Je pleurais de douleur mais aucun son ne sortit de ma bouche bien remplie. J’esquissais un regard vers l’arrière. C’était le métis qui m’enculait. Il avait une bite énorme. Il progressa doucement et plus le temps passait plus la douleur s’atténuait.

— Là, je suis à fond! grogna-t-il.

Il se mit à donner des coups de bassin. Je fermais les yeux, ballotté sous les coups de l’avant et de l’arrière. Au bout d’un moment, un certain plaisir me gagna. Je m’abandonnais à mes violeurs qui disposaient de mes deux trous vierges. Le type qui me baisait la gueule m’envoya ses saccades de sperme dans la gorge. Je voulais me dégager mais il hurla:

— Avale tout, petite salope. Ne fais pas ta mijaurée! On ne gaspille pas du bon jus de couilles... Gobe!

Un peu paniqué, j’avalais tout consciencieusement.

La sonnette retentit et l’hôte alla ouvrir. Un superbe black entra.

— Déjà au boulot, je vois!

— On t’attendait Marcus... Max l’a un peu assoupli du fion mais c’est toi qui nous le calibrer.

Avec le black, il y avait un cinquième mec tatoué, qui prit sa place dans ma bouche sans tarder.

— Elle est comment la pute?

— Elle se rebiffe! Alors on la baffe un peu pour lui faire comprendre qu’ici on ne discute pas les ordres.

Le tatoué me cracha à la figure. Sa queue de grande dimension me força à ouvrir la bouche plus largement.

— On va bien te dresser, ma salope! me lança-t-il avec un nouveau mollard.

J’étais comme un pantin manipulé de toutes parts. Ça s’agitait derrière moi et je sentis la queue du black forcer mon anus encore très serré. Des mains puissantes me tenaient fortement par les hanches et la queue du black frottait ma rondelle. Mon anus à peine dilaté laissa difficilement passer l’engin XXL.

— Alors, c’est bon? On découvre la sensation d’être une pute à jus?

— Oh Gilles, comment lui parles-tu là? Ce monsieur voulait découvrir s’il était «bi»... et toi tu lui parles de «pute»!

— On s’est trompé alors! Tant pis, on va assumer et aller jusqu’au bout. Qu’est-ce qu’on peut lui offrir comme compensation?

— Cinq bonnes doses dans ses deux trous.

Le langage cru et vicelard me mettait dans un état second, à tel point que je ressentit du plaisir à me faire limer. Je compris que j’étais peut-être fait pour être passif. Le black accéléra sa baise et pilonna mon cul. La jouissance me transporta au septième ciel. Par derrière, on me plaça un bandeau sur les yeux. Je me retrouvais donc dans le noir.

— Ça va pimenter la situation, mon chéri! me dit un des mecs.

On me retourna comme une crêpe. Sitôt fait, mes deux trous furent réinvestis. Je ne savais plus qui était dans ma bouche. Dans mon cul, je reconnaissais le sexe épais du black. J’ai à nouveau senti mon anus se dilater comme s’il allait exploser. Le plaisir ne tarda pas à suivre. Le temps passa doucement. Je subissais. Je prenais du plaisir en alternance. J’étais la chose de ces cinq mâles en rut. J’étais à leur entière disposition.

On m’obligea à respirer un produit qui accéléra mes pulsations cardiaques. Je me suis retrouvé dans un état euphorique. Je ne sais dire combien de temps cela dura mais j’ai compté quinze éjaculations: sept dans ma bouche et huit dans mon cul. Ce dernier me faisait horriblement mal et en y passant la main je sentis l’épais mélange des jus mélangés. Je me souviens de leurs dernières paroles:

— T’as aimé te faire doser par des vrais mâles? Hein, t’as aimé, sale pute? Parce que t’as plus à te poser la question... T’es pas un mec, t’es pas un «bi», t’es une fiote...

— Oui, une pute juste bonne à se faire doser à la chaîne! Là, t’es bien calibré et la prochaine fois on pourra passer à la vitesse supérieure... Vingt mecs! On va te trouver de bons bourrins bien membrés et bien excités... T’en connais plein, hein, Max!

— Tu rigoles, je ne connais que ça! Sur les chantiers où je bosse, y’a que des vicelards aux couilles gorgées de foutre bouillant. Du bon jus pour les fions de salopes...

Quand je me suis réveillé au petit matin, j’étais à poil dans un terrain vague et mes vêtements étaient en boule à côté de moi. Mes chaussures avaient disparu et mon slip était déchiré. Dessus il était écrit: «Une salope a le cul nu».

Le message était passé. La prochaine fois, si je ne voulais pas morfler, j’avais intérêt à me passer de sous-vêtements.

À suivre...

 

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Lundi 19 novembre 1 19 /11 /Nov 17:14

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Depuis cette première séance de dosage avec Maître Kurt, je suis dans un état pas croyable. À la fois très excité par l’expérience qui m’a donné du plaisir et paniqué pour avoir accepté de pratiquer le sexe à risques!

Maître Kurt m’a contacté dès le lendemain. Il m’assure que ma santé n’est pas en danger car il est certain de ses «clients». Je ne suis nullement rassuré et pourtant je sais déjà que je vais accepter son prochain plan. Ce second plan aura lieu chez lui mais il y sera seul.

Me voilà donc devant sa porte à enlever les rares vêtements qu’il m’a autorisé à porter pour me rendre chez lui. Nu, je sonne et me mets à genoux.

La séance va durer trois heures et sera plus éprouvante que la première. C’est dans la douleur qu’il me fait évoluer vers mon état de lope. Je subis de nombreux outrages et tortures mais j’arrive à passer le test.

Je passe plus d’une heure attaché dans une position inconfortable à suer comme un bœuf. Il me pisse à la gueule et me verse de la cire brûlante sur les parties les plus sensibles de mon corps endolori. Des pinces et des poids sont suspendus à mes tétines maltraitées et étirées. Je vogue entre douleur et plaisir. Il me rend accro à ses coups de bite. Je l’implore de m’enculer et il fait durer l’attente. Le remplissage de mes trous devient pour moi une drogue, un besoin impérieux. Je dois mériter l’honneur d’être baiser par sa bite de Maître. Ma chatte n’est pas son seul souci. Il me fait comprendre que des lopes comme moi, il en a plusieurs. Il est près de minuit lorsque je m’effondre sur la moquette et que je lèche mon sperme sur ses boots. J’ai le goût âcre du jus et du cuir sur la langue. Il caresse ma croupe. Je le sens fier de moi.

— Monte sur le lit! dit-il avant de quitter la chambre.

J’attends. Il ne revient pas. Je n’ose bouger. Je m’endors sur son lit et c’est pelotonné dans ses bras puissants que je m’éveille au milieu de la nuit. Je me sens comme une femelle dans les bras de son mâle dominant. J’ai l’impression de rêver mais non, Kurt me sourit amicalement, presque amoureusement.

— Je sais aussi être tendre et récompenser les mérites de mes lopes.

Il m’embrasse avec passion et je réponds à son baiser. Je bande. Il me fait rouler sur le dos, me demande de me détendre et glisse un coussin sous mes reins. Il me relève les jambes sur ses épaules. Mon cul ainsi offert, il n’a aucun mal à me pénétrer. Ce qui est génial c’est qu’ainsi je le vois entrer en moi et me pilonner comme une pute. Ses injures me comblent et avec sa permission je me masturbe doucement.

— Tu ne jouis qu’avec ma permission!

Pendant ma saillie, je lui trouve l’air heureux. Je le suis moi aussi de le voir pendant qu’il me prend.

— Je te bourre bien, hein, ma salope?

— Oui, Maître! Votre queue est bonne. J’aime la sentir me limer.

Soudain il se raidit.

— Pute! Chienne! Sale garce!

Son visage se crispe et je sens les saccades de son sperme m’envahir. Épuisé, il s’écroule sur moi. Quand je suis parti, Kurt m’a embrassé délicatement.

— Ta prochaine séance sera en extérieur. Tu seras moins considéré qu’une chienne. À toi de voir si tu veux continuer.

Il n’y a plus de contrainte mais j’ai envie de le revoir et de revivre des moments intenses avec lui et ses amis.

Je dois retourner à Paris dans 15 jours. Je ne sais pas encore si je dois, ou si je vais en profiter pour revoir Marc.

 

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Lundi 19 novembre 1 19 /11 /Nov 13:38

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À l’occasion du mariage de mon meilleur ami, j’avais organisé une soirée sympa pour son enterrement de vie de garçon. Nous avons 22 ans tous les deux et nous sommes très proches depuis notre tendre enfance. Matt est un hétéro macho mais notre amitié est si forte que même lorsqu’il a appris que j’étais homo il ne m’a pas tourné le dos.

La fête avait été organisée chez moi et j’avais invité quelques amis et parents. Nous étions une douzaine de mecs prêts à nous éclater en cette belle soirée de mai. La soirée commença doucement. Conversations autour d’un «pot» et de quelques «amuse-bouche», musique sympa et dansante... Tout se passait à merveille!

Inévitablement, lorsque l’alcool nous désinhiba et lorsque la fatigue opéra, la conversation dérapa sur un thème de mecs: le cul. Chacun y allait de son histoire excitante pour faire monter son ego. De petites histoires en histoires cochonnes, les derniers récits étaient nettement graveleux. Comme j’étais resté plus ou moins sobre, j’écoutais avec intérêt et je me faisais une petite idée de ce que chacun des mecs appréciait en matière de sexe. Je trouvais ça très intéressant!

— Finalement, tu es peinard, toi, Michel!

— Pourquoi?

— Pas de problèmes avec les nanas...

— Ce qui ne veut pas dire que je n’ai pas de problèmes du tout! Les mecs sont aussi parfois compliqués!

— Au fait, en baise, tu fais la femme ou l'homme?

J’ai souri.

— Ça intrigue toujours les hétéros ce genre de trucs, hein?

— On ne veut pas mourir idiots!

— Moi, je suis passif. Mais il y a des tas d’homos qui sont les deux: actifs et passifs. Ils ont autant de plaisir à se faire enculer qu’à enculer.

— Toi, c’est uniquement passif?

— Oui.

— Donc, on a aucune crainte avec toi... Tu ne risques pas de nous surprendre par derrière?

Le mec se mit à rire. Mon ami Matt s’énerva un peu.

— T’es vraiment trop con, Ludovic!

— Je sais mais j’ai été fabriqué ainsi!

Le père de Matt qui était de la soirée embraya sur le sujet.

— Et bien, à 50 ans, moi, je n’ai jamais vu deux mecs baiser ensemble... Je veux dire dans un film!

— Mais Michel en a sûrement des films comme ça... pour meubler ses longues soirées d’hiver! Non?

— J’en ai quelques-uns, oui!

— Tu pourrais combler un vide chez le père du marié!

Re-rires.

— Je ne suis pas certain que ce genre de films soit du goût de tous!

— Évidemment, un film de tapettes c’est sûrement rasoir!

— Eh petit con, j’aime les mecs... les vrais...

— Oui, et il les aime musclés et poilus! ajouta Matt.

— Tu es au courant de ça, toi, Matt?

— À ton avis? Michel est mon ami depuis plus de quinze ans... On n’a pas tellement de secrets l’un pour l’autre!

— Et vous avez...?

Là, j’étais exaspéré de tant d’ignorance.

— Ludovic, être ami d’enfance ça n’a pas de sens pour toi? Avec Matt, on s’est confié des tas de trucs sans pour autant les partager... physiquement.

— Mais si j’avais aimé les mecs, je pense que Michel aurait pu être mon mec. Il est génial comme ami... il l’est certainement comme amant...

Il m’avait scié, Matt.

— Bon, ce n’est pas tout mais, nous, on a entendu parler d’un film de cul entre mecs et on voudrait voir.

— Allez, Michel, on va se marrer!

— Moi, je ne regarde pas ça pour me marrer, les gars!

— Il dit n’importe quoi, cet abruti! On veut en voir un parce que... parce que ça existe et que...

— Cherche pas trop d’excuses, Étienne! lança Matt. Finalement, le cul même entre mecs ça excite les hétéros! Allez, Michel, vas-y... Mets leur un de tes films!

— Bien!

J’ai ouvert un meuble ou j’en avais une bonne vingtaine bien alignés. J’ai choisi un excellent film de la maison de production Titan et je l’ai glissé dans le lecteur DVD. Dès le générique, j’ai senti monter l’excitation.

— «Tresspass»! C’est un film de cul, ça? On dirait un western!

— Ferme-la, Ludo! cria Matt. Regarde et ferme-la.

Je me suis installé sur le côté et je les ai un peu tenus à l’œil. Ils s’étaient tous calés dans les canapé et fauteuils du living. Bien entendu, le début fut assez laborieux: boutades, sifflements, rires gras, provocation... Certains montraient à quel point ils étaient mal à l’aise. Moi, je rigolais intérieurement car je savais que nombre d’entre eux étaient bien excités. J’en voyais même qui bandaient ferme.

À la deuxième scène, tout changea. Constatant que les acteurs étaient de vrais mâles baraqués, super bien montés et très actifs, les spectateurs se calmèrent. Enfin, il la fermèrent. Je voyais que tous les yeux étaient rivés sur l’écran.

— Bordel, quelle scène! lança Matt tout excité.

— Je verrais ces gars dans la rue, j’imaginerais pas qu’ils...

— Ta gueule!

— En plus, ils ont l’air de vraiment prendre leur pied!

— Qu’est-ce que tu croyais? Qu’ils faisaient semblant?

Le frère de Matt – que j’ai toujours soupçonné d’en pincer pour moi – commençait à se toucher à travers son short.

— Putain! Cette connerie de film va finir par me fait bander.

— Finir!? Tu rigoles! Tu bandes depuis dix minutes! que je lui ai dit.

— Merde! Mais il me mate, ce cochon!

— Je vous mate tous et je rigole à mon tour.

Ils se regardèrent tous. Les visages étaient rouges et les braguettes gonflées. Le rire recommença... pour détendre l’atmosphère.

— Eh, les mecs, une bonne branlette entre mâles ça fait de mal à personne.

— Cédric a raison! ajouta Matt enhardi.

La plupart avaient déjà sorti leur queue et se caressaient en continuant de regarder le film. À la troisième scène – assez chaude, je l’avoue – les bites étaient dressées et dures. Moi, je flottais dans l’irréalité du moment. Je matais autour de moi pendant qu’ils mataient le film.

— Michel, tu ne nous accompagnes pas? demanda Ludovic d’un air intéressé.

— Tu veux voir une vraie bite de pédé c’est ça? ai-je répondu.

— Eu, non, je... je voulais simplement...

Il s’est tut.

Brisant un long moment de silence, le père du futur marié lança:

— C’est assez original comme enterrement de vie de garçon! Moi, j’ai toujours considéré que c’était la dernière fois qu’il était permis de braver des interdits. Mon fils, avant ton mariage, tu devrais baiser avec un mec! Essayer pour être certain de ne pas avoir raté quelque chose d’extraordinaire...

— Papa!

— Ton père a raison! continua Louis.

— J’aurais dû commander un gogo-boy! ai-je dit d’un air ironique.

— Pourquoi? Tu es là, toi!

— Eh! mais...

— Michel, ose dire que tu n’y a jamais pensé?

— Vous êtes fous!

— Non. Réalistes! Juste réalistes!

— J’y ai pensé... une ou deux fois mais...

— Moi aussi, j’y ai pensé! a clôturé Matt. Mais notre amitié était trop belle pour risquer de... Putain! Qu’est-ce que vous me faites dire!

Tout le monde nous regardait fixement, Matt et moi... comme si la suite dépendait de nous... Et elle dépendait effectivement de nous.

Matt s’avança vers moi et me prit la main. Il l’embrassa avant de la diriger vers son bas-ventre. Là, il la pressa contre sa bite bien dure. Bon sang quel morceau!

— C’est de ça que tu rêvais? me demanda-t-il.

— Il rêve de plus, Matt! Il la veut à un endroit bien précis.

— Ta gueule, Ludovic! ai-je vomi d’un air mauvais.

Ludovic ne l’ouvrit plus une seule fois. Mes doigts ont commencé à jouer sur le relief de la bite et j’ai regardé Matt droit dans les yeux.

— Et toi, c’est de ça que tu rêvais?

— Je peux te dire que c’est plus qu’agréable.

— Attends de voir ce que je peux faire avec ma bouche.

J’ai senti un frisson sur tous les occupants de la pièce.

— Vous savez ce qu’on dit... rien ne vaut une pipe de pédé, les femmes ne leur arrivent pas à la cheville...

— Putain, Michel, je n’aurais jamais pu ima...

J’ai mis un doigt sur ses lèvres pour l’obliger à se taire.

— Vas-y, Michel, sors-la et branle-la! a dit le père de Matt.

J’ai tiré l’engin de Matt à l’extérieur et je me suis mis à le branler doucement. Il gémissait doucement en fermant les yeux.

— Ne ferme pas les yeux, Matt! Ne les ferme pas où j’arrête...

— Excuse-moi... Je ne les fermais pas pour ne pas te regarder mais parce que c’est trop bon.

— Alors? demanda le père.

— Oh, papa, je peux te dire qu’il sait y faire!

— On peut participer? a demandé Cédric.

— Michel? m’a demandé Matt.

— Pourquoi pas! C’est la fête pour tout le monde.

Cédric et le frère de Matt s'approchèrent de nous... Ils me caressèrent les fesses et le dos à travers mes vêtements. Je sentais leurs respirations dans ma nuque.

— Enlevez ses vêtements! dit Matt.

Ils enlevèrent ma chemise, mon pantalon puis mon slip. Alors que j’aspirais la queue raide de mon pote, je sentais une dizaine de mains s’activer sur mon corps. C’était divin comme sensation. Le frère de Matt se mit à me sucer et il s’y prenait bien l’enfoiré. Ça n’était pas sa première pipe. Le père de Matt, lui, nous regardait en se branlant. De temps en temps, il y allait d’un commentaire ou d’un ordre bien viril. J’étais le seul à être complètement nu et j’avais le cul bien cambré.

— Putain! dit Cédric. Ce cul est superbe. Regardez au milieu... on dirait presque la chatte d’une nana. Je parie que c’est même plus serré...

Moi, je suçais Matt avec passion tout en dodelinant du cul pour bien les exciter.

— Qu’est-ce qu’on fait là? dit Cédric.

J’ai lâché la bite de Matt pour répondre.

— C’est ça qui différencie les pédés des hétéros. Nous on n’hésite pas, on sait directement ce qu’on doit faire... Y’a jamais de temps mort.

Les avais-je vexés? Toujours est-il qu’ils se sont déchaînés dans la minute qui suivit. Les vêtements ont volé dans tous les coins et ils se sont rués dans la «bataille» des corps. Ludo et Louis me caressaient le cul. Je sentais un puis deux doigts tenter une entrée dans mon intimité.

— Allez-y!

Le frère de Matt les poussa.

— Vous allez le rendre dingue à poireauter comme ça!

Il m'écarta les fesses, cracha sur la rondelle et poussa sa bite recouverte d’une capote.

— Ça c’est un vrai mec! ai-je lancé. Baise-moi bien, mec! Vas-y à fond. Je suis bien profond! Profite de toute la longueur...

Matt encouragea son frère à bien me limer.

— Je serai le suivant, frérot! Prépare-moi bien le terrain!

En réalité, il fut le troisième car son père se leva et vira ses frusques.

— Ça fait des années que je n’ai pas été aussi excité que ça! Bouge-toi, fiston, j’ai envie d’essayer moi-aussi.

Il m'enfila d'un coup. Il me fit un peu mal car sa queue était de bonne taille. Matt me retint la tête sur sa bite.

— Pompe, Michel, et ne pense pas trop! Ça va passer!

Ce que j’ai bien essayé de faire mais en vain. À chaque coup de reins, j’étais torturé.

— Oh putain! putain de bordel de... Matt, je suis coupé en deux! La bite de ton père est si épaisse et si longue qu’elle me scie...

Les autres s'était mis de chaque coté de notre trio. Je voyais leur bite dressées qui attendaient leur tour. C’était devenu un abattage.

— On dira ce que l’on veut, un cul de mec c’est le paradis! dit le père qui m’enculait moins sauvagement. Tu t’habitues, Michel?

— Oui, m’sieur! ça va mieux... Votre femme a du mérite!

— Et nous? demanda Cédric, un peu frustré.

— Laisse-moi encore un moment et puis tu auras la place.

— Vous pourriez demander à Michel, tout de même! continua Matt.

— Le suivant ce sera le marié! ai-je tranché.

Le père se retira et Matt prit place derrière moi. J’avais envie de lui depuis si longtemps. Contrairement à son père, il ne m'empala pas d'un trait... Il gagna centimètre par centimètre les profondeurs de mon conduit anal, jouant délicatement du bassin. Lorsque je fus bien rempli, il me laissa m’habituer à son calibre avant de le faire coulisser. Ce qu’il m’offrit fut géant! Je me suis même demandé si cette fête n’avait pas été plus belle pour moi que pour lui. Je sus plus tard que non.

C'est ainsi que je m'offris toute la nuit à un groupe d’amis hétéros pour leur permettre de goûter à des plaisirs qu’ils croyaient interdits et malsains. Certains eurent une vraie révélation et me remplirent plusieurs fois dans la soirée...

Nous n’avons jamais reparlé de cette nuit entre nous... sauf Matt... S’il s’est marié le lendemain, il est également devenu mon amant occasionnel. Lorsqu’il revient dans notre village, il fait un saut chez moi... pour me «sauter»... Il fait si bien ce genre de sport, mon Matt...

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Lundi 19 novembre 1 19 /11 /Nov 00:38

tumblr_mabrf0spUC1qg4n09o1_500.jpgimg_4324.jpgla teub de mon patron 

Je suis un jeune gars de 20 ans qui travaille depuis un mois en tant que coursier pour Guillaume R., associé d'un important cabinet d'avocat. Je partage mon bureau avec sa secrétaire, Laura. Je m’y sens bien et j’espère y rester un bon moment. Ce poste, je l’avais obtenu grâce à un ami de mon père.

Ce matin, j’ai eu une conversation avec Laura. Je suis du genre «rentre dedans» et je lui ai demandé si, avec son physique pin-up, elle était déjà passée à la casserole. Elle s’est mise à rire aux éclats.

— Ma question est si ridicule que ça?

— Un peu, oui!

— La promotion canapé ça existe tout de même?

— Ah oui, ça existe... mais ici, pas pour moi...

— Comment ça, pas pour toi?

— Roland, tu es très mignon mais aussi très naïf.

Je sentais la moutarde me monter au nez. J’ai horreur qu’on se paie ma tête.

— Ne me dis pas que tu es arrivé ici sans savoir où tu tombais?

— Il y a quelque chose que je devrais savoir à propos de cet endroit... quelque chose de si important?

— C’est un cabinet d’avocats gays!

Je suis tombé assis, foudroyé.

— Je sais, ça fait un choc... d’autant que j’ai compris tout de suite que toi tu étais plutôt hétéro. Je me trompe?

— Mais à 100%! C’est quoi cette arnaque?

— On voit que tu n’as pas l’habitude d’être dans le «viseur» des mecs... parce que je te prie de croire que depuis ton arrivée, ça matte!

— Hein?

— Ils t’ont tous remarqué. Un beau mâle de 20 ans, bien musclé, avec de beaux yeux gris bleu. Et ton cul... Mmmmmm...

Elle a ri à nouveau.

— Tu te fous de ma poire, là?

— Du tout! Le secrétaire du grand patron m’a même posé des tas de questions à propos de toi. Il en pince carrément pour toi. Crois-moi, si la promotion canapé existe ici, tu as toutes tes chances.

— Tu me fous les boules là, Laura! J’ai pas envie de devenir une tapette.

— Chuuut! me dit-elle d’un air fâché.

— Ne parle pas comme ça! Personne ne t’obligera jamais à faire des choses qui te dégoûtent, gros nigaud! Les gays ne sont pas des violeurs! Enfin, pas tous!

Son rire éclata une nouvelle fois.

— C’est qui au juste, notre boss?

— Tu l’as vu... C’est un homme d'une bonne trentaine d'années, charmant, conscient de son charme et amateur de sexe.

— Putain! dis-je en fermant les yeux. Je suis sûr que tu dis vrai... maintenant que j’y pense... son regard sur moi... ses yeux qui...

Au même instant, le parlophone s’alluma:

— Roland, vous pouvez venir un moment dans mon bureau?

J’ai bien cru me sentir mal. Laura m’a fait les gros yeux.

— Montre que t’es un mec! a-t-elle ajouté.

— Euh... Oui monsieur, j'arrive à l’instant...

Trente secondes plus tard, j’étais dans le bureau du patron.

— Roland, je suis désolé de vous demander ça à la dernière minute mais j'aurais besoin de vous ce soir. J’ai un important dossier qui n'est pas terminé et il faut que je le finalise ce soir. J’aurai besoin de vous pour les photocopies.

— Euh... Monsieur, j’ai... enfin... pas de problème.

— Prenez une heure maintenant et revenez vers 18h!

— Bien, monsieur!

De toute la soirée, mon patron n’eut envers moi aucun geste, aucun regard douteux et je finis par me rassurer. Laura m’avait sûrement un peu chambré. Il était 22h passées lorsque notre travail fut terminé.

— Nous avons très bien travaillé! me dit-il en se levant et s'installant dans le fauteuil de cuir. Venez vous asseoir un moment.

Il tendit la main vers le bar et me proposa un verre.

— Je vous connais peu finalement. Vous m’avez été chaudement recommandé mais je ne sais rien de vous, Roland.

Je pris place, timidement et nous entamâmes une conversation à propos de tout et de rien:

— Avez-vous une petite amie?

Paf! C’était tombé! Le sujet brûlant auquel j’aurais voulu échapper...

À quoi servait de mentir.

— Non, monsieur, je n’en ai plus...

— Vous aimez profiter de votre jeunesse?

— On peut dire ça.

— Vous avez raison. Vous êtes un garçon intelligent!

— Merci, monsieur!

— Quand nous sommes seuls, tu peux laisser tomber le monsieur!

Ce disant, il appuya sa cuisse contre la sienne et me lança un sourire amical.

— La place ici t’intéresse?

— Disons que je n’ai pas trop le droit d’être difficile...

— Mais ça ne t’empêche pas d’être un gars ambitieux?

— Ouais.

— Je l’ai vu tout de suite. Jeune loup aux dents acérées!

— Je n’irais pas jusque là.

Nous avons ri de concert. Mon patron avait fini par me mettre à l’aise.

— J'ai des projets très intéressants pour nous.

— Nous?

— Le bureau!

— Ah oui...

— J’aimerais que tu fasses partie de ces projets. Notre bureau est une grande famille. Mais ça, Laura n’aura pas manqué de t’en toucher un ou deux mots!

Il me fit un clin d’œil.

— Tu veux progresser rapidement dans ton travail?

— J'aimerais bien.

— Je suis prêt à te faire suivre plusieurs formations pour te former à l’informatique. Notre service n’est pas aussi performant que je le voudrais. Le big boss m’a chargé de réorganiser tout ça... J’ai pensé à toi...

— C’est... vraiment gentil... Je ne sais pas...

— Tu es inquiet?

— Un peu.

— C’est ce que t’as raconté Laura qui te rend nerveux?

— Je... je suis désolé mais... je ne suis pas...

— Je sais. Je n’ai pas l’intention de t’obliger à faire quoi que ce soit.

Ses yeux si doux se sont plantés dans les miens.

— Roland, je n’ai plus dit ça depuis longtemps... Je suis tombé amoureux fou de toi dès notre première entrevue... Je voudrais te faire l’amour...

— Ce soir, c’était...?

— Ma seule façon de me retrouver en tête à tête avec toi.

Un peu mal à l'aise, je me tortillais sur mon siège.

— Je sais que tu n’es pas gay. Je sais aussi qu’on ne peut pas dire qu’on déteste une chose si on n’y a pas goûté. Je vais juste te demander ceci... Essaie! Je suis sûr que tu vas aimer! dit-il en tendant la main pour me caresser les cheveux.

J’avais l’impression qu’il allait me sortir un truc du style: "Si tu es gentil, je vais l'être aussi beaucoup avec toi, genre augmentation de salaire et avantages plus que sociaux."

— Tu te sens bizarre, n’est-ce pas?

— Oui.

— Moi aussi, je me sens mal. J’ai tellement peur de t’effrayer et de te voir t’enfuir... J’ai vraiment une attirance pour toi. Me comprends-tu?

— Le sexe entre mecs c’est pas mon truc!

— Je vois ton petit cul moulé dans ton pantalon depuis des jours et ça me rend dingue. Est-ce que j’y ai déjà mis la main?

— Non!

— Pourtant, crois-moi, je bande comme un taureau à chaque fois que je le vois passer. Je vais bien te baiser et, après, je pourrais enfin me concentrer sur mon travail.

Mon patron s'avança et une main derrière ma nuque m’attira vers lui. Ses yeux vrillaient les miens.

— Tu n’imagines pas à quel point tu m’excites.

Il saisit ma main droite et la colla contre son entrejambe. Il avait une extraordinaire érection. Quelle bite! C’était une sensation curieuse de se rendre compte qu’on peut exciter un homme à ce point. Cette érection, c’était moi qui la provoquais!

Mon patron ne brusqua pas les choses.

— Tu sens mon désir pour toi?

— O...oui!

— Ouvre la bouche et donne-moi ta langue. Je veux te montrer un chemin dont tu ne connais rien. S’il te déplaît vraiment, tu auras le droit de partir... D’accord?

J’acquiesçais soutenant le brun profond de ses yeux.

Il enfonça sa langue dans ma bouche. J’ai répondu à son baiser un long moment. Bizarrement, je n’avais pas envie de fuir à toutes jambes. J’étais sans doute subjugué par cet homme charismatique et séduisant. Je voulais savoir.

— Nous serions tellement mieux chez moi... Tu veux?

Et je l’ai suivi.

Trente minutes plus tard, j’étais en boxer Calvin Klein sur son grand lit.

— Mais qu'est-ce que je vois? Un sous-vêtement de pédé! Tu caches bien ton jeu, mon petit cochon, dit-il en m’attirant contre son corps musclé. Sa bouche happa violemment la mienne et ses mains glissèrent entre mon boxer et mes fesses bien dures.

— Pas trop vite... S’il vous plaît!

— Excuse-moi! Tu me mets dans tous mes états...

Il écarta les doigts pour prendre mes fesses à deux mains et les soupeser.

— Dire que c’est un terrain vierge!

— Plus pour longtemps, j’ai l’impression!

J’avais dit ça d’un air non désabusé mais plutôt fataliste. J’acceptais presque irrémédiablement la chose. Mon patron allait m’enculer.

— Pour la première fois, ça peut être toi qui m’encules!

— Vrai?

Il me sourit.

— Je suis versatile. J’adore mettre et me faire mettre. J’adorerais être pris par toi...

Il palpa mes fesses et les claqua un bon coup. Mon visage s’illumina.

— Woaw! Tu as l’air d’aimer ça. Tu aimes que je te les claque, tes jolies fesses, petit cochon?

Mes fesses lui faisaient beaucoup d’effet car il s’en occupa énormément. Il les massa, les pressa, passa la main dans la raie et titilla mon trou serré.

— Mmm c'est tout chaud ici! Tu es tout mouillé, mon gars... J’adore les petits vicieux dans ton genre.

Je n’en pouvais plus. Ma bite s’était mise à gonfler d’excitation. La tête renversée en arrière, je haletais et les mots cochons qu'il me disait m'excitaient encore plus. Il m’arracha mon boxer et me mit à quatre pattes sur le lit, cul bien cambré.

— Je vais bien te bouffer le cul, mon ange! Tu vas adorer ça...

Il fit glisser son index dans mon trou, y joua un peu. Ensuite, me sentant prêt, il écarta mes fesses puis il y plongea le visage. La sensation fut inouïe et je hurlais ma jouissance.

— Ouiiiiii, voilà... Tu jouis, petite salope. Maintenant c’est à toi de me faire du bien... Tu veux?

J’ai fait oui de la tête.

— Viens! Tu vas me faire voir ce que tu peux faire avec ta jolie bouche. Viens me sucer.

Sa bite était énorme: longue et épaisse. J’étais impressionné. Il posa sa main sur sa queue et décalotta le gland.

— Elle te plaît ma grosse queue?

— Oui. Elle est impressionnante...

— Les petits cochons d’hétéros dans ton genre aiment bien les grosses queues toutes dures. Mets-toi à genoux et suce!

Il empoigna mes cheveux pour amener mon visage au niveau de sa bite. J’ai ouvert la bouche et d’un coup de reins son engin m’a rempli la bouche. Lorsque je l’ai sentie buter contre le fond de ma gorge, j’ai un peu flippé...

— T’inquiète, mon minet, tu ne vas pas t’étouffer! C’est pas le premier petit mec qui me pompe... Je sais comment m’y prendre pour te faire progresser. Tu aimes?

À nouveau, d’un geste de la tête je lui ai fait comprendre que oui. J’étais prêt à être un élève appliqué et à découvrir les faces cachées de ma sexualité. Pour que ma bite soit aussi dure, il fallait que mon corps trouve ça agréable...

— C'est ça, suce, suce bien, caresse-moi les couilles en même temps. C’est la première que tu suces, c’est vrai?

— Oui.

— Tu avais déjà vu une aussi grosse queue?

— Non! J’ai vu celle de mon frère mais elle n’est pas si grosse.

— Celle-ci est pour toi. Profites-en bien! Reprends ton travail, on ne parle pas la bouche pleine! ajouta-t-il en donnant de plus grands coups dans ma bouche accueillante.

— C’est gros!

— Allez, ne te plains pas... Continue, ne t'arrête pas... c'est bon.

Je l’ai sucé comme ça un long moment.

— Arrête, sinon je vais tout lâcher... Je veux t’apprendre d’autres choses... Tu veux?

— Oui.

Il me coucha sur le dos et m’écarta les jambes. Il promena son gland dans ma raie et le frappa plusieurs fois contre mes fesses. J’avais de petits frissons.

— Tu la veux hein? Tu veux te faire mettre, petit cochon?

— Doucement alors...

— Oui, en douceur. Faudrait pas te dégoûter d’une bonne chose en m’y prenant mal.

— Ça va faire mal au début?

— Ça arrive, oui! Ça ne dure jamais...

Tout en parlant, il avait déroulé une capote sur sa bite et m’avait lubrifié avec un gel doux.

— Tiens, prends bien ma pine.

D’un coup léger, il s'enfonça dans ma moiteur. Il s'arrêta au fond et me laissa m’habituer, savourant la sensation d’être en moi.

— Je peux continuer? me demanda-t-il.

— Vas-y!

Il reprit son mouvement. Nos deux corps se mirent en mouvement, fusionnant dans le plaisir. Mon patron m’attrapa les hanches et me baisa plus sauvagement. Je trouvais ça si formidable que je ne lui dis même pas que j’avais parfois un peu mal... Il se déchaîna.

— Oh, oui, salope, tu aimes... dis-le!

— Oh oui, c'est bon, c’est trop bon... Baise-moi... Vas-y... Baise-moi à fond...

Il remonta mes jambes verticalement et les embrassa. Il me baisa furieusement, en grognant comme un animal en rut. Il me limait en me claquant les fesses et il nous amena ensemble à l'orgasme.

— Putain, mon ange, que ton cul est bon! Je vais te faire jouir comme jamais. Ouvre-toi, oh oui, hum tu es très étroit, j'adore...

— Oh oui, Guillaume, baise-moi. Je te veux au fond de mon cul.

— Tu aimes hein, petit vicieux, je le savais, ton petit trou serré a l'air d'adorer ma grosse queue, ohhhh oui c'est si bon...

Il me martelait le cul très énergiquement en m'insultant. Je trouvais ça très excitant comme situation.

— Tiens avale, tu me vides salope, prends tout...

Il donna encore quelques coups de reins puis se retira et éjacula une quantité phénoménale de sperme sur mon ventre. A mon tour, je crachais mon jus épais qui se mélangea au sien. Il s’effondra sur moi et m’embrassa.

— Tu m’as crevé.

En me caressant les cheveux, il me dit:

— Tu veux passer la nuit ici?

— Oui.

— Tu dois prévenir quelqu’un?

— Non.

— Si tu retrouves des forces tout à l’heure, tu pourras m’enculer à ton tour...

Je suis devenu un des amants de mon patron et je dois l’avouer... je suis dingue de sa grosse bite.

 

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Dimanche 18 novembre 7 18 /11 /Nov 15:05

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— Vous avez une très grosse queue, monsieur!

Jamais je n’aurais pu imaginer entendre un jeûnot de 17 ans me faire une pareille remarque... encore moins sous mon propre toit. Pourtant, ce matin-là, dans ma salle de bain, j’ai compris qu’il existait encore des choses à découvrir... À 53 ans, j’avais du bonheur devant moi!

Je m’appelle Martin mais tout le monde m’appelle Many. J’ai donc 53 ans, je suis veuf et père de deux enfants. Luc a 35 ans et est lui-même père de Christophe qui a 16 ans. Ma fille Nancy a 32 ans et a 3 enfants. Je suis un jeune papy heureux. J’aurais pu l’être plus encore si ma chère épouse n’était pas partie pour l’autre monde il y a 15 ans... Si je ne me suis jamais remarié, je n’ai jamais fait voeu de chasteté et ma vie sexuelle a été (et est toujours) bien remplie. J’ai eu plusieurs maîtresses régulières et d’autres passagères. J’ai un corps bien entretenu et viril: une toison distinguée recouvre mes cuisses et mon torse ainsi que mes fesses et mes avant-bras.

Il y a trois mois, mon fils a obtenu un poste d’infirmier en chef dans un hôpital à l’autre bout du pays et, après de nombreuses discussions, il a été décidé de me confier Christophe, mon petit-fils. Celui-ci, en pleine année scolaire, ne désirait pas suivre ses parents à Marseille. Je pense surtout qu’il n’avait pas envie de quitter son cercle de copains avec qui il avait grandi. Parmi eux, un certain Romain que j’avais entrevu quelques fois et qui semblait être un garçon «rangé» et de bonne fréquentation. À plusieurs reprises, Christophe coucha chez son copain avec mon approbation. Lorsque mon petit-fils me demanda si Romain pouvait dormir chez moi pour deux ou trois nuits en l’absence de ses parents, je ne pus qu’accepter. Le premier matin, Christophe fit «grasse matinée» tandis que son copain me rejoint assez tôt dans la cuisine. Le gaillard m’apparut vêtu uniquement d’un mini short qui moulait parfaitement son service trois pièces. Un beau spécimen, ce Romain. Les filles devaient en raffoler. Ses attitudes étaient toutefois bizarres. Il me tournait autour en me frôlant et en mettant bien en valeur sa plastique impeccable: pectos saillants, torse large et finement velu, cuisses fermes et gueule d’ange. Je mentirais si je disais qu’il ne me troublait pas. Il me faisait même de l’effet: je me mis à bander. De temps en temps, sa main glissait dans l’échancrure de son short comme pour remettre ses «outils» en place ou s’assurer qu’ils sont toujours là. Petit-déj’ pris, je lui dis qu’il prenne son temps pour prendre le sien et que j’allais me doucher à l’étage. Il me lança un grand sourire et me regarda sortir de la pièce.

Dans la salle de bain, je me suis regardé dans la glace comme pour me poser une question. Est-ce que je rêvais ou est-ce que ce garçon me draguait? Mon trouble ne finissait pas de grandir et ma queue se dressa lorsque j’ôtai mon pantalon. Machinalement, je me suis mis à me caresser... revenant sur terre, j’ai réglé le jet de la douche et je me suis lavé à l’eau presque froide. J’en avais besoin. Quelle ne fut pas ma surprise de voir Romain jaillir dans la salle de bain quelques instants plus tard!

— Ça vous ennuie si je me lave les dents pendant que vous prenez votre douche?

— Euh... (J’étais scié, perdu, sans voix...) C’est à dire que... (Devais-je avoir l’air con et prude.) Non... Non, vas-y!

— C’est aimable à vous.

Tout en faisant mine de s’occuper de ses dents, le garçon me matait dans la glace et se tripotait l’avant du short chaque fois qu’il le pouvait. Il avait une belle érection et n’essayait même pas de la cacher. C’est là que tout bascula. Il se retourna vers la cabine de douche et me lança:

— Vous avez une très grosse queue, monsieur!

— Je... je n’ai jamais eu à me plaindre.

— Et encore, là, elle est au repos!

— Ce n’est pas comme la tienne!

— C’est à cause de vous, m’sieur!

— De moi?!!

— Vous m’impressionnez!

— Ah bon!

— Vous n’avez pas du tout l’air d’être le grand-père de Christophe. Si vous voulez savoir, vous êtes même drôlement mieux foutu que mon père et la plupart de ses amis. Excusez-moi d’être aussi franc mais...

— Au contraire, c’est très gentil... et c’est agréable d’entendre ça dans la bouche d’un jeune gars...

Ma douche terminée, j’attrapais la serviette pour commencer à m’essuyer. Mon sexe devenait lourd. Je le sentais s’épaissir. Je redoutais l’érection et, en même temps, je l’espérais... Orgueil de mâle! Un mec de 53 ans qui peut montrer une belle érection à un gamin de 17 ans!

— J’aimerais vous ressembler plus tard.

— J’ai l’impression que tu seras même mieux. À ton âge, je n’étais pas aussi bien foutu...

— Vrai?! Enfin, c’est vrai que vous me trouvez... euh... que vous me trouvez bien!

— Je suis sûr que pas mal de filles ont dû te le dire! Et que tu en as largement profité!

— Pour me le dire, c’est sûr! Pour ce qui est d’en profiter, voilà autre chose... Ce n’est pas trop mon trip...

— Qu’est-ce qui n’est pas ton trip? L’amour?

— Oh si, l’amour j’adore ça... Mais pas avec une fille... Avec un mec!

Voilà, c’était tombé! Vlan! Ce que je redoutais arrivait... Je crus défaillir...

— Tu en es sûr?

— Sûr et certain! Oh, mais ne craignez rien... Entre Christophe et moi, c’est seulement de l’amitié. Votre petit-fils est 100% hétéro et moi j’aime les hommes, les vrais... comme vous!

— Mais tu as essayé avec...

— Avec les filles? oui... plusieurs fois... mais, voyez-vous, avec aucune ceci (Il me montrait la bosse dans son short.) n’arrivait. Pas moyen de bander! Tandis qu’avec des hommes...

— C’est donc moi qui te mets dans cet état?

— Oh oui, m’sieur! J’ai tellement envie...

— De quoi as-tu envie?

La réponse ne fit jamais mais il tomba à genoux devant moi, embouchant d’un coup ma queue qui n’en revenait toujours pas. En trente secondes, elle lui remplit la bouche à l’étouffer. Depuis des années, je n’avais connu pareille excitation. Ce petit gars savait y faire; il s’occupait de mon gland, de la longueur de la queue, des couilles avec brio. Jouant comme un pro avec sa langue, il me prodiguait les soins les plus savants. Sa fellation dura plus de dix minutes et lorsqu’il me sentit prêt à jouir, il s’arrêta et se releva...

— Pas comme ça! Pas aujourd’hui, en tout cas... Ce matin, je veux vous sentir en moi... ailleurs...

Mon regard sondait le sien. Il n’y avait aucun doute là-dessus, Romain voulait que je l’encule, que je le possède...

— Je veux être à vous... à toi...

— Je ne sais pas si...

— Moi, bien je sais!

Son short tomba lorsqu’il en desserra le cordon et il se pencha pour fouiller dans une poche. Il me montra un préservatif et se colla contre moi. Cette chaleur! Cette douceur et cette force à la fois!

— Il n’y a aucun piège, je te jure. C’est ce que je veux depuis longtemps... serre-moi contre toi!

Il s’est blotti contre ma poitrine et mes bras l’ont enveloppé doucement. Sa bouche a embrassé un de mes tétons dressés et la langue s’est mise à jouer avec. Mon corps se réveillait à la jouissance. Si je ne m’étais pas retenu, j’aurais pu jouir, là, d’un seul coup. Mais je voulais lui donner ce qu’il voulait. Il m’a pris par la main pour m’entraîner dans ma chambre, sur mon lit... Je réalisais alors la présence de mon petit fils sous mon toit. Romain comprit et dit...

— Si c’est à Christophe que tu penses... Il sait... Il m’a aidé à avoir ce que je désirais le plus au monde... C’est mon ami, un vrai... Il ne sortira pas de sa chambre avant que...

Je n’en revenais pas. Mon petit-fils avait arrangé cette rencontre! Il avait poussé son meilleur ami dans les bras de son grand-père! Décidément, j’allais de surprises en surprises...

— Viens, Many, viens me faire l’amour!

— Je vais te faire l’amour, mon agneau...

Ces mots étaient sortis avec une telle aisance. Je n’avais pas honte à les dire et encore moins à les penser. Il me saisit la bite, en souriant, et m’attira dans ma chambre. Il était éblouissant de beauté et j’étais fou d’excitation. Mes yeux ne quittaient plus cet adorable petit cul rond et ferme... où il allait m’aspirer. J’ai refermé la porte de la chambre et lorsque je me suis retourné, il était à quatre pattes sur le lit... mon lit! Il m’offrait une des plus belles visions que je n’avais jamais eue. Ses deux mains caressaient ses globes fessiers puis les écartaient sensuellement. Ce garçon si «rangé» et de bonne fréquentation se transformait en petite «femelle» prête à tout. Je me suis approché de lui et je lui ai flatté le cul d’abord avec douceur...

— Claque-moi les fesses! Je suis un vilain garçon avec des idées sales en tête, Many! Punis-moi... Donne-moi une fessée...

Ce garçon réclamait une punition, la revendiquait. La situation était follement excitante. J’ai appuyé au bas de son dos pour qu’il creuse plus fort la cambrure de ses reins.

— Cambre-toi bien! Montre-moi bien ce que tu as à m’offrir...

— Je veux te donner tout. Tout est à toi. Tu dois prendre tout. Je suis... je suis...

— Tu es quoi?

— Ta petite pute!

— Mmmm, c’est vrai ça?

— Oh oui, Many, je suis ta pute...

— Et tu as de vilaines pensées, c’est ça?

— Oui. Je pense sans arrêt au sexe.

— Explique-moi ça en détails!

Et ma main claqua sur la rondeur de sa croupe bien cambrée. Il gémit de bonheur.

— Je pense à des grosses queues, Many... des grosses queues comme la tienne... qui s’enfoncent en moi...

Seconde salve. Plus forte. Il geint.

— Elles me prennent par tous les trous... et je prends du plaisir à les sentir glisser en moi... Ma gorge s’étouffe... Mon cul souffre mais c’est mon désir...

— Et tu voudrais que je te fasse ça, n’est-ce pas?

— Oui, Many! J’aimerais que tu me...

— Baises?

— Oui, Many!

— Ce n’est pas de l’amour que tu veux alors?

— Oh si! si! Je ne conçois l’amour qu’ainsi... Tu es mon Maître, mon amant... Tu as tous les droits sur moi...

— Celui de te baiser?

Ma main claqua plus fort, laissant une trace rouge sur ses fesses douloureuses. Il n’en pouvait plus.

— Prends ma chatte de mec, Many! Enfonce ta grosse bite dans ce trou, TON trou...

— Il ne sera plus qu’à moi CE trou?

— Oh oui, c’est mon plus cher désir!

— J’ai du mal à le croire. Je crois que tu es une petite chienne en chaleur et que tu t’abandonneras à toutes les grosses tiges que tu rencontreras.

— Mais tu me puniras, Many! Tu feras de moi un brave garçon...

— Alors je vais te baiser puisque tu le mérites...

Je me suis agenouillé derrière lui et j’ai enfoui mon visage dans sa raie tendre et duveteuse. Un régal! Une odeur juvénile et masculine à la fois... Ma langue lécha la fente offerte et titilla le petit trou frippé. N’en pouvant plus, il réclama que je l’introduise en lui. Une nouvelle claque le calma.

— Ce sera lorsque j’en aurai envie, petit! Seulement lorsque ce sera MON désir.

— Oui.

Mon travail de la langue reprit de plus belle. J’enfonçais la pointe d’abord au pourtour puis très loin dans le fourreau serré. Il se tortillait en poussant des cris de jouissance. Je pris un malin plaisir à prolonger cette séance pendant dix à quinze minutes, le poussant au paroxysme de l’excitation (et moi aussi par la même occasion).

— Donne-moi la capote! lui ai-je ordonné.

Il déchira l’enveloppe et me tendit la rondelle de caoutchouc. Lorsque je la fis glisser sur ma bite bien droite et raide, je le vis me mater par-dessous ses cuisses en se passant la langue sur les lèvres. Son regard brillait d’envie. J’avais devant moi une espèce de Jekyll and Hyde, un mec au double-visage: d’un côté le petit étudiant clean et de l’autre la pute en chaleur. Cette petite pute allait en avoir pour son argent.

— Maintenant, parce que j’en ai très envie, je vais te baiser.

Je me suis positionné, derrière sa croupe, en conquérant, et j’ai forcé en douceur son intimité. Son trou, comme je l’avais imaginé, aspira littéralement mon sexe gainé. Il avait été très bien préparé par ma bouche.

— Oh ouiiiiiii, Many, prends-moi à fond!

— Viens doucement à ma rencontre, mon bébé! Pousse ton petit cul vers mon ventre...

— C’est bon... c’est délicieux... Tu me remplis jusqu’au bout...

— Tu aimes ça, hein?

— Ouiiiii!

— C’est ça que tu voulais?

— Ouiiiii!

Au début, même sous l’emprise de l’excitation, j’avais peur de lui faire mal et de le blesser, le déchirer. Comme je le sentais réceptif, je me suis permis de passer à la vitesse supérieure. Mes coups de reins s’enhardirent. Mes mains glissaient sur la soie douce de son dos et pétrissaient ses muscles saillants. Je goûtais avec délectation - pour la première fois - aux joies du sexe entre mâles. Car c’était bien à un petit mâle bourré de testostérone que j’avais affaire. Il prenait seulement du plaisir à se la jouer «femelle» face au macho que je suis... Tout ça n’était qu’un jeu: jeu de rôles et de séduction; jeu pervers et ambigu... dans lequel je plongeais avec joie.

— Laboure-moi! Force-moi le cul avec ton mandrin, Many!

— Tu en veux toujours plus, c’est ça?

— Oui

— Et quand je t’aurai donné ce que tu veux, tu iras chercher plus ailleurs, n’est-ce pas?

— Non, Many! Pas si tu me tiens bien. Je voudrais tellement t’appartenir... Etre à toi et rien qu’à toi... Vénérer ton corps de mâle et ta bite d’étalon... Tu fais si bien l’amour...

Une claque sur ses reins cambrés. Il gémit.

— Je pensais que c’était de la baise!

— Dis-moi que tu aimes t’occuper de mon cul, Many! Je suis le premier, n’est-ce pas?

Je n’avais pas envie de répondre à ses questions. J’étais le mâle dominant et il n’avait qu’à subir. Pourtant mon coeur fondait comme du sucre... Ce petit mec m’avait tourneboulé et je ne savais plus trop où j’en étais. Christophe me revint à l’esprit et je me mis à me demander s’il entendait nos ébats. Cela me troublait encore plus.

— Je voudrais que tu me prennes sur le dos... pour te voir!

— J’ai encore mieux pour toi! lui ai-je dit.

Je me suis couché sur le dos, la tête relevée par l’oreiller, et je lui ai donné l’ordre de s’empaler sur ma queue. Il s’est installé au-dessus de mon bas-ventre, jambes écartées et ployées, pour descendre doucement vers l’objet de tous ses désirs. La position qu’il m’offrait était tout bonnement jouissive. Ce corps superbe qui allait à ma rencontre, à la rencontre de ma virilité, c’était si beau...

Je me suis fait plus tendre, l’amenant à s’autovioler.

— Viens doucement, bébé! Descends sur ma queue et avale-la. Je sais que tu ne vis que pour ça... pour cette belle grosse tige luisante...

— Oh oui, elle glisse à fond...

— Tu peux faire mieux que ça, bébé! Il reste un morceau.

— C’est si long.

— Tu dois tout prendre, bébé. Toute la longueur doit entrer dans ton cul... Un vrai cul de salope ça prend tout...

— Oui, Many!

Et mon petit gars, le visage pourpre et tordu de douleur, s’est empalé par petits coups sur mon mandrin dressé... Il l’a branlé durant une heure à la force de ses sphincters endoloris. Il le voulait et il l’a eu. Nous avons changé plusieurs fois de position et finalement nous avons atteint l’ultime jouissance en choeur. Lui sur mon ventre et moi sur son visage béat. Nous étions vidés de nos forces et de notre substance. Il s’est blotti à nouveau contre moi, enchevêtrant ses longues jambes poilues dans les miennes. Il déposa un tendre baiser sur ma poitrine en remontant vers ma bouche.

— Many, je t’aime!

Et c’était vrai!

 

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Dimanche 18 novembre 7 18 /11 /Nov 12:57

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Ma sensation la plus forte a été quand j’ai vu, pour la première fois, le sexe de mon beau-père s’enfoncer dans le cul de son fils, mon mec! Vous suivez? Non? Bon, je vais tout vous expliquer...

J’en bande encore en y pensant et en me rappelant ces images. Ce qui est extraordinairement excitant, c’est de s’apercevoir qu’il faut très peu de choses pour qu’un père de famille accepte d’avoir des rapports avec son propre fils et arrive même à transformer celui-ci en une véritable salope qui se donne sans retenues à plusieurs hommes à la fois.

Étienne, mon mec, dit m’avoir toujours été fidèle depuis notre rencontre. Je n’ai pas de raisons de ne pas le croire. Bien sûr, lorsque je l’ai rencontré, il était loin d’être vierge. Il est grand, mince, bien foutu, très mignon. Il n’avait jamais eu de mal à se trouver un partenaire. Dans le milieu gay, il avait la réputation d’une vraie salope. C’est un peu ce qui m’a attiré vers lui. Après notre première nuit d’amour, j’ai compris que chez Étienne, il y avait autre chose... Nous sommes tombés amoureux fous et nous nous sommes mis en ménage. J’ai fait la connaissance de son père très tard car Étienne et lui ne s’entendaient pas fort. Le père ne supportait pas d’avoir un fils pédé et il considérait que la vie de celui-ci était vide et obscène...

Au fil du temps, Robert – que j’appellerai mon beau-père – a fini par m’apprécier et est devenu moins bourru. Il m’a dit un jour que je faisais du bien à son fils. Je lui ai répondu:

— Je l’espère bien!

Ça l’a fait sourire. De mon côté, j’ai aussi appris à connaître ce grand bonhomme de 48 ans aux tempes grises et au charme désarmant. Nos conversations pouvaient durer des heures et toujours avec intérêt et respect. Robert m’avait réellement adopté.

Étienne et moi, nous sortions peu mais, les rares fois où nous le faisions, j’ai souvent constaté que des hommes le lorgnaient d’un air intéressé. Cet état de fait m’énervait et m’excitait à la fois. Un soir que nous étions au restaurant, Étienne qui était encore plus désirable que d’habitude, avait attiré bien des regards. J’avais même vu un frôlement de la part du patron du resto... Dans la voiture, je lui avais fait quelques reproches et nous avions fait l’amour très fort, tout de suite en rentrant à la maison. Il m’avoua qu’il aimait beaucoup que des hommes le regarde et aient envie de lui.

— Tu sais, il m’est arrivé plusieurs fois de me faire «toucher» les fesses dans le métro!

— Tu ne m’as jamais rien dit!

— Je sais me défendre, mon amour... Je suis un grand garçon!

— Comment voudrais-tu que ça ne me rende pas jaloux?

— Je sais aussi que ça t’excite d’avoir un mec qui suscite le désir. Dis que je mens!

— Tu as toujours le don de retomber sur tes pattes, hein!

— Et puis ces mecs qui me frôlent, ils ne sont pas dangereux! Ils ne font que passer... Et moi ça m’amuse!

— Dis plutôt que ça t’excite!

— Aussi, oui! Je sais que je suis un petit obsédé du cul... J’y pense souvent... Il m’arrive même de penser à des trucs... franchement déplacés... enfin des trucs qui devraient me dégoûter!

— Raconte!

— Je fais des rêves cochons où... putain, ça me gêne d’en parler...

— Trop tard! Tu as commencé... crache le morceau...

— Je fais des rêves bizarres... des rêves où mon père me baise.

— Ton père?!

— Tu connais mon père et tu sais à quel point il a difficilement accepté mon homosexualité. C’est un homme assez rigide et jamais il n’a fait quoi que ce soit qui puisse... Enfin, tu comprends!

— Ton père est un veuf de 48 ans qui a été blessé lorsqu’il a appris ton homosexualité. Je pense qu’aujourd’hui, il a avalé le morceau. Toi, tu dis qu’il est rigide et froid; moi, qu’il a un charme fou et un charisme hors normes...

— On pourrait croire que tu en es amoureux!

— Ça t’étonne?

— Pas trop, non! Je sais que tu l’apprécies et que c’est réciproque.

— Donc, ton père te fais fantasmer!

— Nooooon!

— Siiiiiiiiiii! Ne joue pas à ce jeu idiot... Ton père te fais fantasmer. Point. Franchement, Étienne, moi aussi, je le trouve bandant. Je parie qu’il a une bite encore plus grosse que la tienne... et c’est déjà pas mal!

— Arrête de parler de ces choses!

— Je te signale que c’est toi qui a commencé... Il est bien foutu: belle gueule virile, torse solide et poilu, tétons dressés, cuisses musclées... Vraiment bandant, je te confirme!

Notre conversation s’arrêta deux ou trois minutes plus tard car la sonnerie de notre appartement retentit. Il était minuit trente et nous trouvâmes ça curieux. En regardant par la fenêtre côté rue, je vis mon beau-père sur le trottoir.

— Quand on parle du loup!

— C’est mon père?!!

Je le confirme. J’ai ouvert la fenêtre et j’ai crié:

— Je vous ouvre la porte!

— Merci.

Je lui ai donc ouvert. Il était particulièrement bien habillé et comme d’habitude, avait beaucoup de classe.

— Si je n’avais pas vu de la lumière, je ne me serais pas permis de sonner. Je reviens d’un vernissage et je passais en voiture.

— Entrez, Robert! lui ai dit en lui serrant la main. Intéressant ce vernissage?

— Pas trop. Un petit con qui se prend pour le nouveau Mondrian et qui est juste bon à faire du coloriage...

Il est entré et s’est dirigé vers le living où il est allé embrasser son fils. Mon chéri était bien embarrassé après ce qu’il venait de m’avouer.

— Vous étiez de sortie également?

— Un resto simplement...

— Je ne vais pas vous embêter longtemps.

— Vous ne nous embêtez pas, Robert. Asseyez-vous, nous allons prendre un verre...

— C’est gentil... J’ai à peine bu... le vin blanc était bouchonné!

— Ah! c’était la totale dirait-on!

Nous avons entamé une conversation sur l’Art puis sur le cinéma... J’ai fait en sorte que le verre de mon beau-père ne soit jamais vide. Il semblait de fort bonne humeur et prêt à s’amuser un peu. Je voulais mettre mon amoureux mal à l’aise... et m’amuser avec ses révélations. Robert s’est rendu compte de mon petit manège:

— Tu veux me saouler?

— J’aime vous voir de bonne humeur. L’alcool vous rend gai.

Je laissais un regard à mon chéri qui venait de comprendre le double sens de ma réflexion.

— Je ne vais plus pouvoir conduire si j’en bois encore un.

— Vous pouvez dormir ici. Il y a de la place.

— Non! Je n’ai pas l’intention de vous déranger...

— Pourquoi croyez-vous que vous nous dérangez?

— Je... je ne sais pas... Vous avez votre intimité...

— Votre présence ne gêne absolument pas notre intimité...

Et c’est là que mes lèvres se sont posées sur celles d’Étienne. Il s’est cabré car c’était la première fois qu’il m’embrassait devant son père.

— Vous voyez! ça vous choque, Robert?

— Du tout! Vous formez un très beau couple. Lorsque l’on me parle de vous, c’est toujours en bien.

Étienne est sorti du living.

— Qu’est-ce qu’il a?

— Étienne n’est jamais à l’aise avec vous. Il croit toujours que ce qu’il fait vous choque. J’ai beau lui dire que vous êtes un homme ouvert... Il se bloque! Ce baiser que je viens de lui donner devant vous, il a dû détester...

— À une certaine époque, je n’aurais pas apprécié... Le simple fait d’imaginer mon fils dans les bras d’un homme me rendait fou.

— J’ai l’impression qu’Étienne n’a pas compris que vous avez... changé!

— Allez le chercher... Je déteste qu’il soit malheureux...

J’ai donc rejoint mon chéri dans la cuisine. J’ai compris qu’il m’en voulait de l’avoir piégé.

— Qu’essaies-tu de faire, David? m’a-t-il demandé.

— Excuse-moi... C’était un jeu stupide! Je ne voulais pas te blesser.

— Tu m’as... ridiculisé devant... mon père!

— Pas du tout. Ton père a changé. Il est fier de toi, de notre couple.

— Ne change pas de sujet de conversation... Qu’essaies-tu de provoquer?

— Tu m’as dit que tu fantasmais sur ton père et j’ai voulu jouer...

— Arrête, ce n’est pas un jeu! Ce que je t’ai dit à propos de... mes rêves... il n’y a rien de vrai! Je ne ressens rien.

— Moi je crois, au contraire, que tu as du désir pour lui...

— Et quand bien même! Qu’est-ce que tu vas faire? Lui demander s’il veut bien faire l’amour à son fils?

Le silence fut court après cette réplique bien sonnée.

— Peut-être que si David est habile, il réussira à me convaincre!

Nos têtes se tournèrent vers la porte de la cuisine. Robert y était appuyé, un large sourire sur les lèvres... Il a tourné les talons et est retourné s’installer dans le canapé. Étienne resta un moment muet, interloqué. J’étais assez troublé également. J’ai finalement pris sa main et je l’ai tiré vers le living.

— Robert, dites quelque chose... Étienne a besoin d’être rassuré.

— Fiston, arrête de croire que je te déteste. Je t’aime infiniment. Je suis fier de ce que tu as fait de ta vie. Tu es un beau grand garçon bien foutu et tu me fais fantasmer. Est-ce suffisant pour te rassurer?

Silence.

— Ah oui, je t’envie beaucoup d’avoir trouvé la perle rare... un homme qui t’aime et te le prouve constamment.

Là, face à mon beau-père, j’ai commencé à déshabiller mon homme. Il s’est laissé faire. J’ai regardé Robert droit dans les yeux. Il a posé sa main sur son bas-ventre. Étienne m’embrassait. Mes lèvres suçaient les siennes et je lui disais des petits mots cochons.

— Tu as envie d’une grosse bite, hein, mon ange? D’une très grosses bite! Laisse-toi faire... Laisse-toi envahir par cette douce chaleur... Oh oui... Fais-moi bien ta petite salope! Tu la fais si bien quand tu es excité...

Silencieux, Robert assistait au spectacle que nous lui offrions, Très vite, Étienne se retrouva les fesses à l’air et mes doigts s’activaient dans sa raie.

— Tu as envie que quelqu’un me remplace pour te donner du plaisir? Dis-moi, ma petite chienne! Dis-moi si tu veux que ton papa me remplace!

Les yeux d’Étienne étaient brillants.

— Ouiiiiiiiii...

Sa réponse fut douce et soyeuse. Robert s’est levé pour s’approcher de nous et il a posé ses lèvres sur les miennes puis sur celles de son fils.

— Je vais vous laisser! ai-je dit.

— Non! a répondu Robert. J’ai très envie de faire ce que tu me proposes mais... j’ai besoin de... ta présence...

Il a commencé à caresser les fesses et le dos de son fils qui gémissait.

— Faites-lui l’amour, Robert! Il en meurt d’envie! Votre fils est un petit cochon qui adore baiser... enfin se faire baiser par des grosses bites. Nous sommes persuadés que la nature a été généreuse avec vous...

Je suis tombé à ses pieds et j’ai déboutonné son pantalon. Étienne a passé sa langue sur ses lèvres. La longue bite de Robert s’est dressée comme un ressort.

— Bel engin! ai-je dit. C’est juste ce qu’il faut à votre fils pour le calmer. Ce n’est peut-être qu’un caprice d’enfant gâté mais il ne faut pas qu’il en soit perturbé... N’est-ce pas? Je suis là... Je ne vous abandonne pas.

Je me suis éloigné pour aller m’asseoir dans un fauteuil en spectateur et laisser mes deux hommes faire ce qu’ils avaient à faire... Étienne sentait les mains de son père galoper sur son corps et se laissait faire en me regardant de temps en temps.

— Votre fils est très sensible des tétons et de la chatte.

Robert sourit.

— Eh oui, cher Robert, j’appelle son petit trou... sa chatte! Sa chatte de mec, toute douce et chaude...

Robert rentra un puis deux doigts dans le cul de son fils, Il lui pinça les seins et lui claqua les fesses. Il était un peu maladroit mais il suivait mes conseils et surtout se laissait guider par les gémissements d’Étienne. Ils se sont installés tous les deux dans le canapé en face de moi.

— Vas-y, mon chéri, fais bien ta salope... Excite-moi en te faisant sauter par ton père...

J’avais sorti mon sexe et je me masturbais. J’avais l’impression de flotter. Je n’en revenais pas de la facilité avec laquelle mon beau-père avait accepté ce jeu pervers. Cela me faisait un effet curieux de voir mon Étienne ainsi offert à son géniteur. Étienne me regardait de temps en temps et je m’aperçus qu’il tremblait.

— Robert, il faut y aller maintenant! Étienne n’en peut plus... Il la veut votre grosse matraque. Il veut savoir ce qu’elle a procuré comme plaisir à sa mère lorsque vous l’avez engrossée.

Robert s’écarta de son fils et il enleva son pantalon et son slip. Il les jeta sur le sol. Il prit Étienne, nu, dans ses bras et le transporta dans notre chambre. Il marcha bien droit avec la queue dressée. Je les suivis doucement. Il déposa celui qu’il allait baiser sur le lit et lui écarta les cuisses.

— Oh mon fils, tu as un cul superbe... bien rond et musclé... C’est un endroit où les hommes doivent aimer entrer.

Il se tourna vers moi et me dit:

— David, vous avez beaucoup de chance...

Et j’osais la question qui me brûlait les lèvres:

— Ce n’est pas votre premier homme, n’est-ce pas, Robert?

Il me répondit que d’un large sourire.

Étienne était en position d’attente. Une position que je lui connais depuis le début de notre liaison. C’est l’appel de la bite. Robert caressait le dos de son fils en admirant sa beauté et sa sensualité. Je me suis penché vers mon mec et lui ai dit:

— Vas-y, mon amour, fais bien ta garce... Fais ta petite pute! Montre à ton papa comme tu as été un bon élève... Dis-nous ce que tu veux?

Étienne ferma les yeux. Je passais les mains sous son torse à la recherche de ses deux tétines dressées. Je me mis à les pincer pour le rendre dingue.

— Dis à tes deux hommes ce que tu veux le plus au monde!

— Je veux que... que vous me baisiez tous les deux...

— Ah voilà qui est bien, mon ange!

Je me mis à l’embrasser sous le regard de Robert. Maintenant, Étienne s’offrait sans pudeur, conscient d’avoir passé le cap le plus difficile. Robert le contourna et se plaça face à son fils. Je me suis écarté pour lui laisser la place. Pendant que j’ôtais doucement mes vêtements en me caressant, je l’ai vu présenter sa longue queue devant la bouche de son fils en extase. Étienne n’en revenait pas. Cette bite qui l’avait «fabriqué» et sur laquelle il avait fantasmé était là sous son nez. Comme s’il avait encore un doute, pour se rassurer peut-être, Robert lui demanda doucement:

— C’est ce que tu veux, mon fils, c’est ce que tu veux vraiment?

— Oui, papa!

— Si c’est ça que tu veux, mon amour? Dis-le encore! ai-je ajouté.

— Je veux que tu me baises... que vous me baisiez tous les deux.

— Nous allons te satisfaire, mon fils!

La queue raide de Robert entra dans la bouche de son fils. Étienne ne me quitta pas des yeux pendant qu’il la suçait. Je m’étais assis à un mètre d’eux et je me touchais doucement. Robert accéléra ses coups de reins et Étienne sembla apprécier d’être un peu malmené par son père. J’étais fasciné par cette bite qui lui violait la bouche. Je me suis levé et me suis placé derrière Étienne.

— Pendant que tu prépares la grosse bite qui va te trouer, mon chéri, je vais préparer ton petit cul... ton adorable cul de salope... Tu veux la langue ou la queue?

— Ta queue. Viiiiiite...

J’ai posé mon gland sur sa pastille et, d’un coup, comme chaque soir, je l’ai embroché. Il a poussé un petit cri en ondulant des reins. Signe de son approbation.

— Tel que vous le voyez là, Robert, il est au paradis!

Maintenant, il était baisé par les deux trous. Robert et moi, nous allions et venions en lui en ahanant. Robert se pencha un peu pour regarder ma bite entrer et sortir du cul de son fiston.

— Tu as beaucoup de chance d’avoir un amant si bien membré, mon fils! Cette belle tige semble faite expressément pour ton petit trou.

— Vous allez voir, Robert, comme c’est bon de baiser cette petite chienne.

En me penchant, je voyais le bord plissé de son anus que je limais avec ferveur. Je souriais à mon beau-père qui était maintenant tout à fait conquis par les divines sensations de la fellation filiale. Je n’arrivais pas à croire que c’était lui qui était là. Tout avait commencé comme un jeu ridicule entre Étienne et moi... et puis peu de temps après, le sexe de mon beau-père se faisait téter par Étienne.

— Je le crois à point, Robert. Venez me remplacer! Il en meurt d’envie...

— C’est vrai, mon fils, que tu en meurs d’envie?

— Oui, papa. Fourre-moi ta grosse bite dans le fion.

Robert posa ses lèvres sur le front de son fils et changea sa place avec la mienne. Je caressais la tête de mon chéri en lui parlant:

— Voilà, mon ange, tu vas obtenir ce que tu voulais depuis si longtemps. Tu vas être comblé au propre comme au figuré. La belle grosse bite de ton papa dans le cul! Elle va te donner du plaisir ...

— Oh oui! a-t-il répondu. Je la veux.

Il était fébrile et donnait l’impression d’être un gamin capricieux. J’ai trituré ses tétons pour faire encore monter l’excitation. Robert avait déroulé une capote sur sa queue et il la positionna devant l’entrée. Étienne frissonna à son contact.

— Tu l’as bien fait bandé en tout cas! ai-je ajouté. Sa queue est toute raide! Allez-y, Robert... Poussez! Un coup sec!

Ce qu’il fit en me regardant droit dans les yeux. Étienne poussa un cri et Robert se cabra.

— Ne craignez rien, il aime...

— Tu es sûr que...

— Continue, papa. Baise ta salope de fils! Tu n’imagines pas à quel point j’aime ça... les grosses bites...

— Je crois qu’il commence à s’en rendre compte, mon bébé! lui ai-je dit à l’oreille. Allez, tu es bien là... tu te laisses porter par la vague de plaisir... Ouais, c’est bon...

Je me caressais la queue tout en commentant la situation. Étienne adore ça. Ma queue était plaquée contre mon ventre et j’avais du mal à l’en détacher. La vague de plaisir nous emportait tous les trois.

— Je te veux en bouche, mon amour! me dit Étienne. Je les veux ensemble dans mes trous.

J’ai exaucé son vœu.

— Allez, tète, mon ange! Tète la queue de ton chéri...

Il a sucé mon dard avec sa passion habituelle. Je regardais l’excitant tableau comme s’il sortait d’un rêve. Ce ne pouvait être mon chéri qui était à quatre pattes sur ce lit avec la bite de son père dans le cul! Il se faisait besogner et gémissait de plaisir sous les coups de butoir de son séduisant papa. Robert, l’ex homophobe, le bourrait ardemment en caressant ou claquant ses lobes fessiers. Il fouillait cette chatte que je connaissais si bien. J’éprouvais un plaisir extraordinaire à le voir ainsi, possédé devant moi. Il me cocufiait avec son père et cela m’excitait. Étienne était près de la jouissance. Son cul serra la bite de son père. Il cria pendant que son orgasme l’emportait. Il haletait:

— David, mon amour, je jouis, il me fait jouir!... Je jouis, tu me vois! Papa m’aime et il me fait jouir... oh, c’est bon!... Tu aimes qu’il me baise, David?... Tu le vois?... Je sens sa queue qui cogne tout au fond de mon cul...

— J’adore ça, mon amour! Ton papa t’aime et il te fait bien l’amour.

— Il me défonce... J’aime... Tu vois comme il me baise bien à fond?... Tu aimes quand il me fait jouir?... Toi aussi tu vas me baiser... tu veux bien, David?... J’en ai envie...

— Oui, je vais te baiser aussi...

— C’est trop bon, David! Je veux qu’on m’aime, qu’on me baise... Tous les hommes que tu voudras, mon chéri,... tous... pourvu que tu sois là... je suis une salope... j’aime qu’on me baise devant toi... donne-moi... je suis une pute... c’est trop bon...

Les propos de son fils avaient excité Robert et il le besognait de plus en plus vite. Il était très excité et râlait. Il poussa un grognement en jouissant. Il sortit du cul, arracha la capote et lui déchargea tout son sperme sur le ventre.

— Robert! Un geyser! Qu’est-ce que tu lui as mis!

— C’est bon de se laisser aller... C’est à ton tour maintenant, David! Tu ne crois pas qu’il a assez attendu?

— David, prends-moi, viens me baiser. J’ai encore envie...

 

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Samedi 17 novembre 6 17 /11 /Nov 10:11

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Putain, j'en peux plus de ce cours d'anglais, j'ai juste hâte qu'il finisse. On est jeudi, et c'est l'avant dernière heure de cours de la journée, pour moi c'est la plus longue, quand on sait ce que j'ai après. Je remue un peu sur ma chaise, écoutant a moitié la prof, me focalisant sur le gros plug qui répond à mes mouvements, je dois me concentrer pour ne pas gémir en pleine classe.

Je ne vous l'ai pas dit? Je suis une petite salope, j'aurais dû commencer par là, depuis ma première queue je suis accro au foutre, ça fait presque 3 ans que je suis comme ça. Donc, je viens au cours avec un plug en moi. Pas tout les jours, mais assez souvent, surtout le jeudi après-midi. Dès que la cloche sonne, je range mes affaires et je me redresse en me mordant les lèvres pour me retenir, je file dans les couloirs vers les toilettes du second. Un quart de l'école doit être au courant je pense, les rumeurs vont vites. Mais je m'en fous, j'aime ce que je suis et peu de gens me font des remarques, au contraire, ça me rend parfois plutôt populaire là où je ne m'y serais pas attendu.

J'arrive dans les toilettes un peu en avance, le jeudi en fin de journée, j'ai cours d'histoire, je suis bon en histoire et mon prof m'aime bien, il me laisse brosser et en échange je reste avec lui quand il corrige les copies le mardi. Bref, j'arrive dans les toilettes, elles sont pas mal grandes, il y a trois urinoirs et trois cabines, personne n'y va jamais à cette heure, les salles de classes ne sont pas tout près. Personne, sauf mes habitués. Je vais me placer dans la troisième cabine, je sors de mon sac mon petit bandeau en cuir, ma paire de menottes et la gamelle que je dépose à côté de la toilette, je sors tranquillement mon plug, le range et prends deux œufs vibrants que je m'enfonce, je mets le bandeau, un treillis par-dessus ma jolie peau, je m'installe à genoux, jambes écartées, mon sac planqué derrière moi, je me lèche les lèvres, mon sexe bien dur dans mon jeans, une capote enfilée dessus, bien retenue, la commande de mes œufs en main.

La seconde sonnerie retentit, j’entends les élèves qui vont en cours, comme tout les jeudis après-midi, lors de la dernière heure, je suis la petite pute des toilettes du second, mon annonce est dans toutes les toilettes de l'école : jeune lope suce 7eme h toilettes du second. Venez profiter Depuis six mois, j'ai pas mal d'habitué, je reconnais leurs sexes, leur odeurs, leurs attitudes, la discrétion, c'est l'une de mes garanties, je ne cherche jamais à savoir qui passe par ma bouche, parfois je l'apprends, je le remarque, on me le dit, mais certains mecs veulent rester anonymes. Sur le mur dernière moi, j'ai indiqué il y a longtemps ma politique : je suce, j'avale, je bois votre pisse, pas besoin de nom, j'aime ça, profitez en. Si je vous ai bien vidé, laissez un pourboire. Dernièrement je laisse un marqueur noir à côté de moi, j'ai parfois droit à des "mots des fans", un peu comme on signerait un livre d'or.

Aujourd'hui j'ai pas mal de passage, des garçons qui se succèdent, qui en pleins cours "vont aux toilettes" et viennent en fait se servir du vide-couilles de l'école. Parfois ils pissent bel et bien, parfois je les tête pendant cinq minutes pour bouffer leur foutre. Je suis complètement accro à ce truc, ma première dose de la journée réveille mes envies, je suis capable de tout pour avoir un peu plus de semence. Rien que la première queue d'aujourd'hui, elle sentait encore le foutre séché, j'ai activé mes œuf, et j'ai pris le gland en bouche, attendant qu'il urine, dès que le jet chaud et amer se fut tari, je l'ai pompé comme si ma vie en dépendait, c'était un gros sexe, bien épais comme je les aime, il m'a vite donné son foutre épais et goûteux.

Sur l'heure j'ai dû avoir une trentaine de mecs, des grosses queues, des fines, des mecs qui ne faisaient que pisser, d'autres qui jouissaient direct, des mecs qui me laissaient sucer, d'autres qui me défonçaient la gorge. Je crois même avoir eu une queue de prof en bouche, il y en a un qui passe de temps en temps pour me la foutre en bouche, me bifler parfois. Quand l'heure sonne, je détache les menottes, elles sont là juste pour le show et assez simple à détacher, je retire mon bandeau, les toilettes puent le sperme, il y as de la pisse sur le sol et sur mon pantalon. Je reste un peu comme ça, savourant le moment avant de me relever, j'ai des mots écrits au noir sur les avant-bras, je les lirai ce soir en me branlant. Je change de vêtements rapidement et je range mes jouets, je sors les œufs de moi et replace mon plug avec plaisir. Je range ma gamelle, il y as une cinquantaine d'euro, en général je rapporte un certain succès.

Je ferme la porte, me passe de l'eau sur le visage et je quitte le bâtiment. En marchant le plug en moi me rappelle que je suis une lope, l'arrière-goût de pisse et de foutre me rend heureux.

— Hé ! Gabriel !

C'est Arthur, une classe au-dessus de moi, blond, bien foutu, il traîne avec d'autres gosses de riche, avec des filles, ils aiment bien m'en foutre plein la gueule, je les aime bien.

— Ouais ?

Il me tend une bouteille remplie d'un liquide blanc-jaune laiteux avec un sourire, mon érection se renforce.

— On n'a pas pu passer tantôt, moi et les autres, on tenait à ce que ça soit pas perdu.

— Tu leur diras merci ! J'en profiterai bien !

Je le laisse et je rentre à la maison tranquillement. En quittant l'école, j'ai droit à des sourires, des clins d'œil, je suis plutôt apprécié à l'école.

À la maison, je m'assieds sur le lit, je pose mon sac dans un coin, la bouteille sur ma table de nuit, je retire mon jeans et je retire doucement le préservatif pour me le déverser dans la bouche.

Je suis une lope, et heureux de l'être.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 15 novembre 4 15 /11 /Nov 14:05

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Cela faisait quelques années que je faisais du baby-sitting chez les voisins. Ils ont un fils unique, Corentin, il a trois ans et demi de moins que moi. Je l'ai gardé régulièrement depuis ses 11 ans ou 11 ans et demi. C'était un super gamin, d'une gentillesse à toute épreuve, serviable, très câlin, même avec moi, presque tout le temps sur mes genoux, et le soir, je devais rester près de lui jusqu'à ce qu'il s'endorme. Peu avant ses 14 ans, il a commencé à être plus distant, j'avais bien vu qu'il avait largement entamé son adolescence, je me suis rappelé qu'à 13 ans, j'étais comme lui, froid et surtout en révolte contre tout et tous. Les séances de baby-sitting sont devenues un peu plus compliquées, il fallait batailler pour le mettre au lit et éteindre la lumière, et pour qu'il termine ses devoirs avant de plonger sur ses manettes de jeu, ça relevait de la bataille de Trafalgar, mais malgré ces quelques difficultés, on restait bons copains.

A côté de ça, la pudeur n'a jamais été son fort ; quand il revenait de la douche, il restait à poil et prenait plaisir à se dandiner sous mes yeux, et son adolescence n'a rien changé à son attitude, pire il venait mettre à la hauteur de mon visage son sexe bandé, parfois même en se touchant légèrement pour en entretenir la raideur et mimer une masturbation. Je ne pouvais pas ne pas le voir, j'étais la plupart du temps assis sur le canapé et il exécutait sa petite danse obscène, debout à un mètre de mes yeux. Il fallait chaque fois que je hausse le ton pour qu'il aille, soit enfiler un pyjama, soit se diriger vers sa chambre pour qu'il se couche, et là, il redevenait le petit garçon, je devais lui caresser le dos, juste le dos, jusqu'à ce qu'il s'endorme.

Je n'avais aucun, mais alors vraiment aucun intérêt pour les personnes de mon sexe, je trouvais même ça dégoûtant que des hommes puissent s'aimer et faire des « choses » entre eux, de plus, pour moi, Corentin était un gosse que je gardais pour gagner de l'argent, point-barre.

Mais je serais malhonnête si je disais que ses danses du ventre et du zizi sous mon nez ne créaient aucun trouble chez moi, c'est pour cela d'ailleurs qu'en l'attendant revenir de sa douche, je mettais systématiquement un coussin entre le livre que je lisais et mes cuisses, et il est arrivé plusieurs fois qu'après l'avoir mis au lit, je passe un « certain temps » sur la cuvette des WC. J'avais 17 ans et lui 14, je mettais ça sur le compte des hormones, jusqu'au baby-sitting du mois passé.

Il venait de fêter ses 15 ans, et moi j'en avais 18. Je devais le garder tout le week-end, ses parents étant partis pour un city-trip à Prague du vendredi soir au dimanche soir. Il m'a refait sa danse du ventre, mais cette fois en décalottant complètement son gland sous mes yeux. Il avait un magnifique sexe, plus beau que le mien, orné d'une petite touffe de poils bien sympa, mais je ne voulais pas le savoir. Il m'a demandé de venir le border, ce qui sous-entendait lui caresser le dos, je lui ai répondu que j'allais d'abord prendre une petite douche vite fait, vu que j'avais vraiment trop chaud (!). Je suis revenu de la douche, les reins ceints par une serviette, Corentin semblait à l'orée du sommeil, mais il a gémi en m'entendant approcher de lui, je me suis donc assis comme d'habitude sur le bord de son lit, il était nu comme à l'accoutumée, son dos vers moi, et je l'ai caressé comme je le faisais depuis des années pour qu'il s'endorme.

Et d'un coup, il crie, je suis surpris et me lève promptement, ma serviette tombe, il se retourne vers moi et me prend en photo avec son téléphone.

— Et alors, Théo, tu fais de l'exhibition comme ça avec tous les gamins que tu gardes pendant les week-ends ?

— Corentin, c'est quoi, ça ?

— Et en plus, tu leur caresses les fesses ?

— Corentin, tu sais que ce n'est pas vrai.

— Peut-être, mais si je le dis à mes parents, c'est moi qu'on croira, pas toi.

— Tu es devenu fou ?

— Non, juste que je n'aime pas quand tu me tripotes le cul et les couilles.

— Mais, Corentin, je ne t'ai jamais tripoté !

— C'est moi qu'on croira !

— Arrête, Corentin, ce n'est pas drôle, et je le vois qui s'empare de son téléphone portable.

— Corentin, tu fais quoi, là ?

— Tu le vois bien, je téléphone à mes parents.

— Corentin, arrête tes conneries, s'il te plaît.

— Demande-moi ça mieux.

— Corentin, je te supplie de ne pas appeler tes parents, si tu leur dis ça, je suis mort.

— Je veux bien attendre un peu avant de les appeler, Théo, mais tu vas faire ce que je te dirai, tout ce que je te dirai.

— Corentin, arrête, ce n'est pas drôle.

Le gamin a remis son téléphone contre sa joue.

— Bon, ok, tu veux quoi ?

— Branle-toi devant moi, fous ton sperme dans la paume de ta main et tu bouffes tout.

— Corentin, tu es fou ou quoi ?

— C'est ça ou je téléphone !

— Bon, ok.

J'ai commencé à me masturber devant ce sale gosse, il continuait à prendre des photos avec son foutu téléphone, surtout quand j'ai juté dans ma main et que j'ai avalé mon propre jus.

— C'est bien, Théo, et maintenant, tu vas me sucer.

— C'est bon, Corentin, ça suffit maintenant, j'ai fait ce que tu m'as demandé.

— Tu te tais et tu suces, m'a-t-il répondu en approchant son téléphone de son visage.

J'ai approché ma bouche de son entrejambe, que pouvais-je faire d'autre ? Je l'ai mis en bouche et je l'ai amené à jouir. Quand j'ai senti qu'il venait, j'ai voulu me retirer, mais sa main sur ma tête m'en a empêché et j'ai dû avaler son sperme jusqu'à la dernière goutte, il n'a lâché ma tête que quand sa queue est redevenue molle. Pendant cette fellation, il avait continué à prendre des photos.

— Théo, quand je me réveillerai demain, je t'appellerai et tu viendras me faire la même chose sans dire un seul mot.

— Corentin, arrête, s'il te plaît !

Son regard dur et intransigeant a fait que j'ai quitté sa chambre pour la chambre d'amis sans rien dire. J'ai mis plus de deux heures pour m'endormir, cherchant une solution pour sortir du merdier où je me trouvais, je n'en ai trouvé aucune, il me tenait par les photos qu'il avait prises dans toutes ces situations qui me compromettaient sans appel. Quelques minutes avant que je puisse m'endormir, je me suis dit qu'il me tenait par les couilles, que je ne pouvais rien faire d'autre que lui obéir, et j'ai assumé cette réalité avant de confier mes yeux et mon corps à Morphée.

Le matin m'est parvenu de sa chambre un appel bref « Théo, ici ». Il m'a reproché de m'être mis en pyjama, il m'a fait déshabiller, précisant que je devais rester à poil toute la journée. Il m'a fait mettre à genoux, mains derrière le dos, tête en arrière et bouche ouverte, il m'a pissé dans la bouche et j'ai tout dû avaler, il riait et moi je pleurais. Il m'a obligé à me mettre à genoux sur le lit, il voulait voir mon trou de cul, j'ai dû écarter mes fesses avec mes mains, jamais je n'avais connu pareille humiliation. Il a caressé l'entrée de mes intestins avec son index, je le suppliais d'arrêter, de ne pas entrer son doigt, mais ses caresses étaient si agréables que mes sphincters se sont détendus. J'ai crié de douleur quand son doigt est entré, il a commencé à trifouiller à l'intérieur comme on tourne avec une cuiller dans un pot de yaourt,je voulais qu'il retire son doigt, mais ce qu'il me faisait devenait agréable, j'en éprouvais encore plus de honte, ma queue s'est mise à durcir, il avait trouvé un endroit à masser qui me donnait des sensations étranges jusqu'au bout du gland, j'ai dû me rendre à l'évidence, j'aimais ce qu'il me faisait.

— Tu bouges bien ton cul, hein, petite salope, dis-moi que tu aimes ça.

— Oui.

— Mieux que ça.

— Oui, Corentin, j'aime ça.

— Supplie-moi de continuer.

— S'il te plaît, Corentin, continue, c'est trop bon.

— Dis que tu es une salope et que tu aimes mon doigt dans ton cul.

— Je suis une salope, j'aime ce que tu me fais.

J'avais à peine dit ça qu'une sensation étrange a parcouru mon bas-ventre, de ma queue à peine bandée est sorti mon sperme, sans à-coup comme si je me vidais sans pouvoir m'arrêter. Je me suis affalé sur le lit, mon ventre dans mon jus.

— Regarde ma queue et dis que tu l'aimes bien et que tu voudrais que je la foute dans ton cul.

Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais c'est sorti comme ça. Je lui ai dit que j'aimais sa queue, qu'elle était belle, que j'avais toujours aimé le voir nu, que depuis des années, je devais me retenir pour ne pas la toucher, la caresser, que je bandais quand je lui caressais le dos, que son jus était bon et que j'en voulais encore, que je voulais la sentir en moi, que je voulais qu'il me sodomise.

Comment avais-je pu dire ça, je me suis mis à pleurer, et à genoux, je lui ai demandé d'oublier ce que je venais de lui dire.

— Trop tard, tu l'as dit, et je te la mettrai, mais avant, c'est Patrick que va te la mettre.

— Patrick ?

— Tu connais bien, Patrick, non ? Tu fais aussi du baby-sitting chez lui.

— Mais Patrick a 14 ans.

— Et alors ? Il a envie de te voir à poil, de te tripoter et de mettre sa queue dans ton cul.

— Corentin, s'il te plaît, avec toi je ferai tout ce que tu voudras, mais ne fais pas venir Patrick.

— Trop tard, je lui ai téléphoné, il va bientôt arriver, en attendant prépare le petit-déjeuner.

Je savais que je n'y couperais pas, Corentin l'avait décidé et il ne changerait pas d'avis, je me sentais totalement perdu, j'étais devenu le jouet de Corentin et j'allais être celui de Patrick. Mes pensées étaient confuses, partagées entre l'horreur du comportement de Corentin et le fait que ma totale soumission ne me déplaisait pas totalement.

Quand Patrick est arrivé, j'ai dû lui ouvrir la porte, il m'a fait mettre les mains sur la tête et a examiné et palpé toutes les parties de mon corps comme on examine un esclave avant de l'acheter : il a mis ses doigts dans ma bouche, il a pincé mes tétons à m'en faire mal, il a pris ma queue en main et l'a tripotée, décalottée jusqu'à ce que je bande devant lui, il m'a fait faire demi-tour, j'ai dû me pencher en avant en écartant mes fesses, il m'a entré son doigt dans l'anus, puis il m'a donné une petite claque sur les fesses, et j'ai dû le déshabiller entièrement. Quand j'ai vu son sexe, je n'ai pu que m'extasier devant sa taille, sa queue fine était plus longue que la mienne, il m'a fait mettre à genoux et m'a obligé à la prendre entièrement en bouche pour la faire bander, puis il m'a relevé en me tirant par les cheveux, il a arraché un poil de mon pubis, ce qui m'a fait crier, plus de surprise que de mal, et son verdict a été : « trop de poils, on va enlever tout ça ». Ce gamin voulait faire disparaître les signes de ma virilité auxquels je tenais le plus : ma toison pubienne, et je savais que j'y passerais. Puis il s'est détourné de moi pour rejoindre Corentin qui avait tout photographié, j'ai pu déjeuner avec eux, mais je devais me taire. Corentin a raconté à Patrick tout ce qui s'était passé de puis hier soir, n'omettant aucun détail, jusqu'à son pipi du matin où je lui avais servi d'urinoir. Ma honte était à son maximum, mais ... je n'arrêtais pas de bander à en avoir mal. Corentin l'a vu, j'ai dû me mettre debout face à eux, ils voulaient voir en permanence ma queue raide, et ils ont voulu que je me caresse devant eux pour la tenir droite. A 18 ans, me toucher devant deux gamins de 14 et 15, c'était de la folie, de la pure folie, mais le plus grave, c'est que je commençais à apprécier ça.

Après le petit-déjeuner, Corentin a allumé son ordinateur tandis que Patrick m'a emmené dans la salle de bain ; du cou aux chevilles, tout mon corps est passé par les lames du rasoir jetable qu'il maniait comme un pro, devant et derrière, et je l'ai laissé faire sans dire un mot. J'étais plus nu que nu quand Patrick m'a emmené devant Corentin qui a passé sa main sur l'entièreté de mon corps, je bandais devant lui, mais ça ne m'a pas trop dérangé, j'avais accepté que mon corps soit à lui. Corentin nous a dit qu'il avait créé un espace web où il avait mis un blog avec toutes les photos qu'il avait prises de moi, il les a fait défiler sous les yeux lubriques de Patrick qui, régulièrement, se tournait vers moi en me disant « tu es vraiment une bonne salope, toi, une vraie petite pute ». Et Corentin de renchérir « j'ai envie de donner l'adresse de ce blog aux copains à l'école ».

 

Ils m'ont ensuite fait mettre à genoux, mains derrière le dos, à côté du lit, je devais les regarder se toucher, s'embrasser, se lécher, se sucer, se mettre un doigt ou la queue dans le derrière. Je n'aurais jamais cru que deux garçons puissent se toucher comme ça, et malgré ma position d'esclave pour eux, je bandais ferme, j'en arrivais presque à espérer qu'ils me disent de les rejoindre, mais après une demi-heure, ils ont quitté le lit, me laissant planté là. Puis Patrick a claqué sur mes fesses, tandis que Corentin m'a dit « allez, la petite salope, à quatre pattes sur le lit ». Je me suis exécuté, j'ai dû plier les bras pour avoir la tête sur le drap, mon intimité exposée à leurs regards, leurs quatre mains me touchaient, parfois caressaient mes fesses, parfois les tapaient de la paume de la main, ils touchaient et tiraient mes bourses, ma queue, ils examinaient des yeux et des doigts mon anus, et j'ai senti comme un liquide gras déposé sur mon trou et introduit par des doigts à l'intérieur.

Corentin est venu devant moi, m'a remis sur les mains et m'a dit « tu me suces, mais tu ne me fais pas jouir », j'ai mis sa queue en bouche tandis que derrière moi, je sentais le gland de Patrick à l'entrée de mon corps, il a forcé l'entrée lentement mais inexorablement, j'avais mal, mais c'était trop bon, il a empoigné mes hanches et a martelé mon cul faisant à chaque mouvement coulisser mes lèvres sur la queue de Corentin, il a déversé son jus d'ado dans mon ventre en hurlant, puis ils ont changé de place, j'avais en bouche la queue de Patrick encore pleine de son sperme et du jus de mon cul, et Corentin s'est introduit en moi, il m'a fait plus mal que Patrick, leur queue ayant un gabarit différent, j'étais une salope mais j'aimais cette sensation entre mes fesses, je gémissais sourdement. Corentin y allait sauvagement, brutalement, comme pour bien me montrer qu'il était le maître, tandis que Patrick poussait son gland tout au fond de ma gorge. J'ai senti que j'allais jouir devant ces deux gamins, je voulais tout faire pour empêcher ça, mais le plaisir a été le plus fort, j'ai éjaculé comme jamais tandis que Corentin se vidait en moi et que Patrick m'envoyait encore une dose de sa liqueur dans ma gorge.

C'était trop pour moi, je me suis effondré sur le lit en pleurant à chaudes larmes, en les suppliant d'en finir avec tout ça. J'ai senti leurs mains sur mes cheveux, la nuque, le dos, les fesses le dos des cuisses, elles me caressaient tendrement, je ne comprenais plus rien, ils ont couvert mon dos de baisers tendres.

— Qu'est-ce qui se passe ?

— Théo, on t'aime.

— Vous appelez ça aimer ? Vous m'avez traité comme une pute.

— On t'aime tous les deux, et c'est le seul stratagème qu'on a trouvé.

Je me suis mis sur le dos, et Corentin m'a embrassé sur la bouche, sa langue a caressé mes lèvres, je les ai ouvertes et j'ai embrassé mon Corentin à pleine bouche tandis que Patrick embrassait et léchait mon ventre et mon sexe, puis il est venu près de ma bouche, m'a embrassé tendrement à son tour, ensuite les trois bouches se sont rejointes, et on s'est léchés, sucé les bouts de langue, alors qu'ils caressaient ma queue tous les deux.

Quand on s'est calmés, ils se sont blottis tout contre moi, j'ai passé mes bras sous leur épaule pour les serrer très fort.

— Vous m'avez bien eu, tous les deux.

— On savait que tu avais envie de nous, a dit Corentin, je savais que tu bandais quand je me mettais nu après la douche.

— Et moi, depuis que je suis devenu ado, tu étais dans la salle de bain à chacune de mes douches, et ton short était gonflé.

— Et moi qui pensais être discret.

— Tu ne nous en veux pas ?

— Non, mes petits amours.

— Ce soir et demain, ce sera à toi d'honorer nos petits culs.

Corentin a décroché le téléphone qui sonnait et il m'a passé l'appareil. C'était la mère de Patrick qui me demandait si je pouvais le garder en même temps que Corentin jusqu'au dimanche soir. Les deux gamins rigolaient, ils avaient bien préparé leur coup.

Ce week-end de baby-sitting a été le plus beau de ma vie et il y en a eu encore beaucoup par la suite, chez Corentin ou chez Patrick, parfois je « gardais » les deux pour qu'ils ne fassent pas de ... bêtises.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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