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fan de histoires de mec

Dimanche 5 août 7 05 /08 /Août 17:39

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J’ai commencé à être attiré par les garçons vers 11 ou 12 ans. Je fantasmais vaguement sur les mecs de ma classe, mais ce n’était pas véritablement sexuel, c’était plutôt une envie de les connaître, d’être intime avec eux. Enfin avec certains d’entre eux, pas tous ! J’étais attiré par les cancres, qui foutaient le bordel, qui charriaient les élèves…

Plus tard, à 14 ans, j’ai vu un documentaire sur l’homosexualité à la télévision. J’ai tout de suite compris mes « fantasmes » : j’étais gay. J’aimais les hommes. J’ai commencé à me branler, en pensant toujours à mes camarades de classe, qui changeaient souvent mais m’excitaient maintenant sérieusement.

Mes parents ayant divorcé quelques années plus tôt, j’habitais alors avec mon père et mon frère. Je n’étais pas très proche d’eux, mon frère avait 2 ans de plus que moi et m’ignorait complètement, mon père était un hétéro macho qui s’intéressait avant tout aux matchs de foot et aux soirées bière avec ses potes. J’étais frêle, le teint pâle, je me foutais complètement de tout ce qui touchait au sport, je lisais beaucoup : je n’avais rien en commun avec lui. Nous ne nous parlions pas beaucoup.

Pourtant, arrivé à l'âge de 16 ans et à force de penser aux mecs, je sentais le besoin de me confier. Mes amis au collège n’auraient pas compris, en auraient parlé à tout le monde, je me serais fait emmerder : je ne pouvais pas leur dire que j’étais gay. J’ai alors pensé en parler à mon père. Après tout, j’étais son fils, il comprendrait certainement mon besoin d’en parler avec lui, il chercherait à me conseiller, à m’aider à accepter. Peut-être même que cela nous rapprocherait : quoi de mieux qu’un secret à partager pour lier deux personnes ?

Alors, un soir que mon frère était sorti avec des amis, j’allais trouver mon père dans le salon. Il regardait un match à la télé, je m’assis en face de lui.

— Papa, je dois te parler.

— Attends une minute, Luc, c’est bientôt la mi-temps.

J’attendais patiemment. Quand les pubs commencèrent, il se tourna vers moi.

— Je t’écoute. Qu’est-ce qui se passe ?

— C’est un peu difficile. C’est… intime. Je ne sais pas comment te le dire.

— Ah, je vois très bien ! J’attendais que tu m’en parles depuis longtemps !

J’étais abasourdi. Il savait ? Il avait deviné ? Je n’avais rien fait qui puisse lui faire comprendre ! Certes, je n’avais pas un physique très masculin, mais je n’avais pas une attitude efféminée, du moins je n’en avais pas l’impression.

— Tu es au courant ? Mais Papa, je…

— C’est rien, fiston. C’est normal à ton âge. Tu vois des filles, t’es attiré par elles… Il y en a une qui te plaît en particulier ? Si t’as besoin de conseils, surtout n’hésite pas à me demander. Je m’y connais bien, tu sais !

Soudain, j’étais déçu. Ça m’avait étonné de croire qu’il savait que j’étais gay, mais ça m’arrangeait bien. Ça aurait été simple ! Mais là, il fallait lui expliquer, et j’avais peur de sa réaction.

— Non Papa, ce n’est pas ça. Je… Je ne sais pas comment dire… Je crois que… Je crois que j’aime les garçons.

Voilà, c’était dit. Ouf. Il n’a pas réagit tout de suite. Il me regardait, fixement mais son regard était vide. Comme si je ne parlais pas français. Au bout d’un temps qui m’a semblé durer 107 ans, il a ouvert la bouche.

— T’es pédé ?

— Quoi ? Non, enfin je ne sais pas !

— T’aimes les mecs ou pas ? Réponds !

— Oui, enfin je crois ! Papa, je…

Il devenait agressif. Il s’est levé, m’a attrapé par le col de ma chemise. Il criait :

— T’es pédé ou t’es pas pédé ? Réponds ! Dis-le !

— Papa, arrête, tu me fais mal ! Lâche-moi, s’il te plait !

— Je veux pas d’un fils pédé, t’as compris ? Tu vas filer dans ta chambre, et t’en sortiras quand t’auras compris qu’il n’y a pas de pédé dans ma famille ! Casse-toi !

Il m’a lâché. Je me suis effondré par terre, j’avais les larmes aux yeux. J’ai couru jusqu’à ma chambre en pleurant.

Les jours suivants, mon père ne m’a pas adressé la parole. Il évitait d’être à la maison en même temps que moi, et quand il me croisait il détournait les yeux ou me lançait un regard dur et méprisant. Au bout de presque deux semaines de ce traitement, il est venu me trouver dans ma chambre. Il semblait très mal à l’aise, et toujours aussi froid.

— Luc, écoute-moi. Ce que tu m’as dit l’autre jour, je ne veux plus jamais en entendre parler. Je vais faire comme si j’avais rien entendu, et de ton côté tu vas tout de suite arrêter de penser aux mecs. Tu vas te trouver une fille, tu vas la baiser et tu seras aussi hétéro que n’importe qui. C’est compris ? T’as un mois pour faire ce que je te dis. Je viendrai t’en reparler dans 4 semaines, tu me diras où tu en es.

Je n’ai rien répondu. Pendant un mois, nous ne nous sommes pratiquement pas parlé. Ses paroles m’avaient choqué. Je savais que j’aimais les hommes, et que ça ne changerait pas. Ce qu’il m’avait dit m’avait fait réagir : il voulait me faire changer, mais son ton, ses ordres, avaient l’effet inverse : je voulais m’assumer, et je voulais qu’il m’accepte tel que j’étais. Par moments, quand on me dit noir, je réponds blanc.

Quatre semaines après cet « entretien », mon père m’a à nouveau adressé la parole. Il est entré dans ma chambre, un mercredi soir, vers 22 heures :

— Alors ? T’en es où ?

— Papa, je dois être franc avec toi. Je suis comme je suis, j’aime les garçons, je le sais. Je ne peux pas changer ça. Je suis désolé si ça te fait de la peine.

Il m’a regardé d’un drôle d’air. Il n’avait plus un petit garçon apeuré face à lui, mais un petit mec qui voulait s’imposer. Son ton s’est fait plus doux.

— Et comment tu le sais ? Tu as déjà essayé ? Tu as déjà… couché avec un mec ?

— Non.

Il y a eu un silence. Il s’est redressé, son regard était à nouveau plus dur.

— Bon. Ok. Alors je sais comment te faire comprendre. Viens avec moi.

Il est sorti de ma chambre, je l’ai suivi. Qu’est-ce qu’il voulait ? Il a pris les clefs de la voiture, on est sorti de l’immeuble. Je me suis assis à côté de lui dans la voiture, on a roulé pendant un bon quart d’heure. Il a pris l’autoroute. On ne se parlait pas. Il s’est garé sur une aire de repos. Il n’y avait rien : quelques camions, une ou deux voitures, un petit bâtiment qui abritait les toilettes. Nous étions début juin, il faisait doux. Mon père est sorti de la voiture, a ouvert le coffre.

— Viens là.

Il m’a bandé les yeux avec un bout de tissu. Je ne comprenais rien. Je n’osais pas poser de question. C’était peut-être un exercice, un test, un jeu, je ne savais pas. Je n’étais pas vraiment inquiet, j’étais avec mon père, il ne pouvait rien m’arriver. Il m’a poussé en avant. J’ai marché, il me guidait en me poussant droit devant. J’ai soudain senti une odeur de pisse m’envahir les narines. On devait être dans les toilettes de l’aire. Mon père m’a poussé très brutalement, je suis tombé. Il m’a agrippé, a commencé à m’enlever ma chemise, j’ai crié et je me suis débattu. Il criait plus fort, tout en me tenant les poignets par une main :

— Ta gueule ! Arrête de bouger !

Il m’a giflé, tellement fort que j’étais à moitié sonné. Il m’a entièrement déshabillé, puis m’a traîné sur quelques mètres. Je sentais le froid du carrelage contre ma peau, et quelque chose d’aussi froid et dur m’a cogné la tête. En tâtonnant avec mes pieds, j’ai compris que j’étais dans une des cabines des toilettes. Avec un autre bout de tissu, mon père m’a attaché les mains à la poignée de la porte. Il m’a donné un coup de pied dans le ventre.

— Tu bouges pas. Tu vas comprendre ce que c’est, être un pédé.

J’ai entendu ses chaussures claquer contre le carrelage. Il s’éloignait. Il avait laissé la porte de la cabine ouverte. Je suis resté comme ça, un peu sonné, ne comprenant rien. Quel était le rapport entre être « pédé », comme il disait, et être attaché nu dans des toilettes publiques ? Ça me dépassait complètement. Je ne voyais rien. Je l’ai appelé, criant « Papa ! Papa ! », mais rien ne me répondait. J’ai finis par me taire, pensant que c’était ça ma punition, qu’il allait me laisser comme ça toute la nuit, que je n’avais qu’à attendre. J’ai essayé de me détacher, mais les nœuds était trop serrés.

Au bout d’un certain temps, peut-être dix minutes, peut-être une demi-heure, j’ai entendu des pas. J’ai appelé : « Papa ? » mais personne n’a répondu. Un bruit de fermeture éclair, un mec pissait quelque part, peut-être aux urinoirs. Le bruit s’est arrêté. Les pas se sont approchés. Je sentais une présence juste devant moi. J’avais peur. Je n’osais pas bouger, pas parler.

Le type est resté immobile quelques secondes, puis, soudain, j’ai senti un jet chaud sur mon corps. Le jet m’arrosait partout, sur les jambes, sur le torse, sur le visage. Quelques gouttes sur mes lèvres, une odeur spécifique : c’était de la pisse ! Ce mec était en train de me pisser dessus ! J’étais tellement abasourdi que je n’ai pas réagi. Ça a duré une trentaine de secondes. Il ne m’a pas touché, il se contentait de se vider la vessie sur mon corps. Et je le laissais faire. Parfois même, je passais ma langue sur mes lèvres pour avaler un peu de pisse. Je ne savais pas pourquoi je faisais ça, le goût n’était pas terrible, mais ça ne me déplaisait pas. Quand le jet s’est terminé, l’homme est parti, comme ça, sans un mot.

J’étais trempé, je puais la pisse, nu et offert à la vue de n’importe qui. Et ça m’excitait.

À suivre…

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 5 août 7 05 /08 /Août 05:09

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Après avoir dit à mon père que j’étais gay, ce qu’il avait très mal pris, il m’avait attaché nu dans les toilettes d’une aire d’autoroute, les yeux bandés. Un mec m’avait pissé dessus, et ça m’avait plu.

J’ai attendu encore de longues minutes sans que rien ne se passe. Par terre, yeux bandés, trempé de pisse, mains attachées à la poignée de la porte par un tissu assez long pour me permettre de me déplacer dans la cabine des toilettes, mais trop court pour que je puisse m’éloigner.

Des pas se sont à nouveau approchés, se sont arrêtés pas loin de moi. Il y a eu un silence, une main s’est posée sur mon corps, m’a retourné, a caressé mon cul. Un bruit de fermeture éclair. J’ai senti la queue du mec contre mes fesses. Elle était molle, chaude. Il s’est frotté un peu contre moi. Le gars m’a encore retourné, vers lui cette fois. Sa queue s’est posée sur mon visage. J’ai automatiquement ouvert la bouche, et la bite est entrée entre mes lèvres. Elle avait commencé à durcir, j’ai sucé. C’était agréable, je la sentais gonfler entre mes joues, je suçais, sans réfléchir, sans me demander comment faire : c’était assez naturel.

Le type, qui était resté debout, a mis une main derrière ma tête, pour me donner le rythme. Il a commencé à baiser ma bouche, sa bite allait et venait jusqu’au fond de ma gorge, il devenait brutal. Sa queue me semblait énorme. Je n’avais pas de point de comparaison, mais je supposais qu’il était très bien monté parce que je m’étouffais, j’avais parfois des haut-le-cœur ; mais je tenais bon. Le mec gémissait, me donnait des baffes, parfois il sortait sa bite de ma bouche pour me gifler le visage avec sa queue. Il s’est mis à me parler, me traitant de salope, m’ordonnant de tirer la langue, d’ouvrir la bouche ; il maintenait sa queue enfoncée dans ma gorge, une main toujours derrière ma tête, pendant de longues secondes.

Puis il m’a ordonné : « Retourne-toi salope ! A quatre pattes ! ». J’ai obéi. Je savais ce qui m’attendait. J’avais peur, je me doutais que ça devait faire mal, mais j’en avais envie. Le type a craché sur la raie de mon cul, il a frotté sa queue raide sur mes fesses avant de positionner son gland à l’entrée de mon cul. Il a commencé à pousser. Du haut de mes 16 ans, encore tout vierge, j’étais très serré. J’ai tout de suite eu mal, j’ai crié. Le gars m’a frappé, me donnant des baffes, des fessées, m’ordonnant de fermer ma gueule. Il donnait de grands coups de bite pour la faire entrer entièrement ; de mon côté j’avais toujours mal mais je commençais à aimer ça. J’ai alors arrêté de crier pour commencer à gémir. Je ne savais pas très bien si je gémissais de douleur ou de plaisir, je crois que c’était les deux à la fois. En tout cas, le type semblait n’en avoir rien à foutre, et quand sa queue a été toute entière dans mon cul, il a aussitôt commencé des va et vient brutaux, la sortant presque entièrement pour me la remettre d’un coup au plus profond de moi, faisant claquer ses couilles contre mes fesses, râlant, haletant, me tenant fermement les hanches entre ses mains. Il continuait de temps en temps à me claquer le cul, ou à me donner des baffes, ou même à m’agripper par les cheveux pour me tirer la tête en arrière, ou au contraire pour la coller contre le sol plein de pisse. Il m’insultait toujours, me traitant de salope, de vide-couilles, de pute…

Je gémissais de plus en plus ; je me faisais défoncer par une vraie bête mais j’aimais ça. Ça n’a pas duré longtemps : au bout de deux ou trois minutes, il a crié de façon sauvage, j’ai senti sa bite gonfler encore et j’ai compris qu’il se vidait en moi. Il s’est calmé, il est resté dans mon cul quelques secondes. Je sentais son souffle sur ma nuque, je n’osais pas bouger. Il s’est ensuite retiré de mon cul, m’a attrapé la tête et m’a retourné vers lui pour m’enfoncer sa queue molle dans la bouche. Il a dit : « Lèche, nettoie-moi ça. ». J’ai léché, sucé, il y avait du sperme dessus, j’ai passé ma langue partout pour nettoyer son sexe. Son sperme avait un goût amer, un peu salé, c’était pas désagréable.

Il s’est levé, je le sentais toujours à côté de moi et j’ai entendu le bruit de son jet de pisse qui coulait dans la cuvette des toilettes. Quand il a eu fini de pisser, il a à nouveau fourré sa queue dans ma bouche. Je l’ai encore nettoyé, avalant les dernières petites gouttes de pisse. J’ai entendu le bruit de sa braguette qu’il refermait, il m’a craché dessus et est parti.

J’étais terriblement excité. Je venais de me faire baiser, par un mec que je n’avais même pas vu. Je ne savais rien de lui. Je n’avais même pas pu toucher son corps, à peine son jean quand je le suçais ; j’avais eu vaguement l’impression qu’il était plutôt costaud, et je n’en étais même pas sûr. Quel âge avait-il ? Est-ce qu’il était beau mec ? Ou très laid ? Gay ? Bi ? Peut-être même hétéro, avec juste une envie de se vider les couilles… Et le précédent, celui qui m’avait pissé dessus sans même me toucher ? Je ne savais rien de ces deux mecs, qui m’avaient soumis, humilié, et dont l’un avait été le premier à me baiser. Je ne savais qu’une chose : tout ça m’avait plu.

J’en étais là de mes réflexions, quand j’ai entendu des voix à l’extérieur :

— Hé Roger ! Je vais pisser, et on reprend la route ?

— Ok ! Grouille, on est pas rendu !

A nouveau, des pas. Une braguette qui s’ouvre, un jet de pisse, dans un urinoir probablement… La braguette qui se referme. Des pas… qui s’arrêtent brusquement. Un silence.

— Roger ! Viens voir ça !

— Quoi ? Putain magne, qu’on reparte !

— Viens, je te dis !

Le fameux Roger entre à son tour dans les toilettes.

— Oh putain, c’est quoi ça ?

— Je crois que c’est un petit pédé qui veut de la bite.

— Ben je vais lui en donner, moi ! Tu nous laisses ?

— Ok, tu me préviens quand t’as fini ?

— Ouais, ouais.

Le premier type sort. Roger s’approche de moi. Je ne le vois pas, évidemment, les yeux aveuglés par mon bandeau. Il me parle :

— Ben alors petit pédé, qu’est-ce que tu fous là ? T’as envie de te faire mettre ? Tu veux ma bite ?

Je fais « oui » de la tête. J’entends sa braguette s’ouvrir, il s’approche encore, j’ouvre la bouche. Il fout sa queue toute molle dans ma bouche. Elle pue, un mélange de pisse et de sueur, elle est courte et fine, je sens des tas de poils à la base. Mes deux mains sont toujours attachées l’une à l’autre par le tissu accroché à la poignée de porte, mais je les monte machinalement à ses couilles pour les caresser. Elles sont très poilues. Ses cuisses sont énormes ; je sens son gros ventre contre mon crâne. Sa queue durcit dans ma bouche, il place une main derrière ma tête pour m’imposer son rythme. Sa petite bite ne me donne pas de mal à la sucer, et très vite l’odeur et le goût dégueulasses disparaissent. Je pense alors que j’ai dû déjà avaler toutes les traces sales qui trainaient sur cette queue, et cette pensée me dégoûte et m’excite à la fois. Il ne dit rien, mais j’entends son souffle s’accélérer, et un liquide épais et chaud m’envahit la gorge. Il jouit dans ma bouche. J’avale tout, en le suçant toujours. Il débande, je lèche encore un peu mais il se retire déjà. Il s’éloigne. J’ai encore le goût de son sperme sur ma langue. J’espère que son ami viendra le remplacer.

Ça ne loupe pas : j’entends ses pas qui s’approchent. Il m’attrape par les cheveux, lève mon visage vers lui, enlève mon bandeau. Mes yeux mettent une ou deux secondes à s’habituer, je le distingue : il est grand, au moins 1m80, costaud, musclé sous son marcel, avec un peu de ventre. Il est assez poilu. Je lui donne une bonne quarantaine d’années, peut-être pas loin de 50. Il n’est pas moche, mais pas vraiment beau : son visage n’inspire pas confiance. Il sourit, d’un sourire cruel. Il se racle la gorge et me crache un gros mollard sur le visage, ça coule sur mes lèvres et dans mon cou. Il me parle :

— T’as l’air d’être une bonne salope toi ! T’as quel âge ?

— 16 ans.

— Qui est-ce qui t’a attaché là ?

— Mon père.

— Putain c’est une famille de pervers ça ! Tu te fais baiser par ton père ?

— Non.

— Alors pourquoi il t’a mis là ?

— Pour me punir d’être gay.

— Ah ouais ? Ben je vais te punir alors… Allez, ouvre la bouche, salope !

Je lui obéis, il sort sa queue, pas extrêmement longue, 16 ou 17 centimètres a priori, mais très épaisse, et déjà en érection. Il me la fourre direct dans la bouche, et je commence à le sucer. Mais il ne me laisse pas vraiment faire : il me donne des baffes, me tire les cheveux, me crache dessus, m’insulte, parfois il sort sa queue de ma bouche, me frappe avec… Je me fais malmener dans tous les sens et ça m’excite tellement que je gémis sans cesse. Il est lui aussi très excité, il me coince la tête contre le mur et me baise la bouche sans ménagement, enfonçant sa queue au plus profond de ma gorge ; j’en ai les larmes aux yeux, j’ai envie de vomir, j’étouffe, mais il s’en fout complètement.

Au bout d’un moment, il me lance :

— Allez, j’en ai marre de te niquer la gueule. Je vais m’occuper de ton cul.

Et il me donne un grand coup de pied qui me renverse. Je m’affale par terre. Il me redresse, me tenant entre ses bras, me fait mettre à quatre pattes. J’ai la tête pratiquement dans la cuvette des toilettes, une odeur épaisse de pisse m’envahit les narines. Il commence à me doigter le cul.

— T’es toute humide, la pute ! Tu t’es fait baiser ?

— Oui, tout à l’heure.

— Par qui ?

— Je ne sais pas, je ne l’ai pas vu.

— Un inconnu ? Il t’a bien rempli la chatte en tout cas. C’est bien, ça sera plus pratique pour te baiser.

Il positionne alors son gland contre mon trou et m’enfonce aussitôt sa queue toute entière dans le cul. Malgré ma baise de tout à l’heure, je suis toujours serré et j’ai très mal. Je hurle, alors il m’attrape par les cheveux et m’enfonce la tête dans la cuvette. J’ai le visage dans l’eau pisseuse, je ne peux plus respirer, et surtout je ne peux plus crier. J’essaie de me débattre, mais j’ai toujours les mains liées l’une à l’autre sous mon ventre, et le poids du mec sur mon corps : je suis incapable de lutter. Après quelques secondes, il me sort la tête de l’eau :

— Alors salope, t’as fini de gueuler ?

Je gémis douloureusement :

— Oui, oui !

Il commence alors à me pilonner, brutalement, faisant coulisser sa large queue dans mon trou, me frappant toujours les fesses, et m’insultant sans cesse. Je m’y habitue rapidement et je couine comme une femelle, cambrant naturellement mon cul pour mieux le lui offrir. Il m’a baisé comme ça pendant dix bonnes minutes, avant de se mettre à pousser de longs râles rauques en se vidant dans mes entrailles.

— Ah salope c’est bon ! T’as un bon cul, putain !

Il a retiré sa bite, l’a essuyée sur mes fesses.

— Comment tu t’appelles, la pute ?

— Luc.

— Ton père te fait souvent baiser comme ça ?

— C’est la première fois.

— Ok. Je vais te laisser un mot à lui donner. Je te préviens, si tu lui donnes pas et que je te retrouves, je te frappe ! C’est compris ?

— Oui. Je lui donnerai.

Il a rapidement écrit un petit mot sur un papier qu’il a sorti de sa poche. Il a posé le papier sur le réservoir de la chasse d’eau.

— Fous ta gueule dans la cuvette, en la tournant de profil vers moi.

J’ai obéis. Il m’a alors pissé sur la tête. Machinalement, j’ouvrais la bouche pour avaler un peu de sa pisse. Quand il a eu terminé de se vider la vessie, il a tiré la chasse, ma tête toujours dans la cuvette, me nettoyant au passage le visage et les cheveux.

Il est parti aussitôt, sans un mot de plus. Je me suis précipité sur le papier qu’il avait laissé : « Si t’as besoin de punir ton fils, je suis là. C’est une bonne pute et j’ai souvent besoin de me vider les couilles ». Et son numéro de portable qui suivait.

A suivre…

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Dimanche 5 août 7 05 /08 /Août 00:01

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a voulu me punir. Il m’a attaché nu dans des toilettes publiques, où plusieurs mecs ont abusé de moi. Voyant que cela ne suffisait pas à me détourner des hommes, mon père m’a livré à un routier qui m’a emmené dans son camion. Arrivés sur une aire d’autoroute, Georges, le routier, m’a passé une laisse autour du cou et m’a traîné dans les bois.

Georges marchait devant moi, la laisse à la main. Je le suivais, docile, la tête baissée pour voir où je posais les pieds : j’étais nu, je ne voulais pas me blesser sur une pierre ou un bout de bois. Je distinguais des silhouettes dans les bois, des ombres. Soudain, Georges s’est retourné vers moi.

— À genoux, la pute.

J’ai obéi. Georges a attaché ma laisse à la branche d’un arbre puis il s’est éloigné. J’ai attendu plusieurs minutes. Un homme est passé devant moi, une trentaine d’années, de taille moyenne, mince. Il m’a regardé, est parti, puis est revenu. Il a commencé à me tripoter. Georges ne m’avait pas donné d’indication, alors je l’ai laissé faire. Il m’a caressé le cul, puis il a sorti sa bite raide pour que je le suce. J’ai sucé, il ne disait rien, il me laissait faire. Il a fermé les yeux, j’ai pris appui sur ses cuisses pour mieux le pomper. Sa queue était très longue, moins épaisse que celle de Georges mais assez large tout de même. Rapidement, il a commencé à gémir, et soudain j’ai senti son sperme envahir ma bouche. J’ai gardé ce sperme sur ma langue tout en continuant à sucer jusqu’à ce qu’il débande complètement. J’ai avalé, je l’ai sucé encore pour tout nettoyer. Il a remballé sa queue, m’a donné une petite tape sur la tête, m’a souri et s’est barré.

Plus rien pendant quelques minutes encore. Georges est revenu, accompagné de deux types, deux rebeus assez jeunes, peut-être 20 ou 25 ans, en joggings et casquettes. Des racailles, quoi ! Georges me dit :

— T’as eu de la visite ?

— Oui. Un homme.

— Il t’a fait quoi ?

— Je l’ai sucé.

— C’est bien. T’as avalé ?

— Oui.

— Bien. Maintenant tu vas t’occuper de ces deux là.

Georges prend appui contre un arbre, pendant qu’un des deux jeunes mecs s’approche de moi. Je sens que j’ai déjà pris de l’assurance : j’ouvre la bouche, je sors ma langue, j’attends sa bite. Il la sort, elle est encore molle, il la fourre dans ma bouche. Elle est circoncise, ça me fait drôle, je n’en avais jamais vu. Je le suce, rapidement il bande, il est très bien monté. L’autre mec est resté en retrait, il fume une cigarette. Le mec que je suce me parle :

— Caresse-moi les couilles salope ! Vas-y, suce ! Suce ! C’est bien, t’es une bonne pute. Prends-la toute entière. Ouais… Putain de salope…

Ses mots m’excitent. Je me mets à le pomper comme une vraie petite pute soumise, j’ai un peu de mal parfois, il en a vraiment une très grosse. Parfois il me bloque la tête pour maintenir sa queue enfoncée dans ma gorge, mais ça aussi je commence à m’y habituer. Je reste calme, ça me permet de tenir un peu plus longtemps sans respirer. Il me frappe au visage, me tire les cheveux, il s’excite dans ma bouche. Fermement, il me retourne : je me retrouve à quatre pattes, le cul tendu vers lui. Il crache sur ma raie, passe un doigt :

— Tu t’es déjà bien fait niquer, salope !

Je sens alors son gland qui force le passage. Je suis surpris de constater que sa queue a du mal à me pénétrer : Georges m’a pris il y a à peine une demi heure, et sa queue est très large. J’avais imaginé que le suivant pourrait entrer en moi très facilement. Qu’à cela ne tienne, le mec force jusqu’à ce que son gland soit bien entré en moi, puis, progressivement, il me pénètre de toute la longueur de sa queue. Je gémis déjà, un peu de douleur et beaucoup de plaisir ; je regarde le deuxième jeune mec qui termine sa cigarette. J’ai très envie d’avoir sa queue dans ma bouche alors je passe ma langue sur mes lèvres en le regardant dans les yeux. Voyant cela, il vient vers moi, sors sa bite. Il bande déjà, voir son pote me baiser a dû l’exciter ! Sa queue est moins longue et moins large que celle de son pote. Il est circoncis, lui aussi.

Je me retrouve avec une bite dans la bouche et une autre dans le cul. Tous les deux me défoncent sauvagement, celui qui m’encule est très bavard, il m’insulte sans cesse, me frappe violemment les fesses ; l’autre se contente de me tenir la tête pour me forcer à prendre sa queue en fond de gorge, de temps en temps il la sort d’entre mes lèvres pour me gifler avec.

Celui qui m’encule finit par jouir en moi. Il se retire aussitôt et s’adresse à l’autre :

— Tu veux lui niquer le boule ?

— Ouais.

Ils échangent leurs places. Celui qui m’enculait vient me donner sa bite à lécher pendant que le deuxième me défonce d’un coup. Cette fois, aucune douleur. Je sens bien que je ne suis pas complètement ouvert, mais je n’ai pas mal. Je lèche soigneusement la bite du premier, son sperme a très bon goût. Je passe ma langue partout pour ne pas en perdre une goutte. Derrière moi, son pote jouit très rapidement, me remplissant lui aussi le cul. Mais lui ne vient pas se faire nettoyer la bite, il remballe très vite son engin et se casse aussitôt, suivi par l’autre.

Georges s’approche alors de moi :

— Alors petite pute, tu te sens comment ?

— Je me sens bien.

— Ah ouais ? T’as kiffé te faire mettre ?

— Oui. Et sucer aussi.

— T’es vraiment une salope, toi… Et ton père qui veut te faire changer… Je crois qu’il n’y a aucun espoir de ce côté-là ! Allez, viens.

Il reprend ma laisse en main et m’entraîne à sa suite. On se dirige à nouveau vers le parking de l’aire d’autoroute. En chemin, on croise un mec qui pisse contre un arbre. Il est en costume, il doit avoir une cinquantaine d’années, il a des cheveux gris. Il tourne la tête vers nous, il n’a pas l’air surpris et son jet s’arrête. Georges me dit :

— A genoux. La gueule en arrière, bouche ouverte.

J’obéis. Georges s’adresse alors au type :

— Si ça vous tente… Faut pas hésiter.

Le mec hésite quand même ; finalement il vient vers moi, dirige sa queue vers mon visage et se remet à pisser. Il vise bien : j’en prends plein dans ma bouche ouverte. Ça déborde, ça coule sur mon visage, dans mon cou, et sur tout mon corps. On dirait que le jet ne va jamais s’arrêter. Ça finit quand même par s’arrêter. Le type commence à remballer sa bite, mais Georges l’interrompt :

— Vous voulez pas qu’il vous suce ? Ou le baiser ?

— Heu non. Je suis pas attiré par les mecs, désolé.

— C’est pas un mec, c’est juste une pute. Et elle attends que ça.

— Il est trop jeune.

— Il a que 16 ans, mais c’est déjà une belle salope.

— Non, désolé. Mais merci quand même.

— Si vous voulez pas le toucher, vous pouvez juste vous branler et lui gicler dessus.

— Pourquoi pas… Mais il est d’accord ?

— Mais oui, il adore ça je vous dis. Et de toute façon, il est à mes ordres, il fait ce que je lui dis.

Ça semble exciter le gars qui commence à se caresser. Je reste à genoux, la bouche ouverte et la langue tendue. Il se branle devant moi, sa queue est à quelques centimètres de mon visage. Il s’arrête soudain :

— Retourne-toi, que je mate ton cul.

J’obéis. Il ne me touche toujours pas mais se masturbe toujours, à quelques centimètres de mes fesses maintenant. Le rythme de sa respiration s’accélère, et il jouit, déversant tout son sperme sur mon cul. C’est chaud, ça coule le long de ma raie. J’aime. Le type range sa bite, il a l’air honteux. Il doit regretter de s’être laissé tenter par un mec, de mon âge en plus. Georges vient à côté de moi :

— Tu vois, t’es un vrai vide-couilles maintenant. Quand tu croises un mec, ton job c’est de le vider. Tu sers qu’à ça. Je crois que tu changeras pas, ton père va être déçu. Mais tu vas faire le bonheur des hommes !

J’ai souri. Petit à petit, je prenais conscience de ce fait : j’aimais être à la disposition des hommes. Ce soir, j’avais été humilié, pris, baisé et jeté, j’avais eu la bouche et le cul rempli, et personne n’avait même eu l’idée de chercher à me donner du plaisir. Et ça m’avait plu.

Nous sommes retournés au parking. Georges m’a fait prendre une autre douche ; puis dans le camion j’ai dû à nouveau le sucer et avaler son sperme, puis nous avons roulé jusqu’à chez moi. Avant de me laisser, Georges m’a enculé et a jouit dans mon cul. Il m’a rendu mes vêtements et s’est gentiment assuré que j’étais bien rentré dans l’immeuble. Il m’a même fait un sourire.

A suivre...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 4 août 6 04 /08 /Août 00:13

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a voulu me punir. Il m’a abandonné sur une aire d’autoroute, nu, où plusieurs hommes ont abusé de moi. Parmi ces hommes, Georges, un routier. Voyant que ma punition ne me faisait pas changer, mon père m’a livré à Georges qui m’a emmené un soir me faire baiser dans une forêt. J’y prends de plus en plus goût.

Je suis rentré chez moi à minuit passé. Mon père et mon frère étaient devant la télé. Mon frère m’a jeté un vague coup d’œil, mais mon père s’est levé et m’a aussitôt attrapé par le col de ma chemise.

— Alors ?

J’étais tétanisé. Pas par la violence de mon père, je commençais à avoir l’habitude. C’est la présence de mon frère qui me faisait peur. Devais-je tout raconter devant lui ? Mon père l’avait-il mis au courant ? Je décidais de ne pas employer de mot trop explicite.

— Georges m’a emmené avec lui. Il a fait ce que tu voulais. Et moi aussi.

— Ça t’a suffit ? T’es bien dégoûté maintenant ?

C’était incroyable ! Mon père espérait toujours que je deviendrais hétéro ! Je n’en croyais pas mes oreilles. Ça m’a tellement choqué que je me suis énervé, et je me suis mis à crier :

— Arrête avec ça ! Tu peux me torturer, me faire subir tout ce que tu voudras, ça ne changera rien ! Je suis comme ça, et tu n’y peux rien ! Et moi non plus, je n’y peux rien ! Je ne peux pas changer ! Et je ne veux pas changer !

— Je m’en doutais, sale bâtard !

Il m’a giflé. Ça aussi, je m’y habituais. Je n’ai même pas été étonné. Mais j’étais bien sonné ! Il frappait fort. Mon frère s’est levé brusquement, la scène avait dû finir par le choquer. Mais il n’est pas venu vers nous, il n’a pas cherché à me défendre. Il s’est contenté d’aller s’enfermer dans sa chambre. Mon père m’a lâché, je suis tombé par terre. Il m’a regardé, méprisant :

— Puisque tu veux pas changer, je te préviens : tu vas morfler. Je veux pas d’un fils pédé. Alors à partir de maintenant, je ne te considère plus comme mon fils. T’es juste un pédé. Je peux pas te foutre dehors, mais va falloir que tu payes pour ton loyer, pour ta bouffe, pour tes fringues. Pour tout. T’as compris ?

J’ai fait « oui » de la tête. Je n’avais pas compris, en réalité : comment voulait-il que je lui paie un loyer ? Ou même ma nourriture ou mes vêtements ou je ne sais quoi encore ? A 16 ans, on n’a pas de quoi payer tout ça ! Il est retourné s’installer devant la télé. Je suis allé dormir.

Le lendemain, je suis allé au lycée. J’étais distrait toute la journée. Dès que je voyais un homme, un prof, un élève, un surveillant, n’importe qui, je pensais à sa queue. J’avais envie d’aller demander : « Excusez-moi, vous n’auriez pas envie que je vous suce ? Ou que je vous donne mon cul ? ». Evidemment, je ne l’ai pas fait. Je savais que c’était trop risqué.

En sortant du lycée, alors que je rentrais chez moi, j’ai vu la voiture de mon père. Il m’attendait. Je suis monté, sans rien dire. Nous avons roulé en ville quelques minutes, puis nous nous sommes arrêtés devant une petite boutique sombre. La vitrine était noire, il n’y avait qu’une enseigne : « X Shop ». Nous sommes entrés, mon père a serré la main du type qui était à l’accueil.

— Hey salut ! lui a lancé ce type.

— Salut Xavier. Tu vas bien ?

— Ouais, et toi ? C’est lui ton fils ?

— Ouais. Qu’est-ce que t’en penses ?

— Bah tu sais, ici les clients ne sont pas difficiles, ils ont surtout envie de se vider les couilles en sortant du boulot. Mais il est jeune quand même. J’ai pas envie d’avoir des problèmes avec les flics.

— Ce sera pas la première fois que t’es en infraction avec la loi… Et les flics t’ont à la bonne, non ?

— Ils peuvent, avec les entrées gratuites que je leur file… Bon, OK, fais-le entrer. Mais je te fais confiance, hein ! Je veux mes 50% sur tout ce que tu te fais ! Pas d’arnaque !

— T’inquiète pas, tu les auras.

Mon père m’a poussé en avant. Nous avons descendu un petit escalier, qui donnait sur une grande salle sombre. Partout, des portes, des couloirs, et, sur les murs, quelques écrans qui diffusaient des films pornos hétéros. Mon père m’a poussé dans un coin sombre et m’a dit :

— Enlève tes fringues et attends-moi là.

J’ai obéi. Mon père a emporté mes vêtements et a remonté l’escalier. Je suis resté seul quelques minutes. Je ne comprenais pas exactement ce qui m’attendait, mais je sentais bien que j’allais me faire baiser. Et l’atmosphère qui régnait ici m’excitait beaucoup. Je voyais des hommes passer dans la grande salle ; eux ne me voyaient pas, j’étais dans un petit coin un peu caché.

Mon père est revenu. Il m’a fait enfiler une sorte de boxer ouvert sur les fesses (j’ai appris ensuite que c’était un « jock-strap ») et un t-shirt trop court, déchiré au niveau des seins. En passant devant un miroir, j’ai pensé que j’avais vraiment l’air d’une pute. Puis nous sommes allés nous promener dans les couloirs. Beaucoup d’hommes me regardaient, certains me mettaient des mains aux fesses. Je voyais des petites cabines, aux portes parfois fermées, parfois ouvertes, à l’intérieur, il y avait encore des écrans avec des films X, hétéros, et souvent un homme était dedans, en train de se masturber. En regardant mon père, j’ai vu qu’il tenait un billet froissé dans sa main. Un homme s’est adressé à lui :

— Tu le mets à dispo ?

— Ouais.

— Combien ?

— Ça dépend ce que tu veux. C’est 20 ou 50.

— Je veux le baiser.

— Alors c’est 50.

Le type a sorti des billets qu’il a filé à mon père. Celui-ci s’est alors tourné vers moi :

— Tu vas avec le monsieur, et tu lui obéis.

Le « monsieur » m’a fait entrer dans une des cabines. Il devait avoir 40 ou 45 ans, plutôt bel homme, assez grand. Il portait un costume qui lui donnait une allure très élégante. Il a approché son visage du mien, il m’a embrassé. C’était plutôt agréable. Il passait ses mains sur mon corps, pelotait mes fesses, me pinçait les tétons. Il devait se pencher pour m’embrasser, avec mes 1m65, il avait facilement 25 centimètres de plus que moi. Ses caresses se faisaient de plus en plus viriles, il promenait ses grandes mains partout sur mon corps, de mon côté j’ai passé mes bras autour de son cou, on s’embrassait toujours, il m’a soulevé, m’a plaqué contre le mur, j’ai croisé mes jambes autour de sa taille. Il caressait mes cuisses, a glissé un doigt entre mes fesses, a commencé à me doigter. Je gémissais. Je sentais sa queue raide sous son pantalon. Il m’a reposé, a appuyé sur mes épaules, je me suis retrouvé agenouillé, la tête au niveau de son entrejambes. Il a défait son pantalon et a sorti sa bite. Elle allait parfaitement avec son propriétaire : décidément, tout était grand chez lui ! J’ai léché son gland, je me demandais comment je ferais pour tout prendre dans ma petite bouche. Rien que son gland m’écartait les lèvres au maximum !

Il a posé ses mains sur ma tête, m’a guidé, m’a fait lécher ses grosses couilles, puis a fait entrer sa queue dans ma bouche. Il devait forcer pour la faire progresser, mais il y parvenait très bien. Je n’ai pas pu tout avaler, mais j’en avais plus de la moitié en bouche quand j’ai senti son gland dans le fond de ma gorge. Il a avancé un peu pour me plaquer la tête contre la paroi de la cabine, et s’est mis à me baiser la bouche. Je n’avais aucune marge de manœuvre, il faisait tout le travail.

J’aimais son attitude, à la fois autoritaire et tendre. Il ne ménageait pas ma bouche, mais ses mains me caressaient les cheveux, les joues ; il descendait parfois me pincer les tétons, sans pour autant me faire mal. Sa queue allait et venait entre mes lèvres et jusqu’au fond de ma gorge, je sentais ma salive couler sur mon menton. Il râlait doucement, moi je gémissais. Pourquoi je gémissais ? Je ne sais pas. Je ne peux pas dire qu’il me procurait physiquement du plaisir, mais j’étais bien. Je me sentais à ma place. Une queue dans la bouche, au fond d’une cabine sordide en sous-sol, avec un homme qui avait payé pour m’avoir. S’il savait que sans la présence de mon père, il n’aurait même pas eu à payer ! Il lui aurait suffit de m’aborder dans la rue pour que j’accepte de le sucer.

Je l’ai sucé très longtemps, parfois je sentais qu’il était sur le point de jouir mais il se retenait. Ça m’allait bien : j’avais envie que ça dure. J’avais surtout très envie de sa queue dans mon cul ! Ça n’a pas tardé, il m’a fait relever, m’a retourné. Aussitôt, j’ai appuyé mes mains contre la paroi de la cabine, j’ai cambré mon cul, écarté les cuisses. Il a eu l’air d’apprécier mon initiative :

— T’as l’air d’avoir l’habitude… Tu te fais souvent baiser ?

— Non, ça ne fait pas longtemps. Mais j’adore ça.

— T’as envie que je te défonce ?

— Oui, j’ai très envie de sentir votre queue en moi.

— Une vraie petite salope… Le mec qui te vend, c’est qui ? Ton copain ?

— Mon père.

— C’est un vrai pervers, ton père ! J’aimerais bien avoir un fils comme toi…

C’est là que j’ai vu, à sa main gauche, une alliance. Il était donc marié, probablement père de famille. Je sentais sa bite contre mes fesses, bien raide, toute chaude. J’avais hâte qu’il me la mette ! J’ai bougé mon cul pour tenter de la faire entrer, son gland était contre mon trou, mais il était trop gros pour entrer. Il s’est agenouillé derrière moi, j’ai senti sa langue sur mes fesses. Sensation nouvelle : il me léchait le cul. C’était très agréable. Sa langue humidifiait bien mon trou, elle me pénétrait, c’était délicieux, c’était doux. Je gémissais encore et encore. Il s’est relevé, sa queue est à nouveau venue contre mon cul, cette fois son gland est entré un peu, il a poussé pour entrer en moi. C’était difficile, j’étais toujours aussi serré mais sa salive aidait la progression. Il avait la tête penchée sur mon cou. Il me parlait :

— T’es tout serré… C’est chaud, ton cul est trop bon. Tu t’es déjà fait tirer aujourd’hui ?

— Non, pas encore.

— Ton père t’a pas niqué avant de venir ?

— Non, il n’aime pas ça.

— Tu le suces, au moins ?

— Non plus.

— Pourquoi il t’emmène ici alors ? C’est toi qui lui demandes ?

— Non. Il voulait me punir d’aimer les hommes, mais ça n’a pas marché.

— Il a tord… Une bonne salope comme toi, faut pas l’empêcher de suivre sa nature… Faut en profiter, au contraire.

Tout en me parlant, il continuait à faire entrer sa bite entre mes fesses. Quand j’ai senti ses couilles contre moi, j’ai commencé à faire bouger mon cul sur sa queue. Ça lui plaisait, il a alors suivi mon rythme, reculant quand j’avançais, avançant quand je reculais. De cette façon, les mouvements étaient amples, et je sentais sa bite toute entière qui me pénétrait jusqu’au plus profond de mon cul.

Il a très vite accéléré le rythme, s’est mis à me défoncer, en m’insultant et en me donnant de grandes claques sur les fesses. Ses couilles claquaient contre ma peau, ça faisait un bruit sec très excitant. Je gémissais de plus en plus, ça lui donnait encore plus d’énergie ; son souffle sur mon cou se faisait plus rapide ; parfois il me mordait ou tournait mon visage vers lui pour me cracher dessus.

Après une bonne dizaine de minutes de ce traitement, il s’est retiré ; d’une main il m’a fait agenouiller devant lui, j’ai levé la tête vers lui, la bouche ouverte, il tenait sa bite tendue et a éjaculé, déversant son sperme, très abondant, sur mon visage et ma langue. J’ai consciencieusement tout avalé, léchant mes lèvres pour en prendre le plus possible. Il souriait, il a passé son gland sur mon visage pour ramasser du sperme, qu’il me remettait en bouche. Je léchais ce gland baveux, couvert de foutre. Le goût du sperme me plaisait de plus en plus. Il s’est penché vers moi, a déposé un baiser sur mon front.

- J’espère qu’on se recroisera.

Il est sorti. Mon père est aussitôt entré dans la cabine.

- T’en as mis du temps ! J’ai d’autres clients pour toi. Viens.

J’ai suivi mon père. Il m’a fait sucer un vieux, qui devait bien avoir 70 ans. Il bandait mou, il était trop tendre pour m’exciter. Quand il a jouit, il y avait très peu de sperme. Je n’ai eu aucun mal à tout avaler. Juste après, un beur d’une trentaine d’années m’a enculé. Je ne l’ai même pas sucé, et il a jouit très vite en moi. Puis un type très gros s’est occupé de moi, il était vraiment laid, sa bite puait. Je l’ai sucé avec dégoût, j’avais hâte qu’il éjacule ou qu’il m’encule pour ne plus sentir l’odeur de sa queue. Mais ça a duré presque une demi-heure. Je me sentais très sale, mais j’étais toujours excité.

J’ai ensuite dû sucer deux autres hommes, que je n’ai pas bien vus : nous étions dans une petite salle sans lumière, au fond du couloir. J’ai avalé, évidemment. Après ça, mon père m’a fait remonter à l’accueil, je me suis rhabillé devant Xavier, le monsieur qui tenait la caisse, et nous sommes partis. Je sentais le sperme. Nous avons roulé jusqu’à chez nous.

En entrant dans l’immeuble, nous avons croisé des voisins, un père et son fils de 19 ans. Mon père s’est arrêté quelques minutes pour discuter avec eux. Ils me regardaient bizarrement, ils devaient bien sentir une drôle d’odeur sur moi. J’ai enfin pu prendre une douche. Je bandais à mort. Je me suis branlé en repensant aux événements de ces derniers jours. J’ai beaucoup jouit. J’avais déjà hâte de recommencer.

À suivre…

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Samedi 4 août 6 04 /08 /Août 00:00

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a voulu me punir. Il m’a attaché nu dans des toilettes publiques, où plusieurs mecs ont abusé de moi. Voyant que cela ne suffisait pas à me détourner des hommes, mon père m’a livré à un routier qui m’a emmené dans son camion. Arrivés sur une aire d’autoroute, Georges, le routier, m’a passé une laisse autour du cou et m’a traîné dans les bois.

Georges marchait devant moi, la laisse à la main. Je le suivais, docile, la tête baissée pour voir où je posais les pieds : j’étais nu, je ne voulais pas me blesser sur une pierre ou un bout de bois. Je distinguais des silhouettes dans les bois, des ombres. Soudain, Georges s’est retourné vers moi.

— À genoux, la pute.

J’ai obéi. Georges a attaché ma laisse à la branche d’un arbre puis il s’est éloigné. J’ai attendu plusieurs minutes. Un homme est passé devant moi, une trentaine d’années, de taille moyenne, mince. Il m’a regardé, est parti, puis est revenu. Il a commencé à me tripoter. Georges ne m’avait pas donné d’indication, alors je l’ai laissé faire. Il m’a caressé le cul, puis il a sorti sa bite raide pour que je le suce. J’ai sucé, il ne disait rien, il me laissait faire. Il a fermé les yeux, j’ai pris appui sur ses cuisses pour mieux le pomper. Sa queue était très longue, moins épaisse que celle de Georges mais assez large tout de même. Rapidement, il a commencé à gémir, et soudain j’ai senti son sperme envahir ma bouche. J’ai gardé ce sperme sur ma langue tout en continuant à sucer jusqu’à ce qu’il débande complètement. J’ai avalé, je l’ai sucé encore pour tout nettoyer. Il a remballé sa queue, m’a donné une petite tape sur la tête, m’a souri et s’est barré.

Plus rien pendant quelques minutes encore. Georges est revenu, accompagné de deux types, deux rebeus assez jeunes, peut-être 20 ou 25 ans, en joggings et casquettes. Des racailles, quoi ! Georges me dit :

— T’as eu de la visite ?

— Oui. Un homme.

— Il t’a fait quoi ?

— Je l’ai sucé.

— C’est bien. T’as avalé ?

— Oui.

— Bien. Maintenant tu vas t’occuper de ces deux là.

Georges prend appui contre un arbre, pendant qu’un des deux jeunes mecs s’approche de moi. Je sens que j’ai déjà pris de l’assurance : j’ouvre la bouche, je sors ma langue, j’attends sa bite. Il la sort, elle est encore molle, il la fourre dans ma bouche. Elle est circoncise, ça me fait drôle, je n’en avais jamais vu. Je le suce, rapidement il bande, il est très bien monté. L’autre mec est resté en retrait, il fume une cigarette. Le mec que je suce me parle :

— Caresse-moi les couilles salope ! Vas-y, suce ! Suce ! C’est bien, t’es une bonne pute. Prends-la toute entière. Ouais… Putain de salope…

Ses mots m’excitent. Je me mets à le pomper comme une vraie petite pute soumise, j’ai un peu de mal parfois, il en a vraiment une très grosse. Parfois il me bloque la tête pour maintenir sa queue enfoncée dans ma gorge, mais ça aussi je commence à m’y habituer. Je reste calme, ça me permet de tenir un peu plus longtemps sans respirer. Il me frappe au visage, me tire les cheveux, il s’excite dans ma bouche. Fermement, il me retourne : je me retrouve à quatre pattes, le cul tendu vers lui. Il crache sur ma raie, passe un doigt :

— Tu t’es déjà bien fait niquer, salope !

Je sens alors son gland qui force le passage. Je suis surpris de constater que sa queue a du mal à me pénétrer : Georges m’a pris il y a à peine une demi heure, et sa queue est très large. J’avais imaginé que le suivant pourrait entrer en moi très facilement. Qu’à cela ne tienne, le mec force jusqu’à ce que son gland soit bien entré en moi, puis, progressivement, il me pénètre de toute la longueur de sa queue. Je gémis déjà, un peu de douleur et beaucoup de plaisir ; je regarde le deuxième jeune mec qui termine sa cigarette. J’ai très envie d’avoir sa queue dans ma bouche alors je passe ma langue sur mes lèvres en le regardant dans les yeux. Voyant cela, il vient vers moi, sors sa bite. Il bande déjà, voir son pote me baiser a dû l’exciter ! Sa queue est moins longue et moins large que celle de son pote. Il est circoncis, lui aussi.

Je me retrouve avec une bite dans la bouche et une autre dans le cul. Tous les deux me défoncent sauvagement, celui qui m’encule est très bavard, il m’insulte sans cesse, me frappe violemment les fesses ; l’autre se contente de me tenir la tête pour me forcer à prendre sa queue en fond de gorge, de temps en temps il la sort d’entre mes lèvres pour me gifler avec.

Celui qui m’encule finit par jouir en moi. Il se retire aussitôt et s’adresse à l’autre :

— Tu veux lui niquer le boule ?

— Ouais.

Ils échangent leurs places. Celui qui m’enculait vient me donner sa bite à lécher pendant que le deuxième me défonce d’un coup. Cette fois, aucune douleur. Je sens bien que je ne suis pas complètement ouvert, mais je n’ai pas mal. Je lèche soigneusement la bite du premier, son sperme a très bon goût. Je passe ma langue partout pour ne pas en perdre une goutte. Derrière moi, son pote jouit très rapidement, me remplissant lui aussi le cul. Mais lui ne vient pas se faire nettoyer la bite, il remballe très vite son engin et se casse aussitôt, suivi par l’autre.

Georges s’approche alors de moi :

— Alors petite pute, tu te sens comment ?

— Je me sens bien.

— Ah ouais ? T’as kiffé te faire mettre ?

— Oui. Et sucer aussi.

— T’es vraiment une salope, toi… Et ton père qui veut te faire changer… Je crois qu’il n’y a aucun espoir de ce côté-là ! Allez, viens.

Il reprend ma laisse en main et m’entraîne à sa suite. On se dirige à nouveau vers le parking de l’aire d’autoroute. En chemin, on croise un mec qui pisse contre un arbre. Il est en costume, il doit avoir une cinquantaine d’années, il a des cheveux gris. Il tourne la tête vers nous, il n’a pas l’air surpris et son jet s’arrête. Georges me dit :

— A genoux. La gueule en arrière, bouche ouverte.

J’obéis. Georges s’adresse alors au type :

— Si ça vous tente… Faut pas hésiter.

Le mec hésite quand même ; finalement il vient vers moi, dirige sa queue vers mon visage et se remet à pisser. Il vise bien : j’en prends plein dans ma bouche ouverte. Ça déborde, ça coule sur mon visage, dans mon cou, et sur tout mon corps. On dirait que le jet ne va jamais s’arrêter. Ça finit quand même par s’arrêter. Le type commence à remballer sa bite, mais Georges l’interrompt :

— Vous voulez pas qu’il vous suce ? Ou le baiser ?

— Heu non. Je suis pas attiré par les mecs, désolé.

— C’est pas un mec, c’est juste une pute. Et elle attends que ça.

— Il est trop jeune.

— Il a que 16 ans, mais c’est déjà une belle salope.

— Non, désolé. Mais merci quand même.

— Si vous voulez pas le toucher, vous pouvez juste vous branler et lui gicler dessus.

— Pourquoi pas… Mais il est d’accord ?

— Mais oui, il adore ça je vous dis. Et de toute façon, il est à mes ordres, il fait ce que je lui dis.

Ça semble exciter le gars qui commence à se caresser. Je reste à genoux, la bouche ouverte et la langue tendue. Il se branle devant moi, sa queue est à quelques centimètres de mon visage. Il s’arrête soudain :

— Retourne-toi, que je mate ton cul.

J’obéis. Il ne me touche toujours pas mais se masturbe toujours, à quelques centimètres de mes fesses maintenant. Le rythme de sa respiration s’accélère, et il jouit, déversant tout son sperme sur mon cul. C’est chaud, ça coule le long de ma raie. J’aime. Le type range sa bite, il a l’air honteux. Il doit regretter de s’être laissé tenter par un mec, de mon âge en plus. Georges vient à côté de moi :

— Tu vois, t’es un vrai vide-couilles maintenant. Quand tu croises un mec, ton job c’est de le vider. Tu sers qu’à ça. Je crois que tu changeras pas, ton père va être déçu. Mais tu vas faire le bonheur des hommes !

J’ai souri. Petit à petit, je prenais conscience de ce fait : j’aimais être à la disposition des hommes. Ce soir, j’avais été humilié, pris, baisé et jeté, j’avais eu la bouche et le cul rempli, et personne n’avait même eu l’idée de chercher à me donner du plaisir. Et ça m’avait plu.

Nous sommes retournés au parking. Georges m’a fait prendre une autre douche ; puis dans le camion j’ai dû à nouveau le sucer et avaler son sperme, puis nous avons roulé jusqu’à chez moi. Avant de me laisser, Georges m’a enculé et a jouit dans mon cul. Il m’a rendu mes vêtements et s’est gentiment assuré que j’étais bien rentré dans l’immeuble. Il m’a même fait un sourire.

A suivre...

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Vendredi 3 août 5 03 /08 /Août 00:54

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a cherché à m’en détourner en me livrant à des mecs vicieux qui ont abusé de moi, m’ont soumis et humilié. Voyant que j’en redemandais, mon père a décidé de profiter de la situation en me louant à des hommes dans un sex-shop, tenu par Xavier.

Après la soirée au sex-shop, mon père et moi sommes rentrés sans parler. J’étais toujours aussi excité, j’avais envie de queues, mais je ne savais pas comment en trouver tout seul. Pendant presque une semaine, j’ai dû m’en passer. Mon père n’était presque jamais à la maison, son travail lui prenait beaucoup de temps. J’étais en manque. J’ai fini par prendre mon courage à deux mains pour lui demander quand il me ramènerait dans cet endroit. Il a sourit :

— T’as envie d’y retourner ? T’es encore pire que ce que j’imaginais. Mais ça me fait du fric, alors prépare-toi, on y retourne demain soir.

Le lendemain, pendant les cours, je ne pensais qu’à ça. J’étais tellement excité qu’à midi, au lieu d’aller déjeuner à la cantine, je me suis précipité aux toilettes pour me branler. Je suis entré dans une cabine, j’ai baissé mon jean et j’ai commencé à me masturber en me caressant le trou. J’ai entendu du bruit à côté, des gémissements : c’était clair, quelqu’un d’autre se branlait dans la cabine voisine ! Je me suis penché pour regarder sous la cloison : c’était un garçon de mon âge, mais d’une autre classe, qui se masturbait. Il avait une belle queue, qu’il faisait aller et venir dans sa main. Ça m’excitait encore plus ! Soudain, il a baissé les yeux et m’a aperçu. Il s’est arrêté quelques secondes, surpris. Comme je ne bougeais pas, il s’est remis à se branler en me souriant. Très vite, il a jouit. C’était impressionnant ! Son sperme a jailli en grande quantité, s’est écrasé sur la cloison, a coulé par terre. Il s’est essuyé la bite et est sorti. Je suis alors entré dans sa cabine, je me suis agenouillé et j’ai léché son sperme sur le mur et sur le sol. C’était délicieux. Je me suis masturbé en avalant ce foutre. Quand je suis enfin rentré chez moi, mon père n’était pas là. J’étais déçu, j’avais tellement hâte qu’il m’emmène au sex-shop ! J’ai trouvé un mot dans la cuisine : « Luc. Va sans moi au sex-shop. Xavier s’occupera de toi. ». Mon frère était dans le salon. Est-ce qu’il avait lu le mot ? Depuis le début, il avait l’air de savoir ce qui se passait. Je ne lui avais parlé de rien, et je voyais mal mon père lui expliquer la situation. Malgré tout, il avait forcément compris qu’il se passait quelque chose. Et là, ce mot, qu’il avait dû lire (il était posé en évidence sur la table), était assez explicite. J’ai pris le bus pour aller au sex-shop. En arrivant, Xavier m’a reconnu. Il m’a accueilli avec un grand sourire, et m’a fait la bise.

— Salut toi ! Tu vas bien ?

— Oui, merci.

— Je t’ai préparé les mêmes vêtements que la dernière fois. Va te préparer.

Je me suis changé dans une petite pièce attenante. J’ai enfilé le jock-strap et le t-shirt déchiré aux seins. Quand j’ai retrouvé Xavier, il avait l’air ravi :

— T’es superbe ! T’as eu un succès fou la dernière fois. Je me suis fait pas mal de fric grâce à ton père, tu sais ! Et lui aussi, d’ailleurs. Ça te va, tout ça, au moins ? T’as déjà pas l’âge légal pour entrer ici, en plus j’ai pas le droit de cautionner la prostitution… Alors faudrait pas qu’avec tout ça tu sois pas consentant !

— Non, non, ne vous inquiétez pas. Je suis d’accord.

— Cool ! Bon, écoute j’ai pas vraiment le temps de descendre avec toi, alors tu fais comme la semaine dernière, sauf que c’est à toi d’annoncer les tarifs. Tu prends l’argent avant de baiser, et si un mec profite de toi sans payer, tu viens me voir aussitôt, je m’occuperai de son cas. Ok ?

— Ok.

Je suis descendu. Il n’y avait pas beaucoup de monde, alors je me suis promené dans les couloirs. Dans les cabines, j’ai bien croisé quelques mecs qui se masturbaient, mais aucun n’a fait attention à moi. Je ne savais pas comment les aborder. Pourquoi, quand mon père était là, les mecs sentaient-ils de façon si évidente qu’il y avait du cul dans l’air ? J’étais habillé comme une pute, et depuis 10 minutes que je marchais dans ces couloirs, personne n’était venu m’accoster. Je suis passé devant un miroir, et j’ai compris. Malgré mon t-shirt trop court et mon cul à l’air, j’avais l’air terriblement sage. Avec ma petite mèche sur le front, mes grands yeux innocents, ma petite taille et mon corps menu, j’avais plus l’air d’un petit garçon perdu que d’une pute à prendre. Je repensais à mon père, à sa gueule de voyou, à ses bras tatoués… Lui, dans cet endroit, il se fondait dans le décor. Moi, j’avais l’air d’attendre mes parents pour rentrer !

J’ai décidé de faire comprendre aux hommes pourquoi j’étais là. Je suis entré dans une cabine, je me suis mis à 4 pattes, j’ai cambré mon cul en écartant les cuisses, j’ai posé ma joue par terre, entre mes mains. Par la porte ouverte, les mecs qui passeraient pourraient voir mon jock-strap, mon cul tendu, et comprendre aussitôt qu’il n’y avait plus qu’à venir s’y vider.

Ça a très bien marché ! J’étais là depuis à peine 30 secondes quand des mains m’ont caressé les fesses. J’ai bougé mon cul, un doigt s’est enfoncé en moi, je gémissais déjà. Le type est venu face à moi, sa queue était sortie, je l’ai prise en bouche. Que c’était bon ! Je n’y avais pas eu droit depuis une semaine. Il n’était pas très bien monté, seul son gland était assez gros. Je l’ai sucé avidement, il prenait ma tête dans ses mains pour m’imposer un rythme soutenu, je sentais sa bite qui allait de venait dans le fond de ma gorge, ses couilles poilues contre mon menton, son odeur de mâle… J’étais terriblement excité. Autoritaire, l’homme m’a retourné brutalement et a promené sa queue sur ma raie avant de positionner son gland contre mon trou. Il a essayé de me pénétrer, mais ça ne passait pas. Il m’a frappé les fesses, a craché sur ma raie, a étalé sa salive avec son gland, puis a recommencé. Ça rentrait mieux cette fois, mais j’étais toujours serré. Je l’ai senti passer ! Je serrais les dents, j’avais mal mais j’en avais tellement envie ! Il m’a limé avec rage, ça n’a pas duré longtemps : j’ai senti ses mouvements s’accélérer jusqu’à ce qu’il me remplisse en râlant. Il s’est retiré, j’ai voulu lui lécher la bite mais il l’avait déjà rentrée dans son pantalon. Je l’ai enfin vu : un homme d’une petite trentaine d’années, petit, trapu. Pas vraiment beau, mais pas repoussant non plus. Je m’en foutais : je m’étais fait baiser, c’est tout ce que je voulais. Il est parti.

Je me suis alors rendu compte que je ne lui avais pas demandé de payer. Tant pis. Après tout, moi, je ne voulais pas d’argent. J’ai repris ma pose.

Quelques minutes plus tard, une nouvelle queue s’est enfoncée en moi. Je n’ai même pas eu à sucer, le mec m’a pris direct, sans rien dire. Il m’a limé de longues minutes avant de se retirer pour jouir sur mon cul. Je sentais son sperme chaud couler sur mes fesses, sur mes cuisses. J’ai passé ma main pour en récolter une partie et me lécher les doigts. J’ai ensuite sucé un jeune type, il devait avoir à peine plus de 20 ans. Sa tête me disait vaguement quelque chose. Il a jouit dans ma bouche. Puis deux autres hommes m’ont pris, en même temps : j’en suçais un pendant que l’autre m’enculait, puis inversement. C’était trop bon ! Je me déchainais sur leurs queues, qui étaient très larges et assez longues. Ils ont jouit ensemble dans ma bouche, alors que j’étais allongé sur le dos.

Enfin, un type m’a payé. Il n’a même pas demandé les tarifs, il m’a baisé et a éjaculé au fond de mon cul avant de partir en me jetant trois billets de 20 euros. Je suis aussitôt remonté les donner à Xavier. Il a eu l’air surpris :

— C’est tout ? Ça fait plus de deux heures que t’es en bas, et tu me rapportes 60 euros seulement ?

— Ils n’ont pas tous payé.

— Je t’avais dit de monter me voir quand un mec refusait de payer !

— C’est ma faute. J’ai oublié de leur dire qu’il fallait payer.

Il en est resté interdit. Il me regardait avec de grands yeux, stupéfait.

— Tu as oublié ? Mais… Ils t’ont baisé, ou pas ?

— Oui.

— Mais je… Pourquoi tu les as laissés faire ?

— Ben… Parce que j’en avais envie.

— T’en avais envie ? Vraiment ?

— Oui.

— T’as 16 ans, t’es mignon comme tout, et t’as ENVIE de te faire baiser par des mecs qui ont deux ou trois fois ton âge dans une cabine de sex-shop ?

— Oui.

— Je pensais pas que t’étais aussi salope ! Je croyais que tu faisais ça parce que vous aviez besoin de fric.

— Non. Je ne sais pas si mon père a besoin d’argent, mais moi je le fais parce que j’aime ça.

— C’est encore mieux alors ! Je culpabilisais un peu, pour être honnête. C’est pas la première fois qu’il y a de la prostitution ici, mais j’avais jamais vu un mec aussi jeune le faire. J’étais persuadé que ton père t’obligeait.

— Il m’oblige, mais je suis content qu’il le fasse. Mais je ne dois pas trop lui dire, ça le met en rage que je sois gay.

— T’es plus que gay là… Tu sais que ça commence à me faire bander ? Je suis pas pédé pourtant !

— Vous voulez que je vous suce ?

— Non, ça va. Je baise pas avec des mecs. Même si t’es très mignon. Bon, je dirai pas à ton père que t’as oublié de te faire payer. Je lui dirai qu’il n’y avait presque personne ce soir, mais que t’as réussi quand même à sucer 3 mecs. Ça fait 60 euros. J’en garde la moitié, tu peux rapporter le reste chez toi.

— Je peux rester un peu ?

— Ouais, bien sûr ! Eclate-toi. Mais si t’arrives à faire payer les gars, c’est mieux, hein !

— Je vais essayer. A tout à l’heure !

Je suis redescendu. J’ai encore passé une bonne heure à sucer et à me faire prendre par n’importe qui. Je m’amusais beaucoup, je me sentais bien. J’avais envie de passer ma vie ici. Quand j’ai retrouvé Xavier, il était minuit passé.

— Ça va ? Pas trop fatigué ?

— Si ! Mais c’était trop bien !

— J’ai un très bon pote à qui tu plairais beaucoup, tu sais. Tu veux le rencontrer ?

— Bien sûr ! Maintenant ?

Il a éclaté de rire.

— Maintenant ? Même fatigué, t’as encore envie de te faire mettre ? T’es vraiment une salope !

— Je suis un peu fatigué, mais j’ai toujours envie.

— Il ne vit pas ici. Je lui parlerai de toi, ça lui donnera envie de venir.

— Quand vous voulez !

— Tu sais, on pourrait faire quelque chose pour lui donner envie de venir vite… Tu t’es déjà fait filmer ?

— Oui, pour des films de vacances.

— Non, je veux dire… T’as déjà été filmé pendant que tu baisais ?

— Non, jamais.

— On va essayer alors. Ça te tente ?

— Bien sûr !

— Redescends, alors. Mets-toi dans la cabine 5, et attends qu’un mec vienne.

— Il me filmera ?

— Non. J’ai installé des caméras de sécurité dans le sous-sol, l’une d’elles donne directement sur cette cabine. Tout sera enregistré, et d’ici je pourrai faire des gros plans sur toi.

— J’y vais !

Je me suis installé dans la cabine. Un mec n’a pas tardé à passer et repasser devant la porte ouverte ; voyant que j’étais tout disposé à l’accueillir il a finit par me rejoindre. Il était très mignon, viril, large d’épaules. Je lui donnais 28 ou 29 ans.

— Salut… Ça te dit de me pomper ?

Pour toute réponse, j’ai défait sa braguette. Agenouillé devant lui, j’ai pris sa grosse queue dans ma bouche et l’ai rapidement fait durcir. Il semblait apprécier, il dirigeait le rythme et me donnait des baffes à répétitions. Il s’est mis à me gifler avec sa queue, puis a descendu une main jusqu’à mon cul pour me doigter. En pensant au film, j’étais très excité. J’ai levé les yeux vers la caméra que j’ai vue au dessus de ma tête. Je me suis cambré pour lui faire comprendre que mes fesses étaient à sa disposition, mais il avait envie de profiter de ma bouche. Tout en me doigtant férocement, penché par-dessus moi, il s’excitait dans ma gorge. Il m’a finalement bloqué la tête contre ses couilles, sa queue bien enfoncée dans ma bouche, et a joui. Je n’ai même pas senti le goût de son sperme qui est tombé directement dans mon estomac. Il m’a tapoté la tête, comme à un gentil chien, a remballé sa bite et est parti.

Je suis remonté voir Xavier, qui avait l’air ravi :

— C’était parfait ! T’as assuré.

— Mais il ne m’a pas baisé.

— C’est pas grave, rien qu’avec ça on voit que t’es une bonne pute.

— Vous croyez que ça plaira à votre ami ?

— J’en suis certain. Même à moi, ça m’a plu, c’est pour te dire !

J’ai jeté un coup d’œil vers son entrejambe. On devinait la forme de sa queue en érection à travers son pantalon. J’ai souri :

— Ça vous a excité ? J’aimerais bien la voir.

— Petite salope… Ok, je te la montre, mais c’est tout ! Je suis hétéro, oublie pas !

Il a défait sa ceinture et sa braguette. Sa queue a surgit. Elle était magnifique ! Une bonne vingtaine de centimètres, très large, bien droite. Deux lourdes couilles, un gland énorme… J’en avais très envie ! J’ai avancé une main pour la caresser, mais Xavier ne m’a pas laissé faire :

— Pas touche ! Ton petit film m’a excité, parce que t’as bien fait ta pute, mais je veux pas aller plus loin. Au fait, je te donnerai une copie, si tu veux.

— Oui, je veux bien !

— Rentre chez toi maintenant. Il est tard. J’appellerai ton père pour lui expliquer pourquoi t’as pas plus de fric.

Je suis rentré me coucher. J’avais hâte de goûter à de nouvelles bites. Celle de Xavier a hanté mes rêves toute la nuit.

A suivre…

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Jeudi 2 août 4 02 /08 /Août 00:23

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père, homophobe, a cherché à m’en détourner. Il m’a ainsi livré à des pervers qui ont abusé de moi. Voyant que ça ne me dégoûtait pas, il m’a prostitué dans un sex-shop tenu par un de ses amis, Xavier. Celui-ci m’a filmé en train de sucer un homme.

Au lycée, je continuais à fantasmer sur tous les garçons que je croisais. Il m’arrivait de rencontrer celui dont j’avais léché le sperme dans les toilettes, mais nous ne nous parlions jamais. J’allais très souvent me masturber, en imaginant que je suçais un prof, que je branlais le concierge, ou qu’un mec de ma classe me baisait… Je ne pensais plus qu’à ça. Heureusement que j’avais eu de très bonnes notes toute l’année, parce qu’arrivé en juin, je ne travaillais plus beaucoup.

Un vendredi après-midi, mon père est venu me chercher. J’étais en cours d’histoire, quand un des pions est entré dans la classe pour me dire de prendre mes affaires et de le suivre. Arrivé à l’accueil, j’ai vu mon père, en train de discuter avec le concierge. Celui-ci m’a regardé bizarrement, avec un sourire étrange. Mon père m’a dit :

- Tu ne vas pas en cours cet après-midi. J’ai parlé avec ton professeur principal, c’est arrangé.

- Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?

- Je t’emmène à l’hôpital.

J’ai paniqué. Est-ce que quelqu’un de ma famille était malade ? Est-ce que je devais subir des examens ? Est-ce que quelqu’un allait mourir ? J’ai suivi mon père. Dans la voiture, je l’ai assailli de questions :

- Qu’est-ce qui se passe ? Quelqu’un est mort ?

- Mais non.

- Pourquoi on va à l’hôpital ?

- On ne va pas à l’hôpital !

- Ah bon ? Mais… Tu as dit que… Mais, on va où, alors ?

- Chez un client. Je pouvais pas dire à tes profs que tu fais la pute, ils auraient appelé les services sociaux. J’ai quand même fait comprendre au concierge que t’aimais la queue, il a l’air vicieux alors y a pas de risque qu’il me pose de problème.

- …

- Au fait, Xavier m’a montré ta vidéo. Ça m’a donné des idées. Comme t’as ramassé que 60 euros au sex-shop la dernière fois, je vais faire un site internet pour te trouver des clients.

L’idée m’a tout de suite plu. Un site consacré à moi ! Un site sur lequel des hommes vicieux pourraient s’exciter grâce à moi ! C’était génial ! Mon père a continué :

- J’ai demandé à ton frère de s’en occuper, il se débrouille bien avec les ordinateurs.

- Christophe ? Il est au courant ?

- Au courant de quoi ?

- Ben… que…

- Que quoi ? Dis-le !

- Que je… que je suis gay.

- Que t’es une pute, tu veux dire, oui ! Bien sûr qu’il est au courant, tu crois que ça se voit pas quand tu reviens couvert de sperme ?

Je n’ai pas osé répondre. Après avoir roulé quelques minutes, nous sommes sortis de la ville. Nous avons traversé la banlieue, puis la campagne. Ça n’en finissait pas. J’ai fini par m’endormir.

Quand je me suis réveillé, nous étions garés devant une jolie maison assez isolée. Il était 18 heures. Autour de moi, il y avait des champs, un petit bois tout proche, une ou deux maisons à quelques centaines de mètres. J’étais seul. Mon père est alors sorti de la maison, accompagné d’un homme d’une cinquantaine d’années, très grand. Je l’ai détaillé quand ils se sont approchés : des cheveux poivre et sel, un peu de ventre mais une certaine prestance, un visage carré, buriné, mais souriant. Mon père m’a ouvert la portière :

- Je reviendrai te chercher dimanche soir. T’as intérêt à bien obéir à ce monsieur.

Il a pris le volant et est parti. Le « monsieur » m’a invité à le suivre. La maison était bien décorée, elle avait l’air assez grande.

- Tu t’appelles Luc, c’est ça ?

- Oui, monsieur.

- Tu peux m’appeler Gérald. Installe-toi. Tu veux boire quelque chose ?

- Non, merci.

Je me suis assis sur un canapé. Gérald s’est assis à côté de moi.

- Tu n’as pas froid ?

- Non.

- Alors déshabille-toi. Je veux que tu restes nu tout le week-end.

Pendant que je me déshabillais devant lui, Gérald me parlait toujours :

- Ne t’inquiète pas. Je ne suis pas méchant. Je ne te ferai pas de mal. Mais il faudra être gentil avec moi. J’ai donné beaucoup d’argent à ton père pour t’avoir pendant deux jours. Tu devras faire ce que je veux, dès que je le demande. Tu auras à manger, je te prêterai une chambre, où tu auras le droit de te reposer. Tu as un très joli corps. Tout mince. Et sans poil. Tu te rases ?

- Non.

- Tu as quelques poils au dessus du sexe, tout de même. Et entre les fesses ? Montre-moi.

Je me suis penché en avant. Il a écarté mes fesses, les a caressées.

- Même là, tu es imberbe… C’est très agréable. Très beau.

Il s’est levé, a appuyé sur mes épaules. Il a sorti sa bite de son pantalon. Machinalement, j’ai ouvert la bouche. Sa queue était de taille moyenne, assez épaisse quand même. Je l’ai sucé. Elle sentait un peu la pisse. Il me donnait des petites tapes sur la tête. Sa queue entrait toute entière dans ma bouche sans problème. Je l’ai sucé tranquillement, il n’avait pas l’air pressé, ses gestes étaient plutôt doux. Il se penchait pour caresser mon corps, pour me mettre un doigt, parfois il essayait de me branlait mais je n’aimais pas trop ça, il me faisait un peu mal. Ça a duré une dizaine de minutes, puis il a pris mes cheveux, m’a tiré la tête en arrière en se branlant de sa main droite. Il a éjaculé sur mon visage, une partie de son sperme est allée entre mes lèvres ouvertes.

Il me regardait, souriant. Il a étalé son sperme sur ma figure puis m’a fait lécher ses doigts.

- Tu suces très bien. Suis-moi, je vais te montrer ta chambre.

Je me suis installé dans une chambre à côté du salon. Mon père m’avait préparé un petit sac avec quelques affaires de rechange, une brosse à dent, des serviettes. Gérald m’a dit de prendre mon temps, qu’il m’appellerait quand le dîner serait prêt. J’en ai profité pour prendre un bain dans la petite salle de bain attenante à ma chambre.

Vers 20h30, Gérald est venu me chercher. Il avait préparé des pâtes. J’avais faim ! J’allais attaquer mon plat quand il m’a interrompu :

- Attends. Je n’ai pas mis la sauce. Mets-toi à genoux par terre.

J’ai obéit. Il a mis mon assiette devant moi, a sorti sa bite et a commencé à se branler. J’allais la sucer quand il m’a arrêté.

- Non. Tu ne touches pas. Laisse-moi faire, réponds juste à mes questions. Tu aimes la bite ?

- Oui.

- Mieux que ça. Réponds clairement. Tu aimes la bite ?

- Oui, j’aime la bite.

- Tu aimes sucer les hommes ?

- Oui, j’aime sucer les hommes.

- Mieux que ça ! Quels hommes ?

- Tous. Tous les hommes qui veulent. Je suce n’importe qui.

- T’es une pute ? Un vide-couilles ?

- Oui, je suis une pute et un vide-couilles, il suffit de me demander pour que je donne ma bouche ou mon cul.

- C’est mieux, continue. Tu avales le sperme ?

- Oui, j’aime le goût du sperme, j’ai envie d’avoir le ventre plein de sperme tous les soirs.

- Tu te fais remplir la chatte ?

- Oui, les hommes peuvent me prendre et se vider dans mon cul, j’aime me faire remplir.

Gérald était de plus en plus excité. Il se branlait très vite en m’écoutant. Cette « conversation » a duré encore une minute, puis il a jouit sur mes pâtes.

- Tu peux manger maintenant. Reste là. Mange comme une chienne.

Je me suis penché en avant pour manger mes pâtes au sperme. Ce n’était pas très bon, le sperme était déjà froid et les pâtes aussi. Mais j’ai tout mangé. La situation m’excitait.

Après le dîner, nous nous sommes installés sur le canapé pour regarder la télé. J’étais toujours nu, Gérald me caressait. Je sentais sa queue qui gonflait sous son pantalon. Il l’a sortie, m’a dit de m’asseoir dessus. J’ai essayé, mais ça ne rentrait pas, j’étais trop serré, ça me brûlait. Gérald a eu l’air étonné :

- Ton père m’a dit que tu te faisais beaucoup niquer.

- C’est vrai.

- Je pensais que tu serais plus ouvert. Je vais mettre du gel.

Il m’a enduit le trou d’un gel froid. Quand j’ai à nouveau tenté de m’asseoir sur sa queue, c’était beaucoup plus facile. Il fallait toujours forcer un peu, mais je n’avais plus du tout mal, et j’ai très vite pris toute sa bite en moi. Il me tenait par les hanches, me faisait aller et venir sur son sexe, je gémissais. C’était bon. Il caressait mon corps, attrapait dans ses mains mes petits seins, qui n’étaient bien sûr pas développés comme ceux d’une fille mais qu’il arrivait tout de même à prendre. Il donnait lui-même des coups de hanches pour s’enfoncer en moi. Il y avait un peu de brutalité dans ses gestes, mais cette fois il ne parlait pas. Après quelques minutes, il a jouit au fond de moi en râlant, c’était très viril. Il m’a attiré à lui pour me câliner. C’était bizarre, je n’avais pas l’habitude de ça, mais je l’ai laissé faire. Sa queue était toujours en moi.

Peu après, nous sommes allés nous coucher, chacun de notre côté. Je n’avais pas sommeil, j’étais excité. Je me demandais ce qui allait se passer durant ces deux jours. J’espérais que nous ne resterions pas seuls, Gérald était gentil mais je risquais de m’ennuyer avec lui.

Quand je me suis réveillé, il était déjà midi. Gérald était dans ma chambre, un plateau entre les mains avec mon petit déjeuner dessus.

- Bonjour ! J’espère que tu as bien dormi. La journée sera chargée ! Prends ton temps pour déjeuner, mange bien parce qu’il va te falloir des forces ! Je t’attends au salon.

J’ai tout mangé, puis je me suis lavé. Je ne me suis pas habillé, puisqu’il m’avait dit que je resterais nu tout le week-end. J’ai retrouvé Gérald dans le salon. Il tenait un appareil photo à la main.

- J’ai passé un petit deal avec ton père. Il a baissé le prix fixé au départ à condition que je fasse des photos de toi pendant ce week-end. Viens avec moi.

Nous sommes sortis. Dans le jardin, il m’a fait prendre des poses cochonnes. Je devais être à 4 pattes, tirer la langue, écarter mes fesses, m’allonger sur le ventre en écartant les cuisses, me doigter…. Et Gérald photographiait tout ça. C’était très excitant ! Et, visiblement, ça excitait aussi beaucoup Gérald, qui n’a pas tardé à me donner sa queue à sucer. J’étais nu, à genoux dans l’herbe, en train de pomper la queue d’un mec de 35 ans plus âgé que moi, et il me prenait encore en photo. La bite entre les lèvres, je levais les yeux vers lui avec un regard que j’espérais être un regard de salope. Il a jouit dans ma bouche et m’interdisant d’avaler, puis m’a fait tirer la langue. Elle était couverte de sperme : il en a encore pris des photos.

Nous sommes ensuite allés nous promener dans les champs. J’étais toujours nu, j’avais juste passé des petites sandales. La sensation était terrible. J’avais très envie de croiser des hommes. Nous n’avons vu qu’un vieux paysan qui conduisait son tracteur. Il avait au moins 75 ans, une grosse moustache, un béret. Il n’était pas sexy du tout ! Il nous regardait, étonné. Gérald m’a tripoté devant lui, il me mettait des doigts, il me faisait agenouiller devant sa bite. Le vieux a finit par venir vers nous. Sans rien dire, il se caressait l’entrejambe. Gérald m’a poussé vers lui. Le vieux avait l’air hésitant mais curieux. Très excité, j’ai caressé sa bite au travers de son pantalon. Elle n’avait pas l’air bien dur. J’ai défait sa braguette, sorti sa queue molle. Je l’ai prise en bouche. Elle puait. Je l’ai sucé quand même. Il ne bandait pratiquement pas mais apparemment il prenait quand même du plaisir.

Derrière moi, Gérald me léchait le trou. Ça me faisait gémir. Gérald m’a retourné pour tendre mon cul vers le paysan. Il a essayé de me prendre, mais avec sa queue molle et mon trou serré, ça ne rentrait pas. Gérald a pris la bite du vieux dans sa main pour la guider. Le gland est rentré, le vieux a donné quelques coups de reins, je sentais bien qu’il était en moi mais il ne bandait décidément pas. Je bougeais mon cul pour m’empaler un peu plus dessus. Le vieux a finit par abandonner l’idée et est revenu vers ma bouche. Je l’ai encore sucé au moins 10 minutes avant qu’il ne gicle dans ma bouche, sans avoir jamais vraiment bandé. J’ai tout avalé. Le vieux est parti. Gérald, surexcité, a aussitôt investi mon cul. Sa queue était bien raide, elle ! Il m’a défoncé quelques minutes et a rapidement jouit en moi.

Finalement, ce week-end allait peut-être s’avérer sympa…

A suivre...

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Mardi 31 juillet 2 31 /07 /Juil 21:01

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a cherché à m’en détourner en me livrant à des hommes vicieux. Voyant que ça n’avait pas l’effet voulu, il m’a prostitué dans un sex-shop, puis m’a loué à un quinquagénaire, Gérald, pour tout un week-end.

Jusqu’en milieu d’après-midi, Gérald m’a laissé tranquille. Il est parti quelques heures, j’en ai profité pour déjeuner normalement (sans supplément sperme dans mon plat cette fois, ce qui n’était pas plus mal). Je me suis promené dans le jardin, toujours nu évidemment : j’avais bien retenu les instructions de Gérald, et rester à poil m’excitait beaucoup. Je me suis allongé dans un hamac, et j’ai rêvassé quelques instants. Soudain, une voix m’a fait sursauter :

— Qu’est-ce que tu fous là ?

Je me suis redressé. Un jeune homme (il devait avoir 16 ans, lui aussi, peut-être 17) se tenait face à moi. Il était plutôt mignon, assez grand, mince. Très brun, avec des sourcils impressionnants et déjà un petit début de barbe mais un visage encore adolescent.

Je ne savais pas quoi répondre. Il a repris :

— T’es qui ?

— Je… C’est Gérald qui m’a laissé là…

— Il est où ?

— Je ne sais pas… Il doit revenir bientôt, je crois.

— Et toi, tu m’as pas dit, t’es qui ?

— Je suis… Un ami.

— Un ami ? T’as quel âge ? Pourquoi t’es à poil ?

J’avais presque oublié ça. J’ai ramené mes mains devant ma bite.

— J’avais chaud. Et heu… J’ai 16 ans.

— Ok…

Il n’avait pas l’air convaincu par mon explication. Mais il a finit par me tendre la main :

— Moi c’est David.

— Moi Luc. Et heu… toi, tu es qui ?

— Ben, le fils de Gérald.

J’étais interloqué. J’aurais dû m’en douter, évidemment, mais je me sentais soudain encore plus mal. David s’est éloigné en marmonnant :

— Je vais poser mes affaires. T’as qu’à te rhabiller pendant ce temps.

J’ai enfilé un boxer, un t-shirt et un jean, et j’ai retrouvé David sur la terrasse. Il m’a offert un Coca, s’en est servi un, m’a proposé une cigarette.

— Non, merci.

— Tu fumes pas ? C’est vrai que t’es jeune.

— T’as quel âge, toi ?

— 17 ans. Faut pas dire à mon père que j’ai des clopes, il me tuerait. T’en veux pas une pour essayer ?

J’ai accepté une cigarette. Ça m’a fait beaucoup toussé, je n’aimais pas trop le goût. Mais j’ai continué à la fumer, juste pour ne pas perdre contenance face à lui. On a un peu discuté, de nos lycées, de son père… Il m’a expliqué qu’il vivait chez sa mère, mais venait de temps en temps chez son père pour le week-end. Il finit par me poser la question fatidique :

— Mais toi alors, tu connais mon père comment ? T’es un de ses élèves ?

Ouf, sauvé ! David venait de me donner une porte de secours. J’ai sauté sur la perche :

— Presque ! Il me donne des cours de soutien.

— Ah, ok. Je savais pas qu’il faisait ça. Enfin c’est quand même bizarre que tu te balades à poil…

— Je savais pas que quelqu’un me verrait.

Gérald est arrivé à ce moment-là. Il a fait une de ces têtes en voyant son fils !

— David ? Mais qu’est-ce que tu fais là ?

— Maman a dû aller travailler, c’était pas prévu, alors elle a été obligée de me déposer en catastrophe.

— Ah, ok, super… Tu… Tu as fait connaissance avec Luc, apparemment ?

— Ouais. Bon, je vais aux toilettes.

Dès que David a été parti, Gérald m’a chuchoté :

— Qu’est-ce que tu lui as dit ?

— Que vous me donniez des cours de soutien. Il pensait que j’étais un de vos élèves.

— Nickel. Je suis désolé, je ne pensais pas qu’il viendrait. Ecoute, il sait que je suis bisexuel, ça ne lui pose pas de problème, mais je ne peux pas lui expliquer que je couche avec toi, et encore moins que j’ai payé pour ça !

— Je ne lui ai rien dit.

— C’est bien. Bon, on n’a plus qu’à être discrets.

J’ai passé le reste de l’après-midi avec David. On s’est très bien entendu, malgré nos deux ans d’écart. Une première fois, David est allé passer un coup de fil. Gérald en a profité pour me mettre sa queue en bouche. Il a jouit très vite, j’ai avalé. Plus tard, David est allé se doucher, et Gérald m’a enculé devant la porte de la salle de bain, me mettant la main sur les lèvres pour m’empêcher de gémir. Cette fois, il m’a remplit le cul de son sperme.

Vers 19 heures, Gérald a suggéré à son fils d’aller au cinéma. David m’a proposé de venir avec lui, mais Gérald a prétexté des leçons à réviser pour que je reste.

Dès que nous avons été seuls, Gérald m’a entièrement déshabillé. Il a installé une caméra sur un trépied, et a commencé à me tripoter. Quelqu’un a sonné à la porte. Gérald a fait entrer un homme de son âge, un très bel homme. Celui-ci a aussitôt sorti sa queue, très petite, que j’ai sucée. Pendant une heure, ils m’ont baisé. Gérald et son ami me faisaient souvent faire face à la caméra, je devais dire « J’aime la bite », ou montrer ma bouche pleine de sperme. C’était très excitant !

Après avoir jouit deux fois (dans mon cul puis dans ma bouche), l’homme est parti. Gérald m’a dit de m’installer sur le canapé, face à la caméra, les jambes écartées. Il m’a demandé de me doigter, puis a sorti une grosse bite en plastique noir qu’il m’a enfoncée dans le cul. Il m’a dit que c’était un gode. C’était agréable, mais pas aussi bon qu’une vraie bite. Je me suis branlé le cul avec le gode pendant que Gérald, derrière la caméra, jouait au réalisateur, alternant gros plans et plans plus larges.

Vers 22 heures, Gérald m’a dit que je pouvais me reposer, son fils n’allait pas tarder à rentrer. J’étais épuisé ! J’ai pris une longue douche, puis je suis allé dans mon lit.

La porte de ma chambre s’est ouverte : c’était David. Il est venu s’assoir sur le bord de mon lit.

— Ça va ?

— Oui. C’était bien le ciné ?

— J’y suis pas allé.

— Ah bon ? T’as fait quoi ?

— Je suis resté là. J’étais dans le jardin. J’étais caché, mais je vous ai regardés par la fenêtre.

Bizarrement, ça ne m’a pas mis mal à l’aise. J’étais plutôt content qu’il nous ait vus. Il n’avait pas l’air de m’en vouloir, et ça me plaisait qu’il sache que j’étais un vide-couilles docile. Il m’a demandé :

— Il te plait, mon père ?

— Oui. Enfin je ne sais pas.

— Pourquoi tu baises avec lui alors ?

— Parce que j’aime ça.

— Et avec moi, t’aimerais ?

— Oui, si tu veux.

— Je sais pas si je veux. J’ai jamais fait ça. Ni avec une fille. Mais j’ai envie d’essayer. Tu me suces ?

— Ok.

Il s’est levé, a défait sa braguette. Sous son caleçon, je voyais la forme d’une bite plus grosse que celle de son père, pas encore bandée. Je l’ai caressée, il l’a sortie. De sa main droite, il a amené ma tête vers son gland. Je l’ai pris en bouche, j’ai commencé à le sucer. Il avait l’air aimer, il penchait la tête en arrière en gémissant doucement. Je prenais sa queue au plus profond de ma gorge, je caressais ses couilles, je léchais son gland… Après une ou deux minutes, il m’a arrêté :

— Je vais jouir si tu continues. Tu veux que je te suce aussi ?

— Je sais pas. On m’a jamais sucé.

— Je vais essayer, mais je sais pas si je saurai faire.

Je me suis assis sur le bord de mon lit, jambes écartées. Je bandais bien, avoir une queue dans la bouche m’excite systématiquement. Il s’est agenouillé devant moi et a commencé à me sucer. Ce n’était pas vraiment désagréable, mais ça ne m’excitait pas tellement. Il n’a d’ailleurs pas beaucoup insisté et s’est relevé en me disant :

— Désolé, j’aime pas trop ça. Tu veux bien me sucer quand même ?

Pour toute réponse, j’ai repris sa bite en bouche. Il avait un peu débandé, mais quelques coups de langues ont suffit à faire remonter son excitation. En trente secondes, il éjaculait tout son sperme sur ma langue. C’était délicieux et j’avalais avec plaisir. Il m’a sourit :

— Merci. On n'en parle pas à mon père, hein ?

Il est parti. Je me suis très vite endormi.

Le lendemain, Gérald m’a réveillé en me fourrant sa queue dans la bouche. Il souriait :

— David dort encore, je vais pouvoir profiter un peu de toi.

Il tenait son appareil photo à la main. Il m’a pris en photo pendant que je le suçais, à genoux sur le sol, nu. Lui était resté habillé, il avait simplement ouvert sa braguette pour sortir sa bite.

Il m’a ensuite fait mettre à 4 pattes sur mon lit, m’a doigté quelques instants en mouillant ses doigts de salive, puis m’a enfoncé son sexe dans le cul. Il a dû forcer un peu pour entrer ; puis il m’a pilonné comme un bourrin jusqu’à cracher tout son jus dans mes entrailles. J’ai ensuite dû nettoyer sa queue molle.

Le reste de la journée s’est passée normalement, la présence de David empêchant Gérald de me baiser. Mon père est venu me chercher vers 19 heures. Pendant qu’il échangeait quelques mots avec Gérald, David m’a entraîné dans un coin du jardin pour que je le suce. Je lui ai proposé de me prendre, mais il n’a pas voulu.

Mon père ne m’a pas adressé la parole. Il ne m’a même pas demandé comment j’allais. Nous sommes rentrés en silence.

A suivre…

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Mardi 31 juillet 2 31 /07 /Juil 18:44

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a cherché à m’en détourner en me livrant à des hommes vicieux. Voyant que ça n’avait pas l’effet voulu, il m’a prostitué dans un sex-shop, où Xavier, le gérant, m’a filmé en pleine action. Au cours d’un week-end chez un autre client, celui-ci m’a également filmé et prit en photo pendant nos ébats.

Le lundi matin, quand je suis retourné au lycée (c’était l’avant-dernière semaine de cours de l’année), j’avais déjà envie de sexe. Le concierge m’a fait un clin d’œil : j’ai repensé à ce que m’avait dit mon père, qu’il avait laissé entendre à cet homme que j’aimais la bite. Pendant les cours, je matais tous les mecs, des élèves aux profs.

A midi, j’ai déjeuné très rapidement : j’avais hâte d’aller me branler dans les toilettes. J’ai croisé le concierge dans la cour. Notre concierge est d’origine turque, sans âge, pas très beau, avec une grosse barbe noire. Il m’a fait signe de le suivre. Arrivés dans sa loge, près de l’entrée, il m’a dit :

- Entre dans le placard.

C’était un placard qui servait à ranger des balais, des seaux, des serpillères… J’ai posé mon sac par terre. Il est rentré derrière moi et a tiré la porte.

- Mets-toi à genoux.

C’était assez difficile, l’endroit étant étroit, et lui prenait beaucoup de place. Il a défait son pantalon pour sortir une queue à moitié bandée, fine et longue. Ça contrastait avec son corps massif. Il me l’a mise dans la bouche et me tenant par les cheveux. Il chuchotait des insultes, des ordres :

- Vas-y bouffe ma bite, pédé ! Suce ! Salope ! T’es une pute, t’aimes la bite ? Tiens ! Relève-toi, je vais te niquer.

Debout, je me suis retourné et me suis appuyé contre le mur en tendant mon cul. Il a baissé mon jean, a craché sur ma raie et positionné son gland sur mon trou. Il a poussé mais ça ne rentrait pas. J’étais stupéfait de constater que malgré mes nombreuses séances de baise, j’étais toujours aussi serré. Le concierge a mis quelques doigts dans mon cul, sans délicatesse, c’était désagréable, ça faisait mal, mais je le laissais faire. Il a remis sa queue contre moi et a poussé plus fort. En forçant beaucoup, son gland a commencé à entrer. J’avais vraiment mal. Il a continué comme ça jusqu’à ce que la moitié de sa queue soit en moi, il a à nouveau craché sur sa bite et, d’un coup sec, a rentré le reste de son membre dans mon cul. J’ai failli hurler, mais il avait déjà mis sa main sur ma bouche.

Il a commencé à me donner de grands coups de butoirs. Je gémissais, la douleur était déjà envolée. J’étais d’ailleurs étonné de constater que sa queue glissait à présent très facilement en moi. Il m’a niqué pendant quelques minutes avant de jouir dans le fond de mon cul. Il s’est aussitôt rhabillé et m’a laissé là.

J’ai passé une main entre mes fesses. C’était tout humide, mais ce n’était pas du sperme. J’ai compris que j’avais mouillé du cul.

En fin d’après-midi, quand je suis rentré chez moi, mon père n’était pas encore là. J’ai trouvé mon frère devant son ordinateur. Mon frère, Christophe, a trois ans de plus que moi. Depuis plusieurs années, il semble avoir oublié mon existence. Quand nous étions petits, on s’entendait bien, mais dès son entrée au collège j’ai compris que j’étais trop jeune pour l’intéresser encore.

Maintenant, les choses ont forcément changé : mon père m’avait dit qu’il avait mis Christophe au courant de nos activités. Mais je n’en avais encore jamais parlé avec lui. Ce soir-là, c’est lui qui m’adressa la parole :

- Luc, viens voir.

- Qu’est-ce qu’il y a ?

Il semblait très gêné. Il finit par me dire que notre père lui avait demandé de créer un site internet pour diffuser des photos et vidéos de moi (ce que je savais déjà). Il m’a assuré que le fait que j’aime les hommes ne lui posait aucun problème, mais il se demandait si j’étais véritablement consentant à ce que mon père me prostitue. Il trouvait évidemment étrange que j’accepte un tel traitement.

Timidement, je lui expliquai alors que ça ne me dérangeait pas, et même que ça me plaisait. Après un moment de gêne partagée, on a réussi à en parler assez simplement. Je n’ai pas osé lui dire que j’étais déjà accro aux hommes, que j’avais constamment envie de queue, que ce matin j’avais laissé le concierge du collège me baiser et que j’étais déjà prêt à y retourner et à accepter n’importe quelle bite pourvu qu’elle me gave de sperme. Non, je ne pouvais pas lui exposer les choses aussi crument. Je me suis contenté de lui dire que j’étais tout à fait d’accord, que j’aimais ce qui se passait, et qu’il ne fallait pas s’inquiéter pour moi. Christophe restait assez impassible, ce qui finalement n’était pas surprenant : il avait toujours l’air d’avoir zéro de tension.

Il s’est remis au travail. Durant la soirée, j’étais toujours en chaleur. Mon père était rentré et ne m’avait pas adressé la parole, mais je m’en foutais. Je ne pensais qu’à une chose : me faire baiser. Mais tout seul, je ne savais pas comment faire. Où trouver des hommes ? J’aurais pu aller au sex-shop de Xavier, mais je n’osais pas demander l’autorisation à mon père. Quand il est allé prendre une douche, je me suis glissé dans sa chambre pour fouiller dans ses affaires. J’ai trouvé le caleçon qu’il avait porté toute la journée, je l’ai respiré et me suis branlé en sentant cette odeur de mâle. Je n’ai pas eu le temps de jouir, mon père sortait déjà de la salle de bain. Je me suis précipité dans ma chambre avant qu’il ne me voit.

Mon frère est venu me voir :

- Je t’ai vu dans la chambre de Papa. Il te baise, lui aussi ?

- Non. Il est homophobe, il ne supporte pas que je sois gay.

- Ouais, enfin ça l’arrange bien quand même de se faire du fric sur ton dos. Pourquoi tu respirais son caleçon ?

- Parce que je ne sais pas comment faire pour trouver un homme tout seul.

- Tu veux les miens ?

- Les tiens ?

- Mes caleçons. J’en ai quelques uns qui sont pas encore lavés.

- Tu veux bien ? Ça te dérange pas ?

- Ben non, si ça peut te faire plaisir. Je reviens.

Il est revenu avec 3 caleçons sales.

- Je te laisse en profiter. T’as qu’à les mettre dans le panier de linge sale quand t’en auras plus besoin. Je t’en passerai d’autres si tu veux.

J’ai passé une heure à me caresser, les caleçons de mon frère sur le visage. Je me doigtais, je me branlais, en respirant cette odeur de mâle, mélange de sueur, de sperme, et de pisse. Je ne pensais pas particulièrement à mon frère, la seule odeur d’un homme suffisait à mon excitation.

Ma relation avec mon frère a commencé à changer. Il était très gentil avec moi, il s’assurait constamment que j’allais bien, il me proposait régulièrement ses caleçons. Il n’y avait aucun jugement de sa part, il semblait accepter que je sois accro à cette odeur, aux hommes. Il me tenait informé de l’avancée du site internet. Quand il a fêté ses 18 ans, un soir en l’absence de mon père, nous avons passé une excellente soirée tous les deux à rire et à parler de nos vies.

Pendant presque une semaine, j’ai pu tenir sans sexe, simplement grâce aux sous-vêtements de mon frère et à l’excitation due à l’idée que le site internet allait bientôt être mis en ligne. Un matin, le concierge m’a tout de même donné sa bite à pomper.

Un soir, Christophe m’annonça que tout était prêt. Il me fit prendre place face à l’ordinateur. Il m’expliqua qu’il avait fait héberger le site à l’étranger, pour contourner les lois qui protègent les mineurs. Je découvrais un web site entièrement consacré à mes photos et vidéos. Sur la page d’accueil, on me voyait nu, agenouillé, le visage levé vers l’objectif, la bouche ouverte, la langue tendue et couverte de sperme. En cliquant sur les différentes rubriques, on pouvait accéder aux photos sur lesquelles je suçait, je me faissais prendre, je me doigtais, me godais… On pouvait également voir des extraits de vidéos. Pour les regarder en entier, il fallait payer. En bas, un lien menait à une page sur laquelle étaient détaillés les tarifs liés à mes prestations. Il y en avait plein : de la pipe au week-end tout compris, en passant par une sodomie dans un lieu public, dans un hôtel, chez le client, ou encore la possibilité de me louer sur une période donnée, de m’emmener dans un lieu de drague… On pouvait également demander un show par webcam, ou même un show privé à domicile. Je n’en revenais pas : c’était très complet et très professionnel ! Christophe semblait très fier. Il m’expliqua que c’était lui qui avait eu l’idée de proposer différents types de plans, et donc différents tarifs. Il avait compris que non seulement j’étais d’accord pour me prostituer, mais qu’en plus j’avais soif d’expériences, et il avait voulu me faire plaisir.

Je lui en étais très reconnaissant. Pour la première fois depuis des années, nous nous prîmes dans les bras.

A suivre…

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Mardi 31 juillet 2 31 /07 /Juil 02:06

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Après avoir appris mon homosexualité, mon père a cherché à m’en détourner en me livrant à des hommes vicieux. Voyant que ça n’avait pas l’effet voulu, il m’a prostitué dans un sex-shop, où Xavier, le gérant, m’a filmé en pleine action. Au cours d’un week-end chez un autre client, celui-ci m’a également filmé et pris en photo pendant nos ébats. Les photos et vidéos servent à présent à illustrer un site internet, créé par mon frère, qui permet aux clients potentiels de prendre contact avec mon père pour me louer.

Quelques jours après la mise en ligne du site internet, mon frère est venu m’annoncer que les visites explosaient le compteur. J’étais ravi. Le soir même, mon père m’a dit de me préparer pour un client. Je n’avais en réalité nul besoin de préparation : j’étais constamment prêt à me faire baiser.

On a sonné à la porte alors que j’attendais dans ma chambre. Mon père est venu me chercher et m’a guidé jusqu’à la sienne. Les volets étaient fermés, seule une petite lampe éclairait la pièce. Un homme d’une bonne cinquantaine d’années était assis sur le lit. Mon père est sorti en fermant la porte.

— Salut. Alors c’est toi Luc ? T’es encore plus mignon qu’en photo. Viens là.

Je me suis assis à côté de lui.

— J’espère que t’es une aussi bonne salope que ce que m’a dit ton père, parce que j’ai très envie de baiser. Et je te préviens, je suis pas tendre.

Ça, je m’en foutais. Ça faisait trop longtemps que je n’avais pas eu de vraie bonne bite à me mettre sous la dent (enfin, façon de parler).

— Tu vas commencer par te déshabiller, puis tu vas venir me pomper à genoux.

J’ai obéi. Il a sorti sa queue de son pantalon, elle semblait assez large, bien qu’encore à demi molle. Je l’ai prise entre mes lèvres, il a appuyé ses mains sur ma tête et j’ai commencé à sucer. C’était tellement bon ! Sa queue durcissait très vite, elle m’emplissait la bouche. Il commentait beaucoup :

— C’est bien petite salope, pompe ça ! Plus profond ! Prends-la toute entière… Ouais… Vas-y ma pute, suce… T’es une vraie cochonne, ça te plait la bite d’un vieux pervers, hein ? Continue, ta bouche est trop bonne… Cambre bien ton petit cul, je vais te doigter un peu la chatte…

J’obéissais à tous ses ordres. Il s’est mis à me glisser quelques doigts entre les fesses, ce qui n’était pas facile : je ne m’étais pas fait prendre depuis plus d’une semaine. Il avait de gros doigts boudinés et les faisait entrer en moi sans aucune délicatesse – ce qui, en fait, m’excitait beaucoup.

— Ton trou est serré, j’adore ça. Ça va être bon d’y mettre ma queue… Je vais bien te défoncer, tu vas voir… T’en as envie, hein ? T’as envie que je te prenne ?

— Oui, monsieur, j’en ai très envie.

— C’est bien. Lâche ma queue et mets-toi à 4 pattes sur le lit.

Une fois en position, j’ai écarté mes cuisses et cambré mon cul. Il a laissé couler un trait de salive entre mes fesses avant de faire glisser sa queue raide sur ma peau. C’était trop excitant, je mourrais d’envie de me faire niquer. Je lui ai fait comprendre en gémissant.

— T’es une vraie petite lope, toi… J’aime les jeunes chiennes dans ton genre… Tu vas l’avoir, t’inquiètes pas…

Et soudain, il a positionné son gland contre mon trou et a poussé. Serré comme je l’étais, ça n’a pas été facile. Mais j’étais suffisamment excité pour ne pas avoir mal, et malgré mon étroitesse, il est parvenu après une ou deux minutes à faire entrer tout son sexe en moi. Il a marqué une petite pause en me caressant les fesses, les hanches, aventurant ses mains jusqu’à mes seins et même jusqu’à ma bite en érection.

C’est moi qui ai commencé à faire aller et venir mon cul sur son engin. Il a semblé apprécier : il est resté immobile, me laissant faire le travail. C’était assez agréable de contrôler le rythme, mais l’excitation n’était pas la même : je préférais quand l’homme était plus directif. Ce que celui-ci n’a pas tardé à redevenir : après quelques minutes, il a immobilisé mes hanches entre ses mains pour me pilonner violemment. Je gémissais de plus en plus et de plus en plus fort, tandis que lui soufflait, râlait, et me parlait beaucoup :

— Prends ça, salope ! Je te défonce, putain ! C’est bon ! T’es bonne, ma pute ! T’es trop bonne ! Je te baise et t’aimes ça, tu vas bien me vider les couilles ! Putain, t’es une vraie bonne pute !

En tournant légèrement la tête, je me suis vu dans le grand miroir appuyé au mur de la chambre paternelle. Mon petit corps frêle, imberbe et docile, subissant les assauts violents d’un homme mur et costaud sur le lit de mon père. Cette vision m’a fait jouir.

L’homme qui me baisait n’a pas tardé à jouir lui aussi. Il a déversé son sperme dans le fond de mon cul en râlant sauvagement. Il s’est retiré et m’a donné sa queue à nettoyer. Je l’ai léchée avec avidité, trop heureux de retrouver le goût du sperme.

Une fois seul, j’ai passé ma main entre mes fesses et j’ai constaté que j’avais à nouveau mouillé du cul. J’ai également très vite senti du sperme couler sur mes cuisses. J’ai léché mes doigts pleins de cette semence. Mon frère est alors entré :

— Ça va ? Je t’ai entendu crier… Il t’a pas fait mal, au moins ?

— Non, ne t’inquiète pas. Tout s’est bien passé.

— Ok… Je voulais venir m’en assurer, mais Papa me l’a interdit. Il a dit que puisque t’avais choisi d’être pédé, tu devais assumer.

— Tu sais, j’ai pas choisi. Je suis comme ça, c’est tout. J’y peux rien.

— Je sais, je sais. Tu… Tu veux une serviette ? Ou des vêtements propres ?

C’est alors que j’ai réalisé que j’étais nu. Devant mon frère.

— Oh, excuse-moi. J’avais oublié que j’étais à poil.

— T’en fais pas, ça me gêne pas. Je veux juste être sûr que tu vas bien.

J’étais très touché par la sollicitude de Christophe. Face à la froideur de mon père, je commençais à être en manque de marques d’affection, et les quelques mots de mon frère me faisaient du bien. J’en avais les larmes aux yeux. Christophe s’en est rendu compte et est venu me prendre dans ses bras en me parlant doucement.

— Ne pleure pas. Je suis là. Je laisserai personne te faire du mal. Ne t’inquiète pas.

J’ai tout de même pleuré quelques minutes dans ses bras. Sa tendresse était réconfortante. Il n’y avait absolument rien de sexuel dans son attitude, c’était purement fraternel. Pourtant, nu dans ses bras, j’ai senti mon érection revenir. Très embarrassé, j’ai séché mes larmes et j’ai cherché à cacher mon sexe, mais Christophe m’a vu. Je me suis confondu en excuses :

— Pardonne-moi. C’est pas ce que tu crois. Je sais pas pourquoi ça s’est passé, je veux dire…

— Non, je comprends. Moi, quand une fille me fait la bise, ça me fait souvent bander. Même si j’ai pas envie d’elle. Je comprends, t’inquiète pas. T’as pas à être gêné devant moi, tu sais. T’es comme tu es. C’est tout.

J’étais éperdu de reconnaissance. Mon frère s’avérait si compréhensif ! Non seulement il acceptait sans jugement aucun mon homosexualité, malgré une éducation assez sévère et machiste, mais il en venait même à vouloir me protéger.

Les semaines suivantes, les clients se sont enchaînés. Il y en avait au moins deux, parfois trois ou quatre, chaque soir. Des vieux, des plus jeunes, des beaux, des moches, des hommes mariés, des gays… Certains voulaient uniquement se faire sucer, d’autres venaient en couple (un couple de garçons d’une trentaine d’années est venu pour toute une soirée, ils étaient adorables, très doux), d’autres encore ne demandaient qu’à me regarder me masturber et me doigter devant eux. Pendant 3 semaines, j’ai été baisé, défoncé, enculé, pilonné, rempli et gavé de sperme par de nombreux inconnus.

Ma vie prenait petit à petit un nouveau rythme. Toute la journée, j’étais au collège, où je parvenais à mettre de côté mon envie de queues pour me concentrer sur les cours. Parfois, pourtant, le concierge me faisait venir dans le placard de sa loge pour me baiser. Le soir, j’avais à peine le temps de faire mes devoirs qu’un nouveau client arrivait. Mon père avait cherché à accélérer le rythme, faisant venir des clients jusque tard dans la nuit. Mais Christophe s’y était fermement opposé, arguant qu’il fallait préserver mon sommeil et mes cours. Mon frère étant seul capable de tenir le site internet, mon père avait dû céder. De toute façon, le week-end, il y avait souvent beaucoup plus de clients.

Les vacances d’été sont arrivées. Avec les départs en vacances, les clients se sont faits plus rares. Mon père travaillait jusqu’à la fin de mois de juillet, nous laissant mon frère et moi tourner en rond jusqu’en août. Un jour, alors que nous nous ennuyions tous les deux, nous avons évoqué mes premières expériences sexuelles, quand mon père m’avait abandonné sur une aire d’autoroute. Cela a donné des idées à Christophe :

— Tu sais, maintenant que j’ai 18 ans et que je peux conduire seul, on pourrait y retourner si t’as envie !

Et comment que j’en avais envie !

— Je veux bien, mais t’as pas peur de t’embêter ? Tu feras quoi toi pendant ce temps ?

— Ben, écoute, toi t’as envie de te faire baiser, et moi je suis un peu en manque de fric en ce moment, alors on pourrait y aller sans le dire à Papa, et on se partagera la thune à nous deux.

— Super idée ! Mais faut surtout pas qu’il l’apprenne, il me tuerait s’il savait ça.

— T’en fais pas, je sais garder un secret ! Et puis il me tuerait aussi !

Nous avons rigolé. J’étais ravi. Ma nouvelle complicité avec mon frère me plaisait beaucoup.

À suivre…

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