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fan de histoires de mec

Lundi 29 octobre 1 29 /10 /Oct 15:07

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Je m’appelle Lionel et j’ai vingt-et-un ans. et je vis en province. Je n’ai jamais eu beaucoup de mecs parce que je suis très timide. Et aussi parce que je fantasme toujours sur des mecs que je n’ose pas aborder et qui me font peur. Je veux dire les hommes très virils, les motards, les moustachus au système pileux très développé, les grandes baraques pleines de muscles. J’ai beau me raisonner, il n’y a qu’eux qui m’excitent à mort. Parfois, je vais mater discrètement dans un café qui est connu comme le rendez-vous des motards. Après, je vais me branler sur mon lit ou dans les chiottes du café si c’est trop urgent. Je croyais que j'étais très discret et que personne ne m’avait remarqué. Mais ça a changé, samedi.

J’avais passé une heure dans le café devant une bière, un peu à l’écart, comme je le fais toujours. Un motard est entré dans le bar et j’ai senti mon cœur s’emballer. Ce mec était vêtu d’une combinaison de cuir noir vraiment très moulante, fermeture-éclair ouverte sur une poitrine velue et large. Le casque intégral à la main, il a enlevé ses gants et j’ai vu ses mains larges et musclées. Au moment où il commandait un demi, on a entendu le choc un peu sourd d’une bécane qui tombe ou que l’on cogne. Le mec est sorti. Je le voyais depuis la fenêtre. Un autre motard avait bousculé sa moto. Il n’y a pas eu beaucoup de mots mais une baston rapide. J’ai vu “mon” motard envoyer son poing dans la gueule de l’autre, esquiver quelques coups et balancer son poing une nouvelle fois dans la gueule de l’autre, et lui fendre la lèvre en lui disant:

— Maintenant tu te tires ou je t’écrase la gueule!

L’autre mec est parti en titubant et "mon” motard est rentré dans le bar pour boire sa bière comme s’il ne s’était rien passé. Moi, j’avais la bite dressée dans mon pantalon, prête à exploser. Je me faisais mon cinéma: je me disais que c’était l’homme qu’il me fallait. Mais, en même temps, réellement j’ai peur de ce genre de mec violent. Je ne vous raconte pas le choc de ma vie lorsque, alors que je sortais discrètement du café, ce type m’a accosté. J’ai pâli. Il m’a dit:

— T’as un faible pour les gros durs?

J’ai bafouillé que non et je suis devenu écarlate, et je me suis payé la honte de ma vie. Je l'ai entendu rire. Il m’a pris par le bras et m’a poussé vers sa bécane.

— Je t’emmène faire un tour!

Il m’a dit ça d’un ton tellement autoritaire que je n’ai rien rétorqué.

On s’est arrêté à une dizaine de kilomètres de Nîmes. Plus j’avais peur, plus j’avais la bite qui remuait. Quand on est arrivés chez lui, je tremblais comme une feuille. Il m’a dit:

— Tu te fous pas à poil? Faut que j’le fasse?

Et moi j’étais paralysé. Il s’est approché de moi. J'ai pensé que j'allais me faire cogner, j’ai baissé la tête. Il m’a pris la tête entre ses mains et m’a dit:

— T’as peur de quoi?

Avant que j’ai eu le temps de répondre, j’ai senti ses lèvres se refermer sur les miennes. Sa bouche toujours soudée à la mienne, il a commencé à me déshabiller, sa main est venue sur ma ceinture et m’a attrapé la queue à travers le caleçon, j’ai cru que j’allais décharger. Sa main était très chaude et très dure aussi. Elle est passée sous le caleçon et est remontée doucement vers l’anus. En sentant les doigts passer dessus, je me suis un peu contracté. Mon motard m’a dit:

— T’as encore peur? Tu sais pourtant que je vais te mettre, et que tu vas gueuler de plaisir!

Il m’a dessapé complètement, et puis lui s’est ensuite mis à poil. Je ne m’étais pas trompé; il était vraiment très beau et très musclé. Il m’a demandé que je lui taille une pipe. J’ai pris dans la bouche son membre très gonflé, aux veines saillantes. Il sentait encore l’odeur du cuir de la combinaison, et puis il m’a fermement renversé sur le plancher. Il faisait chaud et je commençais à transpirer. Il a plongé sa main entre mes cuisses, et j’ai senti qu’il avait mis du lubrifiant au bout de ses doigts, un gel un peu froid sur mon anus et les doigts qui massaient autour très doucement. J’ai commencé à gémir, peut-être parce que je ne m’attendais pas à cette douceur, c’était comme décuplé.

Je sentais qu’un doigt appuyait un peu plus sur les bords de la rosette et glissait dans mon cul très facilement. Je me suis fait branler le cul de cette façon avec deux et trois doigts, et c’était de plus en plus excitant. J’avais envie de me faire mettre. J’ai remonté les fesses un peu. J’avais encore un peu la trouille, mais le désir était plus fort que tout.

À ce moment-là, j’aurais pu me faire défoncer le fion avec une bouteille, je crois, sans rien dire. Mais c’est un long sexe chaud que j'ai senti me pénétrer, très très lentement et très profondément. J'avais l'impression qu'on ne m'avait jamais enculé comme ça. C’était une sensation nouvelle. Il m’enculait fermement mais doucement à la fois. Il a commencé à aller et venir en moi, et, avec une main, à me branler la queue. Je sentais le foutre qui me montait dans la queue. J’ai déchargé tout de suite, et au moment où je déchargeais, il a accéléré les mouvements de sa queue dans mon cul. Ce fut génial.

Après, il a continué à me limer plus tranquillement, et ma bite a repris du volume. J’avais l’impression que je ne serais jamais rassasié! J’avais envie que ça dure encore longtemps. Je voulais encore sentir sa main me branler la bite. Il me la serrait de plus en plus fort à mesure qu’il était prêt à jouir, et il a craché en moi en me la broyant presque. Moi aussi j’ai craché. Il s’est écrasé de tout son poids sur moi. Et puis il a commencé à me lécher la sueur sur la peau. C’était très doux. Il m’a léché partout sur le corps. Et je sentais que le plaisir allait se rallumer encore.

On s’est caressés longtemps, presque sans bouger. Je n’en pouvais plus. Je crois que de la tendresse comme ça, j’avais jamais eue. Au bout d’un moment, on rebandait tous les deux comme des cerfs. On a baisé tout l’après-midi et il m’a appris des choses. On doit se revoir ce soir. Quand je le vois, je suis fier. Avec son allure, il fait peur. Mais maintenant je sais que c’est un vrai mec très tendre quand il baise.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 29 octobre 1 29 /10 /Oct 13:30

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Je n’avais jamais fait l'expérience avant. Le contact du caoutchouc noir. Ça m’a plu. Avant d'aller plus loin, que je me présente: Alex, vingt-neuf ans, parisien. Je suis bien foutu, plus blond que châtain, yeux noisette, et plus minet que butch survitaminé.

À propos du latex, c’est le toucher qui m'a lait bander en premier. J'étais dans un petit bar de la rue de Turgot près de Montmartre quand j’ai vu le type en question y entrer. Sur le coup, je n’ai pas fait trop attention, je me suis dit qu'il n'était pas mal avec ses joues mal rasées et ses yeux verts en amande, mais peut-être un peu mastoc. C’est au sous-sol, dans la minuscule backroom, que je me suis mis à genoux. Quand j'arrive, je passe tout de suite ma main au niveau des braguettes pour tâter les calibres. Quand ça vaut le coup, je me baisse et je me sers; c’est assez rare de tomber sur une bite qui refuse qu'on la salive un peu. Quand j'ai ouvert la braguette du mec au regard vert, j’ai été surpris de tomber sur une espèce de short en latex noir qu’il portait sous son jean crade. C’était complètement déformé par une monstrueuse bandaison. J'ai commencé à caresser et à mordiller la grosse bosse, persuadé qu’au bout d’un moment il baisserait le short pour que je puisse le sucer vraiment. Mais j’y ai pris goût à lécher cette souple matière. J’ai trouvé que l'odeur se mariait bien avec l'odeur habituelle des bites. Si il avait finalement voulu retirer son short, c'est moi qui l'aurais refusé. J'ai commencé à bien palper le braquemart, à prendre plaisir à le sentir s'agiter comme un gros serpent derrière la matière noire. Rien que le renflement suffisait à m'exciter, c'était pas croyable. Je passais et repassais ma langue sur le latex déformé, ça m'excitait de plus en plus. J’ai fini par sortir ma bite pour me branler un peu. J’ai levé la tête, et j'ai vu le type me sourire sans dire un mot. J'ai commencé à imaginer la bite, couverte d'une pellicule de sueur. Puis je me suis mis à la prendre avec mes mains pour la faire bouger à l'intérieur, pour la frotter contre la paroi souple, ensuite à pincer le gland en même temps. Le mec soupirait d'aise, la tête appuyée en arrière contre le mur.

Puis il me relève, et je m’aperçois qu'il porte un tee-shirt en latex sous son bomber. C'est un débardeur un fait, et d'autorité il me colle le nez sous ses aisselles, mais avec douceur, presque de la tendresse. L'odeur, forte, su mélange avec celle du caoutchouc. Je suis contre lui, et il me frappe le cul à coups lents et réguliers. Ensuite il s'est penché un peu pour me mordre les tétons comme une brute. J'avais conscience d'être le centre d'intérêt de la backroom, d'être la chienne de l’endroit, de me donner au plus macho comme une bonne salope, et que tout le monde allait me prendre pour une pute quand je remonterais. J'ai gueulé, moitié souffrance, moitié plaisir teinté d'un peu d'exhib. Ses grosses pognes me malaxent le cul, et je sens ma bite frotter contre la sienne, seulement séparées par la frontière du latex. Tout d'un coup, il m'a dit: “On va dans les chiottes, t'as l’air d'un bon lécheur de trous, toi! Vas-y, passe-moi la langue, montre-moi que tu mouilles de la gueule...”

J'étais hyper-excité. J’ai suivi de la langue le contours de ses bonnes fesses musclées derrière le latex, et j'ai pointé ma langue, durcissant le bout pour tenter d'atteindre son trou de balle que j’imaginais bien poilu et moite de sueur. Mais ça ne l’a pas trop amusé, on a fini par remonter. Il m’a payé une bière et m'a proposé d’aller rue Keller. J’ai accepté, et on y est allé vite avant que le bar ne ferme à deux heures. C'est là que j'ai vécu ma véritable initiation. Après m'avoir fait boire une double vodka et m’avoir fait respirer du poppers, il m’a fait mettre à genoux au fond du bar et il m'a fait avancer comme une chienne. Dès qu’il voyait un autre client en latex ou en cuir, il me le faisait renifler, il me claquait le cul en me disant qu’il allait bientôt s’en occuper. Ça le faisait marrer. Bien qu'excité par ce mâle, je me sentais honteux d’être traité comme un esclave devant tout le monde. Mais quand j’ai vu dans ce bar des mecs qui se faisait marcher dessus ou d'autres qui se faisaient arroser dans les chiottes sans que personne ne les juge, je me suis laissé aller à lécher tous les glands à ma portée. Je me suis fait remplir la gueule, je me suis frotté contre toutes les paires de bottes, j’ai caressé tous les latex présents. J’ai fini par jouir presque sans me toucher tellement j’étais allumé. Quand le bar a fermé, Guy m’a emmené chez lui, dans le Douzième. Là, il m’a ordonné de passer un jockstrap en latex et des grandes bottes de chasse kaki. C'est là qu’il m'a défoncé la rondelle tout en lenteur en me faisant sucer un énorme gode en caoutchouc noir. J’ai pris un pied pas possible à me faire limer par sa grosse matraque odorante. C'est après que j’ai vu une cagoule et un masque à gaz près du lit. Il m’a proposé de me pisser dessus dans la baignoire, mais là, j’ai refusé. Ça et les masques, on verra peut-être plus tard. Je ne me sens pas encore prêt à aller jusque là.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 28 octobre 7 28 /10 /Oct 01:15

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Tu m'as demandé de raconter... alors voilà ce qui c'est passé:

Un soir, il y a 2 mois environ, on se prépare à sortir, puis à un moment, tu changes de ton et tu exiges que je me laisse faire. Tu me fais mettre à genoux dans un coin du salon avec les mains sur la tête. Tu mets un bandeau sur mes yeux. Ça sonne à l'interphone, tu y vas et tu dis: "Ok il est presque prêt, on descend." Il est tard, dans les 23h/minuit...

Tes mains prennent mon bras et me forcent à me lever. Tu me passes les menottes devant et tu déposes un imper dessus afin que l'on ne les voit pas. Tu trifouilles dans la chambre et tu reviens avec un truc que tu mets dans la poche de ton blouson. On quitte l'appartement, l'ascenseur, et on traverse le jardin; tu me guides car j'ai les yeux bandés. Je suis juste vêtu d'un jeans sans rien dessous et d'un t-shirt.

On arrive à une voiture, tu ouvres la porte arrière et tu me pousses à l'intérieur en m'ordonnant de m'allonger sur la banquette. Tu fais le tour et tut t'assoies à côté du conducteur que tu embrasses:

— Ça va?

— Tu vois il est prêt...

— On y va?

Et c'est parti... la voiture roule, fais des tours, je ne peux plus savoir où on est. Elle s'arrête, vous descendez tous les deux. Je suis seul dans cette voiture et là, je commence vraiment à mouiller de trouille et d'excitation. Je vous entends revenir en discutant avec quelqu'un: un accent assez prononcé... La porte s'ouvre et tu me tires dehors. Je trébuche, je suis toujours aveuglé et toi et ton copain me prenez chacun sous un bras. Précédés du type avec un accent, on s'enfonce je ne sais où, dans un terrain qui me paraît herbeux ou plein de terre...

Une porte qui s'ouvre et je distingue une légère lueur, des respirations... La porte se referme sans que nous soyons entrés. On s'éloigne, une autre porte. Vous me poussez contre une table. Je sens le rebord contre mon pubis. Les menottes sont enlevées.

— Écarte les mains, penche-toi et allonge-toi le plus possible sans soulever tes pieds.

Des cordes autour de chaque poignet et je me sens étiré, solidement attaché aux pieds de la table. Je commence à vraiment avoir peur. Je sens tes mains qui tâtonnent, qui passent sous mon ventre et qui tirent le jeans vers le bas. Tu m'obliges à soulever une jambe, je sens que ma chaussure est enlevée et que tu enlèves une des jambes du jeans. Je suis exposé; le cul bien en arrière, le pantalon baissé. Une légère lueur me montre qu'il y a un peu d'éclairage. Je sens ta présence, celle de ton copain et sans doute une troisième personne.

Tu ouvres ton blouson et je sens que tu prends le fameux paquet que tu as récupéré avant de partir de la maison. Tout à coup, je t'entends dire: "Écarte lui les fesses, s'il te plait." Des mains dures m'écartèlent et je sens un contact froid et glissant; tu es en train de me graisser le cul. Tu entres les doigts, tu masses et tu répartis bien le gel tout autour et à l'intérieur... Tu poses le tube sur la table à côté de moi.

— Donne moi les préserv', on va en ouvrir une douzaine... Ça y est, il est prêt. Dis à ton pote le chef qu'il peut y aller...

Je te sens te mettre à côté de moi, tu as ta main sur mon dos, mais de toute façon, je ne peux pas bouger... À ce moment, le mec avec l'accent te remercie, j'entends un froissement d'étoffe... Le claquement du préserv' sur la tige et craaaaaaaac, je me prends une queue dans le cul! Il rentre à fond et commence à limer, il accélère et me défonce à grands coups de queue... Quelques minutes, une sensation de chaleur à travers le préserv'... il se retire et je l'entends qui enlève le préserv et qui s'essuie...

— Une bonne salope! dit-il. J'appelle les autres...

Et ça recommence, la porte s'ouvre etc... Un froissement ou une glissière qui s'ouvre, un préserv qui claque sur une queue, une sensation brûlante de la queue qui me défonce les entrailles... Je ne les compte plus, je suis vanné.. Ma queue est dure.

Tout à coup, plus rien... Ton copain te dit: "Bon il est plein de gel et il a le cul en choux-fleurs... Mais sa bouche? Hein?" Et toi tu réponds: "Vas-y, tu verras, il suce comme une vraie reine..." Et voilà, une grosse tige qui m'écarte les lèvres et qui plonge à fond... Il lime, il lime, puis je sens le préserv qui se remplit de foutre chaud...

C'est fini... tu me détaches. Les yeux sont toujours bandés, tu remets les menottes remonte le pantalon, remets les chaussures, l'imper. La porte qui s'ouvre, sensation de frais... J'ai du mal à marcher: je suis ankylosé et j'ai le cul en compote. Ton ami et toi, vous discutez:

— Tu as vu, il s'est pris les bites de tout le chantier et il y en avait au moins 3 ou 4 qui avaient des super bites... Faudra le ramener quand il y aura d'autres ouvriers. Tu sais ils sont seuls et leur famille est loin... Un petit cul de salope comme ça, ils adorent se vider les couilles dedans... Faudra que je vois avec Ahm... s'ils aimeraient pas aussi lui défoncer la glotte avant de le tirer... Tu ne crois pas?

— P'tain tu avais raison, une bonne salope...

La voiture, la porte, la maison... Il est parti et je ne sais même pas qui il est. Tu me remets au coin. Je n'ai toujours pas joui. J'ai mal d'envie de partir, mais toi, tu n'es pas d'accord.

— Alors petite pute? Tu t'en as pris plein le fion? Hein petite salope... Et en plus, tu y as pris du plaisir alors que tu n'aurais pas dû... En plus t'es toute sale, espèce de cochonne... Attends!

Tu m'enlèves les menottes mais en gardant le bandeau, et tu m'ordonnes de me foutre complètement à poil. J'entends le plastique que tu déplies, tu m'obliges à m'allonger dessus: sensation du plastique froid...

— Tu es une petite salope deguelasse... Je vais te laver moi...

Et tu commences à pisser... partout, sur moi sur mon corps, dans ma bouche que tu me forces à fermer tout en parlant.

— Voilà, maintenant tu es bien propre hein? Et attends demain, ce n'est pas fini, tu vas voir ton cul...

Je crois que tu seras satisfaite, c'est vraiment comme ça que ca c'est passé non?

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 23 octobre 2 23 /10 /Oct 11:09

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C'était un samedi midi après le repas au réfectoire. Je devais être un des seuls à attendre mon père. J'errais dans les couloirs désertés du collège en essayant d'ailleurs de me rappeler s'il devait venir me chercher ou si je devais prendre le car. J'avais l'esprit particulièrement embrouillé: mauvaise semaine, mauvaises notes.

Je croisai soudainement le principal au détour d'un couloir. Ce dernier me regarda puis me demanda si tout allait bien, si j'avais bien travaillé. Je fondis instantanément en larmes. Un peu surpris, le principal me prit par l'épaule et, tentant sans succès de me consoler, m'emmena avec lui dans son bureau. Une fois arrivés, il reprit son questionnement qui devint plus insistant. Ce n'était pas normal de pleurer comme ça, j'avais dû faire une bêtise disait-il. Je ne sais ce qui me passa par la tête mais tout à coup, je lui dis que ça n'allait pas parce que j'étais pédé. Il y eut un blanc puis il vint s'asseoir à côté de moi.

Sans un mot il prit ma main et se mit à jouer avec mes doigts. Cela dura quelques instants, j'avais l'impression qu'il voulait vérifier si elle était mobile ou en parfait état de marche. Puis tout à coup, il la plaqua contre sa braguette. J'eus un mouvement de recul mais il me tenait si fermement le poignet qu'il m'était impossible de la retirer. Sous le tissu un peu rêche du pantalon de costume, je sentais une barre bien ferme. De sa main libre, il se débraguetta et fourra la mienne à l'intérieur. C'était chaud et je sentis un peu d'humidité sur son slip. C'était lui qui dirigeait la manœuvre.

Je malaxais à mon corps défendant sa bite qui ne demandait qu'à sortir. Il m'ordonna de ne pas bouger et retourna à son bureau d'où il sortit ce qu'il réservait - comme il le dit - aux élèves de mon genre. C'était une menotte qu'il fixa à un des montants métalliques de la banquette où nous étions. J'étais contraint par le lien à être assis. Il baissa son pantalon et, me prenant par les cheveux, me colla le visage sur son slip. Celui-ci était un peu petit et son gland dépassait. Je ne savais ce que je devais faire mais intuitivement, partagé entre la peur et l'excitation, je me mis à le lécher. Il enfourna alors son sexe dans ma bouche.

Nous étions tellement pris par l'action que nous n'avions pas vu Monsieur X, mon prof de sport, arriver. Le principal sursauta mais fut vite rassuré: "Ah! Ce n'est que toi... Regarde ce beau morceau qu'on a à disposition. Tu peux en faire ce que tu veux." Monsieur X était plus jeune et avait 25-30 ans, il baissa son pantalon de survêtement. Je distinguais sa bite encore molle restée dans son sous-vêtement hyper moulant et quasi-transparent. Il commença par finir de me déshabiller et me suça quelques instants. Je ne mis que quelques minutes à bander bien dur. Il ôta alors son sous-vêtement, découvrant son sexe complètement rasé. Il commença par se doigter puis me suçant les doigts, les fit pénétrer dans son cul. J'avais toujours la bite du principal dans la bouche mais je n'arrivais plus me concentrer, ce qui me valut une claque retentissante. X me positionna alors pour s'enfourcher sur ma queue pendant que j'essayais de m'améliorer. Vu leurs grognements de satisfaction, j'y arrivais!

Quand on entendit frapper à la porte, que le principal avait fermée à clé après l'intrusion de X, mes "agresseurs" suspendirent leurs action.

— C'est Auguste, monsieur le principal.

— Si c'est vous, entrez! répondit-il. Vous avez le double des clés.

Auguste était le concierge de l'établissement. Une force de la nature, un peu demeuré sur certains points. Seulement, il n'était pas seul. J'entendis la personne qui était derrière parler. Elle ne pouvait qu'avoir compris la situation vu les tenues du principal et de Monsieur X. Moi, j'étais masqué par eux. Donc j'entendis dire:

— Tiens tiens, une punition méritée?

Je faillis défaillir, c'était papa qui venait me chercher. Il sembla un peu décontenancé en me voyant sur le prof et en pleine "dégustation". Le principal tenta de se justifier mais mon père l'arrêta tout de suite.

— Vous n'avez fait que votre devoir. Je vais vous regarder à l’œuvre jusqu'à ce que vous estimiez que ce petit voyou soit suffisamment humilié.

Ma bite s'était recroquevillée et était sortie du cul de X. Cela sembla l'énerver. Heureusement, Auguste s'était déshabillé pendant que nous parlions et je pus découvrir qu'il avait une bite énorme qu'il approchait dangereusement de moi. Ouf, ce fut pour pénétrer X qui se mit à râler de plaisir pendant que le principal se mit à appuyer son gland contre mon cul pour me sodomiser. Il le fit assez doucement. Avec l'aide du tableau X/Auguste qui m'excitait, je fus vite assez lubrifié. Puis Auguste me présenta sa bite pendant que X se faisait prendre par le principal. Je ne faisais plus attention à papa quand je remarquai tout à coup qu'il avait la main dans la pantalon et que celui-ci était plus que distendu. Mais je me remis à l'ouvrage.

J'avais le principal dans le cul, X que j'avais recommencé à baiser, Auguste dans la bouche. Nous approchions de la jouissance, mon père s'était approché. X gémissait de plus belle et finit par éjaculer pendant que le principal se vidait en moi en petits spasmes. Je sentis contre mon palais le jet chaud et épais d'Auguste. Il ne restait plus que papa qui se branlait et me juta sur le visage. Je dus nettoyer leurs parties après cette séance et s'ils eurent droit à la douche. Mon père m'interdit de me laver jusqu'au lendemain...

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Dimanche 21 octobre 7 21 /10 /Oct 00:33

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Je suis profondément vicieux, et je suis persuadé que beaucoup de mecs ayant de hautes responsabilités sont au pieu de vraies salopes soumises. Je suis dans une profession où l’on bouge, délégué médical, et je supporte de moins en moins ces toubibs qui vous méprisent mais qui ne crachent pas sur une petite corruption le cas échéant quand on leur demande d’acheter nos produits. Ça fait cinq ans que j’ai envie de prendre ma revanche, d’inverser les rôles, de soumettre un toubib, de le voir à quatre pattes, le cul ouvert en train de faire la pute.

À chaque fois que je me déplace dans une ville importante, je cherche sur le réseau des mecs à responsabilités à humilier. Mais les occases sont rarissimes. Pourtant, cette fois-là, je n’en ai pas cru mes oreilles. J’avais annoncé: “Mec, trentaine, baraqué, bonne bite, de passage sur Lyon, cherche mec genre toubib à humilier et soumettre.” Et j’ai reçu la réponse d'un mec, toubib à Lyon, qui se fait baiser et soumettre. J’ai regardé dans mes fiches, il y figurait. J’ai appelé pour lui proposé mon produit, il a refusé de me recevoir. J’ai la haine, soudain: je sais ce qu’il me reste à faire, je vais me le faire!

Peu de temps après, je suis dans la salle d’attente de son cabinet. La porte s’ouvre. Le toubib, un grand mince à lunettes dorées, teint mat, cheveux noirs et courts, sympa et tout sourire, me fait entrer dans son bureau. Je joue le jeu et lui donne l’adresse de mon hôtel à Lyon. Quand il me demande ma profession, je réponds “délégué médical”. Il me demande pour quel labo, puis il me dit qu'il faudrait définir le cadre de ma visite, marketing ou information. Je lui dis que j’ai mal au dos, et on passe dans la salle d’examens. Je me dépoile et je bande un peu. Au fil de l’examen, ma bite prend de plus en plus de volume, et lorsque le médecin, perplexe, me palpe une à une les vertèbres, ne trouvant rien d’anormal, elle se retrouve totalement à l’horizontale. J’ai sa bouche à bonne hauteur. Je le prends alors par les cheveux et le plaque contre ma queue. Il me regarde d'un drôle d'air, ne dit rien.

— Sucez ma bite, Docteur!

Il ouvre sa bouche et commence à me pomper, il fait ça bien, il a l’air d’aimer ça. Je le mets debout et lui demande de se désaper façon strip-tease. “Bougez bien vos fesses, Docteur!” Il a un beau cul, bien ferme, de petites fesses, et il commence à se prendre au jeu. Je lui donne une claque, il se trémousse comme une vraie femelle. Je décide de le fesser, et je claque de plus en plus fort. Ce type est une vraie salope, il en redemande. Je vais chercher ma ceinture, et je lui en balance une dizaine de coups. Il aime, la chienne! Docile et obéissant!

— Vous savez, Docteur, que vous êtes une bonne salope? Que diraient vos patients et vos confrères s’ils connaissaient vos goûts, hein?

Ses fesses prennent une belle couleur. Je prends un lacet de ma chaussure et lui attache les mains dans le dos. Pour le punir de s’être touché, je le fais marcher à quatre pattes, puis je le fais tomber, je lui file des coups de pieds au cul. Il me regarde avec des yeux curieux. Ce mec est vraiment soumis... Avec mon autre lacet, je fais un nœud coulant et lui enserre les couilles, puis je les tire en arrière. Je commence à lui ouvrir l'anus d’un doigt. Il me désigne capotes et gel au-dessus d’un placard. Je vais me l’enculer! Je passe un préso et pousse ma tige contre sa rondelle pour l’enfoncer direct! Il se retrouve plaqué contre le mur. Je l’embrasse dans le cou et lui souffle: “Elle est bonne, ma bite, hein?”

Il est rouge. J’accélère le rythme, puis je ressors brusquement mon manche. Je le saisis par les cheveux et lui fais avaler ma queue: “Nettoyez-moi bien la bite!” En fait, il a l’air d’avoir un cul nickel! Il enfourne ma bite et me suce à fond. “Stop! Sur la table!” Je le fais allonger sur la table d’examens, ramène les écarteurs et lui place les pieds dedans. “Où sont les spéculums?” Il hésite et me répond: “Dans le poupinel.” Je prends le plus gros; je le sens inquiet. “OK! Mettez-le vous-même!” Le geste est professionnel, il se le place, tranquille. Je vois son cul aspirer le spéculum brillant. Je commence à tourner la molette. C’est géant! C’est la première fois que je vois l’intérieur d’un cul. Il sent que ça me fait de l’effet, et me demande d’allumer le spot. L’intérieur est rose vif, lisse, je suis fasciné. Je touche: c’est chaud, satiné, sublime. Il frissonne. Je plonge mon dard entre les lames du spéculum, et je ressens un plaisir dingue. Je le regarde, il prend son pied! Je me retire pour souffler dans sa béance. Il remue lascivement, les yeux fermés, et suce son pouce. Je m’approche et lui roule une pelle. Il se donne vraiment, il est offert, on dirait une nana amoureuse quand ses bras m’entourent. Et si je versais de l’eau dans ce trou grand ouvert? Il m’indique le frigo. À côté des vaccins, il y a des canettes de bière. J’en prends une, lui en donne une gorgée, et je vide le reste au travers du spéculum. Il gémit, soupire que c’est bon. C’est magique de voir le liquide ressortir par le cul. J’ai comme des vertiges. Les sensations sont très fortes. Il parle doucement pour m'inviter à poursuivre: “Vous savez qu’il y a des mecs qui, lorsqu’ils chopent un pédé, lui enfoncent une canette dans le cul?... Ça m’est arrivé dans un train avec des marins bourrés...”

J’ai compris ce qu’il veut! Je retire le spéculum, j’agite une seconde canette de bière et la lui glisse dans le cul. Il soupire, se déhanche, saisit la canette et se l’agite pour qu’elle entre complètement, lève le bassin, retire la canette vide, la met à sa bouche pour aspirer la mousse. J’en suis estomaqué. C’est complètement indécent, du hard inimaginable! Il parle tout seul, il s’insulte: “Oui, je ne suis qu’une chienne, qu’un trou à remplir, allez-y, traitez-moi comme je le mérite!” Il se tire lui-même sur les couilles, se griffe le ventre, se pince les seins. J’ai pris un gant et me le badigeonne de gel. Je rentre facile trois doigts d’emblée; la bière gicle! “Défonce-moi le cul avec ta main!!” “Oui, Docteur!!” Il veut se faire fister, il se donne, il pousse, il veut que ça rentre. Ça y est! Le poignet est passé. Je me sens aspiré dans son cul. Il n’en peut plus et mouille un max.

— Alors, Docteur, c’est ça qui vous fait jouir, hein?

Il approuve et bouge son cul, tirant sur ses couilles. Je n’en reviens pas d’avoir trouvé un mec pareil! Je suis inquiet, je ne voudrais pas le blesser, mais c'est lui qui me rassure et qui me guide. Je commence à le ramoner alors qu’il me regarde dans la glace. Il tente d’étouffer ses cris, il est en train de sentir l’orgasme arriver direct. Il me dit: “Je vais jouir, je vais jouir!!” Je le regarde, étonné.

J’ai envie de pisser et le lui dis. Il me réponds: “Ouais, vas-y! Sur moi!” Mon jet commence à couler. À voix basse, il me demande de l’arroser, de le traiter comme il le mérite. C’est alors que j’ai une crampe au bras qui est toujours enfoncé dans son cul. Je le retire un peu trop vite, mais ça ne le gêne pas. Il écarte ses fesses avec ses mains et me supplie de lui pisser dans la raie. Je vise le trou béant. Il est déchaîné, il se caresse de partout. À peine ai-je fini de pisser qu’il m’avale la queue et commence à me sucer.

— Doucement, Docteur, doucement!

Il se lève et s’empare d’une capote. Il a envie qu’on le baise à mort. Je lui file des claques, il me demande d’y aller plus fort.

— Je crois que je vais vous baiser, Docteur...

Je l'emmène dans la salle d'attente, toujours vide, et je commence à l’enculer. Il est super-excité, car on pourrait être surpris. Je le ramone bien, ça glisse à l’aise. Puis je le fais retourner à son cabinet, toujours enculé par ma queue, et je le tire à fond sur son bureau. Je lui tire sur les couilles et le branle à lui faire mal. Il essaie de m’empêcher de le faire jouir. Je l’engueule, je le baffe, et soudain il crache sa sauce. Sa jute se répand sur des papiers de son bureau. Ça m’excite! Je le relève et le ramène à la salle d’examens. Il a débandé. Pas moi! Je lui fourre ma bite au cul. Il n’en peut plus.

— Alors, Docteur, on n’a plus trop envie? C’est pourtant maintenant qu’on va s’éclater! J’adore baiser un mec qui a déjà joui...

Quand je l’encule, je le sens hypersensible. Il n’arrête pas de se tortiller, de gémir, d’haleter. Ça rentre, ça sort, le délire! Je le traite de pédé, de salope, de putain, de trou à bites. Je lui dis que je n’ai jamais vu un garage à pines comme le sien, que c’en est écœurant. Il me sussure qu’il aime trop ça. Je lui crache dessus, je lui file des gnons. Il me dit “merci"! Son corps est tout luisant de bière, de gel, de pisse, de foutre. Je vais jouir! Ça monte! Je me retire, j’arrache la capote, et je lui gicle ma sauce sur la gueule. Il est content de me voir jouir, il se masse avec ma jute, mais il comprend moins lorsque je me saisis d'une autre capote et que je le reprends aussi sec! Il est à quatre pattes et je l’encule d’un rythme régulier. Il ne dit plus rien, il se laisse faire sans réagir. Je m'excite en lui décrivant les scenarii les plus crades.

— J'aimerais, Docteur, vous faire baiser à la chaîne, dans un chantier, vous foutre sur le trottoir...

Il répond oui à chaque fois, il m’affirme qu'il est prêt à tout, que je peux faire de lui ce que je veux. Je le change de position, sur le dos, lui place les pieds dans les écarteurs, et je le reprends aussi sec! Je transpire à grosses gouttes, lui également. J’accélère et je le branle. Je vais jouir encore une fois. Je m’enfonce aussi loin que je peux en lui, et j’éjacule en criant. Lui, il gémit, remue la tête comme un dingue et se met à pisser quand je me retire. Puis il tressaute encore un peu et reste inerte sur la table.

Je reprends mes esprits et caresse ce corps que j’ai martyrisé. Je regarde l’heure: il est plus de vingt-deux heures! On se lave au lavabo, et je souris quand je le vois passer la serpillière à poil. Son trou du cul est encore rouge, ses fesses également.

— Regarde-toi dans la glace!

Il se regarde, se penche et admire son anus boursouflé. Il sourit, ne dit rien. On s’assoit sur les tomettes, par terre, pour fumer une cigarette. Il finit par me dire: “C’est extraordinaire! Je n’ai jamais joui comme ça! Je suis prêt à recommencer, tu sais y faire! Et puis j’aimerais vraiment qu'un mec s’occupe de moi! “ Je lui caresse les cheveux, je suis bien. Il se penche sur ma bite, la suce encore, mais moi, je suis incapable de rebander. Ce toubib m’a épuisé. On se rhabille et il me demande: “On déchire le dossier?” “Pourquoi, lui réponds-je, j’avais vraiment mal au dos! Mais le traitement semble avoir été efficace...”

Dans quelques mois, je dois logiquement passer à Lyon. J’ai quelques idées pour lui et son cul...

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Vendredi 19 octobre 5 19 /10 /Oct 08:56

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Pour ma première visite seul dans Paris, je n’avais que 18 ans et je m’en rappelle comme si c’était hier. C’était en plein été et le soleil était au rendez-vous. À l’aide d’un plan, je faisais mon possible pour essayer de me diriger vers le Trocadéro en métro. C’était en plein les vacances et les wagons étaient remplis de monde. C’est avec difficulté que je me frayais une place au milieu d’une foule plutôt composée de touriste.

Au moment de la fermeture des portes une bousculade me projeta et je me suis retrouvé coincé comme une sardine. Je n’avais aucun endroit pour m’accrocher et j’avais bien du mal à tenir mon équilibre. Cette situation dura pendant le trajet de deux stations le temps pour moi d’établir une stratégie pour me rapprocher d’une barre centrale. Cela tomba bien car la station dans laquelle nous arrivions devait intéresser beaucoup de monde car il y eut une ruée vers l’extérieur. J’en profitais donc pour attraper la barre en me faisant bousculer par la même occasion par un mec dont je ne fis pas tout de suite attention. La seule chose que j’avais remarqué, c'est qu’il devait avoir dans les quarante ans et qu’il était de type algérien.

Le compartiment se remplit aussi vite qu’il s’était vidé mais cette fois-ci, je ne lâchais pas ma prise. Très vite nous nous sommes retrouvés de nouveau compressés. Je me suis retrouvé coincé entre une femme qui s’était incrustée entre moi et la barre et quelqu’un dans mon dos dont j’avais peur d’écraser les pieds; et cela ne rata pas. Le démarrage fut assez brusque et malgré mon point d’attache, je faillis perdre l’équilibre. En voulant me récupérer, ce qui devait arriver arriva. J’ai alors tourné la tête pour m’excuser et je me suis rendu compte que c’était le mec qui m’avait bousculé tout à l’heure et qui me répondit par un grand sourire. Après tout, je me suis dit que c’était un prêté pour un rendu. Mais bien vite, au fil du tangage du métro, je compris la raison de son sourire.

Je n’y avais pas fait attention au début mais je me suis rendu compte que le mec avait placé ses mains sur mes fesses et qu’il profitait du roulis pour se placer correctement et au fur et à mesure, accentuer ses attouchements. Il avait réussi à placer une des ses mains au niveau de la raie de mes fesses et il ne se gênait pas pour la faire coulisser de haut en bas. Je me suis senti devenir rouge pivoine en me disant que tout le monde devait s’en rendre compte, mais autour de moi chacun vaquait à ses occupations ou était perdu dans ses pensées. Ce qu’il faut dire aussi, c’est qu’avec cette chaleur, je ne portais qu’un short de foot sur un slip en coton et un maillot de basket que j’avais laissé retomber par-dessus, autrement dit, pas grand chose. Cela avait l’air de plaire au mec car ses caresses se faisaient de plus en plus insistantes.

Arrivés à la station suivante, je n’ai pas pu bouger car bien évidemment, personne ne descendit. Le métro fut à peine reparti qu’il se remit à l’œuvre mais ce coup-ci, je sentis encore mieux sa main, qu’il avait dû retourner entre temps paume vers moi, se plaquer entre mes fesses. Un de ses doigts se faisait de plus en plus inquisiteur, glissant bien entre mes globes. J’avais beau me contracter pour essayer de lui faire comprendre que cela ne m’attirait pas, mais cela ne changeait rien, bien au contraire. En effet, sa main se glissa sous mon maillot et remonta vers le bas de mon dos pour tirer sur l’élastique de mon short et essayer de le baisser. Du coup, je passais discrètement une main dans mon dos pour l’en empêcher mais il comprit cela autrement et me l’attrapa pour la plaquer sur son sexe. À travers la toile de son pantalon, je sentis une barre bien épaisse qu’il me forçat à caresser, me tenant fortement. Heureusement, il avait oublié sa première idée et je me suis dis qu’à la prochaine station, je ferais mine de vouloir descendre pour me placer autre part, mais je n’en eus pas l’occasion.

En effet, sa main se glissa entre mes jambes et remonta sous le short jusqu’à mon slip sous lequel il n’hésita pas à glisser ses doigts. Je pensais bêtement qu’il allait se retirer à l’arrêt du métro mais il n’en fit rien, malgré un nouveau mouvement de voyageur qui descendaient. Il m’avait seulement lâché la main et il me tirait en arrière. De la place s’était libérée au fond du wagon où il m’attirait. Placé de la sorte, il pouvait agir tranquillement et ne s’en priva pas. Avant même que le métro ne reparte, il attrapa de nouveau l’élastique de mon short et de mon slip à deux mains et tira dessus pour les descendre. Heureusement que le maillot que je portais était bien long, quoique cela lui facilita la tâche. J’avais l’impression d’avoir mon short à mi-cuisses lorsqu’il fit glisser un doigt vers mon anus. Avec la chaleur et la transpiration, rien ne fut plus aisé pour lui pour atteindre son but; ni non plus à commencer à me pénétrer.

Pris de panique, je n’osais plus bouger de peur de nous faire remarquer. Dans ma tête c’était le brouillard le plus complet. Même en serrant les fesses, je sentis son doigt s’introduire en moi. Il n’y allait pas par quatre chemins et un second ne tarda pas à venir rejoindre le premier. La douleur commençait à se faire sentir, d’autant plus que c’était la première fois que j’avais ce genre d’expérience, étant encore puceau. J’avais l’impression qu’il essayait de me soulever de terre à chaque fois que ses doigts entraient en moi. Il ne s’arrêtait même pas entre les stations et je n’avais qu’une hantise: c’était que quelqu’un s’aperçoive de quelque chose.

Et je n’étais pas au bout de mes surprises. Profitant d’une nouvelle bousculade, de sa main libre il me saisit la mienne pour la ramener sur son sexe. Et la surprise fut de taille. Premièrement il avait baissé sa braguette pour sortir sa queue et le pieu que j’avais en main me semblait énorme en taille et en circonférence. Il me força alors à le branler et à lui caresser les couilles, tout en continuant à me doigter le cul. Je n’avais qu’une envie, c’est qu’il jouisse au plus vite mais à priori il avait une autre idée et me le fit comprendre très vite. Sa main vint remplacer la mienne mais c’était pour diriger sa queue vers mon cul. Il avait à peine retiré ses doigts que je sentis son gland se présenter et forcer l’entrée de mon cul. Comme cela ne rentrait pas du fait de ma résistance, de l’étroitesse de mon cul malgré la préparation, et surtout de la grosseur de son engin, il passa ses deux mains sous mon maillot pour m’attraper par la taille et m’attirer vers lui par des coups secs. À force de tentatives, son gland me pénétra et je faillis lâcher un cri tellement la douleur fut atroce. Je me mordis les lèvres au sang pour m’en empêcher, mais ne put rien faire pour empêcher les larmes de me venir aux yeux.

Et cela continua au fur et à mesure de sa pénétration. Je crus que cela n’allait jamais s’arrêter et qu’il allait me transpercer. Lorsque je fus plaqué complément à lui, et que je sentis son pubis contre mes fesses, il s’arrêta et me laissa reprendre mes esprits. Mais la pause fut de courte durée et il entama des va-et-vient par saccades, autant que le lui permettait le lieu et la position. J’avais l’impression d’avoir une barre de fer énorme dans le cul et même si la douleur avait diminué, elle reprenait de l’ampleur à chaque assaut. Cela dura pendant plusieurs stations dont je suis incapable de dire le nombre, à tel point que je ne savais même plus où j’étais jusqu’à ce que je sente ses mains se contracter sur mes hanches et m’attirer encore plus fort vers lui.

Je sentis son sexe gonfler encore plus et à cet instant je devinais qu’il était en train de se vider en moi. Il ne ressortit pas tout de suite, profitant encore un peu de la situation. Lorsqu’il se retira, il avait encore la gaule et moi je n’osais toujours pas bouger. Il s’essuya sur mon maillot et me laissa remonter mon short et mon slip comme je pus. Je sentais son sperme s’échapper de mon cul qui devait être béant et tout dégoulinant.

La station suivante, il me demanda pardon à voie haute de sorte que je puisse le laisser passer comme si de rien n’était. Il partit sans même se retourner. Je restais une station de plus dans le wagon pour retrouver mes esprits et me demander si je n’avais pas rêvé. Mais non, la réalité était bien là, entre la douleur bien présente et mon slip tout trempé de sperme. Je venais de me faire violer en plein milieu d’une foule par un beur et je n’avais pas résisté.

Pour une première découverte de Paris, je peux dire que j’ai été servi et avec du recul c’est peut être cela qui me donna envie de recommencer l’expérience... mais là c’est d’autres histoires.

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Jeudi 18 octobre 4 18 /10 /Oct 15:14

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Après ma première expérience dans le métro avec un rebeu inconnu, j’ai eu vite envie de recommencer. Cette aventure, quoique périlleuse, m’avait plue et m’avait donnée envie de la recommencer. Rien que de prendre le métro, j’en avais la gaule. Et ce n’est que quelques temps plus tard que je pus revivre cette expérience, à la fin de l’été. Ce jour là, j’avais revêtu la même tenue que la fois précédente, pensant que cela allait me porter chance.

C’était un jour de grève et le métro était bondé. Très rapidement, je cherchais du regard un beur qui attendait de prendre le métro et cela n’était pas très compliqué étant donné que je me trouvais sur une ligne généralement utilisée par des ouvriers. J’en repérais un et me plaçais à ses cotés en attendant l’arrivée du métro. Il avait dans la quarantaine, légèrement bedonnant, du genre bon père de famille. Lorsque nous nous sommes engouffrés dans le wagon, je me suis aussitôt placé devant lui, plaquant mes fesses contre son pubis. Au démarrage du métro je le vis passer une main devant moi pour s’appuyer contre la porte afin de maintenir son équilibre. Je me reculais alors un peu contre lui et profitais du roulis pour me frotter contre son bas ventre.

À la station suivante, je descendis pour laisser la place à ceux qui voulaient descendre et en profitais pour jeter un regard vers le type. Il me regardait avec un léger sourire. Je remontais alors et me repositionnais devant lui. À peine les portes refermées, je recommençais à me frotter contre lui en appuyant un peu plus mes fesses contre sa bite. De son côté, il se rapprocha de moi et je le sentais donner des petits coups de reins. La station suivante, je descendis et mon regard se dirigea directement vers la bosse qui commençait à apparaître au niveau de sa bite. Il ne faisait d’ailleurs rien pour la cacher.

Lorsque le métro redémarra c’est lui qui vint se placer contre moi et je sentis une des ses mains se placer sur mon côté droit, me forçant à me plaquer contre lui, ce que je fis sans me faire prier. Devant la tournure des événement, et pris d’un désir fou de sentir sa bite, je glissais une main derrière mon dos pour la placer sur sa bite. Très vite, je trouvais son mandrin bien dur que je commençais à caresser au travers de son pantalon. L’homme se laissait faire et semblait bander de plus en plus. Nous étions tellement rapproché que je sentais son souffle sur ma nuque. À la station suivante, de peur de perdre la place, je ne bougeais pas. Un tas de monde se rua dans la wagon nous obligeant à reculer. Par bonheur il était resté derrière moi. Je n’attendis même pas que le métro reparte pour me saisir de sa bite et recommencer à le branler. Excité au plus haut point, j’étais obligé de mettre ma main libre sur ma queue bien bandée pour éviter que la personne qui se trouvait devant ne pense que cela soit pour elle.

Je lui malaxais le paquet en l’imaginant et il se laissait faire. Il avait glissé une main sous mon maillot et me caressait le ventre. Puis il glissa sa main dans mon short et dans mon slip pour attraper ma queue. Je le laissais faire, heureux comme un pape. Il me titillais le gland entre ses doigts, après me l’avoir décalotté. Pour ma part, j’avais descendu la fermeture-éclair de son pantalon et j’avais glissé avec difficulté mes doigts dans l’antre humide. Mes doigts rencontrèrent un slip sous lequel je sentais sa queue énorme. Malheureusement pour moi, avant d’arriver à la station suivante, il se recula et repoussa ma main. Lorsque les portes s’ouvrirent, il me poussa et sortit. Je n’ait même pas eu le temps de réagir qu’il était parti, sûrement arrivé à destination.

Lorsque le métro repartit, c’est déçu que je me laissais transporter.

Mais cela ne dura qu’un court instant car très vite je sentais que l’on s’intéressait de nouveau à mes fesses. En effet, je sentais un doigt qui essayait de se glisser vers mon trou. Profitant des reflets de la vitre de la porte, je regardais alors qui se trouvait derrière moi. Je vis que c’était un black d’une trentaine d’années. Celui-ci devait avoir repéré notre manège et se disait qu’il avait sa chance. Et il n’avait pas tort!

Très vite ma queue se redressa. Décidément c’était mon jour de chance! Comme avec le premier, je me reculais pour venir plaquer mes fesses contre le pubis du deuxième prétendant. Celui là était plus téméraire que le premier et il glissa rapidement une main dans mon short et dans mon slip pour me caresser le cul. Habilement, il plaça un doigt sur ma rondelle et après quelques tentatives, le fit pénétrer. Je fis tout mon possible pour lui faciliter la tâche au maximum et c’est avec plaisir que je sentis son doigt coulisser entre mes sphincter. J’avais de nouveau une main dans le dos à la recherche d’une queue que je sentais au travers de la toile du pantalon de survêtement. Elle paraissait du double de celle de rebeu de tout à l’heure. L’autre se laissait peloter en même temps qu’il me doigtait le cul avec maintenant deux doigts. Le problème est que nous arrivions au terminus et que nous allions devoir arrêter là notre délire. C’est une deuxième fois avec regret que je lâchais ce que je désirais temps.

Nous sommes alors sortis du métro et il passa devant moi. Décidé de ne pas me faire avoir une seconde fois, je décidais de le suivre, et il s’en rendit compte très vite, à moins qu’il n’attendait que ça. Nous nous sommes retrouvés à l’extérieur et il se dirigea rapidement vers un bâtiment. Nous rentrons dans une cage d’escalier et il se dirige vers l’ascenseur. Les jambes flageolantes, je le suis quand la porte s’ouvre. Sans un mot, il attend que la porte se referme et il appuie sur le bouton conduisant au garage.

Nous nous retrouvons rapidement au sous sol et je continue de le suivre. Après quelques hésitations, il se dirige vers un endroit peu éclairé où se trouvent les poubelles. Il s’appuie alors contre le mur et me laisse arriver. Sans attendre, je descends son survêtement et son caleçon et attrape sa bite à pleine main. Elle est énorme au repos et j’imagine déjà la taille qu’elle fera par la suite. Je me mets à genoux devant lui et engloutis son gland. Il ne tarde pas à se mettre à bander et effectivement sa queue prend des proportions phénoménales. Il ondule du bassin pour bien faire coulisser son pieu entre mes lèvres. J’ai beau l’avoir attrapé avec les deux mains, j’ai encore bien du mal à éviter que son gland vienne percuter le fond de ma gorge.

D’un coup, il me redresse et me baisse mon short et mon slip. Pendant qu’il remonte mon maillot et me le retire, je finis de me mettre à poil complètement. Je suis tellement excité que lorsqu’il m’attrape la bite, je lui jouis dans la main. Il me retourne alors et se sert de mon sperme pour me lubrifier la rondelle. Ses doigts n'ont aucune difficulté pour entrer dans mon cul. Voyant cela, il présente son gland et part à-coups, force mon entrée. Je serre les dents tellement la douleur est forte et son pieu énorme. Je le sens glisser dans mes entrailles petit à petit, m’écartelant les fesses.

Il sait y faire et je ne tarde pas à sentir son ventre se coller à mon dos. Une fois entièrement en moi, il attend un peu avant d’entamer des va-et-vient, tout en me mordillant le cou. Je bande de nouveau comme un turc en sentant son piston coulisser dans mon cul et ses mains me caresser les seins. Son mouvement s’accélère de plus en plus, jusqu’au moment où il m’attrape par la taille et m’empale vigoureusement, s’enfonçant au plus profond de moi pour éjaculer dans un râle...

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Samedi 13 octobre 6 13 /10 /Oct 14:57

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La ville où habitaient mes parents était jumelée avec une ville d’Algérie. C’est de cette façon que j’ai pu effectuer plusieurs voyages là-bas au cours de mon adolescence. Nous partions en groupe de jeunes et nous étions accueillis dans des familles, soit seul, soit par deux, en fonction des possibilités d’hébergement. Pour ma part, j’ai toujours été reçu seul mais ce n’est pas là que j’ai le plus approfondi mes connaissances du pays... Pour la première expédition je n’avais que 16 ans et demi et c’était mon premier grand voyage sans les parents et la première fois que je prenais l’avion. Rien que cela m’aurait suffit mais j’ai découvert bien d’autres choses.

Le voyage durait deux semaines mais dès le deuxième jour, nous avions le droit de pouvoir nous balader sans les monos à condition de prévenir et d’indiquer où nous allions. Le but était de nous immerger le plus rapidement possible dans la culture du pays. Dès la première sortie, nous avions repéré une place sur laquelle il y avait de l’animation. Outre le souk qui s’étendait dans les ruelles adjacentes, il y avait aussi des groupes de musiques et autres attractions.

Le troisième jour en fin d’après-midi, nous nous sommes retrouvés sur la place alors qu’il y avait plus de monde que d’habitude. J’appris par la suite que c’était un jour de fête et qu’à l’occasion, tous les habitants descendaient dans la rue. Il y avait de la musique partout, des danseurs et même des conteurs. Absorbé par un spectacle de musique, je n’ai pas vu les autres du groupe partir et me suis retrouvé seul. Cela n’était pas pour me déplaire. Je pouvais rentrer quand je le voulais car nous avions quartier libre. De plus, je me sentais à l’aise au milieu de cette joyeuse pagaille, bousculé de droite et de gauche par cette foule au dialecte inconnu. Alors que le groupe faisait une courte pause, je me suis mis à observer un peu autour de moi (et c’est d’ailleurs à cet instant que je me suis rendu compte que les autres étaient partis). Mon regard croisa celui d’un homme d’une quarantaine d’années qui me regardait en souriant. Il était vêtu d’une djellaba, comme la plupart des autres hommes, pas très grand, moustachu et bedonnant. Sur le moment je ne prêtais guère attention à lui, me disant inconsciemment qu’il devait s’adresser à quelqu’un d’autre, d’autant que la musique recommençait mais sur un rythme un peu plus soutenu. Cela eut pour effet de faire bouger l’assistance, voir d’en faire danser certains. Coincé au troisième rang, je gesticulais timidement, d’une part faute de place et d’autre part pour ne pas paraître ridicule.

C’est alors que je sentis une présence derrière moi. Me retournant, je vis l’homme qui m’avait souri. Il avait les bras croisés sur le ventre et semblait écouter lui aussi la musique. Les mouvements de foule faisaient que de temps à autre, je me retrouvais plaqué contre lui. Étant encore bien innocent, c’est à la limite que je voulais m’excuser à chaque fois que je me cognais à lui, mais assez rapidement, je compris que nos contact n’étaient pas essentiellement dûs à moi, et assez ambigus. En effet, je sentais souvent ses mains frôler le bas de mon dos et mes fesses. Au bout d’un moment, pour en avoir le cœur net, je décide de changer de place discrètement. Et là je me suis aperçu qu’il me suivait. Intrigué de savoir ce qu’il voulait, je laissais faire les choses. De nouveau dans mon dos, ses attouchements se firent de plus en plus précis. Mon cœur s’accélérait à chaque fois qu’il me touchait. Je sentais parfaitement le dos de ses mains se placer sur mes fesses, n’étant vêtu que d’un maillot et d’un short de plage (pratiquement aussi fin qu’un caleçon...) sans rien dessous.

Sans que je m’en sois rendu compte, la nuit était tombée et les seuls éclairages qu’il y avait étaient ceux de la scène. Cela devait l’encourager au même titre d’ailleurs que le fait que je ne me sauve pas en courant. Je fus surpris lorsqu’il commença à me caresser plus directement. Une de ses mains s’était plaquée sur mes fesses et je sentais ses doigts essayer de se diriger vers mon anus. Apeuré, de peur que cela ne se voie, je ne bougeais pas et serrais les fesses. Du coup, je sentis encore plus les doigts inquisiteurs tenter de forcer le passage mais sa détermination était bien plus forte et le faible rempart qui me protégeait était bien faible. Rouge de honte, je jetais des regards aux alentours pour essayer de savoir si quelqu’un s’était aperçu de la chose mais dans l’obscurité, je ne distinguais que vaguement les visages de mes voisins et je n’osais pas me retourner. De plus la foule était devenue tellement compacte qu’il m’était difficile de m’en dégager. Le mec devait s’en douter et en profitait.

Il remonta sa main jusqu’à l’élastique de mon short et glissa la main à l’intérieur. Le contact de sa peau rugueuse sur la mienne me donna la chaire de poule. Il me caressa longuement, puis ressortit sa main pour la glisser sous mon maillot et venir me caresser le ventre, me plaquant contre lui. C’est alors que je sentis son sexe se frotter contre mes fesses au rythme de la musique. À priori, il ne portait rien sous sa djellaba. J’avais la tête qui bourdonnait et je me demandais jusqu’où il allait aller. À mesure qu’il bougeait, ses pressions se faisaient de plus en plus fortes et je sentais sa bite grossir dans mon dos.

D’un coup, je l’entendis discuter avec un autre homme. Sa main me lâcha et il se recula un peu. Les deux hommes rigolaient. Je me suis dis que c’était terminé et qu’il allait me laisser mais c’est alors que je sentis qu’une main avait attrapé l’élastique de mon short et qu’on me le descendait. Je voulus empêcher la chose mais une autre main saisit la mienne et me la tira en arrière pour venir la positionner sur un sexe. Je compris que c’était le deuxième homme qui m’avait attrapé pour pouvoir laisser le champs libre au premier. Celui-ci ne se gêna pas et descendit mon short pour découvrir et exhiber mes fesses. Pendant ce temps, on me relevait aussi mon maillot.

L’autre main de celui qui me déculottait glissa sur mon ventre pour y appuyer, m’obligeant à me plier légèrement pour bien exhiber mon cul. Les deux hommes rigolaient de plus en plus fort à chaque fois que je tentais de me dégager. Je devais faire de l’effet car le sexe que l’on me forçait à toucher était de plus en plus dur et me paraissait énorme. On m’écartait les globes et des doigts venir tâter de ma rosette. Je n’osais imaginer le spectacle que je donnais et ne savais pas si d’autres hommes en profitaient. J’étais coincé entre ces deux mecs et je me faisais tripoter le cul. Enfin, je devrais plutôt dire que je me faisais doigter le cul car l’un d’eux avait réussit à faire entrer un doigt et s’amusait à le faire coulisser en moi. En fait, je ne sais même pas s’il ne le faisait pas chacun leur tour.

Puis la musique prit fin. La foule commença à se disperser. Je sentis que l’on me tirait en arrière. Les deux hommes m’entraînaient avec eux. L’un m’attrapa par la taille et l’autre me passa un bras autour du cou, comme si nous nous connaissions depuis toujours. Ils m’emmenèrent dans un endroit isolé, toujours en discutant et rigolant entre eux. À chaque fois que j’essayais de dire quelque chose, cela les amusait et ils répondaient en arabe des trucs que je ne comprenais évidemment pas.

Arrivés dans la cour de ce qui ressemblait vaguement à un garage, l’un d’eux me tira sur mon maillot alors que l’autre descendit mon short. Je me suis retrouvé nu comme un ver en un rien de temps, car même les sandalettes que je portais avaient valsé. Ils se mirent alors à me caresser partout sur le corps, en insistant bien sur mes fesses et mes seins qu’ils pinçaient. J’essayais bien de me débattre mais je n’avais aucune chance. À deux, ils me bloquaient facilement, me faisant passer de l’un à l’autre, s’amusant avec moi, me plaquant contre eux pour me faire sentir leur sexe dressé sous la toile.

Puis l’un d’eux souleva sa djellaba alors que l’autre me maintenait et je vis apparaître une bite énorme. Il m’attrapa par la nuque et m’obligea à me plier, aidé de l’autre qui m’avait saisi par la taille, les fesses plaqués sur son pieu. Après quelques ruades bien ridicules de ma part, le gland se positionna sur mes lèvres et d’une poussée m’écarta les lèvres pour s’enfoncer dans ma bouche. Son propriétaire entama des va-et-vient, s’enfonçant de plus en plus profond. Celui qui se trouvait dans mon dos ne restait pas inactif. Il avait lui aussi remonté sa djellaba et je sentis sa bite glisser entre mes jambes. Il la faisait coulisser au rythme des assauts de celui que je suçais.

Puis ils changèrent de position, et celui qui passa derrière moi positionna son gland bien mouillé à l’entrée de mon cul. Pris de panique je lui demandais dans un couinement et la bouche pleine de ne pas faire ça, mais c’était peine perdue. Plusieurs tentatives furent nécessaires, à grand renfort de salive, avant que je sente le gland commencer à entrer. La douleur était atroce, d’autant que c’était pour moi la première fois que je me faisais enculer. Le type donnait des grands coups de reins pour faire pénétrer son pieu dans mes entrailles. À mesure qu’il avançait, son débit de parole s’accentuait et son souffle se faisait de plus en plus rapide. Alors que je pensais que le plus dur était passé, il s’enfonça complètement d’un coup sec et je crus que j’allais m’évanouir. Je sentais ses couilles venir battre contre mon cul. Il resta un moment comme ça puis se mit à me pilonner les intestins, m’attrapant bien par la taille pour s’enfoncer au plus profond à chaque fois. L’autre alternait en me faisant sucer sa bite et ses couilles rasées. J’étais pris en sandwich et j’avais bien du mal à garder mon équilibre.

Ils changèrent plusieurs fois de position et j’avais l’impression que cela ne s’arrêterait jamais. À peine un bite sortie de mon cul qu’elle arrivait dans ma bouche et que je devais en laver les moindres recoins. J’avais mal aux joues, le cul en feu et les yeux embués de larmes. Mon calvaire s’arrêta lorsque celui qui m’enculait se retira d’un coup et que je sentis son sperme aterrir sur mon dos. L’autre se retira alors de bouche et se vida sur ma tête. Ils laissèrent retomber leur djellaba et après avoir retrouvé leurs esprits, s’en allèrent tranquillement, me laissant seul, avec du sperme dégoulinant de partout. C’est à cet instant que je me suis rendu compte que je bandais comme un porc. Rien que d’y penser, j’ai joui sans me toucher.

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Vendredi 12 octobre 5 12 /10 /Oct 00:19

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Je n’avais en mémoire qu’un seul visage, celui du moustachu. Je le revis le lendemain matin. En fait il faisait partie d’une famille de ceux qui hébergeait un des moniteurs et parlait très bien le français. Il me fit comprendre que si je ne voulais pas qu’il raconte ce qui c’était passé, je devais lui obéir et faire ce qu’il allait me demander...

Salim (c’était son prénom) s’arrangeait toujours pour faire partie du groupe dans lequel j’étais lors des excursions ou des activités. Il me tenait à l’œil et je sentais sans arrêt son regard et sa pression sur moi. Bien sûr, étant donné que je voulais pas qu’il raconte tout aux autres, je me pliais à ses moindres désirs. La première des choses qu’il m’ordonna dès le début fut de ne jamais rien porter en dessous de mes shorts. Je devais être prêt à tout moment comme il disait, et dès qu’il me voyait arriver le matin, il m’attirait dans un coin isolé pour le vérifier. Il attrapait mon short à pleine main et le descendait d’un coup sur mes mollets, puis me demandait de remonter mon maillot. Il me caressait ensuite comme il l’avait fait la première fois, jusqu’au moment où il me donnait une claques sur les fesses et me demandait brusquement de me rhabiller. Il s’est vite aperçu que cela ne me laissait pas indifférent car dès qu’il commençait sa revue je me mettais à bander.

Le cinquième jour, nous avons fait une excursion dans une grande ville. Nous sommes partis de bonne heure en car, le voyage devant durer deux bonnes heures. Bien évidemment, il est venu s’asseoir à côté de moi après m’avoir indiqué où m’installer. Il me fit asseoir à côté de la fenêtre, un peu à l’écart des autres. Comme il faisait très frais, j’avais enfilé un survêtement avec mon short en dessous. D’ailleurs, on nous distribua des couvertures pour nous couvrir, le chauffage ne fonctionnant pas. À peine le car avait-il démarré qu’il me fit remarquer qu’il n’était pas content de moi. Il me fit remarquer que je n’avais pas écouté ce qu’il m’avait dit. Je ne devais jamais rien porter sous mon short ou sous mon pantalon. J’allais devoir être puni pour avoir désobéi.

Il installa la couverture sur nous et d’un ordre bref me demanda de retirer mon pantalon et mon short. Devant mon hésitation, il attrappa lui même les vêtements qu’il fit descendre sur mes genoux. Caché par la couverture et aidé par la pénombre matinale, je dus les retirer entièrement. Une fois terminé, il se tourna vers moi et dirigea une main entre mes jambes, direction mon cul. Je me suis retrouvé très vite avec un puis deux doigts en train de me fouiller le cul. Il me les a enfoncés d’un coup sec sans préparation et malgré l’aventure de l’autre soir, je les sentis passer et me mordais les lèvres pour ne pas crier. Gêné par l’exiguïté de l’espace dans lequel nous nous trouvions, il me positionna une jambe sur lui pour faciliter l’accès. Penché au dessus de moi il me travailla le cul pendant un bon moment, allant jusqu’à m’enfoncer un troisième doigt, me tirant sur la bite et les couilles.

Puis il m’attrapa soudainement par la nuque et attira ma tête vers son pubis. Dans le noir et sous la couverture je n’avais pas remarqué qu’il avait relevé sa djellaba. Il bandait déjà comme un turc et je reçus sa queue et pleine bouche très vite. Il me recouvrit de la couverture et me força à le sucer et effectuant des pressions sur ma tête. Dans le car il n’y avait aucun bruit, les autres dormant sûrement, bercés par le ronronnement du moteur. À un moment, il s’arrêta et me bloqua la tête en ayant sa queue au fond de ma gorge. Je le sentis se tendre et sa queue gonfler encore plus. Il se vida et je fus obligé d’avaler sa semence. Il me redressa alors et me repoussa vers la vitre. Je me rhabillais mais en ne mettant que mon survêtement, car il s’était emparé de mon short. La fin du trajet se fit calmement et je me suis d’ailleurs endormi comme les autres, mais avec le goût du sperme en bouche et la queue bien tendue.

Arrivé à destination, il faisait déjà bien jour et le soleil était déjà assez haut. La chaleur commençait à se faire sentir et je regrettais de ne pas pouvoir me mettre en short, celui-ci étant sûrement resté dans l’autocar. La visite du matin se déroula sans encombre: musée, atelier de confection et de tissage, usine de dattes. Salim avait rejoint le groupe des adultes et moi celui des autres ados. Le midi nous avons effectué un pique-nique dans une palmeraie, à l’abri des rayons du soleil qui tapait de plus en plus fort.

Le programme de l’après-midi était quartier libre en ville avec retour vers les 17 heures. Nous avions 4 heures de libre devant nous. Le groupe s’est vite éparpillé et alors que je m’apprêtais à partir, j’entendis Salim qui m’appelait. Il allait m’accompagner en ville. Il marchait rapidement et savait où il allait. Obéissant, je le suivais. Après avoir parcouru quelques ruelles dans la vieille ville, il s’arrêta devant une échoppe. La spécialité de celle-ci était apparemment les djellabas. Je pensais qu’il voulait s’en acheter une mais après avoir discuté avec l’un des vendeurs, il me fit entrer dans le magasin. En fait il voulait m’en acheter une et je devais l’essayer. Content, je le suivis docilement.

Il parcourut d’un œil connaisseur les différents modèles exposés. Un employé d’une vingtaine d’année que Salim devait connaître, nous accompagna. Il décrocha quelques modèles et nous les tendis. L’intérieur du magasin était frais et à mesure que nous reculions de l’entrée la lumière était de moins en moins présente. Le seul éclairage qu’il y avait était celui des rayons du soleil. Arrivé au fond de la boutique, la pénombre régnait. Cet là que Salim me tendit une djellaba pour me demander de l’essayer. Sans réfléchir, j’attrapais le vêtement et commençais à l’enfiler. Salim m’en empêcha bien vite. Je ne devais rien porter en dessous. D’un geste brusque, il tira sur mon maillot et me le retira. Le jeune employé nous regardait avec un sourire sur les lèvres.

Une fois torse nu, Salim me demanda de retirer mon pantalon. Comme je ne portais rien en dessous, j’ai hésité. Je n’aurais pas dû car cela énerva Salim, qui m’attrapa par les cheveux et m’envoya une claque dans le dos. Il fit descendre lui même mon survêtement jusqu’à mes chevilles. Il me tourna de sorte à montrer mon cul au vendeur et me plia en deux pour finir de me déshabiller. J’étais rouge de honte de me montrer ainsi devant un inconnu, ne sachant pas qui pouvait encore arriver. Une fois nu, je me redressai et tentai de camoufler mon sexe avec mes mains. Je croisais alors le regard de l’employé qui me détaillait de la tête aux pieds comme une marchandise, en discutant avec Salim. Bien évidemment, je dus essayer plusieurs djellabas avant de trouver celle qui plaisait à Salim, et entre chaque essayage, je devais attendre nu, exposé aux regards.

Le choix de Salim se porta finalement sur un modèle très simple. La toile était légère et j’avais l’impression de ne rien avoir sur le dos tellement le tissu semblait fin. Content de son choix Salim palabra avec le vendeur. Il devait certainement discuter le prix. Après quelques conciliabules, il sortit quelques billets et en me regardant, il me dit que je devais participer à l’achat. N’ayant aucun argent sur moi, je ne voyais vraiment pas comment j’allais pouvoir faire.

Je compris très vite. Le vendeur m’entraîna dans l’arrière boutique, un espace assez restreint dans lequel étaient entreposés des rouleaux de toile et des cartons de marchandise. Sans préambule, il me plaqua face contre une pile de cartons et releva ma djellaba sur mon dos. Il m’écarta les jambes et cracha dans sa main et sur mon cul. Sans un mot, il plaça son gland à l’entrée de mon cul et d’un coup de rein me pénétra. J’avais encore le cul en feu suite à ma correction de ce matin et la douleur se raviva. Serrant les dents, je l’ai laissé me pilonner. Il faisait ça rapidement, comme un débutant, à la sauvage. Il éjacula en moi au bout de cinq minutes. Il se retira, la djellaba retomba toute seul jusqu’à mes pieds. Je sentais son sperme glisser entre mes cuisses. Sans un mot, il me raccompagna dans le magasin où Salim était en train de discuter avec le patron. Je n’osais lever les yeux et regarder qui que se soit. Tout le monde devait être au courant que je venais de me faire enculer par le jeune employé et rigolait en me regardant.

Je fus content de me retrouver dehors. Le soleil m’éblouit quelques instants et du coup, je ne fis pas attention au fait que je portais la djellaba. Celle-ci était de couleurs beige et vraiment très légère. En fait d’être légère, et je pense que c’est pour cela que Salim l’avait choisie, elle était aussi transparente. Je m’en suis rendu compte en passant devant la vitrine d’un barbier. En me regardant devant une glace, je me suis aperçu que l’on pouvait sans aucun problème distinguer que j’étais nu sous le vêtement. Cela me fit un drôle d’effet. Salim était en train de m’exposer au regard de toute la population, et les hommes que l’on croisait ne s’en privaient pas. Je sentais leur regards envieux se poser sur mes fesses. Je me serais balader nu je crois, que le résultat aurait été pareil. Salim se tenait à côté de moi et se délectait de la situation. Il nous enmenait évidemment là où il y avait le plus de monde, s’arrêtant çà et là, faisant semblant de regarder sur un étal ou pour discuter avec un autochtone. À chaque fois que l’on s’arrêtais, je remarquais les gestes des mains qui venaient se placer sur les pubis, voir certaines venir effleurer mon cul en passant. Il faut dire que ma queue était tendue à craquer et que cela se voyait aussi. J’étais excité au plus haut point. Fort heureusement, nous ne croisâmes aucune personne du groupe et au moment de retourner au car, Salim me rendit mon pantalon de survêtement pour que je puisse le remettre.

Le retour se fit normalement. J’étais vanné et je m’endormis à peine installé, d’autant que je savais que la journée n’était pas finie. En effet, une soirée était organisée à la maison de la jeunesse avec l’ensemble du groupe et des familles qui nous recevaient.

La soirée s’éternisa jusqu’à 22h et puis les convives se séparèrent un à un. Pour ceux qui le voulaient, nous avions quartier libre jusqu’à minuit et pouvions profiter de la douceur de la soirée pour aller nous promener ou faire ce que bon nous semblait. Salim que je n’avais pratiquement pas vu de la soirée réapparut à ce moment-là comme par enchantement.

Il se rapprocha de moi et arrivé à ma hauteur, il me dit qu’il allait m’emmener voir des amis à lui. Le trajet ne fut pas long. Arrivés devant une porte cochère, il me fit comprendre que je ne devais bien entendu porter que ma djellaba. Soumis, je retirai alors les vêtements que je portais en dessous et les lui tendis pour qu’il les mettent dans un sac. Une fois prêt, il frappa et un homme d’une quarantaine d’année aussi vint nous ouvrir.

À peine avais-je passé la porte que sans présentation (cela avait dû être fait bien avant), le type me mit la main au cul et commença à me malaxer les fesses, tout le long du couloir que nous traversions. Nous arrivâmes dans une pièce faiblement éclairée, d’où s’échappait en sourdine de la musique. Deux autres hommes étaient vautrés dans des canapés et fumaient tranquillement. Une odeur bizarre flottait dans l’air.

Sans préambule, Salim me plaça au milieu du salon et remonta ma djellaba. Les autres me fixaient et applaudissaient. Une fois nu, il me fit tourner dans tous les sens pour bien me montrer comme une vulgaire marchandise. Il me demanda ensuite de me pencher en avant et de bien �carter mes fesses pour que tout le monde puisse voir ma rondelle. Les hommes échangeaient entre eux sur ce qu’ils voyaient dans mon dos. Je restais dans cette position en attendant la suite. Puis il me fit passer de mains en mains et chacun me pelota à sa guise, faisant des commentaires, me faisant m’asseoir sur eux. Je sentais leur grosse bite gonfler sous la toile de leur vêtement. Bien évidemment, la partie qui les intéressaient le plus était mon cul.

Mais quelque chose les gênaient, c’était les poils que j’avais. Alors celui qui semblait être le propriétaire des lieux se leva et alla chercher un rasoir. En moins de temps qu’il ne le faut pour le dire, je me suis retrouvé allongé sur une table. Le rasoir parcourut mes endroits les plus intimes, me dépouillant de toute virilité. À cet âge-là, j’étais assez fier des poils pubiens que j’avais, mais pour le coup, je devrais attendre qu’ils repoussent. J’ai retrouvé une peau de bébé et cela sembla leur plaire.

Il me firent reprendre la pose pour bien me regarder jusqu’à ce que l’un d’eux se lève et vienne se positionner devant moi. Il souleva sa djellaba et attrapa sa queue à moins tendue d’une main pour me la présenter. J’ouvris la bouche et avalai le morceau de chair. Il laissa retomber son vêtement et je me retrouvais à le sucer, toujours le cul bien offert, d’autant qu’il s’était penché au-dessus de moi et qu’il m’écartait les globes. Son sexe durcit rapidement et me remplit la bouche à fond. Bien enfoncé en moi, il ne bougeait pratiquement pas, trop occupé par mon cul sur lequel il assenait de grosses claques. À mesure que les coups pleuvaient, je sentais mon cul chauffer. J’avais du mal à respirer, coincé sous la toile, avec cette bite enfoncée au fond de ma gorge.

Puis les coups s’arrêtèrent et je sentis que l’on présentait un objet à l’entrée de mon cul. Je ne voyais pas ce que c’était mais le contact était froid. En fait un autre mec était en train de m’enculer avec un concombre. Déjà bien ouvert, mon cul aspira le légume assez facilement à ma grande stupeur. Ils s’amusèrent à me préparer le cul avec pendant un bon moment et d’autres objets suivirent. Ils se relayaient chacun leur tour pour me travailler la rondelle, alors que j’étais toujours maintenu par le premier qui, imprimant des mouvements du bassin faisait entrer et sortir sa queue de ma bouche. Il éjacula une première fois et m’en colla partout sur la gueule.

Lorsqu’il se dégagea, je crus qu’il allait être remplacé par un autre mais ils me firent mettre à quatre pattes devant eux et me laissant en l’état, firent une pause. J’avais toujours quelques choses dans le cul et le sperme me dégoulinait le long des joues. À mesure que la soirée avançait, ils se sont tous retrouvés nus et la bite à la main. Ils se présentaient à tour de rôle pour que j’astique leur mandrin. Ils avaient tous des bites énormes, tendues à craquer, le gland bien décalotté et bien reluisant.

Quand je les ai eu tous sucés, ils me firent m’allonger sur le dos. L’un deux se positionna au dessus de ma tête et après m’avoir enfourné sa bite dans la bouche, attrapa mes jambes pour les remonter vers lui. Ce fut ensuite une série d’enculade. Un par un, ils me défoncèrent le cul sauvagement alors que je devais toujours en avoir un en bouche, sûrement pour étouffer les cris de douleurs que je poussais. Cela se termina évidemment dans un bain de sperme. J’en ai reçu partout, même le mien est venu se répandre sur mon torse sans que je me touche.

J’étais épuisé, et le corps endolori de partout. Ce n’était que le début et je n’étais pas au bout de mes peines.

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Jeudi 11 octobre 4 11 /10 /Oct 23:36

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Deux jours après, de nouveau quartier libre mais pour la journée. Je m’attendais à voir arriver Salim dès le début de la matinée mais il n’en fut rien. Je le croisai vers midi alors qu’avec d’autres ados; nous traversions le port pour retourner à nos domiciles pour manger. Il s’approcha de nous pour discuter un peu et au moment de repartir, il m’attira à lui. Il me glissa à l’oreille qu’il me retrouverait ici dans une heure et que je devrais porter sa djellaba.

Pendant le repas du midi, je ne décrochai pas un mot et d’ailleurs, ne mangeai pas grand chose non plus. J’appréhendais ce qui allait venir. Malgré tout, et conformément à ce qui m’avait été demandé, je me retrouvais sur le port une heure plus tard. Les hommes se retournaient tous à mon passage et, comme sur le marché la première fois, certains se caressaient ouvertement la queue. Très vite je trouvais un endroit pour m’asseoir et essayer de cacher le maximum de se que je montrais.

Salim arriva quelques temps après. Il n’était pas seul. Il était accompagné par un autre homme, de type africain, tous deux en djellaba. À peine arrivé à ma hauteur, il me fit me redresser et me tourner contre le container auprès duquel j’avais trouvé refuge. Il releva la djellaba et présenta mon cul au nouvel inconnu. Celui-ci attrapa alors mes globes à pleines mains et me les malaxa fortement en rigolant. Après quelques instants, il se recula et regarda Salim m’enfoncer deux doigts d’un coup. Je lâchai un cri et voulus me dégager mais Salim m’attrapa par les cheveux et m’intima l’ordre de fermer ma gueule. Il m’enfonça encore plus profond ses doigts et me tirant vivement par le bras, me demanda d’avancer.

Nous nous dirigeâmes tant bien que mal vers un espèce de cabanon et à chaque pas que je faisais, je laissais un peu plus pénétrer les doigts dans mon cul. En chemin, nous croisâmes un autre homme qui se mit à discuter avec le black qui n’hésita pas à lui montrer la position dans laquelle j’étais. Ils discutèrent tous les trois un moment puis nous reprîmes notre chemin, mais ce coup-ci à quatre. Arrivés au cabanon, enfin je devrais plutôt dire derrière, Salim retira ses doigts de mon cul et me déshabilla. D’un geste brusque il me repoussa et déséquilibré, je me vautrais à terre à leur merci. Salim se recula et invita les deux autres hommes à s’occuper de moi.

Le black se retira sa djellaba très vite et dès que j’ai vu son membre, je me suis mis à flipper. Je n’avais encore pas vu de truc aussi gros, malgré ce que j’avais découvert ses derniers temps, et qui me paraissait déjà énorme. Le truc pendait entre les jambes du black et lui arrivait à mi-cuisse, au repos. La première idée qui me vint à l’esprit fut un sexe de cheval, car hormis la longueur, il y avait aussi l’épaisseur. Le black s’agenouilla au dessus de ma tête et commença à me claquer sa queue sur les joues. L’autre mec avait baissé son pantalon et son slip et me pelotait comme un fou furieux, frottant lui aussi sa queue sur la moindre parcelle de mon corps.

Le black m’attrapa par les cheveux et me tourna la tête vers son gland qu’il décalotta devant mes yeux effarés. Je m’attendais alors à ce qu’il me l’enfourne dans la bouche mais il n’en fit rien et je fus surpris lorsque je me rendis compte qu’il commençait à me pisser dessus. Son jet de pisse m’atterrit dessus et m’aspergea le visage. Il dirigeait sa queue de sorte que j’en reçoive partout. La pisse chaude me dégoulinait sur le visage et ce fut une vraie douche. Il ne devait pas avoir pissé depuis un bon moment. Il s’arrêta et positionna son gland sur mes lèvres. Docile, je les ouvris pour qu’il s’y enfonce mais à peine entré, il recommença à uriner. Voulant me dégager, il m’enfonça sa bite un peu plus dans la bouche et continua de se vider. Je manquais de m’étouffer et essayais de maintenir la bouche le plus ouverte possible pour que le liquide puisse s’en échapper, ce qui était bien difficile devant la grosseur de l’engin.

Tellement la surprise fut grande que je ne m’étais pas rendu compte que le deuxième homme était en train de m’enculer. Il m’avait relevé une jambe bien en l’air et me pilonnait le cul férocement. Après avoir fini de se vider, le black laissa sa queue dans ma bouche et commença lui aussi à me pilonner. À mesure qu’il donnait des coups de bassin, son sexe grossissait et m’écartelait les lèvres. Ses grosses couilles poilues venaient battre mon menton à chaque pénétration. Celui qui m’enculait me traitait de tout les noms en arabes et me claquait violemment les fesses. À chaque claque, je criais sous la douleur et le black en profitait pour s’enfoncer encore un peu plus, venant faire buter son gland au fond de ma george.

Celui qui m’enculait se retira d’un coup et approcha lui aussi sa bite de ma bouche. Il me pinça les seins de sa main libre, se branlant de l’autre. D’un coup, je reçus tout son sperme sur la gueule qui dégoulina sur mes joues, mes lèvres et sur la queue du black qui continuait ses pilonnages, maintenant bien huilés. Le goût du sperme vint se mêler au goût de pisse. Vidé, le mec se releva et partit retrouver Salim qui observait la scène à quelques pas de là.

Le black se releva aussi, la queue bien tendue à craquer, énorme, les veines courant tout le long. Il se positionna au-dessus de moi et m’attrapa par la taille pour me soulever comme un sac de patates. À mesure qu’il me soulevait, à bout de force je me pliais devant lui, essayant de prendre appui sur mes mains pour ne pas tomber complètement. Il avait positionné les jambes de part et d’autre de son bassin et mon cul lui était bien offert. Sans me lâcher, il positionna son gland sur mon cul encore ouvert et m’attira vers lui. Sa bite encore couverte de ma bave et du sperme de l’autre commença alors à me transpercer. Il n’y arriva pas du premier coup vu comment il était monté mais ne lâcha pas pour autant l’affaire. Je rassemblais le peu de force qu’il me restait pour me dégager, mais j’étais bloqué et j’excitais encore plus le black. Il forçait de plus en plus fort pour m’enculer et comme mes cris devenaient eux aussi de plus en plus fort, Salim s’approcha et m’enfourna ma djellaba dans la bouche. Je crois bien que j'ai perdu la notion du temps.

Lorsque j'ai repris mes esprits, j’étais allongé par terre, le cul béant avec du sperme qui s’en échappait. Je puais la pisse et j’avais mal partout. J’eus quelques difficultés à retrouver mes esprits et en tournant la tête, je vis les deux hommes donner des billets à Salim. Il venait de me vendre comme une pute...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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