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fan de histoires de mec

Mercredi 28 novembre 3 28 /11 /Nov 22:51

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Ce jour là,j'étais seul chez moi et comme souvent je mattais un film de cul tout en me masturbant. Je n'ai pas entendu mon grand frère se ramener avec son pote et pour être con, j'avais l'air con, quand ils se sont pointés en face de moi tout hillares. Je me jete sur mes fringues mais son pote me stoppe et me dit:

— Attends, j'ai envie de jouer avec toi!

Je regarde mon frère et il me sourit.

— Vas-y, dit-il à son pote, je te regarde...

Le gars me fout alors une grande claque dans la tête:

— Tu fais, tout ce que je te dis ou ta mère va avoir du mal à te reconnaitre!

— OK, fis-je.

Sans plus attendre, il se fout à poil et sa queue droite se dirige vers moi. Il me prend par le cou et je le suce. Deux minutes plus tard, il râle et son sperme envahit ma gorge. Comme il me tient toujours, j'avale. En moi, je me dis: "Enfin il a joui, il vont me foutre la paix" mais non, mon frère prend sa place et je comprends que je vais le sucer aussi, alors je me mets au taf. Lui aussi je joui dans le gosier. et ils se cassent sans s'occuper de moi.

Depuis, quand ça leur prend, ils viennent vers moi mais maintenant ils me sodomisent, jouissent sur moi, m'enfoncent leur main dans le cul, quand ils ne me pissent pas dessus! M'enfin! De toute façon, maintenant j'arrive à prendre mon pied avec eux sans même me toucher la bite et ça, c'est le principal!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 22:57

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Me voilà couché dans mon lit au coté de mon frère et je ne peux m'empêcher de humer son odeur. Nous dormons ensemble parce qu'il s'est fait jeter de chez lui par sa petite amie, voilà comment nous nous retrouvons dans le même lit chez nos parents alors que je suis en vacances. Nous avons 7 ans de différence et j'avoue qu'il a gardé, malgré ses 29 ans, une certaine fraicheur adolescente, j'ai souvent fantasmé sur lui quand j’étais plus jeune et lui encore adolescent, mais la barrière morale m'a toujours empêché de tenter quoique se soit.

Et ce soir, il est là dans le même lit que moi, je regarde le plafond et je ne peux m'empêcher d'être anxieux sur ce qui pourrait éventuellement se passer, je dirais même que je suis excité mais trop paralysé par la peur pour tenter quoi que se soit... J'ai l'impression que son odeur emplit la pièce, je rêve, je fantasme et je commence doucement à m'endormir quand soudain il se retourne et met son bras gauche sur ma poitrine. Je crois que mon torse va éclater tellement mon coeur bat fort et là il commence à descendre sa main sur ma poitrine dénudée, je sens que sa main tremble, mais je ne dis rien et fais semblant de dormir, mais je crois qu'il sait que je ne fais que feindre. Il continue à me caresser le torse et je trouve cela vraiment très agréable, j'avoue que je bande comme jamais, c'est si dur que j'en ai mal.

Je me mets alors à lui caresser le bras du bout de mes doigts et tout d'un coup ça s’accélère, je me tourne vers lui et nous commençons à nous embrasser langoureusement, je sens sa langue dans ma bouche et j'éprouve une sensation vraiment étrange, c'est comme s'embrasser soi-même mais c'est également très différent. Nous nous enlaçons et je trouve cela vraiment très agréable, je caresse surement le corps le plus agréable que j'aie caressé, nos mains fouillent chaque centimètres de nos corps et j'avoue que je suis très impressionné par son cul, je ne l'aurais jamais deviné mais il a un superbe fessier, très ferme et rebondi, ce qui m'excite encore plus. Je crois que je perds à un moment donné la notion du temps ou un truc du genre car je suis entièrement concentré sur son corps, sa peau, ses muscles, c'est comme si c'était une immense jouissance permanente et tout ça grâce à mon propre petit frère.

Mon frère me plaque soudain sur le dos et se met à cheval sur moi puis il commence à descendre ses lèvres sur mon torse, chaque contact est vraiment électrique, puis il s'arrête un instant, je me dis que ça y est il est devenu conscient de ce que nous étions en train de faire, du tabou que nous étions en train de briser, mais non, je sens soudain ses lèvres sur mon gland, c'est si chaud et il descend lentement sur ma queue et je dois dire que pour un hétéro il suce divinement bien malgré la grosseur de ma queue (5cm de diamètre), sentir sa bouche sur ma queue est fantastique, je n'ai jamais été aussi bien sucé. Je veux lui arracher ma queue de ses lèvres car je sens que je vais jouir mais je n'y arrive pas et il prend toute ma semence dans sa bouche et j'avoue que malgré la présence de mes parents à l'étage du dessus je ne peux m'empêcher d'émettre un râle de jouissance, c'est tellement puissant que j'en ai la tête qui tourne, mais sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, il me soulève le bassin, se crache dans la main et me doigte assez violemment mais je n'oppose aucune résistance quand tout à coup je sens un truc chaud qui pousse sur mon trou, je devine qu'il s'agit de son gland, je pense soudain que je vais me faire défoncer par mon frère.

Puis il pousse et je sens sa queue qui a l'air beaucoup plus fine que la mienne pénétrer dans mes entrailles, je trouve cela divin. Sa pénétration n'en finit pas, il a une queue apparemment très longue. Ça y est, sa queue est entièrement en moi. Il vient soudain m'embrasser et commence à me défoncer lentement, je sens sa queue aller et venir dans mon trou, je sens mon jeune frère perforer mon cul avec beaucoup de virilité, je suis sur une autre planète, comme en transe, mon frère me fait l'amour, me défonce, m’embrasse et me pince les seins, c'est mon fantasme qui se réalise. Il a vraiment une queue fantastique, très droite, très raide, je sens vraiment chaque centimètre, et une onde de chaleur m'inonde, elle irradie en moi, c'est tout simplement un orgasme, je suis en train de jouir comme jamais je n'ai joui, pourtant je ne bande pas, je suis là, les jambes en l'air et je jouis, je sens même un liquide chaud dégouliner de mon ventre, c'est mon foutre, je viens de comprendre que je viens de jouir physiquement...

Mon frère se déchaine dans mon trou puis il se crispe et lâche son foutre en moi sans un bruit, j'ai l'impression que sa jouissance n'en finit pas, puis il s'effondre sur moi et nous restons comme cela une bonne partie de la nuit, j'avoue que je n'ai pas fermé l'oeil, j'étais ailleurs, comme anesthésié...

Je vois que le matin pointe son nez, mais je vois surtout que la queue de mon frère pointe fièrement sous les draps, et j'ai envie de la voir de près, je repousse les draps et je vois exactement l'inverse de ma propre queue, la sienne est très longue et fine, cela me donne envie de la lécher et je ne me prive pas pour lui rendre la pareille de cette nuit, je la gobe d'un seul coup, mon dieu elle est bouillante et j'adore sucer cette queue raide. Il me regarde en train de le sucer, il se mordille les lèvres, je suppose que sa copine n'a pas dû lui faire souvent des pipes à gorge profonde. Il me prend la tête et m'enfourne sa queue encore plus profondément et lâche son foutre dans un râle qui en dit long sur son plaisir. Je décide de faire comme lui, je le soulève et lui introduit mon majeur dans l'anus, à ma grande surprise il se laisse faire, je décide alors, de lui lécher le trou, apparemment il ne connait pas ça, car je vois qu'il a un regard étonné. Je commence à faire parcourir ma langue sur ce joli trou vierge, quel plaisir de lécher ce joli trou rose sur ce splendide cul rebondi, quand à mon frère, il n'arrête pas de pousser des petits gémissements de plaisir qui en disent longs sur le pied qu'il prend, il adore ça et j’adore introduire ma langue dans ce jeune trou vierge, mais qui ne va pas le rester bien longtemps.

Je crache sur ma grosse bite et je pose mon gland à l'entrée de son trou, puis je pousse doucement, je le vois grimacer, je comprends qu'il a un peu mal, mais vu ma grosseur, je le comprends, mais je ne m'arrête pas et je pousse encore davantage, je sens son cul se décontracter et céder petit à petit sous mon assaut. Me voilà à fond dans mon frère, dans ce cul vierge et je commence mon va et vient, mon dieu, que c'est bon, cela fait des années que je n'avais pas pris un tel pied, je dois dire que son trou est vraiment très serré et qu'il moule ma queue comme un gant, c'est fabuleux, je manque de jouir à chaque coup de bite. Quand à mon frère, il est rouge pivoine, et il ne cesse de me fixer le pénétrer, je vois qu'il prend son pied car il se mord littéralement le lèvres pour étouffer ses cris de plaisir et je vois également sa bite bien raide qui ne cesse d'être agiter de soubresauts. Dans ce moment de folie, je me mets à lui lécher l'intérieur de la cuisse et à accélérer le mouvement de ma bite dans son cul, je prends mon pied comme jamais et d'un seul coup sa longue bite crache son foutre comme un geyser et s'écrase sur son joli visage, il en a partout, sur son torse et son visage et là il ne peut retenir un long cri de jouissance. Alors qu'il jouit, je sens que son anus est pris de soubresauts, ce qui entraine ma propre jouissance et elle est fulgurante, je crache mon foutre à n'en plus finir, j'ai l'impression que cela ne va jamais s’arrêter, je sens même mon trou se décontracter et le foutre de mon frère couler entre mes jambes. Je suis vidé dans tout les sens du terme puis je m'écroule sur mon frère comme une masse, je lèche le foutre qu'il y a sur ses lèvres et l'embrasse avec, c'est absolument divin, puis nous restons enlacés comme cela un petit moment...

Je redoute le moment où on va devoir émerger et reprendre notre vie normale, j'ai peur de son regard et de celui de mes parents, même si je sais qu'ils ne sauront rien, mais j'appréhende quand même. Nous nous levons chacun d'un coté du lit, je lui passe un vieux tee-shirt pour qu'il essuie son foutre, le silence est pesant quand dans un murmure il me dit :

— C'était la première fois pour moi, j'avais eu l'idée il y a très longtemps quand j'ai su que tu étais gay, j'avais eu envie de tester les mecs, mais j'avais peur.

— Je me doutais que c'était ta première fois, mais tu as été super, c'était fantastique, c'était l'un de mes fantasmes depuis très longtemps aussi, j'en avais honte.

— Tu sais je n'allais pas bien, j'avais envie que quelqu'un soit là pour moi, j'ai vraiment adoré, mais cela ne restera qu'une expérience, une très agréable expérience, mais une expérience, tu vois ce que je veux dire ?

— Oui je vois, ne t'inquiète pas, cela restera entre nous pour toujours...

Ensuite nous sommes allées à la douche à tour de rôle, puis nous avons fait comme si de rien n'était, nous avons eu quelques regards gênés, mais nous sommes restés les deux frères que nous étions, c'est à dire assez distant, mais cette nuit là restera gravée à jamais dans ma mémoire.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 26 novembre 1 26 /11 /Nov 16:53

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J'en avais assez de chercher sur le net des mecs comme je les aime. Moi, c'est musclé plus cuir archi-moulant, plus grand mecs. J'en veux au moins trois, des sérieux, pas des gros ni des s/m, ni uro-scato. Je suis passif. Je décidai d'aller dans un bar où il y a souvent des motos devant.

Je rentre. Bizarrement, on m'indique une salle au fond. J'avais mis mon perf, mes tiags, et un 501 moulé à faire damner un curé. Il ne laisse rien perdre de ce que j'ai dedans, on le croirait peint. Il fait ressortir mes couilles et mon 18cm. Je rentre dans la salle et là, surprise, je tombe sur une réunion de cuirs comme rarement: pas des abdos kronembourg, des mecs genre bodybuildés. Je salue. On me dévisage longuement et on répond. Il me semble que la glace se romp. On m'invite à boire un verre. Un super athlète en combarde de course s'approche, je vois qu'il la porte à même la peau. elle est vieille et sent un mélange de cuir et de... sperme. J'ai soif, mais pas de flotte!

Je vois que d'autres se rapprochent et cette fois ci, c'est gagné: en voilà en tout cinq comme dans mes rêves. Je remarque deux choses: ils sont tous immenses et ont tous des couilles plus qu'apparentes à travers leurs cuirs ou leur jeans, de taille énorme. On les croirait fait au moule: je ne sais plus auquel céder, alors je décide de céder à tous. J'en bande comme un cheval et pas un ne perd la vue. Mon cuir est taillé pour que cela se voie et qu'on le sache.

L'un d'entre eux me prend le paquet dans le cuir et le caresse gentiment. Je remarque qu'il commence à bander aussi: sa pine monte en force dans son cuir et atteint la ceinture. Je lui dis que je vais exploser et que ce serait dommage que je sois le seul. Il dit simplement: "Ok, compris." Il se retourne et dit à la cantonade: "J'ai l'impression que le dîner est servi!"

Le temps de le dire et voilà trois autres mecs qui m'entourent. Malgré mon 1m83, j'ai l'air tout petit. Un me masse les couilles, l'autre frotte un jean archidestroy qui laisse sortir par tous les côtés des poils blonds et voir à peu près tout, contre ma jambe. Un autre vient par derrière et commence à faire comme s'il m'enculait. Il est tellement puissant que je me retrouve assis contre son paquet pas encore sorti du cuir!

On décide de tous aller chez l'un d'entre eux qui n'habite pas loin. Je les suis sur ma ThunderAce, eux sont presque tous en 1100GSXR et CBR.

On se range, on monte. On est sept!

On entre dans un appartement plutôt petit mais bien foutu. Un détail: tout est presque occuppé par des appareils de bodybuilding et sent le foutre à plein nez. Partout, des flaques de sperme à peine sèches. Un régal.

À peine rentrés, je leur confirme mes goûts et ils éclatent de rire: eux n'ont pas besoin de merde ou de faire mal pour baiser. Simplement, ils me préviennent que chacun à l'habitude de tirer environ 4 coups au moins et encore chacun a une particularité: l'un tire presque 10cl d'un coup avec un orgasme géant, l'autre multiplie les petits coups et son orgasme dure plus d'une heure. Un autre me dit que son gland gonfle tellement qu'il s'ancre dans l'intestin et qu'il est pratiquement impossible de l'enlever bandé sans tout arracher. le programme me plaît. Tous avouent préférer baiser habillés en cuir ou en jean. Un dernier me prévient qu'il se fraie un passage avec une pointe métallique de santiag quand même arrondie et non coupante. J'adore l'idée. Quand tout le monde a fait son couplet, mes réponses les ont tous rassurés, on attaque.

À peine on commence qu'un m'ordonne de sucer son sexe à travers le cuir. Excellent goût et vive surprise: il y a tellement de sperme séché dedans que le cuir est tout raide! Le goût est radieux, cela me fait bander. Ils en rigolent et le premier ouvre son cuir sans enlever son ceinturon. Un énorme chibre en sort comme poussé par un ressort. Belle bête. Je le mets en bouche mais il m'arrête et m'enlève mon cuir. Quand je suis nu comme un ver entouré de sept géants en cuir avec la perspective de me faire enfiler environ 28 fois et de rentrer presque un litre de sperme, j'ai une appréhension. C'est trop tard!

Il m'attrappe comme un brin de paille et m'empale à sec. C'est intenable, j'avais beau être prêt et avoir assez été léché par les uns et les autres, j'ai très mal. Il me dit: "Bienvenue au club."

Il commence à me limer ce qui de douloureux devient extraordinaire. Je suis au 7° ciel. On m'attache empalé à lui, je ne peux que sentir sa pine grossir rythmiquement loin dans mon intestin. Il s'allonge par terre, moi donc dessus. Un deuxième avec une combarde sort une pine incriyablement longue, elle doit faire au moins 28cm. Elle est fine: c'est les meilleures. Il nous enjambe, se place au dessus de moi, me demande d'ouvrir la bouche et l'enfile après m'avoir conseillé d'allonger l'oesophage en basculant la tête, pour ne pas étouffer. Je ne peux rien faire, car un troisième s'est assis sur mon torse. Il se bascule en arrière, s'empalant sur moi et suçant le troisième. Nous faisons un beau mille feuilles. Je suis pénétré jusqu'au nombril d'un côté ais-je l'impression, jusque dans la moitié de l'oesophage par la bouche. Je ne peux pas bouger.

Les trois commencent à aller et venir, onduler, faire gonfler leurs glands. Je vais de l'extase à l'inquiétude de l'étouffement. Mais ils savent ce qu'ils font.

Un 4° se crosse devant mes yeux immobilisés dans la pile de loubards, et soudain, un flot de sperme épais se rue sur moi, m'inondant entièrement: je suis complètement englué. Je me concentre sur ma respiration et essaye de faire pour mon plaisir.

Soudain, un coup de boutoir dans mon intérieur: le premier me décharge son foutre brutalement. Une sensation de satiété dans l'intestin. Bientôt le deuxième en fait autant: j'ai l'impression d'avaler un broc de sperme entier, directement dans l'estomac.

Deux autres se crossent sur nous trois pour lubrifier.

Je ne vois plus grand chose. Quand j'arrive un peu, je vois du cuir, des couilles énormes et des montagnes de muscles qui me triturent, me fouillent, m'empalent, me remplissent.

Mon rêve est devenu réalité.

Au bout d'une partie de la nuit, l'ankylose aidant, nous nous démèlons. Les trois autres commençaient à en avoir assez de devoir se crosser en regardant.

Santiags me fourre dans le cul sa pointe métallique de botte et enfonce gentiment. Pure formalité car avec l'occupation qui se termie, je suis mûr pour un gros machin sans problème. Mais j'aime bien cette mise en contact. Il retire sa botte de mon cul et m'encule sauvagement. Il est monté comme un vrai cheval. Malgré le début de la nuit, j'ai enccore du mal à l'accepter. Il force à grands coups et finalement je sens ses couilles contre mon cul. Sa pine est très vivante: elle est tellement turgescente que je sens chaque pulsation de sang dans mon anus distendu. Il commence à me limer comme un étalon, rien ne peut l'arrêter. Je ne suis qu'un trou d'accueil.

Je sens que sa pine grossit encore, chaque veine sur sa pine démesurée devient douloureuse et soudain il m'inonde. Je sens une marée chaude m'envahir et tout devient super lubrifié. C'est une extase, je ne sens que de la douceur est me sens en même temps complètement devenir son jouet sexuel. Chaque contraction de son corps en orgasme se voit à travers ses cuirs, je vois des muscles impressionnants jouer sous la peau, je le sens se vider en moi. Nous ne faisons plus qu'un.

Pendant ce temps, je n'ai le temps que de voir une combarde qui fut blanche et rouge et sans doute deux tailles trop sérrée, s'ouvrir devant mon visage et libérer la plus grosse paire de couilles que je n'ai jamais vu. De vraies balles de tennis. Branchées sur un chibre de 24 cm environ, ce qui semble être le minimum chez ces mecs.

Il s'assied doucement sur ma figure, se frotte les couilles sur mon nez et ma bouche. J'essaye de goûter au passage, j'ouvre la bouche. Il met ses couilles dedans! comme elles sont trop grosses, je bouge la tête. Le dernier qui était entrain de se crosser sur ma poitrine se met à genous à califourchon sur mon torse et m'enserre la tête fermement avec deux cuisses en cuir, je ne peux plus bouger d'un poil. Mis comme cela, il ne reste plus qu'à la combarde blanche et rouge de m'enfourner sa pine. Je n'ai que le temps de basculer la tête et de happer ce qui vient. Sa pine est très dure, comme un gode. il commence un va et vient rapide et commence une éjaculation multiple que je n'ai que le temps d'avaler au fur et à mesure. Celui qui me maintient la tête éjacule et j'ai l'impression qu'il me dépose une méduse chaude sur le visage: je suis de nouveau complètement englué. J'adore.

Pour occuper mes mains, je caresse les deux premiers du début de la nuit à l'aveuglette. Je soupèse leurs couilles et ais le temps de me demander comment ils font pour récupérer si vite. Ma nuit va être longue. Tant mieux. Le matin semble se pointer, le jour se lève, pas mes 7 mecs.

Je n'ai pas faim, je suis amplement nourri de leur sperme abondant. Je suis un peu endolori mais c'est pour la bonne cause.

On se démèle enfin, je me relève. On rigole tous. Mes sept loubards ont l'air tout frais, leur cheveux longs simplement collés de spermes mélangés.

On mange un petit morceau et on avale un café.

Les motos sont au garage et ils ont une idée: on descend tous et ils me mettent à plat ventre sur une des 1100 GSXR, le cul encore amolli à l'air. Avec sa selle mono très haute, la moto me lève les fesses, je suis appuyé sur le réservoir, la tête dans les compteurs. La bête entre les jambes. Ils la démarrent, et font rugir le moteur. En échappement course, c'est assourdissant et les vibrations sont géniales.

Ils commencent une série de chevauchées en m'enculant ce coup-ci sauvagement. Mon cul est tellement distendu et gavé de sperme que je ne trouve que de l'agrément. Je regrette de ne rien n'avoir en bouche. Comme si ils avaient eu la même idée, l'un se place sous ma bouche, ce qui me relève la tête et lui permet de m'enfourner. C'est les grosses couilles de tout à l'heure. Elles semblent vibrer plus encore et bientôt il recommence à éjaculer. Je pense que je n'en peux plus. J'ai l'estomac comme dilaté de tout ce sperme. L'intestin lui aussi est rempli à déborder, quand ils se retirent, pas mal de sperme ressort et se perd.

Quelques injections de foutre plus tard, je suis tellement gluant qu'ils commencent à glisser en m'enculant. Le plaisir n'est plus le même.

On s'arrête et on remonte à l'appartement.

Mon cul est tellement élargi que l'un d'entre eux y passe le bras sans effort pour lui et sans trop de mal pour moi. Dans mon anus, il serre le poing et le tourne. C'est extraordinaire, je ne me sens plus. Je ne suis pas abimé, bonne nouvelle. Il ressort, on essaye de s'essuyer. L'odeur de sperme est omniprésente. Les pines rentrent peu à peu dans leurs cuirs. On discute encore un peu pour laisser le temps de sécher. Ils me félicitent, disent que je suis le bienvenu quand je veux. On prend rendez-vous pour le week end suivant, cela va être long d'attendre jusque là.

Comme si de rien n'était, ils se mettent sur les appareils de muscu pour y finir le week end.

J'emporte un pot de confiture rempli de sperme pour passer la semaine.

J'en voudrais plus la prochaine fois!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 25 novembre 7 25 /11 /Nov 11:17

oui

En mission dans cette grande ville des Alpes avec deux agents du gouvernement de la compagnie pour lequel je faisais un stage, nous avions trouvé un petit hôtel près du centre ville. Le déjeuner de la veille n'ayant pas eu l'heure de plaire à l'un d'eux, celui-ci décida unilatéralement que nous irions le prendre ailleurs le deuxième jour. Ces deux tordus commençaient à m'énerver les nerfs, parlant sans cesse des cours de la Bourse et tout ce qui tourne autour. Je ne vous dis pas comme je m'en balance.

On commande à un espèce de machin filiforme apparemment mal réveillé, et je plonge dans mes pensées essayant ainsi de m'isoler des balivernes et des absolues certitudes que les deux autres échangeait ensemble. Je ne me suis pas présenté, moi c'est Luc, je suis étudiant en chimie et je fais parti en tant que stagiaire, d'une mission gouvernementale chargée d'enquêter sur la qualité de l'eau! J'ai 17 ans, célibataire. Sexuellement je suis obsédé et puceau!

Et voici que le jeune homme qui devait s'occuper de notre table arrive avec les entrées sur son plateau. Je n'en croyais pas mes yeux. Je n'avais aucune expérience sexuelle mais je n'étais pas demeuré au point de ne pas savoir identifier un bel homme. Le sourire qu'il avait laissé planer sur ses lèvres à mon attention m'avait tout de suite subjugué. Je n'en revenais pas et examinais les différentes hypothèses:

Hypothèse 1: c'est un sourire commercial, mais il me semblait pourtant bien que les deux autres avec moi n'y aient pas eu droit!

Hypothèse 2: Il est encore plus myope que moi!

Hypothèse 3: Il est Exobiophile (fétichisme sexuel impliquant des rapports sexuels avec des extra terrestres)

Il devait bien avoir 27 ou 28 ans. Il avait les cheveux long bruns attachés, les yeux noirs et profonds, sa chemise blanche trahissait un torse bien musclé. Son pantalon noir laisse deviner des jambes bien musclés, un entrejambe assez généreux et sa peau était bronzée. Il me regardait beaucoup, me jetant des regards furtifs et rapides. Je décide me pincer, parce que ce n'est pas possible, je rêve! Mais non je suis toujours là!

L'apparition se penchant pour servir les plats à mes deux compères qui discutaient entre eux, mon regard sans le vouloir se trouva plongé sur sa bosse qui me semblait avoir grossi. Excité par la situation, je pouvais sentir mon organe grossir presque instantanément derrière ma braguette, son regard croisa le mien alors qu'il se relevait doucement de son service. Je compris alors qu'il avait bien remarqué ce que je regardais à son insu.

Le sourire qu'il me fit alors fut plus que suffisant pour me faire rougir de gêne. Ce n'est que par la suite que je compris qu'il prenait un malin plaisir à se pencher devant moi alors qu'il servait et desservait cette table. J'étais vraiment en érection. N'ayant eu aucune expérience sexuelle, je n'avais jamais été amené à admirer un si bel homme. Et le fait de savoir qu'il prenait plaisir à ce petit jeu me rendait fou d'excitation. Il s'était amusé à me frôler le bras avec ses hanches alors qu'il desservait ma place.

Au bout d'une heure de ce supplice, je me décidai à me lever pour aller calmer ce désir sexuel moi-même dans les toilettes du restaurant. Je n'en pouvais tout simplement plus et j'avais vraiment besoin de jouir en pensant à lui alors que son souvenir était comme neuf dans ma mémoire. Avec joie, je constatai rapidement que les toilettes de ce petit restaurant étaient propres et quelles se verrouillaient. Alors que j'allais refermer la porte derrière moi, qu'elle ne fut pas ma surprise de le voir retenir la porte et entrer rapidement, m'imposant sa présence. Je ne sais trop ce que j'ai pensé à ce moment. Je crois que j'ai ressenti de la gêne mais les événements se sont tellement bousculés par la suite que je ne garde qu'un bref souvenir de mes pensés lors de son entré. Ce fut très simple. Il était évident pour lui que mon sexe bandait comme un arc de champion et il n'avait pas besoin d'explication pour le comprendre.

Il s'approcha très rapidement de moi, et, pressant son torse contre le mien, il posa des lèvres tendres et chaudes sur les miennes. J'étais très embarrassé. Je pouvais sentir qu'il poussait son bassin sur mon organe bien dur. D'une main, il me frottait maintenant le pantalon, épousant la forme de mon pénis pour le masturber avec une lenteur et une sensualité qui m'était inconnue jusqu'à présent. Je me surpris à poser mes mains sur ses fesses. Même au travers sa chemise, je pouvais sentir ses mamelons bien en érection. Il sentait bien ma nervosité et approchant ses lèvres de mon oreille, il me calma en me disant qu'il allait s'occuper de ça. Je n'étais finalement pas sûr qu'il m'ais calmé. Ma queue voulait exploser et il me semblait que c'était la même chose pour la sienne. Il se laissa glisser le long de mon corps pour s'accroupir devant mon membre bien bandé. D'une main, il déboucla la ceinture de mon pantalon qui chuta au sol laissant place à un caleçon trempé par la pré-jouissance. Cela le fit sourire.

— C'est la première fois dis-moi?

Je ne savais que trop ce qu'il allait faire et OUI, c'était la première fois. Je ne pus lui cacher ce qui sembla le remplir de satisfaction. Et quand je lui demandais pourquoi, il eut ces mots mystérieux que j'ai encore en mémoire

— T'es puceau, ça porte-bonheur!

Il posa ses lèvres sur mon caleçon et commença à me mordiller délicatement. La sensation de chaleur était indescriptible. Je ne pensais qu'à une chose maintenant. Je voulais qu'il prenne ma queue dans sa bouche. Mais il me faisait languir, jouant de ses charmes buccaux par-dessus le tissu. Mon supplice ne dura pas. Je crois bien que son envie de m'engloutir était aussi grande que mon envie de voir ses lèvres se refermer autour de mon gland mauve et bien dur.

— Sois bien attentif à ce que je te fais, après tu me feras la même chose.

Me léchant tendrement tout d'abord, il ne mit que très peu de temps à s'enfoncer mon phallus jusqu'au fond de sa bouche. Je pouvais m'entendre gémir de plaisir alors que, d'un geste frénétique de va-et-vient, il savourait le liquide annonciateur de jouissance que laissait s'échapper mon membre bien dur. C'était la première fois pour moi. Je le suppliais d'arrêter parce que je sentais la sève du plaisir monter en moi. J'ignorais si il voulait me goûter à ce point, et ne souhaitais pas le gêner. Mais c'est ce qu'il voulait.

Sortant mon pénis en érection de sa bouche, il continuait de me masturber de façon rapide devant sa bouche grande ouverte. Mon gland désormais violet et bien enflé appuyé sur sa langue, je sentis alors les pulsions que donna mon sperme chaud alors qu'il remonta jusqu`à sa bouche. Frottant mon gland sur ses lèvres, je me surpris à laisser s'échapper une énorme quantité de mon liquide. D'une main, continuant de me masturber et de l'autre s'étendant mon liquide chaud sur les lèvres et dans le visage, je pouvais sentir sa satisfaction qu'il savourait les yeux fermés.

Remontant jusqu'à mon visage, il baissa son pantalon et son slip et je découvrit sa grosse queue bien dur, d'au moins 20 centimètres.

— Tu vois, c'est comme ça qu'on suce un mec, maintenant, prends ma queue dans ta bouche et suce moi bien.

À mon tours je m'accroupis et commençai par lécher son gland. Il semblait apprécier car je l'entendis gémir et il posa ses mains derrière ma tête pour pousser son sexe le plus loin possible dans ma bouche. Je ne pouvais aller bien loin car elle était très grosse mais je m'appliquais pour le sucer du mieux que je pouvais.

— Tu sais, tu apprends vite pour un puceau, tu suces bien, continue, c'est si bon!

De l'entendre me dire ces choses excitantes en gémissant, fit durcir mon sexe de nouveau. Après un moment, il retira sa queue de ma bouche et me fit signe de le suivre devant les lavabos.

— Ça t'a plu de te faire pomper?

— Oui, et j'ai bien aimé te sucer aussi.

— Tant mieux, maintenant je vais te limer le cul à fond et tu vas adorer ça!

Me poussant de côté, il m'appuya sur le lavabo les jambes bien écartées. Je sentis sa langue lécher mon anus. J'aimais cette nouvelle sensation et ma queue durci encore plus. Appuyant sa queue contre mes fesses, il la descendit jusqu'à la hauteur de mon anus bien lubrifié. Je compris immédiatement où il voulait en venir.

— Reste calme maintenant et tu vas jouir comme jamais!

Appuyant son gland sur l'entrée de mon anus, il me fit gémir de plaisir. Je n'était plus du tout gêné et je voulais vraiment jouir. Il enfonçait sa verge dans les profondeurs de mon cul. Je ne saurais vous dire comment c'était bon. Je le voulais tellement que j'augmentais sa cadence en faisant le mouvement moi-même. Je serrais les dents et mes mains étaient crispées sur les robinets du lavabo. On pouvait croire que je voulais les arracher. Il prenait le contrôle, ce que je me refusais à accepter. Alors d'une ferme poigne, il referma ses mains autour de mes hanches. Me tenant bien serré, il m'obligea à adopter sa cadence, me forçant à suivre ses mouvements.

Il me prit une jambe et la mit sur le siège de toilette, lui permettant ainsi de pouvoir me pénétrer plus profondément. Il se mit à gémir vraiment très fort alors qu'il touchait les parois profondes de mon anus bien trempé Ses mains tenant bien mes fesses, il me mena à l'extase avant de se retirer et d'éjaculer sur mes fesses et une partie du bas de mon dos. Il me redressa enfin et me branla vigoureusement. J'éjaculais presque tout de suite tellement ma jouissance était à son comble.

Je le regardais alors dans les yeux! Et pris par une émotion irrésistible j'approchai mes lèvres des siennes. Inexplicablement il se recula. Je ne comprenais pas, je balbutiai:

— Je crois que je t'aime!

Il me regarda bizarrement à tel point que toute mon excitation eut bien vite disparu! Puis en s'efforçant d'être calme, il me dit:

— Je sens bien que quelque chose t'as échappé!

Voyant que je ne sortais pas de mon incompréhension il parvint à articuler difficilement:

— Alors tu me le fais mon petit cadeau?

Mes illusions descendirent brusquement à la cave! Je crois que je lui ai crié "Salop!" J'ai retiré quelques billets de mon portefeuille, lui ai jeté à terre! Il se baissa, ramassa les billets, me regarda encore.

— Écoute moi bien, tu crois que je fais ça juste pour le plaisir, j'ai un salaire de crève-faim ici. Quand j'ai la chance de faire du fric supplémentaire, je prends les moyens pour l'obtenir. J'ai bien senti que tes copains et toi aviez de l'argent. J'ai tenté ma chance et c'est toi qui a répondu à mon appel. De plus, tu n'as rien à me reprocher, être encore puceau à ton âge, c'est une vrai honte. Maintenant tu ne l'es plus, tu devrais m'en remercier.

Mes yeux se mouillaient de larmes tellement je tombais de haut!

— Bonne chance et maintenant profite bien de ton dépucelage! m'a dit alors mon dépuceleur dont je n'ai jamais su le prénom et que je revis jamais.

 

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Samedi 24 novembre 6 24 /11 /Nov 20:26

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Cette entrevue m'énervait au plus haut point. En fait, j'étais tellement nerveux que je sentis quelques gouttes de sueurs couler sur mon front. Assis dans la salle d'attente, je regardais les autres hommes faisant application tout comme moi. Je voulais ce poste à tout prix. Venant de terminer mes études en comptabilité, je voulais aider financièrement ma mère et mes frères. Mon père n'avait laissé à sa mort que des dettes. Je ne voulais pas que mes frères et soeurs abandonnent leurs études faute d'argent.

Le destin m'a fait un signe hier. Alors que je fouillais les demandes d'emploi dans les journaux, un copain qui avait suivi le même cours que moi arriva chez moi fou de rage. Il était allé passer une entrevue à l'endroit même où je me trouve présentement. Ses paroles résonnent toujours dans ma tête: "Ce n'est qu'une bande de salauds. Tout au long de l'entrevue, ils n'ont pas cessé de me déshabillé des yeux. Le patron a même osé me mettre la main aux fesses. Et en plus, ce pourri a jusqu'une alliance au doigt. Je plains vraiment sa femme. Je ne travaillerai jamais pour des pédales." Je ne pouvais croire ce que je venais d'entendre. Une petite lumière s'alluma dans ma tête. Une chance de me sortir de cette situation se présenta à moi. Après le départ de mon copain, j'appelai la compagnie pour obtenir une entrevue que j'obtins pour le lendemain. Toute la soirée, j'élaborai un plan pour non seulement obtenir l'emploi mais en plus assurer mon avenir.

J'étais le prochain candidat. Je retournais dans ma tête le plan que j'avais dressé. Je devais réussir, je devais obtenir cet emploi. Lorsque je vis la porte du bureau s'ouvrir et que le candidat avant moi sortit, la secrétaire me fît signe d'entrer. Je rajustai vitement mes vêtements et pénétrai dans le bureau. Deux hommes m'y attendaient. L'un deux était debout, à la droite de l'autre, dossier en mains. Il ne se gêna pas pour m'analyser des pieds à la tête en un regard inquisiteur. L'autre homme, milieu trentaine, très sûr de lui, élégant mais austère, était bien calé dans son fauteuil. Il me jaugea d'un air hautin, repris sa lecture d'un document posé sur ses cuisses, puis me regarda de nouveau. Je le trouvais extrêmement impoli, il aurait pu au moins m'inviter à m'asseoir. Je lui jetai le regard le plus provocant et m'assis effrontément sur le fauteuil devant lui. L'homme debout parut surpris de ma détermination et l'homme assis, visiblement le patron, se redressa sur son fauteuil.

— Ainsi monsieur Dubois, vous désirez travailler pour notre compagnie? Melança-t-il d'un ton quelque peu méprisant.

Bien que surpris par son ton, je ne laissai rien paraître afin de ne pas déroger de mon plan. Continuant mon manège, je lui décochai mon sourire le plus enjôleur, écartant les jambes le plus possible pour mettre en évidence mon entrejambe.

— En effet, si bien sûr vous êtes prêt à accepter mon offre.

Le patron, définitivement fort séduisant, se pencha vers moi, vaguement intéressé.

— Une offre? Vous n'avez que 22 ans, vous venez de terminer vos études, vous êtes sans expérience, je me demande quelle offre pourriez-vous me faire?

— Très simple cher Monsieur. Je ne travaillerai pour vous que sous certaines conditions. Et grâce à ces conditions remplies, vous obtiendrez de moi des faveurs que vous auriez difficilement d'un autre et qui se n'obtiennent pas si facilement.

L'homme qui jusqu'à maintenant était debout tira une chaise à lui et s'y assit machinalement, la bouche entrouverte en une expression de surprise comique. Son patron s'appuya des coudes sur son bureau et me toisa, cette fois beaucoup plus intéressé.

— Et quelle est cette offre?

Je me levai avec détermination et commençai à parler.

— Monsieur, personne n'est dupe. Vous envisagez d'engager un homme pour vous seconder dans votre travail, mais vous cherchez aussi quelques agréments à sa présence. Vous devez sûrement rechercher les hommes les plus séduisants, ceux qui semblent plus faciles à séduire ou berner pour les attirer dans votre couche.

Je m'approchai du bureau, passai devant l'assistant médusé et appuyai mes fesses sur le bord du bureau. Le patron tourna sa chaise vers moi et m'écouta attentif. Je prenais une énorme chance car malgré ce que m'avais raconté mon copain, je n'étais pas certain qu'il soit bi ou gay mais à voir son intérêt, ma certitude se confirmait.

— Par contre, vous savez bien ce que c'est... les difficultés, les possibilités de refus, les baises rapides après le boulot avant de retrouver votre femme. Moi, voilà ce que je vous propose.

Je retirai une chaussure, m'assied sur le bord du bureau et glissa mon pied à l'intérieur de sa cuisse en le regardant droit dans les yeux

— Je veux 100,000$ par année, en commençant. Je me doute que votre offre devait être moindre mais vous n'auriez jamais ce que vous aurez avec moi. Pour ce montant, je vous offre ceci: lorsqu'une envie sexuelle vous prendra durant les journées de travail, vous pourrez exiger de moi ce que vous voulez, à tout moment en utilisant un code convenu à l'avance entre vous et moi.

Les deux hommes ne souriaient plus. J'appuyai ma proposition d'une légère pression à l'entrejambe du patron en me relevant.

— Vous êtes en réunion et soudainement une envie vous prend de me baiser là, sur ce bureau devant votre assistant? D'accord, tout cela me va. Vous travailler sur un dossier épineux et vous avez le goût d'une bonne fellation, pas de problème, j'accours et vous taille une bonne pipe. Alors, qu'en dites vous?

Les deux hommes semblaient fortement intéressés, mais ils demandèrent à se consulter quelques instants. Ils se retirèrent dans un coin de la pièce, parlant à voix basse. Devinant leur sujet de conversation, je leur dis:

— Évidemment, vous êtes en droit de demander un essai.

Le patron alla verrouiller la porte après avoir averti sa secrétaire par l'intercom de ne pas le déranger sous aucun prétexte. L'assistant me demanda de me déshabiller, mais je le toisai avec un certain dédain et je lui répondis que ce n'était pas lui mon supérieur. Le patron se mit à rire et condamna l'assistant à un fauteuil dans le coin de la pièce. Avec un regard langoureux, je retirai lentement mes vêtements. Je pouvais voir le désir dans ses yeux et encore plus dans son pantalon. Je pouvais très bien y voir la forme de son sexe en érection. Je lançai mes vêtements un à un à la figure de l'assistant frustré sous l'oeil amusé du patron. Complètement nu, j'allai frotter mon corps contre celui du patron. Je sentis ses mains caresser mon torse, mes hanches. Quand sa main caressa mon sexe et mes couilles, l'excitation me gagna et je gémis. Il m'ordonna de m'étendre à plat ventre sur la moquette du bureau et de bien écarter les jambes.

Il se mit à genoux et se pencha sur moi. Doucement, il glissa ses doigts sur mes cuisses, mes fesses et quand je sentis ses doigts pénétrer mon anus, je gémis plus fort. Devant moi, j'aperçus l'assistant toujours sur sa chaise, se masturbant sans ménagement. Après m'avoir bien fouillé l'anus de ses doigts, le patron me demanda de détacher son pantalon et de libérer sa queue qui manquait d'espace, ce que je fis avec empressement. Dès que ma langue commença à lécher son gland, tout son corps se raidit. Il me fit étendre sur le dos et m'enfonça sa queue dans la bouche en faisant des mouvements de va-et-vient. Sa verge qui glissait entre mes lèvres me rendait fou et chaque fois qu'il atteignait le fond de ma gorge, j'entendais ses gémissements mêler à ceux de l'assistant.

J'aimais le goût de son sexe mais bien vite, il me fit relever et m'indiqua du doigt son bureau. Il me fit mettre à plat ventre dessus et sans crier gare, il m'enfonça sa grosse queue dans mon anus. Je devais me retenir pour ne pas crier tellement je jouissais. Il me pénétrait presque sauvagement. Sa queue entrait et sortait de mon anus, la poussant bien au fond alors que ses couilles frappaient mes fesses. Je fis signe à l'assistant de s'approcher et dès qu'il fut devant moi, j'engouffrais sa queue dans ma bouche. Plus il me défonçait et plus je suçais l'autre. Sans doute trop excité par sa masturbation, je sentis la verge de l'assistant se contracter et j'avalai tous les jets de sperme qui se retrouvèrent dans ma bouche. N'en pouvant plus de ce va-et-vient qui me brassait les entrailles, j'éjaculai sur le plancher. À son tour, le patron se retira vitement et vint éjaculer dans ma face.

Alors que je me rhabillais, le patron, bien calé dans son fauteuil me regarda et me dit avec un sourire espiègle:

— Que dirais-tu de 150,000 par année, en commençant?

Je souris à mon tour. J'avais gagné, mon plan avait réussi. C'est d'une poignée de main que je cellai mon accord.

— Tu commences lundi matin, repose-toi bien et prend des forces en fin de semaine.

Je souris de nouveau en refermant la porte du bureau derrière moi.

 

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Samedi 24 novembre 6 24 /11 /Nov 18:39

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J'ai exercé cet été un emploi saisonnier à La Poste. Voici l'histoire qui m'est arrivée, il y a de ça quelques semaines... Mon rôle à La Poste est de distribuer de la publicité sur deux tournées (c'est à dire deux quartiers), ce qui me prend deux journées et demie dans la semaine. Toute une belle façon de passer les vacances scolaires.

C'était un mardi après-midi du mois de juillet. Il faisait chaud et beau. J'avais commencé ma distribution, et, comme à l'habitude, cela me paraissait bien monotone. Ma seule occupation étant de mater les beaux mecs que je croisais, et surtout leurs belles fesses. Il faut aussi que vous sachiez qu'à l'époque j'étais vraiment en mal de sensations fortes, de plaisir. Et je me demandais vraiment bien comment parvenir à satisfaire mes envies, étant trop timide pour draguer. Je n'aurais jamais cru qu'il puisse m'arriver ce qu'il m'est arrivé...

J'étais bien avancé dans ma tournée. J'arrivais dans un endroit que j'aimais bien, un peu à l'extérieur de la ville. En fait il y avait une grande descente. avec une maison tout au bout. Je m'approche de la boîte aux lettres pour y mettre les prospectus quant tout à coup une voix m'interpelle et me fait sursauter.

— Bonjour jeune homme! Excusez-moi de vous avoir effrayé, je croyais que vous m'aviez vu.

Wow, un vrai étalon... en fait il venait juste de sortir de sa voiture qui se trouvait juste devant son garage, et moi, tête en l'air comme je suis, je ne l'avais même pas vu! Il m'a vraiment fait sursauter en tout cas, je ne m'y attendais pas. Ni à lui, ni à ce qu'il soit aussi beau. Brun, cheveux mi-longs, la peau très bronzé, yeux verts, environ la trentaine. Il portait un complet noir qui mettait magnifiquement en valeur ses jolies jambes musclées. Il avait un corps de rêve.

J'étais comme paralysé devant lui. Je lui ai tout de même tendu les prospectus et il me remercia avec un très grand sourire. Je continua ma tournée heureux de cette rencontre et le soir je ne pus m'empêcher de fantasmer sur lui. Je n'avais qu'une chose en tête: le revoir. Je dus attendre une semaine.

Comme la semaine passée, je rejoignais la maison à pied. Je l'aperçus au loin, près de sa voiture à nouveau. Il me reconnut lorsque j'approcha.

— Bonjour jeune homme de la pub!

— Bonjour monsieur, tenez... lui dis-je en lui tendant les imprimés, et avec un petit sourire en prime.

— Merci! La tournée se passe bien?

— Oui, merci, tout va bien pour le moment.

— Ça fait longtemps que vous faites ce travail?

— Non, tout juste un mois, et ce n'est qu'un emploi saisonnier. Je reprends les études à la rentrée.

— Ah d'accord. Et vous avez quel âge?

— 15 ans...

Nous avons continué à discuter, pendant un quart d'heure environ. J'ai appris qu'il travaillait dans une banque, qu'il était marié, que lui et sa femme venaient d'emménager par ici et que par conséquence il ne connaissait pas grand monde.

— En tout cas, j'espère que les gens d'ici sont aussi gentils que toi, la semaine prochaine je t’offre un verre, d'accord?

— D'accord, lui répondis-je en rougissant.

Tout cela était pour moi inespéré. J'étais aux anges. La semaine me parut interminable. Je rêvais de lui, je n'avais plus que lui en tête. Comme j’espérais qu’il soit le premier à me faire découvrir les joies du sexe. Le mardi suivant arriva. Je décidai de commencer ma tournée plus tôt et d'en changer l'itinéraire, pour pouvoir terminer par la maison de ce splendide mec. Cette fois, il était dans son jardin, au téléphone. Il me fit un grand sourire en me voyant, me fit signe de le rejoindre et de m'asseoir.

Il portait un short noir assez moulant qui laissait deviner un sexe assez gros et une camisole blanche qui mettait très bien en valeur son torse poilu. Bref, il m'excitait au plus haut point. Il devait être au téléphone avec son patron, ou du moins avec quelqu'un de la banque, car il parlait argent. Je profitais de ce moment pour regarder la maison et le jardin. Sa conversation téléphonique se termina.

— Excusez-moi j'étais avec mon patron, il avait besoin de renseignements. Il faut toujours qu'il me dérange pendant mes congés! Bref, oublions tout ça. Je t’avais promis un verre je crois?

— Oui.

— Que désire-tu? Je fais de délicieux jus d'orange pressées!

— Ça m'ira très bien!

— D'accord, je reviens dans cinq minutes.

Il entra dans la maison, me laissant seul dans le jardin. Je pus admirer son joli postérieur. Un vrai régal. Je l'imaginais avec un joli slip. Hmmmm... mon excitation se transforma vite en belle érection. Ce jour là je portais un short et un tee-shirt, ainsi qu'un boxer blanc très moulant... dans lequel mon sexe se sentait déjà très à l'étroit à ce moment-là. Il revint dix minutes plus tard, deux verres à la main.

— Merci beaucoup, ça va me rafraîchir un peu. Dîtes-moi, je ne vois jamais votre femme, que fait-elle dans la vie?

— Ma femme est souvent en déplacement. On se voit très peu, à l'exception du week-end.

— Vous avez donc cette grande maison pour vous toute seule?

— Oui. D'ailleurs elle me parait bien vide.

— Ça doit.

— Et toi, tu as une petite amie? À ton âge tu dois bien t’amuser!

— Pourquoi dites-vous "à votre âge"? Il n'y a pas d'âge pour s'amuser! Et puis vous êtes encore jeune! Je n'ai pas de petite amie actuellement, et je n’en aurais pas non plus.

— C’est vrai, comment ça?

— Trop compliqué...

— Tu préfère peut-être les hommes?

Je ne savais que répondre, je bafouillait tellement j’étais nerveux.

— N’aie crainte, je n’ai rien contre ça, au contraire.

Je baissais les yeux, mal à l’aise, je fixais mon verre de jus.

— Et sexuellement?

La brutalité de la question me laissa sans voix.

— Euh... lui dis-je en rougissant.

— Allez n'aie pas honte, dis-moi tout.

— Et bien, rien de sexuel encore.

— Sérieux?

— Si bien sûr.

— Moi ça fait deux semaines que je n'ai pas fait l'amour et ça me manque, tu dois trouver ça insupportable ton manque de sexe?

— Je m'arrange...

— Oui, la masturbation je suppose. Je peux être indiscret? Depuis la première fois que tu m'as vu, as-tu fantasmé sur moi?

— Non! Ne croyez pas ça!

— J’ai vu comment tu me regardes à chaque fois qu’on se rencontre et je suis certain que le fait de parler de sexe avec moi t’excite très fort...

— C'est possible...

D'un seul coup, il ôte sa camisole, me dévoilant son superbe torse.

— Approche toi, avec ton verre.

Son ton changeai, il devenait beaucoup plus autoritaire.

— Renverse ton verre sur mon torse.

Je tremble de partout, tout va si vite! Après un petit moment d'hésitation, je m'approche de lui, penche le verre et arrose son torse.

— Lèche-moi maintenant.

Je suis encore plus hésitant. Il attrape mes deux joues avec ses mains puis me presse contre sa poitrine. Cette fois ma bouche s'active sur ses deux mamelons. Je lèche ce délicieux jus. Il ferme les yeux et bascule la tête en arrière, tout en me caressant les cheveux. Il a l'air d'apprécier. Je sors ma langue pour profiter de ses mamelons qui se dressent comme ma queue à ce moment là. Je nettoie son torse entièrement. Une fois le travail terminé, il se redresse.

— Tu sais, dans mon ancienne ville, j’ai quelques fois tromper ma femme avec des jeunes de ton âge. Je sais par expériences que les jeunes ont beaucoup à donner. Ça doit être ton cas... Je vais voir de quoi tu es capable.

Il ôta alors mon tee-shirt et commença à me caresser le torse. La douceur de ses mains me fit frissonner. Il m'allongea sur l'herbe et se colla contre moi. Avec sa bouche, il embrassa, mordilla mes mamelons. Sa langue léchait mon nombril. Puis ses mains baissèrent mon short et l'enlevèrent. J'étais totalement à sa merci, en boxer. Il me demanda de me mettre sur le ventre. Avec le bout de sa langue, il descendit du haut de ma nuque jusqu'aux creux de mes reins en passant par le long de la colonne vertébrale. Ensuite ses mains massèrent mes fesses.

— Tu as des fesses superbes... me dit-il en baissant mon boxer de façon à les voir le mieux possible.

Sa bouche se posa dessus... On aurait cru qu'il voulut les croquer. Il remonta mon boxer et me retourna pour se retrouver face à moi.

— Maintenant passons à ce qui m'intéresse vraiment.

Il commença à caresser mon sexe à travers mon boxer.

— Ça m'a l'air acceptable.

Il baissa puis enleva mon boxer. Je bandais comme un fou.

— Oui, tu as une très jolie queue... comme je les aime.

Sa main gauche se posa sur mon sexe dressé et s'activa doucement au début. Puis sa bouche la remplaça. Non, ce fut d'abord sa langue. Il décalotta mon sexe entièrement, et avec le bout de sa langue remontait et descendait le long de mon bâton. Il n'alla pas plus loin, il voyait bien que j'allais tout lui donner. Il se releva et alla se rasseoir sur sa chaise. Il enleva son short tout en me regardant d'un regard on ne peut plus évocateur et sensuel. Je vis ce que je voulais voir. Un slip noir rempli à rebord.

— Viens t’occuper de moi maintenant.

Je m'approchai de lui et écartai bien ses deux cuisses après les avoir doucement caressées. Je passai une main sur son slip. Sa queue dessous était dure comme fer. Je fis glisser doucement son slip pour apercevoir ce qui m'intéressait le plus. Je n’en revenais pas de voir une queue si grosse. Je le branlai doucement en malaxant ses couilles avec ma langue.

— Ouiiii, c'est très bon, fais moi plaisir, suce ma queue.

Je commençai par lécher son gland en faisant le tour avec ma langue. L’entendant gémir, je ne tardai pas à prendre sa queue à pleine bouche. J’appliquais un mouvement de va-et-vient sur sa verge, sa main posée sur ma tête accompagnait le mouvement. Il appuyait plus fort pour que sa queue touche le fond de ma gorge.

— Humm, pour une première fois, tu suces vraiment bien!

Dans mon boxer, mon sexe n'en pouvait plus. Je le baissai pour me branler.

— Je crois que tu es à point, maintenant, on va passer à autre chose.

Avec son bras, il me tourna sur le côté, afin de se retrouver face à mes fesses.

— Que fais-tu?

Il ne répondit pas. Il approcha juste son index gauche de la raie de mes fesses et il commença à caresser mon petit anus.

— Ah non, pas ça!

— Tu vas adoré être sodomisé!

— Non, je n'en ai pas envie!

— Écoute, je vois tes fesses, j'en meurs d'envie, si on le fait tout en douceur tu n'auras pas mal c'est sûr!

— Je ne sais pas...

— On essaye et dès que tu as mal on arrête.

Je ne répondis pas. Il sentait qu’il avait sa chance.

— Je te promets d'être très doux.

— D’accord...

Il était aux anges. Pendant que je me mettais à quatre pattes, il finissait d'obtenir une très belle érection. Il se mit alors sur les genoux et s'approcha de mon anus. Il humidifia l'un de ses doigts et caressa mon petit trou.

— Je suis ravi que je puisse t'initier.

Mon anus était maintenant bien humide. Il approcha son sexe. Mon coeur battait fort. Il posa son gland sur mon anus et commença à le faire pénétrer.

— Aïïe!!!!

— J'arrête?

— Non! Mais vas-y très doucement!

Il continua à s'enfoncer, il était environ à la moitié. Il sentais que j’avait mal.

— Vas-y, continue! Enfonce-toi!

Il s'enfonça entièrement.

— Ça va, tu n'as pas mal?

— Un peu mais je veux que tu me défonces! Allez, défonce-moi!!!

Il se mit alors à effectuer un léger va et vient. Mes cris de douleurs laissèrent leur place à de petits gémissements. Voyant que je commençais à apprécier, il augmenta le rythme.

— Ooooohhh vas-y, C'est bon!

Je posai ses deux mains sur mes fesses pour prendre appui. Il s'enfonçait au plus profond de moi, sans relâche. J'adorais ça. Et le fait de savoir qu’il était le premier à me sodomiser l'excitait encore plus. Il était mon initiateur. Par moment, au plus profond de moi, il s'arrêtait. J’en redemandais. Alors il repartait, d'abord lentement, puis plus vite.

— Oooh ouiiii, fais-moi jouir, vas-y!

Il sentit que je n'étais pas loin de l'explosion. De sa main, il caressa ma verge et je me mis à jouir violemment en éjaculant.

Doucement, il se retira de mon anus.

— Hmmmmm tu es très bon initiateur je crois. Tu m'as converti. Laisse-moi te remercier et goûter à ton jus.

Mes mains vinrent se poser sur ses testicules puis remontèrent. Ma bouche se posa sur son gland et elle engloutit son sexe entièrement. Je le pompais comme jamais on ne lui avait fait. Il était au bord du plaisir. Je posai son gland sur ma lèvre d'en bas et ouvris grand la bouche. Il éjacula dans ma bouche. Je n'en perdis pas une goutte et terminai en engloutissant une dernière fois son sexe.

— Merci, c'était très bon, lui dis-je.

— Tout le plaisir était pour moi.

J'étais très heureux de ce qui venait de se passer, je n'en revenais vraiment pas. Je me sentis pousser des ailes.

— Merci jeune homme. Je pense que tu vas être en retard à La Poste...

Merde! La Poste! Complètement oublié! Je l'embrassai une dernière fois, le remerciai de tout mon cœur pour ce moment incroyable de plaisir et partis en courant espérant rentrer avant la fermeture. Arrivé devant La Poste, elle était déjà fermée. J'eus donc droit à quelques remontrances le lendemain. J'expliquai que, en avance sur ma tournée, je m'étais permis de m'arrêter chez un ami et que je n'avais pas vu le temps passé...

Heureusement, ils m’ont cru...

 

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Samedi 24 novembre 6 24 /11 /Nov 17:58

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Ma vie se poursuivit ainsi longtemps: je travaillais en tant que conseiller personnel de mon patron, normalement sans aucune différence avec un autre conseiller, lorsque les portes étaient ouvertes, et quelques petits aménagements lorsqu’elles étaient fermées.

Souvent, Monsieur aimait à me voir travailler en slip et torse nu. Parfois il a même exigé que je sois complètement nu. Mais les sodomies qu’il me faisaient et fellations qu’il exigeait que je lui fasse n’étaient pas quotidienne, c’était selon son humeur, ses envies...

Souvent lorsqu’un coup de fil traînait ou l’énervait, il me faisait signe de m’approcher, sans attendre d’autres gestes, j’étais devant lui à genoux, sortant de son pantalon, sa queue déjà en demi-érection et de ma langue je m’appliquais à lui donner une bonne vigueur, pour ensuite l’emboucher entièrement et la pomper avec délectation.

Lors d’une période particulièrement stressante pour Monsieur, il lui arrivait très régulièrement de me pénétrer sur le bureau, sans ménagement, jusqu’à 6 fois sur une journée, profitant selon son envie, de mon cul. Mais je finissais par m’ennuyer. Ce sexe fonctionnel dirais-je, ne m’attirait plus, il manquait de piment, de vie.

Oui, bien sûr, il y avait les sorties, une ou deux fois par semaine, au restaurant pour affaire mais même les serveurs trop polis ou trop guindés pour paraître intéressés ne me laissaient plus goûter à l’exhibition. Je crois que mon patron s’en rendait compte. Lors d’un contrat quelconque, Monsieur faisait affaire avec un autre monsieur, très gentil, très correct qui venait toujours accompagné d’un homme plus jeune. Cet homme, dans le début de la vingtaine tout comme moi, assez mignon, aux yeux souriants, semblait trouver mon corps très à son goût. Et ses coups d’œil, sourires et autres commentaires eurent vite fait de me faire comprendre ses envies à mon égard. Pour la première fois depuis longtemps, je me sentais vraiment désiré. Ma verge n’en demanda pas plus pour se mettre à durcir sous l’effet du désir. Mais la réalité est là et je sais que cet homme n’entendra pas ma voix lui dire de me prendre, de me baiser.

Le soir quand mon patron me demande d’approcher, je sens qu’il y a quelque chose qui le tracasse. Tout de suite, il baisse mon pantalon et passe sa main dans mon slip, se rendant compte de mon érection.

— Hé bien! Qui t’a donc mis dans cet état?

Ce disant, il m’avait attiré sur le fauteuil, à sa place, m’asseyant et me plaçant les jambes sur les accoudoirs, il avait une vue complète sur mon anus mouillé par l’excitation.

— Dis-moi, mon beau, tu n’es pas en train de tomber amoureux, j’espère?

Cette idée me fit l’effet d’une bombe.

— Non, j’ai juste envie de sa queue.

La réponse était sortie sans même être réfléchie dirais-je. Mon patron sourit...

— C’est bien Tom, c’est bien... Caresse-toi un peu....

Je ne me fis pas prier, mes doigts allant et venant sur ma queue, s’arrêtant un peu sur mes couilles, puis repartant pour s’enfoncer dans mon anus, en ressortir complètement trempés et recommencer à jouer avec ma queue.

Ce jour-là, mon patron semblait particulièrement heureux... Il fit un chose à laquelle je ne m’attendais pas: il se mit à genoux devant moi et se penchant, se mit à me lécher la queue. Longuement sa langue un peu râpeuse m’a léché la queue, le gland, puis s’attardant sur mes couilles, m’approcha d’une éjaculation fulgurante, il s’arrêta juste avant, alors que je commençais déjà à haleter comme un chien en chaleur....

Me redressant, il m’amena au canapé, m’y coucha et me pénétra sans aucune difficulté. Il ne lui fallut pas plus de quelques coups de reins pour m’arracher des cris de jouissance. Il me regarda jouir, puis me disant de me retourner, il revint se coucher sur moi pour me prendre comme il le dit lui même: "Le petit salop que j’ai engagé et qui soupire après le premier mâle venu." Il m’encula. Je sentis très vite son sperme s’épandre en jets chauds en moi.

Lorsqu’il se releva il me dit:

— Demain, ne prévois rien de ta soirée. J’aurai besoin de toi.

La situation, et la phrase, étant habituelle, je ne me posais aucune question. Le lendemain, la journée se passa assez simplement: resto pour fêter avec les deux messieurs la signature du contrat de 13h à 16h. classique en dîner d’affaire. Les regards de mon vis-à-vis de table m’en disaient longs sur ses pensées. Plus d’une fois je sentis mon visage s’empourprer.

Quittant la table, nous passons déposer ces messieurs à l’hôtel où ils résidaient. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je m’aperçus que l’homme le plus jeune resta dans notre voiture. Après les salutations et remerciements d’usage, nous repartons. Le chauffeur nous conduit chez nous.

Je sors.

— Tom, Monsieur B. souhaite profiter de votre hospitalité cette nuit. Je pense que vous n’y verrez pas d’inconvénient.

Je me sens trembler des pieds à la tête, l’homme sort en vainqueur de la voiture, sourire presque carnassier, je rougis.

— Laissez les lumières allumées, Tom. Merci

Je monte les quelques marchent avant l’ascenseur devant monsieur B que je n’ose toujours pas regarder. L’ascenseur s’ouvre, je le sens qui me suit, qui se colle à moi alors que la cabine est spacieuse. Il en profite pour laisser ses mains se perdrent sur mes fesses. Arrivés à mon étage, nous sortons, je me vois dans le miroir du couloir, on dirait un gamin pris en faute, qui attend sa correction.

J’ouvre ma porte et sans même me poser de questions, me dirige vers la chambre. Puis soudain je me rends compte que j’aurais pu ne pas l’y inviter, que j’aurais pu rester au salon. Qu’est ce que je fais? Je suis fou! Mais je sens mon cul palpiter, j’ai envie... Je me retourne, il est à l’entrée de la chambre.

Je le regarde droit dans les yeux. Je retire mon veston, le lâche sur le sol. Je commence à déboutonner ma chemise qui s’entrouvre peu à peu, laissant voir mon torse imberbe. Je dégrafe le bouton de mon pantalon, le laisse glisser au sol. Je ne suis plus vêtu que de ma chemise ouverte. La bosse dans son pantalon est plus qu’explicite...

Je m’approche de lui, place mes bras autour de son cou et pose mes lèvres sur ses lèvres. Cela le met en route, en furie plutôt. Il me soulève, me porte au lit, descend la fermeture-éclair de son pantalon, ne le retire même pas, sort sa queue qu’il m’enfonce d’un coup dans l’anus. La brusquerie me fait un peu peur, m’arrache un cri...

Après quelques coups de queues rapides, il se calme et sans sortir sa queue du fourreau où elle est, il se redresse un peu et commence à me caresser le torse d’une main. Il écarte totalement ma chemise, puis approchant sa bouche du mamelon, commence à le lécher, presque tendrement. Sa queue reste bien au chaud. De temps en temps, sa queue me fait sentir sa présence par un petit mouvement doux. Le laissant continuer à ce rythme qui me change et me ravit, j’entreprends de lui retirer sa veste. Il se laisse faire... Cravate...

Toujours affairé auprès de mes mamelons, je le sens de nouveau s’exciter plus... Il les relâchent, il se redresse, libère sa queue de mon cul et ouvre sa chemise sans s’occuper des boutons qui disparaissent dans tous les coins, retire d’un coup son pantalon et ce qu’il avait dessous avant de s’abattre une nouvelle fois sur moi, replonger sa queue au chaud et accompagnant par des coups rapides de queue ses mouvements, il se met à me mordiller les seins, l’un après l’autre. Jamais on ne m’avait fait cela. La sensation m’électrise, j’ai l’impression que je brûle de l’intérieur.

Je sens sa queue qui accélère encore son mouvement. Je regarde d’un coup d’œil vers la fenêtre... Mon patron est là... Mmm je sens que cela vient. J’éjacule en poussant de petits cris. Ne voulant pas rester en arrière, sa cadence prend plus d’ampleur, plus de force. Je sens enfin son foutre me remplir l’anus, c’est chaud, c’est doux.

Sa tête se pose sur mon épaule, ses doigts jouent avec mon téton, la tempête est passée, le repos du guerrier. Mon patron est toujours là, un verre à la main... il me regarde droit dans les yeux... J’ai encore envie de me montrer à lui, j’ai encore envie de jouir. Apparemment mon envie se sent puisque mon amant se réveille et se met à m’embrasser dans le cou. Il se redresse un peu pour prendre une position plus confortable sans doute mais je profite de l’occasion pour fuir de l’autre côté du lit... Il tente un coup de patte, dirait-on pour me rattraper. Pas encore bien réveillé, il se laisse aller sur le dos. Je m’approche, à quatre pattes, regarde cette queue à moitié débandée. Je commence à la lécher à la manière d’un chat, à petits coups de langue. Il aime ça, je le vois, je le sens... Très vite sa queue grandit, grossit pour atteindre une taille très confortable.

Monsieur B semble aux anges. Il sourit béatement mais j’ai envie qu’il se réveille, moi. Alors de ma langue douce je passe à la bouche active. Je le suce, je le pompe laissant ma bouche serrée autour de son membre, puis parfois je le mords un peu... Juste pour tester les réactions. Intéressant, il semble avoir du mal à rester en place... j’essaye donc le même traitement plus bas, sur ces deux couilles charnues qui s’offre à mon regard.

Sans appel, cette solution: monsieur B se redresse avec une queue bien dressée, bien raide. Ravi, je lui présente de nouveau mon cul, mes fesses attirent ses mains. C’est dans mon anus que sa bite retourne. Il s’active... tenant mes hanches dans ses mains, ses coups de boutoir sont forts, rapides... j’aime ça. Je sens que le plaisir monte.

Il jouit, m’inondant une seconde fois... En mâle repu, il se couche sur le côté. Je suis déçu, frustré. Le téléphone sonne, je décroche, c’est mon patron.

— Passe-le moi!

Sans un mot, Monsieur B me repasse le téléphone et commence à s’habiller.

— Laisse-le partir. Tu veux le revoir?

— Non.

— Ne te lave pas, ne bouge pas, j’arrive.

B part après un rapide baiser sur mes lèvres, je reste allongé. Mon patron arrive...

— Alors, il t’a plu?

— Bof....

— Tu n’as pas assez joui?

— Non...

— Laisse toi faire alors...

Il m’écarte les jambes, m’amène au bord du lit... Et se mettant pour la seconde fois à genoux devant moi il se met à me lécher, à aspirer tout le sperme qui occupe mon cul, à jouer avec mes couilles... Je crois avoir ce soir-là joui cinq ou six fois d’affilée sous sa langue experte. Je sentais ma tête me tourner, je voulais refermer les jambes mais il me les maintenait ouverte continuant encore et encore.

— J’ai aimé le spectacle. Nous recommencerons.

Je me suis endormi, épuisé, sur ces mots...

Et il a tenu sa promesse.

 

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Vendredi 23 novembre 5 23 /11 /Nov 23:43

endivojambon.coco.fr-8379

Ma sœur et Brodie sont restés ensemble deux ans avant d’annoncer leurs fiançailles. Depuis que je l’avais baisé, mon beau-frère avait changé d’attitude envers moi. Pendant de nombreuses semaines, il m’avait évité, détournant les yeux lorsque j’étais dans la pièce, puis petit à petit j’ai pu remarquer son regard se poser de nouveau sur moi. Il se remit à me donner des petits noms qui m’agaçaient mais je devinai rapidement qu’il cherchait à renouveler notre première expérience. Cela n’a pas tardé pour que nous rebaisions ensemble, et depuis, nos jeux ont évolué. Si la première fois je n’avais fait que l’enculer, maintenant je n’hésite pas à lui prendre la queue en bouche avant de le monter.

J’ai toujours peur que ma sœur découvre notre petit manège, mais je ne peux résister à son air viril et à ses manières de macho. Elles me rendent dingues et m’invitent à me venger davantage. Pourtant jusqu’à présent, personne n’a découvert notre relation de désir et de passion réciproque. Il n’y a pas de véritable amour entre nous, il n’y a que du cul. L’amour il le réserve à ma sœur, c’est pour cela qu’après deux ans de rencontre ils décidèrent de se marier. J’eus une réaction étrange ce jour là. J’étais à la fois content que Brodie ne s’éloigne pas de la famille mais aussi frustré de me dire que ma sœur allait pouvoir profiter davantage de ses attributs. Je fus fier pourtant lorsqu’il me demanda d’être son témoin.

Les fiançailles ne durèrent pas, ils se marièrent rapidement si bien que je ne pus préparer une véritable soirée d’enterrement de garçon. Mais depuis je me suis rattrapé.

Le matin de la cérémonie, je retrouvai Brodie chez lui pour l’accompagner jusqu’à la mairie. Ma sœur avait été dormir chez nos parents comme le veut la coutume. J’étais entré dans l’appartement pour découvrir mon amant allongé sur un fauteuil, en jean, t-shirt et pieds nus. Il avait dû s’endormir comme ça. Je m’approchai de lui pour venir le réveiller mais de le voir dans cette tenue de bad-boy mon désir pour lui se ranima. Je pouvais sentir mon sexe sous le tissu de mon boxer. Je me penchai vers lui pour venir poser mes lèvres sur les siennes. Il ne devait pas véritablement dormir car il répondit à mon baiser avec passion. Je fis glisser ma main sur son bras, remontant son épaule pour venir prendre sa tête. Il fit de même. Notre baiser était fougueux. Nos lèvres se cherchaient, nos langues se nouaient, nos mains se caressaient et notre désir pour l’autre nous envahissait. Je fis glisser ma main sous son t-shirt à la recherche de sa peau, sentant ses côtes et ses muscles sous ma paume. Nous gémissions à l’unisson faisant part de notre désir à l’autre. Il me fit basculer sur le fauteuil afin de se retrouver au dessus de moi ce qui libéra ses fesses que je pus malaxer en passant mes mains sous le jean. Il s’assit sur moi et je pus faire glisser son t-shirt au dessus de ses épaules. Nos lèvres ne s’étaient pas quittées pendant cette parade amoureuse. Lorsque je lui fis enlever son haut, il vint me bécoter dans le cou puis il s’allongea sur moi de tout son poids me faisant sentir sa force. Il se déhanchait sur moi en reprenant mes lèvres. Il avait appris à faire monter mon désir. Je me demandais s’il pratiquait de la même manière avec ma sœur.

Ma queue était bandée sous mon pantalon, je le désirais intensément et je fus libéré lorsqu’il me redressa pour venir embrasser mon torse. J’enlevai rapidement mon t-shirt afin de lui laisser toute liberté. Il ouvrit mon jean en déposant sa bouche sur la moindre parcelle de mon ventre. Je pouvais admirer de ma position la musculature de ses épaules. Je passais mes mains sur ses cheveux qu’il avait coupés courts. Je me mordis les lèvres lorsqu’il sortit enfin ma queue de mon jean. Il joua avec mon gland, le suçant. Depuis la première fois que je l’avais fait me sucer, il avait gagné en expérience. Je ressentais un plaisir immense.

— Vas-y, Brodie, suce-moi.

Il ne me répondait que par des gémissements. Il me fit glisser le jean, ce qui l’obligea à lâcher ma queue. Le temps que le tissu passe mes pieds, il m’embrassa les cuisses.

— La queue, salope ! Lui ordonnai-je.

Il l’a repris en bouche comme un enfant bien obéissant. Il jouait avec mon gland me tenant la queue entre la main mais moi j’avais envie de plus. Je posais ma propre main sur son crâne et accompagnais son mouvement autour de ma hampe. Ensuite, je le redressai rapidement, faisant descendre son jean et son boxer sur ses mollets, puis le retournai face à son lit. J’embrassais son dos pendant qu’il se plaçait à quatre pattes me montrant sa croupe. Tout en tirant son jean, je passais mes lèvres sur ses fesses. Il sentait bon, le petit salaud avait dû préparer tout ce qu’il fallait pour être baisé ce matin. Je vins lécher sa rosette qui avait un petit gout sucré. Il gémissait comme une femelle en chaleur donnant parfois des petits coups de bassin en avant. J’introduisis un doigt pour venir l’ouvrir davantage. Je le fis tourner en salivant bien. Il se cambrait bien.

— J’ai envie de ta queue, me dit-il.

Je me redressai pour venir déposer ma queue sur ses fesses. Il bougeait son arrière train quémandant mon pieu. Je me suis dit qu’il allait me faire souffrir en disant oui à ma sœur dans la journée si bien que l’idée de le prendre violemment germa en moi. J’approchai mon gland de son trou, le tenant par la taille, entrant lentement puis donnant un grand coup pour le faire hurler. Il fut tellement surpris qu’il se lança en avant. Je le rattrapai par l’épaule et l’attirai vers moi. Je le défonçai pendant qu’il lâchait des « Oh ! Putain ! ». Je ralentis mes coups, content de mon effet pour me pencher sur son dos, venir embrasser ses épaules et attirer son visage vers moi pour venir l’embrasser pendant que j’étais planté en lui. Nous nous sommes embrassés quelques instants puis je repris un mouvement lent entre ses fesses. Ses gémissements étaient clairs et puissants.

— Vas-y montre moi que tu aimes ma queue, Brodie.

Il se mit à gémir de plus belle. J’aimais l’entendre, c’était pour moi une preuve de son désir et de son statut de salope. Je le pris dans plusieurs positions. Parfois moi allongé sur le fauteuil afin qu’il vienne s’enfiler par lui-même, parfois lui allongé sur le dos, les cuisses écartées afin de plonger mes yeux dans les siens. Dans cette position, j’aimais me pencher sur lui pour venir l’embrasser puis lui glisser à l’oreille :

— T’es qu’une femelle en chaleur. Tu sais ça ?

— J’ai trop besoin de ta queue, me répondait-il.

Je plaçais alors ses cuisses sur mes épaules et lui faisait remonter le bassin pour me plonger dans son trou. Parfois je devinais une grimace sur son visage et je sentais ses mains tenir mes cuisses comme s’il souhaitait me repousser mais alors je lui disais :

— Tu es à moi, t’es ma pute.

J’accélérais le mouvement jusqu’à ce qu’il se mette à gémir davantage encore. Lorsque je l’eus bien baisé, je devins davantage vulgaire encore.

— T’es ma petite salope.

— …

— Un bon bâtard en chaleur, hein ?

— Oui ! Me répondit-il.

— Tu n’es qu’un trou pour moi, hein ?

— Oui.

— Et encore ?

— Une sale chienne en chaleur…

Je le défonçais.

— Prêt à tout pour avoir ta queue.

— Ouais ! Et t’aimes ça, salope.

— Oui, je suis qu’un putain d’enculé.

J’attrapai davantage ses cuisses contre mon torse et giclai dans son trou pendant qu’il lâchait sa purée entre ses doigts. Un plaisir immense envahit mon corps, puis je me penchai vers Brodie pour l’embrasser. Notre baiser fut plus tendre que les fois précédentes. Nous recherchions la plénitude. Il me dit :

— Va falloir que j’aille me vider maintenant.

— Pas question ! Lui répondis-je avec un large sourire. Garde mon sperme en toi toute la journée et ce soir au repas je viendrais vérifier.

Il m’attrapa la tête pour écraser mes lèvres sur les siennes. Il nous fit relever ensuite puis se pencha vers sa commode.

— Puisque tu m’as fait un cadeau ce matin, j’en ai un pour toi.

Il sortit une bague du tiroir qu’il me tendit. C’était une réplique parfaite de l’alliance qu’il avait acheté pour son mariage.

— Cette alliance est pour toi, elle me lie à toi et à tes désirs.

Je fus surpris sur le coup mais une joie immense fit place à ce sentiment d’incrédulité. Il m’annonçait ainsi que même après son mariage avec ma sœur nos aventures continueraient et qu’il était prêt à se donner corps et âme à mes désirs et j’en avais.

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Vendredi 23 novembre 5 23 /11 /Nov 00:16

endivojambon.coco.fr-8379

C'est toujours une joie de venir voir ma soeur. Elle m'invite régulièrement pour le repas du dimanche midi. Elle peut me dire d'arriver à 12h30 ou à 11h30, je me débrouille toujours pour débarquer au moins trente minutes en avance pour la surprendre alors que rien n'est prêt. Elle râle mais cela m'amuse. Elle doit penser que je le fais exprès pour qu'elle se mette à ronchonner mais la raison est tout autre. Comme à son habitude, elle me dit d'aller voir Brodie qui doit être dans leur chambre et qui lui doit être prêt. Elle rajoute que lui va pouvoir s'occuper de moi et comme à notre habitude, nous allons pouvoir discuter de choses qui ne la regarde pas. Si elle pouvait savoir...

Je me dirige alors vers leur chambre et découvre invariablement Brodie en slip, la queue déjà gonflée sous le vêtement. Il me sourit et je commence à me dévêtir pendant qu'il se caresse le paquet doucement. Je ferme la porte derrière moi et ferme le loquet au cas où ma soeur débarquerait, ce qu'elle ne fait d'ailleurs jamais, plus occupée par sa cuisine qu'autre chose. J'aime voir ce jeune mec de 29 ans, châtain aux yeux verts, couvert d'un joli tatouage qui va de son bras gauche à son sein. Il me regarde et je peux lire le désir sur son visage qu'il n'a pas rasé. Il sait que j'aime le voir non rasé de la veille. Cela énerve ma soeur mais me fait monter davantage le désir. Je m'approche alors de lui pour passer ma mains sur sa queue. J'en ai vu des bien mieux mais elle doit faire un bon 20cm. Il gémit alors doucement en prenant ma queue. Mon premier désir est de le prendre en bouche. Je m'agenouille alors, attrapant sa queue entre mes lèvres et le suce en le caressant.

— Oh putain, tu suces mieux que ta soeur, me dit-il souvent.

Il aime que je lui suce la queue, il nous regarde souvent dans le miroir de la pièce. Lorsque je l'ai bien chauffé, je peux enfin faire tout ce que je veux de lui. Je me redresse et lui intime l'ordre de me montrer son cul. Il se penche alors sur le fauteuil de la pièce. J'écarte alors ses fesses pour y venir planter ma langue.

— Tu aimes ça salope, je lui demande.

Il me répond invariablement par un gémissement de satisfaction. Ma langue s'insinue en lui, dans son trou fraîchement nettoyé, le lubrifiant pour la suite. Quand je ne peux plus attendre, je m'allonge sur le petit fauteuil et lui dis :

— Viens t'enculer sur ma queue.

Il vient lui-même glisser mon gland dans son trou, se plaçant face au miroir pour se voir se faire sauter. J'aime le prendre dans différentes positions, le mettre à quatre pattes pour le prendre en levrette. Je m'introduis doucement puis le lime lentement. Parfois il me demande d'arrêter mais je n'en ai cure, je veux lui faire sentir qu'il est sous ma domination. D'ailleurs il le sait bien, c'est comme un jeu entre nous. Invariablement, je le fais s'allonger sur le fauteuil et viens me glisser en lui avec ses jambes velues autour de mes cuisses. Il ferme les yeux mais je lui ordonne rapidement :

— Regarde moi ! Regarde le mec qui te saute.

Il ouvre alors les yeux avec un grand sourire me montrant sa satisfaction. Il se branle lentement. J'aime le prendre ainsi. Je me penche parfois et lui demande :

— T'aimes ma queue ?

— Oui.

— T'es quoi ?

— Une petite pédale, me murmure-t-il.

J'accélère alors le mouvement et viens plaquer mes lèvres aux siennes pour l'empêcher de hurler. Il cherche ma langue de la sienne. Je le baise ainsi accélérant ou ralentissant le mouvement, sortant entièrement ma queue pour lui réintroduire à fond jusqu'à ce qu'il me lâche :

— Suis un putain d'enculé.

À chaque fois qu'il dit cette phrase, je gicle instantanément dans son trou le remplissant ainsi. Il ne tarde pas à jouir à son tour sur son ventre. Avant de venir l'embrasser, je ramasse son sperme avec mes doigts et lui fais lécher. Notre baiser langoureux dure quelques secondes puis on se relève pour se rhabiller. Brodie reste toute la journée avec mon jus en lui. Ma soeur ne se doute de rien...

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Jeudi 22 novembre 4 22 /11 /Nov 22:56

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Je me souviens souvent de la première fois où j’ai rencontré mon beau-frère. Ma sœur sortait avec lui depuis quelques semaines lorsqu’elle l’a invité chez nous pour la présentation officielle aux parents. Mes parents n’ont pas vraiment été ravis la première fois qu’ils l’ont rencontré, il avait un look de Bad-boy avec sa barbe non rasée de quelques jours. De plus il entretenait ce look avec son jean déchiré au genou. On pouvait y voir dépasser sa pilosité brune. Moi j’eus une impression assez bizarre. Autant il me paraissait avoir du charme autant j’ai de suite pensé que c’était un beauf.

Ma première impression s’est révélée exacte. Pendant tout le repas, nous avons eu le droit à des blagues dégradantes sur les femmes et parfois même sur les homos. Même mon père qui est un bon vivant, semblait rire jaune. Assis en face de lui, j’ai largement pu le détailler et notamment observer le tatouage qui sortait de son t-shirt largement échancré. Pourtant je décidai que je n’allais pas apprécier ce gros con.

Les semaines ont passé et ma sœur ne s’est pas lassée de son mec. J’arrivais de moins en moins à le supporter. Il faut dire qu’il s’obstinait à me faire des réflexions qui avaient le chic de me faire sortir de mes gonds. J’avais régulièrement le droit à des surnoms comme « petite pédale » ou « tafiole » lorsqu’il passait près de moi et que personne ne pouvait l’entendre ou parfois en présence de mes parents ou de ma sœur j’avais le droit à « ma chatte ». Je me demande encore comment il a pu imaginer que j’étais gay alors que pour tout le monde j’étais hétéro.

Au moins le traitement qu’il m’infligeait m’a incité à me rendre plus viril en faisant du sport et en gagnant de la masse musculaire. Il avait beau avoir trois ans de plus que moi, il n’était pas question qu’il m’impressionne. Parallèlement à mes entrainements en salle de muscu, j’ai suivi des cours de self défense.

Un après-midi de juillet alors que tout le monde était dans le jardin, moi je m’étais mis au frais à l’intérieur. Je pouvais entendre mes parents, ma sœur et Brodie discuter à bâtons rompus. Alors que je commençais à m’assoupir, mon beau-frère s’arrêta devant la porte de ma chambre et comme à son habitude j’eus droit à une réflexion :

— Alors ma chatte, on se la coule douce.

Je ne sais pas ce qu’il m’a pris mais il fut temps de ne plus le laisser faire. Je n’avais qu’une envie à ce moment là, c’était de lui faire payer toutes les humiliations que j’avais dû subir. Malgré les règles qu’on m’avait enseignées, et notamment de ne pas me servir de mes cours de combat contre autrui, je sautai de mon lit tel un félin et attrapai l’objet de mon courroux prestement. Je lui fis une clef de bras ce qui l’immobilisa de suite.

— Mais c’est que ça se rebelle ! Me dit-il.

J’amplifiai la torsion de son bras ce qui le fit souffrir.

— Aie !

— Ça t’amuse de me faire chier ?

— Ouais, osa-t-il répondre.

— À mon tour alors…

Je l’entrainai vers la fenêtre dont les volets avaient été mis en cabane. Je me plaçai derrière lui et m’approchai de son corps pour accentuer encore la douleur. Bien sûr, pour ne pas perdre la face, il fermait sa bouche. Collé à lui, je lui murmurai :

— Alors, c’est qui la tapette maintenant ?

— …

— Tu voulais jouer avec moi !

Ces quelques mots furent soufflés dans son oreille. J’eus soudain une idée de ma vengeance.

— Tu va jouer la tapette pour moi, hein, mon mignon.

Je glissai ma main dans son jean qu’il avait bien sûr très large ainsi que dans son boxer et commençai à palper ses fesses. Celles-ci étaient velues tout comme ses cuisses mais aussi musclées sous ma paume.

— On travaille son petit fessier, tout comme les nanas. C’est mignon ça !

Il essaya de résister mais j’accentuai ma pression sur son bras.

— Tout doux, tu ne voudrais pas qu’on découvre que t’es une petite pédale qui aime se faire sauter.

Je cherchai alors juste à lui faire peur. Je voulais qu’il implore ma clémence pourtant il résistait. Je décidai alors de passer ma main entre les globes de ses fesses. Il avait sa rosette aussi poilue que le reste. Il me fallait l’humilier davantage, je glissai alors un doigt dans sa fente et découvrit une peau soyeuse. La chaleur avait dû le faire suer car son trou était bien humide. Je rentrais difficilement mon doigt mais je lui glissai à l’oreille :

— Humm, un petit cul vierge comme celui-ci. Je sens que je vais me régaler.

Il ne répondit pas mais haleta. Mon doigt entrait davantage encore. Dehors, on pouvait entendre ma famille en pleine discussion. Je fis glisser le jean de mon beau-frère sur ses cuisses et repris mon doigtage. Il semblait prendre plaisir à cette caresse ce que je découvris plus tard. Encore maintenant, j’aime lui ouvrir le cul de mes doigts et l’entendre gémir jusqu’à ce qu’il m’implore de l’enculer.

Je me rendis compte que la pression de mon bassin sur sa cuisse et la situation m’excitait au plus haut point. J’en bandais. Avant cet événement je n’avais jamais imaginé prendre du plaisir avec un mec, mais ce type qui m’avait temps emmerdé me faisait triquer. Je l’ai doigté au moins dix minutes jusqu’à pouvoir y entrer trois doigts. Il soufflait comme un bœuf, ruisselant de sueur. Il me rendait fou. Il résistait sans m’implorer. J’eus une idée plus dégueulasse encore. Je sortis ma queue et lui dis :

— Il est temps que tu me serves.

— Non… Pas comme ça. Dit-il avec une petite voix.

— Mais si, ma chatte.

Je lui léchai le cou remontant vers son oreille.

— Avec un préservatif, je t’en supplie. Je veux rien attrapé…

Brodie me donna l’impression d’être clean et d’avoir peur des maladies. Je savais que j’étais aussi moi clean vu que jusqu’à présent j’avais baisé mes copines avec des préservatifs. Je voulus alors lui faire peur.

— Qu’est ce que j’en ai à foutre moi.

Je crachai dans ma main et badigeonnai ma queue de salive. Je me plaçai dans le dos de Brodie.

— Alors ma belle, prêt à se faire monter par un étalon.

J’introduisis mon gland dans le trou de mon beau-frère et donnai un violent coup en avant ce qui le fit gémir de douleur.

— &Ccdeil;a va Brodie ? Demanda ma sœur de l’extérieur.

— …

— Brodie ?

— Oui, je me suis juste fais mal au pied, chérie, lui répondit-il.

Ce petit macho ne disait rien sur sa position. Il faut dire qu’elle était suffisamment humiliante pour lui. Moi je découvrais une sensation nouvelle. Son fondement était chaud et son anus entourait ma verge avec délice. Collé à lui, je sentais les poils de ses fesses sur mes cuisses et le bas de mon ventre. Je fis un petit mouvement mais replongeai en lui immédiatement. Il se mit à gémir. Je continuais mon va et vient, profitant de chaque sensation. Je découvrais que j’aimais le baiser et que lui semblait apprécier. Je lâchai son bras et pris ses hanches des deux mains. Il dégagea son bras et recula son cul pour se cambrer.

— Oh putain ! Lui dis-je.

— Quel pied, je prends, répondit-il.

Je l’ai enculé peu de temps car je vins rapidement tellement le plaisir était intense. Au moment où je giclai en lui, il se mit à jouir à son tour dans sa main.

Je sortis de lui et me rhabillai alors qu’il essayait de se revêtir avec sa seule main de libre, l’autre pleine de sperme. Il s’est tourné vers moi avec un large sourire et j’ai deviné que notre relation allait changer.

Encore maintenant, lorsque je repense à cet événement, je me dis que tout aurait pu être différent et que ça aurait pu mal se terminer mais je regarde la chance que j’ai su saisir au bond et notamment d’avoir gagner un amant qui m’en demande toujours plus.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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